La chronique: gazette quotidienne

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s.n. 1914, 26 Mars. La chronique: gazette quotidienne. Accès à 25 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/tm71v5fz32/
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Jeudi «6 njars 1914. - Edition Iï CINQ CENTIMES LE NUMERO POUR TOUTE LA' BELGIQUE #7» auuée» - M» 83 LA CHRONIQUE ' BUREAUX 7, Galerie du Roi (Passage Saint-Hubert) •RUXEU.ES A -ZTT.TTTn OTTOT1!!-)TTmNTTVnpn téléphones' Administration s n* ï 881c Rédaction . n* 1409 % ABONNEMENTS : FONDATEUR : RÉDACTEUR EN CHEF: ANNONCES . 4<- page 30 cent, la petite lijmc. — Réclames (après les spectacles), \ fr, la lig-ne. — Faits-dirers (corps), 3 fr. Brl fKLLES : 12 francs par an ; — 6 francs pour six mois; — 3 francs pour trois mois. . urnniirn ■ m rmrmîMï? la ligne et faits-divers (fin), 2 fr. la ligne. — Nécrologies : 2 fr. la ligne. — On ne garantit pas les dates d'insertion. La .Vrovinck 15 francs par an; — 7 fr. 50 pour six mois; — 3 fr. 75 pour trois mois. VlClOP UC 1(1 liciiMïAl Hi JCtlîl (1 Alull!ii\i\rj La publicité commerciale est exclusivement reçue à l'Agencc-Réclamc Godts, 2, place de la Bourse, à Bruxelles. Téléph. A. 3299 To as,pays de l'union postale, 30 fr. par an. — Hollande et Grand-Duché de Luxembourg, 20 fr. par an. La publicité financière, les petites annonces et le? nécrologies sont reçues aux bureaux du Journal, 5 et 7, Galerie du Roi. A PROPOS DE L'AFFAIRE On dirait vraiment que nous sommes rt ■venus aux beaux jours de l'affaire -Dreyfus Même dans notre paisible Belgique, ou jug de cette histoire Caillaux, Monis, Rochett comme du procès Zola et du procès de Ren nés, cV^st-ù-dire, non a'vec des raisons, du: arguments et des -faits, mais avec des scnl; mente et des passions irraisonnés. Ci drame, ù tout prendre, ne -devait nous in-té ïiesserque pour .son pittoresque ou -les ieçon: qu'il -comporte ,c nous y pre-nons parti. L; presse ca.ttiolic[ue attaque MM. Caillaux e Moni-s îuvec violence ; la presse socialiste qui n'ose pas trop les -défendre — on ne sai pas .'bien ce que donnera l'enquête, et» jusqu'i présent eUe ne leur est- pas précisément fa worai>le — (fait diversion en tombant su MM. Briand, Bartbou et... Calmette; la press libérale, seule, montre quelque résenve. C'es la sagesse. -Nous avons -vraiment une pro j>ens,ion nn -peu trop forte à juger des affai :res politiques françaises comme si nous ; étions directement intéressés. * * * ■le le sais .bien : il y a entre les deux pay: quantité d'idées communes ; nous prenon: ■en France, sinon notre doctrine, du m ai ni! notre vocabulaire politique. L'histoire Iran-«aise a été mêlée de très près à notre his toire ; nos grands partis historiques ont et des .relations fréquentes avec les partis historiques français qui, d'ailleurs, ont a pet près disparu. D'autre part, .comme le radi calisme -en général, 'bien plu-s qu'une véri table métihode politique, est l'expressior d'un tempérament ou, parfois, des appétit: du -prolétariat intellectuel,* nos radicaux res sembent par certains traits aux radicau: français, à. cela près que, ceux-ci, étant ai pouvoir, se sont, pour leur malheur, enri cliis de tous les arrivistes pour qui la poli tique n'est qu'un moyen de parvenir ; mais tout cela n'est pas une raison pour que -nous jugions toujours des affaires françaises se ■Ion nos 'passions politique® ibélges. Pour peu qu'on y regarde d'un peu près les problèmes qui occupent le Pa'lais-Bour ban n'ont, rien de commun, en effet, a.vo< ceux qui nous Occupent, et la similitudt •même du vocabulaire fait que nous nous méprenons -souvent sur leur -nature. H est vraiment trop simple, par -exemple, de 'considérer M. Cailllaux comme le martyr démocratique iile l'impôt sur le revenu. Tou le inonde, ou à peu près tout le monde, -ci France, est actuellement -partisan d'un im )»0t sur ie reiVtmu. Il s'agit uniquement ds savoir comment on l'établira, et le reproché qu'on faisait au projet Caîllaiix, c'était d-faire de l'impôt, un moyen de pression élec torale aux mains d'une administration beau coup trop inféodée aux partis politiques do minants. Ceux qui combattaient 'le niinistre tombé n'étaient don-c -pas nécessairement'des « sup pots de la réaction » ou des instruments per fides aux mains d'une bourgeoisie opuilenti qui défend ses coffres-forts. C'étaient peut êlre aussi des gens qui voulaient lutter con Ire la tyrannie croissante des partis et de: politiciens. .Si l'on 'envisage la question sou.- «et aspect, pouvons-nous 'leur donner tort ? # * * S'il est une leçon-, en effet, qui se clôgag-de ces événements — et si nous devons met tre de la discrétion à prendre parti dans de-querelles étrangères que nous connaisson: mal, nous pouvon-s du moins essayer d'.ei tirer un enseignement — c'est 'le danger qui présente l'intrusion de 'la pc/liti-que dans tou: les rouages de 'l'Etat. J'ai entendu, dans 110 tre monde judiciaire, violemment critique Ja conduite du procureur général I'abre. « Qu'est-ce que ce magistrat, qui obéit i un ordre politique ? disait-on. 11 n'avait quN résister ! » Ouais ! Ce procureur, évidemment, n'est pas un héros, ce n'est pas un Daguesseau -assurément. Mais quoi ! durant toute sa car rière, i'1 a dû évoluer au milieu des intri gues politiques, i! a eu pour chefs toute un série de gardes des sceaux, ennemis les un des autres. H sait que, s'il résiste, il ser ibrisé, c'en -sera fait de ses ambitions, de se intérêts de famille. On évoque 'le salut de l'Etat : il se dout bien qu'il s'agit des intérêts d'un parti, o d'un homme de parti; mais, somme toute tout le monde ne comprend-il pas les intérêt de l'Etat et les intérêts du parti qu'il repri sente ? Il cède parce qu'il n'est pas un héros et parce qu'il obéit aux suggestions du m lieu. * * * La confusion des intérêts (de l'Etat et de intérêts d'un parti, voilà le vice, voilà 1 malheur d'un régime (parlementaire «an contrepoids. 11 ne faut pas faire les pol ticiens plus mauvais qu'ils me te sont. Il a parmi eux, tant en 'France qu'en Belgiqm ou clans d'autres pays, ides 'hommes -très sit cères, très soucieux du bien public. Mais ei régimehtés, généralement depuis leur jei nesse, dans un parti, 'nourris de son pr< gramme, de sa doctrine, oserais-jc dire d sa philosophie ? l'ayant considéré, au moit dans leur jeunesse, comme l'expression pè faite ou presque parfaite de la Vérité, de i Justice sociale; comment voulez-vous, qu'ut fois ce parti au pouvoir, ils ne confonde* pas son intérêt avec l'intérêt de l'Etat? C parti n'a-t-il pas il o meilleure conception t J'Elat ? -Ne lui s-ufflra-l-il pas de se dév-elo; per pour réaliser l'État, parfait? -Ses onn mis isont donc nécessairement les ennem de l'iEtat. De ll'à -à conclure que, pour les e.r pêcher de nuire, tous les .moyens sont bon il n'y a pas loin. Les politiciens très sine res sont souvent les plus dangereux des t -rans. 'Cette tendance est commune à tous j partis, sauf, -peut-être, au libéralisme hist rique. Aussi, si l'on veut conserver à ui nation sa santé, 'Si l'on veut, que les rouag de l'Etat fonctionnent normalement, sai heurts, sans û-coups, sans injustice crian il faut les proléger le .plus soigneuseme possible contre la politique des partis. I gouvernement devrait ignorer les opinio de ses fonctionnaires, et surtout de ses n gislrals. 11 serait de son intérêt vérilab de son intérêt durable, de mettre les ndn - ni'strations au-dessus des partis. C'est malheureusement |cel que, depu 3 cent ans, aucun gouvernement n'a su lai : en France — car, devant les vices du i " gime républicain, il ne faut tout de mên ' pas Oublier ceux du .régime impérial. — Os rions-nous dire que le gouvernement belj '■ a toujours su .le faire? Il aurait bien à m ditar sur la crise que traverse, actuellemer ' le gouvernement français... || L. DUMONT-WILDEN. , I 5—♦«»-< ! MENUS FAITS, PROPOS MENUI LA CONFIDENTE t J'ai connu une dame anglaise qui offra, ■ vers les cinq Jveures, du thé à .ses amie • dans une maison de la banlieue de Londre ' toute tapissée d'ampélopsis. On n'y voyc, guère d'hommes, -parce •que, à cette heure-l ils étaient ailleurs pour causé de busines . On n'y voyait jamais le maître de la maiso ] jamais. Le sexe fort et laid était représ en l ' quelquefois seulement, par un étranger, t ' de ces désœuvrés que la dame avait conm à Nice ou à Paris, et disposéstoujours { partout, à bavarder sur tout et le rest _ comme si, vraiment, les londoniens avaie'. [ du temps à perdre... Et on parlait ce (our-là de tout, sans n gliger le reste, quand l'étranger posa m question saugrenue. Il, demanda ce qi , c'étaient au juste que les araires dont s'o cupalt le mari de la donne. Celle-ci n'en savait rien, mais là rien c tout. Les affaires de son mari, c'étaient d< affaires. N'était-ce pas suffisant ! Des affe res honorables puisque son mari était l , parfait gentleman. Il avait dans la Cité, c ; il se rendait tous les jours, fort ponctueil ment, un office, c'est-à-dire deux pièces . commandant, parmi les 100 offices d'un /'/; meuble « ad hoc ». Ledit office recélaii ui machine à dicter, une machine à écrire une dactylographe. Grâce à ces trois outil monsieur rapporiaiJ, hebdomadairement, i jolies sommes à une épouse aimante, aimé jolie, élgante, mais à qui il n'avait ja/ma jugé nécessaire de faire des confidences d'à f aires... Eh bien! j'eMïrne que si certain honni, politique français 'avait tenu cette condui vis-à-vis de sa femme, celle-ci n'aurait j* , mais pris un revolver pour liier un jourm > liste. Mais, hélas ! ledit homme polikiqi ; croyait devoir faire des confidences jusqn . dévoiler ses arrière-pensées politiques. Est-ce beau ? est-ce bêle ? J'estime la co: . duitc du Français' plus humaine; celle < l'Anglais plus- fiére ! Un homme doU se su [ire, et, fût-il Louis XI, ne pas même se co . fier à son bonnet. Le rôle du confident, quand ce çonfide: . est un être sensible, est a-ussi énervant qi . celui du passager dans un aéroplane qui bo . cle la boucle. Il ressent toutes les émolioi i et ne peut rien. Si, dans un moment, d'éme ; il met la main à la manœuvre, il casse toi On vienl de le voir. BOB. »> — • — Au jour le jour ; LA POLITIQUE - Rien ne fait plus de mai qu'un d: ÉfTl cours rentré, sinon peut-être un pc 1 tefeui,le raté... Au moins, contre L 'premier bobo existe-t-il un remède publier «on discours. M. Ti'lxbaut s'est déci pour ce dernier procédé, qui adoucira ; , moins la moitié de sa peine... iCett-e brochure s'appélle ; Les missionnt - res ont droit à la vérité. Espérons que 3 niaiserie prudJiommesque de ce titre ne ve 5 pas dire que ce droit leur soit réservé,comi i tant d'autres qu'ils prennent ou qu'on le 3 idonne... Ceci entendu, négligeons les i contars (parfois très significatifs pourtai 3 pour nous (montrer les tendances des congi i gâtions), et notons, aussitôt, les savoureus , réflexions que ie fa-ctum du .bon M. Tibtba s inspire à la cléricale Métropole, d'Anvers--va là de bien piquantes révélations, vo verrez ! « Un petit groupe de personnages agissa pour des motifs très personnels, et par cc ?équent fort peu nobles, ont « utilisé », au p: g fit de leurs haines et de leurs rancunes, quelques réclamations justifiées que les ni e sionnaires présentaient contre les excès d' s régime trop bureaucratique, — pour emploj i- le mot de M. Tibbaut lui-même. Ce sont e y qui, par un savant battage, les ont gonflé ; amplifiées, exacerbées, et qui ont greffé là-d 1 sus le spectre de tout un système de persé< l~ tion absolument inexistant, mais destiné à ■ i- citer la passion des catholiques belges, i- A ce système appartenait notamment la meuse «' conspiration maçonnique ». le n< « complot » dont M. Tibbaut se garde bien e parler encore, mais qui n'en a pas moins se s à ravaler les efforts les plus sains et les pi > loyaux «à nous ne savons quelles louches co ,x promissions ? Serait-ce que l'honorable député de T 0 monde ait reconnu l'inexistence de ce che' it de bataille ou qu'il refuse de se solidariser j ;e ce point rivec les peû intéressants personna« e qui sont les véritables auteurs d'une campa? où les passions ont fait oublier trop souvi les faits? 3- Nous ne trancherons pas ce point délicat, is Nous voulons simplement, ici, prendre a t de son attitude en attendant que le recul temps nous permette de considérer cette ca s' pagne sous un jour plus précis encore. » è- y- Voilà, qui est bien inattendu... Ainsi, avoue que le « complot maçonnique » de îs non seulement le "négligeable Patriote, m o- la Presse, le Bien public, voire le XX* Sièi ie firent leurs choux gras, est un simple « t ?s tage », destiné à « exciter la passion ». is De « peu intéressants personnages »> le, ainsi dupé le parti clérical et voulu trompe ni le pays... Jn Ce ne sont pas les missionnaires... Mai as quels sont-ils ? Il y a. là un X. à, chercihei a- aussi passionnant que celui de 'France, f ,e, plus proche de nous... i i_ . is PETITE CHRONIQUE é- Regards en arrière 10 2G .mars 1832. — Lo choléra éclate à Paris e e- y fait, jusqu'au 30 septembre, 18,402 morts. i'c é- La revanche inattendue, t, Que Kle vieux souvenirs remués par cette af faire Caiîlaux ! Comme des noms que -l'oi croyait disparus de la mémoire s'y implan .tent à nouveau, y reviennent en rayon lumi - Jieux ou en éclaboussure de boue! Rochette - Flaclion, Marix, combien d'autres ! 5 iLa plupart ont défilé dans la déposition s iiiette, si imprfôsionnante de M. Eriand. Qu'oi ait pour celui-ci (peu, beaucoup ou pas du tou de sympathie, on doit reconnaître que, de tou-l les témoins entendus, if est le seul qui paraissi s sortir absolument intact de cette aventure, ai s point de vue, non ipas seulement de .l'honnê 11 teté pure, mais de ,1a délicatesse et de .la cor ! rection. « Ainsi que la vertu le .crime a se: s' degrés.» Et, dans tout ce tumulte de scandales ' dans ces oliocs d'influences, dans ces .rivalité: c;' de compromissions, M. Briand, rappelant, d< ^ son passaige aux affaires, ce (qu'on savait, ré vêlant ce qu'on ne savait pas, allant au-devan ^ ides .questions qui pouvaient lui être posées, t donné "l'impression de1 l'homme qui parle avei 3' la certitude do ne pouvoir être démenti. S: 1 déclaration .fut écrasante pour .les deux minis très démissionnaires, peut-être vaudrait-i mieux écrire..: démissionnes. ie Or, il est piquant d'avoir vu le nom de Fia '€ chon revenir plusieurs fois dans l'enquête. Or se souvient Idu scandale ,que provoquèrent l'ar restation, puis le .procès du directeur d^ 1: u « Lanterne ». 11 n'était un secret pour persomu is que .M. Briand était en relations avec Flachon i- — ni qu'en visant ce dernier, c'était M. Briand n adversaire dangereux, que M. Caillaux, alorc à président du conseil, comptait atteindre. a- Ce plan échoua. M. Brdand ne .fut même po; :c compromis, et M. Caillaux réussit simplemen i. à priver le"" parti radical d'un de ses plus ar [€ dents défenseurs. <1 II se fait aujourd'hui que, par une déclara y tion, dont île ton modéré n'est pas la force 1; jc moins .redoutable, M. Briand .contribue à con „ sommer la chute de l'ex-président du conseil ;A! Certes, ni l'un, ni l'autre, bien que faits au: l_ aléas de la vie politique, ne devaient s'a.tten dre, iill y a quelques mois, à une pareille re vanche! e Le riroit et ic fait. Petit mouvement de curiosité, hier, au palai: de justice. iDans le courant ide la matinée, oi <e apercevait, ù, plusieurs reprises, dans le coi à loir de première instance et dans quelques sal îles (d'audience, un avovat suivi par un group: i- de 'jeunes gens d'a'lîure généralement exotique ]e -S'iagissaitji'l de réunir la famille d'un Péru /- vien 'décâdié ? Les créanciers d'un Bulgar i- ayant vu s'ajouter aux malheurs de sa patri sa déconfiture personnelle formaient-ils m it consortium destiné 'à réaliser l'actif de leur de te biteur? Cet Epirote, ce Grec et ce Russe vt .t- naient-ils fonder une société .financière placé i.ç sous l'égide bénévole du lion belgique? ij Non ! La réalité était plus simple — et plu ingiéniieuse. L'avocat était un jeune professeu de l'Université nouvelle. Et, ayant à enseigne à ses élèves les subtilités de la procédure <k vile, il avait voulu, au lieu de leur inculque - des notions théoriques, leur montrer '^e droi pratique, le droit agissant : leur faire touché du doigt un exploit, leur montrer des avom régent leur rôle devant un président doci!< leur faire entendre un bredouillcment intituJ «lecture de conclusions». U leur avait fait con prendre sur le vif le mécanisme de la distr,ai tion des dépens et de la jonction des cause C'est une initiative extrêmement juste, i ir qu'il nous a paru intéressant de signaler. je Remarquons pourtant que si de jeunes ave . eats, entrant au barreau, connaissent quelqu chose à la procédure, ils détruisent une de traditions lies .plus anciennes et les .plus re; pectées. Et nul ne sait où ça peut nous mena G=^==5 Chez les Belges. la Quelques lecteurs se rappelleront que IN ut Pau! Fort dut le titre de « Prince des Poètes ic à un scrutin comme pour un simple présider ar de république. Le prince, maintenant en Ru 'u- sie, .raconte comment il fut dans « ce train qi it, dérailla chez les Belges, aux environs de Pi •£. pinster, tuant trois voyageurs et en blessar G3 nuit autres !... ,, Pauil Fort dut attendre net ut 'heures sous un tunnel l « Episodes, épisodes fj ajoute-il., a.vec modestie crâne. us Nous protestons de tout cœur. Un jour qi Louis XIV « faillit attendre » ce fut (1e l'Hi toire.. Que Paul Fort ait attendu, tout de bo: et encore « sous un tunnel » et « chez les Be ,n. ges .», nous semble de l'histoire aussi..., à toi -o- le moins, de l'histoire littéraire, es (s=^J) 1S" Pour identifier les tableaux. Un bon savant allemand, de ceux qui so: ÛX s^-mipatlnques, et que les « Flieg'ende Blât.ter nous montrent rentrant trempés de -pluie,par. ss- qu'ils ont « oublié qu'ils avaient leur par m" pluie », vient de nous engager 4 employer .]• l'x~ rayons X. pour authentiquer les tableaux. fn_ prétend que cela permettrait de connaît )i ;• tous les détails de la facture, les « repentirs de les signatures vraies ou fausses... Bref, tou 'vi la v.ie intime, la structure secrète de l'œuvi us Ce serait ridentiifi'oation presque certaine. 1 procédé paraît séduisant. Ne saurait-on l'a er. pliquer aux femmes, ces autres chefs-td'œuv 'ni (nous n'osons ajouter de peinture), et, ; ur moyen des rayons X.deviner la pensée secrèi 'GS le soupçon oaché, le projet d'abandon, de ru ;nt ture, la trahison que l'on prépare?... S'il po vait découvrir une telle application de «si procédé, le .bon Allemand... Mais qui oser; cte lui demander d'inventorier ainsi l'âme de plus fidèle des femmes ou de la plus tend m~ d es m aîtresses ?... Les prisons de Wagner 011 Si « Lohengrin » et « Tristan », « Parsifa n.'' et « Allberich »,'avaient laissé quelques lois: a,rs à leur illustre père, peut-être eût-iT, — tel '^r-> larmoyant Silvio Pellico, — chanté « ses p •a'- sons Par deux fois, en effet, Richard W gner put se former une opinion, document ont sur la fameuse « paille humide des cachots j r L'immortel musicien n'était pas novateur q: dans son art... Compromis dans la tourmen s révolutionnaire de 48, il fut incarcéré, en m -, 18W, relâché, et bientôt appréhendé à nouvea [ A l'époque, le « Bulletin général de la pol tique allemande » reproduisit le texte du s coud .mandat- d'arrêt. Wagner y était quai if de « dangereux politicien », et l'on ne se pr vait guère d'y flétrir ce « kappelmeister c Dresde, l'un des plus ardents fauteurs de troi bles du parti de la révolte » ! Ileureusemen H'aimable influence- et les relations précieuse b de Frans Listz veillaient; et les portes de 1 geôle ne tardèrent point à s'ouvrir devant 1 chantre inspiré de la tendre Yseult, et de Kui dry, l'ardente... Par la. suite, Wagner répétait volontiers 1 « Que l'on m'ait emprisonné, soit! Mais ce qu je ne puis admettre, c'est que le mandat d'à; rêt m'ait attribué 38 ans, me vieillissant ain: ' de 2i mois!... Cela, c'est- une indignité! » Et, — disant cela, — le grand Richard n 1 souriait qu'à demi ; tant il est vrai que, -1 même chez le génie ! — la coquetterie ne per c jamais ses droits... Le vieux-neuf. 1 Toute une vieillie réputation semblait devoi préserver l'aspect si émouvant du port de 1 Rochelle, encore paré de monuments sé.cula res. Pourtant les'«restaurateurs» ont sévi et s préparent à opérer sur un dernier vestige ai cien, Intact, un des plus émouvants. Il s'ag de la tour Saint-Nicolas, élevée au XIVe siècli réparée au XVIIe. Les bons « restaurateurs comptent refaire une tour gothique, d'autar plus authentique, qu'elle sera toute neuve. Mais aujourd'hui, en France du moins, o 1 commence à « trouver cela bête ». On déclai que faire du « Vieux-neuf » est «bsolumer 1 inutile ; que .ces sortes de travaux ne sont plu •des objets anciens et ne sont pas non plus de œuvres nouvelles. On comprend seulement ai ' jouid'hui toute l'a. vertu d'un mot de noti grand artiste Khnopff : lorsque le campahil de Venise se fut écroulé,on demanda, aux prii ' cipaux peintres du inonde entier, s'il falla le réédifier. Consulté, Khnopff répondit qu' ne pouvait, s'agir que d'en édifier un nouveai l'ancien étant,à. jamais disparu... Qui nous d( livrera des vieux-neufs fabriqués par les sain ' lucquistes ? Nouvelles à la main A l'école. — Qu'y a-t-il de plus lourd, uu litre d'eau o un litre de vin? — Un litre d'eau, iM'meu, car le litre de vi i.'en jamais plein ! . ^ A LU COMMISSION DES XXX Nouvelle réunion des XXXI meiicredi matii | sous la présidence du comte 't Kint de Roodei beke. M. .Henri Francotte s'est attaché tout d'; 1 bord à montrer qu'il y à en Belgique un pn blême .des petites communes. Leur grand non ^ bre soulève une difficulté aux réformes pn , posées. Ce point n'a pas encore été envisajj ^ par la commission. Cela veut-il dire que 1 J question n'a .pas d'importance ? L'autonom: des petites communes, qui fait -partie de ne traditions nationales^ doit être sauvegardée ■< -, mise à l'albri- des atteintes du pouvoir centi'a A ce point de vue, il y a lieu de signaler qi , dans beaucoup d'arrondissements cette que tion intéresse non seulement la majorité d< communes, mais aussi la majorité des haï tants. r Parmi les questions administratives relui t ves aux petites communes, M. Francotte ex mine spécialement la nomination des bour s mestres, les fonctions de Téchevinat, celles di receveurs et des secrétaires communaux, e La gestion financière des petites commun i. soulève de grwes questions d'imposition < •. d'une façon générale, on peut remarquer qi toute mauvaise gestion.financière atteint tou t Ja propriété foncière. Tout cela montre que le S. U. ne peut pa ». par lui seul, assurer la gestion convenable d e petites communes. 11 importe de recherch s des garanties. M. Francotte continuera à quinzaine. Après discussion entre MiM.Vandervelde, E jace, Destrée et Woeste, Tordre des travai proposé par la sous-commission est adopté. Voici ce programme : " Chapitre I. — Organisation de Ta gestii 1 communale : § 1. Rôle des commissions spéciales (exte !i sion de l'article 92 de la loi communale). § 2. Organisation de .l'information publiq I et professionnelle. (Article 75 de la loi coi | munale.) § 3. Mode d'intervention des contribuai)] 0 dans la gestion financière. 5_ § i. Référendum communal, i, § 5. Recrutement du personnel' administ] 1- .tif. Jt § 6. Régime des régies communales. § 7. Union des communes au point de vue certains services publics. lt § 8. Régime spécial à appliquer aux agg )) mérés de communes 'Bruxelles, Anvers, ett iq § 9. Organisation de contentieux administ a- tif. îs § 10. Organisation de la police administ II tive. l'€ U. Nomination des bourgmestres et éc "> vins. te § Vi. Tutelle administrative. e; Chapitre II. — Organisation des conditii ■*'' du droit de suffrage •. P- ^ rc è 1. Nationalité. LU § 2. Sexe. e, § 3. Age. (A réserver pour l'examen des p- ranties.) u- § 4. Résidence. )î] § 5. Causes d'exclusion. Chapitré III. — Organisation des garani du régime électoral : re § 1. Procédure : la R. P. et son organ: tion. § 2. Eligibilité : a) Choix préalable ; b) „ tégorie; c) Conditions d'élimination, rs § 3. Corî'js électoral : a) Représentation le intérêts et représentation professionnelle.' ri- b) Conseillers communaux supplémenta: 'a- (art. 4 de la loi du 11 avril 1895). ?e, ' c) Suffrage égalitaire. Suffrage plural. Nouvelle séance à quinzaine, E Lss promotions et imiitioo ï: TRIMESTRIELLES • dans l'armée beliçe e Le « Moniteur » de jeudi matin publie les pr j. motions et nominations: militaires suivantes : Dans l'état-major général 'Lieutenants généraux. — 'Les généraux-m; ,l jours : Ruwot, c-omm. la 5° div. -d'àrni. et la • € cire, mil.j et Du four, gouv. de la pos. fort. d'Aï i- vers. Dans le cadre des officiers e supérieurs de toutes arme Colonels. — Les lieutenants-colonels : ïïeinn il bert, du rég. d'art, de siège, en stage au réj de lig.; Tliirv. du corps d'ctat-raaj., adj. a c-omm. de l'école des pup., à Alost; Orth. d (3° rég. d'art., ad'j. d'état-mnj. ; Berger, du '< ~ id.; Govaerts, du rég. d'art, de côte; Dossin, d i 4e rég. d'an.; Vermeulen, du rég. d'art, c place; 'Eckstein. du id. de siège; Janssen, u serv. de a fort. d'Anvers, comm. du génie d'Aï vers-ville; 'Millard, du id., adj. d'état-maj comm. du gén. du 4° sect., et Deisser, de l'ar r de fort, de '.Namur, à l'iusp. de l'art, a Lieutenant.s-c-olonels. — Les majors : Ariiouh j. de l'art, à chev. de la div. de car.; Becquevor du 0e rég. d'art.; Antoine, de l'art, de la o® brij e mixte; 'De Vleeschouwer, de id. 16e id.; D' i- chesne, du 2° rég. d'art., adj. d'état-maj., dé t à- l'éc. de tir de l'art.; Do Hidder, du 1er id.; L , iM'ey, du rég. du génie, au serv. de la'fort. d'Aï vers ; Cauvin, du 2e id. de lanç. ; Marclian " adj. d'état-mai, au serv. de la colonie; Gauthie ^ du 3° rég. de chas, à pied, et Lambert, du 14e i( de lig., adj. d'état-maj. iï Majors. — Les capitaines commandants : D e iris, comm. l'art, de la 20" brig. mixte, ad d'état-maj.; Dubreucq. du rég. des gren.. ad! d'état-maj.; Stacquet, à l'état-maj. de la 4e brij s mixte, id.; I^efèvre, du 6e rég. d'art., à Fins] s gén. de l'art.; MoLitor, adj. d'état-maj., au ser [. de la col.; baron de Œiennette de Villers-Penvii adj. d'état-maj., adj. maj. au 2e rég. de guide I! est decli. de son emp.; Mercliie, du '0e rég. ( e lig.. adj. d'état-maj.; du 'Rov de Blicquy, cl i- lor id. de guides, id., offi. d'ord. du Roi, conu] j le dép. du gr. !Ec.; 'Deisser. du rég. des gren , id.; Taok, du 5e id. d'art.; Chevalier, adj. d'étal! maj., adj. maj. au. 3e id. de chas, à pied. Il e • déoh. de son emp.; de Gerlache de Gomerv (éc. du lor id. de car., adj. d'étai-maj.: Gateau, c lor id. de car.; Mertens, adfj. d'état-maj., adj maj. au 7P- id. de lig. Il est déch. de son emp Pont-us, id., id. au. 6e id. d'art, id.; Geerom du 9e id. de lig., adj. d'état-maj., à l'école d'à pl. et de perl . pour l'inf.; de 'Poscli, du rég. d gren., adj. d'état-maj.: Jonkheere, des sect. < déf. de la pos. fort. d'Anvers, prov. à l'ins 11 gén. de l'inf., id.; Piette, de l'art, à chev. de div. de cav.; Talion, du rég. des gren.; S'weert 11 du 3e id. de chas, à pied; Thonard, adj. d'éta maj., adj .-maj. au 141e rég. de lig. Il est déch. . son emp.; 'Hollmann, du 1er id. de car., ad - d'état-maj., prof. supp. à l'éc. de guerre; D( Ii'osse, du 6e id. de lig.: Vadrequin, du 1^0® ici Gillet, du ôc id., et Mallego, du 0e id. Dans le corpa d'état-major i, ,, Capitaines-commandants. — Les capitain en second : Mory, adj. à l'ét.-maj. de la 2e di d'arm. ; Génard, id. id. de là pos. fort. d'A l> vers; Massart, id. id. de la ^ div. d'arm.; 1) lannoy, id. id. de la 3e div. d'arm. ; et IBarth i- lemi, id., id. de la lrc id. Dans les secrétaires d'état-majo a Capitaines en premier. — lies capitaines i é second : Gathy, à l'ét.-major, de la div. de cai i.s Michel, id. de là place du camp de Bev., et W; jj. ton. à l'audit, gen. Capitaines en second. — Les lieutenants ■ Praet, du 2° rég. de lig., prov. fais, fonct. . e sec. d'état-maj. de l'arm. ; Steenkiste, à l'él s- maj. de la 6e div. d'arm.; Paris, id. du com. la prov. de Fland. or. ; Lognoid, id. d'Anvers, Massart, id. du Hainaut. Sous-lieutenants. — Les sous-ofliciers : Noi adj. sec. d'ét.-maj. à l'ét.-maj. de l'arm., et R mon, id. au cabinet mil. du minist. de la guen i- Dans l'infanterie ÎS Capitaines commandants. — Les capitain en second : Du Pont, du rég. des gren. ; D' bauve, du 2e chas. ; Cambreliu, du 3° de li*j ' Dobbelaere, du 4e id. ; Hanneuse, du 3e cha? n? Dungelhoefi', du 8e de lig. ; Gauthier, du 5e it te Oeprez, adj. d'ét.-maj. à l'ét.-maj. de la lro d d'arm. ; Dewinter, id. de la lre brig. mixt Rolle, id. de la iye brig. mixte; Wibier, id. ^ sec. de dét. de la pos. fort. d'Anvers, à la dis • du Roi; Van Sintjan, id., aux id., au minist. 21 la guer. ; Smitsmans, id. du 3e rég. de lig. ; fa fonct. de cap. com. adj. maj. ; Dansard, id. l'ét.-maj. de la 5° brig. mixte; Bouvier, du «e- rég.de lig. ; Billemont, du 1er chas. ; Straetmai lx du 9e de lig.; Bredael, du 7e id. ; Snoeck, du id. ; Jacques, du 10° id. ; Gérard, du 9e id. ; Me ten, du 2e chas. : Hamer, du 6" de lig. ; Cast gne, du 11e id. ; Saroléa, au serv. de la coloni ni Hubrecht, du 1er rég. de carab. ; Olivier, du rt des gren. ; Bonbon, du 2e de lig. ; Gilles, du n_ de carab.; Gillain, du 11e rég. de lig.; Batail du 1er id. ; Lemoine, du 1er rég. de chas. ; Pe laert, du 3° rég. de lig. ; Hallart, du 7e ic Lie Ooucke, du 4" id. ; Bourg, du 8® id. ; Jjouis, n- id. ; chevalier de Hontlieim, du 8e id. ; Buri du l®1' rég. de chas.; Gallendyn, du 14e rég. lig., à l'inst. cartôg. milit. ; Wiliame, du 2e im es de chas. ;. Béart, adj. d'ét.-maj. aux sect. de d de la pos. fort. d'Anvers, au minist. de la gue J)e Roo, du 11® rég. de lig., dét. à l'éc. des cai Letellier. du 4® rég. de lig.; Vanzeune, du. >a" rég. de carab. ; Lecrique, du 6e rég. de lig. ; I land, du 14° ici.; Swarth, du 4e id. ; Busine, 2® id. ; Laloyaux, du l®r rég. de carab.; Déoi du 2- id. ; Wittenberg, du 6® rég. de lig. ; Lev de lot, du 14® id. ; Delbrassine, du rég. des gre ^\ahis (éc.), adj. d'ét.-maj. ;i la comp. d'avia 10. Devillers, du reg. des gren. ; Liégeois, du 8® r de lig. ; Uiittenhove du 11° id. ; Vandromi '' du 5e ici.; Stréa, du 2® id. 1 a" Capitaines en second. — Les lieutenant Bui.sset, adj. d'état-maj.. à l'état-maj. de 3® div. d'arm.; îRemy, du 13° rég. de ligne; . gotteaux. du 9® id.; Claser, du 8® id., à l'éc. pup. de l'arm.; Evrard, cln 9e id.- Dothey. ; ie- d'état-maj.. à l'état-maj. de In 20® brig. mi: Vauder Veken, du lor îég. de lig., adj. d'éi maj.. à ï 'oc*, des cacl. ; Houttekier. du l®r sec. prof, à l'éc. mil.; iMasuy. du 13° id.; y ms Eîslande, du l®1' ici. de car., adj. d'ét.-maj., stage à l'art, de là 19® brig. mixte; Flamand, ô® rég. de lig.: Soyer, du 2° ici. de car., pi instr. adj. à l'éc. mil.; De Grox, du rég. gren., adj. d'état-maj.. prov. rép. à l'éc. j Rousseau, du 12° id. de lig., au min. cle la gu 3 Labeau du 12® id.; Thirifav, du 1er id. de r Van Gtstel, du ôc id. de 'ig.: Bel le froid, di id., ad'j. d'état-maj.» en -^tage à l'art, de i; brig. .mixte; Toussaint, du il® ici., fais, fo d'instr. adj. à l'éc. d'a-ppl. et de perf. j ies l'inf.; Hardy, du 12° .id.; De Busschei', du 2® Lebbe. adj. d'état-maj., à l'état-maj. de 1; div. d'arm.: Frauckx, du 1er rég. de lig.: > sa" vay, du 9° id.: Coen, du 9° id.; va.n Yperseel. Strihou. du rég. des gren.; Poncelet, du 13e Ca- de lig.. prov. à l'inst. car t. mil.; Gabriel, cl id.; Hbuba, du l®1' id.. à i'éc. des cad.; Delv; . , du '3® id.: Lange, du 12e id.: Massart, clu l®1 de chas., au min. de la guer.; Simons, du 1°' de car., id.; Belière, du 2® id. de lig.; Habr; res du 3° id. de chas.: Fraivkard, du 3® id. de prov., au corps de cor. et au corps spéc.: queret du 2° id. de car.; Valider» Bosch, d id.; Cils, du 8° id. de lig.; Rcorijck, du 4e Dorpe, du 1er id. de chasseurs; Beuaets, au t de la col.; Dordu. du 103 id. de lig.; Rofet. du 0 reg. des gren.; Gill.v. au serv, de la col.;_Pere, ù du Ie rég. de lig.; Devlesclwudere. du o'' id.? dét. 'à l'éc. d'apol. et de perf. pour l'inf.: comte Cornet de Ways-Ruart, du rég. des gref ■ ; Bruy-ninc-kx clu 7® id. cle lig.; Devos, du 5e id.: * an-dezande. du bat. cycl.; Vandenbussclie, du o° rég. de lig.'; Marichal, clu 2e ici.: De Becker, duf oe id.; Radelet, du 6e id.:'Dupont, du 8e '(j-• à l'éc. d'appl. et de perf. pour l'inf.; Léonard, J~ du 8° id.; Meynaerts, clu 2e id. de chas., fais.-fonct. d'adnii. d'hab. et çl'arm. au dép. de la, div. de cav.; Danvoye, clu 2® id., ad. d'état-maj., en stage à l'état-maj. de la '5®*div. d'arm.: Gross-i- niann, clu 12® rég. de iig.; Hayen, du. 14e' id-; 3e Vancampenhout, du 13® .id.; Van Dam. du l-e i- id.; 'Leclerc, du 6® id.; de Coen, du 2® .id.; 'Men-ten, du o® id.. au corps décor, et au corps spéc.; Dorns. adj. d'état-maj., à l'état-maj. de la 5° div. d'arm.; Bogaerts. clu rég. des gren., adj. g d'état-niaj., en stage à l'état-maj. de la pofc. fort, de "Namur; Pirot7 au serv. de la col.: Md-gnolet, adj. d'érat-maj., à l'état-maj. de la 14e C. brig. mixte; W-itry, clu 2® rég. cle car., aclj. u d'éta*.-maj., a. l'éc. des cad.; Panquin, adj. u d'état-maj. du bat. cycl.; Latteur, adj. d'état->® maj. à l'état-maj. de la ôe div. d'arm.; Van Cau-u laert, adj. d'état-maj., à l'état-maj. de la brig. e des troup. techn. de la pos. fort. d'Anvers- De-u eraene, clu 12® rég. de lig.- baron deHeusch. du i- 12® id.: Clemens, du 2® id. de car., ad'j. d'état-,, maj., en stage à l'état-maj. de l'arm.: •M'asuy, t. du 5® id. de. Lig.; Giuion, adj. d'état-maj., à l'état-maj. de la 16® brig. mixte; Huyghe, au/ 1^ serv. cle la col.; Martin, du 1er rég. de lig.; Abel, du 9e id., dét. à l'éc. d>appl. et de perf. pour r l'inf.; Crasset, du l®r id-. de chas., ac(;j. d'état-maj., en sta^e à l'art, de la 15e brig. mixte: de :. Hennin cle Villiers, clu rég. des gren.; Descamps, du 1er id. de car., adj. d'état-maj., en stage au i_ l®r guides, à l'éc. d'équit.; Poureau. ad. d état-maj., au sect. de déf. de la pos. fort. d'Anvers, au ;min. de la guer.; Linard, du rég. des gren.; i; Pire, ad. d'état-maj., h l'état-maj. de là 3e brig. mixte; Borlée, du 2® rég. de chas.; Noterman, >_ ad. d'état-maj., du !0" id. de lig.: au min. de la j. guer.; Berguet, du 14e rég. de lig.: Thonet, du j. 12® (ici.; Bas'tin, au serv. de la col.; Lambert, du ? 7e rég. de lig.: Jobé. du 12® id.: Léonard, du )[ 7" ici.; Deudon (éc.), du 2® de chas.; Marquette, du 2® id.: Ronveaux, du 1er id.: iLekeux, du 4e / id. de lig.; Martin, du 7® id., à l'éc. dé» cad.; Colpin, du 4e id., adj. d'état-maj., eu stage ait 4° lanc., à l'éc. d'équit.; Mastiy, du rég. des u gren.; Henroye, du 2® id. de Lig., à l'éc. des pup. ! cle l'arm.; Tasnier, du 2e id. de chas.; Robyns, du 9° id. de lig.: Vansteenkiste, du 3e ici. cle (_ chas.; Bisscliop, du 5e id. de lig.; Débandé, dx» 11® ici.; Rennoir, du 12e id.; Sluse, du 10e id., à ) l'éc. des cad.; Laforêt, du 13® id. cle lig.; Sp.'l-u laert. du 11® id.. prov. à l'éc. des cad.; Janssens, _ du 4® id., adj. d'état-maj., en stage à J'état-ma'j. t de l'arm.; Vandergote, du 4e id.; Dubreucq, clu s 9° id.; Six, du ô1' id.; Denecker. du 3e ici.: Bo-cart, du 14e id.: Pierson, du 8e ici.: .Reul, clu lor ùs id. de car., ad'j. d'état-maj., prov. répét. à l'éc. [e mil.; Ebinger, du 8® id. de lig., adj. d'état-maj., , au min. de la guer.; Brix.v. ad. d'état-maj.. à |j[ l'état.-maj. de ia lre div. d'arm.; Honorez, id., s «à l'id. de la 10® brig. mixte; Vergeynst, id., ait il serv. de la co!.; Martin, du 1er rég. de car.: Van ]e Ijoo, du 14® ici. de lig.; Lozet, du 3e id. de chas., à l'éc. de suer.; Polet. du '3e id., instr. adj. à .V l'éc. mil.; H-oget, du 10® id. de lig.; Gu vaux, du . 11® ici., au min. de là guer.; Toussaert, du 2e .id.; De Bruyn, du 3® id.; Francot. du 9® id., à l'éc. des cad.; de Hennin de Boussu Walcourt. du rég. des gren.- iMostaert, du 2® id. de lig.: De-guent, ad. d'état-maj.. à l'état-maj. de la 7e brig. mixte; S-mal, du 9® rég. de lig., à l'inst.-?s cart. mil.; 'Mayat, du 9® id.: Ronflette, du 9° id.; l- 'Résibqis. du 10° id.: W.illaert, du 4® id.: Pilloy, clu ô° 'id.: Dandoy, au serv. de la col.; Klick, du L" 2° rég. de lig.; Bunton, clu 13e id.; comte d'Hem-l'~ ricourt du 2® id. cle. cav.; André, au serv. de la col.- Demart, du 2® rég. cle chas.; De Mûele-naere, du 71' id. de li^.; Leclef, du 13® id.; Ver-t* lia mm e, du 2® id., à l'inst. cart. mil.: Francus, du '6e id.; 'Henquin, du 5® id., à l'inst. cart. mil.; ;n Smeyers, du 5e id.. à l'éc. des pup. de l'arm.; '•> Couc'ke. du 4® id.; Delincé, du 10® id.; Ponchau, d- du 10® id., à l'éc. des pup. de l'arm.; Olâes, clu 9® ici., au min. de la guer.; Brouvè-re! du 9® id., : au id.; Derenne, du bat. cycl.: Van 'Mellaert, du le 8e rég. de lig.; Monnet, du 3® .id. cle chas.; De-foin, du 10® id. de lig.; Monfront, du 3® .id., au le corps de cor. et au corps spéc.; Vanhauberg, du et 3® de cliàs.; De Brouwer, au serv. de la col.; Decot, clu 1er rég. de chas.; Masy, clu l01' id.; »1} Monfront. du 6® id. de lig.; Smets, du 2® id., à a_ l'éc. des pup. de l'arm.; fMarieha.l, du- 12® id.; ■(l- Cales, du 7® id.j Godefroid. du 1er id. cle car., à l'école d'av. mil.: Lutaster. du 12® id. de lig., à l'éc. des pup. de l'arm.; Verspreet, du 3e .id., à ici.; Gheyv. au serv. de la col.; Dothée, du 4e es rég. de^ lig.; Petit, du 10e id.; Mic-hem, du 2e .id., adj. d'état-mai-, en stage à l'état-maj de l'arm.; Leclercci, du 2e id. de car., adj. d'état-maj., -en • • stage au 1er lanc., à l'éc. d'équit.; Vanholsbeek, ' du 10e id.; Vertomrnen, du 7e id.. adj. d'état-•5 maj., en stage à l'art, cle la 15® brig. mixte; v- Deffontaine, adj. d'état-maj., à l'état-ma-j. de la c; 11® brig. mixte; Geno, du 13® rég. de lig.; prov. i" à l'éc. mil.; iRequette, du 13e id., adj. d'état-p. maj., en stage à l'état-maj. de l'arm.: Dutlioy, de du 2® ici., id. cle la pos. fort. d'Anvers; De Poor-is. ter, du 3e id. de chas.; id. ici., et de Roissart, du à rég. des gren., à i'éc. de guer. 8® Lieutenants. — Les sous-lieut. : De Saint-Hu-is, bert, du rég. des gren. ; Stas, du 3e rég. de lig. ; yo Dossin, du 3® ici.; de Heusch, clu 3° id., à la n- suite clu 4® lanc. ; Deboeck, du 10® id. à l'éc. u- cl'éq. ; .Jacques, du 2® id. ; Hemeleers, du 6° id., e; à la suite du 5° lanc., il l'éc. d'éq. ; Duez, du 9e g. ici. ; Demart, du 2e ré. de carab. ; Rigano, du 3e 2P rég. cle lig., prov. à l'art, de la 3e brig. mixte; le, Donv, de la comp. d'aviat. ; Debraconier, du rég. el- des gren.j Liedel, de la comp. d'aviat.; De-1. ; clercq, dû rég. des gren. du _ k, Dans la cavalerie ,^e Capitaines commandants. — I^es capitaines en *r: second : Chevalier de Mélotte, du l®r rég. de \ ; lanc.; W i llenis, du 4® de chas.; Rosseels, du 1er ; lanc. ; Delrée, du 2® cle chas. [}'c Capitaines en second. — Les lieutenants : Van VN aet'elghem, du lor rég. de chas., fais, fonct. .de capit. ; Coupez, adj. d'ét.-maj. à l'ét.-maj. de la div. de cavalerie; comte de Liedekerke-Beau- 1 °» fort, clu 2e rég. de guici. ; Rotliermel, du 2® rég. ai" de chas. ; Peteau, adj. d'état-maj. à l'ét.-maj. de • ; la 2" brig. de cav. ; Offergeld, clu 2e rég.de chas. ; ,'y et Fontaine, clu l01' rég. de guid. Sous-lieutenants. — Les sous-officiers : Ter-linden, mar. de slog. de cav. au serv. cle la colonie ; MarnefFe, mar. des log.-chef monit. gén. s ; du 2e rég. de chas.; Haas, mar. des log., du 4e la id. ; (îleinge, aclj. du 2e !"ég. cle lanc. ; Smits.mar. ':l- des log. du 2® rég. de chas., et Vancien Elschen, d^.s id. du 2® rég. de guid. idj. Dans l'artillerie ;i t- id.. Capitaines Commandants. — Les capitaines en 'au second : Weyns, du rég. d'art, de pl.; Lebrun, en du 2® rég. ; Davreux. adj. d'ét.-maj. de l'art, de du la 20° brig. mixte, of. d'ord. du Roi ; Lefèvre, ev'- clu 6® rég. : Vinçotte, adj. d'ét.-maj. à l'ét.-maj. des cle la 3® div. d'arm. : Denis, id. de la 18® brig. mixte; François, id. de l'ai-t. de la 7® id. ; De er-- Jonghc, id. du 12' id. : Nyssens, du 6® id. : Ma-thias, id. du 2° id. : Nondonfaz, clu rég. d'art. 1 cle sièg. ; Rousseau, de l'art, cle fort, de Xamur; 1 Aert-s, adj. d'ét.-maj. cle l'art, de la 12e brig. mixte, prov. inspect. des ét. à l'éco. milit. ; Gil-1 let, id. aux sect. do déf. de la pos. fort. d'An-vers, prov. à l'inspect. gén. de l'art. ; Theyskens, clu rég. d'art, de place: Fias, adj. d'ét.-maj. do , .-e l'art, cle 1a. lr® brig. ; Sobry, du rég. d'art, cle j(j siège; Gerrebôs, au serv. de la colon.; Sansen, , _ô de l'art, de la 3e brig. mixte ; Despa, du l®1] rég. ; LUy, Demuenynck, au serv. de la colon. ; Borin, du id' 3e rég. ; Nicod, du 5® id. ; Cuisinier, cle l'art, de ■ ici. fort, de Liège; baron de Béthune, clu 6° rég., uici, sec. profes. à l'éc. milit. ; de Vinck de inne-i;g , zeele, cle l'art, de la 7e brig. mixte, a l'oc. cle Bis- tir de l'art. ; Bavav, du rég. d'art, de siège, n 2®[profes. à id. ; Mascart, clu rég. d'art, de siège id.; | Van ^laldeghem, de l'art, de la 19® brig. mixte, erv. J (A suivre.)

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