La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1914, 24 Novembre. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 26 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/833mw2984s/
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LA MÉTROPOLE D'ANVERS. PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. 21ME ANNÉE. MARDI 24 NOVEMBRE 1914. N°- 328. COMMUNIQUES OFFICIEL FRANÇAIS. la destruction d'ypre: UNE CHAUDE JOURNEE. PARIS, 23 novembre.—Communiqué offic: do 15 heures:— La journ'éo d'hier a été marquée par do v: lentes canonnades. Ti'ennemi a dij.igé particulièrement son feu s Ypres, dont le beffroi, la cathédrale, les march et de nombreuses maisons ont été incendiéi ainsi qu'à Soissons et à Rheims. Dans l'Argonne, nous avons eu une très chau journée, et l'ennemi a fait un certain nombre •très chaudes attaques, qui furent repoussées. Pans la Woevre et les Vosges la situation < inchangée. LA GUERRE DE TRANCHEES. va-t-elle finir? MOUVEMENTS DE TROUPES ALLEMANDES. AMSTERDAM, 22 novembre.—Le correspc dant du " Telegraaf " à l'Ecluse dit qu'une û portante bataille semble imminente dans ] Flandres, à cause de l'hiver qui va rendre guerre de tranchées impossible. On ne peut pl creuser de nouveaux retranchements, et 1 troupes sont impatientes de se battre. Plusieurs indications dénotent un changeme dans la situation. Des milliers de soldats al man<3s ont quitté. Thielt dans la direction < front Ypres-Dixmude, avec de la cavalerie et l'artillerie. A Bruges, dix mille kilos de viande ont été : quisitionnés pour [es nouvelles troupes. Une nouvelle ligne de défense a été prépar par les Allemands derrière leur ligne de comb actuelle, et des canons ont été mis en position De Snep, sur la grand'route de Bruges à Courtr; les.meilleurs ingénieurs sont arrivés pour s'occ per du travail dans les régions inondées. La population des Flandres souffre extrên: ment du manque de combustible. De longu processions de pauvres gens se dirigent vers ] villes pour y trouver à manger. Les Allemands établissent des hangars po aéroplanes à Meirelbeke, près de Gand. Us e voient d'Ypres des cadavres liés en bottes quatre, dans des wagons de chemin de i fermés, vers Seraing, où ils seront incinérés da les hauts-fourneaux. Le roi Albert continue à séjourner au pl chaud de la bataille, et est aussi couvert de bo que les soldats quand il revient. Il est extrên ment populaire. La nouvelle de l'assassinat de deux sentinell allemandes à Maldeghem est fausse, et on n'a p saisi d'otages à cet endroit.—Exchange. UN COMMUNIQUE OFFICIEL ALLEMAND. renforts russes en pologne. BERLIN, 23 novembre.—Communiqué i grand quartier-général :— T,es combats continuent à Nieuport et à Ypr< Une petite escadre anglaise s'est approch deux fois de la côte, mais fut repoussée par not artillerie. Les canons navals anglais n'eure aucun effet. Dans la forêt d'Argonne nous gagnons du t< rain pouce par pouce, l'une tranchée api l'autre. L'un point de soutien après l'autre ( enlevé aux Français, et tous les jours nous f. 3ons quantité de prisonniers. Une violente expédition de reconnaissan contre .notre position à l'est de la Moselle f rendue ineffective par notre contre-attaque. En Prusse orientale la situation est inchang< Eu Pologne l'apparition de renforts russes 1 nant de la direction de Varsovie retarde la de sion de la bataille. Dans la région à l'est de Czenstochowa et nord-est de'Cracovie l'offensive des troupes ai tro-aUeniandes a été maintenue.—Wireless Pre OUVRIERS ALLEMANDS A ZEEBRUGG AMSTERDAM, 23 novembre.—Le "Niem Rotterdamsche Courant" rapporte de l'Ecluse q de nombreux trains avec des troupes fraîches se arrivés à Bruges- et à Gand venant de l'est, en outre, de la cavalerie du Brunswick. Ou ajoute-que des ouvriers du chantier na\ de Kiel sont arrivés à Zeebrugge pour y eonstru: (les (?) sous-marins dont les pièces démonte sont attendues d'Allemagne.—Reuter. Note.—Nou$ ayons déjà dit qu'il fallait acct ter avec îa plus grande réserve toute nouve relative au transport par terre de sous-mari allemands. -, PRESOMPTION AUSTRO-ALLEMANDE. ROME, 23 novembre.—Le " Lokalanzeiger" Berlin annonce que les armées allemandes et a Irichiennes ont "établi maintenant leurs quarti< d'hiver en France, dans les Flandres, en Galic en Pologne et en Prusse.—Central News. LE KAISER A ROULERS. PARIS, 23 novembre.—Un télégramme re de St. Omet à la date du 18 novembre, dit:—I prisonniers allemands capturés hier dans le d trie* d'Ypres ont déclaré que l'Erupere Guillaume a passé quatre jours à Roulers, il y environ dix jours. Une maison avait été arrang ix>ur ]e recevoir à l'extrémité est de la ville. A son arrivée l'Empereur portait, l'unifon de deuxième lieutenant de cavalerie et dén nageait constamment d'une maison à l'autre. Reuter. LES BARBARES A L'ŒUVRE. PARIS, 23 novembre.—La " Liberté " dit q jeudi soir les Allemands ont bombardé et co plètement détruit le Château de Soupir, château avait été transformé en ambulance pc les blessés français, qui purent être sauvés temps. Malheureusemerjt des tableaux de valeur des œuvres d'art/ appartenant à la propriéta Mme. Boursin, furent détruits par le feu. château de' Soupir se trouve à six kilomètres Vailly.—Reuter. S LE RAID AUDACIEI des aviateurs alli1 5. CONTRE L'USINE A ZEPPEI AMSTERDAM, 23 novembre.—L'Aile est vivement émue par le raid audacieu Friedrichshafen, exécuté samedi par de d'après certains journaux, par trois av (censuré). o- Le correspondant du " Lokalanzeiger " à richshafen dit:— é3 Deux aviateurs (censuré) furent signa. ;s midi de Constance, volant dans la direct: Friedrichshafen. Les autorités militaires furent immédia prévenues. A midi trente, les deux av parurent au-dessus de la ville et accom st, un circuit aérien. La détachement des artilleurs aérostiers aussitôt le feu sur les biplans avec des à shrapnells et des mitrailleuses. Le premier aviateur descendit en vc jusqu'à trois cents mètres au-dessus du ha dirigeables et jeta des bombes sans eff cependant, aucun dommage. Ia réservoir à essence de l'aéroplane fui et le pétrole s'écoula. L'aviateur fut obi descendre dans l'enceinte de l'usine à Zej à une centaine de mètres du hangar. L'éq du Zeppelin et la garde militaire s'élar aussitôt vers la machine et en expulsèrent teur. Il fut mené à la maison du ooncie: il s'évanouit. Il était légèrement blessi tête, et ^il fut donc envoyé en automot quartier'des prisonniers à l'hôpital. Le second aviateur lança des bombes E n- la ville et de la gare de chemin de fer, n- dommagea légèrement deux maisons, es tourna alors vers l'usine des Zeppelins et 3 la trois bombes, sans faire de dégâts, us U s'échappa après avoir été touché, et s' es dans la direction du lac. La machine de teur capturé fut démontée et envoyée à 3k nt (passage censuré).—Reuter's Spécial, e- AMSTERDAM, 23 novembre.—Un télég Ju de Stuttgart au " BerLiner Tageblatt" ajou ie le premier aéroplane lança trois bombes. lancées par le second tombèrent à trois :é- mètres d'un hangar, dans le lac. Il s'é< vers Manzell et prit la direction de la Suisse ée troisième aéroplane ne lança aucun proje at cause du feu dirigé sur lui, et disparut, à Le moteur de l'aéroplane capturé est un ' ll- en parfait état (passage censuré). L'aviate u- atterrit fit une tentative pour empêcher d't rêté, et déohargea son revolver, mais fut f; e- sonnier par un détachement de Landst.urr es sage censuré). U est blessé à la tête, ma es bablement peu gravement, et après que s sure eût été pansée dans un café, il fut cor ur l'hôpital. n- Le correspondant ajoute que les av :1e prirent sans doute leur vol à Belfort, et su er la vallée du Rhin.—Central News. 113 Note.—Friedrichshafen est situé à envi* kilomètres de Belfort, de sorte que le ra deux aviateurs qui. ont réussi à s'échappe atteindre au moins 400 kilomètres, une mance magnifique qui montre combien l'ac le courage des aviateurs alliés est efficace. ^ Il faut en effet accueillir avec la plus réserve les affirmations de la presse rept allemande quant au résultat négatif de c Lors du raid des aviateurs anglais sur 1 dorf, cette presse sans aveu déclara sereir la même enose, alors que toute la ville qu'un Zeppelin avait fait explosion, ce c mêmes journaux furent obligés de recoi plus tard. Chez les Huns, le mensonge, 1 la Kultur, est gratuit et obligatoire ! UNE DECLARATION OFFICIE iu deux bombes touche le but. re Qt LONDRES, 23 novembre.—La déclarati. cielle suivante a été communiquée cet apr< !.r" à la Chambre des Communes de la part Churchill, ministre de la marine:— ii- Samedi, une escadrille d'aéroplanes » commandement du chef d'escadrille E. P. ce d u Roval Naval Air Service, avec le comma ut aviateur J. T. Babbington et le lieutenant-a Sippy, vola du territoire français jusqu'à >e. de Zeppelins à Friedrichshafen. •e- Les "trois pilotes, successivement, pic ■■i- vers le sol à courte distance, sous un feu des mitrailleuses et des fusils de 1*en-ne iu conformément à leurs instructions, j is- chacun trois bombes. îs. On rapporte que le commandant Brigg: touché, blessé, et conduit à un hôpital, nier. E. Les deux autres officiers sont revenus s saufs sur territoire français, quoique leurs avaient été endommagés par le tir de fus ve Us rapportent positivement que deux d ue bombes atteignirent leur but, et que de ; nt dégâts ont été faits à l'usine de Zeppelir 3t> Ce vol de 420 kilomètres, dont 200 su toire allemand à travers une région monta al et dans des conditions atmosphériques di re constitue, avec l'attaque, une beau fait d'à es F" LA NOUVELLE EUROPE. le ns PARIS, 23 novembre.—Interviewe par présentant du "Petit Parisien," Signor Gu| Ferrero, l'éminent historien italien qui se actuellement à Paris, a déclaré qu'il aucun doute au sujet du succès final des de dont la cause, disait-il, était celle du dr u- l'équité et de la justice. rs 11 ajouta qu'il attendait avec confiai te, décision de son pays, croyant qu'elle heureuse tant pour l'Italie que pour la n< Europe que chacun désire. En conclusi Ferrero déclara que la. victoire de la Marn déjà changé la faoe du monde et que l'Eu ce jour, n'avait plus peur de l'Allema Reuter. ________________ — Après le juste tribut de gratitude qi nj. payé aux souverains belges, la Ville de 1 a eu l'idée d'une autre manifestation en l'hc ée cette fois, du peuple belge et de ses con communaux. Une " journée des villes belges " ou une ,a née du bourgmestre Max " serait organisée manifestation d'affectueuse sympathie se < rait d'un témoignage d'effective solidarité drapeaux aux couleurs .franco-belges et d daillons du bourgmestre Max seraient vend Parisiens qui tiendraient à honneur de les , et qui contribueraient ainsi à la constitutioi caisse centrale d'assistance à tous les réfu " Cette proposition va être soumise par MI vaux, Virot et Henri Roussel le au bureau c ur seil municipal. à —Un vif courant contre la guerre se f« parmi les socialistes allemands. U a sa et à Stuttgart. Liebknecht, Mchring, Rosa ] re burg et Clara Zetkin ont publie un ma Le dans lequel, en termes prudeuts, ils de prouvent l'attitude du conseil exécutif di le " Vorwaerts " les houspillé vertement. JX LES REFUGIES BELGES A ïs BERGEN-OP-ZOOM. ins. nouvelles d'anvers. ROOSENDAEL, 1S novembre (D'un de no: magne correspondants, par courrier):— îx et Quantité de fuyards rentrent journellement i atèurs ^-Qv€rs- Ce sont pour le pLupart de pauvres gen: qui préfèrent rentrer en pays conquis plutôt qu< p^ed de mener une vie misérable et sordide dans les campements hollandais. Car il faut bien le dire hélas ! si la grande majorité des IJollandaia dé 'es 9e bordent de commisération pour le sort fait auj on e réfugiés belges, si en général l'hospitalité de no; ;ement frères du Nord est généreuse et fraternelle, er lateurs " certains endroits"—j'insiste sur ces mots—des plirent pressions occultes sur les autorités " locales " s< ouvrit son^ sentir et rendent la situation de no: obus compatriotes bien misérable. U en est ainsi, notamment, à Bergen-op-Zoom lplané et la presse hollandaise tout entière s:en ocdlipK ngar à ^ moment. Je ne veux pas décrire ce qu< îctuer, yu là_ Qn m€ reprocherait d'exagérer. percé Le "Telegraaf," un des journaux hollandais igé de les plus répandus, qui dès le premier jour s'es ipelins rallié à la cause des Alliés, a publié à ce propof uipage un article dont je traduis le passage suivant, qu cèrent en dit long:— l'avia- "Il faut surtout que les réfugiés ne soient pas ge, où trop bien traités (" ze moeten net vooral niet te i à la goed hebben ") car, dans ce cas ils ne partiraien ile au pas ... et on fait tout pour qu'ils partent... C'es là l'intention nettement marquée des autorité; rès de locales et, par ce campement, ils exercent not et en- pas une douce influence, mais une influence U re- très marquée sur les réfugiés belges." lança Et le distingué correspondant parisien de c< journal, M. Alexandre Cohen, a écrit, à propos d\ envola même campement inhumain, dans une ue se* l'avia- correspondances, la phrase suivante: "Si j'étaiï [anzell encore Hollandais, j'aurais honte de l'être." D'autres Hollandais, la majorité des Hol •anime landais, sont de son avis; ils trouvent ce campe te aue ment un€ honte pour la Hollande ... Celles 11 convient de dire ici à l'honneur de ces Hol cents landais que le gouvernement prendra d'ici pei happa ^es mesures pour apprendre aux " autorité; 1jjn locales" de Bergen-op-Zoom que les malheureu> ctile à Belges qui ont fui devant l'invasion des Barbare: ne sont pas du tout " indésirables " et qu'il; 3nome méritent un traitement plus humain et surtou ui moins cruel. tre ar- scra une au^re " prise de Berg-op-Zoom." ori" Les villes frontières de Hollande regorgent ton 1 (nas- î°urs de monde. Mais ce sont, pour la plupar ispro- des 6ens cossus> des "bourgeois" qui saven i bles- Paycr et qui paient. duit à -^a se"le occupation des Anvcrsois résidant ic consiste à attendre les arrivées des trains d'Anvers lateurs ■^es ^eures sont longues dans cette ville triste e ivirent morne et l'arrivée d'un train du pays qu'on aime où l'on a laissé tant d'êtres chers, tant de sou venirs, est tout un événement. jn 200 Si tous ceux qui rentrent ont le front triste e id des bas et les yeux pensifs, ceux qui sortent du payi r a dû conquis ont le sourire perfor- Nous avons eu la chance de rencontrer un am tion et à la sortie de la gare. — Vous venez d'Anvers? grande —Hé, oui! lienne —QUe se passe-t-il là-bas? î raid. —Oh, rien de particulier, tout est calme. )ussel- —H ne s'y passe donc rien? ement —^ Mais non ; la ville est triste et vide.... on n'î savait rien à faire.... On ne sait rien et l'on crain ue les tout.... maître Un grand sentiment d'inquiétude vague et d< :omme maiaise règne, encore accentué par la fermeturi précoce des magasins, clos à cinq heures, et pa: la terrible vacuité des rues le soir-—par ordre Toute personne rencontrée dans la rue après i ï I r heures (heure allemande) paie 3 marks d'amende LiLiLi. est reconduite chez elle. Il n'y a pas de petit: profits pour les Huns. Les affaires sont mortes.... beaucoup de soldati xt'x* allemands et autrichiens dans les rues.... Il n< iN 1 se passe rien, pour le moment. —-Pourquoi êtes-vous parti alors? Comptez vous retourner à Anvers? — Ah non ! J'ai mis de l'ordre dans mes af m offi- faires et je suis parti; je ne veux pas travaille !S-midi pour le roi de Prusse, ni pour ses soldats. de M. — Vous avez eu beaucoup de peine à obteni un laisser-passer? ms le —rï" a^endre trois jours dans la rue. Cer Briffés tains gens pressés—j'en étais—offrent jusqu'i ndant- vin£t francs pour prendre une place plus avancé) dateur dans la fiîe- —On délivre les laisser-passer à tous qui et 1 usine dcmandent ; uèrent —^ non ' ** ^au' ^a*ro valoir des raison; violent " sérieuses." L'officier vous cuisine et tâche d> mi et vous embrouiller. Si vos raisons sont bonnes, s Gèrent vous ayez plus de quarante-cinq ans, on vous dé livre le laisser-passer moyennant une taxe d'ui • o mark. Alors vous êtes autorisé à quitte nrtson- Ueutsch-Belgien. p o " — Beaucoup de journaux locaux paraissent ; . Anvers? iwrifMvs —Oh, ils ne sont pas du tout lus; on n'attaclu aucune croyance aux nouvelles publiées par le: , gazettes locales, qui sont toutes visées par 1; î leurs « Kommandatur." ■eneux —- Et les "Antwerpsche Tijdingen" paraissent elles toujours? r terri- —Oui, ce canard à la vie assez dure, parait-il |neuse Majs personne n"en veut; on préfère le ' Nieuwi nciies, Rotterdamsche Courant." La " Nieuwe Gazet ' rmes. paraît aussi. Mais ni la rédaction ni la directioi ne sont responsables de ce que ce journal publie Son directeur, M. Burton, est à Londres, et soi rédacteur en chef, M. Auguste Monet, est à Am sterdam, où il collabore au " Telegraaf." Oi un re- dit que la " Nieuwe Gazet " a dû paraître " pa •lielmo ordre".... Mais on dit tant de choses.... Ainsi trouve on me disait aujourd'hui que Herr von Mallin n'avait krodt est nommé bourgmestre de Cappellen pa Alliés lfis Allemands et que M. Franck était menao oit de d'être enfermé dans une forteresse allemande tout comme son illustre confrère Max; il s'étai 10e la opposé, parait-il, à une réquisition illicite.... Mnii serait Ôsterrieth a mis à la disposition des autorité mvelle allemandes son magnifique hôtel dé la place d< on M Meir, à condition que ceux-ci respectent le palai e avait r°yal et qu'ils n'y entrent pas. C'est de l'abné rrmp à gation ! ' —Les cafés sont-ils ouverts? — A peu près tous. Les cafés allemands son surtout fréquentés. Les deux tavernes anglaise l'elle a Kass Tavern " et "Greenwich" continuent i >aris a débiter les bières anglaises. Ce sont pour ain? nneur 'es deux seuls cafés où l'on cause librement =eillers Les Allemands n'aiment pas les bières britan 2 niques. Aussi évitent-ils ces deux établisse .< io ments. Cette — !-es communications avçs Bruxelles sont-elle iouble- rétablies? —Non; deux trains partent journellemen es mé- d'Anvers à Bruxelles; mais ils empruntent 1 us aux ligne Louvain-Bruxelles.; on met environ hui irborer heures pour atteindre la capitale. Le servie 1 d'une d'autos est supprimé et remplacé par une sort ~ de diligence. C'est un chemin bien long... Mai A Des- ee n'est Pas le bout du monde... Et puis, ajout u Con- n°tre ami malicieusement, Tipperary est biei plus loin, et on y arrive aussi ! it jour source —Uno dépêche Reuter d'Amsterdam annonc ,uxem- que M. Franck, " bourgmestre d'Anvers," s'oj-nifeste pose à la demande faire par l'ennemi du pav<? désap- ment d'une contribution de guerre de 50 million 1 parti, de francs. On craint que M. Franck partager le sort de M. Max, bourgmestre de Bruxelles. NÔTRE ARMEE EST, NON PAS i VINCENNES, MAIS AU FRONT. Le HAVRE, 23 novembre.—Le " XXm Siècle" publie la note suivante:— La presse allemande é'efforcc par tous 1 moyens, de faire croire que l'armée belge e hors de cause. Ce que les soldats teutons n'o: pu accomplir, elle tente de le faire. Hier, elle prétendait que notre armée i comptait plus que 25,000 soldats. Or, c'est 125,000 Belges qui tiennent cai pagne. Aujourd'hui, la presse d'Outre-Rh raconte que les " débris " de notre arm> ; seraient à Vincennes, près de Paris ! Mensonge absurde, puisque notre arm ; est au front et y mord cruellement, chaqi , jour, la meute allemande. la gratitude des huns, UNE ANNONCE ALLEMANDE. ! Dans la " Kôlnische Zeitung " du 12 novemb , on peut lire l'annonce que voici sous un gr titre " Antwerpen " :— " Je suis retourné à Anvers et je reprends , représentation des intérêts des firmes ail mandes. Je suis établi à Anvers depuis vin^ , cinq ans, et je connais la région et ses habitaiil ; Je suis au courant des usages du port. Je suis < ' état de satisfaire à toutes les exigences. Je n ; recommande également à ces firmes qui avaie noué des relations commerciales avec la Belgiqi , et qui désirent maintenant confier leur Teprése i tation à des Allemands. Je tiens à leur dispoi . tion des recommandations allemandes de to premier ordre." Et cette annonce, que tout commentaire d florerait, est signée de Ph. Hemer, un nom qi beaucoup d'Anversois connaissent bien. U éta en effet, établi à Anvers depuis vingt-cinq ar et il connaissait bien la ville et le fort... Tr< ( bien, diront d'aucuns d'entre nous! COMMUNIQUES OFFICIELS RUSSES. entre la vistule et l. warta. PETROGRADE, 22 novembre.—Communiqi officiel de l'état-major du quartier-général:— Les combats sur la Vistule et la Warta co , tinuent avec une détermination suprême. ; Il n'y a pas de modification essentielle sur k front ( 'zenstochowa-Cracovic. Nous avons ca l tuîé 2000 prisonniers et plusieurs mitrailleuses En Galicie, les Autrichiens ont évacué Nov Sandec sous la pression de nos troupes. un grand succes russe PARIS, 23 novembre.—Le " Matin " apprei , de source privée de Pétrograde que les Russ > auraient remporté un nouveau et important su cès entre la Warta et la Vistule, où, vendredi, i • avaient déjà arrêté l'offensive allemande. 1 La question est de savoir combien d'AIleman : réusiront à rentrer en Allemagne sans être fai > prisonniers. Une autre et terrible bataille se livre sur ! ligne Czenstochowa-Cracovie, où les Russes o ' fait plusieurs milliers de prisonniers. A Kutno les Russes ont fait 12,000 prisonniei —Exchange Spécial. L'AUTRE CLOCHE. ; victoire autrichienne i AMSTERDAM, 22 novembre.—Le communiq' 1 officiel suivant a été publié à Vienne:— 5 Nous et nos alliés continuons avec succès n ; attaques en Pologne russe. Plusieurs contre-: [ taques par l'ennemi ont été repoussées. Jusqu'ici les troupes austro-hongroises ont ca L turé 1.5,000 prisonniers à l'ouest de la riviè . Dunagec, et dans les Carpathes d'importantes t tailles sont engagées.—Reuter. i , LE DERNIER EFFORT DE L'AUTRICHE L VENISE, 23 novembre.—A partir du 1er c cembre toutes les écoles à Trieste et les distrii environnants seront fermées. La majorité d instituteurs qui sont rappelés sont des homm ; de la dernière Landsturm. ; La levée a privé la contrée, et d'une façi absolue, de tous les hommes, causant une dés 1 lation et une misère terribles parmi la populatii qui est déjà si pauvre en temps normal. 1 Les manufactures de Vienne ne peuve " obtenir du charbon par les moyens habituels, . ont été obligées de s'adresser au ministre d travaux publics afin qu'il fasse usage des moye ^ qui restent à sa disposition dans pareille circc ' stance. Le ministre a donné l'ordre en coni ^ q.uence aux charbonnages du district d'Ostrau ' Karwin de fournir immédiatement 70,000 tonn< ? La consommation quotidienne en charbon la ville de Vienne en hiver est de 10,000 tonn< : et quoique le froid commence à peine à se fai l sentir le manque de charbon est déjà perceptib ' Les stocks sont épuisés et difficiles a renouvel 5 par suite de la production réduite des mines du manque de facilités de transport.—Reuter. 5 LES MASSACRES TURCS. I ' ATHENES, 23 novembre.—Un télégrami reçu ici de Constantinople signale qu'une gran [ force de troupes turques qui ont été transféré d'Andrinople à Trébizonde ont mis à sac 1 magasins de cette dernière ville. Trois clirétie 3 .ont été tués.—Reuter. t = 1 — Le gouverneur militaire de Munich, dit t Standard, a menacé d'un an de prison toute p 3 sonne ré p. (ndant des nouvelles alarmistes—c'e 2 à-dire, celles qui disent la vérité sur l'avance d s Russes. J — Le " BerLiner Tageblatt," organe consk rable de la Kultur allemande, après avoir ra porté qu'à Beveren (Belgique) 150 soldi bavarois vidèrent en deux heures 3 485 litres 3 bière, ajoute gravement: "Il est satisfaisant . constater que la bière belge convient à la cc . sommation bavaroise." s —326 soldats et officiers allemands de la g: t nison de Tsingtao sont arrivés dimanche à Toi et ont été internés au temple de HonsaniL ^ les belges en angleterr: Le Royal Yacht Club de Belgique, représenté Londres par M. Albert Grisar, hon. sympathiqi e. secrétaire, vient de s'établir à Londres dans 1 locaux du " Royal Thames Yacht CLub," Picc dilly, qui a accordé à la société anversoise :s plus généreuse hospitalité et a permis à tous s membres de s'inscrire comme membres hon 3 raires. il Une carte d'identité, signée par le sécrétai du club, sera remise à ceux qui'en feront la c mande au local précité ou par écrit à M. Lint» 10 Hope, le distingué architecte naval, Adam-stre< * * * Q~ M. H. De Vriese, écbevin des finances de n ville d'Ostende, a donné samedi dernier, ie Londres, une audience aux nombreux Ostenda résidant actuellement en Angleterre. ie L'initiative prise par l'honorable mandatai ostendais a obtenu un vif succès, car très noi Ie breux étaient ceux qui y avaient répondu. L'a pel de M. De Vriese a eu le sérieux avantage 1 renseigner exactement les Ostendais sur la situ tion de leur ville et a permis de leur fournir d indications précises sur celle de leurs affair personnelles. M. De Vriese a donné des détails circonstanei concernant l'occupation allemande et a rassu ses amis autant que faire se pouvait. L'honorable écnevin s'est chargé de remett re aux personnes restées à Ostende les lettres >s commissions lui remises par les Ostendais qui 1 en firent la demande. , Le mandataire communal est parti pour ] Haye, d'où il regagnera Ostende; il retournera e- Londres samedi prochain. Il fixera le lieu ;t- l'heure de son nouveau rendez-vous dans les joi s. naux belges paraissant en Angleterre. *n * * * Une première exposition collective d'eeuvi belges au profit d'artistes belges restés dans le patrie et ruinés par la guerre va s'ouvrir ch ie M. McLean Gallery, 7, Haymarket, S.W. R" Cette manifestation artistique de tout premi ordre présente au public anglais un enoix Jfc plus de cent œuvres signées exclusivement p des artistes belges et représentent pour la plupf e" des sites et paysages atteints par la guerre. I je œuvres dont plusieurs de dimensions sérieuse [t« ont été transportées, à travers les postes alleman s» en voiture par les champs de bataille désolés 'P la province d'Anvers et par les plaines de campine par MM. Armand Du Plessy et Raplu Dumman. On verra à cette exposition des toiles, aqt: relies et eaux-fortes de MM. Firmin Baes, G« Bernier, Henri Thomas, Jean Gauveloos, Gaillard, Maurice Hagemans, Théo Hannon, H. Jacqmotte, Maurice Langeskens, qui fut Liège avec le 9e de ligne et est prisonnier Allemagne; George Lemmens, Amédée Lyne JuL Merckaert, J. B. Meunier, Henriette Meuni H. Smits, J. Taelemans, Louis Titz, Cari Wer mien. Le produit des entrées et des ventes sera cc sacré a la constitution d'un fonds destiné à aie 2é nos peintres à traverser la crise actuelle. L'ouv-ture aura lieu vendredi prochain, 27 novemb à 15 heures, à la McLean Gallery, 7, Haymark Q- dans les splendides locaux gracieusement prêl par M. Cremetti. lc Les hauts patronages suivants ont été acqub p. la "Mission artistique belge " : S. Em. le cardii: Bourne, archevêque de Westminster, S. Exc. comte de Lalaing, ministre de Belgique; Sir E. Poynter, président de la Royal Academy : î Charles Holroyd, conservateur de la Natior Gallery, et Sir A. G. Temple, directeur de la C ^ lerie du Guildhall. Le jour de l'ouverture l'entrée est fixée à u couronne, les jours suivants un shelling seu ment. Les acheteurs de dix cornets de c« 1(1 tickets recevront un tableau à titre gracieux, es chaque fois que mille entrées auront été vendt: c- une œuvre sera offerte aux visiteurs. La répai tion aura lieu à la fermeture de l'exposition. Tous les Belges de Londres viendront voir ce js magnifique exposition, qui constituera dans l'e: une réelle évocation de la patrie dans ses sii les plus charmeurs. la * * * Le Belgian Book Trade Relief Fund av; atteint au 21 novembre £691 15s. 9d. s Le " Publishers' Circular " attire l'attention c libraires belges sur la note suivante qui a pa dans la "Bibliographie de la France" du novembre :— Dans l'impossibilité où nous sommes de co muniquer avec nos confrères belges, par su des événements actuels, nous prions ceux d'eni eux qui se trouvent en Angleterre, en France en Suisse, de nous donner leurs adresses; no nous ferons un plaisir de les publier dans . " Bibliographie de la France," pour aider n lé confrères à communiquer entre eux. Nous serons heureux si, en mettant à leur d position un local dans l'immeuble du Cercle ^ la librairie, nous pouvons coopérer ainsi à L^" reconstitution temporaire à Paris de l'organi: tion corporative du Cercle de la librairie belge. P- Nous adressons à MM. Bruylant, Cornél re Lebègue, Vandeveld et Desoer l'expression de r a- sympathies et de nos sentiments dévoués. * * * Un cercle intitulé " Esperanza" et dont le t constitue une heureuse innovation au point E. vue des secours aux réfugiés belges, vient d'ê créé à Londres sous les hauts patronages de . le Comte de Lalaing et du Lord-Maire de Londr f" Le but principal du cercle est de récolter c fonds pour faire des avances aux réfugiés belg f® qui jouissent en Belgique d'une certaine aisar et dont les ressources sont actuellement épuisé Les sommes prêtées sans intérêts et sans fr; )n devront être remboursées au retour de l'empn °" teur dans son foyer, s'il ne peut le faire aupa >n vant, et seront alors employées à secourir Belges nécessiteux. 11J Le cercle fera aussi des distributions de vê et ments et mettra gracieusement à la dispositi 05 des membres, dans la Cité, un local qui le servira de lieu de réunion, tant pour les intéri H" du cercle que pour leurs intérêts privés. ie" Pour répondre au voeu formulé par M. Vand et velde, ministre d'Etat, une section spéciale < formée au sein du Cerc'.e avec mission le recueillir des cigares, cigarettes, tabacs, pip etc. ro Différentes personnalités anglaises et bclg ?• de toutes opinions ont accepté des pla< er d'honneur dans les comités, notamment et Pollet, consul-général de Belgique, Mgr. l'Evèq d'Amycla, vicaire-général de Westminster. M Camille Roussel, rédacteur en chef de 1' " In< pendance Belge" (Bruxelles), et Jules Cla directeur de la " Métropole " (Anvers). D'aut: liantes personnalités sont pressenties pc donner leur concours au cercle. ie Le comité effectif est composé actuellemï le de MM. A. Jonckheere, James Renton, E. Brv es Millar, D. C. Crisp, J. M. Longe, Pieire Defran os Emile Herve, Gaston VanderMeeren, Jos. Spi QS Boisée, Arthur Ansay, F. Reader. Le local provisoire est situé King-street 9-! Adresser la correspondance anglaise à Mr. Brt: i. Millar, 70a, Basinghall-strèet, E.C., La c respondance française et flamande à M. Vanc £ Meeren, 34, Court-lane, Dulwich, S.E. es - — Le Conseil municipal d'Orléans a déci lé- de donner le nom d'Albert 1er à la place de p- Gare et les noms de Gec>rge V. et de Nicolas .ts aux deux ponts de la Loire. de — M. Jacques Pécher, père de M. Ed. Péch ie député, est mort sur le champ de bataille n- l'Yser. U était âgé de 24 ans. — Un officier français prisonnier de gue; Lr- à Halle a été condamné à six mois de prison pa: io qu'il avait "insulté un soldat de la Garde riant." " Lachcn verboten " 1 s TRAITRISE TEUTONNE. à les allemands arment les populations indigenes en ^ afrique. O- re Pour justifier les atrocités qu'ila ont commises ç. en Belgique, les autorités allemandes affirment >n que c'est par ordre du gouvernement que les ît, civils ont été armés et qu'ils cxnt t.Lré sur leurs troupes. Gomme ils ne peuvent faire la preuve la de leurs allégations Jes Prussiens trouvent tout à simple de dire aux Belges: " Prouvez que vous is n'avez pas tiré ! " Ils ne se doutent pas que toute personne impartiale objectera que c'est re aux Allemands à prouver que les civils ont tiré sur eux. ie En attendant qu'orne enquête sérieuse faite a- par les nations neutres ait établi l'inanité es des accusations allemandes, la Belgique, elle, es a le droit de dénoncer au monde civilisé rem-é ploi que font les Allemands en Afrique d'auxi-r| liaires indigènes sous la conduite de leurs chefs sans aucun contrôle européen. re Les autorités de l'Est Africain allemand, de-et vaut l'infériorité numérique de leurs troupes, 111 obligées de faire face de trois côtés à la fois, ja n'ont pas hésité à armer les indigènes et à les Jà lancer contre le Congo belge dans la région du et lac Kivu, sans que les troupes belges eepen-ir- dant fussent entrées sur le territoire allemand. Il est facile de prévoir à quels excès conduiront l'emploi de ces noirs échappant à tout contrôle européen. ez C'est peut-être pour justifier de l'emploi de ces auxiliaires noirs que les Prussiens ont in-er venté les francs-tireurs belges! ie ar ,rt — D'après des nouvelles de Rotterdam, les es Allemands voudraient être à Calais le 10 dé-;s, cembre. Pendant la semaine dernière 80,000 ds hommes de renforts, avec 200 canons, principale-ie ment de 32 centimètres, seraient passés par la la Belgique, en route pour le front. On s'attendrait el à une nouvelle et violente attaque sur l'Yser. — Sir H. Dalziel, qui avait déjà signalé la a" forte exportation de thés anglais vers Tes pays i°\ neutres, a dit hier après-midi à la Chambre des E- Communes que les exportations de cacao ont aug-G- menté en septembre et octobre de près d'un mil- â lion 300,000"tonnes. Il a demande l'interdiction 5n de l'exportation de ce produit vers les pays n> neutres. — Le gouvernement anglais a établi que le câble de la Jamaïque avait été coupé par des n_ croiseurs allemands quelques jours avant la dé-,er claration de guerre. îr- —Le Canada, a décidé de porter l'effectif de :e, son armée à 108,000 hommes. —Le "Figaro" d'hier publie un appel de Maurice Maeterlinck aux neutres, leur de-. mandant de prendre des mesures pour sauver les ^ trésors artistiques, existant encore en Belgique Je et ses quatre grandes cités encore intactes. J. S LE LIVRE D'ADRESSES DES EXILÉS ne 9 pence la ligne.—Joindre le montant aux ordre*. le- nt A NDRE, JOS., Boul. Anspach, Bruxelles et -L*- Ulinerva), 10, Wa.ton-crceceat, Qxtord. es /CAPITAINE COMMANDANT ROMDENNË; ti- ^ liôtel Uo ia pire, a l''ecamp, demande nouvelles de 63 lemme, ses deux filles et .Madame Houaj*t. te nOCTEUR DE BEVE, 9, Finsbury-square cil JLJ (City). _ Consultation de 2.30 à 4 h., saui le samedi, es 1^|0SSIN, lieut. 3e lig., est prié donner JLJ nouvelles à. J. Alontangie, 27, Aldrington-rd-, Streatham. KONINGS JEANNE FRANÇOISE, épouse, est recherchée.—Prière écrire " Glenaladale," 31, Woburu. piacc, llussell-squarc, Londres, W.C. es T E CAPITAINE VAN MELLAERT est prié de ru donner immédiatement sou adresse au bureau militaire ^ belge, de Finsbury-ôquare, 10. M ADAM EDE SCHOONEN DE GROULART demande l'adresse de Mme. Jean Hollmann et do Rcnc. T —Pouvez ccrire_79, Mark-lanc, l^ondres. j! TVTELLY MALENGREAU est Bruxelles chez 1 , il Delloese.—Ecrire: Van do Mergel, 83, The Ayenue, Mus- et well-hill, I/ondon. 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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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