La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1916, 16 Mars. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/xd0qr4qb2q/
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LA BELGIQUE fi,-...-.:: ^ £ PRIX DES ABONNEMENTS Un mois (mars) . £r. 2.3Q Les demandes d'abonnement sont reçue» EXCLUSIVEMENT aux guichets des bureaux de poste. ADMINISTRATION ET RÉDACTION SI, Montaffne-aux-Herbes-Potagrères, BFIZJ^ELiIjES • BUREAUX i DE 9 à 17 HEURES PRIX DES;Aîffii3NCES Jos. MORESSEE, Directeur i r Petites annonces . ..... la lign», fr. 0.40 Réclame avant les annonces . — 1-00 Corps du journal — 4.00 Faits divers ....... — 3.00 Nécrologie — 2.00 / ujourd'hui: SUC pa&@3. LA SUERRE 591® Jaun de guem Les Italiens ont entrepris but l'Isc Voffensive générale que la violence ci sainte ctu foui do leur artillerie faisait voir. O'dst la cinquième bataille sérieuse (S'engage sur 6e front* eiepuôs le 23 19i5, date cîe la déclaration eîe guerre 1*Italie à sa ci-devant aîfiée l'Autriche, première a eiî«-é sans inlenrop&ni itot thi 8 join au o juittet. EJle a été suivit pras par la eteaiîsième, qui s:est dléveicq du 13 an 36 juillet. Ivo frouit do l'Isi est ensuite resté calma jusqu'au 21 octo date à laquelle les Itô&ens ont entre dans le Kueteiiland une troisième offea qui eiara dix jours. Enfui, du 11' noveo au 5 ckicesttbre, les troupes du générai donna cMii^èrent oejatre les positions ai chiennes die furieux assauite, qui ne se : plus répétés depuis. Bïeo que préparées par de violents b bardements et poursaiî*iofl aveo vaille par die gros effectifs, les offensives nous venons de rappeler n'ont pas pour résultat do modifier sensiblement ligne d)e bataille dans la valiée do l lso? 'Une dOs raisons do l'insuccès des IteL .résilie sons doute dans la difficulté qui \a pour euix de s'assurer la supériorité Vart&tene puissante et le matériel guerre très complet do le>UT3 adversaires A cet ég'ard, il convient dO se rapjf que si depuis urne quiinlzaine d'années dustrie métallurgique a fait en Italie progrès sérioax et importants, son dléve pomeert toutefois a Otô et restera ton# entravé par le faiô qu'elle est tributaire l'étranger pour la totalité du cinss qu'elle consomme. Or, l'impor'tatfioo cnarfxrn — le pain de l'industrie — cteveirae extrêmement difficile depuis let trtît db la guerre. Par suite, les usinai lientiw, tant productrices que tran&.oi tri ces, ont été empêchées dO donner pfame meetore, si bien que l'Italie* ocfaçrter avoo les importations étrange forcément disponsSonso* es irrégulièreisi, acier, on munitions ce en matériel de t* sorte, pour faire} foce aux besoins l'armée. Oes beftçông auront ils pu, au. cours trois mois de répit que les belligérante sonit accordas, être assez largemonti s; faite ponr permettre aux Italiens d'attac dans do meilleures conditions les pcstëfci défoed'aes par le formidable matériel que grandies usines des puissances centrales^ rectement approvisionnées de charbon et minorai, fournissent sans rel£cko aux mâes ? Telle est la question à laquelle marche des opérations sua* i'Isonzo ne ,dera pas à donner une réponse. LES IVJATSÈRES PREHSIÊREÎ EN BELGIQUE Uno note du Foreign-Offics Le Foreign-Office do Londres a publié, ''El février, la lettre suivante adressée ] sir Edward Grey à M. Paul Ilymans, : nistre de Belgique à Londres : Mon cher monsieur le ministre* Au cours de ces derniers mois, v< m'avez à différentes reprises dépeint la tuation de F industrie dans ia partie die Belgique occupée par l'ennemi, et expesj necoïSftt» d'y importer des matières près res Si l'on veut préserver cette industrie La ruine, éviter le chômage et la mis générale. Je vous envoie ci-annexé un i maire qui expose lo véritable état de question. Je tiens à ajouter que les qu tions y traitées sont complètement indép dantes de l'importation de vivres en U gique par le Comité de secours, dont gouvernement royal favorisera le trav aussi longtemps qu'il, se trouvera sous i surveillance "adéquate complètement incfcép aanto du contrôle allemand, et qu il sj ci formera aux conditions qui lui ont été pr orites à diverses reprises par le gouver ment de S. M. Œ, GHEY.;: * Voici le texte du mémoire du JToren Nf Gff.ca : 1,nriiBip1fflrfltf'~'^ri i,1 — Nous apprenons que l'opinion est f répandue, en Belgique, que la détresse l'industrie berge esc due uniquement à décision prise par les gouvernements al] d'y empêcher l'importation. Otu y prête que oes agissements, qui ne causent pas dommage sensible à l'Allemagne, coin tuent, pour la population belge, notre ail' une perte particulièrement sensible. Le gouvernement roya'l n'a pas été j quHoi, comme on sait, en mesure -de s? as. for si, dans les circonstances actsedles, 1' Ôustrio belge pourrait travailler sacte que s travail soit d'une utiliDé considérable p* l'onnen», et capable d'entraîner uïu re& dans le rétablissement die 1 indépendance la Belgique. En revanche, le gouvernerai royal est essentiellement pénétré du dov< qu» s'imposa de secourir la populati bolge : o'eât pour ce moîif qu il a accoi s^n appui au Comité de secours pour (Belgique et qu'il a autorisé, sous cert«.b conditions, l'exportation hors do la BeLgi^j .c^!^a^ae3 marchandises. Cest pour motif également qu'il a d'claré, iii y aqu ques mois, qu'il était disposé à prendre considération certaines propositions lui s< mises en faveur de l'importation, par l'< (remise et 6ous la garantie du Comité secours, do m.'Ui'-res premièreg on IBelgiqi Les engagements h prendre à reb égn par les Allemands étaient simples. Us < vaientl autoriser l'importa (ion libr«, y l'eatrefiniee du Comité de secours, des n tièros prera&rcs et l'exportaiion des pi dnifs finis fabriquas à l'aide do cs9 n tières. Ils (levaient Rengager à respecter stocks do matières premières et de\ prxtu finis existant enooro dans lo pays, à point les saisir ou» les réquisitionner. Ils i vaienih, (D'une manière génilralô, traiter toi jfebŒîique approvisionnée par 1q Comité secours oomnie jouissant des m fini es privi-lèges eb des mêmes libertés qu'uni bureau do marchandises de ce Comité. Nous croyions quo, dans ces conditions, Pimporfcation suffirait à restreindre le chômage et) à libérer, tout aui moins eu grand'* partie, la population dtï besoin quâ c/?t in séparabloment lié à sa situation Eialhour | rouse. Ce projet a été soumis, il y a quatre mois, aux autorités allemandes à «Bruxelles par le Comité do secours. Les informations nzo que nous avons prises sur la marche de* ois- négociations- sont rostres sans résultats et. pré- jusqu'à présent, nous n'avons ro;u do.-AîVomands aucune espèce de réponse. Lr qui politique que les AllccnandS poursuivem Biai dans cette affaire n'a jamais été douteuse, d!e mais elle est devenue maintenant tout à fait La claire. Tandis qu'ils annoncent axa poupè* a&ie belge, chaque fois que s'en présente l'oosa s c'e sion, quo 1a ruine de ^industrie l"dgo esi due uniquement à la politique des Alliés tandis qu'ils font état des dispositions ov ils pré^ndent être do donner aux industriels nris belges la garantie qu'ils ne réqu'isitionneron site ^5 p0ur ]eiir3 fabriques les matières pie >bi'e mières importées du dehors, ils; sont dtoi-Ca- dés à ne se lier par aucune espace de con ;t£1" venfcion' favorable à l'industrie lielgo, avan i01ii î!e lui avoir pris- jusqu'à îa dermère ono» îo^ stocks de matières premières ou de pro diii-'s fabriqués qui peuvent leur Otre d'un< utilité quelconque, avant d'avoir fait naîlr< uno misère assess grande j>our forcer une ^ partie considérable de la main-d' couvre belgt à s'oxjxitrier en Allemagne ou à s'.enrC>!ei lz9' dans des exploitations lielges travaillant ,eil's sous contrôle allemand pour des buta allô e J manete. ^ Après quo ce dossdn aura été réalisé — . pour autant quo lo patriotisme et l'énergie ties fabricants et des ouvriers beiges per-metJteat qu'il le soit jamais — nous vorron, ^ sacs doute lies Allemands exprimer leur dé. sir de signer les accords nécessaires pcui >urs (iu0 P^yB> apr^s avoir été privé comblé. , tement de toutes ses ressources, soit de nouveau ravitaillé. En attendant qu'on en soit là,, il iroul ettre uJiïe d exposer cette politique allemande dans toute son éteudue. Quelques chiffre* itni- suffiront à en dômontrer le caractère évi raa- dent. Pour la seule période du dcuut doc Leur tobre jusqu'au 26 novembre, on a cons-att âfciï l'eqoorfeiHUon de Belgique en AKemagive, pai res, uno sosie voie, de 74,030 tonnes de charbon en 6,100 tonnes do phosphate, 101) tonnes* d( m te plomb, 1,350 tonnes de minorai, 3ô0 ton nef (fcj de poutrelles, 1,200 tonnes do guano et 1 A/ bonnes da briquettes, l'enviant te mois qu ■des, a iaaToÀika4.ccneuti précédé celte {période oui se été e-i>ortSes, par la nr-ime voie, de gran :tis- des quantités de ces mêmes articles et a au-uer très encore, notamment 840 tonnes de mi ans norai suifurettx, 1,^X) barils do tanin e. les dissolution, 350 tonnes d extrait do plomb, d$.- do* quantités do fer, do plomb, de caout cfla chouo et do copal. Il est notoire qu'au ar- moans la moitié elo la produc ion des- tissa La ges belges a été réquisitionnée. Récemment ^r- le commandant do la IVe armée, c^ai occiip< la Belgique, a publié un décret ordonnant, sous menace do punitions sévères, de. signa t 1er tous les stocks de coton ot interdisant à > l'avenir le travail du coton. La politique générale allemande ne peul être mieux illustrée que par l'assurance, donnée naguère par les Allemands à dea hommes d affaires notables belges, qu'ils reste pectoraient certains métaux, tels l'acier et le xir ouivro, nécessaires pour le maintien dt'uiu ni. des principales industries du pays, si la preuve était fournie que ces métaux avaient été iïnport.'s. La conclusion s'imposait clai-rement, à savoir que tous les stocks belges ms de oes articles seraient siisis. Toutes les si- matières premières1 nécessaires) à la îBelgi-que, Vhuile et les métaux, par e^empâe, sont surveillés par des organismes alle-!l^" mant?s dans l'intérêt allemand, ot ad ai qui ^e en demande ne peut en obtenir quo s'il se ito conforme au désir de l'ennemi. né- Telle est la situation. Lo gouvernement ^ royal a essayé do secourir l'industrie belge ea* en autorisant l'importation de matières pre-ai" mières do l'étranger, bien qu'il fût d'avis e^~ quo cette importation serait d'une utilité es-\c senti elle à l'ennemi, même moyennant les ali mesures do proleotâon proposées. On est en ne droit d'inférer du silence persistant des au» toritéa allemandes qu'elles ont refusé d'ap. m- [>rouver lo projet quo ltour a proposé Je ^ Comité de secours. I>cnir politique résolue ae" do provoquer, ^appauvrissement du pays pour pousser Les ouvriers à s'enrôler à leur service étant ainsi dévoilée, lo gouverne^-o-rï ment anglais tient à décliner, vis-à-vis du ° peuiplo belge, toute responsabilité d<?s maux que l'ennemi lui cause et. desquels il refuse ?rt ds' le préserver. La réponse allemande / UQ >| • EerliB, iJfoaS. ;ti- La .,Gakette de l'Allemagne du Nord" Se, écrit : — Il y a quelque temps, sir Edward Grey as- a envoyé à M. Paul Ilymans, iniuisie do >u- Belgique à Londres, une note du Foreign in>- Office concernant une importation de ma- ;on tières preanières eu B^giquo destinée à >ur canim'er l'industrie do ce paysj, note trans- trd formée, naturdlÎ0)menfc, en une accusation de contre l'Allemagne. D'après ce mémoire, les snt auteurs de la, ruine industrielle do la Bel- >ir gique sont, bien entendu, du côté al emand, on étant donné que l'Angleterre, jnalgré les dé graves raisons qui s'opposaient à sa dOci la aion, aurait autorisé» l'importation iiumédiato de tes matières premières en Belgique et l oxpor- uc tation commerciale hors de {Belgique à ce ,,certaines conditions". al- Pour qui connaît l'art apporté par les en Anglais à la rédaction do leurs mémoires, >uh la surprise tout d'abord aura été do oonsta- m- ter quo l'exposé du Foreign Office ne donne de pas Le texte des dites conditions, Or, nous te. sommes en mesure do communiquer 03 texte, rd qui porte la date : Londres 17 août 1915. le- „Le gouvernement anglais est dl'sfKisV à ar autoriser l'exportation de marchandises d'ori- ua- ?,ino heVje dans les pays neutres et alliés, o- \ condition quo les intéressés fassent la ia- trouve que leurs maiohandises sont d'ori- e>s îino belge et qu'ils déposent préalablement, its îans une banque du Royaumo-Uni, lo m*>n- ne tant du produit de la vente. A o,?t effet, îo- toutes les demandes d'autorisation d'expor- ite i-er devront être accompagnées : do a) D'un certificat d'origine délivré par r administration communale ou [provincial do la localité belge où est sise l'usine; b) D'un certificat, de dépôt délivré par 1 banque dans laquelle l'argent a été aepos à un compte bloqué ; la banque doit prendr : l'engagomexit que cette somme ne pourra -fti touchie avant la fin de l'occupation aV< mandei, sauf que le gouvernomant anglai l'autorise. Dans le cas où le paiement des marohar >lises aurait ét»3 fait en Belgique avant 1 31 juiïlob lOlô, la preuve devra oa ctre fait aveo pièces à l'appui. Le gouvernement anglais ne donnera ai oune» autorisation générale d exporter pou une usine dlAîigfiée ni pour uno spéciFicc tion do marchandises. Chaque auitorisatio1 d'exporter doit être demandée isolément." Tl faut ajouter encore à ces exigence celles quo voici : Nom et adresse do l'es péditeur, du elosbinataire, de la firme dJexp< dition néerlandaise, du port d^einbareiuemon: indication oxacte du contenu, do la marqu do fabrique et- do La valeur elo l'envoi. Pour tout homme ayant uno connaissanc quelconque des conditions de 1a vie ccant inique»* il est évident que de telles exigence rendaient impossible 1;importation do malii b rcs premières et F exportation de marchai ' dises si libéralement consent'e. Kâen qtie « dipôt du pi-oduit elo l'opération daoïs un > banque anglaise jusqu'à la fin do l'occapc » CiOn, devait entrajaar un épuisennqit rapiJ'O ( : incondâdonnol do l'industrie belge. Au lie 1 d'un échange de marchandises, il n'y ava: plus qu'une exportation sans contre-valeo 1 rentrant dans lo pa<ys.ll éty.tit invpo«si"wlcJ auj industriels de payer leurs ouvriers, de teiri lenirs usines en état, d'acheter des matière premières,, de disposer enfin de leurs moyer ' d'exploitation d;une manière commercial quelconque :/ dans ces conditions, après avoi > am-âliorô pondant quelque temps le bila commercial de l'Angleterre, ils n'auraiei plus eu qu'à se déclarer on faillite. Los autres exigences do l'Angleterre vis-s ' \ôs de L'industrie belge ne sont ni plus 1 moins que l'espionnage commercial érigé e ' système. Grâce à elles, l'Angleterre s'e apv rait complètement des relations commercé ' les et des méthodes belges quo, filète à 1 devise proclamée au début do la guerre, ell ne laisserait certes pas inutilisées. Ce} 5 encore était une condition impossîbSe, et qi démontre que chez les Alliés, quand il cj » question dfargent, toute amabîiiué o s e. 1 Malgré tout, l'admiuistratdon alloaiande é 1 Belgique, en complète concordance à c ' égard avec les admioistgations do l'Empin n'a pas cessé de faire effort pour aide ' l'industrie bolgo dans la mesure do es " moyens. Tout d'abord, <3le a acoTarô au industriels, dès lo mois d'août 1915, que l matières premières importées et les fabrical L destinés a l'exportation no seraient pas r< 1 quis?;tionn/s, mais en laissant aux int-éres sés lo soin de repousser les exigences in possibles do l'Angleterre. Depuis lors, les négociations vont cahi } caha et tout doucement. L'Angleterre a mot tré qu'eLlo était prete à étrangler l'industn belge, non pas d'un seul coup, mais lent* ment et petit à petit. Tout d'abord, cllo consenti au prélèvement, sur le produit; d ïa " venta, diu montant des salaires d'où vriers, puis du montant des frais d'exploi tation. DuKrpF3®9tarte#TaJ vente, el'o aadmi nuo"î5 p. c. d'abord pourraient rest:r eLm le pays, puis 5$ p. o., et enfin, dans le derniers temps, cotte tolérance a mîjïne ét ' port le, pour dos marchandises dont l'An gletori'o a un besoin u rgoat, à 80 p. 0. L'administration allemande s'en tient fer moment à dies conditions» qu'olte a le d^vo? d'imposer, non pas dans son propre intVt mais dans l'intérêt de l'industrie belge. Ce conditions sont : plein paiement ot pas d'es pionnago commercial I Elle attend l'acceptation do ces conditions qu'elle a posées depuis longtemps. Elle l'at tend d'autant plus qu'elio paie oomptar. toutes les réquisitions que la guerre <fcono mique anglaise a rendu nécessaires. Ains elle fait ce qu'elle j>eut pour remédier i l'appauvrissement : elle ne peut, en effet donner quo de «l'argent, les matières pro mières devant traverser le blocus anglais Quant à l'Angleterre, tant qu'el'o repris en tera comme un exemple do notre politique de brigandage rexportation du charlioi l-elge que nous favorisons dans la mesur< du possible, au Heu do reconnaître que nouf procurons par là des moyens eî'ovistonce : 100,000 ouvriers dans les exploitations el< 'eur paya, tant que la haine troublera à ci point ses conceptions, il est imjx)ssiblo d'en-courager les Belges et leur industrie à fort (1er un grand _ espoir en leurs frères et ni liés les Anglais." DAMS LES BALKANS ^c^ra^ 14 mars : Le ministre d'Autiriche-IIongria fi. Sof:i a invité, au nom des Parlements au'iridnieu et hongrois, le Parlemonti bulgare à so ren dre à Vienne et à Budapest. Le ptréeid'en flo la Sobranlié a accepté cette i>ivitat)ion, e une nombreuse délégation de la Chambre bulgare &o rendra, après la clôture dfô h Session — probablement en avrii r—^ i Vienne et à Budajjest. ; Bucarest, 14 mar.f( : Au cours d!e La réunion qu'fs ont tonne hier, les membires du Parti conservateui rouimain ont exposé 'leur mamèi'o dte voii au sujet de la p.oli'liquo étrangère elo la Eoumanio. M. Margfcil'oman, chef du parti, a faii ressortir quo *es mesures militaires piisek aux frontières ne seront conformes! aux décisions du Conseil die la Couronne qu< si elles sont dirigées contre tous Los voisins do la Roumanie et n'on pas seuitemeni fiomkro deux d'entre eux ; il a ajouté qu< la politique des fédiénalistes est absurde, l>arco qu'elle no t'eniaifc pas comgiia drs cir-Constances réelles. La politique roumaine no dioit) pis êtro basée sur uno îononcia tion oomip'liHe à la Bessarabie. M. Arion, ancien ministre et chef des disputés conservateurs qui siT'ganC à la Çhambro, a complété l'exposé dè M. Mar gliiloiman en faisane ressortir quo, sans entrer dians la guerre, la Roumanie no sau mit réaliser f'tdéal national qu'elle peul alteindi'o et qu'elle a à poursuivre à l'embouchure du Danubo s iBucaresû, 14 mars : L© parti libérai s'est réuni hier à Oam \ pina. Tons les orateurs ont apprevuvé h poîitnqstc du (jabinct Bratiianu, qui, a di e, l'un; d^'oaff, a préservé Je pays d'une esata. 'Q strophe. ^ Paris, 14 mars : Les journaux partaient apprennenC qn'i r'ost produit à Athènes un1 incident an^lo q grec. Il a été caAisé par l'arrestation i Atàctocs d'un manbro de la légation an. glaise. I^a légation a adressé uno protesta _ aoa au gouivernement grec. r Bucarest, 15 mars : A I/jjEcho des Balîïans^' apprend çfAtihè ^ oes qtue 'les fiançailles d'un meinfbre die h maison royale grecque avec une princessi s do la maison royale roumaine sont immi - nentes. y Pans, 15 mai-s ; 0 On mande d'Athènes au „Ma'linr" qu« pour combler les vides produits par 1< renvoi dans leur foyer dses anciennes clas 0 ses, le gouvernement grec a décidé do rap ^ peler trois nouvelles classes, ainsi que le: 9 hommes de la classe de -1809 qui n'ont paj ^ servi. SUR MER ^ New-York, 14 mars : 11 Les journaux américains publient le télé- 1 gramme suivant, envoyé de Shangài à r l'„Associated Press", eu date du 19 favr cr: f — Le vapeur américain ,, China", parti iiiej r pour San Franosco, a été arrêté en haute 3 mer par un croiseur auxiliaire britannique : s SS Allemands qui étaient à bord ont tti 2 arrêï'-s et emmenés par le croisour. Celui c r parait Otre le ,,Haurentig", qui a arretv u récemment le „Tenyo Maru" se rendant ù 1 Manille et ayant à bord 9 Hindous. Au su jsîti do cotte dépsche,- l'Associa toc 1-; Press apprend de Washington : ii — Le département de la presse a été avisi n do L'irxident du ,,China" et protestera pro ■- babiement à Londres. Ives fonctionnaire^, d- i- la China Mail Steamship Cy ont déclar I qu'ils avaient protesté télégraphiquemen e r.après du département de l'Etat à Washing a ton contre l'arrestation de leurs passager II allemands1, réclamé l'intervention d'urge.-O >t iîu gouvernement américain. n Londres, 14 mars : ;t ÎjO ,,Daily News" annoncé quo lo oha * lutier ang^Lais „Iris" a tou'/ié uno miin ^ ôt a ooulé dans la mor du Nord. s «Genève, 15 mars : s ^ Le vapSir italien „*BveLmé", qui 0:1 ren s âfuA dû C^erboua-g cm Italie, a ooulé ,s L'équipage a pu quitter le navire. Paris, 15 mais : 1- D'après le ,,Temps", lo capitaine de „Kelbridge", vapeur anglais torpillé, aurai R déclaré quo le môme, sous-marin alleiuauc , par qui il fat altaqué, couLa, le voilier ita q lien ,,Elisa" et un seo-j-nd va^ur anglais. : mmws pivEitses ,$Slice, 14 mars : s ls agence Havas annonce que M. Dqvi 5 .g-non, ancien ministre belge des affai't» s étrangières, vient eie mourir à la suit, à d'une con^iasiiion cérébrale. Vienne, :14 mars * A la suite do l'étlat do guerre qui Gxi^c r entre l'Empire ailomaud et le Portugal", 1« . ministre d^Autri'cho-liongTie à "Lisbonne s ; été prié par son gouvernement d!e dbman> . (ksr s?s passeports erf. de quitter Lo payi avec le personnel de ta légation. En' mC-nie t^inps, le ministre du Portugal à Vietmie | recevra également ses passeports. * t m , * * Toulouse, lil mars : I Le correspondant parisien' eTo la „Dé-L ' pêche do Toulouse" commente lo voyage on Europe du colonel américain Ilouse. Il [ estime quo 51. Wilson l'avait envoyé pour qu' il se renseignât exactement sur i'itat elo ' l'opinioni publique («ans les pays quli soirt J en guerre et sur les conditions auxquelles la pix pourrait être ccaiciuo. Lo cojres-' ponâaii<i est d'avis quo le colonel Ilouse est persuadé qu'il faudra encore bien du S tooip3 pour quie des négociations elo paix 7 paissent être engagées, ot il ajoute : — Q'e»3D die cotte impression déeourav-gea-nte que lo colonel Ilouse fera part au présidfcnit Wiison. Elle ne contribuera pas t a éelairoir la situation difficile et troublée dans la<iuollo se détot la dii>lomatie, qui teunio en réalité aujourd'hud d!ans un cercle vicieux : la prolongation de la guerre 18 péuîfc, en effef, quo rencTre plus dlures les cond'iti'ons de paix, et plus elles seront dnres, plus s'éloigne l'heure où il sera, possiiblo do les discuter. Sans doute, la , g narre pontt aussi se termmer par l'anéan-tîssemont (SéÊiuitJif et complet d'un d'es nd!-veisaiires ; toutefois, les événomoaits nous , prouvent q?io celte ]>ossibilité est encore si . éloignée et' si incertaine qu'il vaut mieux ne pas en tenir compte. t * * » Cobourg, 14 murs : La duchesse Mario fait démentir, la nouvelle quo sa fide, la reine de Roumanie, serait sérieusement malade. Il y a queilques : .semaines, la reine de Roumanie a ébé in-■ disposée, mais elle est e^omplètement rétablis à l'heure actuelle. « « 4» Paris, 14 mars : < I/„Echqi de Paris" se plaint ete ce que ; les Allemands se servent mieux elo la télégraphie sans fil quo les Français ;poiir î envoyer djes nouvelles aux poys neutres. C'ost ainsi quo les communiqués oCf-ciele 1 allemande arrivent aux Etat»-U'nis eHouze heures avant les communiqués officiels franr çais. * * • Paris, 14 mars : Appuyé par M. Charles Iluimlert, M. Clemenceau a déclaré au Sénat que le gouver-1 nOaienft avait lo devoir d'e faire savoir offj-cieflienient à la population française qu'en prfeeuoe elle l'im.p'étuosi'Jô do l'attaque aRô-mandiei, Verdun finira par devoir ^tre abrin? . domuxï* Une pareille déclaration srimpc®â, ; t'hôro'quo armée de France no pouvant pas môme ùfcro o££le*iréo par l'oiaibxo d'un re rrciriie. ; COMMUNIQUES OFFICIELS ï ————■—■—— -— Commiiniqués aHsmands h„^,^ion> d? DU,fe .P-"6''1"® er°T ^ j bomixirooment çt cinq de nos avions Ituno- ^ ,r „ r ce- • . -a» . teurs ont Lvncé quarante-deux obus do giu* ! 33erto, _ l5 mars. - Officiel de ce midi : ^ [a ^ ^ ^ - 'i'iiùâ'tro de la guerre à l'Ouest. De très nombreux comimls aénoos uni , Près de Nonve-Chapelle, nous avons fait été livrés aujourd'hui dans la région d( . sauter un ouvrage anglais avancé aveo ses Verdun. Trois avions ennemis ont été vus . défenseurs. L/artillerie anglaise a bombardé nettement/ abattus par nous dans les iignet- intensivement la vi 1c do Lens. ennemies. Un de nos avions, attaqué °pa- Larfcfjtferie française a-est montrée très quatre appareils ennemis, à l'est de Lure. active contre notre nouvelle position près a engagé le com'rval et a réussi à abattre un ' de Y'ilte-aux-lBois et contre différents soc- de sas adversaires, qui est tombé dans 1 » tours en Champagne. région do Sennheim. Notre avion est xyntr- 5 Sun- la rive gauche de la Meuse, des trou- indemne dans aos liguas. ' pes sllésicnnes ont, avec un élan énergique, s» porté on avant leur ligne de front depuis T a „ *" * . la région à l'ouest du bois eLes Corbraux -Londres, 13 mars. ■ Officiel élu grau'i jusque sur la croupe du Mort-L»>nyne. 25 PUSr l°î a britannique : officiers çt p-çs . U© 1,000 soldats eimomœ ^omtordeinenl «ftioaoe d'à chemin Ou te . non "blessés ont été faits prisonniers. Quatre ^*<>Armcutieros. contro-atta^acs^cwrséctftiv es nont'~valu aux iiot*gK;t vive action de Parlai . Français auaun succès, et leur ont causé n°* , , . , T , des pertes sensibles. Dans la ré^on do Loos, granoe aotavit Sua- La rive droite do la Meuse et sur les ( nt iOLS aiiParclis altenKvnds versants est des Côtes Eôlraiuœ, lo due: ont élé dBSOe™s- dos doux ariditeries so poursuit aveo achar- • * • ncmojit. P^trofrraa, 03 mars. — Officiel du grai,., Dans^ les Vosges et au sud do là., les état-major général : Fiançais ont tenté plusioui» petitea .%ta- Sur lo fro«t do Higa, fusitlado halitacU;- quai d'à roconnaissanoos, qui ont été re- et aotirité des éclaireurs. 0!ce aiitonioUlf poussées. blhiîêe allcanaudo qui essayait die ûrnr su; Au uord da Bapaumo, la liqatenant I.ef- nos tranchées a été forcée à ht rolrait. . fera a abattu son quatrième avion ennemi, par notre artillerie. i un hrplààï anglais. ï/endiuit que nous eanonnioii© la i*<Wo.r. Notro orKterie spéciale a descendu doux' d'Uxfcril, nous avons observé 4, (u?.j0 avions franjaia, l'un près de V>my (au sions dlit<3-mmées par nos i>rojectiles dkn- nord-œt d'Arras) ot l'auire près de Sivry les batteries ennemies ot dans des 1 sur las bords da la Meuse, au nord-esi, de qui tentaient d'apurocher da vilhige do Bar Verdun). Uowite. On grand avion do combat fra-rijais est Da:va Ie scctcur de jakol>stad*, les AHe- tomto a la suite d un combat a-rien livré maiïct» ont brsnbardé les enr. irons die L> au-dessus do Ilaumont, nu nord de Ver- gare do Neuv-Solbui-g, à proximité de Daa- j dun. Ijos ocoupan'is do ce dormor sont pri- uenfcl'i. _ sonniers, ceux des autres sont morts. 8ar îo front de DWiaslt, violent) toit d'ar j Théâtres do la guerra à l'iîfit tilloric, ainsi que fusiSladts et jats d' j et dans los Balkans. bombes. t La situation n'a pas changé. Galîoio, diiais la région au siKÎ-es; » 00 Kolki et sur la Strypa moyenne, il v » Vienne, 15 mars. — Officiel d'hier » f" Pl.u'siou,I's ™ncoiitres eutio patrouilles^ : 1 • leur issue nous a été favorable. Au' oosirs Fronts r.us«u et du Sud-Est, 1 de eos rencontros, nous avons fait, prison- Iliien do nouveau. nier un poste ennemi tout entier : il, était Front italien composé de trente hommes. î Do, grands combats commencent à se des- sinOr sur le front do 1 Isenzo. Depuis hier, Dépêches Diverses les Italiens attaquent avec des e- i'ec if s im- ■ portants; partout ils ont été repousses. i „ 1K „ • I'ris do 1a t. te de p*it de Tolmeiu, lac Wa^ngton, 16 mars : • Kvitâ de l'ennemi s'est réduite à une ca- Jf^fl"UU,r8 a 4,tlJ a 1 mtanum.o m .1.,:. noninado dos plus vive. , "51e airtoi-is-uit le w. Dans 1e sapeur de Plava, il a tenté eu flJuu à reguliere a llW.tA*, vain do démolir nos obstacles. onu es. ^ . Près do la tête de pont de Gôrz, nous paris ,5 .♦ * avons repoussé doux attaques dirigées cjn- A r" ,r ^ . tra la pcs.tion de Podgora et une aUre , At L frajçawe, M. Deschanel a contre la reioute du pont de JUtChiieo. rit ^ 2? La parti, nord du plateau do Doberdo a ^ ,*Smu0 ^ été attaquée, à différentes reprises, par des * * forces considérables. * * Près do San Martino, lo régiment d'infan- Amsterdam, 15 mars : torie n° 4G (de Szegodiu) a repoussé sept journaux annoncent que te 18 jnaïc assauts consécutifs, faisant subir un San- «a service, po-stal ensro la Hollande oS L Ajs- glant échLC à l'onnemi. glotearo seia assure par les puquetots « bociete ZceJ;uid. Les eifcparrs do Fle6- 3 n r.t I- 1 ,-* * r\p- ■ 7 siuiguo auront lieu lo lundi, io inorcrolL le Constentmoplo^ lo mars. -- OfUciel du vendredi et le stunedi. Les navSs mrli- quartier génr.ral . wot d1'Angleterre le dimanche, lo martiS. Des 11 et 12 mars, deux crmseurs ont, la jeudi et te à dos heures difierentos lauce quelques obus ^ tratic pbstel pour l'Angleterre dk, la sur les oavirous de l«&é-Burntt, apre»' quoi ligne Ijatavier sera suspe-ndu le 1G mata. ils so sont éloignés. » Trois avions, qui survolaient la près- Amsterdam. 14 nTars*: quile do Gallipoli, ont ete châssis par le Lo procureur général près le tribunal tir c,e nos canon». d'Amisterdnin a demandé, dans ses eoiKslu- Des autres fronts, rien de notab.e. sions, quo M. Scl,roeder, rédacteur du ,,'l.V legraaf'% soifc condamné à uu an do pr.son f* i r «a* » |>our avoir violé la neutralité hollandaise. Communiques des années ailiees * * « ■ t» • . i < . , -i Londres, 14 mars : Paris, 14, inars. - Ofaojél do lo heures -. ^ t)Moriling VasX„ appread do Wilg. («■SSièr Mou^îi i.i canonnade a ouo Jo dôpanameut de la gnwrr, été obsaa viofëiito au cours co la, nuit. Sur pr6uJ f,ris au la anmgBe contiv la m; feao, m Ioç^wb^smco de los bandes maxicaii.es. L'effemf dfea tuw-lô-Bë« a-llaut»-,^ a efe ,p6S cgpécaionMliws est gardé scoret. 0, S"? 1103 tas. dé. torrage- ^ supposo qu>,;1 °no sxa )as d, ipST®o ;t, a coiHonne violent, sur la région moills io S)O00 homlncs. Des ^5» de da \ aux-lJaniloiip. .. . vront, en outre, être tenues prêi.es aiu En W'oovre, 1 aotaon oes <-»ux artiUerics ^oinits stratégiques de la fiv>ntièro, Mua a été vivo dans lo secteur d Eix. servir do renforts le cas échéant et p<iur Aucun ovenoment a signaler au bois Lo IirodlIiro uno forte impression aussi hier Irotre. . sur les partisans du général Catraza que Un detaohoment) ennemi qui voulait tan- 6ur ^ do viUa ^ géntol Flinstonc tar un coup do mxm eontro nos tranche» disposera do 25,000 hommes bien exerois, de la Croix-des-Larmes a o.o accueilli par u cmtasvond.MA du „Ti'uWà Was- notre fuaulide et) a laissé quelques morts ilingt<î]l annonco ql?c rtoprearion grandi: sur lo turram.. - quo les Etats-Unis pourraient très bien être ÎMait tiranquillG survie restant du front. outralînés, par cette cspédkiion contre te gé- • * ♦ néral Villa, dans uno guerre dO grande Paris, 14 mars. — Officiel elo 23 heures : envergure avec le Mexique. Au nord ele l'Aisne, l'ennemi a essayé « * * trois 4Vls elo ' pénétrer dans nos tranchées Ix^n^rca, 14 mars r ' à la lisière nord-ouest du b^s d^s liuttes". "département do la guerre a reçu unk V Aucuin die ces esssais n a rei^- i? - J^jcIio du général Avjjncr, élisant qu^iL y\ F En Argonno, notre -art^ïlerio a exécuté fa, peu elo chances d'arriver ;us<ju'aii camp \ dos tirs efficaces dans le secteur dtat Four-. ' <îa général Townsend à Kut-el-Aanara. i | de-Paris,. ç>ù tin^ dépôt! do munitions "a'I" Lô dernier" aviateur revenu do reconnais- Jf' sauté en.,l'air, ahisi que contre lqs voies| sanca a annoncé que les troupes souffrent JW île chemin do fer, les routes et les installa-) do beaucoup do privatlons, mais sont déoi- •" j «• tions ennemies elo la région de Monfaucon- dées 'à se défendre avec leur commandant j |< Avocourt. jusqu'à la doj-nièro extrémité. A 1 ou-ojî) do la MouêQ, lo bombardetmeint Le généïvil Towusendi fai,t savoir que, r £ ; à obus d3 gros calibre a redoublé de vio- dans peu de ses nain es, il devra ou bien él lenco suit nos iposititms"* Tîethincourt à tenter do se frayer un chemin ou b&en se ï~ Cuniiprçs. Dans l'après-midi, Venue®! a dé_ rendre. Lo général Ayhncr a réponcKn qu'il! t K. clahohé une très forteai.taq.uo vsutr oe.sacteur. serait vain do vouloir forcer les lignes de»^^ ^ 'topoiissé sur co front avec dK?s per.es> sô- 1 assiégeants. Il n'y a pïns quo peu d(o mu| J lieuses', il a pris pied souloment en doux nitions, elo sorte quo l'on doit en être erf • /v points el>3 nos tranchées entre Béthincourt et cessivement économe ; les approvisionna La Mort-iïomma. mo.ic^ an vivres sont épuisés. La niedul xfv ^ A l'e-'b d.3 la Meuse et en Woëvre, lfap- ides chevaux sont déjà abattus, en partie 11 tiïlerie a été très activé de part et d'aurre. \ause dit manque do fourrages, en paijKfc Pas d'action d'infanterie. Au nord de Saint- pour servir do nourriture aux soldats, j Mihiel, nos batteries ont) bombardi dimpor- * * * tants baraquements enneanis dans le b>is Londres, 14 mars : d'IIeudicourt ot ont provoqué un grandi in- RI. Asquîtb, président du Conseil des ms- cerKÎïo'dïttfS'~Ta ga»3 et les entrepôts do La- nistres, souffre d'un catarrhe dV>ss bnonchcs marche on Woëvre. et ne poui'ra assister aujoutrdi'hud à la En Lorraine,nous avons canonné une Co- séance de la Chambre des communes. lonne ennemie au nord-est dtï Belire. * * • Dans les Venges, grande " activité des Oopenhague, 14 mars : doux ârtîflterios d<ins le secteur do la Cha- Les . Anglais ont saisi une importante pelotte et dans la vallée de la. Thur. Drs cargaison de sarrasin destinée au Dane- ooupj do, inain sur les tranchées ennemies mark. do Slossweier et de Karspach nous ont per- mis de faire uno soixantaine do prisonniers Itome, 14 mars t et do prendre un matériel assez important L& Chambre a discuté aujourd'hui sans aucune perte de notre part. ' politique économique du gouvernement. Lcb Jeudi 16 Mars 1916 A B"'C ^Qurnâï, QUOTIDIEN « Le KTuméro : 10 Cantimes{ 2™* Année. — N* 484 , Pi»— Il II Il I .1 II—Il I II II .1 III mu.,II.. 1 !».»«■ —'I—B

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Cet article est une édition du titre La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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