La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 29 Septembre. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 06 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/p26pz52n6n/
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LA MÉTROPOLE 0NE[iPEN!\2Y i «boit: CINQ centime» [ bouande: vijf cent COKTWENT : DIX CENTIMES PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. AB0NKIME5T 1 mois S sh. ; 8 mois, g ah. 24«» ANNEE SAMEDI 29 SEPTEMBRE 1917 No. 272 II»A OKAJSfflOJE: G-TXIES T* JEUES Sept contre-attaques devant Ypres Renforts allemands de Russie La Conférence des Soviets Les Allemands ont réagi fortement dans les Flandres contre la nouvelle offensive de Sir Douglas Haig; en rien moins que sept contre-^attaques, ils ont essayé de reprendre les positions capturées entre les Tower Hamlets et la route de Saint-Julien à Gravenstafel. La lutte fut violente, particulièrement [dans la région du bois du Polygone où les tentatives ennemies furent frustées 'par les troupes anglaises,écossaises,gal-poiSes et australiennes. Vers la soirée, ha lutte se fit moins vive et la journée tse termina par la victoire complète des troupes britanniques, qui restèrent en possession de tout le terrain capturé. Le [nombre total de prisonniers capturés au purs de ces deux journées s'élève à '1.614. [ Ces furieuses contre-attaques, qui sont conduites actuellement suivant une mé-Sthode arrêtée longuement d'avance et (constituent en quelque sorte le nouveau système défensif des Allemands, prouvent comment la nécessité d'une résistance acharnée s'impose. Elle prouve encore que l'ennemi n'est pas disposé à se retirer sur une nouvelle ligne pour pntinuer le système inauguré par von Hindenburg à la bataille de la Somme. [En effet, la paralysie du front russe' que l'ennemi peut défendre actuellement ar pec un cordon très mince de troupes, foermet le transfert de renforts sérieux. ! Toutes les troupes disponibles sont wonc, selon toute probabilité, envoyées Wu front russe vers le front de l'ouest; [ce qui le prouve c'est que depuis quelques jours, les journaux allemands de la ïégion westphalienne et du sud ne sont [plus arrivés en Hollande, les chemins de [fer conduisant vers la France et la Belgique étant probablement affectés exclusivement au transport des troupes. 11 faut donc s'attendre au moins à une psistance acharnée, si pas à un mouvement de contre-offensive sérieux. Le Times, commentant les opérations pctuelles dans les Flandres, remarque Bue dans la résistance obstinée de l'ennemi, il y a plus que la relation de suc-p locaux ne semble impliquer. Elle a pfl but nettement défini et comme la bataille de la Somme, il nous faudra attendre la fin des combats avant de pouvoir P°us rendre compte de ce que les trouves du général Haig ont en vue. Entre [temps, la meilleure preuve de l'importance de la bataille se trouve dans la détermination avec laquelle l'ennemi résis" ijc a l'avance britannique. L'ennemi sait ™en quel genre d'hiver il aura à passer Rns les bassies plaines au delà des crê-F et nous le savons même mieux, car pos troupes s'y sont trouvées pendant lt01s années; l'ennemi dominait les approches, mais si tout va bien, ce sera ps qui dominerons les siennes. Il ne peda pas à la légère et les opérations r)ui s annoncent seront dures. Les Allemands emploient leurs réserves avec une Mies générosité qu'on peut en inférer Çu ils retirent de nombreuses troupes du r°nt oriental. L'audace avec laquelle |es troupes allemandes se jettent dans ^contre-attaques s'explique par le fait ^Ue ce sont les meilleurs éléments qui se r°uvent dans les positions avancées; le este des troupes allemandes se compose . e ements inférieurs qui se rendent fré-M'iemment ou se dispersent dans l'as-aut' Aussi longtemps,conclut le Times, R 'CS, Allemands montreront une pa-I, e res°lution, nous devrons continuer ts prendre au sérieux et ne pas con-. Ure que l'ennemi est au bout de ses ressources. |En Argentine, l'agitation en faveur trplne, ruPture avec l'Allemagne reste LajS orte' Les milieux officiels recon-hnSCnt tout '6 PaYs désire une rup-R ! ma'S considèrent que l'épisode [daircUr^" n'es': l11'1111 événement secondais ' °ar 'a ruPture se fera pour des ivtn " , ,P'US profondes, notamment la |No 6 l'Argentine pour les Alliés. iPoiiM' rornProns les relations, disent-ils, ; amour de la justice." Toute fois, on rapporte que le président a refusé d'abandonner la neutralité; de Rome, on annonce que les Allemands et les Autrichiens d'Argentine prennent la fuite vers le Chili. De Pétrograde, on télégraphie que M. Kerensky a donné sa démission du bureau du Soviet de Pétrograde, en guise de solidarité avec tous les autres membres du bureau. La conférence démocratique, qui devait se tenir le 25 dernier, mais qui a été remise par suite de l'absence de nombreux délégués, statuera sur les points suivants : 1. la recherche des moyens de collaboration entre l'autorité gouvernementale et les organisations démocrat:ques; 2. une décision sur la forme que prendra le gouvernement, en attendant la réunion de la Constituante; 3. une décision au sujet de la composition politique du gouvernement.t 0—0 Les buts de guerre en Allemagne Curieux événement La question des buts de guerre préoccupe toujours énormément l'Allemagne. On s'attendait à ce que le colonel Mi-çhaelis s'expliquât à ce sujet et, notamment, sur l'avenir de la Belgique, lors de la réouverture du Reichstag, jeudi, mais, au grand étonnement de tout le monde, on annonça que le chancelier a-vait de nouveau changé d'idée et qu'il ne parlerait que devant le Comité central, en se limitant à une revue générale de la situation militaire, politique et diplomatique. En conséquence, les membres du Reichstag durent se contenter d'une homélie aussi vague que filandreuse de leur président Kempff, dont il ne faut retenir qu'une manifestation de loyalisme à l'empereur. ■ Entre temps, une dépêche Reuter de Zurich annonce qu'un conseil de la Couronne a été tenu à Berlin sous la présidence du Kaiser, où la question belge fut discutée. On dit qu'aucune décision définitive n'y a été prise, mais que von Kuehlmann s'y est déclaré avec force partisan de la restauration de la Belgique.D'après une autre dépêche de la même source, l'opinion publique, à Berlin et dans l'Allemagne du Sud, est très agitée et s'attend1 à des développements sensationnels dans peu de jours. Jusqu'à présent, y est-il dit, le Kaiser et le roi de Bavière ont réussi à contrôler la situation en dirigeant la majorité du Conseil fédéral. D'autre part, la situation financière des empires centraux donnerait de nouveau à leurs sujets de sérieuses inquiétudes. La Reichspost, organe des catholiques viennois, publie un article très commenté, dont l'auteur déclare que la victoire à tout prix est le seul remède à la banqueroute. Il dénonce les âmes lâches de la monarchie dualiste, qui chuchotent qu'une débâcle financière est imminente.Enfin, la Suisse comme la Hollande signalent l'interruption des communications postales avec l'Allemagne. Les petits paquets sont arrêtés et les journaux n'arrivent plus qu'isolément, sous bande. D'après certains avis, les officiels voudraient cacher les désordres qui auraient de nouveau éclaté dans les centres industriels, d'après d'autres, de grands mouvements de troupes auraient lieu de l'Est vers l'Ouest, dans le but de renforcer le front des Flandres. o—o Erzherger accusé de haute trahison Le député Erzberger a été l'objet des attaques les plus violentes de la part de plusieurs journaux socialistes qui prétendent que le discours que ce député centriste a prononcé récemment à Biberach constitue un acte de haute trahison caractérisée et qu'il convient, en conséquence, de traduire ce parlementaire devant la Haute Cour. M. Camille Huysmans et la Conférence de Londres Le Nieuive Courant, organe germanophile hollandais, a annonoé, paraît-il, que M. Camille Huysmans avait été invité à la Conférence de Londres, mais que son "travail" à Stockholm et l'incertitude des communications lui avaient fait abandonner le voyage. Dans les milieux belges bien informés, on dément formellement ce bruit. M. Camille Huysmans n'a pas été - invité à la Conférence de Londres, pour la bonne raison que le Parti ouvrier belge ne l'a pas désigné comme représentant du socialisme belge. Quant à "l'incertitude des communications", il est peu probable que le gouvernement britannique, après avoir refusé des passeports aux socialistes anglais désireux de se rendre à Stockholm, aurait permis à l'organisateur de la Conférence de mettre le pied sur le sol anglais.o—o Le buts de guerre des Alliés Un discours 4e M. Asquith Dans un discours qu'il a prononcé mercredi soir, à une démonstration au sujet des buts de guerre, M. Asquith a déclaré : Permettez-moi de partir d'une proposition qui ressemble à un paradoxe — nous nous battons pour la paix, pour la paix du monde. Il n'est pas nécessaire de contempler de ses propres yeux, comme je le fis la semaine dernière en visitant les champs de bataille français et flamands, la désolation réelle de la guerre, pour sentir qu'en ce moment la paix est l'intérêt suprême de l'humanité. Elle vaut tous les sacrifices, excepté le sacrifice des choses qui rendent la paix digne d'exister et qui assurent sa stabilité, en l'établissant sur le roc solide du Droit, internationalement reconnu et garanti. Y a-t-il aucune raison de croire que l'Allemagne a profité de la leçon qui lui a été infligée? Nous avons pu lire ces derniers jours la réponse du nouveau chancelier allemand à la note papale. Elle fourmille de généralités nébuleuses et onctueuses. Mais, je le demande, y a-t-il dans la dépêche du chancelier ou dans aucune déclaration responsable et récente du gouvernement allemand la moindre indication qu'il est prêt, non seulement à ne pas répéter le crime de 1871, mais de prendre aucune des mesures pratiques qui seules peuvent ouvrir la voie à une paix réelle et durable? L'Allemagne est-elle prête à rendre ce qu'elle enleva alors à la France? Ou, pour présenter encore une fois une épreuve concrète sous la forme d'une question que j'ai déjà posée : Est-elle prête à rendre à la Belgique sa pleine et entière indépendance — politique et économique — sans lisières et sans réserves, et avec une indemnité aussi complète que toute compensation purement matérielle peut pourvoir pour la dévastation de son territoire et pour les souffrances de son peuple ? Une réponse nette, qui pourrait être donnée dans une couple de phrases, à une demander de renseignements comme celle-là, vaudrait à ce moment toute une colonne de peiu-ses platitudes. Il n'y a rien dans cette guerre qui a provoqué dans le monde plus de surprise et de consternation que le fait que l'opinion allemande ait pu, au début, pardonner avec tolérance, et soit arrivée maintenant à applaudir avec ferveur les transgressions pires et les plus barbares du gouvernement allemand. La paix pour laquelle nous luttons- a deux buts, l'un immédiat, l'autre ultérieur, et il ne faudrait perdre de vue ni l'un ni l'autre. Le premier est — non la restauration du statu quo, — non le renouveau sous une forme modifiée de ce que nous avions l'habitude d'appeler l'équilibre des puissances — mais la substitution de l'une et de l'autre par un système international dans lequel il y aura place pour les grands et pour les petits Etats, et dans lequel les uns comme les autres.peuvent être assurés d'un fondement stable et d'un développement indépendant. Le principe essentiel est celui que tous les peuples libres de la terre sont, je crois, prêts et même anxieux d'accepter — à savoir qu'il faut se laisser guider par l'affinité racique, par la tradition historique, et, avant tout, par les désirs et les aspirations présentes des habitants.Nous devons bannir une fois pour toutes de nos catalogues de maximes l'illusion usée d'après laquelle, pour jouir de la paix, il faut se préparer à la guerre. Parlant, non comme un utopiste ou un idéaliste rêveur, mais comme un homme qui a eu une expérience étroite et prolongée des dures réalités de la politique, je pose en fait que nous ne faisons pas seulement une guerre pour la paix, mais encore une guerre contre la guerre. Allemagne et Belgique _________ * Nouvelles avances Berne, 24 septembre (retardée).— Un télégramme officiel de Berlin dit que -le gouvernement allemand a supplémenté sa note au Vatican par une communication verbale faite par M. von Kuhlmann au nonce de Vienne. Cette communication verbale spécifie les conditions dans lesquelles l'Allemagne est prête à conclure la paix sur les bases de l'évacuation de la Belgique. (Ces " conditions " sont celles que nous avons indiquées le 25 septembre : intervention financière de l'Allemagne dans la restauration de la Belgique, garantie de neutralité " absolue ", séparation administrative, pas d'entraves à la pénétration économique allemande, surtout à Anvers). Une communication officieuse envoyée à la presse allemande comme explication de cette "note verbale" dit : Le gouvernement allemand a intentionnellement évité de libeller plus clairement les conditions exposées ainsi. Ces conditions sont compatibles avec la dignité de la Belgique. L'Allemagne a évité de mentionner la question du Trône parce qu'elle constitue une affaire belge intérieure. L'Allemagne s'entendra avec tout gouvernement en Belgique qui acceptera les conditions ci-dessus. La question principale est de savoir comment les conditions énumérées seront formulées. — Wireless Press. Il ne faut, évidemment, pas attacher la moindre importance à cette nouvelle tentative de marchandage. Car ce n'est que cela. La seule satisfaction que nous puissions y trouver c'est qu'elll nous indique que l'Allemagne voudrait la paix et ne demande pas mieux que de voir discuter cette question. C'est une raison suffisante pour nous taire et ne pas donner suite à ces avances. Nous sommes aujourd'hui en possession d'une certitude formelle : c'est que l'Allemagne n'est et ne sera pas victorieuse. Les insolences de ce pays vis-à-vis du nôtre ne doivent être actées autrement que pour marquer la constance de la régresion de ses appétits. Forts que nous sommes de la promesse des Alliés, notre devoir est d'exiger avec eux, non seulement le rétablissement de la Belgique telle qu'elle était avant la guerre, avec la libre disposition de nos sympathies, mais des indemnités complètes et le châtiment des criminels de tous rangs qui ont assassiné et volé-* * * Par contre, il convient d'accorder plus d'importance à la phrase du communiqué officieux du gouvernement allemand, disant que celui-ci "s'entendra avec tout gouvernement en Belgique qui acceptera les conditions nouvelles. D'après ce qui nous revient de Belgique, en effet, les Allemands chercheraient de nouveau à organiser sous leur égide un "gouvernement" avec lequel ils pourraient "traiter". On sait que les ouvertures qu'ils ont faites à ce sujet, il y -a bien longtemps, auprès de politiciens restés.en pays occupé, ont misérablement échoué. Une nouvelle tentative se prépare,cette fois,par le canal du fameux Conseil de Flandlre, organisme irresponsablel et désavoué, composé exclusivement de créatures à la solde de nos ennemis. Ce Conseil se préparerait à proclamer la "déchéance" du gouvernement belge et même du Roi-Héros, leur remplacement par un "gouvernement" activiste et par un "régent" allemand, qui concluraient la paix séparée avec l'Allemagne au nom du "peuple flamand" et créeraient une "légion flamande" semblable à la "légion polonaise", donnant ainsi un semblant de légalité au travail militaire forcé, imposé pa'r l'envahisseur à nos paysans et à nos ouvriers.Le prétexte de cette action serait la dégradation et le déplacement, en qualité de> brancardier à la compagnie de discipline de l'île de Cézembre, de l'aumônier-adjoint de 2e classe P. Vander Meulen, convaincu de propagande antinationale. Les activistes belges s'occupent, en effet, à transformer cet acte légitime en une nouvelle affaire Dreyfus ! Dans un article récent, la Belgique de Bruxelles, organe teutonisé des frères Hutt, qui a ses grandes et ses petites entrées à la "Kommandantur", a déclaré énigmatiqueiment que cet "événement peut être le point de départ d'un mouvement politique qui serait de nature à Le Pape et la paix allemande M. Rudolf Neter et la* presse belge Le fait que les deux grands journaux belges d'opinion catholique qui paraissent encore ont accueilli avec une circonspection bien justifiée la note papale sur la paix, qui engage le gouvernement belge à négocier au plus tôt avec les autocrates de Berlin, violateurs de notre neutralité, n'a pas été sans impressionner les Allemands, qui avaient peut-être attendu de nous une soumission veule à la diplomatie du Saint-Père. Sait-on cependant quel est l'homme qui, à cette occasion, s'est érigé en censeur de la presse catholique belge au point de vue papal? Ne tombez pas à la renverse, ô lecteur : tout simplement le sieur Rudolf Neter, ancien correspondant bruxellois de la judaïque, maçonnique et financière Gazette de Francfort, anticlérical ra-bique qui, avant la guerre, professait le plus profond mépris pour le "papisme"' et qui avait annoncé confidentiellement à Berlin qu'en cas d'invasion allemande, les anticléricaux belges, excédés de la "tyrannie des prêtres", accueilleraient les officiers du Kaiser luthérien en "libérateurs" ! Et c'est ce même Neter, aujourd'hui préposé à La Haye à la surveillance de la presse belge en exil, qui gourmande la Métropole et le XXe Siècle pour leur manque d'attachement... au Saint-Père! Par contre, il est plein d'éloges pour les follicules rédigés par quelques ecclésiastiques sans responsabilité qui placent le papisme au-dessus du patriotisme. Cette attitude singulière du correspondant de la Gazette de Francfort achève de nous éclairer sur le jeu de l'Allemagne.o—o Le pacifisme en Belgique Le 22 août dernier s'est constituée à Bruxelles une " Fédération pour la paix universelle " qui réunit " toutes les associations et personnes travaillant pour une paix immédiate" (allemande). L'" Association pacifiste " constitue le bureau de la Fédération pour la paix universelle. Voici la liste complète de ses adhérents : L'Association pacifiste (rattachée à l'Organisation centrale pour la paix durable) ; la Fraction minoritaire (sic) du Parti ouvrier belge ; l'Association provinciale des " Groenin-gerwachten " ; l'ordre neutre et indépendant des " Bons Templiers " et la Fédération théo-sophique belge. c- Gageons qu'après avoir appris que les Bons Templiers de Belgique se sont unis aux théo-sophes, aux anarchistes et aux jeunes fous qui calomnient Groeningen, pour réclamer la paix blanche, M. Vandervelde jettera le froc de la tempérance aux orties et videra sa première bouteille de pommard à la santé de M. Maurice des Ombiaux ! o—o Pour la libération de la Belgique La question du ravitaillement Le XXe Siècle annonce que la Croix-Rouge américaine qui dispose de ressources immenses et à laquelle nos diverses œuvres doivent déjà de si généreux concours, vient de décider de s'y intéresser plus spécialement et plus directement encore. C'est dans ce but qu'elle vient de déléguer officiellement auprès du gouvernement belge deux de ses membres, MM. P. Bicknell et John van Schaick. Ils sont chargés d'étudier les besoins particulièrement urgents des réfugiés et d'aider le gouvernement belge dans les organisations nombreuses qu'il s'est trouvé dans l'obligation de créer et de soutenir. Ils ont, en outre, pour mission de préparer dès à présent les secours que la Croix-Rouge américaine se dispose à attribuer aux Belges des territoires envahis pour le jour où ces populations se trouveront libérées. MM. Bicknell et van Schaick viennent d'arriver au Havre où ils se sont aussitôt abouchés avec le ministre de l'Intérieur en vue de la mise en application immédiate des généreux desseins de la Croix-Rouge américaine.o—o Travailleurs américains en Russie Selon le correspondant du Times à New-York, M. Wilson, après consultation avec M. Gompers, président de la Fédératio.n américaine du travail, a décidé d'envoyer en Russie une mission comprenant 60 à 100 représentants des travailleurs américains. provoquer un légitime étonnement dans le monde qui n'en sait rien". NOTE.— Une partie de cet article a paru par erreur, hier, sous le titre : Un démenti.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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