La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

1952 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1915, 18 Janvrier. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Accès à 13 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/3775t3h99n/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Lundi 18 Janvier 1QÏ5 N° 73 Lundi 1B Janvier iÔIS. LA BELGIQUE ADMINISTRATION ET RÉDACTION J £*m ilue Montagno-de-Sion, £*♦ I5EMj:X.EmEMI Bureaux : ds SO à i2 et de 15 à il heures JOURNAL QUOTIDIEN LE NUMÉRO : !0 CENTIMES ANNONCES La pôtïtô ligïiô» „fr. 0.4Q Réclame trra! Ses annonow 1.C® Corps du journal ..,.'. î ï i ! 2,&S Nècrologia I ; . . ; 2.00 LA GUERRE 16Sm* jour d© guerre K Les derniers communiqués relatifs à la guerre v'^aiii l'Ouest ne modifient pas — nous l'avion», tait pressentir — la situation nouvelle créée entre Soûlons el VaiLly par les trois journées de combats Sneh-arnés dont on connaît depuis hier les péiipé-ties. Les Allemands se sont rendus maîtres de la 'bordure septentrionale de l'Aisne entre ces ^ieu* locakités : il est vraisemblable qu'ils vont maintenant essayer d'accentuer cette première avance. jF Faut-il craindre de les voir bientôt ne plus reculer devant aucun effort pour forcer dans ta ré g-ien le passage de l'Aisne? Nous ne le croyons pas A la vérité ils affirment tenir sous le feu de leurs f canons la bande de terrain évacuée par les Fran . :|çais, et par là même la reprise en sera éventuelle l 'ment très difficile, mais il est non moins douteux l Ique les divisions françaises en retraite ont trouvé jdr l'antre côté de la rivière de nouvelles positifs ■retranchées où elles se sont établies. Leur noii [yenn front s'y étend, vis-à-vis de l'ancien, en .bors-, ■dure de la rive gauche et dans la même direction, ■jusque près de Sermoise, que le chemin de fer de f jSoissons à Reims dont il a été avant-hier spéciale-Bment fait mention ici* même, dans la direction aus si. car elle est parallèle, que la route de Soissons _ à Reims. Derrière ces voies de communication s'é^f ■lèvent en pente rapide des collines de 50 à 150 mè-Btres d'altitude. C'est sur ces collines que l'armâfe^du, généra ' L [Maijdjlî.uy -a vraisemblablement établi ses nou>ëî-\ Iles positions, L'artillerie pourra y être disposés; d^-façon à commander la bordure méridionale ; df-Hl'Aisne entre et Missv. T.e passaçe §de I Il'Aisne par les Allemands ne pourra donc être testé F fqu'à la conrU^-'.î >-«- artillerie réussisse à s'àî-Htribuer de sérieux avantages. [ Il y a lieu d'envisager, comme plus immédiaté- ■ ment possible que le passage de l'Aisne, une teô I-[tative des Allemands de renouveler contre les I positions françaises au nord et nord-ouest de SfVis-|| sons la tactique qui vient de leur réussir à IJest j De ce côté, les Français occupent, au nord de la ! rivière, le triangle compris entre l'Aisne de Sois sons à Compiègne, l'Oise de Compiégne jusqu'en face de Ribecourt, et une ligne partant de Ribe court pour aller, par Tracy-le-Va ! et les hauteurs de Nouvron, rejoindre le nord de Soissons. Ï1 y a on grave inconvénient —cette -notion est classiqix? — à accepter un combat s'il existe la.moindre crain- ; I te de se voir refouler sur un cours d'eau. Cet incon- ■ vénient, que les Français ne sont point parvenus à I éviter à l'est de Soissons, ils 9ont menacés de le K retrouver à l'ouest de cette ville. Une poussée des ] ! Allemands sur la ligne Oise-Tracy-le-Val-Nouvron nord de Soissons, si elle venait à être irrésistible, aurait pour résultat, tout comme celle partie d^ hauteurs de Vregnv, d'obliger les Français à évacuer le triangle délimité plus haut et à repasser la rivière. Leur succès d'avant-hier incitera naturellement les Allemands à renouveler leirr précédente tarti-t que : c'est à raison de cette éventualité q-ne nom i £rrv»ttons ici ce raisonnement, mais il va sans dire qu'il ne vaut que comme simple supposition. »*• Concernant le front en Flandre, le communiqué j de Paris note une avance des Ailles dans la direc-f tion de Loinbartzyde et de Beceiaeïc, localité si-| tuée à l'est d'Ypres entre Gheluveil cl Zonnebeke II cite aussi, en dehors de violents combats d'artillerie dans la région de Remis, divers avantages obtenus par les Alliés au cours de quelques engagements d'importance secondaire. Quant à la dépêché de Berlin, qui conclut à l'insuccès des attaquer françaises et enregistre quelques petits succès à l'actif des Allemands, nous n'en retiendrons spé | cialement que la destruction de la Boisselle et son évacuation par les Français. Nous avions eu récemment l'occasion de dire que ceux-ci y occupaient d'excellentes positions sut la grand'route d'Amiens à Valencieimes, laquelle relie Albert et Bapaunn- à Arras. C'est sarib doute en raison de l'intérêt que oes positions pourront lui offrir ultérieurement que | les Allemands se sont efforcés d'en déloç-er l'adversaire, dont nous attendons à ce sujet le prochain bulletin. * * # Les opérations dans l'Est de l'Europe ne nous fourniraient aujourd'hui l'occasion d'aucun commentaire, si ne nous étaient révélés certains indices corroborant l'opinion que nous avons naguère émise eu disant que *e territoire compris entre la Vistule et la frontière allemande finirait probablement par être le théâtre d'événements sérieux. Nous y avions laissé les Allemands, revenus de la ligne Soldau-Neidenburg, aux prises avec les Russes dans la région de Mlawa, soit à 10 kilomètres de la frontière. Hier, nous avons vu les Russes s'avancer à la rencontre de l'ennemi et chercher à le refouler dans la direction de Radzanow. c'est-à-dire à 30 kilomètres plus loin en territoire russe. Plus à l'ouest, dans la vallée de la Skrawa, qui se iftte dans la Vistule à 10 kilomètres en arol de Ploek. des forces allemandes dont les dépêches dr Perl in ne nous avaient iamais laissé soupçonner l'initiative se sont avancées jusqu'à Sierne. sur la S-erocieniwa, affluent de la Skrawa D'anr^s 1rs dénArhes de Pétroçrad, elles ont été reDOussées de tous les endroits guéables de cette rivière, qui perpendiculairement à la Vistule barrr tout le territoire polonais rompris entre cette dernière et la fron ti^re prussienne. Ç'ap-ît-il l'espèce d'ui>e diversion à l'aide de détachements peu nombreux? S'a^nt-tl d'une tentative sérieuse, qne nous appréhendions faite en vue de compléter par le nord l'invasion de S Pol^ç-ne- et He pouvoir ffrâoe à cela innuiéfer Var «ovie par le nord? On ne sait encore'Vb;e<t l'avenir SBni en., décidera. V- — \ Les soldats anglais <*»î. intéressant dm constater les jugement© portée < î«*r de» Alknnanda tmr leur» adv«rsai.roa. OeJui que non» «•union» est emprunté k un correspondant d© fruerre de | i la < Gazette do Francfort >, M. Waltar Oertel, qui * paroouru le froat clan® la légion d 'Arraa et cie® Flandre» Voici ©on appréciation du eoidafc anglais : « L©» AugJai'a, ditr-il, ne sont pas un adversaire inépr» sabîle. Leur* armée"compte de nombreux hommes s.ysxti de six à douze aixa d» •service. 0'e®t comme si l'on w trouvait en présence d'une troupe entièrement cornpo aée do sous-officier». Leur équipement est pratique, J ar. rnemeut boii, Lt discipline excellente. On ta constata entre autre^ chez lea prisonniers. Tan die qu'à ce moment la différence des rang» disparaît chez les Français le soldat anglais demeure le subordonné le plus docile <*i obéit aux moindres indications de La façon la plus in? nufeiou»e. Au combat, oes vieux soldats, braves et d* sang-froid, constituent im cadre solide pour les hommie» plus jeune® et moins complètement dressés qui viennenJ combler les vides. Leur exemple, agissant sur ces jeun** éléments dont l'éducation physique et sportive est k plus souvent développée, les transforme tarée rapidemJeal •m soldats qui méritent oonfianoe. * L'instruction du tir est parfaite chez les élément» >i/ne.iene._ L'expérience de la guerre s'est chargée d'ame liorer l'imperfection des plus jeunes. La forme du ooro-bat contemporain y prête naturellement de la façon ls plus avantageuse. L'artillerie anglaise est bîen éq^ui]^ vt bien instruite. Elle dispose d'une grande quantité jp munitions^ L«a Anglais ont surtout amené sur le finnï lies batterie» de grosses piècas de manne. Ce sont de? nièces à trajectoire rasante pour le tir courbe. Leur* bouches à feu sont certainement inférieures à no» obu-siers de 42 centimètres, aux obusiers austro-hong^oif fie .°X).5 centimètres et même à nos mortiers de 21 oenti-i mètres. » LES MESURES MARINES — Qu'est-ce qu'un mil.îe raiarint Que vaut un n«*a<d par rapport au miîle? Pourquoi las navijree déjïlaeenv ils tant 'de tomnee, adore qu'ils jauigent bensio 1 ccnen^ moins 1 I^es distances. — L'unité de -distance marine eet U mille de l,85î mètres 86, correspondant à une miniut* ■d'un arc d« grainid <ytroLe de uin degré. Tous 'lies méridiens, ou, si J'en préfère, fcoutea ciréonjférf'.noes pas par Los deux pôW, je» longitudes, sont des gra&d* cercles; l'écu-afeur auisKi eet un grao.d cercle, muais paraJ'Ièlles, ïen latituvicô, <iont lo ravon va eu d-éorois sant vers les pôl+y», ne sontt pce a°8 grands cx^rdlirw. Lra ceroV«, grandis et peti-ts, se divisant pu 360 d-> grés, iJ imtporbe -d« Ibien préciser que le miilile m'arin la soixantième p-Lrnip d'un degré de gTOnd cercle. e'esJ>^-dirr qu'il est £gni à mw minute d.« ce detri^é Comme la division des cercles e& 360 degrés est uni-verisKl'ltf>ment ushétî, et que 1(« calculs nautiques ont pour objet prineijtfrf la mesufre 'd'arcs -de cercle, 1* mille marin adopté par toutes jes puiasaneee. Daw la pratique, et lorsqu'il s'agit surtout di? la vitonjve des o'a/vir^ lr tui^le marin est coarupté pour 1,852 m A très, en dhiffr* r«cd. Maintenant que nous savon® ce que vaut le marin, noim allons rechercli^r l<a valeur du nowwi. D'abord, à'oi\ vient c^tte exprotwion î Cette expre<«iou v>èrn d'une disposition ptfurti'culièîre un instrtumrsrvt nomii/é « ilot-b à bateau o, qui st-rt. à •mesurer li» vitesee <iu navire et k évaluer la distance qu^iH parcourt. I^e babeau de loch «st une planchette trian^iuJadyc dont le soumvit estf fix^ à Pexlrémiré <frtw l%n»p ligne de loch I>f*ux oordek»tt»f»e, fixées aux angW m-Périeu rs sont réunrirw par un amarrage sur une cheviJÎi^ bois oui p^-n^trn dano une gaine fixé»* k la lignr de dioch. Ijj* planchett^- étant ainwi instaSée et Irstéi-à -sa base» par une garnituen en plomb, «*• tient verti<*»r lement. dan^ l'eaaj, imn«irg>ée .i-v x deux tiers, quand on la laisse fiW <l^rriè<re le navire . Ïa ligne df looh HivinAr p<w un n-arnbrp < nœuds > distants les uns des autres de 16 mètre» 4fc, mai» cette diviRion pégirlière ne ofxrnmsnor qu'à partir <F"ime c^rtaJD^ <îistjano^ cki bateau d** UkHû, afin <V soustraire l'^pparea k î'in^Vuenee attrartsrs d* ^ jTtasse immense* du navire; oette distainoe» <V fois» la longueur du navire -pour u® voûier et de deux foin la longueur pour on vapeur Cette lorr^iipiït ect ir^ciimjée sur ligne d*» kxih p■xr mv marque nomn>Ae bouaebe. T jx ligne looh est enroulée sur un touj»<. un dévidoir, qw <|e<iix hnmmRB tiennent on main, ctva-cun k J'une de» extrémités de J'axe. Lorsque f r>n v^at connaître 4a vitesse du navire, c«o jet-le le baten/n d*» lo<^H à J'eau, touret dévide ]a li 9:ne, et lorsque la houadhe pa«s« pa.r-dirw^i-s bord, u» homme tourna un sablier de 30 secondes qu'il tient «s* main. A partir de moment, on <x>mpte le nombre à» nœ\î"*M a f^lia.Trt i» boiv du navire, jusqu'à ce que. tout le isa-ble d;i t^iblier «s1 étant éoou-ié, l'homme- préposé k cette opéiratio^i crie : » Rtop •>. Cn arrête ailors 1-e <fs^î vidage d'e la lô^n« k laquelle «n imprime une sfconiwà pour faire ssHtr de «a gta-rns la ch-r-vilile d#- Vi pa^t« 'fui-n dn bïî.tmu à* looh, afà que o'*Tui-ci n'offre pftug de résistance et pui«œ être rentré Sacrement à La longueur de la ligne entre chaque n<eiïd étant d^ 15 -mètres 46. écrale ^ar cor piquent Ja ISCe partie miil'^, et la dirrée -^.u sa-b^^er étant d« 30 ^cond^^ ésale k la 150" partie de l^h^ure, 21 résulte de l'opél ration que \*> nombre de ntœuds d'e « 15 métrée 45 ». M lé «n « 30 ©eoondve« n, indique le nomlbre d^ niîlftes ds « 1,852 m-ètres », parcouru en « 1 heure » par le nra/vir* _ Par conséquent, on ne doit pm«s dire qu^uo .rxaivir^ fije tant de nceuds « .\ f'beure » Tl faut d'ire qu'un uev \H.re fine tant- de% noeuds?, «ans r?*»in ajouter, l.e nrnrd étant une mesure complète de longueur et de teimi>» proportionnelle k deiix autres mesura : Tune, de 3ôr> îrueur, lté mrïle; l'autre, de temps, Fbfflue. On emploie aussi d""e lochs mécaniques dits loHhs k hélice. Les pr^iers de ces a-ptsar^iils compreniaient on compteur rwfeTmé dans un t1^" étanche en cuivre, et qiri enrrpigistrait, en TmliW e<t fractions de no^Se, le dix-», m'in po.roou.ru par le nî'vrr», évalué par la rotation d> la pa.rtie irifléri^ntv de Y amps-r^r?!. m^re ti mouvnm°ot p?.r dr-s aiO^s d'hél-iœ 1on^ÎT.uidiniail.p« dn^-po^jes «ur pourtour. La# réunion, dni compteur ei de l'hélice aya-n'j des ineonvéni"nts, on a séparé l'ay/pareil pj\ deux j ties; le compteur est fixé h du ravir*» et enr^j gistre le*; mouvementé d* l'héwv* fstUlomM.re>) qui hri sont transmis pajr ur>' ligne disposée con.vencîib,I.e>m^nt. l^ee vohrmeo et 1-mr poids. — I>a. capacit>é e4 le poifb» navire® «rmt évalués en tonneaux de jaa;qge et no tonnes de déplacement 1^* tonneau de jauge «st éga3 au vr>lun>e de 100 cubes anglais et vwh Ç mètres cuibe» 83 î>a tonm» vant l,ono kilos. Le tonneau d'affrétémerit e>rt <k faTiriemme nwv- sur*» d^ 42 pi<"d» cirbe» franca.» r*^présefnr«nt le-l.ume de quatre barriqiwss bordelaises, et vanct 1 siA tre cube 44 L<e tonneau e^rt à mesurer le» voknnes, et la toojw à évaluer les poida Ainsi, lorsque l'on <&i qnr"tes n^'^ire jjtug** 1,000 ta» neaux. ceî»a vent dirr qo^, étasït ride, H a ur»- ce»» cité die 1,000 foie 2 mètres cub*-» «3 C'nat ce qiïoa nomme le tonnage net., on déduat <fc tofineuge hn>4 l'e«pax» résftrv^ a?i legem^n-t de Y équipage, et, plus, eu.r le;* vapeuTK. r eonplaoeroefnt- dw machine» «t dx°© fxmtfif* k Charbor* l^ft dé'diuction maximum ttut de 1/20 du toTvrja.çe hrut pour lf» loeesnenta, et de 60 p. e pour Ifajpparetf fnoty«ujr et ses dspendacces. Autrefois, *kw voilier» porla"mwU m chanr«»men4 Sr«r tcwrnagt* el 44 p, c. de oe tonnage. Aujou/rd'Hni }r* peiar de charge, >r» cargo-bo^i t» — rerai \en paquebots — portent en moyenne le*ir tonnage et 60 jv c rat 1 jp. déduction q»e su-bit leur tonnage brut pour arrivwsr au tonnaige net g" âèv». à 30 p. c. I>e déplaceme«t d«w Kavprr-^ s'évade es torarx* dfr 1,000 Ici'os, «vra) toirt «eu a.'TCnenveajt A bord, e'esÉ-ir-□ !re tout c*> lui aécnssairp pour n«wig7>f«r e* pour oomibathre, «'>] g'aigit d'un navire gu-eore. 1 >r i ^éplaeenMïnt ^ d» oeirtaras najviree marahand^ eet priî^ | î?n <jhargo, c7 est-Ar-dire avec leur cargaison normale k > »orri I LES FAITS DU JOUR • i Le t Niem^e Rotterdamaciie Courant » écrit : ■ 'j — Le correspondant du c Daily Teiegraph > au Havre ■ T apprend de sourœ autorisée que le Pajpe a répondu tau J télégramme du roi Adbert qu'il ne trouve pas grave l'incident du candiaal Mercier et q-i'il le considère comîite I clos. Le gouvernement italien, s' eût fait ouvrir un crédfct de t 4 millions de dtoùiais aux Etats-Unis pour couvrir les achats qu'il compte faire dans oe> pays. ** Un journal hollandais a reçu d'Angleterre une lettre oonitenaot .un billet sur lequel était imprimé .la phrase suivante : « Le>s lettres ont le plus de chance d'être rapidement expédiée» par La censure lotisqu'eiieis sont couite» et écrites lisiblement. » Le gouvememeciybel^^^it le « Daily Teiegraph » ^ décidé de mobuiser îwïs lea célibataires de 18 à 30 an^l qui sont réfugiés en Angteterre. Ceux qiiî ne dcsa'rent pas faire du service militaire actif seront employés k <fes travaux d"uftilité publique. Chacun des intéressés devra, endéans les 3 jotura, faire sa déclaration devant le con sul de sa résidence. Ceux qui ne se conformeront pas aux ordres du gouvernement belge seront recherchés par | la gendarmerie. Le journal viennois « Die Zeib » parler aintei des menu« faits et gestes die ]'pmp^mrr-François-Jose.ph : — L'empereur François-Joseph se porte mieux actuellement que pendant les UPC ÎS Cornières années, bien qu'il soit siuxihargé de besoigne. Tous les matins il se lève à 4 heures, et on peust le trouver, peu de temps après, à sa table de travail, dépouillaiiit le monceau de dépêches airrivées pendant son sommeil. Il a ordonné qu'on lui fosse délivrer, môme la nuit, les télégrammes importants. Léo changements survenus depuis quelques jours dans le haut commandement sont entièrement dus k 1"initiative de l'empereur. François-Joseph, dans ces derniers temps, avait dû suspendre ses fréquentes vwitea en Hongrie. Il vient d'exprimer son désir d 'aller au printemps passer quelques semaines à Budapest. Note émouvante d'une infirmière français© : — C'est le 23 août. Nous sommes au lendemain dfuoe grande bataille — l'affaire des bois de Saint-£L... — et J&s blessés sont amenés en quantité... Ver» midi nous recevons uu général, que nous casons ils notre mieux dans une petite" TSSmbra. D'ailleura, il ne veut pas de régime particulier et, quoi qu'il sou lire terriblement, iJ ne songe qu'à faire soigner deux de ©es officiers. Par un hasard extraordinaire, un soldat de son régiment arrive quelque® instants après. Joie du géné ral : il va donc apprendre ce q ue sont devenus ses enfants. Il veut voir le soldat tout de suite : « Eh ! bien,, le commandant 1 — Mort, mon général — Et le capitaine ? — Mont ,mon général, x Qâa.Êre fois les questions se renouvellent et quatre fois le soldat, d'une voix qu.i s'enroue de plue en plus, fait lu même réponse. Aîora, le général baisse la tête et ne demande plus rien. Non» vooyn» des larmee coulea* sur son visage énergique S>a4a> rien dire, nous sorton» de 1a petite chambre sur 1a pointe des pieds, est grand silence, comme si nous risquions d?éveiller de leur glorieux repos ceux dont on vient de prononcer le® noms... D«a Français prisonniers en Hongrie, où ils sont internés à Vacz. écrivent au -t Matin » d» Paris : — Àioua n'avxma qu'à noue louer dee autorités crvdles do k» Hongrie et spécialement de oelkia de la vilàe de Vaca.. De»pou& deux mois envuon il nous esi périma de vivre libjes dane la vilre, sous la «impie astreinte de uou» trouver deux foas par jour h lia inadrui pour uta ooo<ur<kk-de présence. Quelques-ua» ds nos camarades onft pu trouver uo emploi rémunéré», et ce par la bienveillante entremise des afUtvorités elles- même*. La population ae montre très poLe à notre égard et témoigne mftros «tu Français une réelle sympatlne. Reoonnaissan'ta, nouo voudrions porter oes faits à la connaissance de nos ocuo patriotea, et demander aux autorités française» tsq traitement aussi favorable, pour les Hongrois interné® en Franco. "trn des correspondants do guerre du < Nieuwe Rottw-damsebo Courant > avait annoncé quw la ville do Fusmes avait été évacuée et que l'état-major gétf^àTfâge"' abandonné la locadi-té par crainte des avions ennenâa Notre confrère dit aujourd'hui q*va cette information est absolument erronée. — Fui-nes, dit-il. n'a pour ainsi dire pas souffert et le® très narov La pwpuJAtâoc nJa pas quitté ses foyers *A la vie reste normaU. On ne peut évidemment pas dévoiler où se trouve le quartier général belge, rmti» il n'est pas question qu'il puisse se déplacer sous un prétexte do crainte. Quant à une attaque allemande sur Furnes, il n'en est pas question. Elle ne serait possible que s'il survenait de très grands changements dans kt situation générale actuelle. Les ligues belges se trouvent encore très loin au nord die la ville. — La vills Id'ArrasJ■'a formidablement souffert du bombardement. H&WCucoup de quartiers ont été complètement rasés. Il n'y a plus en ville que 3,500 habitants au plua. La première lig«ne des tranchées allemandes se trouvo à L50 mètres d'Arras. JLa « Deutsch Kriegszeitung » raconte qu'en ces dei^ mers temps l'Amirauté anglaise a acheté une centaine de vieux paque4M»ts <ie voyageurs, qu'elle a fait chargw f secrètement de ciment et de pierres et agrémenter de constructions en boie oui le» ont transformés en de» simulacree de navires de guerre. Oes paquebots sont peints'cômmV <E« véritables vaisseaux et armés de ca^ nons en bois. — Quelques-uns de ces bâtiments, dit le journal allemand. ont été maquillés ainsi à Belfast, et sont achevé». L'hypothèse la plus vraisemblable t«t qu'ils doivent servir à bloquer des ports et des route» maritimes importantes pour le* Allemands. On prétend que certain» | d'entre eux sont déjà utilisés k la cfrte belge et que I d'au très navigu-e-nt dans le« eaux danoises. I^our bot à 'tout le moins con.sisto, à notne avis, k «ttirer tror eux les attaques des sous-marin» allemands et de lea éviter ^ainsi aux véritables navires de guerre. Le eomv-marin français Saphir, cooîé à Xenfcré» des Dardanelles^ appartenait à ma groupe de six eubznerth-bl<ei» construit» de 190G à 19H&, d un tonnage do 3!» k 460 tonniee Leur vitesse ast d« ll.t k 12~A milles marif» k (leur <feau; leur équipage eet de 23 hommes. Un télégramme de Stockholm annonce que le v&pew Vega allait de Rotterdam ee Suède a été srrêté p&r uco canonnière allemand» et conduit k Swinemiinde Le navire norve^j^s P»«ryr.T»sf>ord. qss a été k Kirk-wal, avait A bord 1S5 ▼cyagoura» «fc 4.600 tozasee d-> mxrch^ndi»n* diver»«a, «îtr«B antres do la maox;handise» 6m contreb&ude qae cositensut sa c&rgcèr son ont éoé eavoyéee &o gvmveraement norvégieBL D«s armateur» norvégien» et suédois ont ierco«» «a cour> (f exécjttirai «TircF'e^^ants contrat» dv tm$ »tee da grande» oompajç»^" importatiio*» de grains «t «k» f*»w-ragfaa. Ii» doives exécuteur on contrats eur 1a bas» de 1€ i » «K pw tonnes, «Ion» qu'fij» pfUT^t obtenir W plu» faeilefnveîit du monde ffi ek à U tom*- à Pheur^ ar> ttW»^ On ne g'Atmnnw» paa, dans ee« oonditioM, qtr'îi» rompent 1 eu r» contrat» et paient erapresM^mexit l'indemnité de 18 sh. par tonne qui est prévue ■es* c&n d» rupture. COMMUNIQUÉS OFFICIELS CDîSia'jaiquûa allsraands s Berlin, 16 janvier (Officiel de ce midi) ; La dernière phrase du communiqué officiel pnhÏK hier disant : « la situation est inchangée, le temps pluvieux et brumeux ayant rond» impossible toute opération », ne se rapporte pas aux Vosges, mais au théâtre de la guerre à l'Est. Berlin, 17 janvier, 3 heures apTès-midi (Grand quartier génital ); Dans l'Ouest. — En Flandre, il n'y a à releva que des combats d'artillerie, p-rès de Blang-y (à . 'est d'Arras), nous avons fait sauter une grande lysine et fait à cette occasion quelques prisonniers. |j^ur le restant du front, il n'y a rien à signaler, ç5 dehors de combats d'artillerie plus ou moins loi portants et tic la continuation des travaux de sape et de mine. g Petits progrès dans l'Argonne. F La tempête et la pluie ont entravé l'action sur tout le front. Dans l'Est. - La situation est généralement inchangée.Il y a quatre semaines, nous avons publié l'ordre •d'offensive générale donné par le généralissime français peu avant l'ouverture du Parlement. Les attaques de l'ennemi qui s'ensuivirent dans l'Oues' n'ont en rien entravé l'exécution des mesures opportunes par le haut commandement de notre armée. Sur aucun point, elles n'ont abouti pour l'ennemi à un résultat notable, tandis que nos troupes, an nord de La Bassée, sur l'Aisne et dans l'Arg^mv peuvent démontrer des progrès très satisfaisants. Pendant ce laps de temps, les pertes de nos adversaires, décomptées par nous, se sont éleveés à enrv ron 23,000 tués et (7,8fi0 prisonniers non blessés. Si l'on tient compte de la proportion démontrée de '' blessés — malades non compris — potir 1 tué on manquant, le total -de leurs pertes doit atteindre au ■noms 000 hommes. Nos j '-:tes totales pendant la même période ne s'élèvera tas au ([uart de ce chiffre. * * * Vienne, 17 janvier (Officie! du 18 janvier ptidi) : En Pologne, en Gaiicie et dans les CaTpathes, la situation est inchangée. Sut la Durtajec, nertre ar-tillene a obtenu, dans les combats qu'elle a soutenus contre l'artillerie lourde de l'ennemi, de nouveaux et sérieux succès. Viennes 15 janvier : La « Ne**© Fa*eie Pre-^s^e » d6b qite chaque, jour des ïxm-%'edlos -ajrrivcnt par téî-égraphie sans fil de PrzaœyaL l*s& Russes ont dû e<n rôtirez une parti-® de loin* tirmipc» assiégeantes po«n* les envoyer suit la Dunaij'ftc «t dacas iea t Oarpathas. I^o bombardameajjt continue, mais en génémî / avoo assea de reJAchemeat. L'artillerie niase cet fcn-a f qué« à la limita du rayon de trr. Le» essais d# retzréflsr f Pin voetisaranent de la fort ara—c échoue.nt con.tinc«Iie- I meiA grâco k }& réiCT»tiance opioiâtjre ck» a»piégés, «foi [ iajqudéitemt l'onnemi saa# inteomption et font tena» k» jours d-es prisoKniier». le» iadric&t.îoT*» dte» ofikû«r» ru«Re« fait» ptrv aonnier», bsm peaites rus»» drpuas le débat da »<sctasd sTèp-© a'éÙèvent à environ 25,000 morte, blfceaéa et ivm- f laden f4 Csœninniquâs des arraâss alliéas Parb, 15 janvier (Communiqué officiel de 15 kcm-res) ; Il n'y a, eu que des -duels d'artillerie entre la mer et ia Lys. Nous avons avancé près de Lombaertzyde et de Bccelaere, Au nord d'Arras, les zouaves ont pris quelques positions erixieirucs. Sur un antre point, même région, les batteries ennemies ont été réduite^, au silence. Au nord-est de Soissons, Les Allemands avaient pénétré dans le village de Saint-Paul, mais nous les en avons rejetés. Violents combats d'artillerie dans la région de Craonne et de Reims. Nous avons détruit à Saint-Mihiel le pont pour piétons jeté sur la Meuse par les Allemands. Rien de spécial sur le restant du front. » * • Paris, 15 janvier (Officiel dît ministère de h Marine) : La presse étrangère annonce que c'est le cuirassé Courbet qui agirait été torpillé par le sou^marin au trichien E-12. que oe cuirassé aurait coulé, et que le Jean-Bart, en se portant à son secours, aurait été avarié par suite d'abordage. Ces renseignements sont absolument inexacts : aucun navire fiança» n'a été coulé par un sous^roa-iin autrichien; celui qui a été torpillé par le sous marin E-iS, comme nous T'avons déjà dit* n'a suin que des avaries matérielles sans importance; aucun abordage ne s'est produit à ce moment et le cuirassé Courbet, qui ne se trouvait d'ailleurs pas à l'en droit de l'attaque, est à son poste, en excellent état. • * • Pétrogta-d, 15 janvier (Communiqué officiel de Vètaî-rrus}cv général) : Pendant la nuit et pendant la. journée da Ncravca Ai» mssa% le cakne a régné na presque ten# le fxactt. De faibles attaques aUemandcs cootre nos avazat-postes, dans ia régis de Lot2£û, ca échooé. Nous oontinnoos k harocles, sur la rive droite de la Vistuîc inférieure, la cavalerie enneiaie qoi «i soutenue par une fcroc d'infanterie peu œsportaute. L'eimeras, qnr ooss avions repoussé de Serpec, j avait occupé les endroits, gnéables de la Skrawa f^ta j se }etîr dans la Vrsfcuàe k l'ouest de Plock), nss» il a'* p« <*y meantenir. Stu Va rrw gauche à* bt Vistule, les Allemands ont réitéré leurs allaques sw différents point dr J notre front, principalement sur le front Borzymow^ ] Rawa. r Pétrogar-d, 15 janvier (Communiqué officiel ê& V état-major de formée du Caucase) : T^es combats ont continué le 13 janvier dans la g ion de Kara-Ur gan. M- Dépêches diverses Pétrognad, 15 janvier i Suivant un télégramme de Téhéran, i© goruve:ro«ra»aa# turc aurait d^clai^ &u gouremeroenti peraoci qios» kal Tiurcs eont prêta à. quitter l'Azeirbeâd^n si bem Rutieee s'ciigagt'jit à quitter définitivement la P-exsa. " ." 1 _ » • ' Paris, 16 janvier: ^ A la demande du ministre ds la guwrrs, 1» miœk5«s der, affaires étrangères a prése-nté à 1» si^natur^ dit fi-4* si-dent de la République un décret décernant la tséda£^$ militaire au grand-duc Nicolas, oommsandant ot. cké4 armées rusi&es. L© général .Tanockowitch, chef de l'état-major «fe néral ; le général major Danilow, son «djudaats et générailx Rousski et lvanof, commandant de corps d'a^ mée, sont nommés grands-officiera de la Légion d'fcsw nour. * 9 • Rome, 15 janvier : ^ Le Pape est sorti du Vatican pcrar visiter IltÂpSMë Santa-Marta. Oh fart remarquer qu'il n'a t»ntwiga peac qoitté ie d-omaine du Vatacaji et qu'il n'a par oorasaqiKyS pas foulé le territoire italien. Madrid, 15 janvier : La r^âne d'Espagne est alitée; elle stxiiflre de la ssaftth Latine. • * « Zuncn, 15 janvier : Plus de 200 ouvriers horlogers suisses aaas tr&?7sSR ont été engagés p&r une fabrique do Leydfc. ^ 9 Maidrid, 17 janvier : D'après un télégramme du cap Finwtètra, l«e vape»3»ç angi-'iia Massflia et Guhoch sont enorfei en caUmam pssc suite du brouillard. Le Guhoch a rapidement Le M-assiîia a pu en sauver tout l'équipage et a cosESaîas^ son chemin vers Gibraltar. ■n • * # • Pam, 14 janvier : On mande de Tanger au « Tempe » : La sifcoaiâcas $svu lifcique et militaire au Maroc est satwâaisswiî#*. "îW région de Khonifna et de Tadla on aitnonw ctw» lot bues rebelles de» Zaïrana, qui, chasséea par l<s bx«f «s la neige, avaient essayé <î*avancer ver« k-« nantfs pia.t»^se<« du nord, ont été repousaées par les troupes mobia^n pàô» c^es sous le commandement du colonel Do ri 20m. Le 4&3. opérations est drassé par le général Heray. ^ . : . ' V Pans, 15 janvier : Hier soir est arrivé à Paris un train transportant ï#8[ grand nombre d'habitante d© Orouy qui n'avaient vottàn quitter leurs demeures qu'au dernier moments I Paris, 15 janvier : f Le c Qauloia > dit que les Allemands ont prîs If^urs dispositions pour défendre la viUo de LUI* vm par ru». Le3 ouvrages de défense et tous les «kows® forts ont été réparés. Des canons ont été placés k csar*-tains endroits à l'intérieur de la ville Entre la port© de Dunkerque «*t la porte d'Utrecht» on a établi ifcaug franebéeB bétonnées et armée» <>3 mitrailleu*iia. La c Gazette de Cologne > annonce que le goovftrïL^css général en Belgique a autorisé les ecclcsiast.cjaeiî bs^sâ internée en Allemagne contre lesquels il n'caactc a«Ksrisç plaîimsii'rànFét&dSft&r" dan* leur paroi«so. L»» Cjbwîsbs^ Mercier, archevê<iue de Malin es, et ls Nonce dn sont a-ntoTisés k circuler librement dans les proTss&is* occupées par les Allemands. / Londres, 15 janvier : Deux chalutiers d© Grhrasby sont olfî.cieJ}eTrïejit cea^» Mrés comme perdue.. L'unirait à bord S hommes dFén*itèï >age et l'autre S. On n'en a plus d© nouvelle® depiusï èà iébut do septembre. »*• Berlin, 15 janvier : Le tribunal correctionnel ds Miin-sfcer a oondssçs^ ï l'amende six bouchers qui avaient vendu de la ï des prix supérieurs aux prix officiels. Le jugemacà. éê». Slare que les bouchera doivent céder leurs marcÊia^ iisea aux piix officiels, mémo si la vente k ces prœ fcs» v>n.^fn^.n^ ennftriyi.|. r ^ ******** ■■—. Le tremblement de te-rrs ^Pwrlaet'atTtramSementd» ttwa ^0 «; M&ssagsro » écrit que, d'après dos évaluation; «f. rieuses, on croit que 11,000 personnes sont en&evelvsrik ^.vezzano. A Cappadocia, toutes les maisons sont do~<^ lues inhabitables. L'église s'est écroulé©. La popcJo-te^i îampe à ciel ouvert sur la neige. A Castelo Fuukj, ^ue toutes les maisons se sont écroulées. On a retiré ^u'à. présent 20 morts, et l'on craint qu'il y en ait eno^. me trentaine soiis les décombres. Rien no reste d'AS# Fucense. 11 semble que personne n'y ait été sauvé. h&-nottié de Scuerola Maracano s'est écroulée. I>eô oaa.-iaintrs de morts gisent sous les décombres. Sur plus && )00 habitants, 30 solidement ont échappé à la mon-. I La moitié de Magliano do Marci est détruite. Le ïtg dos morts y est d'environ 1,2C0. Cesia est corr;pvli^. nent détruite. Sur plus 600 habitants, 30 senlem=afa& .ont indemnes. Capels Mauci est complètement >&>• miite : 1,300 victimes y gise-nt sous 1?» décombras. Benedetto est également détruit : 3..000 personnes, i-dire presque toute la population, y sont enseveiwv Drtucchio et Gioia del Marci sont détruites. *>»»p es» Jeux il oc alités vivaient environ 3,000 habitants ist détruite aux trois quarts : le nombre dea morts y * évalué à 4,000, soit environ la moitié de la popnlatkW Oologne, lô janvier. — Le correspondant de a « Gazette de Cologne > télégraphie : — Je suis allé aujourd'hui voir la déva^ta-ixia. 2&os* îu>t© pa? le tremblement de terre à Av^tze.^. J*d £»$ n'y convaincro qu'il n'y a eu aucune exJLgêrxBkm ézcMtt es premiers rapports, car la réalité dépasse toirt 'on peut imaginer. La dévastation est, en son >1ua tei'riblfi oeJ.W de V?. catastrophe de jfte&œ&B&w # v * Rome, 15 janvier. — Le Roi a visité aujonTrFhrif es blwtség du tremblement do terre qui ae trou^r-i es hôpitaux d© la vilie. H a eu des paroles d© .ion ofc d'encouragement po'ir chacun. « * » Rome, 15 janvier. — Par arrêté royal^ M- De-tz&} i&b* >ecteur général au ministère ds l'intérieur, s ttét kswo-oé commissaire générai rsi investi d*« tous itoyjp&v» >our prendre lçs mesures nécessitées Dar la catâstîbg&» lu 13 janvier.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Périodes