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s.n. 1918, 28 Septembre. L' illustration. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/9k45q4s85b/
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288 n° 3943 L'ILLUSTRATION 28 septembre 1918 LES GRANDES HEURES L'AVANCE Le mot qui, depuis deux mois, revient le plus souvent dans les communiqués et sur nos lèvres, qui vole et se pose partout et du soir au matin nous accompagne, ne nous quittant pas une seconde, c'est celui-là: l'avance. Enfin! nous avançons... sûrement, régulièrement, et continuellement. Ce mot, des plus français, n'est pas un mot nouveau pour nous, mais c'est un mot réveillé. Au début de la guerre il avait déjà fait ses preuves quand par le beau soleil de l'été 1914 nous enjambions, musique en tête et nos couleurs dépliées, la frontière allemande... Et puis, il avait dû, lui aussi, comme un drapeau que l'on ménage et comme une voile qu'on cargue dans la tempête, se rouler et se recueillir pour des temps plus propices. Nous avons donc attendu. Avec quelle fermeté patiente et douloureuse, et quel inébranlable espoir..., aucun de nous ne peut l'avoir oublié ! Pendant des mois et des années, au cours de maintes alternatives de fortùnes, nous avons subi le tourment des longs désirs, tour à tour amassés, exaucés un instant et fréquemment déçus. Nous avons connu les arrêts, les stabilisations, et aussi les retraites... Nous -avons dû, en un sacrifice affreux et interminable, renoncer à l'avance, du moins en fait, car nos pensées lui demeuraient d'autant plus résolument fidèles. L'avance restait bien le but unique, l'étoile... Mais que l'étoile était lointaine !... Certains jours elle brillait avec plus d'éclat et paraissait se rapprocher, mais nous nous rendions compte, même en ces minutes fiévreuses, que c'était seulement l'astre, l'idée qui remuait, qui s'agitait, et que nous... nous ne bougions pas! Et puis, un jour, nous avons senti — comme le corps humain dans certaines transformations subites de l'organisme — un grand craquement de toute la machine..., et l'avance s'est déclancliée... puissamment nourrie et renforcée alors par l'accumulation de son attente. Foch, le grand maître de l'heure, avait donné à la fois le signal et l'impulsion... et la chose se produisait en temps déterminé... Il y a de cela huit semaines passées... et depuis nous avançons toujours,... et partout. Des Flandres à la Lorraine, de la mer aux 'Vosges, la ligne immense des armées alliées, comme un souple et inflexible filet, rabat devant elle le gibier ennemi qui détale en laissant des milliers de prisonniers et des centaines de canons, accrochés et collés aux mailles. En Orient, les soldats de l'Entente défoncent le Bulgare en une ruée victorieuse. La Palestine, après des siècles d'attente, échappe aux deux pointes du Croissant qui la perçaient, se refermant sur elle... Cette avance, si magnifique et si sage, ne se limite pas d'ailleurs à la zone des armées et aux mouvements progressifs du front. Nous voyons en plus qu'elle est générale, qu'elle s'étend dans toutes les directions et s'applique à tout ce qui, de près ou de loin, se rapporte à la guerre, à son plus complet et à son plus prompt achèvement. Dans les différentes profondeurs de l'arrière, les forces d'organisation et de reconstruction, elles aussi, s'avancent et gagnent une extension équivalente au terrain que récupè rent les soldats. La marche des premières lignes entraîne et règle, au cœur des nations, celle des lignes suivantes et de toutes les autres chargées de l'appuyer en observant un rythme égal. Et les pensées, les résolutions, rangées en meilleur ordre, opèrent dans les esprits le même mouvement libérateur. Elles abordent des points nouveaux qu'elles convoitaient, qu'elles avaient cru inaccessibles, et elles s'y installent, en attendant d'en repartir pour en occuper de plus importants. Ainsi les flots de l'Alliance, gonflés et poussés dans la même direction par le vent de la victoire, commencent d'accomplir la marée montante affranchie de reflux. Et, tandis que s'effectue parallèlement cette double opération matérielle et morale, l'horizon, quoique l'on s'en rapproche, apparaît cependant toujours plus vaste à nos yeux et à nos desseins. Au fur et à mesure que nous le rattrapons, il s'élargit et se recule... mais ce n'est que pour nous confirmer dans la certitude de nos reprises et nous engager davantage... Il ne nous fournit tant de champ que pour mieux nous signifier la promesse que nous allons le conquérir, car le grand espace, au lieu de la décourager, attire et provoque la •grande avance. Il la stimule et l'entretient. On peut dire en effet qu'en avançant nous sommes toujours — par la force de l'idéal qui nous projette — à un point plus extrême que celui où nous campons réellement. Lorsque, même au prix de fatigues surhumaines, le soldat travaille dans l'orgueil et la joie, la position qui sera prise demain l'est toujours à moitié dès la veille. Et c'est en se devançant avec cette héroïque foi en elle que se nourrit l'avance. Aux faubourgs de chaque ville reconquise, au moment où le barbare vient de l'évacuer, ses derniers habitants, pâles des caves où ils nous attendaient, accourent de leur côté au-devant des poilus sauveurs. Tous les morts, tous les enterrés, bien qu'on ne les voie pas, se - . joignent pourtant à eux en cette bienvenue, et l à notre approche les drapeaux « avancés » sor-3 tent comme par enchantement des cachettes d'Alsace et de Lorraine... . Nous sentons en plus qu'à la rentrée dans nos provinces si longtemps captives répondra plus tôt l'autre rentrée, celle de nos chers prisonniers à qui chacun de nos pas en fait faire un également vers le sol de la patrie. C'est pour ramener plus vite ces exilés (pie leurs frères du front mettent ici tant de cœur à l'ouvrage, afin que s'accomplissent, l'une après l'autre, les nouvelles invasions, les bienfaisantes, les fécondes, celle qui reconquiert le pays le fer à la main et celle qui ensuite le restaurera dans le labeur et l'amour. Toutes les grandes œuvres difficiles de l'avenir, toutes les questions vitales des sociétés et des peuples se trouvent ainsi du coup mieux formulées et dirigées plus droit grâce à cette avance qui les éclaire, les guide et les mûrit. Elles s'acheminent d'elles-mêmes vers leur solution par la route aplanie que leur tracent les armées, et quelques-unes s'engouffrent déjà dans ce sillage avec une ardeur redoublée. La fin certaine et visible de nos maux, la punition du Méchant, une paix magnifique et durable obtenue dans la plénitude et la justice de la victoire, le soulagement du monde entier, toute la douceur et toute la force de vivre après tant de jours d'une vie dénaturée..., c'est tout cela qu'illumine à nos yeux levés, et que verse en nos cœurs avides, l'avance, l'avance bénie ! ... Et comme pour ajouter à ces sentiments et nous y engager avec plus de raison..., nous voyons l'ennemi nous faire de tous côtés — à sa manière — des avances. Mais nous avons appris à repousser les siennes, tandis qu'il a perdu le pouvoir de retenir les nôtres. Henri Lavedan. SIX MOIS DE STRATÉGIE FRANÇAISE Je disais, dans L'Illustration du 20 avril, que, le jour venu, notre généralissime saurait exécuter une belle |manœuvre « à la française » qui ne ressemblerait pas du tout à ces coups de boutoir portés par l'Allemand, à la façon d'un taureau, et espacés les uns des autres par des périodes de préparation de sept ou huit semaines. Ce jour est venu le 18 juillet. Mais, pour bien comprendre les mérites de la stratégie du maréchal Foch, il importe d'abord de préciser quelles sont les possibilités de manœuvre que laisse la guerre actuelle, ensuite de distinguer nettement les trois étapes successives que nous avions à parcourir, à partir du mois de mars, pour obtenir la victoire définitive. C'est seulement au milieu de la deuxième étape que nous sommes aujourd'hui avant le commandement unique Le dogme de la continuité du front domine toutes les opérations de cette guerre. Je n'en discuterai pas la légitimité ; ce serait fort inutile, puisque les deux adversaires ne s'en sont jamais écartés et ne paraissent pas disposés à le faire ; il faut donc l'accepter comme une nécessité inéluctable. Or ce dogme ne permet que deux manœuvres : ou bien l'enfoncement d'une partie du front, ou bien le débordement d'une aile. Les Allemands donnant la préférence à cette dernière méthode et ayant eu l'initiative des opé-tions, au début de la guerre, pour une foule de raisons que je ne saurais développer ici, c'est à des tentatives de débordement des ailes que nous avons assisté en août 1914, tentatives qui ont échoué en Lorraine et réussi à C'harleroi. C'est encore à la même manœuvre, exécutée sur l'aile droite allemande, que nous avons dû la victoire de la Marne. Mais le jour où, après une course échevelée, les forces adverses sont venues buter contre les rivages de la mer du Nord, les possibilités de manœuvre se sont trouvées singulièrement réduites. Pour la première fois depuis qu'on fait la guerre en ce monde, on a vu tout le territoire où on était susceptible de se battre saturé de troupes, et des armées n'ayant plus d'ailes, puisqu'elles s'appuyaient d'une part à la mer, d'autre part à un pays neutre. La seule manœuvre qui fût encore possible était simplement une manœuvre d'effectifs, c'est-à-dire le transport rapide de gros contingents sur telle ou telle partie du front, grâce à un réseau ferré très dense et aux ressources de la traction automobile. Mais cette manœuvre-là ne pouvait donner que cles résultats tactiques et non pas une décision stratégique. Dès la fin de 1915, celui qui était déjà un de nos grands chefs, le général Pétain, indiquait la solution du problème : user les forces matérielles et morales de l'ennemi pendant tout le temps qu'il faudrait, grâce à des attaques incessantes sur le plus grand nombre de points possible, et asséner ensuite le coup définitif avec une imposante masse de personnel et de matériel tenue en réserve. La malheur est que cette solution exigeait une telle supériorité de moyens qu'elle apparaissait comme chimérique avant l'entree en lice des Etats-Unis. Quand ce grand fait fut accompli, grâçe à l'immense sottise commise par les Allemands en déclarant leur guerre sous-marine sans merci, tous les espoirs furent permis, à la condition que nous ne fussions pas pris de court avant que ne pût être créée de toutes pièces la grande armee américaine. Cette fois encore, l'erreur dans laquplle tombèrent les Allemands en s'embarquant, au cours de l'automne 1917, dans les opérations de Riga et-en ne commençant pas cinq ou six mois plus tôt leurs transports de troupes d'Orient en Occident, nous sauva d'un mortel danger. Mais ce danger était encore terrible au printemps de 1918. La défaite britannique du mois de mars nous exposait a Ja catastrophe, quand enfin de l'excès du mal sortit iC bien, c'est-à-dire l'unification du commandement et

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