La Belgique maritime et coloniale

835 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1914, 21 Fevrier. La Belgique maritime et coloniale. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/1c1td9r86h/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

LA BELGIQUE MARITIME ET COLONIALE REVUE HEBDOMADAIRE (2orae année) Prix : 25 centimes (35 centimes pour l'étranger N° 8. 21-22 février 1914 ABONNEMENTS : BELGIQUE : Un an . . . 12 francs ÉTRANGER : Un an . . . 18 » Comité de rédaction : Paul Mussclie, directeur ; H. Baels, secrétaire-adjoint du Conseil supérieur de la Marine; II. de Kerchove d'Kxaerde, officier de Marine; Ch. Dezuttere, secrétaire de la Commission de pêche marit. de la Flandre oec.;Eug. Gillon, ing. naval,membre du Conseil supérieur de la Marine; L. Hennebicq, président de la Ligue Maritime ; Ch. Hervy-Cousin, membre du Conseil sup. de la Marine Ch. Maroy, secrétaire de la S. B. de la L.M. B. ; J. Rousseaux, C. Smeesters, membre du Conseil sup. de la Marine, à Anvers; L. Teugels-Devos, membre de la Commission interprovinciale des Canaux brabançons; Van Bladel, secrétaire de la L. M. B. R. Vaut hier, conseiller colonial. Seerétaire-Administrateur : E. de BURBURE de WESEMBEEK. RÉDACTION-ADMINISTRATION 8, rue de la Tribune, BRUXELLES Téléphone : B. 1807 BUREAUX A ANVERS : 22, RUE DES RÉCOLLETS SOMMAIRE : Colonnes LAssurance des Chaloupes de pèche . . 253 A la Chambre de commerce de Malines . 258 L'assemblée générale de la Ligue Maritime Belge 259 Nouvelles et informations 28g Bulletin commercial 292 Notes financières 297 Avis divers 297 L'Assurance des Chaloupes de pêche Les premières études sur cette question ont été faites en Allemagne, il y a une vingtaine d'années, lorsque l'intérêt pour l'industrie de la pêche s'affirma dans ce pays avec l'idée expansionniste. L'importance de la marine de pêche, en tant qu'instrument de progrès économique et de pépinière de la flotte de guerre, suscita en sa faveur des appuis puissants et dévoués. Le Deutscher Seefischereiverein, fondé sous le haut patronage de l'Empereur lui-même, consacra ses premiers et meilleurs efforts à la protection de la petite pêche à voile, d'où sortent, en grande partie, les effectifs nécessaires aux autres branches de l'industrie maritime ; de tous les moyens que l'association n'a cessé d'employer à cette fin, il n'en est pas de plus intéressant et de plus pratique que l'organisation de l'assurance mutuelle des voiliers de pêche. Des statuts-types furent étudiés, avec les soins et la méthode dont la science allemande fait preuve dans tous les domaines, et l'appui financier du gouvernement fut garanti au Vereln afin de faciliter la fondation des sociétés sur des bases solides et durables. Des prêts libres d'intérêt ou des subventions prélevées sur les fonds annuellement affectés à l'encouragement de la pêche maritime aideraient les sociétés naissantes à traverser, sans trop de peine, les périls du premier âge et la période de croissance. Il n'en fallut pas davantage pour que l'idée prît corps tout de suite et pour que les sociétés essaimassent, avec une belle vigueur, sur le littoral de la mer du Nord et sur celui de la Baltique. Pas de station de pêche à voile de quelque importance en Allemagne qui ne possède une mutualité d'assurance de chaloupes et de matériel de pêche. Pendant que cette floraison mutualiste s'épanouit en Allemagne, les pêcheurs français, de leur côté, se mirent à fonder un grand nombre de sociétés locales d'assurance maritime, que le gouvernement, les administrations départementales, les municipalités et les chambres de commerce eurent à cœur de soutenir éner-giquement, mais souvent sans grand succès. En effet, le caractère scientifique que possédaient les sociétés allemandes faisait défaut aux œuvres françaises. Les statuts et les conditions de l'assurance étaient empruntés à un ensemble de règles empiriques et disparates ne permettant pas d'atteindre complètement le but poursuivi.Cette situation fixa l'attention de M. Léon de Seilhac, délégué permanent du Musée social à Paris, dont les travaux sur la pêche maritime française sont connus. Au Ve Congrès national des pêches maritimes tenu aux Sables-d'Olonne, cet éminent sociologue présenta à la ratification de l'assemblée les statuts à suivre afin de fonder sur des bases solides les sociétés mutuelles d'assurance de bateaux de pêche. Depuis lors, la question a fait des progrès marquants en France. En effet, en tant que personnes morales, les mutualités d'assurance maritime ont été admises à faire partie des sociétés locales et régionales de crédit maritime, organisées par les lois des 23 avril 1906, 18 juin 1909 et 25 mars 1910. Elles peuvent obtenir les avances faites par l'Etat, à l'intervention de ces sociétés, et faciliter ainsi leurs débuts. On est même allé plus loin. En séance du Ier mars 1912, deux députés bretons, MM. Le Bail et Le Rouzic, ont présenté une proposition de loi instituant une caisse centrale de réassurance des sociétés lo-coles d'assurance mutuelle maritime. L'institution serait richement dotée à l'aide de subventions diverses et serait régie par un règlement d'administration publique. Mais retournons au Nord. En 1889, l'Association danoise de la pêche maritime a fondé une assurance mutuelle de bateaux de pêche. L'organisme étend son activité à toutes les côtes du Danemark ; il assure un millier de bateaux et est en pleine prospérité. Nous évaluons à plus de 20,000 couronnes la subvention qui lui est allouée, tous les ans, par le gouvernement danois. En 1912, M. Run|ciman, ministre de l'agriculture et des pêches en Angleterre, a fait procéder, par un comité de techniciens, à unie enquête sur les moyens d'organiser le crédit mutuel parmi les pêcheurs côtiers anglais. Le rapport des enquêteurs a paru en 1913. Il contient une étude détaillée sur l'organisation des sociétés d'assurance mutuelle de chaloupes et de matériel de pêche fonctionnant à l'étranger et en Angleterre. Presque tout est à citer dans les conclusions de cette partie du travail. Qu'on en juge : « L'expérience acquise par les sociétés locales d'assurance, tant sur la côte occidentale anglaise qu'à l'étranger, est concluante ; elle prouve, en ce qui concerne les bateaux de pêche, petits ou grands, que l'association mutuelle locale offre pleine sécurité à un taux d'assurance très réduit. Même au moyen de primes très modérées, on n'a pas éprouvé la moindre difficulté à accumuler des réserves considérables partout où la société l'a voulu. A l'égard des grands bateaux, les primes des mutualités sont moindres que celles d'associations centrales, ménie lorsque

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre La Belgique maritime et coloniale appartenant à la catégorie Financieel-economische pers, parue à Bruxelles du 1905 au 1921.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Périodes