La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1916, 18 Mai. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 02 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/9w08w3910r/
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LA MÉTROPOLE ONE PENIVY ..MUT- CINQ CENTIMES nnil ANDE : VIJF CENT CONTINENT : DIX CENTIMES D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné: 212 Holborn. ABONNEMENTS : 1 mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. Etranger : 1 mois, 4 sh. ; 3 mois, 12 su. 23ME ANNEE JEUDI 18 MAI 1916 No. 138 LA GRANDE GUERRE OFFENSIVE AUTRICHIENNE LE RECUL ITALIEN LES HOLLANDAISA ET LE " TUBANTIA " Le communiqué officiel belge du 16 mai dit: " Les combats d'artillerie ont été particulièrement animés pendant le cours de la journée sur le front de l'armée belge, où un feu de concentration fut dirigé par nos batteries lourdes contre les organisations défensives des Allemands sur la rive orientale de l'Yser. Dans la région de Dixmude le secteur au sud de Saint-Georges fut soumis à des bombardements réciproques d'une grande violence. La nouvelle la plus importante du jour sur le terrain militaire c'est que les Italiens enregistrent un léger recul, particulièrement dans le Trentin. Appuyés sur la formidable base de Vérone, ils n'avaient cessé, ces derniers mois, de- progresser vers le nord dans la vallée de l'Adige, se rendant maîtres les uns après les autres, malgré les difficultés énormes du terrain, des points stratégiques en montagne qui couvrent Rovereto. Cette ville était sérieusement menacée et comme elle couvre Trente à son tour il fallait qu'elle fût défendue à tout prix. Profitant de la circonstance que l'état des routes empêche toujours les Russes de bouger sur la partie sud du front oriental, les Autrichiens ont ' distrait quelques-unes de leurs quarante-deux divisions qui font face à la Russie, pour les ajouter aux trente divisions opposées aux Italiens et, subitement renforcés, ils ont procédé à une attaque générale. Leur effort principal s'est évidemment porté sur le front du Trentin, le plus directement menacé. Le communiqué italien rapporte qu'après un intense bombardement, les Autrichiens attaquèrent en masse sur tout le front compris entre la vallée de l'Adige et le Haut As-tico. 11 admet qu'après avoir effectué en première ligne une résistance qui provoqua des pertes très sérieuses pour l'ennemi, les troupes italiennes cédèrent du terrain et se retirèrent sur leur ligne principale. Le communiqué autrichien précise que le terrain abandonné comprend les positions italiennes de première ligne sur la crête d'Armanterra, à l'est de la vallée de Sazana, sur le plateau de Vielgereuth (Folgaria), au nord de la vallée de Terragnolo et au sud de Rovereto. Armanterra, à 1.400 mètres d'altitude, ne se trouve qu'à 25 kilomètres au sud-est de Trente; le plateau de Folgaria est à 11 kilomètres au nord-est de Rovereto et à 16 kilomètres au sud de Trente. Les Autrichiens prétendent avoir capturé 65 officiers, dont un colonel, 2500 hommes, onze mitrailleuses, sept canons et abattu un aéroplane, mais ils ne font aucune mention de leurs pertes et les chiffres qu'ils donnent sont vraisemblablement, comme d'habitude, à réduire pour le moins de la moitié. Vienne prétend d'autre part avoir pénétré dans les tranchées ennemies à l'est de Monfalcone ( plateau de Dober-do) sur la ligne de chemin de fer de Trieste, et avoir fait 130 prisonniers, roais Rome annonce déjà une contre-attaque victorieuse dans ce secteur, avec Prise de 254 prisonniers, dont plusieurs officiers, et de deux mitrailleuses. Par contre, il semble qu'il faille ad-mettre, faute de démenti, la reprise par ®es Autrichiens et sa consolidation, de ta position italienne à l'est de San Mar-tino.Sur tous les autres points cependant ou l'ennemi attaqua en force, notam-i roent dans les Dolomites, autour de Go-I r®a et sur le San Michele, il fut re-l tassé et dut se contenter de bombar-i er les positions qu'il ne put enlever. I ,ts pertes, sur tous ces points, ont dû i sérieuses. F Comme d'habitude dans de sembla-f J5 opérations, les aviateurs ont été ac-5 de part et d'autre. Les Autrichiens 5,111 bombardé Venise, Mestre, Udine et revise. Les Italiens ont arrosé de bom-de nombreuses gares et cantonnements directement derrière le front ain-1 1ue Kostanjevitza. Selon l'usage, aus si, chacun des belligérants prétend que ses aéroplanes ont effectué de grands dégâts et que ceux de l'adversaire n'en ont fait aucun. En résumé, cette grande offensive autrichienne n'a eu qu'un résultat tactique et stratégique bien maigre, hors de proportion en tout cas, avec l'effort déployé. On peut la considérer comme la dernière tentative autrichienne pour éviter l'invasion, tentative provoquée par un concours de circonstances tout temporaire qui permet à l'Autriche de faire peser pendant quelques jours sur son front occidental tout le poids de ses armées. Dès que ces circonstances cesseront d'exister, et que les Russes se remettront en mouvement, les Italiens reprendront patiemment la route de la victoire. Il ne faut jamais oublier, lorsqu'on juge leur action militaire, qu'ils sont pour ainsi dire les seuls parmi nos alliés continentaux qui combattent hors de leurs frontières et qu'ils n'ont rien à craindre d'une invasion. La quatre-vingt cinquième journée de la bataille de Verdun (mardi) a été marquée par une nouvelle tentative allemande contre les positions françaises à l'ouest de la cote 304; elle fut, cependant, immédiatement arrêtée par le feu de barrage des 75. On comprend difficilement les stratèges (?) allemands qui savent mieux que personne que des attaques aussi molles ne peuvent aboutir à rien et qui, cependant, persistent à les ordonner. Mais nous ne songeons pas à nous en plaindre, puisque le but présent de la guerre semble toujours être l'affaiblissement progressif de la puissance militaire de l'ennemi et que sous ce rapport, Verdun constitue une admirable " machine à tuer les Allemands A l'est de la Meuse et en Woevre il n'y a eu mardi que quelques salves d'artillerie.Par contre le bois d'Avocourt, la cote 304 et le Mort Homme continuent à être bombardés avec une certaine animation. Le duel d'artillerie se poursuit en Ar-gonne. Une tentative d'attaque par surprise d'un petit poste français sur la crête de Mesnil (Champagne) fut repoussée à coups de grenades. Sur le front britannique, les fusiliers du Lancashire ont remporté un joli petit sucés local à la crête de Vimy. A la suite de l'explosion de plusieurs mines ils occupèrent la première ligne ennemie sur une longueur d'environ 250 mètres et infligèrent des pertes considérables à l'adversaire. Des raids de tranchées ont eu lieu de part et d'autre sur plusieurs points. En Caucasie, l'attaque turque contre le centre russe entre Erzinjan et Erze-roum est définitivement arrêtée. Par contre, les Russes avancent toujours de Re-wan dans la direction de Mosul. Le gouvernement allemand, qui s'est décidé à reconnaître le torpillage du Sus-sex parce qu'il avait peur des Etats-Unis, persiste à nier le torpillage du Tubantia parce qu'il n'a pas peur de la Hollande. L'explication qu'elle donne est celle-ci : la torpille qui a coulé le Tubantia est bien une torpille allemande, mais c'est une torpille qui avait manqué son but lors d'un torpillage précédent et qui était restée flottante sur l'eau. Cette explication constitue en réalité un aveu des plus graves. Une des conventions de La Haye stipule en, effet que les torpilles doivent être construites de manière à couler lorsqu'on les a lancées, si elles ne touchent pas le but. Les torpilles allemandes au contraire, on le sait par ailleurs, sont organisées de façon à flotter et à se transformer en mines dérivantes. Si l'explication allemande est sincère, l'Allemagne reconnaît donc qu'elle viole la convention de La Haye. Mais il est encore bien plus probable que la torpille a été lancée tout exprès, contre le Tubantia, par un bâtiment de guerre allemand. Taisez-vous, méfiez-vous ! Le général Alexéieff, chef de l'état major du tsar, vient de rendre un ordr attirant l'attention de l'armée sur 1 danger des conversations imprudentes Les mesures prises contre le bavardage si nuisible au secret militaire, n'ont pa donné, jusqu'ici, dit cet ordre, de résul tats décisifs. De nombreux rapports prove nant de divers côtés, montrent que des mi litaires n'observant pas, dans leurs con versations, la prudence et la retenue néces saires, particulièrement dans les lieux pu blics. On transmet de même aux famille beaucoup de renseignements qui se répan dent ensuite très rapidement. On a consta té que ces bavardages deviennent toujour plus fréquents et d'un sans-gêne qui consti tue un danger contre lequel il importe d prendre des mesures radicales. Le tsar ordonne aux officiers de tou grades d'attirer l'attention de leurs sub ordonnés sur ce point, en faisant appe à leur patriotisme. Les coupables seron sévèrement punis; on donnera aux affai res de bavardage la plus grande publi cité. Ce n'est pas seulement en Russie qu< de telles mesures devraient être prises Le même danger existe à Paris et ; Londres et nous avons pour notre par été souvent très étonnés de l'impruden ce avec laquelle des officiers parlaien à haute voix dans les cafés des. chose; de la guerre alors que des oreilles en nemies, et il n'en manque pas, auraien pu tirer profit de ce qu'ils disaient. Absences commentées Le correspondant amstelodamois di Morning Post mande qu'on a comment* en Hollande l'absence des ambassadeur britannique, français, russe et italien ; La Haye, à la réception donnée diman che dernier chez le premier ministre hol 1 indais (M. Cost van Linden),à l'occasioi de son soixante-dixième anniversairè. Les ministres d'Allemagne et d'Autri che-Hongiie étaient venus présenter àcett occasion leurs congratulations au premie ministre. Il n'est pas question du ministre d' Belgique à La Haye, l'éminent baroi Fallon, lequel, comme on sait, est parti culièrement bien en cour. Le docteur Depage cité à l'ordre du joui Le docteur Depage, l'éminent professeu belge qui occupe dans l'armée le rang d médecin principal de ire classe et dirig l'ambulance modèle " l'Océan " sur le fron vient d'être cité à l'ordre du jour de l'ar mée et décoré de la croix de guerre dan les termes suivants : Chirurgien et organisateur de tout premie ordre. A, depuis le début de la campagne rendu des services éminents à l'armée et ai pays. Depuis seize mois dirige avec un autorité et une science reconnues une am bulance de grande chirurgie au front. Fu grièvement blessé au cours d'une opératioi pratiquée sur un blessé de guerre. L'armée entière applaudira à la belle dis tinction accordée au grand praticien. Le docteur Depage est chef de cliniqu à Bruxelles et professeur à l'Universiti libre ; il présida le dernier congrès de chi rurgie qui se tint en Amérique il y a troi: ans. Une belle action M. Pierre Mille, le pétillant chroniqueur parisien, racontait dernièremeni cette charmante anecdote : Un vieux garçon aisé, sans charges de famille, venait d'acheter un magnifique exemplaire des Essais, de Montaigne, éditior de Mlle de Gournay, 1595. Comme on re prochait doucement au bibliophile une pareille dépense en temps de guerre : " Ne me jugez pas trop sévèrement avant de m'avoii entendu répondit l'amateur de vieux livres "Je suis célibataire. Eh bien ! je travaille sans en avoir l'air, à reconstituer la Bibliothèque de Louvain, que les Boches ont brûlée Je lui laisse par testament mes livres les plus précieux." Les Neutres Certains journaux étrangers ont annoncé que le mois prochain se réunirait à Berne une conférence des Etats neutres, représentés par leur ministre des affaires étrangères. On ajoutait que le Danemark, la Suède, la Norvège et la Hollande avaient déjà promis leur concours à ce congrès, qui serait présidé par le président de la Confédération suisse, M. Decoppet. Cette nouvelle, dit un communiqué suisse officieux, est hautement fantaisiste et l'autorité fédérale n'a eu connaissance que par les journaux du rôle qu'on lui prêtait. La faillite de l'épée ; Herr Maximilien Harden, le public is-; te allemand bien connu, n'est pas content de la réponse allemande à la note du président Wilson, et il dépose dans la Zukunft ^ une série de propos aigres-doux contre son gouvernement. Puisque l'épée, dit-il, n'a pas réussi à remplir les promesses qu'on a faites au peuple allemand, il est temps que le cerveau ait la place dans la direction des affaires du pays. L'Allemagne doit choisir entre ® Bonaparte et Bismarck. Si l'Allemagne ~ veut triompher, cpntinue-t-il, de façon s à causer des malheurs à la génération future, elle doit renoncer à la communion s avec le restant de l'humanité, doit menacer de l'épée nue tout regard désobligeant 5 et doit poursuivre sa guerre jusqu'à ce qu'à gauche et à droite tout soit annexé 1 ou évacué. Si cependant l'Allemagne est t disposée à retourner à la " raison majestueuse " elle doit vite se débarrasser de sa fausse idéologie en reconnaissant que les armes et les munitions peuvent mettre ; fin à la guerre, ou mieux, par un armistice. Plus loin, Herr Harden regrette que 1 les politiciens allemands, qui sont le cer-t veau de la nation, ne se soient pas rendu compte plus tôt qu'une politique de des-t truction impitoyable de tous les navires, 5 neutres et autres, qui s'approchent de - la côte anglaise, devait mettre bientôt t tout le nouveau et l'ancien monde contre l'Allemagne et ses deux ou trois complices. Les plaintes de l'Allemagne aux Etats-Unis au sujet des tortures de la famine , imposées à des millions de femmes et ; enfants allemands sont particulièrement 5 malheureuses, dit-il. Il rappelle alors l que déjà en 1893, Caprivi avait exigé la construction de grands croiseurs pour em-. pêcher la fermeture des routes de la mer ; ! il rappelle aussi que le danger de famine en temps de guerre a été fréquemment invoqué depuis, pour justifier les augmenta-3 tions dans la flotte, mais, ajoùte-t-il, le r peuple n'a jamais su que ce danger n'arriverait qu'en cas où les lois internatio-5 nales auraient été violées. ! Le'président Wilson pourrait très jus-. tement répondre à l'objection que les Etats-Unis ne font rien pour frustrer le blocus anglais, en disant qu'il a entendu des centaines de fois, de la part des fonctionnaires allemands, que le blocus était inévitablement Voué à la faillite. Et il conclut par ces mots : Si ces dé-l clarations faites avec la pleine appro-t bation de l'Allemagne sont vraies, l'Allemagne n'a pas besoin de l'intervention s de Wilson ; si elles ne sont pas vraies, il n'était certes pas sage de faire voir aux r Américains combien il était important > pour nous d'être en bons termes avec leur ' gouvernement et leurs hommes d'affaires. |. L'arbitrage Le Times annonce que la Commission internationale d'enquête et d'arbitrage 5 pour le règlement de différends qui pour-5 raient s'élever entre les Etats-Unis et la France, prévue par le traité franco-amé-s ricain du 15 septembre 1914, sera composée comme suit : M. Jonkheer London, ministre hollandais des affaires étrangères. M. Carton de Wiart, ministre belge de la justice. M. Louis Renault, ministre plénipto tentiaire français et membre de l'Institu.- M. Olney, ancien secrétaire d'Etat : américain. M. Naon, ambassadeur argentin à Washington. Un journal catholiqne germanophile interdit Berne, 16 mai.— L'évêque catholique de Bellinzona, dans la Suisse méridionale, ayant interdit le journal catholique conservateur suisse La Svizzera et ayant défendu aux catholiques de le lire, le journal a cessé de paraître. Les propriétaires annoncent qu'ils publieront en remplacement un nouveau journa intitulé La Cronica Ticinese.— Correspondant spécial Wireless Press. Note. —La Svizzera était un journal furieusement germanophile. Il était sub-sidié par les Allemands pour calomnier les catholiques français. D'après une dépêche de Genève à l'Exchange l'action de l'évêque de Bellinzona a été approuvée par le pape. La situation à Verdun Une opinion hongroise M. Tibor Bakos, le plus éminent des critiques militaires hongrois, vient de publier dans le Pesti Naplo un article qui mérite d etre souligné. Il déclare en effet que la bataille autour de Verdun est pratiquement terminée e.t que l'opinion de la presse de l'Entente, confirmée par certains milieux hongrois, d'après laquelle la bataille s'est terminée par le victoire des Alliés, se trouve justifiée par les faits. Les résultats obtenus par les Allemands dans l'offensive contre Verdun, continue M. T. Bakos, se résument dans le fait qu'ils ont réussi à attirer l'ensemble des réserves françaises dans un secteur de 50 milles (80 kilomètres) de long, à affaiblir la force des Français ont pris l'offensive à Verdun, on que chose comme quarante mille hommes et à forcer les Anglais à reprendre une grande partie de la ligne française. D'autre part les attaques allemandes ont subi un arrêt de trois semaines et considérant que les Français ont pris l'offensive à Verdun on peut dire, en toute sécurité, que la situation s'est^ modifiée. Dans ces conditions on râ des raisons bien fondées pour suppose!" que la bataille s'est terminée par une vîc— toiie française, puisque, comme nous voyons, les Allemands ne peuvent plus continuer leurs attaques, tandis que les' Français attaquent journellement. Ces attaques-' f°ntA?in Séfréral futiles et ne signifient que les Allemands ont cru devoir crier: halte' mais non pas qu'ils ont abandonné l'espoir de faire une brèche dans la ligne de l'ouest. „ /,/, ,cessatl°". des opérations allemandes a été due au fait qu'en vue de la résistance française et de l'aide britannique il n'est pas probable qu'un front de 50 milles puisse être percé. Une brèche n'est pas possible, non seulement parce que les Français tiennent une série de tranchées et de fortifications trop formidable à briser pour n'importe quelle armée, mais aussi parce qu'ils ont à leur disposition un mur solide de soldats anglais et français. Cela conduisit 1 état-major général allemand à abandonner 1 offensive à Verdun et à se préparer pour une offensive plus grande sur une autre partie du front, offensive organisée en conformité avec les leçons de Verdun. Tout cela ne souffre aucun doute : la seule chose que nous ne sachions pas,, c'est si l'offensive va se faire sur tout le front ou à certaines sections du front de l'ouest. Nous aurons probablement la réponse à cette question ce mois-ci et nous sommes certains que l'offensive sera faite avec une telle détermination que les réserves françaises et anglaises ne suffiront pas pour l'arrêter. Cette dernière phrase est évidemment destinée au censeur; elle signifie qu'il est permis de dire que l'affaire de Verdun est une défaite allemande à condition qu on ajoute qu'une offensive remettra tout au point ! Les soldats de 17 ans en Prusse Le Telegraaf reçoit, de la frontière, la nouvelle que les jeunes gens ayant atteint, au mois d avril dernier, l'âge de 17 ans ont été incorporés en Prusse. ' L®. Temps apprend de source autorisée que le lieutenant Steinbrett, commandant le • ,,qui, a torP'"é le Susse:c vient de recevoir 1 ordre Pour le Mérite. C'est ce que les Allemands appellent une punition. HÔTEL DES ALLIÉS BUCKINGHAM HOTEL CHARING CROSS STRAND, 40, W.C» Entree: Buckingham Street, 28. CONFORT CONTINENTAL. CUISINE BELGE DE 1er ORDRE. THE. CONCERTS TOUS LES JOURS. Chambre, Bain, Service, Eclairage, 1er déjeuner—depuis 4 sh. Pension complète—depuis 2 guinées par semaine. Réduction pour familles ou séjour prolongé.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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