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s.n. 1916, 22 Avril. L' illustration. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/nk3610wk6z/
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Un atelier de femmes dans une usine de guerre : vérification des obus. Phot. prise aux ateliers André Citroën, pour l'album, du sous-secrétariat des munitions. LES FEMMES DANS LES USINES DE GUERRE Une de nos féministes les plus qualifiées se montrait, il y a quelque temps, fort émue d'apprendre par une note empruntée aux journaux viennois que le commandement supérieur autrichien allait faire participer les femmes aux travaux de l'arrière : « Allons-nous donc, s'écriait-elle, nous laisser devancer par nos adversaires dans l'utilisation des femmes pour la défense nationale, comme sur tant d'autres points ? Cela serait d'autant plus regrettable que l'idée est française et vieille de plus d'un siècle. Sa marraine fut une femme plus connue pour sa beauté, son élégance et sa bonté que pour ses qualités intellectuelles, pourtant fort remarquables : la marquise de Fontenay qui, plus tard, devint Mme Tallien. » Nous n'oserions, certes, pas prétendre que la proposition du service obligatoire pour les femmes non mariées, proposition suggérée, en effet, dès le 5 floréal de l'an II, par Mme Tallien, ait chance, aujourd'hui, d'être prise en considération mieux qu'elle ne le fut jadis par la Convention qui, lui ayant accordé une « mention très honorable », l'avait renvoyée aux commissions d'instruction et de salut public, — ce qui, déjà, en ce temps-là, équivalait à un enterrement. L'accueil assez peu encourageant reçu par la délégation de dames en costumes militaires, qui vinrent se présenter au général Gallieni, alors ministre de la Guerre, ne laisse à cet égard que peu d'illusions. Et il est bien probable qu'on dissertera encore longtemps, sans prendre une décision pratique, sur ces graves problèmes : faut-il remettre aux femmes toutes les charges du service de s; nté ? peut-on les utiliser dans le service de l'Intendance ? Questions délicates !... Car, de toute évidence, l'introduction des femmes dans des organisations demeurées exclusivement militaires n'est pas une réforme qui peut s'improviser. Tout au moins, et dès à présent, serait-il injuste de nous reprocher- l'avance prise par nos adversaires « dans l'utilisation des femmes pour la défense nationale ». Il suffit, pour répondre à ce reproche, de connaître le nombre des ouvrières qui travaillent, à l'heure actuelle, dans nos usines de guerre. Le connaissez-vous, ce chiffre ? On peut vous dire, en tout cas, qu'au 1er janvier dernier il était déjà bien supérieur à 100.000 ; et, comme il augmente tous les jours, il sera, avant longtemps, — il est peut-être déjà égal au tiers de la totalité de la main-d'œuvre employée à la fabrication des munitions. * * * C'est sous la pression de la nécessité que la main-d'œuvre féminine s'est employée aux travaux de la guerre. A mesure que de nouvelles usines s'élevaient, que des machines plus nombreuses entraient en action, il devenait plus difficile de trouver les bras capables de les utiliser ou de les conduire. La main-d'œuvre civile laissée libre par la mobilisation avait été très vite épuisée ; et on ne pouvait pas, sans danger, distraire trop d'hommes de l'armée combattante. Fort heureusement, les femmes, qui, pourtant, n'étaient pas faites pour le travail de la grosse métallurgie, n'hésitèrent pas à venir prendre la place des hommes. Certes, la plupart de celles-là n'avaient pas attendu la guerre pour chercher du travail en dehors de leur ménage et gagner leur vie à l'atelier : mais c'était généralement à l'atelier de couture, de modes ou de tissage... Pour entrer dans l'atmosphère enfumée, alourdie des poussières des usines du fer, il leur fallait sacrifier leurs goûts, leurs habitudes et s'imposer des fatigues physiques qu'elles n'avaient pas encore connues. Elles se sont pliées à tout, avec un courage, un héroïsme qui leur venait sans nul doute de la conscience de contribuer par leur travail à la défense de leur mari, de leurs frères ; et ce sera leur façon à elles de collaborer à la grande victoire prochaine, vengeresse de tant de bons Français déjà couchés sur les plateaux lorrains ou dans les plaines du Nord !... Elles ont fait des prodiges d'adresse autant que d'endurance. • i Il faut aller visiter aux environs de Paris une des grandes usines où l'on fabrique à la fois des obus, des tracteurs automobiles et des moteurs d'aviation pour se rendre compte de la variété des travaux auxquels la femme a su, sans longue préparation, s'adapter. Les femmes sont partout : on les compte par milliers. Vous les trouvez, tout d'abord, employées à toutes les vérifications des pièces fabriquées, à toutes les opérations de contrôle si nombreuses et si délicates. Ces opérations paraissent relativement simples et commodes parce qu'elles sont facilitées, dans bien des cas, par des instruments très perfectionnés qui garantissent contre les erreurs de lecture au moyen de cadrans-comparateurs et de cadrans-amplificateurs. Mais il faut songer que l'attention qu'exigent les vérifications très minutieuses ne dispense pas d'un effort physique parfois considérable : ainsi peut-il passer dans les mains d'une de ces contrôleuses jusqu'à. 2.000 obus par jour ; or, comme chaque obus pèse ? kilos, cette « faible » femme a tout de même à la fin de sa rude journée manipulé 14 tonnes. Une paille !... * * * Il est d'autres travaux où, au premier coup d'œil, les femmes apparaissent mieux encore à leur place : ce sont ceux qu'exige la fabrication des différentes pièces de la fusée d'obus, —• petits mécanismes délicats dont certains sont si menus, si menus, qu'ils ne peuvent être maintenus sur la machine qu'au moyen de pinces métalliques... On risquerait de les perdre sous les doigts... L'exécution de ces pièces, dont quelques-unes exigent six opérations distinctes, a de grandes analogies avec les travaux d'horlogerie si délicatement minutieux... Là, vous verrez des opératrices dont tous les mouvements sont admirablement calculés ; et il le faut, pour qu'elles réussissent, au contact d'un volant qui tourne à 1.200 tours, à ne jamais, comme dit le contremaître, « se laisser moucher un doigt ». Plus loin, nous en trouvons d'autres, occupées à fondre les balles de shrapnels, puisant sans répit dans une bassine où le métal est maintenu en fusion à une température de 800 degrés ; d'autres « rodent » ces balles dans un tambour et les trient avant de les passer à des camarades, dont le travail consiste à les répartir uniformément dans le corps de l'obus, à les noyer dans la résine ou à les fixer sur des dés en bois qui garniront l'intérieur de l'ogive de chaque obus. Il n'est déjà plus permis à ces femmes de garder les soucis de coquetterie que nous avons pu observer dans la tenue, et l'arrangement des ouvrières occupées dans les premiers ateliers. Elles ont à se préserver de trop de souillures.Mais, tout de même, leur délicatesse féminine n'est pas encore mise à d'aussi rudes épreuves que celle de leurs compagnes qui ont accepté de conduire un tour. La conduite du tour exige non seulement que vous restiez debout pendant toute la durée du travail, mais elle vous contraint à recevoir les projections de l'huile et de l'eau qu'il est nécessaire de laisser couler sans arrêt sur le tranchant des outils. A la fin de la journée, ces malheureuses sont généralement trempées. Malgré la difficulté du travail sur le tour, les femmes se sont mises successivement à toutes les opérations nécessitées par la confection de l'obus : depuis des opérations purement automatiques jusqu'aux plus difficiles et aux plus compliquées. Vous les verrez procéder au tournage de la partie ogivale, au dressage du culot, au chariotage du corps de l'obus, au cylindrage avant traitement thermique, « à la rectification à la meule du guidage et du cône de forcement de la douille ». Dans quelques maisons, on a réussi à faire faire par des femmes la soudure autogène et à leur apprendre le maniement du burin pneumatique qui exige pourtant un développement de forces musculaires tout à fait exceptionnel. L'organisation d'équipes de nuit féminines avait fait hésiter beaucoup d'industriels. Pour les décider, il a fallu une nécessité absolue. Mais les résultats ont été tout à fait rassurants. Les femmes ont fait preuve d'une plus grande résistance que les hommes ; les défections ont été de moitié moindres que dans les équipes d'hommes.« C'est, nous disait un contremaître, que les femmes sont plus raisonnables. Elles rentrent se reposer, tandis que les hommes, à leur sortie de l'atelier, ont tendance à s'attarder au cabaret. » Le rendement moyen de la main-d'œuvre féminine est d'environ 80 % de la main-d'œuvre masculine. Et là encore n'est-ce pas une règle absolue, car il y a bien des travaux où le rendement de la femme est égal et même supérieur à celui de l'homme. Un chef d'atelier nous en donnait cette explication : « Il faut, pour certaines opérations délicates, de l'observation et de la Une jeune Parisienne travaillant à l'évidement du corps des projectiles. Cette photographie et celle de la î" page ont été prises aux ateliers Panhard et Levassor, pour l'album du sous-secrttariat des munitions. patience. Ce sont deux qualités que les femmes possèdent à un plus haut degré que les hommes. Elles ont plus de souplesse dans les gestes et elles n'ont pas de crispation nerveuse en face de la difficulté. Elles arrivent très vite à une symphonie de mouvements qui facilite singulièrement leur travail. » * * * Plus tard, l'histoire, en étudiant et en décrivant comment la France est parvenue à la victoire finale, fera une place, à côté de l'armée combattante à 1 armée industrielle et, en particulier, à ces femmes courageuses qui auront apporté toute leur énergie et sacrifie leurs goûts et leurs habitudes, leur coquetterie même la plupart sont jolies — aux besoins de la défense nationale. 380 — N° 3816 L'ILLUSTRATION 22 AVRIL 1916

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