L' illustration

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s.n. 1917, 20 Octobre. L' illustration. Accès à 20 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/6w96689x02/
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, 20 Octobre 1917 L'ILLUSTRATION n° 3&94 — 385 ■ tats inespérés et les chefs russes se félicitent de son passage. Il va parler, une fois encore, dans une tranchée de première li;rne, à 400 mètres de l'ennemi, au Sud de Baranovitchi, près de la rivière Chara. Mais, au moment où il y pénètre, son arrivée est signalée : une bombe, lancée par un mortier de tranchées, vient éclater à ses côtés, lé frappant mortellement, tuant deux de ses compagnons, un officier et un sous-officier russe, et blessant un soldat qui les suit. Le lieutenant Juteau avait été atteint à la tête et au cîté gauche : il expira immédiatement et sans soufi rinces. L'émotion causée par cette mort fut considérable parmi nos alliés. Le 9e corps d'armée se chargea d'organiser d'importantes funérailles au vaillant Français tombé si loin de sa patrie, victime de son dévouement et de sa foi. Du village de Grouchovka à la gare de Siniavka, de solennels honneurs furent rendus par la 15e division sibérienne et des délégués de toutes les unités séparées du corps d'armée, en présence du général Janin, chef des missions militaires françaises, et du général Walch. A Minsk, une cérémonie fut organisée à la gare pour permettre au général Gourko, commandant en <h f des armées de l'Ouest, de faire une éloquente oraison funèbre du lieutenant Juteau et, en sa qualité de président de la Douma de l'Ordre, d'épingler à son cercueil la Croix de Saint-Georges martyr et victorieux, qu'une décision du 3/16 juin venait de lui attribuer. De Minsk, le wagon funéraire, orné de croix fleuries et de guirlandes de feuillages, gagna Moscou. Un cortège splendide accompagna le cercueil de la ^are Alexandrowski au cimetière des étrangers. Ainsi s'en est allé, respectueusement salué par ses frères d'armes, un jeune officier de France, frappé symboliquement par la haine de l'Allemagne, au moment où, déjouant ses sournoises menées, il cherchait à lui barrer la route de l'Est en décrétant une nouvelle mobilisation des cœurs. Ainsi est tombé, prêchant d'exemple, un missionnaire de l'héroïsme français, un porteur de flambeau, élevant haut la flamme sacrée de la torche allumée au brasier de LES GRANDES HEURES par Henri Lavedan LES DEUX ORS Tandis que les affaires de trahison dont la .justice est saisie suivent leur irrévocable cours, il n'est pas inopportun, malgré tout le dégoût qu'elles inspirent, de s'y arrêter un moment. Station pénible mais nécessaire. Sans avoir l'importance que certains voudraient leur attribuer pour diverses raisons dont quelques-unes ne sont pas fameuses, ces tristes leçons valent cependant qu'on ne les passent pas sous silence. Il ne faut pas qu'on ait l'air, en les taisant, d'en avoir peur, comme d'une catastrophe nationale dont on n'ose pas parler. Grâce à Dieu ces histoires ne sont pas l'histoire. Ne faisons pas aux cadavres impurs l'honneur de les couvrir d'un manteau, fût-il celui de la répulsion, de l'indifférence ou de l'oubli, car un manteau dérobe et protège. Or ces coupables, morts ou vivants, ne méritent plus d'être cachés. Avant de les enfouir, ne craignons pas de les mettre à nu, de les exposer un après-midi à la morgue de l'indignation publique et du mépris universel. Leurs plaies sont hideuses, mais regardons-les, pour bien nous fixer dans les yeux et la pensée le souvenir de cette abjeetion. Appliquons-leur le fnr rouge de la pleine lumière. Après seulement, une fois marqués, nous pourrons les rejeter dans le trou des ténèbres.* 'k 'k Parmi les nombreuses réflexions que suscite dans ses détails la connaissance de l'ignoble et savant trafic, la.première est que l'acheteur, en m cette aventure, apparaît aussi peu intéressant s 'V et presque aussi atteint que le vendu. I On n'en est plus à compter aujourd'hui les j! fautes de psychologie de l'Allemand. La faillite t ;s, successive de ses systèmes sur tous les terrains f 't, se révèle une fois de plus dans ce domaine de c ™ la corruption qui n'est pourtant pas nouveau et pour lui. ' r ns Mais, bien qu'on lui accorde en cette matière r une maîtrise que nul n'est enthousiaste de lui t ,'e ravir, il arrive cependant que sa méthode n'est r ^ pas aussi décisive qu'il s'en flatte. C'est que le S m sens de la mentalité des autres lui fait complète- r ca ment défaut. Il ne raisonne que d'après lui. Se c nt croyant l'homme-type, il juge selon cet unique c es et déplorable modèle toute l'humanité. Il se per- s l'1 suade donc que les moyens capables de consom- c mer l'achat d'un bon Boche ne peuvent, à plus ê re forte raison, manquer d'obtenir celui d'un mau- at vais Français. e °" Sans doute, en pensant que l'argent exerce <3 ; ' une puissance redoutable sur tous les êtres et r eg qu'il a cours sur tous les marchés de la con- t in science humaine, il n'a pas tort et il ne fait g montre d'ailleurs que d'une profondeur rela-Ll" tive dans la constatation de cette banale vérité. Oui, jusqu'à présent l'argent est encore le ■s_ meilleur mode de perversion et de démoralisa- es tion courante; mais encore y a-t-il la façon, le g ?é tour d'esprit, de main et de poche, le choix et l,u la qualité de la personne à abattre, la juste b ie proportion de la dépense et de l'achat, de la ii é, perte et du gain, l'estimation nette du bénéfice, il îe le poids des risques à courir, les garanties du c lt: secret, la vue lointaine des résultats, etc..., tou- c 'e tes les raisons, en un mot, qui doivent décider r si l'opération mérite les efforts qu'elle réclame, t les difficultés qu'elle rencontre, les sacrifices e qu'elle impose. Si tous ces points de la question li reçoivent après coup une réponse favorable de d la réalité, c'est bien, on a le génie; mais, si on d ne doit pas en avoir pour son argent, il est c piteux de se voir magnifiquement volé, et par b des voleurs de confiance et de choix que l'on p a été soi-même inventer, chercher, racoler. c la Cette expérience de nos ennemis n'a pas été r s, plus heureuse que beaucoup d'autres tentées en d ït vain dans des ordres d'idées différents. On ne s, t. peut certes pas nier le mal qu'ils nous ont fait, v mais il est tellement au-dessous de celui qu'ils c i- s'étaient promis qu'ils n'en ont pas moins h is échoué. Ces subtils financiers de la désorgani- 3s sation font fréquemment de faux calculs. Si c as fort que soit l'argent, ils accordent trop à sa s m tyrannie; ils croient à l'or comme au fer; ils a ie ont le culte et le fétichisme épais du métal; d is ils traitent tout à la Krupp. d Il y a aussi quelque chose de risibîe à voir 1 s- comment ils entendent pratiquer la science et s; a- l'art de la corruption, la manière doctorale ti -ii dont ils évaluent, pour chaque peuple, le taux c i, des consciences, la certitude bouffonne avec r i- laquelle ils décrètent le tarif de l'opinion d'un s is pays, selon le degré de décadence qu'ils lui sup- I i- posent. Et ils n'hésitent pas, ils tranchent, ils d îr savent !... à un mark près, ce qu'il faut pour n m la grande Russie, la petite Italie, la difficile 3s France, le nombre de millions que représente sn l'honneur des « honorables » dont ils escomp- ir tent les servfces payés ! g A vrai dire, pourtant, nous n'avons pas à t ie nous émouvoir outre mesure, si regrettables q s, qu'elles soient, des vilenies qui récemment vien- e è- nent de nous être étalées, non plus qu'à gémir p sur la dégringolade des farouches vertus sédui- p tes par l'or du Rhin. La révélation des coupa- 1 bles avérés n'a pas, que je sache, amené chez q te personne un tant soit peu renseigné de doulou- r et reuses surprises, ni des écroulements d'estime, t: sn et la perte des illusions qu'elle pouvait avoir n sur tel ou tel des traîtres n'a pas forcé la France à se voiler la face. Le corrupteur en effet ne corrompt presque toujours que les corrompus. C'est comme les femmes qui tombent ; les trois quarts, avant d'être à terre, étaient déjà couchées. Le Français, d'ailleurs, offre un mauvais terrain de vénalité, parce qu'il est généreux, donnant, idéaliste. Par les bons procédés, la gentillesse et les tendres moyens on obtient de lui mieux et plus vite que par tous les pourboires. Sentimental, c'est par le sentiment qu'on le prend; par des promesses, des pleurs de crocodile et de faux serments qu'on le dupe et l'achète. Les recruteurs savaient bien à qui ils s'adressaient. Aucun juste n'a jamais été sollicité par eux parce qu'il ne pouvait même pas être tenté. Ceux que l'on a eus rien qu'en se baissant, et « à la main », étaient déjà depuis belle heure dans le domaine public u marchandage international. Ils composaient, à point nommé, le bouillon de kulture propre à recevoir et à faire germer tous les ferments contagieux. * ** Il n'est pas vrai, comme on le dit, que l'argent n'ait pas d'odeur. Sans prétendre que même bien acquis il sente bon, ne craignons pas de déclarer que mal acquis il sent mauvais. Il se dénonce. Il pue et il tue ; il porte toujours malheur. Ceux qui l'ont touché font, dès ce monde avant l'autre, du grincement de dents préventif et de la prison terrestre. Le traître est généralement puni. La justice immanente, et souvent imminente, le guette et le découvre.Alors, tout marche à la fois; tous les grands-livres s'ouvrent d'eux-mêmes comme des tombeaux dont le couvercle se soulève: ceux des banques, ceux de la loi, des archives ; les coffres-forts livrent leur chiffre et leurs dépôts ; les carnets de chèques leurs talons, les secrets professionnels sont suspendus, les correspondances divulguées, les encres sympathiques apparaissent, les dépositions pleuvent, la T. S. F. divulgue ses chuchotements, les confidences de ses ondes; tout l'insaisissable et l'invisible revient, rebrousse chemin, pour accuser, prouver, confondre, écraser, et les témoignages, les faits, les écrits, les paroles, se forgeant, s'accrochant, se soudant comme les anneaux de la future chaîne qui doit charger le misérable, s'entassent sur le bureau du Conseil de guerre. Le traître a beau avoir été habile et superfin, il est pris dans le filet de ses précautions, dans les mailles de ses mensonges. C'était vraiment bien la peine ! Tant d'intermédiaires, de paravents, de gens de sac, de corde et de paille, tant de travaux souterrains, de cachettes, de garanties, tant de secrets d'Etat, tant de nuit ouatée, de bons rideaux de ténèbres, pour aboutir à cette explosion de lumière, à ce feu d'artifice d'évidence ! En dehors de toute considération morale, c 'est à dégoûter de trahir: quoi qu'on ait reçu l'on n'est pas payé. •k •kit Un point capital ressort de l'infâme imbroglio, c'est l'immense désir de paix que démontre, que trahit en cette affaire chaque mot, chaque geste de 1 Allemagne. Elle veut la paix, elle en est malade, elle en déraisonne, elle en perd l'intelligence et le jugement. Et nous comprenons bien à sa fièvu, à ses halètements, à l'agitation que traduisent ses basses manœuvres, que cette envie déréglée n'a pas pour cause un regret, un remords, un rjpentir, une illumination de conscience soudaine quoique tardive, mais que c'est encore et toujours une ruse, un

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