La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1916, 19 Mars. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Accès à 23 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/j678s4m61w/
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Dimanche 19 Mars 1916 <TOUBHAL QUOTIDIEN — z.e JVumëro : lO Centimes 2m* Année. - • M* 48t . .1—1* LA BELGIQUE PRIX DES ABONNEMENTS 3 mois fairri!, maî, ï'.iin), fr. 6.90 | 2 mais (avril, mai), fr. 4.83 J I mais (ctfî?), îr, 2.30 L«s demandes d'abonnement sont raçu»f EXCLUSIVEMENT ■ux guichets des bureaux de poste. ADMINISTRATION ET RÉDACTION 31, ZËontaffne-a.v.ic-JIerbes-F'otag'àres, HHï7~%"ïïXjZj133 BUREAUX : DE 3 4 17 HEURES Jcs. IMORESSÉE, Directeur ' Petites annonces » ; . . . . la ligne, fr. 0.-40 Réclame avant les annonces . — 100 PRIX DES ANNONCES Corps du journal — 4.00 Faits divers ....... — 3.00 Nécrologie ....... . — 2.00 aux guichets des Aujourd'hui : UJJÎT pages. — ,] LA GUERRE —— | 694* Jous* de guer?a Depuis l'attaqua allemande dirigée le 1-t sur la Mortr-iiomme au suti-est de USetnin-oourt, las hostilités sa bornent dans la. région <te Verdun à quelques combats locaux (jj envergure restreinte. Certains sapjb «31'a vis qiw cette accalmie marque la lin cl» la ba-taille anaioiar «.Le la forteresse; d'auéfcs, on revanche, sont persusadîés qu'il ne s'agit que d'ou- axi£i momsantoné d'opérations dec^-, ; dnées à pre&dro un grorjd déveioj>p€2n}axit.jj iîii réphîé, la preeaioai exercée par les] < ■ AIIôhombIs ûot Ccuijcfi^râ forte et opfcftjSitre. Elle kwr permet de s*a maintenir, la forS ùq Vaunc aïs à port, à la limite etxfcrôme où las 'o&i conduits leurs ateaques. 'Pour ie3 contenir, les Français saut obligés à • un effort continu et qui devient plus péiiiWe quio le rocui subi par leurs posons contournant Verdun, en rend la défasse plu» «iiXicile. , En toeâ cas; les organes de la presse «Tria^aisa, interprètes de l'opinion des priu-qprax epicles politiques et milifcaares, no eo méprennent p^is »ur la gravité do la tftîruïïSrua créée sur la, Meuse. Ils demandant aux autorités de ne ivégli^Tsr a>uctsi-e des mesures oaprv&es <3Ty faire face. Errvi-sag'aasit même 1 evantetttstô d'uné évacua-lion db secteur de Verdun. M. GissUave Hervé demande dans son journal „La Victoire'' si les autorisés militaires disposent du nombre de ponts suffisant pour assurer la nefcraita éventuelle des troupes françaises qui opèrent dans ce secteur sur la» rive droite de la Meuse ; il s'inquiète aussi dfe savoir si ces troupes trouveraient sur l'autre rive les positions toutes prûUs eft bien coadiion-nées j il s%naie enfin la nécessité die d£-raVo-ppcir autant qu'il osn» possible le rçseau * ferré à l'ouest de Verdun. Oaux que la moindre note pessimiste exaspère se moqueront sans doute die la prudence témoignée par M. lîervé. Et cependant, n'a-1-il pis cent fois raison do préférer même ma excès de pnécautiom à une insouciance toujours coupable da^s les GÎrcL/nst&soes acUioLles 1 Une antre préoccupation des milieux dirigeants Francis'* rëëso rt "«Je la lecture dît» a-r-iicic;3 récemment publiés, dans la ,,Joojrnal" Jj&x M. le »%jateur Huamberfs, et dlans 1;;,Homme Enmaîné" par M. Clemencaïu. Manifestement, ces articles visent à obtenir des^jàliiés^leL Ja France, un concours-- plus jûètif, principalement de l'Âng:'e erro. Nous av<j?is -publié hirr un ex&ruit de l'article dans lequel M, Clemenceau, répondant au colonel liepingion — celui-ci ayant foi? observer que les prAparat'ifs des réserves anglaises ne sont pas terminés! — dit» qu'il est des moments critiques où il n'est plus possible d'attendre- pour passer à l'action. Nous voulons reproduire aujourd'hui textuellement un passage d'un ar'.ile dans lequel M. le sénateur Humbert defenâ la mcuie thèse : — L<* France, écrit M. Humbert, a fait, depuis le début do l'affreuse crise, des sa-ciil":o03 terribles, supérieurs môme à ceux tlj u importe lequel de ses allies. Elle continue. i'63 fee premier choc, elle avait teudu 6e« forces à l'extrême. Elle va plus loiu encore, dans un eriraordinaire smsaub d'énergie. L'exemple qu'elle donne est sublime. Il faut, d*-s maintm^r-t}, qu'elle pafese compter complètement sur les concours aune-quels elle a droit pour ménager ses réserves â'iiommes. l>«>i i'iîdaiinistration militaire s'est ap-pliluce à substituer, partout où c^la parafe-sait possible, dos reformés et dc3 femmes ftux ouvriers laissés ou renvoyés dans usiaoa. L'agriculture, le commerce, 1 indus-trie n'obtieoneufi qu'avec la plus grande dif-ficulïé, même pour des auxiri. iies dos vi-.ii-les classes, des sursis d'appel de courte durée. Et voici qu'une note officielle annonce qu'une partie de la classe IS88 sera j>ro-ehaiîiiement mise à oontribuiion pour rem-placea certains, hommes du service arma employés eomme mancauvres à la fabrication dos munitions. &MS deat-j, la paya acooptsra sans m-ar. ??!w les mesures qu'exigera lo s:;la> an la. l ai,ta. Ma;S n'en eit-il point â'autii» i œivis.^ar avaflt cehss-l.i î Noa aUiés ont « amp.es ressources en liomaies, qu'ils ne MrTOjsiaer.t ntîiaa pas encore à utiliser. Est» il UKÈ$$«o**ie qorjjg aient eux-mêmes arnica trt âquipc-a pour nous en atiâurer le ooncouïs î Et tiiidja que nous allons appauvrir en-co.i-0 moyens si r^uiLs conservés par la nation pour assurer sou existent f.oonouii-quo et financière, les Allemand*, eus rap-peUent à l'arrièro dos ouvriers, d^j' ooin-merçants, des agriculteurs. Ainsi que le_ Uisiiit un neutre, dont lo «Journal" publiait récemment les observations, ils o-at compris tes nâceaii^s d'une guerre longue. Et i!a renvoient de l'araaô» non pas seuiteœeiit lts tecimieiaus néoeasairen jurx reduMriœ miL-taires, al,-;is œioare les commis Hkaapeassfclcs à ia T;0 ^ iij%tjxea et, qui plus est, la. préparation dea luttes «coaoan^uea du lemîcenain de la guerre. Songeons ui; pou, uoas aussi, à cet avenir. Sans uouto, lo soidat de France est in-coiniB.ralMs. Mais c'est lia trésor pi\'cieuK qu il faut ménager. Nos alliés lioivêut av employer." J C est viszbÎGment a^is AngLa-ia quo les grands organes do la presse française ' s'adroareat pour les (Keider à entier plus ' ràsolumcnt dans la fauaflio. On ne peut ' s en «tonner. Propcrtionn^aanenS, les sacrifices en hommes consoatis par l'Angleterre depuis lo début <fe la guerre europiosme >ie ; supportent pas la comparaison avec ceux < qu-a subis la France. I/Attgleterro est eCe yrname-i't biflunnxïôe par d:<s l>Tâoconpnt.icms < égo>'«te eu agissant ainsi î M>up ne ses», mes pas à mémo cto le di^aeirtar, mais iî eet ' tout natutrel quje Ja Iqnteair avec lamelle I »ua iats eiï ligne k» forfcs ^serves d»u« ' V bureaux de poste. £Île a depuis longtemps proclamé la forma-tioa provoque d>es q<*mmentaires et fait» naître des discussions qui semblent être à 1a veille do prendre le caractère die réenmi-natacuis.» * * Lea attaques ctes Italiens ont eess5 sur llsontzo, les belligérants ji'ont rien, entrepris de sérieux sur le front russe, les hostilités ne sont pas encore engagées dans le secteur de Yalona, et le calme le plus complet règne toujours autour de Salomiique. Cela nous laisse le loisir de dire un mot de la situation: au Caucase et en Perse. Ce n'est pas que depuis huit; jours les communiqués très laconiques do Pétrograd et. de Çonstantinopto nous aient apporté l'annonce de fais nouveaux intéressant ces régions. Apparemment, on peut (tore que ila situation n'y a plus guère changé. Mais feous peine de nous accuser de vouloir.d:s-isimuler la vérité, usa groupe de lectairs, mis en appétit par des communiqués „cénfi-dentiuis", voudrait nous voir écrire que l'av&ûoa. des Russes dans la dlirecition de Trébi&onde, le long do la rive méri-Jicu&le f?e la mer Neîre, ainsi que leuXs progr^^s à l'ouest d:Hrzeroum» mefeient Consuam.'jiiiojle en dangsr; que leur apparition au sud!-ouest du fcic du Van, à <Bitiis, menace dès à présent les communications de l'arméo turque <io Mésopotamie; que d'aiilcora îa défaite de botte dernière est certaine, maintenant qu'à la suite &3 l'occupation de la ville persane ! pie Kerind, à l'ouest de Kermandshah, la phute 3e" Bagdad n'est plus qu'une question Çde jours ! Nous regrettons de ne pouvoir faire nôtres des appréciations d'une fantaisie aussi écho- ' velée. Pouvons-nous, en effct, parler d'une ; raecojce pour Constaniinople alors que pins de 900 kilomètres séparent de la capitale de l'empcra ottoman les points où les Eusses ont été signalés dans l'est de l'Asie Mineureî Pcrivoais-nous oublier qip?, pour arriver de Bîdjs, par exemple, à Nx^gibin, où l'on pont supposer que pusse 1a ligne dia c^nmœêica- f | tion turqae, les Russes ont 200 kilomètres à franchir à fcravei-s un pays hornssé d-'ol>sfcacles ? Pect-on, enffcr, soutenir sériçu-«emanit qu'il faut s'altendire dfutn jour à Païuifcre à la chnte de (Bagdad, alors qr.o la ville des Khalifes est distante de 2lia kilomètres <ïo Kerimd, le point extiAne cal les Ruîssessi se sont avancés en Perse ? Certo>, personne r.e songe à nier que La prise (FEr^eroiim efc le recud, qm s'en» est suivi, (Ja frojTt' «arro dans lo Qîiuaase, om coâist!m& ponsr 'les Eurscs un) séyieBHC avao-t-i^e. N-ous l'avons, pour notre part, roconjsu ■'-ma le V-m.^ article quo nous avens consacré lo, 30 fAvrior\a\Ex événements qui venaient de se d-roul^r dans la région à'Erzcroum, et non» arons depuis lors répété à feati-cté que les Eussesor-tinuaier-t, pu Ça» e su et en Perse, à doomuer îa situation. Mais noue tenons pour 'impossible de discerner jusqu'à quel point ils pourront tirér parti de leurs 1 avantages. ; Pi en irait tout autrement si l'on! éftiifl en droit de considérer comme dcfinitiveaiueiit étor ' bîio * la sispériorité militaire russe dans ees régions, nous voulons dire s'il était certain -que les Turcs ne disposent plus de réserves J à mettre en ligne ulECriemement. Or, en se 1 reportant aux constatations retenues {av x notre arlicfle (ïu1 .20 février, ou- s'aperçoit : qiU3 l'explication du revers suJii par ' Ottomans réside dans l'absence de voies ferrée», qui ne leur a pas permis cfë faire ! intervenir leurs réserves en temps voulu. Ce setïfstt se faire illusion1 cTo nier î'axis- v tence de ces réserves^ et il est d'autant plus j prudent do compter avec leur intervention f possible h un moment donné, que le rCttv- * blissementi des QommunicatJioiiS avec les i puissances centrales permet aux Ottoanans 4 de recevoir journellement un ' approvi »i*nine- î ment considérable de canons, de muerions, [ d"'' équipement, de matériel de gixerre die tout l genre. j. Bre8, le âpzûcr mot n'est pas dit au 1 Caucase : 'la- réserve de nos apr^récia,tion-s ? conccrîifcnt les conséqueKoes des évécemç&ik J qui g y déroulent est donc parfaitement jus- c tiliée. n ^^ c DA«%'S LES BALKANS = c Constantdnoplo, 17 mai-s : u l>'après dsss nouvelles de Cansianttn<apîa, s le grand hôpital instailâ diins lo qxiariiej' dos villas Fer>kved par la Crofc>--3toug< ? àoogroise est devenu' la proie des flammes, {-j IX'S ctegfltte sont conskKraWios. Los g'artikœ c ont réussi à transporter las maladajJ dans 6 la jardin. Sofia, 17 mars : Le procès d'wpionnago înteat<5 coatre les c rassopMe» esciie d'autant plus dkiérft ~ quo^tous las avorats auxquels La dif.jise est confiée font partie «tri- parti rttssoipiiùe. On y trouve MM. Dsiatf, Mijinof?, Tooi> lof, Abraschof <^t Loudisîvanof, L<?s in.terro- " çatoiros ont, jusqu'à pr&cnt, fourni par- a ïcUeinont la preuve du bien-fondé cfcs ac-: . eusaticos portées contre les incriuanés " espionnage des foruiiïeaoioMB des poite but- gares <ie "V a ma et de ÎBoinrgas, dios ediaatus ^ de niiaes du Bosjjàore, <io l'entrée et de la b sortie cîes ba-teatex <îe guerre ta.rcs. 8 L'accusé ProuiCËvine a avoué aveir <5^3 , u chargé par ï attaché de la marine russe die c [aire sauter le pont entre Stamboul eti 'Oa- -e lal». Les charges que l'àôcàisfttioû ai pu & réumir, paut^iôsriament d!es letti'es et des y cartes avec indication des fortifications et d! lies routes carrossables, champs die 'u mines, etc., sont écrasantes. h — ^ • . c SUR MER l CSopenhague, 17 mars : ' ^ I^e sfthooner danois „01ga", qui était jaiti hier d'Jîalstaad poux' l'Angleterre, ïha,rg!é do bois die mines, a été capturé par tn sous-marin allemand. P New^-York, 16 mars ï p( Lo paquebot „Patrie", jaugeant 11,883 ton- E les et appartenant à la Compagnie française de ruavi^ation à vapeur, de Marseille, iait d'enârer dans le port, amenant neuf sente passagers. capitaine a déclaré qu'à, hauteur die lu LTifnïs il a été a'ttaqué par un sous-marin, m Jne torpille a passé à une vingtaine da i>l aepfe (ii' navire* le Amsterdam, 17; mars ; D'après des nouvelles qui viennent d?arriver, un vapeur se trouve en, détresse près (îa batean-pàare ,,Noord^Hintîer' '. Ph> âeflirs torpilleurs néerlandais ont été eo* voyés à son secours. I/éôat-major de la «narine déclara à- ce rajjee qu'il s'agit) dui vapeur suié'JJois ,,As'k", tîe Stockholm, qui a été avarié et jrui est actuellement remorqué par le vapeur norvégien1 „Liesbet". Le sccours dles torpilleurs léorlandais n'a pas été nécessaire. Maasluîs, 17 mars : Le vapeur suédois „Ask" est entré par ses propres moyens au Niou'we-'Watervreg. La proue dit bateau s'enfonce profondément ians l'eau*. , Marseille, 16 mai* : Le vapeur britannique ,,-Citj of Efxfler" est arrivé, ayant h bord trente-trois hommes de l'équipage du vapeur anglais „Man-souta", coulé par un sons-marin dûns la slédStorTanjée. Ia Iîaye, 1S mars : A la séance de la première Clinmbrd, le jouverneonent et les députés ont salué le sapitaine, ofrieiers et l'équipage cfci) [»ntia" et onti loué ïsur attitude cDura#eîse ians le sauv^^ge des passagers. Ni le irou-vernement, ni les députés n'ont parlé de là îause de l'accident. On doit attciidlre l^g ré-snltiat de l'enquête officielle. Amt^tcrdam, 18 mars : La dirootjon du Lîio£*di néerlî-n^aig -an-K>nce que tout l'équipage d-u „Tub^J1.tia,' ?st sauvé, mais que!, ce midi, deivx passet-jers^ ma>aqiiaieiit encore à l'appel. 11 est possible que ceirx-ci aient été égalsjœait eaw*-fés et qu'ils aient négligé de se faire eon-aor-tre à Va, Société. , Le L-loydJ n<Serh«dais a riaSenfion, de ie-Srer ége^^netat du service le „Odria", na-i'ire ($u mâme type que le ,,Tabant:a';, et' &3 iie plus l>iisser prendre la mer qu'à do îxîfcits vapeurs. le ,,Tu]hantia" avait à bord 400 sacs îostàiix, la plupart venaKi d'ALema«jne ei fetiités au Portugal, à l'Espagne et aux Efctts sud-américains. OÉPÊCMESJiSyERSES Le ïlavre, 16 mars. : L^en^jrremçnt do it. Davigïiotni, ancien airkja^çu t^i - o <?<a cuùtrcs .étttiiigères^ a. ou li«ui afiiijouuxl'hui, à Ku.ce. Paris, 17 mars : I«e „Matiun de Paris publie la dépêche yuivaate de son carrespouifejnt de 'Grave-■inires, à profxjs ,do l'iu'restation du îitïKte-xanfc 11..., comimajidattt Je dépôt do fourra-jes; dô l'armée belge de Cri*avetmes, qrd î'éiadt rendu o-cfui?abie d'importants aJtoar-lemeuts d'avoine dont il avait la sauvegarde : — L'instruction menée p^ir le parquet mi-itairo betlge de Calais vient d3 mettre à our les' agrss'omeafcsi do i ind^iicat Leato-lajit. Ives faits ont révslé la fat/on- prtr ta-[ttelîe il... ot un sargoat-major, nommé M..., -ff:j£fcé ljui aussi au dépôt de Graveliaes* aptproprdèrejit le produib de la vente de ■{,'Â|XT> kilos d' avoine déclarée inutiisnble xour l'armée belge. Voici comment ils opéraient : Il est Pusage courant de s'assêrer, dansi les dé-K>ts de fourrages^ si le séjour en des ma-s'isins donc la sc<xterease Laissa poi^oi? à K'sU'ôî*, n'altère pas l'avoine. Pour cela, ou a posse au tamis et, ajxr^ véiLicalian, les îéehets rendus inutilisables sont vendus par s® sains du commandant du dépôt, aux particuliers. I] arriva ainsi quo l(X>,Cd') ki-js d'avoine, considérée comme impropro à i nourriture des chevaux, fureot ' mis en fente par lo Lieutenant II,., et Bon oom-jcîoe- Mais au lieu cî*e porter sur l'.'S regis'-^3)3 do oompii^ilesé le prix ia vérité es déoli&.s, las doux Lirrons ma^ior«iK'.e:t n prix trt'« inférieur ot eaopoohttierit la ifîérence. C'est aiiisi que des sacs âs 103 îlas, \t3skdus en réalité au prix de 8 à 10 a a; iianes, étaient portés cédés à, un demi-œifckae ou 1 centime. E... o3 M... parvinrent asnsi -X réaliser n b4n<{fico d'environ 3,0j0 fraiac.?, qu'ils a paxte.gèreflK Afiis (juo bas ae'aeteurs no passent soup^-miner la fraude, ils prenaient la pr!caù-on <3à les f,;.ire sijner ear des quit :s:oas a bland, qu'ils se chargeaient de remplir isuito. K... et M... attendeiit lr.ir prochaine com-arution devant le Conseil do guerre, où f. Cambrésis, auditeur chef, tiu-udra le Age da minis'ère public." . * 4 J Lisbonne, 16 mans : LJAutriche-Hongrie a chargé le ministre-'^xig^ie do la sauver,aixie des intérêts usti^ioagiroi^_aiL..^ioilu^L^ Paris, 171 mars : Lo général U&jiies, la nouveau? ministre \ d la gîUJerre frau^is, essfe né le 38 déccaa- % co _ VSCô à Maa-saiilnn (Hérault). Il est \ nti de l'Ecole po.lj'tecliiâq'iîo et a <>fc6 ommé lieutenant dû géuie m iS78. Comme îef de bataillon, il a pris paît à ur.e qwdiijon au Dahomey. Il a été nonmé \ îlonei et) ingésiiour des travam punies à j a^iigiï«ear eu. 1901, g'éwéral <2e LiuigotSe et i iredfôur de la dÎNTsion dki- génie au mi- ! istôre ea lîfeS, chef tfe diré-lan en 1Ô05, -1 ;S[xx>teur de l'aviation- miiitaiie ea 191f), j >mrayadidant de la 17e division dTiraî'anieri^ § i 1U13 et commandant de la lie. aiiate % Ci janvier 1915. Depuis lo 11 jamitr 16, il est grand.'croix de la Légion di'hon- f ;ur. "Londrcis,' 17 snars'T^ 'JL" 1 y • "1 r D'après une information du1 „TSmes-% La e rochaine Conférence des Alliés aura lien c rochoinement à Kome. M. Lloyd C4eorgo présentera l'Angleterre. Oïv pedso que sir i'wardi Grc^y se rendra également à Home. SI * ^ o Paris, 16 mars : € Le ,yPetit Parisien" annonce que 25,000 e >mjmcs (îe la classe db 18S8, qniî est éva- l ée à 12T^OO homme"?, seront provisoire-ent rapi>elés sons Les d^a^îcauix. Ils rem-acoront les ouvriers et les employés dans a ateliers çgn£ travaillenî pouy l'année. Paris, 16 mars : Utee délégation da Syndicat die la presse coloniale a protesté aiaprès d'à il. l>oi?-merguo, ministiL'e des colon-ies, contae la manière dkxuti la censure est comprise diaas cort:uiues codonies, spéciiailemeint eut Indk> Chine. M. Dousmergue a assuré qu'à l'JLvenir la censure dtang les colonies ne s'étendra qiïYo,ux informations diplomataïqujes et pain-taires.« MasJricE, 16 mars : ï-/e général Lyautoy, goujvernterur giénérUl du Maroc, a assisté à uin déjeuner infâme, où se trouvait également M. Romanones, présidtont du Conseil des ministres. Le général Lyautey se rendlra au^orr-d'hui aui Palais, où le Eoi l'a invité à, dié-jeuiier.♦ * * Madfàdl, 18 mars : l-o général l^yautqy est parîi pour A!gé-siraB.• • Parfe, ^18 mars : / ï^e „Mt.tinf" aaaonoo qu'un aviateur alle-mand a réutasi à fc>rcer à atterrir, près (h Verdluci, un aj^paredl (Ko tjypo le plus récent, piloté par le meilleur aviateur français, le sous^iieuteuant Gn^emer, qui est cîescenxîu!, blessé, dans les lignes fran^aliEes. * * 0 Paris, 17 mars : Le général J offre est arrivé à Paiïs». Il a eu plusieurs co«ïféreuxîes aveo 2kl. Poiu- caré et aveo M. ©riand!. » Paris, 17 mars : Lies autorités j«s3iciairos et le maire 5e VercBina ont quitbà la ville. **♦ Lugano, 17 mr^rs : Le gouvernement italien deanantTe us cré-âit de 7 millions de lire ponr la dé&tise de l'Erythrée. « o » Londres, 17 mars : A La dem.'uidse d'à gourvernemefit, Iw propriétaires d!e mânes et les délégués d«a la Fédération des mineurs du Para die Galles se sont réunis hier etj ont qp'à l'avenir, pour éviter les (îJféi-ends, tous ies rnineuis d'svaient faire partis d uni des syn. dicats reconnus. ; * * * Bnlo, 17 mais : ïfis> ,,;I>ûs^^r ï■^acllrich^^S)j', annoncent frtr'il résulte di:s •momâiations piiMices par te ,,-Journal ofô:r,icF' russa que le général -^'■VCK"rf:i est- actueîleraent cosvmanxSa-r^ù supérieur de kiiyteis les armées russes qud opè-icnt sur k; f rosit de l'ouest, et que le gé-nénin MaAnewi^ch esfi le chef d'à giraniî état-major général sur ce mâme front. * * Loïid-res, 17 mar3 : La Oonfîrence du Parti' ourvrier indépendant, qui aura lieu lo 24 avril à, K'e^-easile-OTi-Ty no, (femandai'a au gouvernssnent (îe rendre publiques fes canotions de "pai^c et di'aboîir lo sei-vice obligatoire. ~ i MM. Itamsay, Mac^onald ce Phâîp Sno^-desi ont- donné laur démi.sion die ctii-ecèeurs du Parti ouvrier indépendant Londres, 17 mar^ : Lo Lloyd apprend de Colon que i:s va-pcirs charbonniers de la marine américaine „Rîars", „Pu:omethoiis" et „Naomi'", qui ont un tirant ôfeau de 21 piuds, ont tra- varsô jeurJi le canal de Panama. * * « Paris, 17 mars : Sur un effectif, de 68,834 hommes employés dk*3 postts, téléphones ot! ^iégrap&es, dfent 43,113 appartiennent aivx classes mo- biiisttfcies, plus de 2o, )X) P. T. T. s'.^st aux armées. Gn grauxî nombre sonti dréjà tombés en accomp-Jt»ant leur djevoir; *> *> * Rome, 17 mars : I/îialie ayant inteixîH) l'importation cBs □marchandises allenuaidic^, lo mindstore du oommerce an«gi«is fait savoir que, d&s à prâsea^, tes ntarchan/.îises sortant d! Italie te doivent p»lus tire acounipagnéess d'ujii tvir-tiiiâoap d'origina * • * Rome, 17 mars : Le „Corriere délia Sera" apprend qui;î! ser.ûïï question que loixi Hardiage, vicet-rw les Indes, prendrait. U diiection« du Po-leign urfico, sir Edward Grey ayantl, pa^ raîu-il, llnAention de eo retirer pouai de» raisons de santé. Pétrograd, 17 mars : D'après le „Djan", l'état de slanté do if. Gorenïykine a empiré. Il soui/re de lévralgies ^ ciii-diaqucs. "Rome, 17 mars : L/„ifcUia" alarme avoir appris dh-r.a lets nïiieux parlemenSaircs de l'omej que M. Ca-li-Soia, ministre de l'agriculture et dk? corn-lier ce, qui est âgé do 78 ams, serait rem-j'khoé par M. Pautano, diéputé. ICn or»tre, jualques ministre^ sans portefeuiUe eutro-;aient dans le ministère. Borne, 17 mars : La session des consuls cantonamir oi été journée au mois de jiuiii pro^oain. Ntew-York, 1S mars : Le générai Frursto-w, commandant iear de l'cKpéùâtieii .américaine autx Jnis, prie le publie de ne pas s! at?esct?s à es résultats irojp rapifes, car, ce' ei\à une tache longue et difficile que cella e capturer le général Villa. * * * Pélcia, 17 mars : Lo gcnvtercemeafc chinois a autorisé l'émis ion d:'un emprupt intériew de 20 mvlionï e taëLs. Pétro^raid, 17 mars : Tons les» éu-.ujkuits nés en 1835 eîl <$ui vaient été ajournés jtjisquf'à pràseii^t, aàisi us les ouvriers (ies Ufeines "Pouitilc^w1 is il 1S9-3 efJ en 1806, on?t é-té appelés sons. îs di-a peanx. » c * , Amsterdiam, 10 mars : ; ; L/exportation du thé est snter^te. . I COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiqués allemands Berlin, 18 mars. -— Officiel de ce midi : Théâtre do la guerre à l'Ouest. Iîier, les alternances de brouillard! et d'éclaireies qui caractérisaient le temps ont ralenti l'activité de part et d'autre. Théâtre de la guerre à l'Est. Dans la région avoisinant Les doux bords du lao Narooz, ra canonnade est devenue| ti^s \iveu Une l'iiible attaque nocturnq des Iti^ses au noixl du lue Miadziol a été aisément repoussée. i Dans les Balkans. Au sud^-ouest du lac do Doiran, il y a eu quelques pertes escarmouciiea entre pa-trouiiioâ.* • • Constantinoplo, i$ mars. ►—» Officiel da grand quartier général : DcL&s luar coniiïiuiiiqué du 29 février 1916 et dans leurs contuiuniqués suivants, le^ fiasses dépeignent la prise d'Iirzeroum*' comme uno gr^uide victoire et vantent l'importance de Oistto place forte, qui est, d après eux, tr£â moderne. Nous savons bien que ies Russes sont dans la nécessité de publier de brillants communiques pour leur pays où pour ies Alliés, qui ont soif de oe&o unique ixti'ole „ Victoire", sous quelque forme que ce soit. Mais nous d-'clarons énergiquetneut qu'Lrzeroum n est pas, en réalité-, une place ior^a, que la configuration du soi no permet pas d'utiliser ville comme telle et que, pour notre part, nous n'avons pas cru utile do foititier Lnzerouin plus que 03 n'é^iib conforme à sa naturâ. Lo fait tftnfl que nous avons abandiomié, Crer£-i<;«e les mura tombés do la viLe, m grand nombre de vieux canons, restes vénérables do la campagne russo-turque de l'année 1378, et qu il n'y avadb daas la, ville que dos vivres pour deux jours seulement, déenoatreat irréixiînbiamout quo nous n'avions pas riatenîâon d'utiliser Erzeroum comme place forte. Ce que les Ilusses ont désigné avec grande pompe comme une forteresse moderne, se compose de queîqiuss rctraïio::ïe-ments de caunj_x^giie, établis à 12 kilomètres do distance d' Cra^roum, et la puissante artillerie do-nt ils piirîeiat se oom^xise de canons non attelés que noas avons abandonnés après las avoir rendus inutiisables. Nous aisandennons à l'état-major msse le soin d'évaluer les avantages que cet'o jilace leur assure, au point de vue stratégique, dasis la présente guerre, ainsi que les conséquences que pont avoir pofur ecix son abaudon et son évacuation. Contrairement aux affirmations des Busses* il n'y a pa9 eu de bataille ouverte danS les environs d'Erzeroum et, dans aucun secteur, les» Jtas^cs n'ont oommenoé une {3r.^r^i-f>n par Tartilledb. Mrgré oduOi, lis n'oftt pris rousei, comme ils le prétendant, à s'tsnparer d'Eraeroum ei ciieq jonra, mais S3i^ement après des combats locaux eSjaac-Ssi, au bout d'un mois. Les Kusssîs uo sivn$ entrés dans la ville que lorsque notre armée avait évacué la place depuis deux jours et alors que nos arriére-gardes l'avaient déjà, quittée depuis ja veille de leur entrée. Nous n'avons -abandonné dans la ville .que 800 hommes gravement malades. Devais que nous avons évacué Erzcroum et que nous avons occupe nos nouvelles positions, las Russes, qui souifreni encore toujours des forces perdes qu'ils onli subies, n'ont pu, .jusqu'à ce jour, cir .enter un mouvement militaire d'une ]X)rtée quelconque. Nos ailes de ga uche et de droit», par s .vite de la nonveftle situation, se sont également retirées, .par crdrq, dans les positions prévues pour elles, en li' rant, dans quelques secteurs, divers combats peu importants d'arr&re-gawîe et sar.s tirer un seul coup de fusil àiuis d'autres secteui'S. ActueLo-meat, mitre armée occupe la. position qui s'étend de la partis do l'aile gaucho deBit-îis-AIuscia-Asehakaleh jusqu'aux positions qui so tnonvenfc à quelques kilomctros à l'ouest, d'Iapir et de Ilisch. Nous pouvons, à juste titre, être fiers du courage de l'abnégation que nos troupQs ont montrés au ©ours des comba's livrés à des forc^ nuraériqnemefnt supérieures de rennemi, soit à l'est d'Er/eroiam, soit dans les positions de la ville m fane, courage et abnégation dont les Russes parlent eux-mêmes dons leurs oommuniqirés. Nous sommes convaincus que nos soldats continueront à donner des prouves de ces montes vertes militaires', aussitôt qu'i's passeront à l'offemsive, c'est-à-dire lorsque la situation sam, modifiée à leur avnnta^re, mcKÏi;Jrcr.t:or> oui se développe j-nirnellement. Notre armée n'est» pas entachée f^ar tou-ta? les tares que lour.s ealomn^tears veu- 1 lent lui endosser.. Le3 informa'ions d'après kt^ovûlas «les diverger.ces de vues et des m^îrafondus se seraient produits entre des officiers turcs et allemands sont des tissus de mensonges dignes de ceux qui les ont inventés. 1 * Communiqués des armées alliées • Paris, 17 mars. — Officiel de 15 heures : A l'ouest do la Meuse, lo bombardement k'est ralenti au cours de la nuit dans la < région de ©éthincom-t-Cumières. Apiis^ l'échec sa»f;lanfe de l'attaqua d'hier, l'enremi I n'a pas renouvelé ses tentatives • sur le Mort-Eli^mute.A lerrb de JaJjeusa, une reci^^s^encfl du l,-wi îÇ-wl^cnt il éié r'.âvie, à r^arûr k'o S 1 ].e..:-cs, d'une »;érie d^aetîôns offensives trrs < violeiiôos aiibnée» contre nos positions du 1 vijb^o et du fort. de Vaux. Cinq aiftuqres « èïceS^^es àb gros effectifs ont été lancées < par l'ecitacmi dons cotte B^e-u sans aucun succès: deux sur le cfeux autres ajr les ptsutes do la crorwfe que surmonte le fort, enfin une dteraîéro a essayé de dé- r Donner d'un chemin creux au sud-est du i village de Vaux. Toutes ces attaqua ont éié orisé^ Tjàr nos firs de barrage nos feux de mitrail'eu^es. Elles ont coûté à l'enneani d»os sacrifices importants. r En Woëvre, aucun événement à signaler, s si 09 n'est qu'une canonnade réciproque à l'ouest de P ont- i>Mouss;>n. Un coup de c jnain eséercté sur le saiïtot cLq ta l%ne en- j ~7v " nemie dans le bois Mo^tmare nous per mis do faire quelques pr'sonniers et d'ooeu sionner quelques pertes à 1 ennemi. Nuit calme sur lo restant du front» « U O Paris, 17 mars. — Officiel de 23 heures *. .Au nord de 1 Aisne, une attaque eiwiemi dirigée sur un petit poste au sud-asft d-bois des BuUes a été repoussé© après m coml>at à la grenade. Vives actions do notre artillerie dans \ . région de la V iUe-aux-liOiS et du plaUittu d : oCraonue. ( }in iVrgoanc, nos batterie ont eoi^iaué i battre fes voies de communications de l'e->nemi en airière du front. I Dans la» rég.ion. au nord de Verdun, ju. ,tuno action d'infanterie au cours do la. jour n'-e. Le bombarù^m^ut a été inlcrmiîleat : *• la rjdarase et en Woôvre, ph^s s* ^tense sur la rive di-oite dans la régi on ~d \ |L>ouauniont-Dumiuup. No;;o .ai'Uijeri.e u> coî! tre-battu vigoiircuscaieut Les "baîerit'is eanc \ mies ^ a détruit «ru important dépôt de icsi--.ûlti9_ris . à Ç^uiipneuviiie. \ Aucun évciiemeiit à signaler sur le res tant du front ou dehors de la canonnade ■ habituelle. * * * Ivctadre?, 16 mars. — Officiel dui gra^d quartier général britamuique : Ija mut dernière, letuaomi a manifestv u-no faible activité à l'aide d'à gTeuâ/jfca i marn près de ia recteute HohenzoHern. Aiijour^iiud, not^s avons fait sauser arc« succèa «no mine au sucfe-ouewt de lxxw. Près de Loos et pi\bs d^ïpres, vioieoî» activité r6cipro<iue de l'artillerie. T> iR-.yme, 16 mars. —i Officiel du rtacc quartier général : Dans la vallée de Lagariua> dans PAt-tico supérieur et d'aïas la valiée die tSu^Uiî»». d y a au des duc'js U' artillerie et dtes rea contres entre ùivea's roacsxi très dto^t l i«sue nous a été favorable. Sur 1 lsonivo suipérieuai, un épais brtnûi jard a «i<era\ié l'activité dei l'anaileiie. Ceiie-ci n'a été vriiimoat en action quo si^ les hauiteirrs situées a l'ouest de Gora. Sur le Karst, le combat) acharné pour r;< possession 'tes ^josioiotis que nm'.si avcir conquàscs dans ie secteur de San-Maitku continue. Dans la nudt du 1-i au 15 mars a]?rès un vioioat lea d'artillerie et terie, l'ennemi a eîitiepris cbux injpéfcueuce aLteftp'ies et s'est avancé jusqu'à nos isol vtJ^es tranchées. Il a été qjiaqiio fess vi gouueusameat repoussé et a kissâ db niJSn breu'x m ortrî sur le terrain. A «a maîàn, F ai Éilierie ennemie a recomaieiicé son fér a. l'a continué avec une violence croisasint->ï«que dans ta nuit. Mais la eecsianoe d., nonce iirfaiaterie et l'appui efficace et pos-sistOîLit que lui a donné notae artillerie neu-ont p«eraris de me^afcenir las- pos£ioù& at taquées. Sur les autres fronts', ncs détachement-ont cor^larué leurs poussées, ont détruit l plusieurs endroits, en jt-fcant des !:«ombee. des travaux cfo défense de 1 enreavi, liâ oc' inCiigé des jieites et ont provoqué de vk-lenïes expi odion s. « * * Pétrograd, 16 mars. —• Officiel du gtixad état-ma jeu* gén-éral : I>ans la région de l'île de Dalen (Pôga). vident dMel d'jirtdlerie. Eu avcill de l0wir.sk, dans la d'Ilktst et à proximité ffe la iigne de che mia de fer de Ponimviec, rennemi a Luc; des grenades à main contenant des explosifs d'un genre spécial. Dépêches Diverses Adélaïde, 16 mars : Le mku'itre de 1 agriculture a conSnoti que .la nouvelle réooite sera très satisfaisante. La Comaiissiou de surveillance lïfei-pqsa actuellemeat do 27 millions dé baie hels. On esyi/'.ne que la récolte donsucra âe 3-t à 36 millions do bushels, contre o& mii- lions do bushels l'année dernière. « • • Beime, 17 mars : En février 1916, l'admilajsti-aticîn} des portes suisses a roçu- et réexpédie aux prisonniers do guerre une moyenne jouiisia-Irôre (Se 2S2,894: lettres et chutes, 13,166 petits paquets non recommandés pesant maximum 1 kilogr. et -77,514 pa<pieîs recommaifr-[lés posant maxinvim 5 kilogr., ainsi qut ),354 mandats^ posfeiu x représentant un mea- Saot de l2t2,427 francs. « * * Christiania, 17 mars : Le gowvennerneni norvégiieu a coteamaaidé lu Danemark trois grands navires a<;{iionuaéîj ?ar des moteurs Diesel. I^e Bureau d appçro /isionnoîaient de l'Etat se servira da ces xl'tknesits pour le transport des vivres. Lf* rois nouvciuiiX iai.vir.es coûteront 8 mai-ions die eouroivRes eti devront titre 1P.YI& ivant la £m de l'anale 1Ô1G. * , * * Rome, 17 mars : Le Sénat italien rentrera le 22 marst « « « Londres, 17 mars : La „Dai!y Mail" apprend que le ^Sia»-\strd'' a pam jeudi pour la dernière foifl, J éditeur du jourmU espéra pou*voiq U uire roparnïtre adirés la guerre. » i * * Pétro^rad, 17 roaixs : Le .,l\o«sKkc-ie Slovo" apprencî &5 7^-:i© aoa derax iatwrp®Hat*csr>s ont été sipsso»-séos ait Paii«3»ant à propos de ^SfiftaSifilÈon par les Eîots-Dnds do dtegi ;»»Jiio2aâr do sous-marins sur la côte tftjt Pa >i%na. # : j t- * Bétrog-rafS, 17 mars : l*ouir la e-impi«(po »;«riAre Sa c<#5& ato-lée, XiM'ii) CUiïntis sont arrivés ea Ecjgsfe, lit le „P.«eakote Sien t/'. • Paris,' 18 tnars : * Vendredi, à la Charnière, M. Sibp^ mi fistre de» fiotMr««Rs a fc'it un esfjxîse dfc> la ituatâcm finaaMàni. Il a à^fcoré ce qui suit*. — Dans les «tepwûirs wtûs de 1914, noue ,vons dépensé 5 1/2 miBiaids et, on 10^. li'àô éa îa milliards de fmsfre. ,f©îendant l ùitsL. U :

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Cet article est une édition du titre La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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