Petites annonces. • • • • M la fr- O^O PRIX DES ABONNEMENiJ ADMINISTRATION ET RÉDUCTION f Réclame avant les annonces . • —• 1.25 2 mois (novembre-décembre), fr. 4.60 | 1 moi3 (novembre), fr. 2.30 H&ontagne-fiux-IIevbes-JPotdigères, BRUXELLES PRIX D!IS ANNONCES \ Fait>ç — 3-75 Les demandes d'abonnement sont reçues BUREAUX : Dfc à .7 H -URE3 I ^ecrolog ô ' 2-50 EXCLUSIVEMENT MORESSEE; DiRECTEUn Cojn des Rêveurs 1-00 aux guichets des bureaux de posta* Aujourd'hui : SIX pages. LA GUERRE B36' jour de guerre Tandis qu'ils restaient inactifs sur leur front principal en JPicarcke, les Ang-iais/ préparaient sur ie?5 doux ri vus Ue 1 A^cto uno aoaou énergique. Un sait que sur la» rive guohe die ta ri\îcni, la liigne (jrouimé^ ccHU-i-iiloLAiterno-iieicinnioni,, oompiiso dlaus le front iï attaque de la grande otjensive d-os Alliés, n'avait pas efca entaime jpar les» owuixvts des premiers jours lie juillet. Uii suât aussi qu;en revaticdie, en ire l'Ancre et la Somme, la hgue do bataille s est uieiptus Ions oonstonnueut tiépAaouç vers i est, db tQiie sorte que les positions allemandes à cheval sur les deux rive» de l'Ancre (Décrivent depuis longtemps vers le sudi-ouesi un saillant dangereux.. L<** Anglais viennent de prendre ce saillant sous' un fe»u ooncentri mu, qui a oblige le^ Allemands à évacuer les villages de Beauwout-ilamel et de Saint-Pierre-i/ivion, respectivement siuiés sur la rive droite et sur la rive gauche die 1 Ancre. .L'attaque par lee Anglais de la partie inférieure de la. grande ligne courbe que le front de bataLle décrit au sud d'Arras, à Fouest de la route d Arras à Bapauane, a d- chaîné one bataille qui n'est pas encore terminée. • • e En Roumanie, les Austjro-A IlemancTs redoublent d'énergie. Du côté de la Moldavie, dans la vallée de la Biscritza et dons La vall "e di'Oïtoz leur pression et-t devenue plus vive. En Valachie, ils prononcent des attaques énergiques et qui provoquent dos combats acharnés au sud de Pred al, au nord die Cam/poiung, sur les deux rive? die l'Ait, dans la vallée die la Schiu et enfin ctans le secteur d'Orsova. A lire les communiqués, ou s'aperçoit que le» Roumaine, qui se battent vaillamment, ont fort à faire pour enrayer les progrès de leurs adversaires.Il n'est rien survenu do nouveau) sur le Darcafoo. En Macédioine les Serbes, pv/ursuivant l'offensive quais ont commencée le 12 sep tenvbre, ont réalisé dans la boucle do la Czerna de nouveaux progrès dont ils évaluent l'étendue à 3 kilomètres. DÉPÊCHES DIVERSES J Paris, 14' novembre : D apurés les cooptes rendus dtes journaux, Al. Seuitm, ministre ûes travaux pu>-blîros, a été fréquemment interrompu) aujour-d nui à ia Chambre tandis yu iL répondait à l'interpellation sur la crise des transport». A certaine* moments, la séa^roo a été très agiote. Au cours de la dlrscussion qui a suivi, M. Cosmer a fait reaisorur les inquiétuidles qui régnent au sujet de l'arrivage dles oo-réales à Paris. Il est à craindre que plu-siears dép,-.utemeuts souffrent bientôt du manque de farine et soient peut-evre prives die pain. Il,, convient de tenir commit?, en outre, de la peu une dos pommes de terre et des betterave» fourragère». M. Cosnier a exprimé 1 espoir que le gouvernement prendra d<es mesures pour ioniser eu temps opiportun a ojtte situation. M. Laflont a cato, d'autre part, quelques exemples pris dons la Garonne, où ks fa,-briques de munitions devront prochainement chômer par suite da manque de charron et die- métaux. Ou no dispose p«lus dles quanuités nécessaires de minerai Se fer, le nombre do wagons éront insuffisant pour 8a assurer le transport. Cologne, 14 novembre : La „Oi2Ctte de Cologne" a re;u le télégramme suivant de Zurich : — On mande de Geneve que la situation &e M. Marcel Sein bat, ministre français, est fortement compromise par suite d)o l'octroi d!o concessions de terrains pétrolifàres en Algérie à une société anglaise. Sa retrai'e et OiUe d'autres ministres n'est pas invraisemblable.• . • * Pansî, 14 novembre : La romaine prochaine arriveront à "Roanne, dja«s le département de la Loire, quinze pjille i>rison«iiers de guerre allemande, qui travai leront à la construcii >n de nouvelles «si mes destinées à la fabrication des luuni- noiis et des canons. . * • Fans 14 novemtvre : L'„Eo^o de Paris" annonce que le lieuw fc<?nar)tHaviatour Hubert Dcfels a étfâ dp®. ceud'U' au cours de son neuvième combat aérien. ^ ^ Paris, 14 novefrnbre : D'après des informnùions minisf-re fle 1 agriculture, r-endai.t le mois d'octolre les travaux agricoles ont <*té eritravéïs da s presque tout le pa_y9 par le miuuwii^ ténias. D autre part, la r^eolte (Des p vmm^ de terre est moins sa'isfaisaaite (iue le reu. ttemeat eu betteraves fourragôres. » » * Paris, 13 novembre : D'aprjs le ,,'I'enipB", les prapriétaires <!o cafos et ce rCRtaurants1 ont cmiv<r|it^ nme réiwiion exfrrKirJinaire protwtT au près du pouverneuient c.Ure la farnetnre te leurs I,..^ux à 9 h. 1/2 du soir. I«s commerçants, qrii sort fevreés de fermer lolrs m wasins à 6 heures, ^ join^j à ce mouvement protestataire. Paris, 14 novembre 7 La Ooœfpagnie do l'On^st-Lumipra, UTle des f lus importantes sociétés dV 1 -ctricité Pnris, n'a pu fournir de courant fx-ndiant la nuit de samedi i) dimanche. Tous les fa.uhouro;s norfî-ouest) do Paris ont été plon-ge* <hws l'olïscurrité. Plusieurs usines tin-vaillant le dlimanche et se servant d'élue* tricifté ont dû prorisoirement Hcenrier lei'r p*5r^<^nnel. ï>e «eol motif du chômai de l'.i«ire d'électricité d.ans ce fa7t que tous ses stocks de chartoou sont épuisés. • s. DANS LES BALKANS Z "—mm se EN ROUMANIE ifcl Paris, 14 novembre : Lu Ou mande de Iviow au „Petit Parisieït^ tioi que le gouvernement roumain cteid. le eer- s e vice muiuiire oUligato.u.'e j;usqul à l(âgo il«8 a\< Q 00 ans. pri Berlin, 15. novembre ; On mande . de Vienne au „Bcïliner Lo«- m' leur kal Auzoiger" : 111,1 ;iais — .Au cours des récentes opérations ef- I*0! "Cie feotuiâes p;tr des monitors austrtKtiougn.is l'i« près du caaal de "Beleii, il a été constats on^ une- qUe la garde des ri vos du Dan u Le a été s?e s le reprise par las llusses et que le* trouves vcj des roumaines sont envoyées en grande partiu J les sur le front de la IVansylvanie. ' Ou • Q et Kiew, 14 novembre : cec s La rég'ion do la Prahova a été évacuée {)Ci db ^ ies importants &tjcks de p<trole de La ,eu s a contrée ont été envoyés à Pintérieur du dé- tay0- qu< uefii Christiania-, 13 novembre : act Les journaux annoncent que les employas qu< sail- amérieai;is «le la Standai-d Oil Compuniy ten >wge qui résidaient en Itouananie sont arrivés, sat de a^'ràô un voyage de quatic sema.inies, à eer ion, Olu'istiaiiia, d:où ils s'embarqueront pour udi 3 et !es Etats-Unis. Ils déclarent que leurs ex- prt ique j 1 i'ations p tioilifères ont t'ts arrêtées par 'rd s do saioo de 1a guerre. Seuls, quetlu^ô surveul- ^ de immts sont, re^t-J-s sur place. d'à i de tue tfné EN GRECE la née. Athènes', 15 novembre : < Le gênerai Roques, ministre français de ^0l la guerre, a été reyu en audience par le vôr fe- toi Constantin. L'objet in-incipal de leur ^ vie^ entretien a été 1 établissement d une zone (j)0 Li réservée en vue d'éviter toute t'ricuou eu- ot nue tre l'ai-moe du Roi et les vénizéiiftt^s. rep ^ Paris, 14 novembre ; l'wi On mande d Atuènes à l'Agence Ilavas : efd ^ — Cent vingt députés sont pr-sents à la coi: séance d'ouveruro de la Cliamuroj les tii- dar 0UJ_ bunes sont boudées. M. inj%" A1. Lam!3ix)S, président du Conseil d>3s au«q a- ' ministre», a d<rimé lectui'e du (kcixt ou- j'ai vrajit la session. Le président a d'cLu-à l'a* que La» C'aambre se réunira lorsjue le u-m- U-ai . j !*re des députés aura atteint le cuiffre <li* légal. nio ,a[it Ija Chambre sf'est séparée en criant : t-oi ^ ,,Vive lo R!oi ! Vive la Conslitutiou l tok la ^'vo ^a^orl . lp® 'va- On croit que la Chambre sera ajournée bre „srne die". plu Vienne, 14 novemlrc : La „Neue Fre:e Pi-es^se'' apprend) direo- i 'eane<ru de Koane que dans l Uodi^etu: t - i ~ a>"t né un fort mouvement, appuyé pîir M. (pir Veni/.eW, qui a pour but de c'aass^r de ces i îles les It)\liens. T>e commandant de la gar- ZCfp nur- niton des îles est arrivé à Rome. im; pu- ♦ — que r BUCA.HEJST ^ dcs au lendemain de l'entrée ea campagne f it que Sous ce titre, le correspondant roumain eon Y1' du „Russkoje ûLi'vo^' écrivait le 8 octobre : ,:ui I. — Subit changement d'aspect. V4il nia- Bucarest n'est plus reconnaissable. T-.a cité insouci uite <^i joyeuse qui avait tou- ) lvcs J?urS justifié sa râputit.on de ville de pUu- s.. eil sirs 6j de joie, a perdu en un# nuit ses r< ckirmes légers et s est transform e ea> une ,iPr trUt3 ville de province. Son aspect e^tér lailt rieur s est profondément modifié. Un de ses eu grmds attraits était son- mouvement de voi- , ^ tures; les t lilette» des dames et l éclat ues ues Lri«Laïits faisaient de chaque soirée une , 11 fa Ou eât dit uno résidence de paeiias en | ."l> ] lent retraite. Les réquisitions ont», d^un seul , , x>11 courpi, balayé toute cette élégance. Les che- ^re" (jj^s vaui^ de luxe ont ét3 saisis et avec eux *~ 10 ont disparu, Dieu sait où ! les fringants 1 Dur équipagesi. Il est rare qu'on rencontre en>- i'D >l core dans les rues quelque vieille carriole poussicreuse-, traînée par de misérables ha- |^ri1 ri Jolies, d^jdaagnées, et pour cause. té- Une aufa'e particularité de la capitale rou- |!e>' moine, q'étMÔemt sas cafés. Ici où on ne »ât ion l106 do j'urnauix, où l'on jette un rapide 0UI1' est ootip d'œil sur les dépêches affichées, le ce roi oafô est un club; tout le monde s'y con- , ,1J en uait et l'on y fiisse dles heures entières à c ii'0 converser sur des sujets divers. Ainsi se ■ui- eorme l opinion publi jucv ainsi naissent et 0 evpdcJit les rumears, ainsi se font et se ou" d'-font les réputations. Mais dès le premier ^f11* jour de guerie, le gouvernement, sans crier *■av in- g:u-e, a fermé tous les cafés, même le cè- S(J'111 nze lèbre ,rCafé Kaçsoha", le café des minis» " a qui tr^s p-iss s et futurs et en quelque sorte I3 j ui [les liou d'éclosion de tous les potins de IB-uea- . ni- rcM. il faut avoir Imbité ici, pour com- m.lr] (vrejndre le coup d'Etat que représente la 1 fermeture du „Café Kapscha". 8iI:r Quan- à la musique passionnée et indo- 'J1 _ auw Ient3, frivole et rêveuse qui égayait les J*18 PS), jardins publics et les dimers dans les resi- , bat tourants, elle est devenue muet le sur un ^>r' signe du préfet de police. I.es client» en f,r01 ont souffert; ils 6e sont faits plus facile- '' ment à 1 id% de ne plus recevoir de viande 'i*U, -re '>ue tr iis fois i>ar senaine, de jiorjrer les Ire l îgnmes très chea* et» de se passer de gi- V(' ' i s bior ! Les cinémas et) les petits théâtres P'.1 tii^ sol,t c4os, les cabarets qui am isa-ieut twit " ^ K's l^1 jeunesse, ont remisié leurs affiches eriar- , SU. <!•*• f!t A 9 heures du soir, tous les réverbères ,el!r s'éteigneit. Seules, à la Ka.lea Victnra, deu-x on trois lanternes sont allumées; mais ,''UO, iG 1 s ver i^ en sont endui s, d"une épaisse cou- f |Die che de conileur noire et la lumière nepa^se m- 'IVe l)ar im. cercle du dinutre d'une ^"r ire pi ■ce de dix centimes. Toutes les maisons -es (ïoîvent ^re plongiées dans l'obscur t)^. La [ï° 1 ier po'ice veillé très ria^umisellient à la stricte ,' à observation de ces oi*donnances. Dès qu'uno n" * fen tre laisse fil rer la moindre lueur, uno 'r mo te de terre ou une petite pierre vient y V 8 fra-pi^r- La polira, sous ce rapnorti, e t . ne pu.-i ssnmment secondée par les gamins que la lutte contre la lumière et le ;iet des ,,rit pieiTes amusent énormément. Il convient d'à- 61 C les .jouter, à la louange des Rucnrestois, qu'ils J"G m- supportent ces inconvénients sans trop mur- l-h- murer. Seule la fermetire des, cafés, inter- [J1 ^ "o- pr t e comme une marque de méfinnee à 'm<, rr ^ur égîird, a rencontré de l'opposition par- li™'!, de 101 le publie et dans la presse, ue II. _ Oépressfon. pull Le passage subit d'uu régime de liberté do 1 sanfl bornes à la limitation complète de toute macdfest) tian ewttéiieure de 3-a. vie s est f^it sentir de fay°n fraijipanle sar l'état d'âme et Vliutneui clw Buciat^îjji^-loi âjK>i>uiation suint le contre-coup des émotions de la guerre et ne parvient pas a ' * s ea affranchir. Les {premières rencontres > a\e3 les Bulgares ont produit un effet déprimant. Au milieu du silence et de l kn- 12 mobil té de la vie journalière, dans les ténèbres de La nuit, la chute de Toufirakan a fait 1 effet d'une catastrophe, une menace j pour la sécurité de la capitale. i Les édjémeots froussards do U population f • ont ét^ pris aussitôt dune panique wisen- . séc; le bruit s'était répandu que le gou- '! . vernement allait être trausf a>é à Jassy. j La f-resse roumaine eni ce moment est la dernière à refléter l'éïat dame de buca-rest : elle a pendu toute signification. La n censuie l'a tellement ligotée qu'eLe peut à a J peine respirer. Constat tin Millet, 1e direc- e L leur du jounud le pkus en vue, a frovAisô | 1 ces jours-ci à ses collègues de discuter la question de savoir si, dans les circonstances ^ actoeliles, les jo^irnaux serraient encore à 5 quelque chose et. si le public ne se con- s 7 tenterait paa de courtes notices reprodui-, saut les communiqué de 1 cutmajor- La 11 t censure a laissé passer oetie pointe à 6011 : adresse, mais sans adoucir sa rigueur. La . presse de Bucarest, autrefois peu i Lan te e« L. tranche d'allures, s'e**t évanouie. En c-s- a . saut d'à refléter la vie publique, elle a ce*sj d'agir sur les masses ; sa pâleur inaccou- [" tumée pro.ette 11210 ombre de tristesse sur la vie de la caipi&ale. Cejefidant, en cos dem^îrs tem^s, 1 gou vei'uo lient a quel-iuo peu atténué sa si-1 vérité. Depuis le dimanche 24 S'sjrtemlvre, queilques c«f-^s se sont rou vers, des séances I ! do jour dans L s cinémas ont éti autorisée s et le Théâtre National a pu organiser des i, représentaâioûis paaiotiques <)nc\ bdon vite, l'on a trouvées ennuyeuses et qui d*^ ont n cilié Li place ou programme cout On 1 constate un commencement de reluchefment j dans la ngiieuir de la conjure. Sou chel, d •\1. Duca, ministre de 1 instruction publique, auquel, à la demande de confrères russes, j'ai rendu uno visite hier uoùr obtenir c 1 ' auto m>«*ion — refcis^e d'ailleurs — de transmettre nos t'l*g ranimes eu rur=se, n\j 0 1 dis*, t que la 1 bertô de manifester sas oi>i-nions sexuit élargie peu à peu. En m^me a tnu^s que cette lueur d espoir, les Buc-.«rr&- r tois ont obtenu un peu plus de lumière : c les vitres des réverbères sont moins, som- ^ bres et, çà et là, il en est mêfcne qurë n ont 1 plus leur couche de coaiJear. III. •— Zoppelins et Taufces. Mais vpijà que six attaques a-ériennes ont mis lvW®fe?> dans un ôiat d'agita.ion et d ' i rritat*i on inâescri ptible. Les deux premi-r^s attaques noevurnes de zeppelins n avaient produit qu'une faible d impression: les bombes, on détruisant quelques maisons à un étage de la banlieue, n avaient, heurcuserment, entraîné aucune perte humaine. Une dame. déjÀ couchée, en r fat qniite pour une légère blessure, bien 11 que sa chambre e"t démolie f >::d en comble. Par mir icle, elle fut reti'ouvée vi- P "îuite sous un amas de ruines. Si je n'avais vu de mes yeux la eh, un bre dûbruke, r si je n'avais pu me convaincre par moi- ' . m^lme que la blessée avait pu sur\i r© à oe:to p terrible secousse nerveuse, jamais, je nau- 1 r-is pti le crotire. Dans une autre maasen, m me mi rade : la bombe traversa deux étages, s abattit dans la ouisme-cave, enu,> mol lisant la place du milieu et trouant le mur d une pièce conîigué, pivacteanenA an- , dessus die la couchete où donnait une . femme avec son e«ifant. Tous deux eurent c la vie sauve- Je les ai trouves sur le5 = leitx de la catasta-o^nhe, encore sok.a l'im- a pression d'une ♦ïaiyour mortelle. Ces deux cas, conformément au x>enoîiant humain vers un optimisme consoLueur, ont praduit un efret calmant s»ar le publie. Dis n jours (loisibles se sont passés en^-âoe ot autant do nuits. Déj.\ nous en étions à ou*- I lier l'exi«tence des ze^>|^Jiins et des tjau- r lies, lorsqae, la nuit du 25 septembre, do brefs signaux d'alarme furent donné®. Clia>- n ouU' les prit pour des bruits quelconque, n ce qui, en r?o!it$, étiit le commencement q dluie vraie tetriour. l.e mardi, à 3 he.res do l 'a.prXs-mi.i exactement retentit une etj> |j plosion étourdissante qu'on aurait pu prendre pour la détoaiatioai de quel p,e gr 's , awion. Une mtn^e j lus tari, un co.ip de GJ canon tonnait effectivement. Une exjvlosion l'avait préc*dé. Au {xremier mo^nevit, per- ^ •sonne ne songeait à des avions, aucune Cf alarme n'ayant été donne©. Au mîlrae m- a stanti, les canons commençaient) à gronder 8< de tous les côt s et les mitraal?eu^es se mirent à crépiter du faîte de» bâtiments les ir plus élèves. Six aéroplanes se pr fil lient sur uni cijl serein. De temps en tonups, par- 01 mi le vacarme des canons et des mitrail- te leuses, 011 percevait le sif^' ement sdriijent de^ bombes aérienne». La voûte azur é et:it a [>:rlout semée de pet ts nuages flooonneuix, provenant de l'explosion de shrapnelis. 1^ K populations s^irpriss, épo^irvanto, caercTiait lîOitaut un refuge. Le combat des batterie® dura une demi-heure oontre les avions. Ils volaient d'abord assez bos. pnis s édevèrent en s éloignant dans la direction de la frou-ti.'re bulgare. Ce n est que tard1 dans la srir'a qu'on c7< eut connaissaïiee des graves résultas de si leur attaque. Le ra^yport officiel ,mentiionnfl bi k iv-ar ito m-T's.L'audhce de 03 raid [«rnivat ol que lV-pnerni avait, ét'4 a\e ti d»a dâpa^t de *r 'a boitille aé.rienne do Bucarest pour le p front. Ce m me jour, à peine la populn- et tion s'était elle endormie, que les cktches t'e du Donne e les coni| s de sifflet continus de la m Ivoliee annoncèrent l'approdie d'un nouveau danger. Un zejvpelin avait franchi le Danube et menaçait la capitale. Entre U première alaime et l'apparition de i'aéronef, 6t» il sa pnraa environ) une lie re. Auideak. s des maisons erraient les lumières des prr je et eu rs ; les cloches et les omps de siffl^ m disaient que le zeppelin survolait la vil»e, ch er on commença à le liombarder. Pour la K première f ls, lo mar'i. le monstre aérien lan^a des boni!es inoondi'lires. De petits V1 incendies se d^elarèreut et il y eut do9 victimes. I^e leadeinain, au cours de la nrait, ta II ouf )^le '•yrr-Oiri t ion de ze ij»3line. Les Aie- co mands et les Bulgares se sont manifeste- ne m»* fc flnirahié »e mot pour terr.trisor la po- qu pulition de Bucsi.rew et bouleverser la, vie de la malheureuse viilo.„ B< COMMUNIQUÉS OFFICIELS - r-' ■«c' u k" »• u t, s ■■ * ■ il». " °a CoiEEitmiqués des Puissaisces Centrales. ^ dé- Berlin, 15 novembre. — Officiel de ce itu>- midi : ti- Théâtre de la guerre à l'Ouest. t 1 a Fr nfi du feldmaiédial prince héritier L ace IfafcÇKreeht Baviei'e : 1 Au norl de 1a Somme, la bataille coi ti ^ lon uue. Le combat qui a duré du ma^in jatj fcrl" qu'à la, nuit cl::s«e aussi le 14 noveni^/re ^ aa" dans la s^rie des jours de grande bakiibe. c Espérant mettre à profit le succès qu is la ont obtenu au début, les Anglais ont de ^ ?a" nouv'AAu lanoi de f^r es masses à 1 attaque T? au nord de l'Aude et, à diverses re^r.s s», • erjfee Le iSais et Cueudeconrt. S'ias ont réussi à s c-raparer da village do Bei^ncouirt, l,f° la furie de leurs assauts © eat écroulé a' vaut nos positions sur tous les autres points cef de leur large front d frftaque; 1 eao.eimii a a subi des peat>^s considérables. v on" Le n'îg-wî.cfit d"irifMî»eme de "Ma^^ourg L ?1_ n° 66, le régimesit badois n® 169 et les ré_ a' gknewts de la 4o division d infanterie de U ( i°n garde se saut parti etu librement disna^igai<s u dans la d<fe»ise de nos poaiwuns contre Jeu r " assauts ennemis. ' Les Français ont mis eu ligne d'inipen-4,SJ tantes forces dans le Irut do s'em«parer ou Ixis de Samfe-Pierre-Vaasi. Leurra attaques 5ur ont été tout à fait vaines et se saut tormi- f] nées par une am^la-nte défaite. 1 Thért-e de la guerre à l'Est. 1 re, Front du feldhiarJchal prince Léopold d i ces Ba\ i re : -e* Sur la rive orentalo de la Narajo'w&as c ies les Russe^ ont dirigé de faneuses attoq.ei ^ i-to, -vmtre 103 positions que mnis avons r^cem- ^ °nt ment conquises à l'oues» de Folw-Ejrastno- , On lesie. Ces attaques oni étâ e»i>i'caiie t reçut p,x..'is»ées, par une contre-attaque à um e^ icf, droit. ^ Front du g^n>'ral-colonel de cavalerie ar- 1: chid-ao Chades : r.uv lo front oriental ea Transylvanie, les 1 n>e opêititira^.s ont été peu actives. 1 pj_ Au cours des comlyaJs frnct4ieux pour nos u 111e ai*me> qui se livrent dans les r écrans f<v -s. rest èi-es et monàii -.neusos le 1 mg des routes 0 . conduisant en Valachie, les Roumains ont 1! Îiîl 'a«is&3 hier entre nos mains 23 officiers et >ut l i^OO hommes ; nous nous sommes etngior^s, c en oirtie. do 4 canons et de plusieurs mi- s trailleases. ^ )1Jt Th tre de la guerre dans les Balkans. •' et An .es du feK?oun|réchal \on Mackensenj: 1 La sPAiation e t inchangée. de La forteresse de Bucarest a étS bombar- 1 ble dôo par nos aviateurs. £ el- • c Front, macédonien. ue, ine T os troupes bulgares, parmi lesquelles le c eu réigimont Balkanski de S. M- 1 Empe,e ir, (_ c, ont résisté in-ibraAlablement aux vu-lentr? j ^ attaques françaises prononcées dans la vi_ plaine de Monastir- Dans la boucle de la Czerna, l'ennemi a q .;e réussi à s emparer de quelques hauteurs, jj.' Po r éviter des a,traques de PUno contre les q ,.*-3 positions que nous oceinions dans la val- 1 vt. l e, notre ligne de défense y a été repliée, d m-, ux 'Berlm, 14 novembre : J-> Le 13 noveaibro, un de nos brd'roplaren de la marine a bomber lé le jyrt aéronau-i1!" ti n e et la ss*.bioo d'aviation r'o fta' t Pol, ^ 116 près d«e DunkerrpVe. Il a été cms'até, 8'ns (< 'nt contestation pœsi >le, qu' une ns i e et j la- l' le» ^innrs autres bâtm^rvts ont été atteints. Notre a avion est rentré indemne. tv mt * * b >nt Y'ienne, 15 novembre. — Officiel di'hier a midii : uj. Front de l'Est. ti m* Front de? aim<>es du felimaréchal géné-■w ral van Mackensen : . c de Près de Giurgiu-, uos monit^rs du Da- ^ ia>- nufoe ont, en dépit d-'ui e r sistance eme- & nue des plus vigoureuses, capturé 7 temor- ^ ait queurs, dont pl étaient ch.rg'és. 03 Front des a rai es du général de la ca/va- ^ Heine aroii'l'uo Chailes : ^ n'~ Près d'Orsova, nous avons complètement -j chassé l'ennemi de la rive droite de la $ Czcuna. D'-UiS le norxl die la Val sdiie, les & *u comU:'* continuent à notre avantage. Au ^ cours de ces (%ix jours derniers, nous f]4 6 avons, dans cette région, amené 1,600 pri- a ln" sonin'iers, 9 nutraiir.*u=es et 1 o:non. ^ ^ Aux abcr ?s dtu d f lé d'Oitaz, les Roumains ont continué leurs attaquas. ^ Dans le sectei r de Tdlgves, les Russes ^ 'm ont été obligés d abandonner pf.usivMirs hau-teurs à l'ouest «?e la frontière. y 1 " Au nord de Jalvobeny, une poussée russe j!.' a échoué. ^ x Fret des arm'es du felimaréclial g'ené- t( ^ ral prince Léopolcï de Bavière : r tit R.ien de nouveau. ji 08 Fronts italien et du Sud-Est). jj l S ' » • Pas d'événemea s d'importance. „ nt u*. Sur mer. ei Dans la nu:t du 13 an 14 novejnbre, une m (7e nos escadrilles d! hydroiplawee a, avec un j* de suce; s des plus marquée, lancé ('ers l<»m " iifl' les o qii sives et iaconda lires sur cer aius e i.:t olre "!il's miî'jtoÂros d» Do^Xïrvlo ci s r lu Je «nation dew avions de la diverse à Beii'Ti^. le Plusieurs hangars ont été atteinte en plci 1 a~ et un gri.nd inee - 'ie a <c até. En ilyit du es t'en vivent auquel ils furent ex]ios'e, "] la nos ap^jareils sont rentrés indemnes. ^ tu * ^ a- * a Sofia, 14 novembre.1— Officiel du grand q >f^ état-major : n g Front macédonien. I' r Au sud du lac de Malik, nos d'étiche- OI A ments avarie s ont attaqué do fail ies dié a- Lr e, chements français et les ont refoulés sur &l la Koritza, e- rre le 1 c de Pivs-pa et la vai>e mi ferrie Bitoliv (Monastir)nLerine (Florina). 01 ts V'ioDr t fou cVartil'erte. c- Sur lo front Koaali-Polog, toutes los at- n< t, taques (îe l'ennemi ont échoué et lai ont o- eofité ^e fortes jiertes. Dans la. nuit dlu 14 e- novembre,, l'ennemi a renouvelé 6es atta^ 0- ques, maia il a ét^ re[>ou.ssé. gi ie Dans la vallée du Vardor, au ,'ded do La BekusUzta-Planina et dons laL vallée de la é< _ îJtrounfei», faible feu d'artillerie. A e^rtoinib eiuoroKs, Ouga^ements entre patrouilles. ce Front roumain. Des monitoi^s austro-hongï'ois, Biprpuyés par Oes txwteries ûe la cô^o de Giaioiu ier ont ramené sur notre rive sept chatlands. parmi les juels cinq étaient charges. t;¥ Dans la Dobroudscdia, des cii.iticbe»neicits Avancis ennemis se sont approchés oe jio* portions, l'as d'événement important à si- 1 °ualer- ts • * Oonstantinople, 15 novembre, t—1 Oftrcip? du grand quartier général : 'ue Sur les di\ers fronts, pas d'événements ^ imj[>ortaiits à signaler. l>^ Communiqués des armées aiîiées als Paris, 14 novembie. — Ofi'.ciol do 3 h. : a Au 6*aal de la fournie, la lutte d) art-ile-ri!3 a été assjz» vive pe-idaut la nutt dciixs r" ia région de l'resseire. r?" En Champagne, un fort détachement en- . uemi, qui tentait, d'aborder nos lignes après ï<lS un vivait bombeivlemeut, a été ais ment 0J repoussé par nos feux à l'ouest d'Auvjvrive. iNuit oaime sur le resie du front, ir- * ou Paris, 14 novembre. — Officiel de 11 h. : Au sud de la Somme, pendant la ;pur-ùk" n-^e, 1 artillerie ennemie, énergi luonekit contre« battue par la nôtre, a bombardé avec violence la région de Proesoire et le secteur <* B ' aclio* -Maison nette. Eu Argonne, nous avons occupé*, au> Four .a de Paris, 1111 entonnoir provoqué par 1 ex-pljsiou d une mine em eaiie. .Sur lo front do VerJîun, canonnadla inter-mite ite, p.lus awive dans les régions do re_ Douaumont et de Vaux. ^2_ Jouiruce caiLme j>a'i'lOL^ ailleurs. * * * Paris, 14 novembie. — Officiel de Far-ir- mie d Orient : La journée da 13 novembre n'a été maries qu'ôo par aucane action d» infanterie- La l.itte d artillerie s'est maintenue tx^s vive de ,os la Czerna au lac Prespa. " 4= tes L«mdi*es, 13 novembre, h— Officiel de >nt l'Amirauté ; et IlJ.or, des hydroavions ont survoléi Ostendo ^ et ont lancé un grand nomore do bombes ûi- sur ItrS i.ist-1/.lataoiis maritimesi, kj» naines de guerre et les ouvritges du port». « •. ♦ * Lona'res, 14 novembre. — [Officiel de Ni? l'ai[irîs-midi : Nous rvons» pris d'assaut lo village do \r- Beaumout^Hamel, puissamment fort.fi S, et avons avancé jusqu'aux abor<te de Beau-court contigus à l'Ancre. 0 Le nombre des prisonniers rassembl s dan9 des camps die concentrjti m s'esft 1 iri élevé, depuis hier matin, à, plus de 4,000* Le combat continue. Rome, 14 nov»;-mbie. — Ofaciel' d^u giond 1 u quartier général : rs. î>ir le front du Treatin, activité r-ciptro-Ics que de l'artillerie. Nos bat-ter es ont dji&-persé des colonnes de ti-ou.pes ennemis e. -e. dos chariots en niaroùo dions la valLo ae Va»'lirsx, diins les régions d'u col Saaito et de Folgaria et sur les hauts plateaux de Tone^za o d'Asiigo. lu- Des avia'eais ennemis ont opiniâtrement tenté de faire des i"e^ocinaissnnces ou-dvssnià de notre territoire; i.s ont été mis en, fHiite {»ar le feu de nos emons do défense et les iPe attaques de nos avions. S-ur le Vanoi sufiéiieur, une escaairilio d'avions wnemis a r-usgi à lancer des bombes sur San Baovo : 2 soldats et (plusieurs ter animaux ont cté tué». Sur le reste du front, j"squ'à la mer, activité interm ttente de l'artillerie. iô- 1° Karst, nouç avons amélioré, par ces mouvemerts pro^r>ssi.f6, certaiiis élémen s 1 >a du front. Sur le terrain oonquis, nous nous sommes emparés d un mortier et de plu-Jr_ sieurs lance-bom'^es avec mur.i i irus. Avaiit-hier soir, des hydroavions e-anemis ont llano'» r£^_ dos bombes sur R«*.vienne, Ponto-Lagoscnro, Poloiella, !Magïia-Vacca, Aria/10 et Polesiita. J fl u'y a pas eu de victimes ni de-dégât*. >rit Tout ai «si infructueuses sont rcsi es hier des attiques contre Pom"no, Vepmi^liaiio et J09 et Doberdo. Un avion qui a te d'af a- quer un de nos ballons d'obs"ïrvation' a été * u® descendu par nos canons de défense et s'est rl" abattu dans Ljs lignes ennemies près de Nabr-sina. 1 u- * • * Bucarest, 14 novembre. — Officiel ' de l'état-major : ^ Sur la frontière occidentale de la Moldavie, notre artillerie a rédudt au silence 0 l'artillerie ,ennemie. Dans les variées de Tr^tus et d'Ueul, nous avoua repuussé toutes les attaques e^tveipr.ises sans ia'ter- ^ rupt on par 1 o;uiomi depuis le 29 octu bre jus m'à 09 joi.r- Au cours d une coatre-attaque, nous avons hier fait prisonniers 2 officiers et 81 solditts; nous nous som-mes, en outre, emparés de 3 mitrailleuses et d'autre matériel de guerre. Dopui* la vallée ce Putna jusqu'à Pr$-1[n délus, rien d important à signaler en de-n hors du Feu de 1 artillerie et de quelque»* ,s escarmouche». l;i Dan6 la valLe de la Prahova, violent ^ fou d'artiUerie réci[«roque. i, Dans la région de Dra-goslaves'o, l'ar-jH tillorie de gros calibre et 1 infant rie enn->-^ mies noue ont attaqui'e et nous o:it f.!>r#és à céder rki terrain à notre aile geuch •. Sur la rive gaucho de l'Ait, I'eau^rai nous a violemment attaqués, et finalement^ a^r^ ^ td que nos positions furent tombées dhns s s . mains, il a réussi à progresser grâce à , l'appoint de troupes fraîches et supérieures t q. on nombre. Après d^opiniâties combats, nos ^ troTjpes oi t •'* ; obliges do se retirer au ir sucl de Bunnbisti. ,j0 Sur la Czerna, activité de l'artillerie et , (> onga^rments de patrouilles. , Sur le front sud, sur le Danube, rien do r nouveau à signaler. , lt Dans la Dobroud«e&a, pas de changement. * 4 • * r 1^ P/trograd, y novembre. •— Officilel du < grand étatwnajor général : r ia Sur la Tv'ujorowska, engagements entre 1 a éolaireurs» et duel d'artillerie, ainsi que c comtois do raines dans les_ environs de Lipnica-Dalna et de SwiAtfâhiiiû. Darus les forêts ds Carpathes, noua •ivons repoussé par notre feu une attaque mnetnie prononcée ditns la région de jar a vornik et ou &u<ii du mont Puewi. , , SUR MER v Bâle. 11 novembre : On télégraphie) de Stockholm à la ,,05853-8 1er National Zeitung" : w — Lu gj-and crois6U>cuirassé russe, soit l lo , lturik", soit lo ^Ciouuobol", a éohoaé •u L.rge de llango, dans la baie de limande- Les tentatives fautes pour le roa-« y l'iouer cn= échoué. , Londi-cs, 14 novembre : s Le „Daily Mail" assure que les sou©-marins allemands 49 et 61 se trouvent touw louis dans les eaux américaines et qu i s y eront rejoints par d'autres sous-marins encore.i- Berlin, 14 novembre : s Le vapeua itdien .,MudïW» qui ai^r'ef-nait naguère à la I'eutsche Lev;uita Liuie c-' qui jaugeait 3,137 t maies ainsi que lo s voilier italien ,,Giovanni Anton Bervaitai", t jaugeant. 33*3 tonnes, ont été coulés. Amsterdlim. 14 noveml.ro : Au es m paqueixit n: arrivera» d'Angleterre aujourd'hui. * lie ilavro, 13 novembre r " Lo vapeur français ,,Flore" C3t en^Té eni " collision avec le vapeur angl-ws ,,Waer-*MLe'' ; il a Cté forteaient endommagé et,» dC être conduit eu cale 6èche. r Amsterdam, 15 novembre : -- Les vapears Ln*itanni |ues „Corinth", jauH géant 3,6(k» tonner», et „Bemicia", jonj-■*- géant 3,355 tonnes, ont été coulés. 0 Amsterdam, 15 novembre : On pense fuie le vapeur britannique f,P|3-troliae'', jaugeant 4,205 tonnes, a coule. Londres, 14 novembre : Lloydl» annonce que les chalutiers à, var peur „Ou-r JJoys" et „Sirperb' ont etô a coulés. Les équipages ont été sauvés. e Londres, 14 no\embre : Lloyds annonce que le vapeur anglais e ,,Morazan" (3,4h6 tona.es) a ctj 0 >u»lé. Le cap 1 b ine a ê&e f it pr saunier. Le vaj ear 0 anglais ,,Osterham'; (1,777 tonnes) a é^o-■a iement été coulé. 8 Christiania, 14 novembre : Suivaut une déptci.e ue Bilbao au mi-e uisière des affaires étrangère^ le vai:eur „ Cama" (1,794 co de Tons e gratté 0 coulé samedi. L'ôjùi[tige est êuuvu >t Le vrce-consalat à Carucha t l'graphie : — Le vap«ar ,,Tripel ' („Kri|,e1" ■?•), de 0 Drimmo.ii, non inscrit au i-egistre v.Ca Lloyds B et jiugeant 4,G33 tonnes, a <-t$ coulé h ec ^ devant Gaviao." L'équipage Cfct sauvéu" Le vice-consulat à Coruna mande : — Le vapeur ,,Forslalen" (2r835 txm-nes), de l'Orgun, a été coulé par un" sjus- 3 mariia alleiuau. 1'. Son équipage et c-;'lai du vapeur norvégien „Bal e", compt s s cha. ^ ouu de 23 hommes, oi.t été dibartiu s à Co* h marina." r lin y compaenant les autres vaipeurs & mentionn a aujourd'hui, les assuransus uv>r-"t vô. iennes contre le» r 6 iues de guerre ooet e 8ul>i uno perte de 9 % miilioas de cou>» ronnc-s. ^ Copenhague, 15 novembre : 5 Le vapeur dano;s ,,Veira" a cî^barqu^, 12 dans lo port portugais do Brieha'm (t), s l équipage du vapeur anglais „Muiasano", cou-lé d'ans l'Océan Atlantique par un sou$-marin allemand1. s Stockholm, 15 novembre : Le vapeur suédois ,,Aristid", qui était-, avant la gu'irre, le yacht de plais ince „Saga", attiohé au port de Stockholm, a r été eouilé par tuiï sous-mann allemand s comme il faisait roufie die Stockholm à 3 Raumo. L'équipage a été sauvé. , Berlin, 15 novembre : La presse de l'Entente répandi le Jliruit que le vapeur greo „AngeLica^' a été ctmLé ' par un sous-marin allemand. L'Agenœ J" Wolff annonce de source autorisée que cette affirmation est inexacte ; il ne peut «tira T. question d'impliquer aucun sous-mu'ini allemand dans 1e cas du torpLlage de l'„An. J gelica". 1 Berne, 15 novembre : ? L'Agence Ilavas apprend de Madrid que ls .,U-49" a attatjué hier matin le vaipeuij angl is ,,01an-Buchanan". Celui ci ajyaut 3 demandé du secours par télfegraiphie sans fil, le paquebot „lloUiodii)'' s'e>t iiendju sur les lieux. I^es d.'tiils manque it coo-oernaint lo sauvetage. L'équipage eau vapeur ,, Elisa-Marina" déclare que la mcir est surveillée la nuit à 1 ajîde de projecteurs giants. Dépêchés Diverses Rome, 14 novembre : D'après des informations du (Bureau) officiel des statistiques agricoie6, la récolte <hi ma s de cotte année 11e s'est élevée qu à 1,915 millions de quintaux métriques, ce qui représente, comparôtivemesit à l'annAi dernière, une diminudon de pr s do 10 millions de qu'nta.itx. Le manvme de ma- 9 éprouvera surtout la population agricole dio la Hante Italie, qui se nourrit p'iOncipaitj, ment de polenta. , * ♦ » Rome, 14 novembre : L'Agence Nationale annonce qne, pour des rais >ns éotmomiques, le» minlst r -0 crun-jxétents oxamuient une réduction dj la durée» du trafic de« tramways et des représe^ita- rions théâtrales. , » ♦ # Londre*, 14 novembre : Le „Daily N<*ws'' annonce que le gooH vernement s'e^t déclaré d?aooord pour fieo-mettre la discussion do la motion suivantje, 1 déposée par M. liewins au nom da la Commission c^nff-lires1 natiionaiiste : — La Cha.m' rs o5time qu'il est du derori du gouivernemont de {irendre d s m- î-curesi «romplémentaires pour augmenter et nninteu nir à un chiffre rationnel l'approvisionne- i ment en vivres de la p©tpii!ln#on. afin1 1 d'éviter que la disette et une formidable Jeudi "16 Novembre 1916 JOURNAL QUOTIDIEN — Le Numéro : ÎO Centimes '3# Année. — W 722

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