La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 11 Janvrier. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 02 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/x34mk66d74/
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LA MÉTROPOLE ONE PENNY IHOHT : CINQ CERTIME» HOLLANDE : VIJF CENT COXTIHEHT : DIX CENTIME» PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENTS : 1 mois, S sh. ; 3 mois, 9 ah. Etranger : 1 mois, 4 sh. ; 3 mois, 18 iLl | Buvez le THÉ ira f Si vous désirez le meilleur thé adressez-vous à te firme qui le plante. LIPTON LTD Agences et filiales dam tout le Royaume-Uni. 24ME ANNEE JEUDI 11 JANVIER 1917 No. 11 La GRANDE GUERRE ■ Préparatifs russes autour de Riga LA SITUATION DU ROI CONSTANTIN Nouvelle crise ministérielle en Russie | Le général Russky qui dirige les opérations russes dans la région de Riga ;ontinue avec succès le mouvement offensif qu'il a entamé, voici quelques jours dans la direction de Mitau. Le terrain glacé que nos alliés ont capturé a 'ouest de Riga a été maintenu malgré les attaques désespérées de l'ennemi; Je même dans la région de la Dwina îos alliés peuvent se vanter d'un sérieux iuccès. Dans ce dernier secteur une île :apturée jeudi dernier, par l'ennemi, a ité reprise au cours d'une attaque dont 'impétuosité rejeta les Allemands de eur position avant qu'ils n'aient eu le emps de faire fonctionner l'artillerie. La ville de Mitau, objectif primaire de l'offensive russe était, avant la guer-e, une petite ville de la province de la Baltique, dont la population s'élevait à :nviron quarante mille habitants, et qui î longtemps servi aux Allemands cornue base avancée dans les s opérations contre Riga. Actuellement la ville est complètement en ruines et sa population a été emmenée en esclavage par les Allemands. Néanmoins Mitau est restée un centre stratégique important à cause de sa situation sur la rivière Aa, qui est navigable et du fait qu'elle est le nœud d'une demi-douzaine de voies ferrées et de routes qui s'éparpillent dans toutes les directions du compas. Au cours de ces derniers jours les Allemands ont fait une attaque dans la direction de Riga, profitant des fortes gelées qui avaient rendu les marais du Tirai, moins impraticables que d'habitude. Depuis deux ans on avait promis aux .troupes allemandes qui se trouvaient dans ce secteur un quartier d'hiver confortable et d'abondantes provisions à la seule condition que Riga fût capturéç; on leur avait en conséquence laissé des équipements usés et peu de provisions. On peut en conclure ou bien que l'effort allemand est une dernière tentative désespérée, ou bien que des renforts sont arrivés. Dans tous les cas l'opération qui, il y a quelques jours, semblait devoir dégénérer une nouvelle fois en des combats d'artillerie et d'avant-postes se développe en ce qui pourrait bien devenir un mouvement très important. Les Russes 'ont répliqué vivement à l'attaque allemande et avançant le long de la rive de 'Aa on capturé, après de rudes com-tats, la triple ligne défensive eiyiemie. ■Le mouvement continue et à l'heure actuelle les Russes ne doivent plus se trou-qu'à une quinzaine de kilomètres de Mitau. Que ce mouvement s'étendra encore il n'en faut pas douter car la saison est favorable ; une fois le printemps arrive toute opération deviendra imposable dans ces régions. Il est donc fort probable que les Russes, très bien équipes pour une campagne d'hiver, ne s arrêteront pas de sitôt. Les positions que les Russes ont 'cap-Jurées entre l'extrémité occidentale du ■ Babi et le village de Kalnzem, au "ord-ouest de Mitau, écrit un correspondant du Morning Post, étaient solidement fortifiées en gradins tout le long pce qui semble être une relique d'une Wte titanesque des anciens temps. C'est J1 apparemment un " vallum " artificiel ?e lignes parfaitement droites élevées a,une hauteur considérable au-dessus du ""'eau du pays boisé environnant, en-'erement plat. La face nord court, à peu e chose près, le long du parallèle de stitude et aboutit au marais de Tirul * le flanc droit, à quelques centaines 'e mètres de l'endroit d'oii part la face ^'dentale à un angle de 130 degrés ll!ec le côté nord, et à peu près paral-ele au fleuve sur une distance de plus etrois kilomètres, encore une fois à un We de 130 degrés. Toute cette curieuse relique de l'an-'iwté est large d'environ 150 mètres % sa longueur totale de huit kilomè-reç Quel que puisse avoir été le but de ce curieux phénomène, soit de constituer un barrage pour les marais de Tirul soit d'en faire un camp préhistorique, les Allemands s'en sont emparés et en ont fait une base pour des fortifications modernes. Leur confiance a même été si grande que tout près, derrière, ils ont placé une batterie lourde. C'est cette position que les Russes ont prise d'assaut sans oublier la batterie lourde. Du front roumain il n'y a que peu de nouvelles; suivant les communiqués de Rétrograde et de Berlin il semble qu'à la suite de la capture de Focsani par l'ennemi les troupes russo-roumaines qui ont pris part à cette bataille se sont établies sur de nouvelles positions le long des lignes de la Putna et de la Sereth. Berlin admet que les Alliés ont défendu avec ténacité les vallées conduisant de la crête de Vrancea jusqu'à la plaine de Moldavie, mais ils sont rejetés " pas à pas "; mais les Allemands prétendent en même temps avoir pris d'assaut et maintenu malgré de fortes contre-attaques les positions solidement défendues des deux côtés des vallées de Casinu et de Susita. A la suite de la nouvelle note des Alliés, la Grèce se trouve complètement en suspens, surtout depuis que le gouvernement grec a été informé de ce qu'il ne devait s'attendre à aucune modification des demandes. Celles-ci, comme on sait, se résument comme suit : réparation pour les outrages commis à Athènes le 1er et le 2 décembre; salut par la garnison d'Athènes des drapeaux des Alliés; libération des venizelistes et transfert du contrôle de la poste et des télégraphes à l'Entente. D'après certaines déclarations d'un diplomate bulgare au journal bulgare Mir, la Grèce aurait décidé d'adopter l'attitude défensive contre l'Entente et se prépare sérieusement à entrer en campagne.D'autre part le roi ne pourrait se résoudre à rompre avec les Alliés parce que les Allemands étant encore loin, une guerre avec les Alliés signifierait pour lui la perte de son trône et pour la Grèce la perte d'Athènes et du Pirée. Une simple rupture" des relations diplomatiques, qui lui donnerait l'occasion d'effectuer des mouvements ou une concentration de troupes n'est pas à envisager parce qu'une telle politique constituerait un acte hostile à l'égard des Alliés. En outre un arrêt dans le transfert des troupes du Péloponnèse comme l'exige la note des Alliés, serait encore une fois un acte hostile. On voit donc que Constantin se trouve devant une situation extrêmement épineuse dont il lui sera bien difficile de s'extriquer étant donné le peu de temps qu'on lui laisse. De plus la question du charbon et des vivres résultant du blocus devient très aiguë et l'on croit que les provisions pour la population civile n'iront pas au-delà de la fin du mois de février. Une nouvelle crise ministérielle s'est fait jour en Russie; M. Trépoff, qui a succédé comme chef de cabinet à M. Stuermer, a donné sa démission et vient d'être remplacé par le prince Galatzine, sénateur et membre du conseil de l'Empire.Toujours l'annexion de la Belgique Amsterdam, 7 janvier. — L'avenir de la Belgique continue à occuper beaucoup de place dans la presse allemande ce qui, en présence du congé du général von Bissing, amorce peut-être quelque annonce des intentions allemandes. M. von Bethmann-Hollweg a reçu une pétition de Francfort prétendant que la Belgique appartient, à l'Allemagne et il y a d'autres indications qui provoquent des suspicions. — Times Justice ! Les coupables seront déférés à la justice, dit la Chambre des Lords. Le sénat de Belgique a reçu de Lord Finlay, lord chancelier, qui préside la Chambre des Lords, l'adresse suivante en réponse à la lettre de protestation contre les déportations en Belgique, envoyée au nom des deux Chambres belges à tous le.. Parlements des pays alliés et neutres : Chambre des Lords. Le 2 janvier 1917. Monsieur le vice-président, J'ai l'honneur de vous faire savoir que j'ai reçu, en ma qualité de lord-chancelier, la lettre du 7 décembre dernier, signée par vous et par M. le Président de la Chapibre des Représentants et adressée au président de la Chambre des Lords. J'ai lu avec une émotion et une sympathie profonde votre lettre et le document y annexé, exposant l'appel des ouvriers de Belgique à leurs camarades des autres pays du mondé civilisé. Le traitement infligé par l'Allemagne à la Belgique comprend tous les crimes qui puissent être commis par une nation à une autre nation. La déportation en masse des populations belges, emmenées pour travailler en esclaves sous les ordres d'oppresseurs allemands, constitue une infamie qui sera considérée avec indignation dans tous les pays du monde où la liberté et la civilisation sont en honneur. Comme vous le savez, les gouvernements alliés font tous leurs efforts pour assurer par la foçce des armes la réparation des maux dont la Belgique a souffert et pour déférer à la justice ceux qui se sont rendus coupables de pareils outrages à la civilisation et à l'humanité. J'espère et je crois fermement que l'appel lancé maintenant par les ouvriers de Belgique provoquera de la part de toutes les nations du globe une réponse sympathique et effective.J'ai l'honneur d'être, Monsieur le Président, votre très humble serviteur, Finlay. Nous ferons remarquer, non sans une légitime satisfaction, que la Métropole a préconisé, il y a quelques jour;-, de déférer à un conseil de guerre international tous les Allemands dont on connaît les noms et qui se sont rendus coupables de crimes en Belgique et ailleurs. Le Pape et les prisonniers Rome, 9 janvier— Le Messagero annonce que le Pape a eu à protester par deux fois aux persécutions par les autorités allemandes de prisonniers français et britanniques. En l'espace de quelques semaines, le Pape écrivit deux lettres à l'évêque de Paderborn, lui demandant d'assurer qu'un traitement moins barbare leur soit accordé, mais jusqu'à présent les tentatives de Sa Sainteté ont échoué.— Daily Tele-graph.Pas d'indemnités à la Belgique Amsterdam, 9 janvier.— Lar Gazette de Foss est autorisée de démentir que le comte Bernstorff ait jamais dit que l'Allemagne paierait une indemnité à la Belgique.Le journal ajoute, apparemment sur bonne autorité, que Bernstorff a reçu pour instructions de dire au président Wilson que, dans le cas où la Belgique serait évacuée, l'Allemagne ne paierait en aucun cas les moindres dommages-intérêts pour l'invasion de la Belgique.— Exchange. Les horreurs de Gruben Un télégramme du Hâvre annonce que d'après des informations récentes envoyées par des témoins oculaires 11.000 Belges, tous civils déportés, sont internés au camp de concentration de Gruben (Allemagne) ; une barrière de barbelés les sépare des prisonniers militaires et ceux-ci sont incapables de leur donner aucun secours. Les déportés sont très mal nourris. Les Allemands lëur défendent de faire du feu dans leurs baraques. Tandis que les prisonniers militaires sont visités par des docteurs appartenant aux nations alliées, les déportés sont soignés (?) exclusivement par des docteurs allemands. Malgré leurs souffrances, le moral des déportés reste admirable et, sauf quelques rares exceptions, ils continuent à refuser obstinément de travailler pour l'ennemi. Chaque fois que les Allemands en ont forcé quelques-uns au travail, ils se voient obligés, à cause de l'inébranlable refus des victimes, de les ramener au camp. Ces derniers sont soumis alors à de nouvelles persécutions dans le but de les forcer à se soumettre aux exigences de leurs bourreaux Les socialistes belges et la Paix LA SECONDE CONFERENCE DE LONDRES Le Bureau de Documentation et de propagande de Londres aous communique le texte des résolutions destinées à inspirer les deux délégués socialistes belges, MM. Emile Vandervelde et Louis de Brouckère, à la Conférence socialiste des Alliés, qui se tiendra à Londres, le mois prochain, " résolutions approuvées à l'unanimité par les militants qui ont pû être consultés, arrêtées au lendemain du 12 décembre, avec le désir de les voir publier sans retard." D'après les journaux anglais (voir le Times d'hier) les déclarations qu'on va lire sont le texte d'une " résolution votée à Bruxelles par le Parti Ouvrier belge, qui vaut d'être envoyée à M. Emile Vandervelde, ministre d'Etat belge au Havre". Voici ce document, avec nos italiques : I. — L'INTERNATIONALE Le parti ouvrier belge maintient son opinion, exprimée le 20 février 1915 à La Haye devant le Bureau exécutif de l'Internationale. Il est hostile à une rencontre actuelle avec les démocrates-socialistes des Puissances centrales. Ses militants ne peuvent parler librement; son congrès ne peut délibérer; l'état général des choses empêche de rassembler librement et objectivement les faits et la documentation nécessaires. Préalablement à toute tentative de rapprochement, il estime que la France et la Belgique devraient être évacuées. Il entend, au surplus, ne se rencontrer avec des démocrates socialistes allemands que pour leur demander compte de leur attitude : 1. Le 4 août 1914, au regard de l'ultimatum du 2 août et de la violation de le neutralité belge. 2. Au regard des atrocités commises en Belgique contre la population civile sans défense. Il réserve en outre formellement son jugement de leur attitude générale au regard des diverses déclarations de guerre de l'Autriche-Hongrie et de l'Allemagne qui déchaînèrent la catastrophe, ainsi que les conclusions à en tirer quant à la composition, la forme et l'action future de l'Internationale. II. — L'ACTION ACTUELLE EN FAVEUR DE LA PAIX. Le parti ouvrier belge considère les déclarations équivoques du Chancelier allemand comme une manœuvre destinée à préparer une paix précaire, favorable aux Puissances centrales; il pense donc que des délibérations socialistes internationales en faveur de la paix seraient actuellement vaines et dangereuses; si les conclusions générales, théoriques et pratiques, même unanimes, pouvaient en sortir, le parti ouvrier belge n'aurait nulle confiance dans la façon dont elles seraient observées par la démocratie socialiste allemande; une partie de celle-ci fût-elle bien intentionnée ou revenue à de meilleurs sentiments, il serait dangereux d'abuser les travailleurs des pays alliées avec des déclarations vides d'effet. La méfiance du parti ouvrier belge se justifie d'autant plus qu'en ce moment même s'active en Belgique la déportation en masse des ouvriers, chômeurs ou non, condamnés par centaines de mille et sans jugement aux travaux forcés en faveur de l'ennemi, sans que la majorité du parti et des syndicats allemands trouve autre chose à dire aux oppresseurs qu'elle sert que de vagues et timides paroles de pitié pour ses " frères? " réduits au plus odieux des esclavages. Le parti ouvrier belge remercie les socialistes des pays neutres qui, à Copenhague (1914) et à La Haye (1916), ont proclamé le droit de la Belgique, mais il récuse l'impartialité et la sincérité de ceux d'entre eux qui n'ont pas hésité à venir en Belgique s'informer de la situation générale, sous l'égide de l'occupant, sans éprouver l'irrésistible besoin de saluer et de consulter leurs camarades dans la détresse, agissant ainsi avec le dessein évident de tromper l'opinion internationale. III. — LA PAIX FUTURE Le parti ouvrier belge se réjouit de voir les socialistes des pays alliés se réunir à nouveau, pour préciser leur position dans ce conflit. Il espère ardemment que les délégués seront unanimes à rechercher et à approuver les mesures susceptibles de mener à bien cette guerre défensive qui ne peut et ne doit finir que par la défaite des agresseurs. Il pense que, politiquement, une paix durable ne sera assurée à l'Europe que par la réalisation des aspirations nationales légitimes des peuples conquis ou opprimés, mais il se déclare résolument hostile, à toute annexion qui, sous ce prétexte, serait contraire à la volonté " librement " exprimée des populations. Le parti ouvrier belge appuie de toutes ses forces toute action qui aura pour but : a) D'établir l'arbitrage obligatoire, avec la sanction nécessaire, notamment le boycot commercial et financier et, au besoin, le recours à la force-, b) De préparer le désarmement général.LE LIBRE ECHANGE ET L'APRES-GUERRE Le parti ouvrier belge reste fidèle aux principes de l'Internationale, favorable au libre-échange, à l'autonomie des colonies et à l'extension du régime de la porte ouverte dans les pays neufs. Toutefois, en se déclarant adversaire d'une guerre économique succédant au conflit armé, il se refuse à jouer un jeu de dupes-, en réclamant sans délai l'abaissement des barrières douanières qui rendent le sort des travailleurs plus pénibles par la cherté artificielle de la vie, il croit qu'il faut cependant prendre des précautions contre la concurrence déloyale et ne revenir à un régime de libre concurrence plus large que, après que les pays ravagés, privés de leurs machines de leur rSjatières premières, de leurs voies de communication et de leur main d'œuvre, auront été rétablis dans leur état normal. Dans ce sens, le parti ouvrier belge est convaincu que les pays alliés aideront au relèvement des petites nations et en particulier de la Belgique, en leur facilitant immédiatement l'accès de marchés nouveaux. DANS LE DOMAINE SOCIAL Le parti ouvrier belge propose que l'action socialiste, en vue de la paix, ne s'exerce pas seulement dans le domaine politique et économique mais aussi dans le domaine social, il déclare une législation internationale systématique, sanctionnant la liberté syndicale, protégeant les travailleurs, les enfants, les femmes et les adultes, réglant la durée du travail et assurant l'extension et la réciprocité des lois d'assurance. Il propose également de fixer au plus tôt les principes financiers généraux capables de conduire à la réduction rapide des dettes écrasantes contractées par les divers pays et d'éviter que la charge n'en retombe surtout sur les travailleurs; il croit qu'outre les impôts directs et progressifs sur les héritages, sur la fortune, sur les revenus et sur les bénéfices de guerre, il faudra envisager hardiment l'extension considérable de l'exploitation par et pour la collectivité des grands services publics, chemins de fer, tramways, éclairage, etc., ainsi que des assurances et des richesses naturelles, les mines de houille et les sources d'énergie électrique. Le nouvel éveque de Gand V Une dépêche de Rome arrivée au Havre vendredi annonce que le pape a nommé svêque de Gand, en remplacement de feu Mgr Stillemans, le chanoine F.mile Seghers, :uré de Saint-Jean-Baptiste à Gand. Le nouvel évêque est âgé de 55 ans. Fils l'un avocat gantois qui fut conseiller provincial, il fit ses études au Collège Sainte-Barbe et à l'Université de Louvain où il Donquis brillamment ses grades en théologie. Depuis vingt-cinq ans, il administre une des paroisses les plus populeuses de Gand avec un zèle et un tact qui lui ont conquis avec l'affection de ses paroissiens et l'estime de tous ses concitoyens une grande autorité parmi les membres du clergé diocésain Tous ceux qui connaissent Gand et qui connaissent le nouvel évêque sont assurés que sa nomination sera accueillie là-bas avec une satisfaction unanime.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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