La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1918, 24 Avril. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/513tt4gm33/
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The Newspaper for Belgiarta LA MÉTROPOLE Ione penny CINQ CENTIMES J ;nE. VIJF CEHT lff: DIX CE*T1Ba PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Ckancery Line, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. f 3 mois 9 shi Abonnements : 6 mois 17 sh. [ 1 an 32 sh. I 25"* ANNEE MERCREDI 24 AVRIL 1918 No. 114 LA GBANDE GUERRE La menace aérienne contre le Rhin ltimatum allemand à la Hollande? Calme sur le front ! Mardi midi. [presse hollandaise se fait l'écho de prédations assez alarmantes. Les bruits au sujet des difficultés qui se irochent pour la Hollande du côté alle-|(j £crit ]e 1Vieuwe Courant, sous le titre : ynin het Oosten (Nuages dans l'Est), ne pas sans fondement. La réapparition prône de la question des sable et gravier n'en pas la seule raison. Les formidables évé-lents militaires dans le Nord français peu-placer prochainement le pays devant la ssité de répondre à des désirs ou à des àndes affectant directement notre neutra-Les sentiments à notre égard ne se sont améliorés récemment en Allemagne. Un le tout à fait injustifié de la sincérité du r de la continuation d'une secrète neutra-dans notre pays fait son apparition dans resse allemande." t Nieuwe Courant se défend de vouloir roquer aucune alarme, et dit qu'il n'y a «ne raison de croire à aucun danger mili-e immédiatement manaçant, mais qu'il nexiste pas moins un grand besoin de déli-ation et de consultations nationales. .'officieux Algemeen Handelsblad s'occupe la même question, quoiqu'avec plus de rêve. II fait ressortir que, comme dans le delà Belgique, la politique de l'Allema-! relativement à la Hollande sera determi-! uniquement par le but en vue. "Par impie, dit-il, si la situation de l'armée alle-nde devait jamais être telle que, de l'avis généraux allemands, l'emploi de nos com-aications, — même s'il devait entraîner une irre avec la Hollande — accroîtrait les «ces d'une victoire rapide et complète sur Iront occidental, nous devons craindre que, imentalité de la nation allemande demeure qu'elle est, ces communications seront utiles. Le cours des années n'a rien appris à Sèmagne. Ce qu'elle semble avoir appris, ira oublié à nouveau après les victoires (?) rie front occidental." RI est peut-être exagéré de conclure de ces ■sidérateions sibyllines mais significatives, Imme semblent le faire certains journaux antique l'Allemagne a adressé un ultimatum pue/ à la Hollande, mais on peut supposer ['elle lui a fait des ouvertures officieuses lursonder le terrain et que, comme d'habitu-L sous la direction de la Wilhelmstrasse, la fesse allemande appuie cette pression indi-pe.Ce que l'Allemagne désire, c'est évidem-fent d'utiliser dans un avenir plus ou moins broché les voies de communications entre [Belgique et l'hinterland du bas-Rhin en ter-loire hollandais. ;Nous croyons cependant que l'organe offi-kdu gouvernement hollandais se trompe,ou it semblant de se méprendre, sur le but que iursuit l'Allemagne en exerçant une pression fia Hollande. On ne voit pas bien en effet en wi, maintenant que l'offensive dans l'ouest 'préparée et en cours, sans l'utilisation des <es de communications hollandaises, et que plupart des réserves allemandes sont contrées en Belgique, ces voies pourraient être te à l'Allemagne pour frapper un grand «P? Il n'est du reste jamais nécessaire de sposer d'un réseau ferré pour préparer une fensive, puisqu'une telle préparation peut se ire à loisir, en compensant par le facteur "Jfs l'insuffisance de moyens de communi-tion." en est tout autrement pour une retraite ratégique sur une grande échelle imposée lapement par un événement militaire. a"s ce cas, la nécessité d'un réseau de voies communication à grand rendement s'im-6e de façon impérieuse et son manque peut iduire à un véritable désastre. Les ouvertes de l'Allemagne aux Pays-Bas seraient Inc un indice favorable aux possibilités plus ' moins prochaines des Alliés. "°s ennemis, du reste, il faut savoir le renaître, sont fort prévoyants et ne prennent '«me mesure à la légère. On peut être con-"ncu que leurs vues sur la Hollande sont à "Sue échéance. Elles doivent tenir compte 'ssi d'un facteur dont on commence à aper-:v°ir les possibilités. Tout le monde sait que ^ Etats-Unis préparent une flotte aérienne .bombardement imposante, dont le premier 'lecW sera le réseau de communications du on' allemand dans l'ouest et particulière-ent les ponts-rails de la Meuse et du Rhin. r' ces ponts ne sont guère trop nombreux e"r destruction permanente, si elle se com-îjj't avec une offensive énergique, mettrait emagne en fort mauvaise posture. L'Aïle-a donc le plus grand intérêt à déplacer lue possible ses communications vers "'&• de façon à les éloigner du rayon d'ac- , tion le plus effectif des avions alliés. A notre avis, ce facteur est primordial dans la pression que nos ennemis exercent sur la Hollande, encore que d'autres considérations, telles que la question des vivres et les avantages que nos ennemis trouveraient dans une ligne de côte étendue soient évidemment considérables. Il faut espérer que les Hollandais resteront fidèles à leur passé et qu'ils ne composeront pas avec l'ennemi de la civilisation comme ils l'ont fait dans la question de la piraterie sous-marine. A cet égard, les reproches que l'Alge-meen Handelsblad adresse à l'Entente, comme pour couvrir à l'avance une renonciation, sont caractéristiques. Le journal officieux lais-ce entendre, en effet, que dans son état actuel, l'armée hollandaise ne serait pas "assez forte pour constituer une menace pour l'envahisseur ". Quant au doute que le journal exprime au sujet du désir éventuel de l'Angleterre de venir au secours de la Hollande attaquée nous croyons qu'il n'a aucun fondement mais il faut évidemment qu'il aille de pair, du côté des Pays-Bas, avec une attitude claire et nette. La situation militaire est sans changement. Dans beaucoup de secteurs, l'activité d'artillerie augmente, mais les combats d'infanterie ont eu un caractère exclusivement local. D'après certaines indications, les Allemands prépareraient une attaque entre Arras et la Somme. —o—<^_ La lettre de Charles S'il faut en croire le journal hongrois Az Estt la lettre de l'empereur Charles à son beau-frère le prince Sixte de Bourbon-Parme aurait été falsifiée par le confesseur — un Français — de l'impératrice. C'est lui qu'on aurait chargé de la traduction de la lettre originale et la lettre aurait été signée de bonne foi. Mais, on ne nous dit pas pourquoi cette lettre privée à un beau-frère devait être traduite en français. Ainsi, le mot "légitime" aurait été ajouté avant le mot "prétentions" dans la phrase ayant trait à l'Alsace-Lorraine.L'Idea Nazionale, de son côté, annonce que, vers la même époque, une lettre adressée au Vatioan traitait de la question de la paix au point de vue italien, comblant ainsi la lacune remarquée dans la lettre au prince Sixte. o o Le moral de nos soldats Les récents succès remportés par nos troupes sur le front belge prouvent le moral excellent de nos braves petits piou-pious- Nous copions textuellement la lettre adressée à un de nos amis par un de nos soldats qui a pris part à la guerre, depuis Liège, blessé à Haelen et est retourné au front en 1915 au cri de "Vers Berlin" : Je tiens à vous faire savoir que je me porte toujours bien et que je n'ai pas à me plaindre. Vous aurez probablement déjà appris, par ; la voie des journaux, qu'il n'a pas fait tout à fait rose sur le front, mais pour le moment la situation est devenue meilleure. Oui, Monsieur, il y a quelques jours, les Allemands sont venus s'emparer de trois prisonniers de notre compagnie, y compris un officier, mais, à titre de revanche, nos patrouilleurs ont effecué, deux jours plus tard, une sortie qui eut comme résultat la capture de 28 Allemands, dont un officier, 4 sous-officiers et 23 soldats. Deux blessés et un mort sont restés sur le terrain, ce qui fait que notre raid a été beaucoup plus efficace que celui des Boches. Il y a deux jours à peine, quatre Allemands arrivèrent, en plein jour, pour voir si nous n'étions pas encore partis. Nos hommes les laissèrent approcher jusqu'au fil de fer et tirèrent alors deux coups de fusil, qui blessèrent deux des ennemis. Ils jetèrent alors bas leurs armes et crièrent alors : "Kamerad", aussi fort qu'ils le purent. Ils furent naturellement soumis à un interrogatoire et dirent qu'ils venaient du front russe où, depuis plus de huit mois, ils n'a-viaient plus entendu un seul coup de fusil, aussi, déclarèrent-ils, mieux aimer avoir à faire au géant russe qu'aux petits Belges ! Us ne se trouvaient ici que depuis six jours ot disaient déjà avoir été bien trop rossés par les petits Belges. Les réfugiés belges et alliés en Hollande La question de leur allimentation La Haye, 16 avril.— Le premier ministre répondant aujourd'hui, à la Chambre basse, à une interpellation concernant l'alimentation des étrangers et des prisonniers de guerre internés en Hollande, a déclaré qu'environ 100.000 réfugiés belges se trouvaient en Hollande ainsi que 3.135 Anglais, 1.607 Allemands prisonniers de guerre et 679 prisonniers ayant réussi à s'évader, plus 1.543 Russes et Polonais. Ces réfugiés et prisonniers reçoivent les mêmes rations que les citoyens hollandais et on ne peut demander à la Belgique de fournir des vivres pour ses réfugiés.Le ministre a ajouté qu'il se refusait à envisager des mesures contre l'admission des étrangers ou l'expulsion des réfugiés belges ou allemands. Le ministre des Affaires étrangères, prenant ensuite la parole, a dit que les gouvernements intéressés avaient promis d'envoyer des vivres pour leurs prisonniers respectifs.— Havas■ o o L'appel des ouvriers belges en Amérique Une affiche du "New-York Trikune" Le grand journal américain New-York Tribune a aidé puissamment à la dissémination, en Amérique, du suprême appel des ouvriers belges aux ouvriers du monde entier. Son numéro du 3 mars 1918 contient une affiche où les parties les plus frappantes de l'appel sont intercalées entre deux sobres mais émouvants dessins de M. Wallace Morgan : celui de tête représente un groupe de travailleurs belges forcés, arrachés à leurs femmes et enfants en pleurs; celui du bas, un peloton de soldats teutons s'éloignant de l'endroit où, ainsi qu'en témoignent trois cadavres d'ouvriers patriotes, la "justice allemande", qui continue d'ensanglanter la Belgique, a été rendue... o o L'anniversaire du roi Albert célébré en Suisse Le 8 avril 1918, jour anniversaire de la naissance de S. M. le roi des Belges, le major Massart, président de la Commission régionale des Internés belges, accompagné du oapitaine-commandant Langsdorff, se présentait à M. Octave Maus, à Lausanne, et, au nom du corps des officiers internés de la région, présentait les sentiments d'ardent loyalisme que professent unanimement ces derniers et dont, à l'occasion de l'anniversaire de S. M. le Roi, il priait la légation d'être l'interprète auprès du Souverain. L'anniversaire fut .alors fêté au Cercle des Internés alliés où (les allocutions enthousiastes furent prononcées et des vœux formés à l'adresse du Roi, de la Reine et de la famiille royale. A Berne, une messe a été oélébrée en la chapelle catholique du "Victoria", par M- le chanoine Bruley des Varennes, aumônier des internés français. La légation de Belgique y assistait au complet ainsi qu'un nombreux public sympathique, des dames suisses et les internés belges résidant à Berne. Au cours de la cérémonie, la Brabançonne et l'hymne Vers l'Avenir furent chantés avec émotion par le sergent Ha-gens.Cérémonie simple mais fort impressionnante.o o Le Allemands contre le grand-duche de Luxembourg Préparent ils des excuses à l'annexion ? On apprend que le tribunal de Luxembourg, le 27 février 1918, a prononcé, contre le R. P. Gruber, prêtre tyrolien, une condamnation à un mois de prison pour calomnies contre le Luxembourg. Le R. P. Gruber .a fait paraître un volume dans lequel il mettait en doute^ de la manière la plus blessante, l'intégrité du gouvernement et celle des juges luxembourgeois. U> s'agit, en l'espèce, de servir les vues annexionnistes de l'Allemagne en répandant sur le Grand-Duché et son administration de fâcheuses légendes. LES RELATIONS ANGLO-BELGES A MANSION HOUSE — UN DISCOURS DU LORD MAYOR La dernière séance des Comités belges et anglais du commerce s'est terminée par un lunch offert par le colonel H an-son, lord-maire de Londres. Celui-ci, en. grand apparat, reçut ses hôtes avec une cordialité qu'ils n'oublieront pas, et, dans son ispeech, pariant au nom de la cité de Londres, il accentua encore cette bonne impression en insistant sur un événement tout proche et qui a rempli les Belges d'une fierté légitime. Nous vouions parler du succès militaire remporté par les Belges le 17 avril. L'honorable lord-maire eut aussi une attention à laquelle nous sommes toujours sensible, celle de rappeler à ses compatriotes les souffrances vaillamment supportées par oeux qui ont vu brûler Lou-vain, Dinant, Tamines, Termotnde. Il fit un parallèle entre ceux-ci et la cruelle férocité des autres et, dès lors, il n'eut aucune difficulté à enlever les applaudissements quand il rappela l'engagement solennel de l'Empire britannique envers la Belgique. Il exprima au nom de la cité de Londres cette volonté que la Belgique reçoive pleine réparation et termina en exprimant l'espoir que les questions économiques se résoudraient à notre mutuelle satisfaction et par l'aide mutuelle. Discours de M. de Smet de Naeyer M. Maurice de Smet de Nayer, président -de l'Enquête économique à Londres, désigné à cette fin par S. Ex. le ministre de Belgique, exprima au lord-maire les remerciements sincères du Comité du commerce anglo-belge pour sa cordiale réception. Il dit combien nous avons été impressionnés par les nombreuses manifestations de sympathie à notre égard depuis le début de cette horrible guerre, par la noble cité de Londres. Nous ne l'oublierons pas. Puis-je, dit-il, rappeler comme je fus personnellement ému au traditionnel banquet du Guilhall, au Lord-mayor's Day, par les solennelles déclarations du Premier d'alors, M. As-quith, un de vos plus grands hommes d'Etat, devant une réunion des plus éminentes personnalités du Royaume-Uni et de l'empire britannique. Il déclara au nom de la Nation britannique qu'elle ne mettrait bas les armes avant que la Belgique n'ait été restaurée dans sa complète indépendance territoriale et reçu les compensations nécessaires pour réparer les pertes énormes qu'elle a subies du fait d'un ennemi sans scrupules et sans cœur. De ce moment et pour la première fois après plusieurs semaines d'inquiétudes je fus rassuré, car connaissant l'histoire de l'Angleterre je savais qu'une telle déclaration faite par le premier ministre de Sa Majesté, en de telles circonstances, ne fut jamais démentie par les faits. Parlant de l'optimisme des Belges resté aussi grand aujourd'hui qu'alors, M. de Smet de Nayer dit : La réunion de ce jour à Mansion House, la résidence fameuse du premier magistrat de la vieille cité de Londres qui personnifie les anciennes traditions municipales si chères aux Belges, offre une preuve frappante et conclu-sive de cet inaltérable espoir en un. meilleur avenir. L'orateur ajouta à cet exemple celui des travaux du Comité du commerce et il remercia les éminents hommes d'affaires de cette grande cité pour l'aide qu'ils nous prêtent dans le rétablissement de notre position économique. Nous désirons un accroissement de notre chiffre d'affaires avec le Royaume-Uni pour diverses raisons. D'abord, nous l'espérons à cause de la dette de gratitude éternelle qui unit la Belgique à votre noble et généreux pays. Nous l'espérons comme résultat d'une meilleure connaissance réciproque obtenue et qui a dissipé plusieurs idées préconçues. D'autre part, vous pouvez tenir pour certain que la Belgique continuera à appliquer le principe de confiance et de sincérité dont elle a fait preuve rigoureusement à l'égard des traités. La signature de la Belgique au bas d'un document ne deviendra jamais un misérable chiffon de papier. Puis, ayant rappelé les paroles historiques du Roi : "Une nation qui se défend mérite le respect de tous; pareille nation ne peut périr", M. de Smet de Nayer leva son verre en l'honneur du lord-maire. Puis, ce fut au comte Goblet d'Alviel-la, ministre d'Etat, arrivé exprésemment à Londres pour témoigner à nos ami anglais de la reconnaissance du gouver nement belge. Lui aussi remercia 1 lord-maire spécialement pour son allu sion au succès de nos armes et la natioi anglaise pour le généreux dévouemen envers nous. Parlant de la confiano belge, il ajouta : "Je ne regrette pas no tre détermination de 1914." Il se pro | nonça en faveur d'une paix par les ar mes, la seule possible pour obtenir uni paix durable. M. le baron Moncheur lut ensuite 1< télégramme suivant qu'il avait reçu li matin même de M. Hymans, ministri des Affaires étrangères. Je vous prie d'exprimer au Gouvernemen britannique, au Lord-mayor et aux mem bres du Belgian Trade Committee les vif: remerciements du gouvernement du Ro pour l'amical et brillant accueil réservé ; nos délégués. Veuillez dire à M. Balfou combien nous avons été touchés par l'élo quent hommage qu'il a rendu à la Natioi belge. Nous formons avec lui des vœui sincères pour que la réunion des délégué: des deux pays \ait des résultats heureux ei resserrant nos relations économiques et et facilitant le relèvement de la Belgique s cruellement éprouvée. A ce lunch, donné dans la grande e splendide salle de Mansion House et qu clot si dignement des réunions féconde: en promesses, assistaient notamment, ou tre tes personnes déjà citées, lord Burn ham, qui, appréciant le tact habituel di premier citoyen de la cité de Londres le remercia au nom des Anglais de l'ac cueiil fait aux Belges. Parlant de l'ami tié désormais scellée entre deux peuple qui ont appris à s'estimer et faisant al lusion aux campagnes au sujet du Con go inspirées par l'Allemagne, il ajouta "Pareilles choses ne se reproduiron plus." Il termina en disant son admira tion pour le Roi des Belges. Notons encore le comte de Lalaing, Lor Inchcape, Sir Alfred Mond, M. E. Pollet, con sul général ; Lord Desborough, président d la Chambre de commerce de Londres ; Si Albert Stanley, MM. Frédéric Jacobs, Léo: Dens, Arthur Brys, Sir Cecil Hertslet, MM G. Peltzer, Koch de Gooreind, major Theunis Sir W. Soulsby, secrétaire de Mansion Hous et un ami très dévoué des Belges ; Herber Samuel, président de I'Anglo-Belgian Union Lord Blyth, Sir Albert Rollit, ex-président d le Chambre de commerce de Londres ; Lori Hollenden, ancien gouverneur de la Banqu d'Angleterre; Lord Faringdon, président de 1; British Trade Corporation; Sir Arthur Steel Maitland, secrétaire-parlementaire du Boari of Trade ; Mgr Carton de Wiart, M. God chaux, président de la Chambre de commero belge, MM. L. Jadot, W. E. Davis, Bultinck de Rougemont, président du Lloyd, etc. ei tout plus de 80 convives. o o Espoir quand même ! Veut-on savoir ce que les Bruxelloi: pensaient alors que les feuilles boches e embochées les tympanisaient avec l'of fensive victorieuse sur la Somme et 1; destruction die Paris par le canon-mons tre? Ecoutons les lamentations d'uni des gazettes de la "Kommandantur" : Le nombre des gens qui ne veulent ajou ter aucune foi aux informations qui nou sont transmises par les communiqués offi ciels est encore considérable. J'entendai dire hier, dans un milieu qui était loin d'êtr. exclusivement composé d'imbéciles, qu "tout ça, c'était du bluff; qu'il était san doute possible que les Allemands eussen avancé de quelques kilomètres et pris quel ques villages, mais qu'il fallait n'attache à cela qu'une importance extrêmement rela tive..." Nos compatriotes continuent à nou: donner l'exemple — et à voir clair. o e Leurs menées en Belgique "L'indépendance complète" des Flandres Amsterdam, 22 avril— La Kôlnisch Volkszeitung d'hier annonce que l'admi nistration allemande décréta le 26 mars avec effet rétroactif au 1er janvier 1918 que toutes les finances des contrées fia mandes et wallones seront administrée séparément. Cette mesure, ajoute le journal, fer faire un grand pas à l'indépendanc complète des Flandres.— Reuter.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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