La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 29 Novembre. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 23 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/3b5w66b13s/
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LA MÉTROPOLE PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES ONEiPENNY | ffiOITT: CINQ CEMT1BB» ■ iouaude: vijf ceht ■ «lUTIHEirr : DIX CEIVTIMII rt A ui A "NPW li1 ii! Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holbora 212. ABONNEMENTS 1 mois 3 sh. ; 3 mois, 9 sta. 24m« ANNEE JEUDI 29 NOVEMBRE 1917 No. 333 LA GRANDE GUERRE I Le saillant de Fontaine-Boulon Appréhensions en Hollande Crise ministérielle au Portugal I Dans l'alternative que l'armée britan-H.,que a laissée à l'ennemi devant Bour Hon soit d'abandonner au prix de granits pertes en vies humaines, soit d'à-■tandonner ce secteur, l'ennemi à préfé-lit attaquer. Quel avantage l'ennemi a- ■ pU voir dans cette alternative? I On sait que nos allis n'ont pu se main-■tenir dans le village de Fontaine-Notre-BDame, où leur ligne de bataille dessinait ■ saillant très aigu et qui,_ en outre, ■était oris à revers par la posision enne-■ne du bois de Bourlon, dominante. Unt ■note du correspondant de l'Agence Reu- ■ - dit que ce point de Fontaine-Notre-■Dame constitue un saillant excellent qu lut pourra être tenu que lorau'une avan-■e générale aura été réalisée des deu> ■entés, c'est-à-dire lorsqu'il aura cessc ■d'être un saillant. Un sailant n'est ja ■mais excellent, dit le général Berthaut ■l'est toujours mauvais, précisément parla qu'il est battu dans plusieurs, direc lions, comme le fait remarquer la note ■L'ennemi contre-attaque en s'en prenan lau saillant, qui est le point le plus fai ■lie et c'est précisément à quoi l'on de lait s'attendre. Il attaque sur un fron I 7 kilomètres, depuis Mœuvres jus ■qu'à Fontaine-Notre-Dame, en passan ■par le bois de Bourlon. Il a amené le Ides renforts en toute hâte, dont deux di lisions, dit-on, prises l'une à Laon e l'autre à Gand, ses réserves locales dan: |des secteurs plus ou moins voisins. I Les Anglais ne prouvaient pas n'avoi ■point prévu ce Qui arrive, car c'étai d'avance de toute évidence. Aussi est-i J croire qu'ils avaient disposé des trou pe< en conséquence, puisque les note: des correspondants sont d'accord pou déclarer qu'après la première contre-of fensive allemande, ce sont maintenant le: Anglais qui attaquent. Ils ont pris An neux-Chapelle, entre Anneux et le boi de Bourlon, sur la route de Bapaume Cambrai, sont revenus à la lisière sud di Mœuvres et même à 1-500 mètres au sut d'Inchy, menaçant Mœuvres dans deu: directions. Au cours de l'après-midi de mardi l'ennemi lança une forte contre-attaqu' contre la position de nos alliés sur l'é peron à l'ouest de Mœuvres, mais il fu repoussé par l'artillerie. Sur le front français, il n'y a eu qu> des rencontres de patrouilles, des recon naissances et des raids suivis de destruc tion d'abris. Sur le front italien, apr£s un furieu: bombardement de la position italienn sur le Col délia Berretta, à l'est de la val tée de la Brenta, l'ennemi lança à l'atta Que toute une division d'infanterie. Le défenseurs de la position menacés d'ê tre coupés de leurs communications pa 's feu de barrage, résistèrent héroïque 'lient jusqu'au moment où la célèbre bri gade d'Aoste, bravant le danger, s'élan Ça à leurs secours et parvint à refoule ''ennemi et ainsi sauver la position. Su le reste du front le calme règne. Un article publié récemment par 1 Nieuws van den Dag d'Amsterdam in dique que le malaise créé en Holland Par la menace allemande est loin d'êtr Passé. Ce journal, qui n'a guère ap Prouvé l'attitude du gouvernement hol landais dans la question du transit d sable et de gravier vers la Belgique, re "arque que le danger qui menace 1: Hollande vient non de l'ouest, mais d 'est, c'est-à-dire de l'Allemagne. "Oi a dit souvent, observe le journal, que 1: Hollande couvre, de façon splendide, 1; frontière occidentale de l'Allemagne. Ce 'a est vrai. Mais il ne faut qu'une pe bte modification pour que ce ne soit plu Vrai. Pour cette raison et en considé rant la diminution constante des expor 'ations vers l'Allemagne, un des intérêt: Principaux que l'Allemagne avait dan totre neutralité disparaîtrait." Cette "petite modification" est une al 'Usion à la possibilité résultant de l'avan ce constante des Français, Anglais e "figes en Flandres et l'arrivée prochai "e d'une grande armée américaine su la scène des Flandres au printemps prochain, que la pression des Alliés ne devienne irrésistible, de sorte qu'il y aurait une chance que Bruges, et peut-être Gand, et en conséquence Zeebrugge, dussent être abandonnées. "Contre son pire ennemi, la Grande-Bretagne, continue le même journal, l'Allemagne n'a qu'une arme formidable — ses sous-marins — puisque au point de vue stratégique les raids d'avions ne comptent pas. La perte de Zeebrugge réduirait considérablement l'usage de cette arme, si elle ne la rende pas impossible. Nous supposons que dans ce cas Berlin demande-trait poliment au gouvernement de La Haye l'autorisation de disposer de l'Escaut en vue de faire usage d'Anvers : comme nouvelle base pour les sous-ma-rins allemands. Comme en l'automne 1914 nous avons énergiquement maintenu contre l'Entete la clôture de l'Escaut à tous les buts militaires, une pareille demande devrait être refusée. Et puis, y a-t-il quelqu'un pour croire que l'Allemagne accepterait un refus et vendrait ses sous-marins pour de la vieille ferrail-: le?" En conclusion le journal rappelle un : article publié par la Gazette de Cologne 1 du 27 octobre dans lequel il était dit que depuis le début de la guerre l'armée hol-landaise avait augmenté de 300.000 hom-' mes bien entraînés, que la Hollande a 216 bataillons d'infanterie et que l'artillerie ainsi que les services sont bien équi-' pés- Mais il ne peut pas oublier, ajoute 1 le Nieuws que la Gazette de Cologne ne se lasse pas de répéter: "Et puis, nous 3 Allemands, en cas d'une attaque anglaise, nous serions naturellement prêts à donner un appui énergique aux Hollan-3 dais." Quant à cela, le journal hollandais, qui ne croit pas à un débarquement 3 anglais, observe que c'est précisément cet "appui" qui soulève les appréhensions. "L'exemple de la Belgique, en 1 1914, ne devrait jamais être oublié", ain-c si termine notre confrère hollandais. "Quant à notre attitude, en vue de pos-' sibilités pareilles, le plus grand danger 5 est celui qu'on ne voit pas." t Une crise ministérielle qui existe • au Portugal depuis les élections du 4 novembre n'est pas encore terminée et l'on n'attend pas de solution avant le 3 décembre, quand le parlement se réunira. Quelques soient les conséquences d'une . reconstruction ministérielle, elles seront exclusivement intérieures et la détermination du Portugal de continuer la lutte aux côtés des Alliés n'en sera pas influencée.o—o r Mgr Heylen à Rome Le correspondant de la Croix de Paris à r Rome télégraphie le 21 novembre : - Benoit XV, retint plus d'une heure ce matin Mgr Heylen. Il l'interrogea avec une paternelle sollicitude sur la condition ac-5 tuelle des populations belges dont il entendit, avec un intérêt ému, l'évêque de Namur lui ï exposer les privations et les souffrances, î Mgr Heylen entretint aucsi le Saint-Père de nos compatriotes des départements occupés qui furent évacués avec leurs » prêtres en son diocèse et dont le nombre dépassa 50.000. La majeure partie a été j depuis rapatriée en France libre. Le Souverain Pontife tint à exprimer à Mgr Heylen le désir de le revoir avant son départ. Mgr Heylen a rendu visite hier à Mgr i Tacci Forcelli, majordome de Sa Sainteté, 1 lui renouvelant sa gratitude pour son dévouement durant sa nonciature à Bruxelles.5 o—o L'affaire Margulies 5 Nice, 23 novembre.— Il n'est nullement question, pour le moment du moins, de déférer Margulies à la justice militaire. Me Georges Desbons a abandonné t la défense de son client à cause d'un vif différend qui est survenu il y a une douzaine de jours.— Havas. La Conférence interalliée de Paris La représentation dé la Belgique Aujourd'hui, jeudi, s'ouvre au Quai d'Orsay à Paris, sous la présidence de M. Clemenceau, la grande conférence interalliée qui doit s'occuper de la situation générale de la guerre et préparer une coordination plus étroite, non seulement des efforts militaires des Alliés, dont la réalisation sera confiée au Conseil suprême de Versailles, mais aussi l'unification des fronts intérieurs, spécialement au point de vue des vivres, du charbon et des moyens de transport. La Conférence s'occupera aussi des situations nouvelles créées par la désorganisation de la Russie et par le récent revers italien. Les pays suivants y resont représentés : France, Grande-Bretagne, Etats-Unis, Italie, Japon, Belgique, Serbie, Grèce, Monténégro, Portugal, Siam et Brésil. Les délégués de la Belgique seront : MM. le baron de BROQUEVILLE, ministre des Affaires étrangères; De GAIFFIER D'HESTROY, ministre de Belgique à Paris; Le général RUCQUOY, chef d'état-major général. La Conférence réunira des personnalités comme MM. Lloyd George, Balfour, Jellicoe, Pichon, Sonnino, le colonel House, le baron Matsui, Pachich, Veni-zelos, Costa et Magalhaes. La Russie sera représentée officieusement par MM. Sevastopoulo et Makla-kof.o—o Le roi Albert et l'armée britannique On ne connaît pas assez la part glorieuse qu'a prise la 7e division de l'armée britannique dans les débuts de la campagne en Belgique, quand l'avant-garde de la "old army", sous les ordres du maréchal French, vint au secours de l'armée belge, alors en grande partie en retraite. Tout dernièrement, "somewhere in Belgium", le roi Albert a tenu à rendre à la 7e division, ou du moins à ce qu'il en reste, l'hommage qu'elle ait justement mérité, en la passant en revue, au moment où les troupes revenaient des tranchées- Les musiques régimentaires belges et britaniques participèrent à la revue et jouaient les hymnes nationaux des deux pays. Pour consacrer la cérémonie, un lunch fut servi au quartier général en l'honneur du roi Albert. Sa Majesté parlant en anglais dit : "Ce fut un grand plaisir pour moi d'inspecter lav 7e division. Je désire vous exprimer toute ma sincère admiration pour la tenue militaire, de vos splen-dides troupes. La 7e division a des annales glorieuses dans toute la guerre. Nous ne pourrons jamais payer un tribut suffisant de respect et de gratitude aux officiers et aux hommes qui ont pris une oart aussi héroïque dans la défense d'Ypres en octobre et en novembre 1914. Je vous remercie cordialement pour votre chaleureuse réception ici. Je bois maintenant à votre santé, au bien-être de vos vaillants hommes, aux nouveaux succès d'une division qui représente si noblement l'esprit indomptable de la nation britannique. " Le général britannique, qui répondit, déclara, avec une profonde émotion, que toute l'armée britannique éprouvait de la sympathie et de l'admiration pour le roi des Belges; quant à la 7e division, son fier désir était de continuer à tenir le front dans la reconquête du pays du roi Albert. o—o Les Allemands perfectionnent les saz Une personne qui arrive d'Allemagne où elle occupe une situation en vue a déclaré en Suisse que les Allemands fabriquent de nouveaux gaz beaucoup plus puissants que ceux qu'ils ont employés jusque maintenant. Ils les ont déjà utilisés lors de leur offensive contre l'Italie et la fabrication en grandes quantités va commencer en vue d'une grande offensive au printemps prochain. Contre le séparatisme allemand La défense belge Une note des officieuses Informations belges (no. 522, 21 novembre 1917) dit: Un organe de 1"' activisme " flamingant, subventionné par les fonds allemands, se fait l'écho, dans son numéro du 11 novembre 1917, des protestations de ses coreligionnaires " activistes " de Louvain qui s'élèvent, en termes amers, contre la désertion des écoles officielles où l'usage de la langue flamande est devenu obligatoire et exclusif de tout autre. Pour se rendre compte de ce qui se passe et pour s'expliquer le geste des parents flamands qui s'opposent avec cette énergie aux manoeuvres allemandes du pseudo " Conseil des Flandres ", il faut connaître les procédés mis en \ œuvre par l'administration " activiste " en j matière d'enseignement. Dans toutes les vil- , les dites flamandes, des Commissions, compo- ^ sées de personnages payés par l'ennemi, ont . été chargées de classer les élèves des écoles officielles, d'après leur langue maternelle, en deux groupes : flamand et français. Pour opérer ce classement, les parents n'ont ] point été consultés et c'est à leur insu, à l'im- j. proviste el en dehors de leur présence que les ^ classificateurs ont opéré. Il est résulté de ce travail, conduit dans l'esprit que l'on devine, que des centaines de classes françaises ont été remplacées par des classes flamandes. Mais ces procédés ne sont point du goût de la population belge qui répugne à ces gestes d'autorité brutale. Après s'être donné le temp> de la réflexion, les parents re sont aperçus que les écoles libres, catholiques pour le plus gran 1 ■» nombre, échappent aux règlements draconien ^ inspirés par les serviteurs de l'Allemagne; ils " ont su que la langue française continuait à y être enseignée, et, depuis lors, dans des ci- l tés très flamandes telles que Louvain, les classes officielles se vident tandis que les écoles libres s'emplissent. Dans tout cela, au surplus, il ne faut voir aucune hostilité contre la iangue flamande parlée par les parents et les enfants, mais une protestation contre la vio-fence fiate au droit des citoyens et contre la tiahison des personnages achetés par l'enva- i hisseur. ( Ainsi qu'il fallait s'y attendre, la feuille ] " activiste " ré#clame de nouvelles mesures de < coercition. En attendant, les Belges, prati-tiquement, témoignent leur mépris aux délégués du fameux " Conseil des Flandres ". ; Nous laissons pour compte aux Informations belges leur appréciation des t motifs qui portent les parents flamands à enlever leurs enfants des écoles fla-mingantisées par les soins des activistes pro-boches. 1 Il est permis de croire que leur oppo- 1 sition ne s'adresse pas uniquement aux- 1 dits activistes et à leurs méthodes, mais aussi au programme d'enseignement uni-lingue qu'on prétend leur imposer . 0-0 ™Le Vatican et les revers italiens Rome, 27 novembre.— Le secrétaire d'Etat papal a publié aujourd'hui une déclaration officielle démentant que le Vatican ait jamais recommandé une paix injuste ou non-durable, ou qu'il soit responsable pour aucune déclaration qui < pourrait avoir miné le moral des troupes 1 italiennes et provoqué leur récente retraite.— Reuter. \ ' Note■—L'Unita Cattollica du 11 novembre a publié un article de M. Er- ! nesto Calligari, nommé rédacteur en ) 1 chef de ce .journal, après le revers ita- j < lien, à la demande du Pape et du cardinal-archevêque de Florence, et disant que "c'était le ferment des idées ultra- 1 montâmes subversives qui empoisonnait le cœur et pervertissait l'esprit de ces infortunés qui faillirent à leur devoir sacré".o—o Memento Luxburg à Buenos-Ayres La presse argentine se demande en vertu de quoi le comte Luxburg, expulsé de ce pays et qui doit s'embarquer prochainement pour l'Europe a été autorisé à rencontrer à Bue-nos-Avres, M. Donhoff, chargé d'affaires d'Al lemagne à Montévideo et le chargé d'affaires d'Alemagne à Buenos-Ayres. o—o Dernburg remplacerait von Payer Le vice-chancelier von Payer, ayant été nommé délégué de Prusse au Conseil fédéral, perd, par cette nomination, son siège au Reichstag. Le parti progressiste propose pour le remplacer la candidature de l'ancien ministre Dernburg. Le Noël des petits pauvres d'Anvers Physiologiquement, nos enfants se meurent de faim. Dr. SCHUYTEN. Chef du Service pédologique de la ville d Anvers. Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de parti ou de religion. DIXIEME LISTE Report . . £ 109.19 3 Fr 110 F D . .. x o L L. .. . . j o De W ! o Ed. G .. .. .. .. j 0 J B •• -• .. 10 J 6 I- 10 R • • • .. 10 Ad .. .. .. j o fn .. .. xo L- V x o G. .. .. .. .. 10 M R 10 F • • - - • . .. 10 z 10 F P 16 L D G .. .. .. 1 o N W x o M J 10 J W • ■ • • .. 16 AL 16 LL .. .. .. .. 20 J F 1 o ET 10 S Ch .. .. .. .. 10 J D L 2 o M D B 1 o A D C .. .. .. IO G L .. .. .. xo R D P x o G V .. .. .. x 0 J N x o A B .. .. .. 20 M 10 AD.. .. .. .. xo C. L. .. .. .. x o B. .. .. .. .. 10 A- B . ■ .. 10 A. S. .. .. .. x o G- • • 10 G. .. .. .. .. 10 G. B. .. .. .. .. x o J- 10 Anonyme .. .. . . 30 Total .. £ 112 9 3 Fr. 1x0 o—o Une révolte de Polonais dans un camp allemand Dans un camp de concentration,près de Kalish, les Allemands avaient interné :rois mille légionnaires polonais qui ivaient refusé de prêter serment. Par--ni ces légionnaires, en majorité partisans de Pilzudski, ont éclaté des confits.Une commission militaire allemande ut envoyée sur les lieux; le rapporteur fit, suivant le Tœglische Rundschau, que les rebelles étaient armés de pierres, d'outils et de morceaux de charbons avec esquels ils bombardèrent les membres de la commission. Un aumônier essaya de calmer les mutins qui lui arrachèrent ;es épaulettes. La commission ordonna de transférer dans un autre camp 500 ^artisans de Pilzudski. Suivant le même journal, les cas d'insubordination sont de plus en plus nom-Dreux dans l'armée polonaise et, à chaque instant, surgissent des conflits en-:re officiers et soldats. Les petites énonomies Les télégrammes de l'ex-reine Sophie à son rère Guillaume II (que l'on est en train de xaduire en ce moment à Athènes) et les réponses du frère sont amusantes à comparer. La sœur télégraphie, comme une ménagè--e économe, en supprimant les mots inutiles : ' Suis heureuse avoir eu vos nouvelles... Suis chagrinée ultimatum...", etc. Le frère, lui, ne supprime rien. Il aime les ahrases, Et puis il a une liste civile qui lui oermet d'user du Je sans compter : " Je te remercie... J'ai vu le danger... J'admire le courage... Je vois avec plaisir..., etc." Evidemment, le budget allemand, et au télégraphe, l'abus de l'article et du pronom finit par coûter cher. La reine, comme nous disons à présent, les contingentait.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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