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s.n. 1918, 18 Mai. L' illustration. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/xw47p8vb5j/
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502 — N° 3925 L'ILLUSTRATION 25 Mal 1918 gardant et en augmentant notre avance, serait de provoquer chez nous soit une pénurie^ de matières premières, soit un arrêt de la main-d'œuvre. Jamais l'heure de travail n'a eu plus d'importance pour nous: c'est quand on prend le dessus que l'effort rend au centuple. C'est donc le moment où le temps doit être le plus intensivement employé. Le Boche est atteint, entravé dans sa production. La nôtre est'libre. L'emploi nouveau et vainqueur de l'aviation repose sur le nombre, le nombre sur la main-d'œuvre. Tout ouvrier d'aviation qui chôme, qui néglige une pièce' ou un montage, brise dans la main de nos combattants l'arme neuve, l'arme d'avenir dont l'utilisation présente garantit l'efficacité future. Pendant un hiver de magnifique préparation, l'industrie française ' a forgé l'instrument de notre supériorité présente. Elle a handicapé l'industrie adverse. Elle a triomphé \)ar nos aviateurs. Ce qu'elle vient de faire montre ce qu'elle a à faire. Le secret en est simple: continuer. La Cigogne. LES GRANDES HEURES LE RETOUR DU PRISONNIER Par suite des conventions d'échanges passées entre la France et l'Allemagne, nos prisonniers faits au début de la guerre, avant Charleroi, vont reprendre incessamment le chemin de la patrie. Nous savons bien, en disant cela, qu'ils ne vont pas être encore rapatriés, qu'ils devront s'arrêter et camper, pour un temps qui peut être long, au seuil de la Terre Promise. Du moins, ayant accompli les trois quarts de la route, se seront-ils, faute d'avoir la permission de le réintégrer tout de suite, rapprochés aussi près que possible du foyer. Par comparaison, la distance où ils en seront tenus, pour grande qu'elle soit, leur deviendra petite. Entre eux et leur pays ils ne sentiront plus l'étendue d'aucune hostilité. Les barrières, si elles ne laissent pas sortir, laisseront entrer. Ils vont retrouver les leurs qui viendront les voir. * Avant même que s'effectue cet incroyable événement, quelle transformation soudaine dans l'existence de ceux de là-bas et d'ici dont les cœurs s'orientent déjà les uns vers les . autres ! De l'instant où ils ont mis le pied sur le sol de la noble Suisse, les captifs d'hier ont respiré le premier souffle de la liberté. La lumière et le ciel ne sont plus les mêmes. L'expression des visages, la physionomie des choses, des hommes et des bêtes, les sons et les couleurs, tout a changé. Tout s'est élargi, adouci. Quel est ce bien-être ineffable aussitôt répandu ? Le corps se rehausse à la vie et l'âme entre en convalescence. On peut donc maintenant sans crainte, sans danger, sans entraves, élever la voix, sourire, regarder, écouter, penser à son aise, écrire et recevoir des lettres qui ne soient pas de secs bulletins rédigés selon la consigne? On n'entend plus parler allemand ! On n 'a plus les oreillès et l'esprit écorchés par cette langue maudite! On respire, on est dilaté. C'est comme une évasion. Et les parente, les enfants, les mères, les femmes, les sœurs, les filles, les fiancées qui depuis tant de mois désespéraient de l'absent, ne tiennent plus en place et subissent de leur côté d'étranges impressions. Eux aussi sentent s'ouvrir l'idée fixe où ils étaient enfermés ainsi qu'en un cachot, et leur propre captivité cesse du même coup. Pour eux également le présent se transforme et l'avenir s'éclaire. Etait-elle engourdie, leur confiance renaît. Intacte et demeurée entière, elle se fortifie. L'événement libérateur leur fait tout voir en beau; il inaugure une ère nouvelle, il prédit la fin des mauvais jours, il annonce et hâte la victoire. Il va jusqu'à les entêter et balayer en eux le souvenir des anciennes douleurs. Mais aussi, de part et d'autre,_ que de trouble et d'appréhensions! Oette rencontre, chacun la redoute presque autant qu'il la désire. Comment, dans quel état va-t-on se retrouver? Les cœurs n'auront pas changé. Mais les corps? les pauvres corps si maltraités? Et les chers, les bons visages... que sont-ils devenus depuis le temps? Qu'est-ce que la guerre en a fait? — Beaux yeux de mon fils, êtes-vous les mêmes ? — Mains de mon père, allez-vous me montrer la corde de vos veines? Joues de ma mère, est-ce que ma bouche en vous parcourant vous sentira creusées? A quel vieillard, à quel étranger, à quel autre va-t-on peut-être se heurter au premier abord, dans une indécision qui ne sera que d'une seconde, mais cependant d'une durée et d'une violence affreuses ? En un éclair évidemment, quels que soient les ravages opérés, on se reconnaîtra, mais cette minute n'en réserve, pas moins à ceux qui l'appellent de tous leiirs vœux une part d'inquiétude et d'angoisse supplémentaires. Par prudence pourtant toutes les précautions sont prises. Le revenant, s'il en est besoin, a fait avec adresse prévenir les siens par un ami: « Vous le trouverez un peu différent, un peu cassé, mais ne vous frappez pas. Ça n'est rien. Maintenant il se remettra vite. Et puis tenez compte aussi de l'émotion, de la fatigue du voyage. » Et pareillement un ami — souvent le même — ou un frère, une sœur ont averti en secret le soldat : « Tiens-toi bien. Tu trouveras maman changée. » Tandis que la mère aura écrit en cachette à l'enfant: « Je te le dis pour que tu n 'aies pas de surprise : ton père a vieilli de dix ans. » Il a même fallu, parfois, faire des préparations plus dures, plus difficiles, pour des maladies graves contractées là-bas et qui ont laissé des traces indélébiles, pour des infirmités inavouées, des ruines passées sous silence, pour des cécités, des surdités, d'horribles blessures à la face, des mutilations qu'on n'a jamais osé révéler, devant la confession desquelles toujours on a reculé et qui ne peuvent plus à présent se dérober, rester cachées, car la vérité presse, elle arrive, elle éclate! Quelle épreuve, mon Dieu! Quel coup, quel chagrin de seconde ligne! Mais on se rassure, on espère que la joie du revoir, de la possession, la certitude de la vie feront bourrasque, emporteront tout, culbutant la stupeur et dispersant l'effroi. Chacun d'ailleurs n'y mettra-t-il pas sa ruse et son effort? Pour couper les pleurs on rira! on dira des bêtises! on dansera d'une jambe! on brandira sa béquille. Et comme tout le monde mentira supérieurement ! — « Hein, papa, un peu touché, ton gars? — Mais non, pas trop, ma parole. Et nous, mon petit ? bien vieux, allons? -finis? terminés? — Vous? superbes? pas bougé! » Ah! les héroïques gaietés, les comédies sublimes! qui en effet se joueront, selon le même programme du cœur, ainsi qu'on l'aura décidé! Père, mère, enfant du retour tous auront vieilli, tous auront blanchi, et souvent le fils plus que les parents. Sur tous les fronts, sur tous les visages, ceux qui sont restés en France et ceux qui descendent d'Allemagne, il y aura des rides, des plis de souffrance et des balafres de misère, car tous, même ceux d'ici qui paraissaient libres, ils auront fait leur campagne et subi leur esclavage, mais — aux premiers instants du moins — per sonne n'en conviendra. On refoulera les lamentations qui pourraient s'échapper, on étouf-1 fera sous les baisers et les caresses la plainte sur le point de percer, les dis amers prêts à jaillir. Ce n'est qu'après, plus tard, que s'épancheront les récits, les aveux, et qu'au cours des propos couleront les soupirs. Alors seulement, l'un après l'autre, surgiront les signes de détresse physique et morale qu'on n'avait pas vus d'abord ou pas voulu voir, les modifications et les altérations de l'attitude, des traits, de la voix, du geste, du regard, l'espèce de ralentissement général de tout l'être, ce je ne sais quoi de mystérieux, de contemplatif et de désabusé, de grave et d'ardent aussi qui s'observe chez tous ceux qu'a roués'et torturés la guerre. Des découvertes se feront de blessures cachées, de cicatrices voilées par le vêtement... Les sourires démasqueront le trou des dents tombées. La maigreur s'accentuera dans les habits flottants. Mais, au fur et à mesure aussi, grandiront la tendre pitié, le respect, l'amour, pour ceux qui ont traversé de si grands maux et qui reviennent de si loin! Ces derniers mettront eux-mêmes leur attention continuelle et touchante à s'excuser en quelque sorte d'être tombés dans les mains de l'ennemi, et de n'être pas morts, comme tant de camarades ! Et combien, cependant, ont pour cela fait plus qu'il n'en fallait, et tout ce qu'ils ont pu! Mais, hélas ! Même à la guerre n 'est pas tué qui veut. Il arrive qu'on n'ait pas de chance, et qu'on vive quand même! On doit donc avoir beaucoup d'égards pour ces chers et pauvres honteux qui ont si grand tort de l'être. Ils n'ont d'ailleurs la plupart qu'une idée fixe et qu'une envie: s'employer, être utile, servir encore. Tout délabrés qu'ils soient et beaucoup pour longtemps, ils se prétendent en état de travailler, de fournir un fameux effort. Beaucoup demeurent inconsolés de ne plus pouvoir reprendre les armes. Mais non, chers amis, ne vous désolez pas, et résignez-vous à vous laisser faire. Vous avez presque tous donné — un grand nombre avec votre sang — le maximum de vos moyens, vous avez pei-né, supporté d'interminables misères, et gardé, sans faiblir, l'espoir, la confiance, toute votre fermeté d'âme en un corps rompu, chancelant... Vous vous conserviez pour la patrie. Aujourd'hui vous n'avez plus qu'a vous soigner, à vous rétablir, à vous entraîner pour demain, pour les autres grandes batailles de la paix. N'ayez pas d'autre but. C'est là, sur ces terrains nouveaux, que vous aurez, instruits par l'amère expérience, à lutter, a prendre votre revanche en des combats difte-rents, âpres aussi, et difficiles. Jusque-là, et en attendant ,que vous soyez tout à fait délivres par la victoire, acceptez, comme juste compensation de votre martyre obscur, d'être dociles et sages ainsi que des enfants. Ecoutez vos mères, vos femmes, qui, après avoir, pour vous embrasser, fait le long voyage, yous disent : « C'est de moi, c'est de nous maintenant, que te voici le prisonnier. » Henri 'Lavedan.

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