La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1917, 01 Octobre. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Accès à 13 juin 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/3j39020r7d/
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Luncli 161" Ostofors 1917 JOtJRNAîTQÛW"™' PRIX D£S ABONNEMENTS 0 mois <,•>., no / '.n )., décemb.), tr. 11.40; 2 mois i/jj no''.), ir. 7.GO; 1 mois (oct.), tr. 3.30. * Les inaandsi d'abonnement tonl reçue* txciasi-vev.tnt pur ld3 bureaux ei les facteurs de* postes. — Les • rai'.ion* concernant les abonnements doivent ttr-i exclusivement aux oui-eaux da poste* AOMISTRjmON ET RÊDACTIOIL 31, 6îant«ani'j-3ax-HGrâes-l3atagèr«sr Bruxelles* LA BELGIQUE PRIX DES ANNONCES A PA3TIP, DU I" OCTOBRE Petites annonces, Ja H ne, ir. 0.73. —- lîcctames avant les annonces, la ligne» ir. "i — toi ps du journal, la ligne, ir. 7.»î>.— Faits diva s, la ligne, fr. 5.0 a. — Nécrologie, La ligne, Ir. B.50. — Coin des Eleveurs, la ligno, lr. Buresux de 9 è 17 hsurcs. Direction et MaiRi:'.r\& M in«. mnRPSUFfr. OlRPCTEUa Aujourd'hui : 'DEUX. pages. ^ ■" 11 uicn Li GUEBKE I inèn ■"***" lilei 1,155° jour da guer?© g!;- n"K1" noli Rien i\ signaler. PBr _ m —* £ j QUI EST RESPONSABLE DE LA GUERRE dès Berlin, 27 septembre. — Officieux: J Lo ton chef LO 1" Ut-major j.sj.4, «eh iVJtko a I» B»« <1» 30 »» xl lo avec le oojor aeuvllooient ooloD'l-WotoJ-"*^ sui, v«> H-ieMeo,. «,"*««£ m- rat. lurein«u>,:m!-nl lu question co s?™"' . 5 sub. ui'i cornu te te» *> '«• S^rro. J.n ™£, Ia SU?0 „ »Unce. ilopiiâ un mémoire muiit 1 -,M ,la gin irai » , -if, 1*. M-mme f"L %%li >'■*' p»Lte,r^ r -TS".i1"jrtiAl?i» ?» "••"«I."» b.< do W-,-.ajor m'aya^ ^ ll&re^œ î ^"r/TrVSa^rl"t £ ""■■'f',-1/ , ts"u«crs. n'o ""do 'sa" ïropre U m'co ro'OK ire l'-îsait lastucUcciient s < la K"#J» tait t«:s Ils préparatifs n':CoSsa'-rtâ Jiunr m - -H -r dots i» •«« û-i i. »» *>r $r£ir, dt* circ.'u ,tM' •« militaires do Kl l, d U s a j j, ot d erito de» mewr» Pr "°. tolro aanlOKOW a» »»rf d«„ \ j? 1- °%° vu a R-r la Balimio. li tant reconnaît* ; J{„ l lraliilcli de sa mis» eu Mèoo t tout » » i. rai. e qu'elle ne mobill » pae, d.« "* " m;.'.-' « xMlk»*,» de telle sorts qua « J» «l'a \'(î::uit à | t;e elEe'-tlveoent deer-. e, soô ar- mies notaient j.x te» S marclter^ d» l'ayant mu- • le-eliauui. -'i l'Allemagne s avisait c.o su'i eot > il» mni-'iltt avant i|U» la Rncate _ ait , «mon®; <*lîi>~io:i-tns.it sa niobili ntioa, cei.o-ei d'-B'-areiait a ^ ia, ia 8 du monde ijii'el'C lie voulait pas la. ^ii-T,e ' tt on. est l'Alia.lWgne qui l'a p.rovo\u o. c est t ainsi irto i' s ctaoc»« £0 passsront u. ooKairatont ■ si no miatc:», Alliais-je, ia» va t jk s a la air-i.i.'ro t:. dVeialar une gnçtr-, qui n ii»cr:» i)01:r Ce* diz.ain^i d'ann ©s 'a ti\ .iiaMi-n do presque tout?. VÈvtropo. I/Ailaa»^o VeUi ' nos di-chniner < c«ï horrible guerre, nyus son, kmw , vc,:.S'. oui a couv--:.;iîco quelle violerait îatalcn.qat ^ if, i rnïavy-'TiJcr.ts solennels qu'elle a Pr'\ <i llc-(âJèto ftlii.vnWîs et qu'elio °^e:ifcr^< . l°yjî m, les srrtlir.er.la -''o Ja nation si el" s l-_-i.<"t t pas au fcc-ur- t'« son al'.i-: à l'heure ou 1 o j-( to m5û i'e rn "i -i c-;t en ;c i.> |K — .l'ai t . i.edit leg'n ral infovm ('.o ",u-: source» . antoris o» ôi'rf^ute-s ae ce que la luoUluat^u gn- ^ raie et d'e;^ el d'ji dcr-ie en •" £}" il J • i't> -ue i:o «ci t n°£i:ror maintenant le 'fi de la pr.ix <;,u'ao pris d'une grave hua il.M» ,n ,( nalioanilo. de? n î-ociu;i-i « e tûmes sou-- la p,Oi- d( pion do li mol'.lisation- ru-se u© pou.VL.nt ^ nt f( ue r.rvs -Vraivaloir h une humiliation nftUoi'.ile. > o, -' o; purulc3 m? lireut compren-ire tau«olvgra-vît de la cliuruioit et bou3 cette hopresaiou q je W.-.-.il Thapp- ces mots: , — S i! en est ain-i. lv: ellence. uot'.e e&is-tenco n:uio:::'.le cet très graveuv-ut now-c'e, et la moi--;ro h'vtit: Ùon, la moindre lerî-'iNersation <on-ti\ 1 u t .1 iron envers la p-tri > i Je c.T;i3 pouvoir 1k« rer de l'assena : e t < r»e lo cou r i ooloi.cl donnait a tr.es parcV.s. -r.sipn _ f ,,i ., j sçnilrs q\.o \ivoment c^pi'KU c <^u y (.- , -• ! » un corlain souh-'em-^nt au m. o t >-e ..-«ri-'ie une r ^'uticin gros e, e co..^ u-r- (\ .} guerre, poursuh l&-i1 d un ii'-n t s soi einiv digém'reia on une guerre mono aie d^- | UqMlle inlenindra i'Arfl t'ire. ll«n îr.roi eont j ,0" fi 'Oïl i mvinc d en im i; °r 1 1 \ dur o .1 h (in-, personne ra.ote • « î '"'i'' 1 '•« , au.' i.. i ' a «if c0 qu'il en adviendra.' l La t-• r-nioneil- nn gdn.ral-eolMiel tt 1® "i Bons nu ii c-\ '.t do voir ilo sangt-trovu le- choees r MM wu'cUl-i itiittit tt non pas te.le, qu on < t ùïuir'- 't ti c; i'. ■ nt. lui taisait r-c-toxOTt arcr-roveirj ce xontenl-U, qw l'Allemagne tait lu v^ila de devoir eofutenir la plus terrible l'ufle pour s>- : e î 'eiico. Il mit fia à lîiOlre en ■ Irttio.i sur ces mois : , — l'orna in, à i i i. la guerro mi la lîaix ( sera iW't ïouteli i». avant d» conseiller à , Sa .N* je t • i'e molvilisT, i'atUSndral encore qvc la nouvi Ho de la n^obi'.isation rus^e mo soit confirm e une troisième fois. > 1 Ce rapport du colonel von Hact e'i montre olai-renv-nt le dut île iVlct-n.aj ^r Se r-'nd - nt «•cmrfj co 1 v fvrnûiable r-S{-.onBabUitiqu'il atsumuxt devaM rien, 'levant la chef de l'arm o et. vU-•Vvis do I-i nation ne a est 9rr*t> o/.i avfC hi'rf-tair.i d foro; par une impérieuse n ccff-it i\ (l 'ciier la molli nation on. y voit a-eo^ q.i'-l.'i rigoOTVs'cien e il s'imposait d'obt nir une tir;=' - 9 fois, arent d'avoir avec la Ouro'.me son o d/oam d cisive, la coniirmeiion de la nou. vello ; o ls mobilisation ru-ye- "on aUiisx'.o o-t ah.i,di:;u>:.t dif!"renie de la l&aûtê criminelle ave- 1 ■.quelle les conseillers responsables de la Courom:o ru>'3-- ont déchaîné la qu'erre, j.e rap-port i'o à:'., i^gcliag, clois attach"' rupture a r.'ii-oer"-ï. vel'.'iiîit lui entretien qu il vcn.-it d'a-vir a-ce les {', n-raux Soukhonil'uof Çt Jrnoutch-licvii -r'i dvnn<; la preuve do c t.-' 1 .gecet •. inaj-ir von Eggelins; d'.t entre aulr^ uans co ri'.pii'. rt : « ~ Lu '--i juillet 1914» lo lentlemain >.e la pu-I-lïcct' n ('■>> I ritiinatu,m de l'Autricl e ^ lu. Se.r-I j >, i.5i jwtaol: -s militaires étrang_er* » i< au chou'p d'exercice «?e Krasnoié-b.lo, assister à do^» ma-.vxiuvres en pv seuce du i.-ar. Une routa nnnone'e pour 1 apràs-miil f-'t reiar d e do i ' — s d'une h© ire, à cause de la r union soùa la Dir/.'c^ff du Tsar, d'un Conseil n »a Courov-ne. 1-r.s e xrçices furent atrrg-^ô tt _ on rous i'û qu© icj manoeuvres étaioiit su®;''en-.lu».a dans {ù""t l'Kn p.'re les troupes ayant re,u i'ordr0 de re.'jt.ia-jro jeur régimei't. Cet avis y.r ivo uia un grand et-'-hou. i;.-iro parmi le» officiers russea. p- v.r (.ni la mesure i.e pouvait avoir ( d autre Ei-^i-iîi'":i;;r,n que la mobilisation ce l'arns-e. I-eur erJhou-i "s:i:e 3'accrut cncv>re du tait do la pro-n;i.! : n pr no tarié des élèves des t'colca ':-i!l-tnire.-. de l'C-irograd nui turent promus au raing d'ohlc'c- i•:::n'>li;vter«'.ent apr-'s la revue pa-^ e p'-r le Ts-"-. Celui-ci s'exprima en termes cat gori-iu a et uv'iro ivuiant ie dii cr qui sui\H lu rovue. Les iewr-e^ officiers disaient leur vue d'approu rff qu'on allait enfin marcher ctj tee 1'' . '.. i ':.;; et iis donnaient libre courts à ic :r 0! : • 0' ( oi/iro c-o qu'ils ailpel ûiat l'arioganoo &\x tr»hv:'aîio. Le p:i".ce Pierre de i^nt it ;.ro, qu'.t n?'-i : :i r^i mo dit qu'il tait en mtewre d'ai-i: :-r'r qu'un gra'.Ld crthoi?3iaeine p-uir la nuno r-,ul v<.;t son pays et que la RinMilsatfan V iLiit r,jn plein-. Tout 1j monde paraissait avoii- ou' i : ? q;:ç. nous étions le3 alli s de l'Au* liicl.e. Lo dîner fut suivi dune retirVïntatiom C: 1 ir: lo à laquelle je no pus aesiste*. Pius tard, on m'a raconté que cette repr sontation ô-,-V.it t 'r - en une r.tfuilfcotation eauvage^ en DionaCir d.'; Il guerre, dont ie grand-duc Nicolas avait pria l'initiative. Le -< i il .t au soir la g'-n^ral SoukKoSnlinoI m'a f it '/• ;;-' ndcr au t T phone, chea m> i- et m'a p:i3 do ; • ':-r-v chez lui. il m'a reçu cordiale-i.ry;:i. co'::«.e toujours. Il n'a dit que iNr> Saso-nr.f i'avfa pr'-j, en vue d'éviter tout m-nl.utendu, ( 11 me doitier des < cl a îrci?Sem en ts sur les inton-i;.\n milU-iiros do la. Blassie. < Le Ts-r, me t.'.i il. a e.:.;:-:;;:' la mobilisation des ' distric.s t;>u-ri ;-:t à J'Ai;'.;iche-lloiîgri?, pour le cas où l'Au-tii, i e rin attaquerait la Serbie, mais aucune ir•.!••::i l l (1 no d>oit or/oit lieu dfiijfl h» dia-lii p. ; qui se iiennent depuis Varsavie, V.'ii,.-! et Pt'trogi-ad, dans la dircciioin do l'Alle-jnsy- 0. Potrr Varsovie, la question _ avatt <tô d'abord ( • ieittf.e en suspens, ce district militaire tau ■■■■s deux empires. Cn des minislree a ! infetlstô pour que, dans ce district 1 v mol i'L-;!-i'>a qui eùi pu provoquer la iu^. ii-, e ' ' l'.'iilo ii-'-gne, r.e f t point dûcr-'t e. On s'e-'- ro'ii' à sa proposition, car, quoiqu'il aria-0, on d'-iî-e que la paix avec l'ÂBlemagtoe e«;ii poii ; troubla et qu'aucune atteinto ne *ât poit'e à l'a-j.i.ii tradiyo.ivnellê qui leS uax-is. > ■l'ai donn6 au minislrc l'assurance que Je ira.:. .• • treis cette communication à Hoflin et que j'.'-; convaincu qve l'on y anptf.'eicroit plci-1 ■■ t L-2 i 'Lîntions amicales de la lluiEte. J'ai ■m îuiô qu'il était da mon devoir de f'-i o ; ' ir que touio rupnivce dlxig'û confie r.cs ,-.î i'ô c n Situait également une menace pour non, • i qu'on ne pouvait pas interpr'-cr autra-r. . : t 1 s chcSM à Berlin. C'est pourquoi j'insis. » l a lia de a-, tire mon interlocuteur ea garde to; ! >-o lo? 1..0 ures graves dont il venait de me par'er. ; Ilf riposta vlvcfenent que "l'on vou^. 1 t prôeieltL-jntt C-viter parère \ni6;-pri*tai. et (!»ul3 c'était afin do me mettra tù J faire connattre h, Berlin l>a intenlicns ami- ( 1 de la Russie qu'il ma donnait fci ouverte- Tja tos oxplicatioi^ : ..C'est pourquoi, m0 dit-il , devez, ^tro clairet vota montrer ^iucéra visa-do nous. Au surplus, la mobilisation contre txiche n'a tj c-nvigag/e que pour une eoa- mi; ture pr-'cise. Elle n'e;i point eommono-o ot a e n'a po;i <ti commande jusqua présent. qW . n'a éto fait, aucuno voiture n'a '*0 r-quL ma nn/'o, pas un eoul rlaerviste n'a '-'t convor Dulthomlinof m'a fait cette déel'.ration solen- ^ iment et sur l'honneur. Aujouixt; luui, il m ap- Utii vt clairement quo Soukhomlinof a chci-clii à «ai iduiro en e^-rCur j les indications qu'il m a n'es étaient fau s'e., sinon en ce <iui con»-^ait les ordres effectivement doinmès, dui moins co qui regardait lCc iulenilons g'n'r.dcs qui, ce moînient là, oxlstaict t. /rxtret^a que j'ai eu le uO juillet avec Jan- clq ichkeivviî a été soi.^Moment diff-'rent de i quo je viens de rappeler en ce Fe'is quo . )( langage de mon inlerlcciîteur a été tout de ' 0 beaucoup plus clair. Januluia?hkewitsçli ma 1* idé chez lui co jour-là par ^1 phone, U |>o af.'i:-mé. qu'il revenait de Krctsnoja Selo ^ oia d'i avait ét/i appel j n;r le Tsar. 1 -o ministre a y la guerre me di>il l'avait oîiairgé de me ^ mer une fois de pl s des indications au su-de la Situation militaire. Il avaij jvour mis- u de nJo coniirmor express raTînt qu'auQurye a a iification n'avait t- apportée eurc me^ares il Soukhoraiinof m';./."it fait part deux iours jrji lara-vant. La mtobilk-alk^n contre l'A.t.t; i'ho :clstait qu'à l'état do c projet >, 5"o deviendrait t •tive que si l'Autri. ho attaquait la Serbie-Tsar, »joutait-îl, no irait nulloaent ia bili-i^.litita dtw dûîti'lct" mi lit' irea situ & dans dji-o tion de la lroiatirro aUômandJe» et &*• à- présent aucun comnu acement de mobilisation lîli me co>r.tre l'Autriche n'nu i- eu lieu. i lo fis io:ri.0j-quc,r au général que j'avais d)j " nbr. 'aScs iaf. u-m .t; >ns qui mo r;i»-J «ioait de Lll tclare quo de ; mcni:re3 avaient été, prises on lii 1 d'une mobilisa.ion. .ïanau iC'iIrewiteh i' e dé- c--i ra que co3 infi>r,ac tion- (tai.|-t . 0^. 11 (.i[ donna sa, parole d'honneur qu.il n y avait , ^ ni rappel de r V'nt-t ni r •qu:^;ii.>ns de ;vaucc et qu'aucun© a; t e mesure do 1 espèce LV*ajt it'i prise ajoup'-ut qu'il no pouvait é\i. U-jucent pn'dire co qui pourrait arri- -r par ( la à-ita- Comme je lui dirais r.ue Fon lançage était ^ ur moi une énigme, il s'of'rit à me coniir- QJ ■x par écrit ce qu il m'avait dit ea y enga ^ int ;-a parole d'honneur. Je reînsai en disant 3 c son affiiutation vérifié me suffisait. le gtV t< rai tira on-suife sa moi Lo d!e son gouss t et C nstata. qu'il i t:vlt exact.r-ent trois liOu;cS. 11 p ■ tiit : c Si plus iai-d il a'av-'rcit qi c je voua Cj dit une h<-«se contraire ii la vérité, vous i.frc''. t r't.-ndre h la f:ica du mon -e enlier q«e /J jc.i ic-t 1'l'i, à 3 heaies de 1 ;prls-mivïi, le ef de IMat-mpjor ru>;0 vous a mer.ti >. il Le ton de ait > entre-ien n'a eessi d'ôire extr'-m'ent coiiT'-ct, mais il L;t cependant beaucoup {,, ils mesuré que celui de la, convcr-ation quo " vais en doux jaura aii]i'a'ayar.:t avec Souk-ludiauf. Je n'ai pu me retenir <Vo::]-.i 'r au ^ n'r.,1 b sc-niinient do d caution que j' prou. C-h. Il IV du ie U compris, puis .1.0 depuis i> l'a i' l r*. Ayant dnr:s sa poc o l'ukïv-o du a >ar (Kcr tant la mobili. :;ion, il re pouvait me •nner si parole d/honncar qu'en co qui r; gar ,it le texte, mois non pas lo seoc r el do si ,anni:-ation.' Ln jour viendra où le cor, a de; f ici r -> russes aura honte do ceux qui, à ce ?, Ginvnt l , étaient autorisés à) repr «enter l'ur- (] 0 ru. se. Signé VON EGGENING» Ktajor. —- — M TAPE El LA "PAIX \ Paris, 30 sapteaibio : Ou njan» 0 do li jui'" ;i-l'^Eeho do Pari«" : ' —• l^o L.'j.e a convoqué les c/ird'inaitx les 1 Itis mi'L.'onis pour ùiscutcr la r.'^oauae do 1 Ali.j.iia^no à Ja no-le du .aiuit-i . i'0 en fa. ' °av tli la pai,\. On dit quo lleni'jt XV ; iOi;r»iiiv''a bty c-L..-u> jracti'istôs, m tts que 1 on ailiturîû déj.Cadra to*tefoia des evénes- * ' Milan, '29 5^ptc:nbiJ : Le „OoiTÎL'r0 d-lla tera" de.nan^ pour-luoi pilaire ne rôpond pîts à la note, da Jape- li convient de ne pas oublier que, [■ans divers pays de l'En lente, les cat'uoii-iiiCs forment une puissant© minorité et ju'ils S0-. ♦. majorité dans d'autres. En ne •Apondant pas au Saint-Père, on tes m-'ioon-entei'a et, en outre, los pCuplea Siniraient >ar &e convaincre <]ne ce sont les ministres lui veulent continuer la guerre. <i>- La guerre cous-msrlnè Copenhague, 20 septembre : On mande de Stcvi-.iioim au „Beriingclie ridendo'J : — Lo vapeur suédois ,,Bongvik", qui transportait 2,000 tonnes de chnrbun de lvotterdam à Gotheburg pou" lr3 compte des c'-emins de fer de i Etat suédois, a été capturé par les Anglais dans la v.ej du Nord. — JUJSJ JL3MM!±îia, 'U'JS Londres, 30 sepiombrO : On mande de Washington à VAgence Reater : — Le ministère des affaires étrangères annonce que l'ordxû donno par M. Wilson au colonel ilouso, son ami personnel e* Confident, de recueillir en Europe les docu-menis '"avorabies à une Gonfér-neo do ra pal-:, ne signifie pas que les ELls-Cnis eiGomp'.er.t une {>ai;v prt>ciiaine. La mission du colonel Ilouso a simplement pour but do documenter le ministère des affaires étrangères. On annonce en m Grue temps que 1e gouvernement américain n'a pas l'intention de sq m 1er, lors de la conclusion ci?; la paix, aux discussions intéressant les djliu;itations lLo frontières, pas plus qu'aux autres questions de politique européenne exclusive. * * Washington, 30 septembrel : Los Eta!s-Unis ont consenti une nouvelle avance de 40 mil j ions de dollars à La France. La somme tota'e avanc e jusqu'à présent aux Alliés se monte ainsi à 2 miL liards 465 millions de dollars. ^ * Paris, 2-9 septembre : Le ,,Nû\v^Yot'k Herald" annonce que par suite du manque de main-d'œuvre la ville de New-York est à la veil.e de manquer de charbon. On s'attend aussi à un manque de lait par suite de conflits survenus entre producteurs et marchanda de lait. * * # La Haye, 30 septembre : On mande d© Londres au ,,Te!egraaP' : — Des informations remues de New-York annoncent qu'une grève importante a éolatô dans les chantiers navals de la Bethleheïn-Steci- Corporation à San Francisco. Les événements c-â Hiissis P^trograd, 29 septembre : La situation politique reste efetrômctaieftit troublée. A Moscou, M. KerCnski continue à négocier av(» les partis politiques ert ess-pèro que la Conférence démocratique ad-mettra la constitution d'un gouvernement de coalition. M. Kerenski tsnte l'impossible pour arriver à constituer un pareil ministère; toutefois, les milieux officiels dbuteuû qu'il r'ussisse. Certains prétendent que le nouveau Cabinet sera constitué dans la huitaine, 6oit avant ra fin de la Conférence démocratique. '---.1 imsteidam, 28 septembre : )n mande de Pétcograd à lJ„AlgemoOn f- idelsblad ; : ^ - Les délégués cîe la preL>o sont auton- ----- à annoncer que la. nouvelle de la dé- n ■sion de M. Teretçhenko est inexacte. Il ^V u en effet dîclar^ au président du Conseil \ vu la simation. internatiomule il os;i- .r it ne pas devoir donner sa démission, niKÛ .s qu'il subordonnait la continuation do services à la constitution di'un gouver- Par uent national muni de pouvoirs sutt'i- tions tts et libre de toute pression. -ourb ♦ * # mt'es. Pétrogradi, 30 septembre : Lu Lin collaborateur du ,,-Ojen" s'est entre- vioiet u avec une haute persounnlv.j du monde io so d orna tique russe au sujet de la nomina- Comi u de M. Befremof, ancien membre c'ua /la repou uma et ancien ministre de la justice, en rC-011 ilité de ministre de Russie à Berne. 4>es De n'.païk'rs de paix pouvait être enga^js menti tn moment à l'autre, la ilussie a tout les o âiitage à être représentée à, Berne — un No ; cemli'és diplomatiques — par un. homme que Liiique d'une finesse l'emarqua-ble et cotv- ainsi ssunt à fond la situation internationale, et M Lo collaborateur du ,,L>jen; r Suma son l'ei'Lc 'VJessiVqi en disant que si la paix n'est paiei s encore imminente, la diplomatie russe prépare toutp;0is à la négocier. pa * * Fitrograrî, 30 soptem >r3 : La deuxiêiUe séance de la Conférence dé- cn^L.ô .civUiqiie a ^té ouverte sous la pr sidence M. bkobeief, ancien min sire du travail, ^ j, dans son allocution, s ?st u Ctaro par- solr an d'une collaboration avec la bourgeoi- juf 3 active et rneme avec îes Cadets, sauf le* ^oa incsnts d'entre eux compromis dan» la re- trt>nt lilon Korriiloi' • M. Zerudiiiy, ar.c'en ministre de la jus- ^ a, a commenté l'attitude ces Cado's vis- -10 vis do Korniiof et a d:';darc qu'oiie avaifc. ^ n > 4ionorable, étant doen.-. que les Cadets ^ 1; it été les premiers à dire que la seule c()!ltl iue possible était la d^ciatuiC de M. Ko- ^igur ins'ki. L'orairur a exprinio l'avis que la onf.'rence démocratique dliit engager des cuto: 3ui'pa-riers avec lo gouvernement pour jculS ■éer une sorte de Parlement avant la let- gât e au Siodn duquel tous les partis seraient Nt jpr^ssntés et- devant lequel ie gouvelne- la ont serait responsab e. tre M. Plechnxof, anci&n ministre de l'aUmen- savo tion, a déclaré que la crise ne pouvait tran; te resoiue que par un Cabinet de coati- pour on, Ja démocratie n'étant, pas en éfcit de lrau; Hiscrver seule longtemps le pouvoir- Il a n^'7- Lsiâi ; sur la nécessité d'une collaboration ^ veo les Cadets '^t'a1 * ""b- Stockholm, 20 ssyUaubro : ®ÎI'" Dat» un ariioto «i&trimanKat viulout, M. t""u îavime C-i-orki attaque la politique militaire à la Quadruple Entente, qui poursuit vis- -vis de la ltuss'e une poii'.iiue de bluff ot -ui, ces dernic:s temps, a pius cyniquement ,ae jamais joué la Lui-. sic. La Commission . cn!j"iKte chargée d'éciaircir 1^ cîo Korniiof établi d une mauièi'c inoonlestahio qu'au. :i'èi des bûoupeï de Korn-iloi1 mar-n i-t sur trograd so trouvaient des autoinobiips à}1- »'Jnd^s anglaises avec de» soUa s angatis. ' ,1. Oor-i signale, en outre, qu'il est au ^ce iourant des ino'.den's qui sont survenus dans es ambassade- des Aillés à PeUlagrad. F ,Tandis que ces pilleurs iuterna.tionau^, lem ijout^ t-il, trompent avec un cvnisme inouï il î â Eussie eptusîc, ia diwlomuie itanvii^e tfç ilL-re La (eneur des lettres do M. ri eret- ]>lai ilicuko."' M. Gorki te', mine en e-. primant M .a conviction que les Alliés ont d ,j v pré- [>ai*é un projet pour conclure au moment. 1911 opportun une j;iix sôpar e avec les Puis- trot sauces centrales aux dépens do la Russie, t :;i C3:« Londres, 29 septembre : gar Le correspondant à Pétrograd du ,,Daily abr ChroniclC' tait une descriîplion très noire de je la situation en Ilussie. plo — La cr.se, «'«rit-il, s'éternise par suite qui ^ l'épuisement qu expliquent la Longiio du- q'u, c-e do la guèr e et les abus de l'arfeien ré- : o-îiae. Ou constate une lissitude proiomb. m-« iyes difficultés de la vie dans les villes, les vii pr.x sans cesse Croissants des denrées a!i- ( ment-aires provoquent ie mécontentement et avj une dîcepiion générale, 3, incident Korniiof ri<] a aio-uisi davantage encore ia mjfiançe et ^ achevé l'œuvre de d s organisa tion Le gt'n- *.ic vernsoient n'est plus ou une oinl.re eb c'est io Soviet seul qui détient vériUvblcmeut le r pouvoir. Le ptes,-ige de M. Kerens'û, qui t n'e-sî appuyé su - -samment par aucun parti, qu a beaucoup diminué Nous vivons au jour ie l'ouc, conclut ie , ,Daily Chronicle nous t) uoùfrissant de bruits, poursuivis par de? [eu ïa^tôme^, et nous tombons dans une depres- ,'t^ ston générée qui tourne de plus en plus nos au cauchemar.'' (Vj * * * avi Pétrograd 30 eeptornbra : ^ Lo gouverneur militaire de P<'; Irograd, Cn au raison des dbfic .jL's d'approvisionnement avi do la capitale, a décidé que toute personne l 'i: entrant à Pétrograd sans autorisation »pè-ciaio dos autoi-'t^s serait frappée d'une 6 amende de 3,000 roubles ou de tro:s mois feu d'emprisonnement. t(? L * nia Pétrograd, .29 septembre : * Ou mande de Heisingfors à. l'Agence Té- j,,, l«graphique : un — Le président de la Diète ayant enlevé fro les scelles placés sur la porte de la salle Ije! des s'jances, quatre-vingts députés socia-i^'es ^ ont tenu séance pendanf une heure et de- lprJ mie. Ils ont voté divers projets de loi vi- cei sant la journée de huit heures, Fôgali-é des juifs devant la loi, l'exercice de la souve- rainetà de l'Etat par la Diète et! la respon- ^ sabilita du Sénat vis-à-vis d-'elle. Le centre t.., et la droite n'ont pris aucune part à la da séance. f'« * bo Holsingfore, 30 septambre t Ou annonce officiellement que le gouver- J, neur géntral de Finlantle a tlioicl^ do dé. a férer à la justice lo président et le« misn- io bres do la Di6te qui ont pénétré tle force ^ dans la salle des séances et y ont délibéré. ^ DÉPÊCHES DIVERSES ■ ■■■ - -C" de Genève, 29 septembre : ^ D'après les journaux de Lyon, une Conférence militaire dos Alliés se tiafïdra la semaine prochaine a Paris j elle s'occupera non seulement des mesures qu'impose la situation de la Ilussie, mais encore de la proposition faite par l'Italie do concentrer toutes les1 forces disponibles de l'Entent» 1* sur le front méridional, entre autres l'ar- n ruée du général Sarrail, qui rendrait plus s de services sur Plsonao qu'en Maoédiodnei. d ° Paris, 28 septemlire : Le Conseil des ministres s'est occupA l [lier de la Conférence qui a eu lieu entr® li MM. Lloyd George et Painlovéï. n D'autre part, le gouvernement a pris des r< décisions qui n'ont pas encore été rendue» publiques au su:'e(t des affaires AlmerOyxIa b ot Turmex. Le bruit court que l'arrestation de quelques hautes personnalités est iinmi-nente- "> l ;QgytMUMlQUÊS îunifjaés de3 Fîîissaaces Centrales. ^ tin, 30 septembre» — Officiel de ce v; Théâtre de la guerre à l'Ouest. ^ jjari suite du temps couvert, les opéra- ^ ,w ont été moins importantes qutt les pr cédents auprès de toutes les ar- j avi' ïlandire, le duel d'artillerie a été ^ t sur la côtej il en a ét)6 de même mi. r depuis FYser jusqu'au canal Y près- ^ a îes. Sur plusieurs points, nous avons ^ 3so dies attaques de dctachemien'ts dje laissance anglais. j ,-aufc Verdun, à l'exception d' une ^aug- j i.on passagère du feu de 1 artillerie, ,u0 pérat*ons sont restées minimes. a;(,. ; aviateurs ont encore une fois att-a- ° es docks et les entrepôts de Lfondre?, j que les villes de Iiamsgate, Sheerness >. rirgaie. Des intendioî ont. témoigné de onî aciié de notre bombardement. Nos ap- CUL s : ait tous rentrés indemnes. ten Théâtre de la guerre à l'Est. ont i d'opération importante à signaler. me Front macédonien. ^ îjf1 aoniîades plus violentes qne d'habitude ^ la lac d'Ochrida et la Czerna. ^ 'iiu, 30 septembre. — Officiel d'hier ^ : I oiz iqu'à présent-, on ne signale aucune ac- J ^ de quelque envergure d'aucun de nos > d'armte. lit; * * * I lai [•lin, 29 septembre. '«— Officiel : J on •JS septembre au matin quelques-uns tiit :.s torpilleurs qui patrouillaient au large M'a t ct>'..e des yiandres ont rencontré des I q, c-iot'pilleurs ennemis en nombre fc>upé-et les ont pris sous leur feu. Pen- J lo combat, une forte détonation a été on due à bord d'un de ces oontte-torpil- p-. Nos sous-marins n'ont subi ni dr- vq, ni perte. s .( « Mis-marine ont encore coule, dans | ianche et dans l'océan Atlaniique, qua--;ipeurs, hiu'u voiliers et un chalutier, à r0 ir'; le vapeur anglais armé ,,Zeca",qui j,' t.;, or Lait tonnes de charbon, le va- x français armé „Saint-Jacques", qui en Sll t t lit 4/ 00; ios voilieis anglais ^ il'-'. „Lûura", ,vMiss Eose", ,,Mary j (1( ', ,,y»ra'ter Lily", „Jane', William- ^ nt ,,Williams",, it on'•'in le cnaluuer I .. ais „lîoso Cro-s'". Deux voiliers étaient bl gés de terre glaise et los autres de e bon. * icnne, 30 septembre. —- Ofi-Ciel d'hier I Front, de l'Est et Albanie. qi ien d,e changé. le Front italien. ai «r le versant nord du monte San Ga- I m le, l'aciivité a consiiV*rabl3meat augmenté tr tensité. Auix abords du Chiesi, en Ju- j ei vi' . une attaque i alienne a été repous. . g p .r nos troupes de couverture. J Sur mer. j lr n dirigeable on a mi ayant, le 18 sep- j u ,ro, arlaqtié Luisin Piceolo, où, du reste, -e causa pas ie moindre dégât, en guise ;c -ailles, iuiG .eaeadrills de. nos liydro-k' .s est allée attaquer, dans la soir-'O du s'jjtembre, le hangar à dirigeâm es de M-, près d'Ane me. en septembre d î, co hangar et le dirigeable qui s y a-,vait avaient, énî détruits par nos ayia-s• denu s lor3, no-> adversaires l'avaient a is en" état, (,'e.te fois-ci encore, le han- ji a été atteint. Le dirigeable qui s'y itûit a fait e. p'oiior., en binçant un jet flammes de l»o nièlres de hauteur. L'o.:-ïion a été aperçue par d'autres avions c se trouvaient, à 20 milles do distance- I i.s nos appareils sont rentrés indemnes. ^ l la même heure, quelques avions cane- 1 - ont attaqué sans aucun succès les en-jns de Pola et la ville de Parenzo. )ans la matinée du 28 septembre, des on s ennemis, survolant l'Adriauqne mé- ! , on a le, ont bombardé sans résultat un nos navire-ambulances portant visible- I it les marques distiiictives obligatoires, j i Crlin 29 septeanbre. — Oîiicioux ' • r lo front en I'Iandie, i» tcnnps darr-'t j ' >nt ni.';i le' cc^ibats a. Coi:tln«-> .Ie ,c-le.ubre. (" Hes tle nca pt^itiona qvi s® I lent (lo'ruds la ■•••'te jusqiu au ho-is d U nul uns; ,V t'f' prises dana la ïoatin'e q.ne a,.uy un nîcLr.-. Le f«R$ dé l'o.-râ:îu-rie ennen^e na ' r p ;; violent que contre » ana qne ffurreeui • positions aiUw.r d'Yprc». Tandis ( que les ; ■lîiia nexkCutaie:i pas môme une aUatiuo par- 0 cVmis la re;tti t 'e, les patrouillas et 1 6 j . 1 tours ont ét*' actif». An nord et au nor.Leît , pr0% nos p trouilles ont fait do'- prisonniers ; cours d'opôratiooie fructueuses. Vers nnùi, des tf::8 onnQaîiï ont survolé la e-jte <« vainiement . 3J des bombes. Depuis uii'i sf• .1 ment, Li cn<-i^iade csi devenue plus inUeuse «ur lo front Flandro ; file est devenu^ trèa viol ou te a x. 3a du soir, pour transîotim-r ensuite on roulant dar.3 la boucle d YprtB. Le leu, liant a été eiuivi dl'une attaque parUeUe enne- I i proncnû'e dans la r gion de Zonnfîbeke; elle 6tô ropouss'e et Anglais ont subi oe lortas j tes.  7 h. 25 du soir, la canonnade a ni-rné d'intensité ; d-,pjuis, elle est dirige avec ) force varin-blo contiie no3 positions, tiur, !« nt de bataille principal, dans la région d Har ieck, nous avons r .'S=i, le 27 au scir, a re-eeeir 1?- oourbe d'evito par notre ligne la plus uc'c, soi» la pi-esHon de, l'ennfciml ; puis, ie avons avancé notre positio>n de quelque-? itair.es do mètres. . | Lb Arlois, tians la r-.'gion de Sainte Quentin, et : lo front de l'Aisne, l'artillerie a clé active r ùrcoups. Sur la rive orientale de h fou d.e l'artillerie ennemie a augmenté d in- i sito depuis midi et est devenu pins violant I it3 quelques seetenrs. Dans la région dut bois j Wavirillo, près de Beauonont, et à l.o-t dis 1 is de Oliaulnes, (les patrouilles ennemies qni I aquaient nos lignes oait »Hé repoussoes, tandis I 'uue ripera tion ex^cu^'e par nos troupes d'at. iue, dane le coin nord-est de Saitogneux, nous valu des prisonniers et des' mitrailleur les. Ltans I Suntlgau, une attaqua partielle fcaa^afae a I loué près de Biesel. Parmi les prisonu^ra qui nt rc^t s entre nos mains £t cet endroit se j mvo tin officier. Sur le Sereth inférieur, immédiatement au nord confluent «le la Putna, près de Calieni et r lo Daniub® à l'ouest de Tulcca, d'importants | tachoments de rônonnais^ancQ enniomis ont lent'. passer 1* fleuve et d© pénétrer dans nos po-ions ; ils ant éii repoussas et oi-t subi des J rte». Communiqués des armées alliées Paris, 29 septembre.— Officiel de S h. : i Grande activité de3 deux artilleries sur » rive droite de la Meuse» Des coupa de ain ennemis sur nos postes avancés au îd-êst de Saint-Quentin, dans la région Ailles, au nord du bois dfës Caurières, at échoué sous nos feux. En Haute-Alsace, à l'es» de Seppois, ous avon# réussi une incursion dans les gnes ennemies', détruit des abris eti ra-ieué du matériel. Rien à signaler sur ie jsto du fron^. Aviation. — Des avions ennemis ont bom- irda la région de Bar-le-Duo. « Paris, 29 septembre. — Officiel dje 11 h. : Aucune action J'infanterie au cours de la ; OFFICIELS [' née. La lutte d'artillerie a pris une J z grande intensité sur le front de \ sne, notamment dans les secteurs du t théon et d Hurtebise. u* la rive droite de la Meuse, le bom-lement continue violent de part et J ;tre dans la région au nord du bois de ( urne. JouriJte calme partout ailleurs. ( •ans la journée du 27 septembre, deux ] )ns ennemis ont été abattus par nos pi- ' s. Nos escadrilles ont bombardé, dans la ( s du 27 au 2S septembre, les terrains . nation de Staden, Eoulers, Coriemark es cantonnements do la région. * * . iO^drfiS, 29 septembre. . - Officiel : lu dehors de l'activité réciproque habile do l'artillerie, rien de particulier à îarer- * * * lomo, 29 septeimbie. — Officiel : (os troupes, attaquant hier par surprise, réussi à améliorer leurs lignes établies re la Sella di Dol et les versante sep-trionauK. du mon'te SaurGabnele ; elles fait prisonniers 8 officiers et 216 heun-> et se sont emparées de quelques mi-ilieuses. Nous avons tonu et fortifié le •ain gagne quoique l'ennemi, revenu de surprise, ait prononcé deux contre-ut-nés.<jous avons concentré nos attaques a-é-anes sur le secteur militaire de Voisina (Karst) et y nous avons lancé elfica-lent environ trois tonnes d'explosifs. En re, nous avons bombardé la forteresse marine de Pola — sur laquelle une importe escadrille de nos Lanceurs de liombes de nouveau lancé de nombreux yuc.,ec-:s — le point d'appui .d'S3 sous-marins et rsenal. Un appareil ennemi a été forcé atterrir c.on.s la plaine de .Sanla-Luoia olmino) ; notre artillerie l'a détruit. Ija nuit dernière, des avions autrichiens t lancé des grenades incendiaires sur Imanova; dégâts peu importants, pas de aimes. * c * Pétrograd, 28 septembre. — Ot r-'iel : Sur les fronts nord-ouest, sud.oucst et umain, fusillades et engagements entre '.achementS de reconnaissance. Dans li mer Pal tique, sur la cote, au d de 1 ; le d Oesel, une canonnLa o appar-. • ; . 11 à notre e>cad!re d'Ochots^i, a été ulé'o par un sous-marin ou par une mine, n canot, contenant) il matelots, domt 4 ;r, s'est échoué h> la côte la soir. ni m nfi^rTvv TiTrmftTH» Dépêches Diverses Paris, 29 septembre : L ,, Humanité" annonce la première atta-ie de; socialistes contre le minière Pain-ve. lis deai;indcnt au gouvernomOut pour-loi M. liibot a déclaré que le g>ouverue-ent russe' s'opposait à la publication des :i-il -s sec; e's do 1 Entente, alors qu'ils sont i pcssesiiou d une déclaration cto Pétro-:ad affirmant que, depuis la chute du 3ar, la iiussie, loin de s'opposer à cette iblitîation, l'a au contraire réclamée avec sUt-»nca. .L'intGrpclii'tion a et sign e par .2 députés. * + * Paris, 29 septembre! : La Commission des aTà.ire3 _ étrangères ) la Ch:imbre a approuvé le projetj de loi ■ tarant les il s Waliis colonie française itonomo. Il s'agit d'un groupe d'une dou-i ne ù Jcs situ es dans l'océan Paciuque, u nord des lies Fidji, qui so trouvaient îS'pa'à pv vent sous ie proie- tarai français. ♦ * Paris, 29 septembre : l^es journaux annoncent que les premières liaustares nationales fournies par l'Etat nt ét » mises en vente mercredi ii Orléans, .e prix uniforme s'eiôvo provisoirement à S franos pour les rtottin^s d'hommes. * * + Coicgno, 28 septembre : On m;n.de ù: la frontière italienne à la ,Ga;:e te do Cologne" : — L'itnlio semble s'acheminer de plus en ►lus rapiù'ement vers une forte crise intè-ieure. L',, A va nu" aunonce <|ue des [jcr-uisiiions ont éjj opérées chez les chefs 'ocialistes de Bologne, dei Codogno (prèe [e Keggio), oa Calatue, et do Pijmbino; s mo;,ares ont provoqué une' profonde m. t on dans les milieux socia^ie*. .'i. Florence, la justice instruit une grosst iffaire politique. M. Lunachi, propriétaire l'ut-.e imprimerie, b. M. Pesci, secrétaire du jarli socialiste, ont été mis en prévention Jondi matin, le président du Conseil i onguement délibéré avec M. Oriai.de, mi L.stro de l'intérieur. Un Conseil des mi-ri-très devait se tenir l'après-midi; il î 't i remplacé par une d.jlii; ration de deœ ieure i entre M. Prfoselli et les ministres de vffaiieJ étrangères, de l'intérieur, 'liies finan tes, de la- mar'ne et de la guérie. J.e se - r e t* est gardé sur l'objet des discussions :pii semblé touteï'ois se rapporter exclusive aient .à la situation militaire du pays. * Copenhague, 29 septembre : ,.l'oiitikon" annonce la r union la se maine prochaine d'une Conférence mierns tiouale de la Croix-Rouge à laquelle seroc reprcsa;tés la plupart des pays Iz-Uigérants El.e s occupera d un éohange de prisonnier do guerre et de la situation dans les camp de prisonniers. L'ouverture solennelle aur lieu jeudi sous la pr siCence du pr-nce Wa. d aiar de Danemark. « * t Londre?, 29 septembre : î\[. Austin Iiarrison écrit dans l'„Englis Revievv" : — Au point de vue purement miiitalr la situation générale r&a aujourd'hui & core ce qu'elle éjait après la bataille de ] Marne, sauf que quelques petites naiior eutr.vinêes dans 1a guerre ont éti dîtruite! I.C9 t'tats-ma]ors de l'Entente avaient ci pouvoir arriver à mettre fin à 1a guerre ( position en méltant en ligne dos i'orCi écrasantes! d'artillerie. Mais nous savoi d-éjù, que le canon de gros calibre n'est p; un facteur décisif; il représente une for avcstgie, tandis que l'essence même do stratégie -est le mouvement. Tel est l'ensc gnement de l'année 1917. La grande offe sive du printemps, dont nous espérions décision, s'est terminée par des a-vantag purement tactituies; toutes no3 opérât io: ont été, dés le" début, subordonnées à retraite stratégique des Allemands et à le nouvelle tactique défensive élastique, do nous ne nous étions pas rendu compte-Cit évident qu'on ne peut plus esp rer u décision cette année. En conséquence, no nous acheminons vers l'hiver et metto nos espoirs dans l'aide américaine au prs temps prochain. Or, cette aide ne nous a portera pas plus diQ 70,000 combattant môme si nous admettons que le tonna disponible puisse assurer le transport et ravitaillement d'une aussi forte armée. 1 concours des Etais-Unis dépendra poucr plus grande part de la tournure die guerre des sous-marins." jigue pour la paix universelle Le < V'crbond yoot Wereldvrodo >, F3 ecrope.sanfc e personnes et d'associations qui luttent pfl'.ir. ne paix iman di'-te, s'eft r uni le 12 aeptcnUire 017, L Anvers, et a #voté la motion aim-ante, .uisi quo sa publication — La Ligue, , Regrette que les pacifistes, qui s efforçait tua auyer l'humanité, cotifimieni à être calounu a ot ,erséo«U'» pnr iea belliqueux qui, «'nus prétexta ie faux patriâtisn'e frappent t-^m rfixement tjua eux qui, écoutant la voix- do leur councience, lossèdent encore la courage et la force de faire mtendre raison h leur prephain ; At ire l'attention sur le fait que les enne.nl» le la. paix im,médiate sont pour la plupart tea çens qui n'ont pas h souffrir de la guerre, dont es affaires marchent bieu, mais qui oublient ù, te86e'a ou jiîtr mégarde, que la grando m«4oritâ ie leurs semblables n° vivent pa» dai a ces. mômes conditions et, par conséquent, envisagent nitremcmt la question. Des millions d'hommes, ®oue l'infincnce et les menaces d"i:«rguanè.nes «'•goïsti-a — leurs sup rieurs et eoLdlsant pro'bealcuis — n'os-:nt pr.s se pronoiucer ; car «'il leu." ctail possible de p^trler à canr ouvert, nous les on-teudrions crier, à l'unanimité' : < Non» exigeons la paix, à bas la gaierre ! > De leurs .sentiment» iioits n pondent leurs inexprimables misères depuis plus de troi9 ans, misères qui s's croiesent tous los iour? ; Constate avec plaisir qne dans tous les pays, tant femmes quo hommes comenencent àl voir claia et à se rendro corr.^te qu'il no < lutte & cyuiriaruto > serait non seulement indigne d'eux, mais ne pour,. rait qu'uggravor leur pcoprc malheur ; Salue avec joio Li.e rcux événement qne îe mou-vcme-vt assidu on faveur de la paix, si admirablement conduit dans l'es pays bcliiigi rotnAs e'« neutres — et ce maigri l'opposition de3 partis belli-auenx int'resa 3 — a paiement trouvé son netentiesemOnt en Belgique ; Fait uu appeJ à lous les Belges, Wallons et Flamands, pour qu'ils réunissent leurs etlorts afini de propager i idée fructueutie ù© la paix ; Emet lo vœu que les personnes et a^ucdationo de ptorrsonnes, désireuses d'épargner à leur pa trie, au feol natal, au prochain fit ài 1 hiutmat it4 entière, plus de des^u^Uon, mdsère et ahaiasentent, se joindront à la Ligue pour ila paix universelle afin die collalroreir, d a«jeort!i ave© co qui se passe daua d'autres pays à m e paix imméj. dHate, basée non pas sur la for.ee bru!ule? mais sur le droit et l'amour. > PETITE GAZETTE VOL.ÊRIES Depuis le début de la guerre, je n'avais plus revu ce vieL ami qui.habite la province, et ce m est une joie de converser avec lui. LI a maigri considérablement commua tout le monde, mais sa mine est restée fraîche et son numeur bonne. Il a du mérite & ne pas voir les choses en noir ; trois de ses fils sont au front, dont, depuis longtemps, il n'a plus aucune nou-velle... Et sa femme est une vaillante, elle aussi... Or, m'ayant ainsi parlé des siens, il eu vient à me dire les difficultés de le^s-tence dans sa ville, combien i organisation du ravitaillement y est défectueuse et l'impossibilité presque, pwnr les gens qui ont, comme lui, d'assez sôrieu : revenus, d arriver à nouer les deux bouts. Et puis, il fait triste dans son patelin. Les gens trouvent que la guerre dure bien longtemps et envisagent avec frayeur la venue de 1 hiver. Nous sommes — j'allais oublier do voua le dire — installés à la terrasse d'un caféi des boulevards du centre, ot il fait soleil- : — L'atmosphère de Bruxelles est autre, me dit-il. On sent ici une facilité de vie qui n'existe pas ai.leurs, Vois que ce café où nous sommes est bondé de clients et que la circulation est mte.ise sur le boulevard. Non, ce n'est pas autant la guerre ici que chez nous ! Ljricore, ou trouve ,,de tout" dans les magasins qui regorgent de marchandises, tandis que dans ma ville!..." Je laisse aller mon am». It m'intéresse et il m'amuse. Instinctivement, sans le vouloir, je pense à cette petite demoiselle des environs de Wolverthcm qui m'écrivit un jour qi 'eùie aimait beaucoup Bruxelles, que Bruxelles était une bel e ville ,.avec se* cinémas, ses théâtres et so^ lumières", et j'éprouve qu'il a la même vision superficielle et factice des choses quo celte enfant de la campagne. — En somme, contmuio-t-il, il n'y a rien de changé io , saio qne l'on y voit des bœufs au lieu de chevaux et quil n'y » plus d'autos dans la circulation- On n'y est que plus à 1 aise dans les rues, du resie." Je n'interromprais pas mon ami pour un. empire. Je lui dirais nos tristesses qu'il n'y croirait point, à voir le spectacle qu'il a [ sous les yeux, et puis, à quoi bon t Vaut, il pas mie^x que, rentré chez lui, il ait à raconter aux siens dos histoires douces ot réconfortantes. 1? ' — Par exemple, reprend-il, si les autos ] ont disparu, les camelots bruxellois, eux, ^ sont- toujours denout, comme le Veau d'or I Vois ^ comme leurs oluirreltos se succèdenfi J et l'infinité de pelé tes choses utiles qu'ils trouvent encore à vendre. A propos, j:ai ] fait une bon® occasion, tout à l'heure, avant bon arrivée... ^ — Aii ! — Oui, j'ai acheté à l'un de ces camelots deux flacons d'eau de Cologne : un petit cadeau qui fera un rude plaisir à ma ï'emmie. Figure-toi qu'on ne trouve plus la moindre échantillon d'odeur dans nos maga. 't si 11s. Oh ! tu sais, j0 n'ai pas t'ait de folies ! Deux tout- petits flacons, d'une con-* tenance de 100 grammes chacun, mai3 de la ^ bonne marque, lit autant d;re pour rien% a mon cher I Tiens, les voil\ mes flacons... _ Il j eu a pour un franc quarante centimes en tru-t..." Cette fois, malgré moi, j'a« rompu le silence. J'ai presque crié : ^ — Tu es volé ! C'est de l'eau : »,aqua impur a, non dist llata" ! Mon ami sourit. Il n'est pas do ceux, ^ n'est-ce pas 1 auxquels un camelot puisse la a faire ! Pour toute r [ onse, il me pousse un Lg des flacons sous le nez, et je reconnais qm } ça fleura bon. u — Mais ouvro ! dis-je-;e J'insiste, et il se décide à faire, de la 3 pointe de son canif, sauter le bouchon d'un des flacons- Naturellement qu'il n'y a que de l'eau, à peine ie:-nt-e, dans ce flacon 1 jç L'alcool coûte aux environs de 30 franc» [a le litre, et vous ne voudriez point qu'un j_ camelot vous on fournit 200 grammes, mi&. ^ langés d'une essence odoriférante, pour la. fr. 1-30!-. 23 Je vois que mon ami, un peu honteux, 1S glisse sous sa chaise ses deux flacons d'eau la dé Cologne Johann Maria Farina n* 11. Il 22. • a la mine longue : a{; — A part ça-, tu sais, on trouve encore Xi ue tout à Bruxelles et à bon compte, ma *e ..... , , js fcur quoi, j appeau le garçon pour régler 2$ les consomma tio a s. Il me retint 3 francs a- pour deux pet U verres qui ne valaient pas p. tapette : de l'eau, „T,na impura, non dis- s dilata", additionnée dame goutto de mau- :0 valse essence... Dieu î que nous sommes bétes... l>c la CHAUSSURES la II faut savoir gré n la direction des Ma- . gasins communaux d'avoir eu l'idie de

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Cet article est une édition du titre La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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