La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

1861 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1918, 01 Janvrier. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/639k35n31z/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

TL_ - ^ I M. . LA MÉTROPOLE ONE PENNY tfiOMT I CIRQ CEHU1 HOLLANDE I VIJF CENT COmiKNT I DIX CEHTII PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDREÎ Bureaux! 43. Cktncerv Lan*. W P. 9 abonnements 1 n _i_ n . A 26"* ANNEE J am £ V1V|«UVUV • MARDI 1 .TANVTCTT? 1Q1R mois, 9 sa *XT _ LA GRANDE GUERRE - A vingt kilomètres au nord de Jérusalem \ Le "grand jeu" allemand Le démembrement de la Russie Les Allemands, après l'obligatoir émission de gaz asphyxiants destinés ; chloroformer les Alliés, viennent enfin d démasquer leurs batteries à Brest-Li tovsk. Une dépêche de cette ville en dat du 28, reçue via Berlin, indique claire ment la façon dont ils entendent procède sur leur frontière orientale aux annexion plus ou moins bien déguifées que le part pangermaniste et militariste continue d réclamer à grands cris. Ces annexion: ne sont rien moins que la Lithuanie, 1; : • Courlande, des parties de l'Esthonie e de la Livonie et, peut-être même, si pos sible, la Pologne russe ! On sait que, grâce à la pression d< leur occupation militaire, les Allemand; ont pris soin depuis longtemps d'organi ser dans ces contrées (dont certaines étaient déjà soumises, avant la guerre k une "pénétration pacifique" particulièrement intense) des "assemblées populaires" composées, selon le modèle du Con seil des Flandres, de créatures germanophiles. Ces assemblées ont "voté" de; ordres du jour séparatistes et même des motions demandant la réunion de leurs "électeurs" à l'Empire allemand, "qu: seul peut assurer à leur patrie le développement culturel et économique, etc." (Or connaît l'antienne !) Et les Allemands, avec leur énorme sérieux, demandent aujourd'hui à leurs copains de Pétrograde, de reconnaître formellement "que, dans I les circonstances présentes, ces manifestations doivent être considérées comme les expressions de la volonté du peuple" et que la Russie "est prête à tirer de ces faits les conclusions qu'ils comportent". Ces conclusions sont, probablement, en pratique, un roi de Pologne appartenant à la dynastie des Habsbourg- et un roi de Lithuanie et un grand-duc de Courlande tirés de la lignée des Hohenzollern ! Conformément à leur demande, les Allemands refusent de mettre leur évacuation militaire de ces territoires sur le même pied que celle des autres parties de la Russie proprement dite, telles que la Volhynie, d'où ils consentiraient à retirer leurs troupes dès (mais pas avant !) que "la démobilisation (totale) des armées russes aura été accomplie", mais en Pologne et ailleurs une "commission spéciale" fera des arrangements particuliers en vue de " la ratification nécessaire par un plébiscite (sur une large base)" des "proclamations de séparation déjà existantes".Bien entendu, le cynisme même de ces propositions provoque l'hésitation des Bolsheviks. Il faut évidemment quelque temps pour habituer les pauvres moujiks russes au démembrement de l'empire des Tsars et Trotsky fait donc semblant de trouver la dosure de la pilule insuffisante. Mais ce n'est évidemment là que la continuation de la comédie. Entre copains, entre patron et employé, on finit toujours par s'entendre et on s'entendra. Les Soviets ont mené la Russie à un tel point de décadence et de faiblesse que l'ennemi peut lui dicter ses conditions. Ayant accepté des conditions de paix où les droits de la Belgique, de la Serbie et de la Roumanie n'ont aucune part, on ne saurait s'attendre à ce que le sort de la Pologne et des provinces baltiques leur occasionne des remords quelconques. Pour le reste, toujours d'après la dépêche de Berlin, les négociations du 28 ont déjà abouti à la restauration de la "situation de traité", interrompue par la guerre, à un arrangement de principe relatif à la libération réciproque et au renvoi dans leurs foyers des prisonniers de guerre et civils internés (on peut être certain que les Allemands et les Autrichiens seront rentrés chez eux — et réintégrés dans leurs armées — bien avant les Russes, à des conditions pour la reprise rapide des relations diplomatiques et consulaires. "Dans l'ordre économique, i' y eut accord complet au sujet de la cessation immédiate de la guerre économique, la reprise d,es relations commerciales, et l'établissement d'un échange or- e ganisé de commodités. Un accord si 1 stantiel a été atteint relativement à 2 base sur laquelle les relations éconoi ques des deux pays pourraient être é î | blies de façon permanente". D'une n - nière générale, l'harmonie règne sur r nombreux points et sur les autres, s vues des deux parties "coïncident de i près que l'espoir est justifié qu'on ar 5 vera à une entente complète". ; Ajoutons que d'après une dépêche i Pétrograde via Rome à la Wireless Pre: t l'Allemagne aurait fait une offre à Russie pour l'achat de munitions de gui re russes ! Une manifestation maximalistes a ; lieu dimanche à Pétrograde pour oélébt le "succès" de Brest-Litovsk. Elle av; ; réuni plusieurs milliers de manifestar et se découla dans le oalme. D'après le Den (socialiste modéré) . Pétrograde, le "parlement" de Courla de, dans sa séance du 17 décembre, s'e prononcé en faveur d'une "cession" ra] ; de de cette province à l'Allemagne- ] résultat du 'vote" fut aussitôt commui qué à Berlin. Les troupes russes en E thonie sont démobilisées; chaque joi 20.000 soldats quittent le front entre I ga et la baie de Riga; les cosaques st tionnés en Finlande ont reçu l'autoris tion de regagner le Don et le Caucase. Des missions ayant pour objet de.d mander la reconnaissance de la répub que finlandaise par les Etats étrange sont parties pour la Scandinavie, l'Ail magne, la Grande-Bretagne, la Belgiqi libre et 1-a Françe, et enfin les Etats-Uni La première a déjà été reçue par le r Gustave de Suède, qui l'a assurée de : sympathie, mais attend un accord finlai do-russe pour se prononcer. A Washington, on s'attend à une noi velle communioationi du "gouvernement bolshevik et à ce qu'elle conduira à ur déclaration de l'attitude des Alliés, q-sera faite de commun accord. Une délégation navale centrale con posée de trente-trois membres, dont comte von Mirbach, ancieji conseiller c 1 ambassade allemande, et un prince ai trichien de Hohenlohe, est arrivée le 2 à Pétrograde pour régler l'échange de prisonniers et conclure des traités con merciaux. D'après le correspondant du Times Pétrograde, des délégués ukrainiens son arrivés à Pétrograde. "Il semble, ajou te-t-il, qu'on va faire un dernier effor pour mettre fin à la guerre civile." Les Bolsheviks ont confisqué toutes le banques et les affilient de force à la bar que d'Etat à leurs ordres, restreignan les paiements dans le but de mettre fit à la grèves des fonctionnaires. La situation militaire générale rest( oalme. Il semble que les Allemands cherchen à donner l'impression d'un effort dans l'Ouest, car voici qu'après Caurières ils viennent de livrer une attaque près de Cambrai, qui leur a permis d'occupei deux petits saillants de la ligne anglaise et de faire quelques centaines de prisonniers. Cet avantage fut obtenu au nord de La Vacquerie et au sud de Marcoing. Le combat continue, dit le communiqué-Comme contre-partie, les Anglais ont avancé jusqu'à 10 milles au nord de Jérusalem, avançant de 3 milles le long de la route de Nablus et occupant Bireh, l'ancienne Beeroth. A l'est de la route, Hizmeh, Jeba et Burkah furent pris et à l'ouest de la crête Ram Allah et Khet Tireh. Au centre de la ligne, les troupes montées avancèrent jusqu'à Kurbetha-Ibn-Harith et Deir-il-Kuddis. D'Italie ne nous est parvenu que la nouvelle d'un bombardement aérien, de Padoue, où 20 bombes explosives et des bombes incendiaires furent jetées, tuant treize personne et causant de grands dommages aux monuments. D'autres localités, telles que Trévise, Montebellum, Castelfranco, furent éga- 3 Un comité anglo-belge du commerce Le Moniteur belge publiera prochaine ment une liste de personnalités formar le Comité du commerce anglo-belge'chai gé de poursuivre, avec le Belgian Trad Committee, créé à Londres, les question relatives au développement des relation économiques entre la Belgique et l'En pire britannique. 'k" La reine Elisabeth à l'hôpital di ni^ Beveren-sur-l'Yser A l'occasion de la Noèl, la reine Elisaberl la" le 25 décembre, était à l'hôpital de Beverer de sur-I'Yser. les La reine était accompagnée de la comtess si de Jehay et du major Preudhomme, ainsi qu ri_ du prince Charles. Reçue par le docteur Burger, directeur ad de joint de l'hôpital, et par le commandant Fi.vé Sa Majesté parcourait toutes les salles, s'en ' » tretenant avec chacun des blessés ainsi qu'a la vec les civils atteints par des bombes d'avion :r- ou des projectiles des canons à longue porté au moyen desquels les Allemands bombar-ien eu les villages en arrière du front. er Elle a distribué des cigares, des cigarettes lit chocolat, et des fleurs. La Reine avait ap |)i; porte aussi la croix de l'ordre Elisabeth qu'elli remit à trois infirmières, Mlles Henrv, Breu ders et de Cléry. de n- —<^0 st . Remerciements royaux >i- ^e S- M. le roi Alphonse XIII a reçu de 11- S. M. le roi Albert une lettre le remer s- ciant de l'heureuse issue des démarche: ir, que le roi d'Espagne avait faites pour h 'À- mise en liberté du général Léman, l'hé- a- roïque défenseur de Liège, a- o—o e_ Pour la Croix-Rouge belge li- rs Générosité malaise e- Les Etats Malais fédéré? ont fait un don d< 1e 250.000 francs à. la Société de la Croix-Rouge s. ; belge- oi o—o ia Echange de prisonniers civils belges et allemands ,, Comme suite h l'accord conclu entre la Belgique et l'Allemagne au sujet de la libération >e de certaines catégories d'internés civils, le il gouvernement belge a rapatrié tous les ûvils allemands capturés dans 1 Afrique Orientale allemande et internés en France; de son côté, le le gouvernement allemand a envoyé en France, par la Suisse, soixante-douze femmes et enfants belges détenus jusqu'alors dans des camps allemands. Les notabilités colorim îles 8 bruxelloises déportées à Holzmindefi, ont été ■ i également libérées. o—o La destruction des forets dans , le Luxembourg £ ^ La destruction systématique des forêts continue en Belgique occupée. Cette fois, les Allemands exercent leur vandalisme organisé et s i savant dans la province de Luxembourg, riche en forêts. t ^ Dans les bois de l'Etatlielge, entre Beho et j Commanster, le long de la frontière prussienne 250 hectares sont livrés aux bûcherons. Les envahisseurs réquisitionnent les attelages des : particuliers pour les transports. Ce sont, surtout, les pins sylvestres qui tombent sous leurs coups. A Beho, sur deux â trois hectares . de superficie, tous les épicéas sont enlevés. , Le long des routes, les arbres sont couchés par terre. Bientôt les dernières des superbes plantations routières auront vécu. Trente hectares, plantés de gros sapins, propriété de M. Lambert, de Bourcy, ont été rasés. Le propriétaire ne fut même pas averti. Au lieu dit " Concession ", à Bovigny, 8.300 mètres cubes de bois ont été enlevés dans la propriété de M. Jones de Ciney. Les Allemands ont jugé inutile d'aviser M. Jonet. ■■■■HlliBgilll Les propositions allemandes L'Allemagne demanda le droit de développer ses entreprises économiques en Belgique; en d'autnes termes, la Belgique ne sera pas pour les Belges, mais pour les Allemands. Le New-York Eevening Sun. ■■■■■■■■■■■■■■■ lament atteintes. Un second bombardement de Padoue y fit trois nouvelles victimes et mit le feu à l'église del Carminé, une des plus fines et des plus anciennes de la ville. LA CRISE MINISTERIELLE *■ vjimuju iviii 1 F IMPOT? 17 ntr MArn^cAnv nirruTTcrn^r. e . En parlant des remaniements minist riels, avant que ceux-ci ne soient publii au Moniteur, nous violons une consigr de presse qui n'a pas été levée jusqu'i et à laquelle nous sommes soumis, ma gré la ridicule situation dans laquelle el nous mettait au regard des agences < > des journaux étrangers qui, eux, ont ai noncé le 27 décembre des changemem ministériels belges dont nous étions ave: tis depuis le 24 ! ' On avait, comme on, sait, créé un m nistère des Affaires économiques qui me e tait en sous-ordres d'autres départemenl e existants et un Comité de guerre qi avait laissé des mécontents. Le ministère des Affaires économique " qui avait été accueilli avec tant de fi _ veur disparaît donc après deux mois e 5 demi d'existence, ou plutôt se divise e ; i "conseils", qui passent aux Finances, t l'Industrie et à la Justice. Les affaire "essentiellement économiques" sont rat tachées aux Sciences et Arts. Pourquc ; | pas aux Transports, par exemple, c'est à-dire à la Marine et aux Chemins de fer avec lesquels elles ont, certes, plus d rapports qu'avec les Arts? M. de Broqueville, qui garde la "prési dence du Conseil", aurait voulu que soi département s'appela "ministère des Ce ; mités de guerre"; mais après de longue palabres avec MM. Hubert et Helleput i te (M. Vandevyvere était à Folkestone) 1 on s'est arrêté au titre de ministère de 1; Reconstruction nationale, avec M. Deja ce comme secrétaire général. Ce minis tère sera composé des trois comités d guerre. T1 fut question aussi de nommer M Galopin ministre des Affaires économi ques à la place de M. Hymans, devem ministre des Affaires étrangères. M. Ga , lopin est fils de l'ancien recteur de l'Uni versité de Liéee et sous-directeur de 1,: U V E.AUA IVUiNJO 1 KHC) ê- Herstal. Mais M. Vandervelde objec -s que cette combinaison allait faire un n 1e nistre de droite de plus et il demanda ci poste pour M. Emile Brunet, député s 1- cialiste de Charleroi, mais sans port le feuille, ce qui fut accepté. ît Sur ces entrefaites, on constate qu 1- y a un homme qui a un autre passé po :s tique que ce jeune député et qui s'appe le Georges Lorand et voilà la nominatic de M. Georges Lorand, comme minist i- sans portefeuille, décidée... t- Cela fait exactement depuis la guer s une augmentation de cinq nouveaux m îi nistres. Ces changements paraîtront au Mon s teur incessamment. Espérons que le nouveau ministèr :t après ces tâtonnements qui ont duré det n mois, s'affirmera comme un ministèi à national ét qu'il répondra aux vœux d< s Belges restés au pays et qui ont ass< vu les Allemands pour être ardemmei 11 désireux de voir la Belgique débarrasse totalement de l'influence allemande apri , la guerre. e Nous répétons qu'à cette fin, nous n grettons que le portefeuille des Affaire étrangères n'ait pas été confié à M. Ca: i ton de Wiart, qui, au moins, avait trac un programme conforme aux vœux d s pays en disant : "Tout homme de bonne foi sait que i , Belgique n'a jamais été et qu'elle enten 1 n'être jamais la vassale de personm Depuis l acte de la Constitution en 183c - elle s'est montrée jalousement fière de so ? indépendance et fidèle jusqu'au scrupuli jusqu'au martyre, à la neutralité qui h . avait été imposée. Mais la guerre, qi lui! coûte chaque jour tant de deuils et d 1 ruines, lui a, du moins, conquis déjà ■u - droit: celui de nourrir désormais/ e - 1 toute liberté, ses affections." 1 Kst-PP nnnr .ottwÎ- rl',4. i'i ». fabrique Loëwe d'armes de guerre Vaincre d'abord ! Le discours retentissant de M. Pichoi à la Chambre française aura une grandi répercussion si l'on songe que la France pour tenir un langage aussi catégorique doit avoir des certitudes, des indices e des appuis sérieux. L'insistance aveo laquelle l'Allemagni manœuvre pour la paix nous montre quf nous sommes prêts du but. La confiance sereine de la France nous révèle que nos légitimes revendications pour tout le mal que nous a fait l'Allemagne seroni exaucées. C'est le moment ou jamais de tenir l La vengeance est, enfin, prochaine i Pour nous, Belges, dont le destin est lié aux succès des Alliés, mais dont la souffrance est plus grande que celle de n'importe lequel des belligérants, le moment critique est arrivé, celui où il nous faudra tendre toute notre énergie et notre volonté pour obtenir justice et réparation totales. Nous savons que l'Allemagne a faim, nous l'avons jadis crié trop tôt; nous savons que plus la guerre dure, plus la conquête des marchés que l'Allemagne tenait victorieusement s'accomplit. Nous savons que si elle a fait un effort en Italie, elle a été impuissante à aider la Turquie; qu'elle sera impuissante dans son ultime effort dans l'Ouest. Nous savons que la France a l'appui total des Etats-Unis. Ainsi, en dépit de la carte de guerre, nous sommes sûrs de la paix prochaine, parce que chaque jour est une ruine de plus pour l'Allemagne et que celle-ci n'a plus qu'un intérêt et qu'un but : sauver le plus possible afin que le militaris-' me prussien, cause du conflit, puisse être défendu devant l'opinion allemande. On a déjà préparé celle-ci à l'absolution du militarisme en affirmant que l'Allemagne faisait une guerre défensive; il faut que cette opinion soit convaincue que le militarisme prussien a conduit l'Allemagne a un désastre. Ainsi s'accomplira la grande victoire démocratique réclamée par les peuples démocratiques. L'Allemand ne comprendra que lorsqu'il sera battu. Les Allemands ont converti en forteresse la petite ville de Nordeney, dans l'île Je la Frise du même nom. Elle comprend huit forts, armés chacun de deux canons de fort cal bre et de nombreux canons anti-aériens. à "écarté"? UMUUae' L'Uruguay et la Belgique 1 M. Guani, envoyé extraordinaire et mi ; mstre plénipotentiaire de la Républiqu , de 1 L ruguay près le gouvernement bel ' Pe' a. rei?u> '1 y 'a quelques jours, pa t le ro* Albert 1er, à qui il a notifié la rup ture des relations diplomatiques et com merciales entre l'Uruguay et l'Allema gne. A cette occasion, M. Guani a prononc* une allocution où il a dit notamment : "Veuillez croire, Sire, que dans cette Ligue d honneur, des peuples libres dres-sés contre les idées d'oppression et de servitude, mon pays a pris parti pour le votre avec toute la sincérité et tout l'élan dont est capable une démocratie nouvelle et désintéressée et il a jugé, bien que comme la Belgique en Europe il n'occupe dans le continent sud-américain qu'une place géographique restreinte, il a jugé dis-je, que la valeur des nationalités ne se mesure pas seulment à la superficie de leurs territoires, mais à la droiture de leurs citoyens, à l'héroïsme de leurs actions et à la loyauté de leurs gestes. _ Mon pays a compris que, dans l'histoire sanglante et terrible de cette épo-que, Votre Majesté symbolise la droiture I héroïsme, la loyauté. "Voilà pourquoi il a épousé la cause de la Belgique et de ses alliés. "Je prie Votre Majesté d'accepter, avec le témoignage de toute mon admiration et de toute ma sympathie, celui des mêmes sentiments qui animent le président de la République, le gouvernement et le peuple de l'Uruguay." 0—0 Vol de documents par un espion allemand Un espion allemand a fracturé la porte d entrée du bureau de la mission militaire anglaise a Washington, et des papiers que l'ambassade britannique dit sans valeur ont dis-paru.La récente découverte dans le bureau d'un pigeon voyageur dont l'identité n'a jamais été expliquée pourrait avoir quelque rapport avec ce vol. Un pigeon a également été découvert la semaine dernière dans les bureaux de M. Howard Coffin, directeur du United States Air-craft Production Board (service des constructions aéronautiques des Etats-Unis).

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Sujets

Périodes