La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 13 Decembre. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 05 juillet 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/cn6xw48r94/
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LA MÉTROPOLE IONE PENNY nom: CINQ CEHTIHn 0OLLAHDE : VUF CENT SOïTIIIEHT ! DIX CEHTIKM PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lare, W.C.2 — Téléphoné: Holborn 212. ABONNEMENTS 1 mois 3 sb. ; 3 mois, S ah. ■ 24mb ANNEE JEUDI 13 DECEMBRE 1917 No. 347 LA GRANDE GUERRE I"Activité d'artillerie dans l'Ouest Jérusalem et les Allemands Bataille entre Maximalistes et Cosaques Sur le front de l'ouest règne toujours ( le calme interrompu à peine par des raids < réciproques et des rencontres de patrouil- 1 les. C'est ainsi que l'ennemi, sous le couvert d'un violent bombardement, a 1 exécuté un raid contre un des postes bri- ( tanniques, au sud d'Epéhy, et un autre < au sud d'Armentières, tandis que les < troupes britanniques ont fait des sonda- i ges à l'ouest d'Hulluch et ont capturé un c certain nombre de prisonniers- Dans son communiqué officiel, Sir i Douglas Haig fait remarquer que l'enne- 1 mi-manifeste une activité d'artillerie inusitée des deux côtés du front britannique, en particulier dans les secteurs au < sud de la Scarpe et au nord de la Lys. Sur le front français, il y a eu des rencontres dans la direction de Tahure et au « nord de Bezonvaux, tandis que dans les i secteurs de Lorraine et de Haute-Alsace, il y a eu une activité modérée d'artillerie. < Dans le communiqué de la nuit, aucune i action d'infanterie n'est signalée- L'activité d'artillerie, tout le long du front, est encore la caractéristique de la situation militaire en Italie, où il y a eu des duels intensifs entre la Brenta et la Piave. Une puissante tentative ennemie de reprendre les positions de l'Agenzia Zuliana, dans la région de Capo Sile, fut repoussée de façon sanguinaire. Les Allemands se consolent difficilement de la perte de Jérusalem. La catholique Gazette populaire de Cologne dit que la capture de Jérusalem est, sans doute, un succès pour les troupes britanniques, mais ce succès est d'un caractère moral plutôt que militaire. "Les associations du mot Jérusalem, dit le journal, sont si profondément ancrées que la conquête de la ville donne un prestige considérable au conquérant. -Surtout pour le monde anglo-saxon, la capture a été un stimulant qui, par suite du manque de succès dans les théâtres principaux de la guerre, aurait été difficile à effectuer. Les intérêts des Juifs des pays de l'Entente et surtout des Sionistes, dans la campagne de Palestine, se sont montrés de façon non voilée. Par suite de ''influence considérable que le capital juif exerce sur la g-uerfe, les financiers et les politiciens de l'Entente accueilleront avec joie les effets favorables de la capture de Jérusalem sur ces puissants milieux juifs. Au point de vue militaire, il est indéniable, continue la Volkszeitung, que les batailles qui ont conduit à la capture ont été bien préparées et habilement projetées, mais quant à la situation générale en Orient, il n'y a pas lieu de surestimer l'événement. Jérusalem peut, tout au plus, servir comme une base précieuse pour la ligne de communications, mais la ville se trouve trop loin des buts réellement importants des Anglais pour donner lieu à de l'inquiétude." Les journaux français font unanimement ressortir les conséquences politiques et militaires de la victoire britannique en Palestine. Le Temps écrit : "Le général Allenby entre aujourd'hui à Jérusalem, d'où il a repoussé les Turcs et les Allemands. C'est un événement historique et chacun des peuples qui y prend part retiendra aux yeux de la postérité 'a place qu'il tient à présent, c'est-à-dire de libérateur des Saints-Lieux de la domination des Turcs et des Allemands, luttant en vain pour les maintenir. Le contraste est d'autant plus frappant que Guillaume II vient de choisir comme son chancelier, le chef du parti catholique et la diplomatie allemande exploite activement la crédulité du Saint-Siège. Le Turc à Golgotha, l'ultramontain au Vatican, l'anarchiste en Russie, la politique allemande les a employés tous. La délivrance de Jérusalem qui venge beaucoup est aussi une espèce de vengeance de l'immortalité.""La possession des Saints-Lieux, remarque le Journal des Débats, est un symbole de domination de cette partie du monde et leur perte signifie la ruine de la puissance turque. A ce propos, il ne faut pas confondre l'Islam avec la Tur quie. Dans l'esprit des conquérants d'aujourd'hui, il n'y a pas question de repousser l'Islam de la Judée ou de Palestine, ou même de la Syrie. Les Alliés ne font pas une croisade. Ils agissent de concert avec le Sherif de La Mecque et espèrent rallier le monde arabe à leur cause. Il est d'une importance extrême de rester en relations étroites avec ce monde et de se joindre aux Syriens, qui attendent leur délivrance avec une impatience croissante et de s'étendre i l'est dans le but d'établir la liaison avec les troupes britanniques à Bagdad." L'organe maximaliste Pravda annonce qu'une première collision entre les troupes maximalistes et un corps de cosaques fort d'e 3.000 à 4.000 hommes, sous les ordres de Korniloff, a eu lieu à la station de Tasnanovka, à une trentaine de kilomètres à l'est-nord-est de Bielgorod. C'est la première rencontre importante entre les forces rivales en Russie depuis les combats que le Petit Parisien a signalés au nord-ouest de Rostoff, sur le Don. Le commissaire maximaliste de la flotte de la mer Noire télégraphie que des détachements navals, accompagnés de délégations, ont été envoyés à l'encontre du général Kaledine. Ce dernier a lancé un avertissement sévère contre toute intervention de la flotte de la mer Noire, dans l'autonomie des" territoires cosaques.Les maximalistes ne sont guère tranquilles et leur inquiétude au sujet de l'avance des cosaques se manifeste dans l'appel que 'e Conseil des- Commissaires du peuple leur a adressé et dans lequel il leur demande de s'unir à eux contre les ennemis déclarés du peuple : Kaledine, Korniloff, Dutoff et Karanloff. Les résultats des élections pour la Constituante ne sont pas encore connus, mais les chefs du gouvernement ont proclamés que l'Assemblée constituante se réunira dès qu'il y aura plus de 400 membres à Pétrograde. On s'attendait à des troubles dans la journée du 11, mais suivant un télégramme de l'Agence Reuter, tout s'est passé dans le oalme. Les Allemands ont publié un commu-( niqué officiel à propos des négociations pour l'armistice. Les propositions russes, dit ce document, étaient étonnamment étendues en vue de leur situation militaire, comme par exemple l'évacuation des îles du golfe de Riga et le maintien des troupes dans les tranchées qu'elles ne pouvaient même quitter pour aller "en congé", conditions auxquelles il ne fut pas possible de souscrire. Un accord fut obtenu pour un armistice de dix jours, pendant lesquels 'es délégués russes obtiendraient de nouvelles instructions de Pétrograde. M. Asquith, ancien chef de cabinet, a prononcé un discours assez remarqué à Birmingham, dans lequel il déclare que malgré la responsabilité qu'il avait prise sur lui dans cette guerre, il n'hésiterait pas à faire une nouvelle fois ce qu'il avait fait e^qu'il n'avait rien à retirer de ce qu'il avait dit à Leeds et à Liverpool. Il n'avait, disait-il, aucune connaissance de la lettre de Lord Lansdowne et il n'était pas responsable de ses termes. Personne, ajouta-t-il, ne menace l'existence ou l'indépendance de l'Allemagne, mais le système de militarisme prussien doit finir. Le pacte final doit reposer sur la preuve authentique que le peuple allemand est prêt, comme nous, d'admettre la règle du droit commun et égal. Aucune paix ne serait digne de ce nom si elle permettait la continuation d'une guerre voilée, bien que les armes seraient déposées. «—• La grand'mère de la révolution arrêtée La grand'mère de la Révolution russe, Mme Breschko Breschkaowskaïa, âgée de quatre-vingts ans, qui avait été reçue triomphalement à Pétrograde par Kerensky et par toute la population, a été arrêtée, sur l'ordre de Lénine et de Trotskv, comme ennemie du nouveau régime. L'étude des langues étrangères à l'armée belge Plus de 8000 étudiants soldats Sur l'initiative^ de M. Poullet, ministre belge des Sciences et des Arts, une Ecole de cours par correspondance, à l'usage exclusif des "Belges accomplissant ou ayant accompli leur service militaire", a été installée à Paris, au numéro 110 de la rue de Rivoli. L'Ecole, qui est rattachée à la direction de l'enseignement supérieur, est confiée à M. Dejace, professeur de l'Université de Liège; son directeur est M. A<-dant, préfet de l'Athénée de Bruges. Le beau succès de cette œuvre prouve la grandeur de l'âme du soldat belge, qui, sous le feu, songe à son avenir propre et à la résurrection de son pays. Elle offre aux fils de Flandre et de Wallonie, non plus seulement le rapprochement par amour patriotique, mais encore par la connaissance des deux langues nationales. Partie de cette idée, l'Ecole, agrandissant son objectif principal, s'est adjointe l'étude de l'anglais, du russe, de l'italien et de l'espagnol. Le ministère belge des Sciences et des Arts a trouvé, pour le seconder dans sa difficile entreprise, le concours de l'établissement français bien connu : l'Ecole Pigier. Cette maison a mis à la disposition du gouvernement belge ses locaux spacieux, ses cours pour élèves français et l'aide, très précieuse, d'un personnel expéditeur rompu à ce genre de travail. L'Ecole belge a obtenu encore le concours dévoué d'un membre de l'Académie flamande, d'un polyglotte, répétiteur à l'Université de Bruxelles, d'un professeur à l'Athénée de Louvain, d'un professeur russe, docteur en sciences économiques et politiques et, enfin, d'un personnel enseignant nombreux et expérimenté.Une rétribution, très légère, puisqu'elle suffit à peine à couvrir le prix du papier remis aux correspondants,est demandée aux élèves. Les officiers versent 1 franc, les sous-officiers, caporaux et soldats, 25 centimes. Pour se libérer, toutes les facilités leur sont accordées. Le 5 août 1917, quatre jours après l'ouverture officielle de l'Ecole belge, 200 inscriptions étaient enregistrées; le 25 novembre 1917, ce nombre s'élevait à 7.730! Dans ce total on relève 1.000 adhésions de Flamands désireux d'apprendre le français et 800 de Wallons qui suivent le cours de flamand ; 4.000 étudiants s'adonnent à l'étude de l'anglais, 500 de l'espagnol, 300 de l'italien et 200 du russe. Les élèves envoient, d'ordinaire, un devoir de 3, 4, 7 et 10 pages grand format par semaine, soit 30.000 pages en moyenne à corriger. A cela ne se borne pas l'activité de l'institution. Le directeur, M. Adant, reçoit les élèves de passage à Paris, chaque jour, dans la matinée; il les interroge et les guide de ses conseils. En règle générale, les adhérents choisissent la langue à étudier pour des motifs plausibles; c'est ainsi que les 200 étudiants du cours de russe appartiennent presque tous aux affaires, à l'industrie, à la technique, au commerce de banque. Quand et comment étudient les hommes du front? M. le directeur Adant réplique, à cette interrogation, ce qui lui fut répondu par un de ses élèves : "On n'étudie bien que dans le repos des tranchées parce que, contrairement à ce qui arrive au cantonnement, le calme 'e plus absolu y règne..., quand le secteur est tranquille." : MDBDIT"inBDinB BELGES, UNTSSONS-NOUS ! On s inscrit à la I Fédération Nationale Belge aux bureaux de LA METROPOLE et de L'INDEPENDANCE BELGE □■□«□■□ÉDWDlalD M. Caillaux en cour martiale Paris, 11 décembre. -— Le chef de cabinet et ministre de la Guerre, M. Clémenceau, agissant en sa qualité de chef de la justice militaire, a envoyé aujourd'hui au président de la Chambre, M. Deschanel, deux lettres du général Dubail, gouverneur militaire de Paris, demandant que la Chambre suspense l'immunité parlementaire de MM. Joseph Caillaux et • Loustalot, députés, pour qu'ils puissent comparaître devant la justice militaire. On déclare que M. Caillaux sera inculpé en vertu d'articles du Code pénal de tentatives contre la sûreté de l'Etat. Il est prohable que là Chambre nommera une commission pour examiner les accusations et faire rapport. — Ex change. Paris, 11 décembre. — On dit que la demande du gouverneur militaire de Paris de pouvoir poursuivre M. Caillaux renferme des déclarations de fait qui paraissent compromettre sérieusement M. Caillaux. Celui-ci, prétendon, se serait rendu coupable depuis le début de la guerre, d'abord d'une tentative contre la sûreté de l'Etat en se mêlant d'intrigues de nature à compromettre l'alliance de la France avec une puissance étrangère ; secondement, en trafiquant avec l'ennemi ; et en troisième lieu, en faisant de la propagande "défaitiste". Tous ces faits, dit-on, sont appuyés par l'enquête judiciaire en .cours. Les accusations de relations avec l'ennemi et de propagande " défaitiste " sont indubitablement de la juridiction de la cour martiale, mais si l'accusation de haute trahison était formellement maintenue, on pense que M. Caillaux devra être envoyé devant la Haute Cour du Sénat. La demande de poursuites contre M. Loustalot l'accuse de s'être rendu coupable de commerce avec l'ennemi depuis le 2 août 1914, en séjournant dans un pays neutre où on dit qu'il aurait rencontré l'ex-khédive d'Egvpte. — Reuter. Paris, 11 décembre. — La Chambre a décidé de procéder jeudi à la nomination de la commission qui sera chargée d'examiner la demande de suspension ue l'immunité parlementaire de MM. Caillaux et Loustalot. — Reuter. Note. — M. Caillaux a été suspecté d'être un ami de Bolo Pacha et de Vigo, dit Alrrré-revda, et d'avoir travaillé avec eux pour une paix " blanche ". On se rappelle son rôle dans les négociations d'Agadir qui lui valurent le sobriquet de " Caillaux-l'Âllemand ", et les violentes campagnes de M. Calmette dans le Figaro, de M. Barrés dans VEcho de Paris et de M.\I. Daudet et Maurras dans l'Action française contre un homme soupçonné depuis longtemps d'être un ami et peut-être uh agent de l'Allemagne, mais qui, comme tous les dé-1 laitistes, travaillait ;^ec tant d'habileté qu'on i n'avait jamais pu le mettre au pied du mur. 1 En décembre 1916, il fit une visite mvsté-> rieuse à Rome à la suite de quoi M. Sonnino menaça de l'expulser de l'Italie et en avertit | le gouvernement français, qui, cependant, ne bougea pas. M. Caillaux, qui avait été ministre des Affaires étrangères, devint premier ministre en ' juin 1911. Sa mise en accusation est un avertissement à tous les défaitistes conscients ou inconscients dans tous les pays alliés, y compris, la Belgi-1 que. Quelque soit leur soin de se garder, un jour viendra où leurs machinations leur vaudront le sort qu'ils méritent. 0—0 L'offre de paix allemande M. Pringle a demandé le 11 décembre à la Chambre des Communes si des ouvertures de paix avaient été reçues des puissances centrales ou de l'une d'entre elles et, dans l'affirmative, si le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères était en mesure de faire une déclaration au sujet de la nature de ces ouvertures et au sujet de la réponse qui pouvait éventuellement leur avoir été faite. M. Balfour répondit : "Les commissaires du peuple (russe) ayant cru convenable de publier une dépêche confidentielle du chargé d'Affaires de Russie à ' Londres, il ne peut y avoir d'objection pour moi de dire qu'une communication a été reçue en septembre dernier de l'Al-- lemagne par le gouvernement de Sa Majesté, envoyée par une voie diplomatique neutre, disant que le gouvernement allemand aurait heureux de faire une communication au gouvernement de Sa Majesté relativement à la paix. "Le gouvernement de Sa Majesté répondit qu'il était prêt à recevoir toute communication que le gouvernement allemand pourrait désirer lui faire et de la discuter avec ses alliés. Le gouvernement de Sa Majesté informa les gouvernements de la France, de l'Italie, du Japon, de la Russie et des Etats-Unis d'Amérique de la suggession allemande et de sa réponse. "Aucune réponse n'a été faite (par l'Allemagne) et aucune autre communication officielle n'a été reçue." (Applau-\ dissements). Le Noël des petits pauvres d'Anvers P hysiologiqu ement, nos enfants se meurent de faim. Dr. SCHUYTEN. Chef du Service pédologiqur de la ville d'Anvers. Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de . parti ou de religion. VINGTIEME LISTE Report £ 219 19 6 Fr. 210 Ma thilde et Lucienne ... 50 Georges 2 6 Jeanne et Mariano 26 Rosa et René 26 Germaine ... ... ... 26 Simone et Nelly 1 0 Pinkerton et Butterfly ... 1 0 Anonyme ... ... ... 1 0 Anonyme ... ... ... 10 Charles ... ... ... j 0 Lulu ... ... ... ... l 0 Anonyme r 0 Anonyme ... ... 80 Hamaide et Co. ... ... 50 La famille Floris de Cuyper Hens ' ... I5 o Western Electric Co., Automatic Dep., City „ 9 Dans les bureaux de Relief for Belgian prisonners in Germa- ny 116 A nos petits compatriotes d'Anvers, de la part de Roger et 1 Solange de Walsche ... 76 I Total £ 224 9 3 Fr. 210 n Les timbres de la Croix-Rouge Une nouvelle émission M. le ministre des Chemins de fer, Marine, Postes et Télégraphes vient de décider l'émission d'une nouvelle série de timbres-poste au profit de la Croix-Rouge de Belgique. Ces timbres sont constitués par un tirage spécial et limité des quatorze timbres actuellement en cours; toutefois leur couleur ou leur nuance sera différente. Ils auront, en service interne, la même valeur d'affranchissement que ces derniers, mais seront vendus à un prix double de cette " valeur. La surtaxe, indiquée sur chaque timbre par une surcharge rouge, sera acquise intégralement à l'œuvre. Le tirage est limité aux chiffres suivants : 1, 2, 5 et 10 centimes : 400.000 exemplaires de chaque valeur; 15, 20 et 25 centimes : 200.000 exemplaires de chaque valeur; 35, 40 et 50 centimes et 1 franc : 75.000 exemplaires de chaque valeur; 2 et 5 francsj 25.000 exemplaires de chaque valeur; 10 francs : 15.000 exemplaires de chaque valeur. : Ces timbres seront débités à partir du 15 janvier 1918 aux guichets du bureau postal belge de Sainte-Adresse et des bureaux de poste de la Belgique non envahie. Des commandes par écrit peuvent être adressées dès maintenant à l'administration des postes belges au Havre. * o—o Glasgow et le front belge MM. Alexandre Walker et J. Thomas Irwin, membres de la corporation de la ville de Glasgow visitent actuellement le front belge et nos établissements hospitaliers. Ils sont partout accueillis très sympathiquement, car chacun sait avec quel dévoûment ils assistèrent les Belges réfugiés en Ecosse qui sont actuellement encore au nombre de quatorze mille. MM. Walker et Irwin exprimèrent de leur côté leur compassion devant les souffrances de la Belgique et leur enthousiasme pour les exploits et le moral de l'armée belge ainsi que leur admiration pour les travaux construits par nos soldats dans l'eau et la boue. Au nom de la Corporation de la ville de Glasgow, ils offrirent d'héberger pendant leurs dix jours de congé des militaires belges sans famille. Margulies préfère la prison à l'hôpital Malgré l'ordre qui a été donné de transférer Margulies de la prison à l'hôpital, celui-ci s'est, jusqu'ici, refusé à auitter In nnsnn

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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