La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 04 Decembre. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 26 juin 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/639k35n85k/
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LA MÉTROPOLE ONE jPENNY 5h0rt: cinq ceht1mm hollande: vijf cent 60htiheht : dix cehti1m» » PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENTS 1 mois 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. 24mb ANNEE MARDI 4 DECEMBRE 1917 No. 338 LA GRANDE GUERRE 1 LA BATAILLE DE CAMBRAI I LE PLAN ENNEMI DEJOUE Armî&tirp sur le front austro-rasse « »»» — —■ — — — — — Les craintes que les correspondants d< guerre avaient exprimées au sujet de l'is sue de la bataille de Cambrai semblen avoir été exagérées. La manœuvre d'en cerclement que l'ennemi a tentée et don le résultat aurait peut-être été un désas tre n'a pas réussi, mais malgré cela, 1; perte de prisonniers a été relativemen importante. Jugeant d'après les informations re cueillies dans divers secteurs du front di Cambrai, des ordres et des cartes oaptu rées, dit le communiqué officiel britanni que, l'intention de l'ennemi était de. li vrer une attaque simultanée et envelop pante et de repousser les troupes britan niques des positions qu'elles avaient cap turées le 20 novembre. Mais grâce a 1: résistance énergique et à la magnifiqui défense des troupes, l'intention de l'en nemi a été complètement frustrée. D< Vendhuile, au sud, jusqu'au point situi à deiïx kilomètres à l'ouest de Mœuvres dans le nord, l'ennemi avança en masse: profondes; de Masnières jusqu'au nord toutes les positions sont intactes -— quoi que dans un communiqué subséquent, i soit dit que Masnières a été évacuée des réserves britanniques, au cours d'uni contre-attaque recapturèrent une grandi partie du terrain perdu et ont repris entre autres, Gonnelieu, qui se trouv< sur la limite de l'ancien front britanni que. L'attaque allemande visait, de deu: côtés, le bois d'Havrincourt et les deir poussées, l'une au nord et l'autre au sud est, devaient jouer le rôle des deux ma choires d'une pince; si l'attaque avai réussi, nos alliés auraient perdu non seu lement toute la ligne Hindenburg captu rée récemment, mais encore une partie des défenses anciennes, formant dans le: lignes la même brèche qui a été opéréi dans les lignes ennemies. L'attaque dan: le nord subit un échec complet, mais dan: le sud, l'ennemi remporta un succès loca et pour ainsi dire momentané, grâce ; ses obus asphyxiants et sa supériorité ei nombre. Lors de l'avance britanniqui du 20 novembre à Gonnelieu, la garnisoi allemande de ce village et celle de Vil lers-Guislain se rejeta vers le canal, jus qu'à Banteux et Honnecourt-. Le bu allemand était de se lancer en masse e avec une pression énorme contre ui front étroit à Villers-Guislain depuis 1< bois de Honnecourt, de traverser ce der nier jusqu'au bois gauche, jusque tou près de la voie ferrée de Péronne, de vi rer vers le nord à Guzeaucourt, le long de la voie ferrée à l'ouest de la Vacque rie. Il semble, éçrit l'expert militaire français, que la bataille devant Cambrai approche de sa fin. Les Allemands n'on pas eu raison de la ténacité britannique La détermination ennemie était cependan extrême. Ses efforts furent dirigés surtout contre le centre de la ligne alliée ai 9ud de Cambrai et de fait, il n'a pas lan-oé moins de neuf attaques successive; contre le village de Masnières, qui furent repoussées chaque fois jusqu'à leui point de départ. Suivant le communiqué allemand, k nombre de prisonniers capturés vendred est de 4.000; plusieurs batteries ont ét^ capturées. Par contre, le communique britannique, passant en revue le résultai des opérations en novembre, annonce que le nombre des prisonniers capturés au cours du mois est de 11.551, comprenant 214 officiers. Pendant la même période, on a capturé 138 canons, dont 4c lourds, ainsi que 303 mitrailleuses et 64 mortiers de tranchées, ainsi que des quantités considérables de munitions de tous genres et du matériel divers. Sur le front français, il n'y a rien d'important à signaler sauf le duel d'artillerie qui continue très activement sur la rive droite de la Meuse, mais qui, jusqu'ici, n'a pas été suivi d'une action d'infanterie. : Sur le front italien, du plateau d'Asia- - go jusqu'à la Piave inférieure, l'intensi-t té du duel d'artillerie reste considérable. Par une attaque de surprise, un groupe t de nos alliés, opérant dans la région du Monte Pertioa, captura la hauteur 1549, 1 sans toutefois pouvoir la garder par sui-t te de l'intensité du bombardement. Des négociations pour un armistice sur le front autrichien de Russie ont com-; * fnencé vendredi dernier à Czernovitz, où un groupe d'officiers et de soldats russes arriva en automobile et resta pendant deux heures en conférence avec le général autrichien. Les troupes autrichiennes firent une ovation aux Russes- En attendant des instructions finales de ' son gouvernement,Sir George Buchanan l'ambassadeur britannique, a publié une déclaration dans laquelle il dit que la no-l te Braunstein (dit "Trotsky") proposant un armistice, fut remise à l'ambassade 19 heures après que_le généralissime au ' quartier-général eut reçu l'ordre d'enta-' mer immédiatement des pourparlers avec " l'ennemi en vue d'un armistice. De cet te façon, les gouvernements alliés se trouvent devant un fait accompli, sur lequel ils n'ont pas été consultés. Il est impossible à un ambassadeur de répondre à ' des notes qui lui ont été adressées par un gouvernement que son propre gouvernement n'a pas reconnu. Suivant le Politiken de Stockholm, M. v Kererrsky aurait été arrêté à Vladimir. 0—0 Nouvelle cérémonie militaire 1 au front belge Une allocution du roi Albert 3 à ses soldats ; Le roi a procédé, mercredi dernier, à ^ une nouvelle remise de décorations à des î officiers, sous-officiers et soldats de régi-1 ments de ligne et de chasseurs, qui se i sont particulièrement distingués au cours 1 des derniers raids et coups de main dans ; ! les lignes allemandes 1 Le Souverain était accompagné du co- - I lonel Tilkens, son aide-de-camp et de sa maison militaire. Il a été reçu par le gé-t néral Jacques, une des plus belles figu-t res de la campagne antiesclavagiste en i Afrique, un des héros des combats for-: cenés livrés à Dixmude en 1914, où les troupes belges et les fusiliers marins de t l'amiral Ronarc'h rivalisèrent de vaillance et de stoïcisme. f Après avoir passé les bataillons en revue, le Roi a adressé, en français et en flamand, quelques félicitations cordiales aux braves qui allaient recevoir la récompense de leurs exploits. "Leur vaillance, leur dit-il, est pour la Patrie une garantie de son avenir. La Belgique sait que ses soldats la restaureront prospère, indépendante et libre." La Souverain a décoré ensuite les hommes de sa propre main et a eu pour chacun d'eux quelques paroles chaleureuses.La cérémonie s'est terminée par le défilé des troupes. En tête s'avance le 12e régiment de ligne, le régiment de fer de la division de Liège, celui qui, côte à côte avec le 1 ie de ligne, se maintint en octobre 1914, pendant onze jours et onze nuits au premier rang de la défense de l'Yser, y perdant plus du quart de ses effectifs et la moitié de ses officiers. A ce moment même, dans le ciel gris et maussade de cette journée de fin novembre se produisit une éclaircie. Le soleil peroe et fait rutiler l'or des inscriptions "Yser-Dixmude" sur la glorieuse soie tricolore trouée de balles et d'éclats de shrapnells du drapeau du 12e de ligne cravaté de l'Ordre de Léopold. o—o Mgr Heylen à Rome Rome, 28 novembre.— Le Pape a reçu de nouveau l'évêque de Namur.— Ha-vas. Est-il vrai que... ? Les initiés savent que les partisans de la politique germano-argentine ont tenté d'avoir à Londres et ailleurs, au moins un organe pour défendre leur point de vue. Les tractations ont duré jusque dans ces derniers temps. Est-il vrai qu'elles sont sur le point d'être couronnées de succès? o—o Les Belges en Afrique allemande JLeur "inestimable" coopération Londres, xer décembre.— Communiqué officiel du War Office : A la fin de la première semaine de novembre, la majorité des troupes belges avaient été retirées de Mahenge sur le chemin de fer central (Dar-es-Salam-Ta-bora-Kigoma) en vue de l'épuisement des fournitures locales et l'impossibilité de maintenir des communioatfons vers" Tarit rière avec le chemin de fer pendant la saison des pluies approchante. Un détachement belge se dirigea vers la zone de Kilwa et occupa subséquem-ment Liwale. Les troupes du général Northley, se concentrant vers l'ouest de la vallée de Mohesi, coopèrent aux mesures prises maintenant pour agir contre la dernière colonne allemande existante, dont l'effectif est estimé à environ 2.000 fusils. (Cette colonne se trouve sous les ordres du général von Lettow-Vorbeck, commandant supérieur de l'armée' coloniale allemande est-africaine.) Dans les opérations pénibles qui ont culminé dans la capture ou la destruction de près de la moitié des forces ennemies totales dans ce théâtre, la coopération des Belges a été d'une assistance inestimable.Entre le 1er août et le 30 novembre, nous avons capturé : 1,410 Allemands et autres Européens; 4.149 soldats indigènes; 11 canons ; 56 mitrailleuses. De ces chiffres, 1.212 Européens, 3.191 soldats indigènes, 3 canons et 35 mitrailleuses ont été capturés pendant le mois de novembre. o—o—— Distinctions aux soldats alliés Armée britannique : A été nommé chevalier de l'ordre de la Couronne et décoré de la Croix de guerre, le lieutenant Charles Comyns, tué à l'ennemi alors que sa batterie coopérait aux opérations de l'armée belge. Armée française : chevalier de l'ordre de Léopold et décoré de la Croix de guerre, le médecin aide-major Balteau, tombé glorieusement au cours d'un violent bombardement en se précipitant au secours d'un canonnier grièyement blessé.Ont été cités à l'ordre journalier de l'armée et Croix de guerre : le canonnier Yves Legueriec, blessé grièvement; le canonnier Hamon André : a fait preuve d'un sarrg-froid et d'une bravoure remarquables, a été mortellement blessé ; le brigadier Maurice Guiot, au front depuis janvier 1915, donna toujours le plus bel exemple de dévouement et de courage, blessé mortellement; le maréchal des logis Richelieu Choquenet et le canonnier servant Pierre Brunet, tués au cours d'un violent bombardement en accomplissant leur devoir; Adrien Dupressoir, très bon oanonnier, présent au front depuis 39 mois, blessé par un éclat d'obus pendant que sa batterie se trouvait à la disposition de l'armée belge. o—o—- La crise hollandaise D'après le Times, M. Treub, ministre hollandais des Finances, autorise une déclaration d'après laquelle les différends qui ont éclaté entre lui-même et M. Posthuma, ministre de l'Agriculture, ne sont en aucune façon le résultat d'aucune préférence pour l'un ou l'autre groupe de belligérants,mais sont purement une question financière en connexion avec la juridiction départementale du ministre de l'Agriculture et la société hollandaise d'exportation récemment fondée. On sait, en tout cas, que M. Posthuma est un germanophile avéré. L'EMPLOI DES LANGUES A L'ARMEE LA SECONDE CIRCULAIRE DU GENERAL DE CEUNINCK Outre sa circulaire du 22 août exposant les principes de l'emploi des langues à l'armée que nous avons reproduite dans notre numéro du 5 septembre, le général De Ceuninck a publié une seconde circulaire réglant le côté pratique de cette importante question. Notre attention a été appelée sur ce document par la presse flamande, qui a reproché à la presse "franco-belge" de ne pas l'avoir reproduit. Nous déclarons volontiers que cette circulaire ne nous a pas été communiquée et que nous ne l'avons trouvée d'ans aucune des publications officielles des officieuses belges. Désireux de ne pas encourir le reproche de partialité dans un domaine où l'union des Belges est plus nécessaire que jamais, nous avons demandé le texte du document en question au "Bureau documentaire belge" du Havre. Il vient de nous parvenir et nous nous empressons de le porter à la connaissance de nos lecteurs. MINISTERE DE LA GUERRE Cabinet E .M. N. 3478. Au front, 13 septembre 1917. A toutes les autorités militaires, Par ma circulaire du 22 août dernier, Cabinet, E. M. n. 2863,adressée à toutes les autorités militaires, j'ai rappelé les principales prescriptions légales qui régissent l'emploi des langues dans l'armée. Afin d'éviter toute fausse interprétation sur la portée de cette circulaire, je désire préciser la pensée qui m'a amené à faire le rappel précité, spécialement en ce qui concerne les relations entre le cadre et la troupe. Chacun doit admettre comme naturel et légitime le désir de l'homme de voir ses chefs l'entretenir dans sa langue maternelle, particulièrement en temps de guerre où une mauvaise compréhension des ordres, recommanda-tion£ ou conseils qu'il reçoit, peut avoir une si grave répercussion, tant pour la collectivité que pour lui-même. Le soldat dont l'instruction n'a pas été faite dans sa langue, reste un aide incomplet, -incapable d'agir avec tout le discernement voulu. Il a le sentiment de son infériorité et de son impuissance, ce qui est déprimant. Ce n'est d'ailleurs qu'en parlant au soldat la langue qui lui est familière, que l'officier ou le gradé pourra obtenir cet ascendant moral et cette confiance dévouée qui sont les aides les plus sûrs et les plus puissants du Commandant de troupes. Il importe donc que tous les chefs fassent le plus tôt possible les efforts nécessaires pour acquérir une connaissance suffisante des deux langues nationales leur permettant de s'occuper également de tous leurs hommes. Je ne mets pas en cause la bonne volonté des cadres. Trop souvent, c'est par crainte du ridicule qu'on s'abstient de parler une langue dans laquelle on ne se croit pas suffisamment versé. Cette crainte est puérile et mal fondée. Loin de se moquer des efforts que leurs chefs tentent, nos soldats leur en sont sûrement reconnaissants.Le premier résultat à viser est donc d'inculquer aux officiers-et aux gradés subalternes qu'ils ont à prendre confiance en eux-mêmes ; que loin de fuir les occasions de s'exprimer dans la langue nationale qui ne leur est pas familière, ils doivent les rechercher systématiquement ; que, ce faisant, leurs efforts, comme le prouvent à suffisance les résultats obtenus par nos réfugiés et nos hospitalisés en Angleterre, seront récompensés beaucoup plus tôt qu'ils ne se l'imaginent généralement. La satisfaction qu'ils éprouveront de se sentir en rapports de pensée plus intimes avec tous leurs hommes, les paiera largement des peines qu'ils se seront imposées et que le devoir réclame d'eux. Aux officiers incombe évidemment la tâche d'aider leurs gradés subalternes dans ce travail d'acquisition de la deuxième langue nationale. Mais, comme pour eux-mêmes d'ailleurs, les conseils seuls ne sauraient suffire ; il faut que les officiers, au besoin par leur intervention personnelle, amènent leurs sous-ordres à ,se servir journellement de la méthode directe, la seule qui donne des résultats. Il faut aller plus loin encore : les officiers feront chose sage et utile en montrant à leurs hommes qu'il est de l'intérêt de chacun d'eux de savoir s'exprimer, tout au moins de façon sommaire, dans la deuxième langue nationale ; ils les engageront à se grouper dans ce but entre camarades d'origine linguistique différente, pour un enseignement mutuel et direct. De cette façon en outre, en se fusionnant davantage, nos soldats apprendront à mieux se connaître ; ils s'apercevront bien vite qu'ils sont faits pour s'entendre et non pour se laisser diviser par des préventions injustes, col portées par quelques individualités qui n'agissent pas avec discernement. Dans ce domaine comme beaucoup d'autres, les soldats les plus intelligents et les plus instruits ont un beau rôle à jouer. Mieux que les autres, ils sont à même de comprendre et de faire comprendre autour d'eux la nécessité de l'union indéfectible qui doit serrer tous les Belges sous les plis du drapeau national. Mieux que les autres, aussi, ils doivent comprendre l'obligation impérieuse de s'interdire à l'armée toute incursion, de quelque nature que ce soit, dans le domaine des propagandes politiques, au moment surtout où la Patrie est écrasée sous la botte d'un envahisseur sans vergogne, qui s'empare avec complaisance et astuce de tout ce qui peut servir la misérable politique de désunion des Belges qu'il poursuit avec acharnement. Mais mieux que les autres aussi, ils doivent sentir combien grave serait la responsabilité de ceux qui, oublieux de leurs devoirs les plus sacrés, se feraient à l'heure actuelle les propagandistes d'idées subversives et par conséquent les complices, fût-ce même inconscients, des oppresseurs implacables de la Patrie. Dans une paraille occurrence, le rôle des intellectuels me paraît nettement tracé : ils ne pourraient en effet que répudier formellement tout commerce-d'idées avec l'ennemi. Par leur pondération réfléchie et une saine compréhension des devoirs civiques et militaires, les membres les mieux doués de l'armée doivent avoir à cœur de guider, par leur exemple, dans la voie du devoir et de l'honneur, les camarades moins favorisés par les dons de l'esprit ou les bienfaits de l'éducation.Ainsi les efforts des officiers et assimilés, des gradés subalternes et des soldats se combineront pour éEarter tout ce que peuvent présenter de dangereux pour l'unité nationale les révendications linguistiques dans l'armée, où elles sont régies par des lois, des règlements et des instructions que je ferai strictement observer. Comme il s'agit en dernière analyse d'obtenir pour notre chère armée une cohésion et une force morale toujours plus grandes, je suis persuadé pouvoir compter, sans réserve aucune, pour la réalisation d'une tâche aussi noble et aussi élevée, sur le concours actif et éclairé de tous les membres de l'armée. Cette circulaire sera portée à la connaissance des troupes. Le ministère de la Gucrrs, (S) DE CEUNINCK. 0—o Le Noël des petits pauvres d'Anvers Physiologiquement, nos enfants se meurent de faim. Dr. SCHUYTEN. Chef du Service pédologique de la ville d'Anvers. Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de parti ou de religion. Treizième liste Report £ 124 o 9 " Fr. 210 " Schepens Belgian Agency ... 220 Pour notre Robert ^ 0 D'un lecteur de Surbiton ... "26 J. D. ... ... ... ... 20 After Lunch ... ... ... 90 Banque belge pour l'Etranger 620 £ 133 1 3 Fr. 210 Le Vatican et les Alliés Rome, 2 décembre. — La publication de la clause relative au Stùgt-Siège contenue dans l'accord entre l'Italie"t les Alliés a provoqué un grand remue-ménage au Vatican. ^La clause, telle qu'elle a été publiée ici, prévoit que " la France, l'Angleterre et la Russie appuye-ront l'opposition de l'Italie à l'admission d'aucune mesure diplomatique de la part des répresentants du Saint-Siège tendant à la conclusion de la paix et à la solution de questions relatives à la guerre". L'Osservatore romano écrit : " Personne ne peut s'empêcher de se rendre compte l'extrême gravité de cette dépêche, qui offre une clef à l'explication de bien des choses. Pour l'instant, nous nous abstenons de tout commentaire." Il semblerait qu'au moins une part du ressentiment causé dans les milieux du Vatican est au fait que les événements du mois dernier semblaient présenter une occasion spéciale pour pousser l'action diplomatique de la part du Pape. — Times.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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