La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 13 Novembre. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/9z9086461q/
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LA MÉTROPOLE ONEÎtPENNY fHOHT : Cinq CENTIME* HOLLAUDE: VIJF CENT CONTINENT S DIX CENTIME» PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENTS 1J mois 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. 24mb ANNEE MARDI 13 NOVEMBRE 1917 No. 317 LA GRANDE GUERRE Korniloff et Rodzianko à Moscou ? Le déclin des Bolsheviks LES SUCCES EN PALESTINE L'insurrection à laquelle on a donné le nom de contre-révolution des Léninistes (partisans de Zederblum) semble être condamnée à un règne ephémère. Les nouvelles à peu près sûres qui nous arrivent de Pétrograde depuis que le gouvernement provisoire a repris le contrôle du télégraphe et du téléphone, montrent une modification dramatique dans la situation. L'indignation et la révolte contre les Maximalistes ne fait qu'augmenter dans la capitale, ou un " Comité pan-russe pour le sauvetage du pays et de la révolution " a été fondé groupant toutes les forces démocratiques n vue de liquider l'aventure des Bols lie viks. A Moscou des révoltes ont éclaté également et la " ga de rouge " des partisans de Zederblum (dit " Lénine ") a été battue et cernée dans le Kremlin. M. Kerensky, à la tête des troupes restées fidèles au gouvernement provisoire, s'approche de Pétrograde refoulant devant lui la meute désordonnée des rebelles. Krasnoie Selo a été occupée par les troupes de Kerensky pleinement d'accord avec le Soviet des Cosaques et toutes les organisations démocratiques.Un correspondant du Daily Chronicle donne un aperçu" succinct des événements. Le calme de la capitale, écrit-il est décevant ; on fait beaucoup de commentaires et les gens font des petits pélérinages jusqu'au Palais d'Hiver, criblé de balles et aux endroits ou sont tombés deux obus qui ont fait très peu de dégâts. Le congrès de tous les Soviets de la Russie se termina vendredi matin vers 6 heures après avoir élu le gouvernement. Le nouveau " cabinet " décida de tenir les élections pour la constituante le 25 novembre, supprima tous les journaux de l'opposition et vota des règlements itendant les pouvoirs du contrôleur des vivres et les devoirs des autorités locales. Des membres du nouveau gouvernement visitèrent les province s ou ils eurent la surprise désagréable de voir que le personnel refusait de les reconnaître. L'un bureau gouvernemental après l'autre se mit en grève pour la durée du cabinet " Lénine M. Kerensky se trouve (ou se trouvait) à Gatchina, à 48 kilomètres de Pétrograde, avec une petite armée de Cosaques. La ville est entre ses mains, la garnison refusant toute résistance. De même à Leiza, un point d'importance stratégique pour la défense de la capitale, la garnison refusa d'appuyer les Bolsheviks. D'autres garnisons, toutefois ont fair savoir au comité militaire révolutionnaire qu'elles l'appuyeraient. A Pétrograde la situation au point de vue des vivres est très sérieuse. Au cours des deux derniers jours l'opposition contre les Bolsheviks s'est manifestée au sein du conseil municipal qu'en l'absence -des membres Maximalistes, avait conclu un arrangement avec les socialistes modérés et avait formé un comité du salut public. Le conseil n'était appuyé par aucune partie de la garnison. Suivant les rumeurs M. Rodzianko, ancien président de la Douma, M. Miliukoff et les généraux Kaludine et Korniloff, enlevés de la prison- par _ des Cosaques, se trouvent à Moscou ou ils sont entrain de former un nouveau gou vernement avec les leaders socialistes non-maximalistes de Pétrograde. Un des coups les plus sérieux portés au Léninisme est celui de l'Union des ouvriers de chemins de fer, qui ont refusé de transmettre les télégrammes du Soviet de Pétrograde. Il est impossible de prédire ce qui arrivera, continue le correpondant. L'issue la plus probable sera une dissolution continue de la garnison et l'entrée de Kerensky à Pétrograde à la tête des Cosaques, quoique de part et d'autre on soit opposé à toute effusion de sang, il faut dire que les deux adversaires sont armés et qu'ils peu- . vent se servir de leurs armes. Voilà ce que suggère le sens commun, mais comme la Russie n'est pas un pays de sens commun il n'y a rien dlimpossible, après tout, que la situation s'arrange de façon pacifique. Dans la campagne italienne on voit se reproduire la tactique que les Allemands ont essayée avec les succès qu'on sait en Roumanie. Deux attaques simultanées faites en force à deux endroits différents dans l'espoir d'efflanquer les armées en retraite des deux côtés à la fois. Ces deux attaques se produisent l'une sur la ligne Balluns-Susegana, avec tout le poids de la pression à ce dernier endroit/Faute sur le plateau d'Asiago avec le centre de presssion en cette ville. Les deux mouvements sont convergents et si l'ennemi parvient à opérer sa jonction entre ! ses deux points qui forment la base d'un immense et dangereux saillant large de 56 kilomètres et profond d'autant, les armées italiennes ont des ours douloureux devant elles. Toutefois la résistance italienne est remarquable. Des groupes ennemis qui, sur le plateau d'Asiago, avaient capturé des avant-postes furent repoussés et les positions furent reconquises. Sur la Piave, les troupes qui avaient repoussé les avant gardes ennemies sur les hauteurs de Valdofbiadene, passèrent sur la rive droite et détruisirent les ponts. Il semble donc que la résistance pourrra se faire assez longtemps pour permettre aux troupes qui battent en retraite dans le centre, de faire usage du couloir entre Asiago et la Piave. En Palestine le général Allenby a capturé Ascalon (El Madjel) un port de mer qui se trouve à 24 kilomètres au nord de Gaza et Ashdod, à 21 kilomètresa du nord du Wadi Hesi. Le nombre total des prisonniers s'élève actuellement à 5.ooo et les pertes de l'ennemi se chiffre par 100.000 de morts et blessés. Comme le champ de bataille embrasse une étendue de 960 kilomètres carrés le butin n'a pas encore été estimé. m • ' Le Pape et l'Italie Ralliement de tousses partis L'invasion du sol italien a produit un effet considérable sur l'opinion. Des socialistes opposés à la guerre'comme Trêves et Turrati publient dans leur organe un appel à l'union devant l'ennemi. Le Messagero note la rumeur publique suivant laquelle le Pape lui-même a prié la presse catholique de cesser sa polémique contre le baron Sonnino pour son soi-disant manque dé courtoisie diplomatique à l'égard de Sa Sainteté. Les chefs du parti socialiste ont tenu un meeting au cours duquel ils décidèrent d'informer le gouvernement de la complète coopération du parti socialiste en ce moment critique- On sait qu'au cours de la séance de la Chambre italienne du 25 octobre 1917, marquée, lors du rappel par M. Sonnino de la visite du roi d'Italie au roi des Belges, par une manifestation de sympathie enthousiaste, à quoi participèrent députés et public, en faveur de la Belgique, le ministre des Affaires étrangères a commenté ouvertement l'attitude prise par le Pape, dans sa note sur la paix, à l'égard de notre pays. Les officieuses Informations belges (no. 562, 31 octobre) ont reproduit in-ex-tenso le texte du passage du discours du baron Sonnino relatif à la Belgique. ■DHD«DBo mumnmnm BELGES, UNISSONS-NOUS ! On s'inscrit à la F édération Nationale Belge aux bureaux de LA METROPOLE et de L'INDEPENDANCE BELGE □^□BDBDBDÉDaDiP Le ravitaillement de la Belgique ! Meilleures perspectives Washington, 11 novembre. — M. Hoover, contrôleur des vivres, dément la nouvelle contenue dans un message de Paris et d'après laquelle le manque de vivres en Belgique serait dû à un manque de fonds. Il fait remarquer que les £14,000,000 que lessEtats-Unis ont prêtés à la Belgique et à la France pour le travail du Relief ne sont pas épuisés et que la disette est due à la rareté du tonnage et aux retards provoqués par les sous-marins.Toute la question de ravitailler les civils de la Belgique et du nord français se résume à une question de tonnage. Entre février et octobre, Rotterdam a reçu 400,000 tonnes de vivres, et 250.000 tonnes de plus ne purent atteindre leur destination à cause de l'impossibilité de transmettre des vivres par la zone de guerre, et les torpillages et retards de steamers provoquèrent une perte de capacité de transport de 100.000 tonnes. La Commission fut incapable d'empêcher cela, mais maintenant que la situation est plus normale, 305.000 tonnes auront été délivrées à Rotterdam pendant le trimestre finissant le 25 décembre prochain, ce qui fera face aux besoins, mais ne permettra pas de reconstituer les stocks épuisés. ^ Le gouvernement américain n'a jamais refusé aucune demande de fonds. L'estimation originale de £2.500.000 par mois est certes inadéquate pour l'hiver prochain, à cause de l'augmentation de prix des vivres, et de laf nécessité de pourvoir de nouveaux vêtements les dix millions de personnes qui n'ont pas été à même de s'assurer des provisions depuis le début de la guerre. Réquisitions allemandes du personnel On sait que les Allemands, étendant la mesure arbitraire du travail forcé aux membres du " Committee for Relief in Belgium ", ont sommé le Comité provincial de Bruges de réduire son personnel de 75 pour cent. Il est signalé, de source digne de foi, que les envahisseurs ont notifié la même exigence au Comité de Gand, lui suggérant, comme 1 au Comité de Bruges, de remplacer, au | besoin, ses employés par des effectifs féminins.Les Comités visés ont protesté avec une vive énergie et les Boches n'auraient pas encore fait mettre leur ordre à exécution, d'autant plus inique qu'il menace de désor-i ganiser le ravitaillement dans le territoire belge envahi où, même lorsque fonctionnent avec régularité les services de la généreuse 1 et vaillante C.R.B., les conditions d'existence ne laissent pas d'être encore difficiles. 0—o-— Les Belges en Afrique allemande Les Allemands sont rejefés sur Liwale Le débarquement belge de Kilwa Londres, 11 novembre. — Communiqué officiel du War Office : Dans la zone occidentale, entre le 23 octobre et le 8 novembre,les colonnes britanniques opérant au sud-est de Mahenge (en conjonction avec les colonnes belges) ont graduellement refoulé vers l'est, dans ja direction de Mgan-gira, les détachements de couverture ennemis, capturant des prisonniers et du matériel. Le 6 novembre, à Kâbati Mtoto, sur la rive gauche de la Mgangira, trois officiers allemands, 13g Allemands d'autres rangs, 140 As-karis et quelques partisans, se rendirent à une de nos colonnes, et le même jour 89 Askaris se rendirent aux colonnes belges plus au nord. Tous étaient malades ou convalescents. Sous la pression de notre avance, l'ennemi a depuis lors évacué Mgangira, et se retire vers le sud dans la direction de Liwale (occupé par les Anglo-Belges les 29-30 octobre). Dans la vallée de la Lukeledi (hinterland de Lindi), notre mouvement avant a été repris le 6 novembre, et la principale force ennemie a été refoulée de Mahiwa vers le sud-ouest. Notre mouvement enveloppant par Rupon-da et la Mission de Lukeledi a également fait de bons progrès. Dans sa retraité dans la vallée l'ennemi a souffert de fortes pertes et a abandonné une quantité de matériel, dont un canon de marine de 4.1 pouces 104 mm.), de nombreux fusils et mitrailleuses, et beaucoup de munitions. Une mitrailleuse a également été capturée en action par le corps du Cap. Des patrouilles de notre force qui a traversé la partie sud de l'Afrique orientale allemande, depuis Wiedhafen, sur le lac Nyassa, se sont jointes aux~patrouilles de la force belge qui, débarquée à Kilwa a récemment occupé Liwale simultanément avec notre colonne de Fort Johnson, à l'extrémité sud du lac Nyassa. Les troupes portugaises sont actives sur la rivière Rovuma. Note. — Les communiqués anglais précédents laissaient supposer que Liwale avait été occupé par les Anglais avant l'arrivée des Belges. On déclare maintenant que l'occupation fut simultanée. Le communiqué précédent confirme qu'une nouvelle expédition belge, débarquée dans le port de Kilwa, à 200 kilomètres au sud de Dar-es-Salam, opère maintenant sur terre allemande. Nos héros en Russie La mort de Jeaa de Liedekerke Un officier belge du corps des autos-canons, blessé lui-même au cours de la retraite de Galicie, où il s'est battu en héros, adresse au XXe Siècle des détails sur le rôle de nos soldats dans ces tristes journées. Dans des circonstances particulièrement difficiles, officiers et soldats ont fait le plus grand honneur au nonj belge. Nous ne doutons que cette page de notre histoire militaire soit lue avec émotion : Vous aurez pu juger, d'après les laconiques communiqués russes, que le petit corps des automobilistes belges n'est pas demeuré inactif.L'armée russe n'est plus, malheureusement, ce qu'elle était en 1916; au lieu de contribuer comme alors à de brillantes victoires, nous avons eu pour mission de couvrir une effroyable déroute. Souténant presque seuls avec quelques escadrons de cosaques mongols tout l'effort de l'ennemi, nous n'avons cédé le terrain que pied à pied, ne quittant un point que pour faire face sur un autre. Cette retraite sera une des pages les plus sombres de la révolution russe ; il est à souhaiter qu'elle soit étudiée en tous ses détails. Elle montre, en effet, ce que l'anarchie, ce que les principes révolutionnaires, poussés à leurs extrêmes limites, peuvent faire des :>!us vaillantes armées. Les Belges, pourtant, ont fait tout leur devoir. En huit jours, sur neuf voitures engagées, sept ont été mises hors de combat par le feu de l'ennemij de quarante combattants effectifs, dix seulement sont rentrés indemnes, cinq sont morts et vingt-neuf ont été blessés, dont dix très grièvement. Je ne vous signale ces chiffres qu'à titre documentaire. Mais l'on a médit et l'on médit encore, parfois, des " embusqués de Galicie ". L'exil, le froid, les privations matérielles, les souffrances morales, nous les avons supportés le sourire aux lèvre^. Mais il nous serait pénible que nos camarades de l'Yser, faute de renseignements impartiaux, n'estiment pas notre effort à sa juste valeur. C'est au cours de cette pénible retraite que tomba le comte Jean de Liedekerke, soldat d'une folle bravoure. Engagé avant l'âge, le premier jour de la guerre, blessé soùs Anvers en 1914, ce jeune homme s'était encore particulièrement signalé, à plusieurs reprises, l'an dernier, en Galicie, par son effrayante audace et son admirable sang-froid. Au combat de Swittelniki, entre autres, il était allé seul, sous une grêle de balles, chercher son commandant de batterie blessé à cinquante mètres de l'ennemi. Après les combats de 1916, le chef de corps pouvait le présenter au général en ces termes : " Voici' le plus brave de mes soldats ". Tous, officiers et soldats, nous l'admirions pour son intrépidité : nous l'aimions pour sa droiture et sa loyauté. o—o Nos» amis américains Les articles de M. Hugh S. Gibson La grande revue illustrée américaine World,'s Work a publié, dans ses numéros d'août et d'octobre 1917, une série de notes sur les événements en Belgique, dues à la plume de Mr. Hugh S. Gibson, ancien secrétaire de la légation des E-tats-Hnis à Bruxelles. M. Gibson aida avec un grand dévouement M. Brand Whitlock, le ministre des Etats-Unis, dans son œuvre de secours à nos populations et ces deux noms doivent être unis dans notre reconnaissance. Voici un passage particulièrement émouvant d"u récit du World's Work d'octobre, au sujet des derniers moments d'Edith Cavell : J'allai trouver de nouveau Harrnach et Fal-kenhausen. Cette fois-ci, laissant de côté toute modestie, je leur rappelai diverses circonstances du commencement de la guerre où nous avions agi pour la sauvegarde des intérêts allemands, comment nous avions rapatrié des milliers de sujets allemands et veillé à leurs intérêts, comment, pendant le siège d'Anvers, j'avais, à diverses reprises, traversé les lignes pendant des combats, à la démande du maréchal von der Goltz, pour veiller aux intérêts allemands, comment j'avais rendu ces services de bon cœur et sans idée de récompense. Depuis les premiers jours de la guerre, nous n'avions jamais demandé une faveur aux autorités allemandes, et il semblait incroyable qu'elles se refusassent maintenant de nous accorder un seul jour de répit pour discuter le cas d'une pauvre femme qui était en prison et, par conséquent, dans l'impossibilité de faire aucun mal, et dont l'exécution en pleine nuit, après une série de tromperies et de manœuvres destinés à nous abuser, serait un véritable affront à la civilisation... Nos efforts furent absolument inutiles, car les trois hommes auxquels nous avions à faire étaient si complètement durs de cœur et indifférents, qu'ils ne furent aucunement émus par rien de ce que nous pûmes leur dire. J Le Noël des petits pauvres d'Anvers DEUXIEME LISTE Report . £ 21. 5. 6 Simon Smits et Cie .. .. 5. 5. o Georgette et Yvonne, de Glasgow ., 1 o.. o Yvonne et Albert Plehiers junior .. .. .. .. 2. o Pour leurs petites amies de Belgique, de la part de Marie Amélie Pauwels, Holy Trini-ty convent", Bromley, Kent 5. o De la part de Marie-José Pauwels .. .. .. . . 5.0 J. Claes .. .. .. 10. 0 Teddy .. .. .. .. 2. o Lucienne .. .. .. 2. o Francine .. .. .. 2. o Simonne .. . . .. 2. o Roland .. .. .. .. 2. o Mme Gendarme .. .. 5. o Jeannot et François .. .. 5, o Total .. £ 29.12. 6 Fr. 110 Nos aviateurs Ont été nommés chevaliers de l'ordre de Léopold et décorés de la Croix de guerre : Van Geel, Henri, sous-lieutenant, auxiliaire d'artillerie, aviateur militaire : " Observateur d'artillerie remarquable de sang-froid et de courage. A trouvé une mort glorieuse au cours d'un combat aérien pendant une mission divisionnaire ". Herman, Edouard, premier sergent, aviateur militaire : " Jeune pilote courageux et adroit. A trouvé une mort glorieuse au cours d'un combat aérien pendant une mission divisionnaireA été cité à l'Ordre du jour de l'armée et décoré de la Croix de guerre : Lallemand, Georges, adjudant, aviateur militaire : " Pilote de premier ordre, plein d'allant et de sang-froid. Au cours de plus de 200 heures de vol, a contribué à la réussite de nombreux réglages de tir. Le 22 octobre 1917, attaqué, au cours d'un réglage par trois avions ennemis, a permis à son observateur, par son calme et son habileté, d'abattre l'un d'eux dans nos lignes." A été cité à l'Ordre du jour de l'armée : 'Cornélius, Henri, lieutenant d'artillerie, aviateur militaire : " Observateur d'artillerie de haute valeur, d'un entrain et d'une audace remarquables. Au cours de plus de 300 heures de vol,a réussi, par sa persévérance et sa ténacité, les réglages les plus difficiles. Le 22 octobre 1917, attaqué, au cours d'un réglage de tir, par trois avions ennemis, a abattu l'un d'eux dans nos lignes. Déjà décoré de l'ordre de Léopold, de la Croix de guerre et de la Croix de Ste-Anne de 3e classe pour faits de guerre." o—o > Le système métrique en Angleterre M. T. J. Williams, membre gallois de la Chambre des Communes, a présenté le 5 novembre au Board of Trade une pétition signée de presque tous les directeurs de collèges et d'écoles publiques du pays en faveur de la monnaie décimale et du système métrique de poids et mesures. Cette unanimité du monde de l'éducation, dit le Manchester Guardian (8 novembre) impressionna apparemment le Board of Trade. Quoiqu'il en soit, Sir Albert Stanley a déclaré à M. T. J. Williams que la pétition est un document d'un i ntérêt extraordinaire et qu'elle sera examinée avec soin par son département.Le bruit a couru, et je le crois exact, que le Comité du commerce d'après-guerre, présidé par Lord Balfour de Bur-leigh, s'est déjà décidé contre le système décimal des poids et mesures à cause de la force des arguments présents contre ce système par les industriels et les commerçants.Ce fait, cependant, n'a jamais été rendu publiq et le Manchester Guardian croit savoir que M. Williams appellera l'attention de Lord Balfour de Burleigh sur la pétition du monde scolaire anglais. o—o Le blocus de la Hollande D'après la presse hollandaise, la Grande-Bretagne n'accorde plus, depuis l'interruption des communications par câble comme représailles pour le transit des sables et graviers, aucune licence dîexportation à destination des Pays-Bas. o—o Les Allemands occupent, aux environs d'Ath, le château habité jadis par le ministre Hubert.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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