La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

1458 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1917, 18 Juillet. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/2v2c825811/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

LA MÉTROPOLE ONE PENNY cnflNT " CINQ CENTIMES HOLLANDE : V1JF CENT CONTINENT : DIX CENTIMES PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Line, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENT 1 mois 3 «h. ; 3 mois, 9 th. oa.mb A "Nr"NT"Hl"Rl MERCREDI 18 JUILLET 1917 No. 199 LA GHA» X>JEÏ axrE 3R.3EÏ LE NOUVEAU CHANCELIER BRELAN DE DEMISSIONS LES CAPTURES RUSSES l'obscurité qui entoure la crise alie-lande et le départ du chancelier devient e plus en plus profonde, et la personna-té du nouveau chancelier ne jette pas i jour très éclatant sur la situation. Le r. Michaelis, qui est âgé de 60 ans, est îtré dans l'administration prussienne ! 1879 et y resta jusqu'en 1885, époque laquelle il fut chargé de cours à l'éco-allemande de droit et d'économie po-;ique à Tokio. Il abandonna ces fonc-Dns en 1889, pour rentrer dans l'admi-stration prussienne, où il poursuivit sa irrière judiciaire, occupant successive-lent les fonctions d'assesseur près du rocureur à Scheidemuhle, puis il ^ fut ommé conseiller de préfecture à Trêves t à Augsbourg. En 1900, il remplaça : préfet de Liegnitz et en 1902 il fut ommé préfet de Breslau. En 1909, 1' evenait sous-secrétaiire d'Etat aux Fiances.Le docteur Michaelis est le premier lanoelier qui n'appartienne pas à la no-esse prussienne. On lui prête des opi-ions plutôt démocratiques et un réel tant d'organisation. Comme commissaire des vivres, il a entré "une grande indépendance à égard des hobereaux et du ministre de Agriculture, von Schorlemer. Les journaux allemands, surtout les onservateurs (agrariens), saluent son rrivée au pouvoir avec joie car il est 'Prussien de race ' et die caractère" t c'est un " énergique ". Ses visées politiques ne sont pas con-ues et l'on attend avec impatience la :ntrée du Reichstag où il exposera sa °;ne de conduite. On peut croire que le 'r. Michaelis qui n'a certes pas l'ex-irience de la politique internationale, a pas été choisi uniquement pour ses jalités intellectuelles ou administrati-îs ; comme il est Prussien et que les 'opriétaires terriens l'acclament, on se nute bien un peu qu'il soit prêt à se ier aux moindres volontés du Kaiser. Quoique les causes ou les motifs réels î la démission du chancelier von Beth-lann ne soient pas connus, on suppose, ans les milieux suisses, que sa chute est ne à l'action des pangermanistes et an-îxionnistes qui s'opposent énergique-ent à l'introduction dans l'Empire alle-and du système parlementaire. De plus, 1 sait que von Bethmann est un admi-iteur de Bismarck, qui était d'avis que système parlementaire est impossible impraticable en Allemagne. On en délit que von Bethmann a offert sa dé-ission sous la pression de la majorité 1 Reichstag; suivant le correspondant iriinoiis du Handelsblad, le chancelier donné sa démission parce qu'il a trou-- qu'il n'était pas de l'intérêt de la ouronne ou du pays d'aller aussi loin Je la majorité du Reichstag. D'après une information de source au->risée hollandaise la suite chronologies de la crise serait la suivante. Le lancelier proposa la constitution d'un >rps consistant de membres du Reichs-*g et du gouvernement. La Bavière se éclara d'accord avec cette proposition U1 causa, cependant, un certain malaise Vienne, mais comme la question se apportait uniquement à la politique in-Érieure, l'intervention autrichienne fut ^ligée. Quant à la question des non-nnexions, le Kaiser, le Kronprinz, Hin-înburg- et Ludendorff s'élevèrent con-e une déclaration de ce genre, mais von ethmann insista, tandis que la Bavière l'Autriche continuèrent à la deman-:r.Berlin essaya alors de convaincre tant Autriche que la Bavière que la victoire 'cisive était prochaine à la suite de la mPagne sous-marine, mais l'Autriche 'rsista dans son attitude. Von Beth-ann se retira et sa démission fut accep-e par l'Empereur, après une entrevue ec le Kronprinz. F-n Autriche la chute de Bethmann a oduït Une imnrpççion nliitAf rv>niH1*v car on craint que le nouveau chancelier ne soit irréconciliable. Von Bethmann, dans sa chute, a entraîné, quelques autres étoiles politiques; la démission de M. Zimmermann, secrétaire d'Etat pouir les Affaires étrangères, est plutôt une surprise qui ne peut manquer de faire plaiisir aux Junkers, chez lesquels il n'était que mal vu par suite de ses humbles origines. Suivant une dépêche officieuse, le successeur de M. Zimmermann comme secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères serait le comte Brockdorf-Rantzau, ministre plénipotentiaire à Copenhague. Avant de représenter l'Allemagne à Copenhague, le comte de Brockdorf-Rantzau avait occupé le poste de consui général à Budapest, poste que la Wil-helmstrasse considère comme de la plus grande importance, puisque l'entente de Berlin et de Budapest est le fondement de l'influence allemande en Autriche. A ce poste l'Allemagne appelle ses hommes d'avenir. C'est donc un spécialiste des affaires austro-hongroises qui arrive au pouvoir à une heure où elles sont au premier plan des préoccupations de Berlin.On ne connaît pas encore la désignation définitive des autres secrétaires d'Etat de l'empire ni celle des ministres prussiens. M. Helfferich, ministre de l'Intérieur, von Stein, ministre de la Guerre, et M. Wanschaffe, chef de la chancellerie impériale, se sont, paraît-il, également retirés.La majorité du Reichstag,composée du centre, des progressistes et des social-démocrates, ainsi que lès députés (allemands) d'Alsace-Lorraine et d'autres membres, ont rédigé un "programme de paix" qui sera soumis prochainement au Reichstag. Dans ce programme il est dit que le peuple allemand n'a pas la soif des conquêtes et qu'il n'a pris les armes que pour la défense de sa liberté et de son indépendance et pour l'intégrité de ses possessions territoriales. Le Reichstag veut une paix par une entente et la conciliation durable des peuples, mais une telle paix est incompatible avec l'expansion par la force et l'oppression politique, économique et financière. Le Reichstag rejette également tous les projets visant l'isolation économique et les inimitiés internationales après la guerre. La liberté des mers doit être assurée ; seule une paix économique préparera le terrain pour les relations internationales pacifiques. Le Reichstag favorisera éner-giquement la création de cours internationales.La situation militaire est généralement inchangée. Les Allemands ont été complètement repoussés en Champagne. Nos alliés russes ont fait, au total, au cours de leur offensive 38.809 prisonniers, non compris 834 officiers; ils ont capturé 93 canons lourds et légers, 28 mortiers de tranchée, 403 mitrailleuses, 43 lanoe-mi-nes, 45 lance-bombes, des lance-flammes, des aéroplanes et une quantité considérable de provisions militaires. La main de l'Allemagne dans la révolution chinoise Bien que l'édit d'abdication de l'empereur ne soit pas encore promulgué, Tchang Hsun et le cabinet ont démissionné. Le général factieux a proposé la médiation du baron Hayashi, ministre du Japon. Le Journal officiel du gouvernement, imprimé à Tsien-Tsien, contient une offre de cent mille dollars à quiconque prendra Tchang Hsun mort ou vif. La capture de Tchang Hsun est considérée comme d'a.utant plus importante qu'il est aujourd'hui avéré qu'il agit à l'instigation de l'Allemagne. Aussi, dès que l'ordre sera rétabli à Pékin, le premier acte de Tuan Chi Jui sera-t-il de déclarer la guerre à l'empire allemand. La reine Elisabeth et les enfants des Flandres Pour avoir voulu les saluer à la gare d'Adinkerke, notre souveraine a faillie être victime des obus boches Nous lisons dans le journal de Rouen de jeudi cet entrefilet qui rend hommage au dévouement de notre souveraine et fait du même coup bonne justice de sottes rumeurs : Hier, à midi et demi, sont arrivés à la g are du Nord 25 jeunes enfants belges. Au nombre de 125, ils étaient partis lundi d'Adinkerke; cent ont été dirigés sur Paris. Le départ de ces enfants du sol national belge a été l'occasion pour la reine des Belges de ' témoigner une fois de plus tout l'intérêt qu'elle porte à ces bambins que des nécessités impérieuses contraignent à éloigner de leur village. Ils ont eu, en effet, l'agréable surprise, au moment de quitter la gare, de voir arriver la reine Elisabeth qui, en plus de caresses maternelles, leur a distribué du chocolat. La joie des enfants était à son comble. Les exilés ont passé la nuit de mardi à mercredi à Amiens où ils <?nt été reçus à bras ouverts par lès dames de la Croix-Rouge, qui se sont empressées de les restaurer et de leur préparer un bon lit. A leur arrivé à Rouen, les 125 jeunes Belges ont été dirigés sur l'Abri Saint-Eloi, où — avec le dévouement usité en cette maison — ils ont été restaurés des plus confortablement après avoir fait un brin de toilette. A 4 h. 11, ils prenaient le train à la gare de la rue Verte pour Yvetot. On nous signale que mardi la gare d'Adinkerke a été bombardée pour la première fois par les Allemands. Sans doute, ils avaient été prévenus de la visite de la Reine; heureusement ils sont arrivés vingt-quatre heures trop tard. r» r» La fête nationale belge en Angleterre A Glasgow L'Union belge de Glasgow, sous la présidence de M. Paul Zech-Dupont, organise samedi prochain 21 juillet une série de festivités à l'occasion de la fête nationale. A 3 heures de d'après-midi, à l'église St-Patrick, North Street (Anderston) : Te Deum solennel. A 4 heures, aux Central Halls, 25, Bathstreet, grand concert, organisé dans la grande salle des fêtes avec le concours d'artistes distingués. L'entrée est absolument gratuite et tous les Belges sont invités afin de célébrer en commun notre fête nationale. Le martyre de nos prisonniers Cinq cents Belges morts au camp de Lubeck M. W. Thorne a demandé, lundi, à la Chambre de Communes, s'il était vrai que 500 Belges sur 2.000 internés au camp de Lubeck sont morts dans les derniers trois mois par suite du manque de nourriture ; etj s'il en est ainsi, s'il n'y a pas un moyen de faire des représentations adéquates à ce sujet. M. Balfour répondit qu'il n'avait reçu aucun rapport dans le sens indiqué. Si, cependant, son honorable ami voulait lui faire connaître la source de ses informations, il en aviserait immédiatement le gouvernement belge, qui, s'il n'en a encore rien fait, ferait, sans aucun doute, des représentations au gouvernement allemand. Nous soumettons cette effroyable conjoncture aux méditations de ceux qui veulent faire rentrer librement les Allemands et demi-Allemands en Belgique, parce que cent Belges sont intéressés à cette rentrée. ft A.., ... Les Etats-Unis et les neutres Tous les pays neutres d'Europe, la Suisse exceptée, sont unis pour protester contre la sévère mesure proclamée par M. Wilson au sujet des exportations. On les écoute avec respect, mais le gouvernement maintient sa décision que pas une once de nourriture, pas une tonne de matériel de guerre ne doivent arriver en Allemagne par la voie des neutres. Le leader socialiste Branting et la Belgique On sait le rôle considérable joué par le leader socialiste Hjalmar Branting, dans les réunions qui ont eu lieu à Stockholm, et il est probable que son rôle ne sera pas moindre dans celles qui pourront encore avoir lieu à l'avenir. Il n'est donc pas sans intérêt de rappeler l'admirable déclaration de sympathie pour la "Belgique qu'il publia au mois de novembre 1914 dans le King Albert's Book et dont nous donnons ci-après une traduction. Le King Albert's Book était, on s'en souvient, une sorte d'album commémo-ratif que le Daily Telegraph et M. Hail Caine avaient pris l'initiative de publier comme un hommage au roi Albert et à la Belgique, et dans lequel ont été rassemblés des témoignages de sympathie et d'admiration envers notre Souverain et notre Pays émanant des personnalités les plus éminen-tes du monde entier. C'est un monument de gloire qui est déjà trop perdu de vue et dont le prix sera inestimable pour nous. Mon hommage personnel à la Belgique signifierait bien peu. C'est donc de mon peuple que je parlerai- La Suède était prédestinée à considérer la crise mondiale avec des yeux allemands. Les Allemands sont nos frères de race. C'est vers eux que va le réseau le plus serré de nos communications ; c'est d'Allemagne qu'est venue la plus forte influence sur la culture suédoise. Nos classes supérieures admirent chez les Allemands l'amour de l'ordre, le sens du devoir, la discipline des classes inférieures du peuple et l'énorme développement matériel du pays. Notre mouvement ouvrier grandit ainsi qu'une plante allemande, avant qu'il ait pris racine dans le sol suédois et s'y soit adapté. Et quand les ouvriers suédois livrèrent leur grande bataille défensive lors de la grève générale de 1909, leurs frères allemands leur donnèrent un puissant appui. Il était assez naturel que la Suède fût prête . à écouter la première proclamation allemande : "Le tsarisme est le trouble-paix, le danger de toute l'EuropeNous, Suédois, avions eu l'occasion de voir comment le gouvernement autonome de la Finlande avait été détruit, nous avions vu comment les concentrations de troupes avaient été augmentées dans ce pays tandis que le nôtre avait été soumis à un système importun d'espionnage russe. Mais alors vint le crime contre les lois internationales, la violation de la neutralité belge. Pour nous, qui sommes résolus à défendre jusqu'à l'extrême limite notre neutralité, ce fut comme un coup porté droit à notre propre cœur. Cela changea entièrement les sentiments des larges masses de notre nation. Même dans la partie la plus germanophile de la presse, il semblait que le ton de confiance en soi avait baissé. Plus les méthodes devenaient brutales,plus la traversée de la Belgique prenait le caractère d'une invasion conquérante et dévastatrice, plus forte devenait la sympathie des cœurs suédois pour la brave petite nation qui, en dépiit de l'écrasante majorité du nombre, tenait bon avec intrépidité pour le droit et la liberté. Bien qu'elle eût mal calculé la résistance, la stratégie allemande gagna peut-être quelque avantage par l'invasion d'un pays jouissant d'une protection internationale. Mais i'1 y a des forces au monde qui importent plus, après tout, que la stratégie.Des gens à courte vue peuvent estimer que la Belgique aurait dû céder après une première résistance suffisante pour marquer sa neutralité. Non, au milieu de la destruction et du désespoir, il faut dire : Ce n'est que maintenant, après que la jeune nation belge a montré à quel point elle a hérité de ses ancêtres leur courage et leur esprit de sacrifice, oe n'est que maintenant que sa liberté et sa place dans la société des nations sont irrévocablement assurées pour toujours. Le fait que la nation belge tout entière, et notamment sa classe ouvrière socialiste, a mis en jeu bien autre chose que de faibles protestations verbales, a rendu sa cause sacrée à tous les hommes et à toutes les femmes du monde entier qui apprécient encore la justice et la liberté. Salut, donc, à la Belgique ! Et mon plus sincère désir comme Suédois doit être celui-ci : si. en dénit de l'espoir que nous chérissons et de h paix entre les nations que nous tâchon: de préparer, un jour devait arriver oi notre propre pays verrait sa neutralité menacée,puissions-nous alors suivre una nimement le magnifique exemple de h Belgique et nous assurer la victoire ai milieu d'une apparente ruine. " Plutô mourir que de devenir esclave dit ut proverbe frison. C'est le même esprit qui pénètre 1( chant écrit au quinzième siècle par notri évêque suédois Thomas : La liberté est la meilleure de toute: les choses Qui puisse être cherchée dans le mondi entier Parce que l'honneur vient avec la liberté (Signé) HJALMAR BRANTING. r*—r» Plusieurs tonnes de bombes sur Zeebrugge et Ostende Londres, 16 juillet.— Le secrétaire di l'Amirauté communique que durant 1; nuit du 15 au 16, plusieurs tonnes de bombe furent jetées par les aviateurs anglais avei les objectifs militaires suivants : Usine Solvay, Zeebrugge, voies de jonction et d garage d'Ostende, voies de jonction de Thou rout, convois de transport et dépôts de che min de fer à Middelkerke. Tous les appareil rentrèrent sans accident. €> O La faillite des zeppelins Le correspondant de Lausanne de \'E* change Telegraph annonce que les fameu chantiers établis à Friedrichshaven par fe le comte Zeppelin ont entièrement arrêt la construction des engins aériens aus: encombrants que meurtriers pour ceux qi les montaient. On pousse, par contre, avec la plus grand activité la construction d'un nombre cons dérable d'aéroplanes, à l'achèvement de; quels sont occupés des milliers d'ouvriers. Des essais d appareils d'un type nouvea sont effectués toutes les nuits au-dessv du lac de Constance. Vingt siècles de bouteille En procédant, à Mayence, à des travau d'excavation, on a découvert un tombea romain datant des premières années de l'èi chrétienne. Ce tombeau contenait encoi quelques ossements et, en plus, un flacon ce cheté soigneusement qui fut ouvert ave grande précaution. Le liquide qu'il cor tenait fut reconnu à l'analyse comme étan du vin du Rhin, qui, malgré ses vingt siècle de bouteille, fut trouvé excellent par le experts. Ne vous hâtez pas trop d'en conclure l'antiquité d'une civilisation germaniqu< Il s'agit d'un tombeau romain ; la tomb d un explorateur, mort parmi les sauvages ne prouve pas qu'il les ait civilisés. Maximilien Harden mobilisé La Berliner Tageblatt annonce que Max milien Harden vient d'être mobilisé par aj plication de la loi sur la mobilisation civil Le directeur de la Zukunft a été class comme employé de bureau et la publicatio de sa revue est suspendue jusqu'à la fin d la guerre. Ce n'est pas plus difficile que ça. 0—0 □ŒBEElHEEfflBnHQBE La chanson nouvelle L'égalité devant nos amis et nos ennemi La guerre durera tant qu'il faudra, mais il faut que l'indépendance de notre pays soit après la guerre ce qu'elle était avant : aussi nette, aussi franche tant vers l'est et vers le nord que vers le sud M. Louis Franck et Consorts, Déclaration d von Bissing Anvers, 10 mars 1917. * * * Le peuple flamand., possède la volonté formelle de voir écarter toute ingérence étrangère, d'où qu'elle vienne et de n'importe quelle façon qu'elle se produise, dans les affaires de l'Etat. J. Hoste, dans Vri] Belgi'ê, 18 mai 191 y. iiiiHBiliiBiiiiii

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Sujets

Périodes