La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1914, 10 Novembre. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 04 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/rb6vx0739g/
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LA MÉTROPOLE D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. 31ME ANNÉE. MARDI 10 NOVEMBRE 1914. No- 314. COMMUNIQUES BELGES. la bataille de l'yser. AVANCE VERS NIEUPORT. LE HAVRE, 9 novembre.—Communiqué i officiel du quartier-général belge:— Dans le voisinage de Nieuport, la situation reste presque stàtionnaire, avec une légère avance. Un calme presque complet prévaut sur le reste du front (belge). Sur la rive gauche de l'Yser, l'ennemi occupe toujours certains points d'appui, qui ont été bombardés par notre artillerie. Dixmude a été bombardé par l'artillerie ennemie. COMMUNIQUES OFFICIELS FRANÇAIS. offensive allemande sans resultat. PARIS, 9 novembre.—Communiqué officiel de 15 heures:— Sur notre aile gauche, les Allemands ont une fois de plus renouvelé leur offensive contre Dix-■rnde et la région d'Ypres, et spécialement au 6ud-est de cette dernière localité. Leurs attaques ont été repoussées partout. A la fin de la journée, sur le front tout entier entre Dixmude et la Lys, des progrès ont été faits sur la plupart des points. Néanmoins, notre avance est lente à cause de i l'offensive que l'ennemi a prise maintenant, et [, des ouvrages défensifs organisés très efficacement. qu'il a eu ln temps de construire autour du point d'appui, depuis le commencement de la , bataille. Le brouillard a rendu les opérations difficiles, surtout entre la Lys et l'Oise. Dans le centre, sur l'Aisne, le progrès annoncé dans le communiqué d'hier est maintenu. Dans l'Argonne et autour de Verdun, des actions de peu d'importance ont eu lieu. Sur notre aile droite, en Lorraine, il n'y a rien à signaler. En Alsace, de nouvelles attaques effectuées par les Allemands contre le Col Sainte-Marie ont eu pour résultat une défaite marquée pour l'ennemi. LES FRANÇAIS SUR LE PLATEAU DE VREGNY. PARIS, 8 novembre.—Communiqué officiel de 23 heures:— Dans le Nord, l'ennemi paraît avoir concentré son activité dans la région d'Ypres, sans aucun résultat cependant. Nous avons conservé nos positions partout. >->ur l'Aisne, au nord-est de Soissons, nous avons atteint le plateau de Vrégny, sur lequel nous n'avons pas encore pris pied. Il n'y a rien d'autre à signaler. attila ii reparle de "gott mit huns." AMSTERDAM, 9 novembre.—Lorsque le Kaiser était en Belgique au début de ce mois il passa en revue une force importante de cavalerie, et, au cours d'une harangue adressée aux officiers il fit l'éloge du travail de leur arme. " Peut-être, dit-il, me suis-je trompé en ne prévoyant pas pendant les manœuvres en temps de paix tout ce que la cavalerie ferait maintenant. La cavalerie s'est battue, et avec la bayonnette, et avec la pelle." Le Kaiser exprima l'espoir que la cavalerie puisse de nouveau trouver une occasion d'employer la lance, "si, ajouta-t-il, avec l'aide de Dieu, qui nous a déjà donné tant de victoires, nous réussissons à entourer l'ennemi."—Central News. LE PILLAGE SYSTEMATIQUE. PARIS, 8 novembre.—Une note semi-officielle, publiée ce soir, dit:— On sait qu'à l'exemple de leurs officiers, les soldats allemands ont organisé le pillage systématique partout où ils passent, en Belgique comme en France. Des trains spéciaux ont transporté en Allemagne le butin enlevé de châteaux par des princes et d'autres nobles appartenant à l'armée onnemie. Le butin du menu fretin a égalment été expédié régulièrement par fer, et ce service spécial semble être bien organisé.—Reuter. Note.—Les "patriotiques" rédacteurs des journaux " belges " paraissant en Belgique et " non soumis," d'après ce qu'ils affirment, à la censure allemande, sont priés de bien vouloir reproduire la note ci-dessus. roosevelt defend la belgique. NEW YORK, 8 novembre.—M. Roosevelt, dans un article publié aujourd'hui par le " New York Times," écrit:— " Il ne sera jamais possible dans aucune guerre de commettre une atteinte plus évidente à la moralité internationale que celle que l'Allemagne a commise en envahissant et en subjugant la'Belgique." Cependant, nous n'avons fait aucune démarche pour redresser les griefs des Belges. " C'est une farce pour les Etats-Unis de signer des traités à La Haye et de conclure des accords si notre gouvernement ne se considère pas comme obligé de voir que ces règles soient observées en fait."—Reuter. Note.—Nous dédions l'appréciation de M. Roosevelt aux Belges qui croient devoir accepter le " fait accompli " et à ceux qui ont le " patriotisme " de publier des journaux dans lesquels on ne redit pas chaque jour aux Allemands qu'en ne respectant pas notre neutralité, en mangeant leur parole, en considérant un traité qu'ils ont signé eux-mêmes comme un chiffon de papier, en trahissant notre Roi et son gouvernement, ils ont commis le plus lâche et le plus vil" des crimes. — Une dépêche de Washington annonce que, le croiseur allemand " Geier " n'ayant pas quitté le port de Honolulu à la date fixée par les autorités américaines, a été interné samedi à minuit P°UJ la durée de la guerre. Le steamer allemand "Loksun," de 1657 tonnes, a subi le même sort. La sortie du "Geier" était surveillée par des navires de guerre japonais. GREVE DES CHEMINS DE FER EN BELGIQUE. tous les passeports annules. (Correspondance de la." MetropoIe."] ROTTERDAM, 9 novembre (par dépêche).— J'apprends de source sûre qu'une gTève vieni d'éclater parmi le personnel des chemins de fei belges dirigés par les Allemands. On ignore pour quel motif elle a éclaté el quelles sont les revendications des grévistes. On ne sait pas non plus quelles mesures on! été prises par l'administration allemande poui faire face à la situation. Toujours est-il que depuis ce matin les trains de Roosendael à Anvers ont cessé de circuler. Par la même occasion, tous les passeports délivrés par les Allemands à Anvers et à Bruxelles aux voyageurs désirant gagner la Hollande, ont été annulés. UN SUCCES BELGE ENTRE BRUXELLES ET LOUVAÎN. "furor teutonicus." PARIS, 8 novembre.—Une dépêche de Rotterdam au "Temps" dit que le gouverneur-général allemand en Belgique a fait publier à Bruxelles la proclamation suivante — Dans la soirée du 25 octobre, la ligne de chemin de fer et la ligne télégraphique ont été détruites entre Bruxelles et Louvain. En conséquence, le 30 octobre, ces deux villes ont dû fournir des otages. A l'avenir, les endroits où seront perpétrés de tels complots seront punis sans merci. Des otages ont été pris dans tous les endroits situés aux environs des lignes de chemin de fer qui sont menacées, et à la première tentative de destruction de la voie ferrée, ou des lignes télé- fraphiques et téléphoniques, ces otages seront usillés. De plus, les troupes qui ont la tâche de protéger les lignes ferrées ont reçu ordre de tirer sur quiconque approchera d'une manière suspecte des ouvrages en question.—(Signé) VON DEIt GOLTZ.—Reuter. !Note.—Notre correspondant de Roosendael nous avait déjà signalé cet attentat dans sa lettre du 30 octobre, parue dans la Métropole du 3 novembre, où il disait:— "Mardi (27 octobre) des trains militaires envoyés vers Lierre et Aerschot ont rebroussé chemin et sont rentrés à Anvers: il a dû se passer quelque chose sur la Ligne, mais on ignore exactement quoi." Il est certain que la destruction en question constitue un fait de guerre. Les Allemands le savent. Néanmoins, avec leur von der Goltz-Pacha en tête, ils(en rendent la population civile responsable et menacent les otages du supplice I Ces " doux agneaux," comme disent les panger-manistes d'Anvers, ne se sont guère radoucis depuis Visé, Louvain, Aerschot et Termonde l L'IMPOT DE GUERRE D'ANVERS. 50 millions. AMSTERDAM, 9 novembre.—D'après 1' " Echo belge," publié à Amsterdam, les Allemands ont imposé a Anvers le paiement d'une contribution de guerre de 50 millions.—Reuter. Note.—On ne dit pas si cette contribution doit être payée en argent et fait suite aux fortes taxes en nature exigées par les Huns, ainsi qu'au pillage des entrepôts. Toutes nos félicitations, en tout cas, aux bons bourgeois restés à Anvers qui ne cessent de représenter—par ordre—les Barbares qui ont envahi, saccagé, brûlé et pillé notre pauvre pays, comme des modèles de douoeur, de vertu et de générosité. LA " SAISIE " DES LINS ET FILS A G AND. ROTTERDAM, 8 novembre.—Voici de nou-vèaux détails sur la " saisie," par les Allemands, des matières premières des tissages de Gand, que la Métropole a déjà brièvement signalée :— Les autorités allemandes ont interdit toute exportation de fils, tissus et matières premières. Ils ont délégué à Gand les Herren Kuno Seeclc, Kuhnemann et Heller pour " dresser l'inventaire " des lins, étoupes, et fils se Trouvant en filature et dans les docks do Gand. On nous rapporte qu'ils vont réquisitionner'ces marchandises pour l'Allemagne, et que le bourgmestre de Gand aurait été chargé de faire la police dans le cas où il y aurait des troubles suscités par les cinquante mille ouvriers que cette " saisie " priverait de leur gagne-pain. Les Allemands craignent qu'ils s'opposeraient à l'enlèvement de marchandises qui doivent assurer leur pain pendant plusieurs mois. Ce serait une occasion pour les Huns d'user de représailles, dont ils essaieraient évidemment de faire tomber la responsabilité sur le bourgmestre de Gand. LES ALLEMANDS A BRUGES. AMSTERDAM, 9 novembre.—Un télégramme de l'Ecluse au "Telegraaf" dit:— Samedi, avant l'aube, un aviateur français ou anglais lança une bombe sur Bruges, visant apparemment la gare, mais qui ne fit aucun dommagePendant la nuit de samedi quinze à vingt mille Allemands arrivèrent à Bruges. Entre Ostende et Nieuport, tout est calme.— Reuter. L'INSULTE SUPREME. louvain et la " kultur." Le correspondant spécial du " Standard " à Copenhague télégraphie :— Herr Klugge, professeur de langues et de littérature germaniques à l'université de Fribourg, écrit dans un des plus importants journaux allemands :— "Il n'y a aucune (sic) raison pour le monde civilisé de se sentir irrité au sujet de la destruction de Louvain et de l'incendie de la bibliothèque de l'université. " Le monde n'y a rien perdu. En fait, il y a gagné, en ce sens que le .génie allemand, en échange de la bibliothèque détruite, en créera une nouvelle, qui sera considérablement plus précieuse que celle qui l'aura précédée." — Un télégramme de Berlin rèçu à Copenhague annonce que l'Allemagne fait d'énormes préparatifs en vue d'une caippagne d'hiver. Partout on prépare des tentes, des fourrures et des équipements pour toute une armée. LE MARTYRE DU CLERG1 BELGE. les huns et nos brave: cures. , Pour atténuer l'effet que pourrait faire sur le , populations catholiques de l'Allemagne, prii cipalement de la Bavière, le récit des atrocité commises par les troupes allemandes vis-à-v; , du clergé belge, un journal allemand publie u interview d'un haut et distingué dignitaii ecclésiastique bavarois, dans lequel celui-ci ni que les soldats du Kaiser auraient molesté d< prêtres et des religieuses. Nous regrettons vivement de devoir dire qu cet ecclésiastique, en faisant cette déclaration, non seulement travesti et outragé la vérité mais encore trahi la cause des prêtres et des rel gieuses, ces frères en sacerdoce à qui la sold; tesque prussienne a fait subir dans la Belgiqu entière les traitements non seulement les plu cruels, mais les plus ignobles. Quand on pourra dresser la liste des pre: bytères incendiés, des cutrés insultés, tnarty risés, assassinés, un long cri d'horreur s'élever dans tout l'univers civilisé contre les soldats d Kaiser. Nous ne connaissons probablement qu'un minime partie des attentats commis dans ne paroisses contre le clergé par les bandits en un forme, lâchés dans notre pays par l'empereu Guillaume II. A Louvain, plusieurs professeurs de l'Unive sité, recteur en tête, ont été arrachés de leu domicile, insultés, bafoués, frappés. Le jour de l'entrée des Allemands à Bruxelk on a vu défiler dans les rues de la capital* menottes aux mains, comme des malfaiteurs o des condamnés à mort, plusieurs de ces ma heureux. Coupable d'avoir griffonné sur u carnet intime quelques notes dépourvu* d'aménité sur les exploits de la soldatesque al 1< mande, le P. Dupierreux, jésuite, a été fusill à Tervueren, sous Les yeux de ses confrères. Dans le pays de Dinant, une trentaine d curés et vicaires ont été assassinés dans leui églises, sans le moindre motif, pour le set plaisir des soldats du Kaiser. Dans le sud d Luxembourg, on ne compte plus les presbytère livrés aux flammes. De Jamoigne à Arlon de cUrés à cheveux blancs ont été traînés sur le routes les mains liées derrière le dos, exposés au insultes et aux coups des soldats de leur escorta Près de Campenhout, un curé a été pendu à 1 cloche de son église. De tous côtés, on signal que des prêtres forcés de marcher à la tête de troupes allemands contre nos troupes ont ét tués. Il y a mieux ou pire encore. Mais ici 1 plume nous tombe des mains. Il n'est pas po: sible à une plume qui se respecte de décrire e termes clairs toutes les atrocités de la soldatesqu prussienne. A Beughem, village de l'arrondissemei: d'Anvers, le presbytère a été le théâtre de scène de sadisme auxquelles le curé et ses sœurs on été obligés d'assister. La commission d'enquête travaille en c moment à dresser la liste des églises profanée: Et cette liste est bien longue, car l'armée d l'Empereur qui ne rougit pas de soliciter pou ses armes la protection de Dieu, a traité no églises et leur mobilier sacré avec une fureu de vandale. Mais l'heure de la réparation et du châtimcn estproche. En attendant il faut que le monde entier soi édifié sur les souffrances du clergé belge et su la férocité de ses bourreaux, sur le triste courag aussi des ecclésiastiques bavarois, distingués o' pas, qui se font les complices de ces derniers. LE BOMBARDEMENT D'ANVERS maisons incendiees ou detruites. ii*. Les immeubles désignés ont subi des dégât graves, ceux suivis d'une (i) ont été incendiés :- Rue aux Lits 8, 10 à 20 (i), 9, 11 à 17 (i) Marché aux Œufs 8 (i); Rempart du Loinbar i (S (i), 78 (i), 80 (i), 64; rue d'Aremberg 21: ru du Peuple, de 1 à 25 (i); rue d'Egmont 23 Longue rue St. Jacques 18, 48; rue Cobden IL 18, 7 ; rue Auwers 20; rue Joseph Bal 7; rue d-"Verger 322; rue de la Station (B) 47, 1U4 187 120 (i) 118 (i), 116 (i), 102 (i), 100 (i), 40, 42 1 ; rue des Champs 61, 33 ; rue Van Vaerenber; 73; rue Bind 25 (i), 27 (i); rue du Gland 4" rue des Chevaliers 31, 33 ; Chaussée de Berehen 20 (17, 22 (i), 58; rue Léopold 41 (i), 43 (i), 45 (i) 1%, L-,a£\bert 48 M» 45 : rue Dhaenei 44, 104, 103 ; rue de la Brasserie 59, 57, 47, :i2 31, 17 : rue des Trois Rois 84, 122; rue St. Wilk brord 63, 39, 23, 25, 7 ; rue Camilia 28, 8, 3C 12; rue de la Porte 92 (i), 94 (i), 88, 43 22. Chaussée de Turnhout 391; rue des Troi Coins 18; avenue des Anglais 15; rue de la Fon tame o4, 46, 20; rue Yperman 35, 33; rue d< Deurne 93; rue Boerhave 70; rue Looibroeck 38 rue du Lion Noir 9. Rue de l'Escaut l! (i), 4 (i), 6 (i): rue de l'Es planade 22 (>). 24 (i), 28; rue du Bien Etre 27 oo, ,-si, d4, 46, 48, 50. Rue du Compromis, de 11 à 23 (i); rue di Peage 74, 72, 69, 25; Rempart St. Georges 77 nie de la Liberte 32 (i), 34, 26, 16 (i); ru. df 94 à 110 (i); rue des Gueux : (i), 4 (i), 6 (i), et de 1 a 2o (i); rue du Chantier 40. Kue des Cinq Coins 16, 18, 13, 11: rue St 8a9' 129, i1 Y Avenue de la Chapelle 62 30, 32: Avenue de Merode 4, 6, 2; Avenue di prince Albert 14, 10: rue Bervoets 43, 41 1 mM»1,MW 10; Rempart des Béguine Qi'«îeQ9?l00TM() (i)A 82 (i); du Jardin 89 (i) 91 (1K 93 (i); Place Carnot 49; rue de la Péninièr. 10; Rempart de Wilryck 76, 78 ; rue de la Sourc. 11; Chaussee St. Bernard 63 (i) ; rue Généra Léman 58 (i): rue Delescluze 41, 73; rue d< Mk54' d« 86 à 94 (i); rue Stuyvenberg de 33 a 53 (i); courte rue du Curé 19; rue Notr. Pi€rre de Coninck 29, 31 àà, l (i), 3 (i)j 5 (i); rue Frédéric de Mérode 4! iV • oS®,yan, ^ombeek 17 (i); rue Teriinck, d< -4 JS?» h 39 ' rue de la Glaisière ,50 59 j>7,,61, 63, 19 (i). 21 (i), 23; rue du Rempar 70 Vn^co 2oc' 2î,7> 298 ' Avenue Cogel i !v? 'nS0' ' 69' 20» ru€ Général Capiau mont 20, 22; rue Kruger, usine à gaz; ru< Dauphin, du 5 au 17 (i), 14; rue du Dragon 1 Plaee Théo Verstraete, archives de l'Etat; Placi /•? rroUÂ0re 6' 7; rue d6 l'Aigle 2, 40, 54, 60, 5< (i), 58 (i); courte rue de l'Autel, église et cure. *Voir la Métropole du 9 novembre. — La ville de Paris a été autorisée à émettra un emprunt de 120 millions, remboursable en ni an, à un intérêt ne dépassant pas 6 pour cent. — Un violent incendie a détruit paxtielleraen les magasins généraux du port militaire de Roche fort. — Sur la proposition du député pacifiste Edward Wavrinsky, un nombreux meeting socialiste, tenu à Stockholm, a décidé la créatioi d'une commission de secours pour les Belge: nécessiteux. • COMMUNIQUES OFFICIELS RUSSES. 5 l'invasion russe en allemagne. 3 ENCORE LA BATAILLE DE LA : , SAN. Q e e PETROGRADE, 8 novembre.—Communiqué s officiel de l'état-major du général en chef :— Sur le front de la Prusse orientale les Russes ont rejeté le» Allemands de leurs positions éner-giquement défendues près de Wirballen et ont > avancé vers Stallupoenen. ~ Dans la région de la forêt de Rominten et de " Lyck les Russes continuent à presser Farrrière-® garde ennemie. b Sur le front de la Vistule, la cavalerie légère russe passa en territoire allemand et coupa le rail '* à la station de Pleschen, au nord-ouest de Ka-lisch.a Sur les routes conduisant à Cracovie, les Russes 11 attaquèrent l'arrière-garde autrichienne vendredi sur la rivière Nida; samedi, les Russes attaquèrent e sur la rivière Nidzitza. s En Galicie les Russes continuent leurs attaques. ~ Dans les récents combats sur la San les Russes r ont fait prionniers 125 officiers et 12,000 hommes et capturé des mitrailleuses et d'autre matériel de guerre. r Au sud-ouest de Przemysl, les Russes firent vendredi 1000 prisonniers. s u LES PERTES ALLEMANDES EN PRUSSE i ORIENTALE. £ ROME, 8 novembre.—D'après un communiqué de l'étàt-major russe le nombre des déserteurs e autrichiens et allemands augmente de jour en g jour et ceux qui fuient communiquent la panique j aux troupes de réserve. Les Allemands et les Autrichiens ont perdu la moitié de leur meilleure cavalerie, soit environ 10,000 cavaliers. Après avoir annihilé la cavalerie, les Russes réussirent à couper les cinq armées de leur base ; d'opérations occidentale et leur infligèrent des ' pertes énormes estimées à 100,000 hommes, tués, 0 blessés et prisonniers.—Reuter. s LES VICTOIRES RDSSES. ' opinion de la presse. ^ PETROGBADE, 8 novembre.—Les récentes victoires russes ont produit le plus vif enthou-c siasme dans toute la Russie et des manifestations ont ou lieu hier soir dans la capitale. '' Une foule énorme se réunit devant les palais r des ministres et les ambassades des puissances alliées; devant l'ambassade turque la foule observa un silence de mort. Tous les journaux se réjouissent de la pertè . des colonies allemandes et font ressortir comment les calculs de l'Allemagne ont échoué tant en Europe qu'en Asie par suite de sa grande prétention. Us repoussent toute idée d'une menace ra sérieuse envers la marine anglaise et trouvent s vaines les menaces de l'Allemagne contre le canal 1 de Suez.—Reutcr's Spécial. FELICITATIONS DE LORD K3TCHENER. PETROGRADE, 8 novembre.—^Le grand-duc • Nicolas a reçu de Lord Kitchener un télégramme de félicitations à l'occasion de l'heureuse issue de la .seconde phase des opérations russes. Lord Kitchener a prié le grand-duc de transmettre à l'armée russe ses congratulations et celles de Sir John Freneh, avec l'expression de sa vive admiration pour la valeur des troupes russes. " Nous sommes convaincus," ajoute Lord Kitchener, "que les efforts réunis des Alliés auront comme résultat final l'écrasement de nos enne-s mis."—Reuter. 1 attila ii est ennuye. ROME, 8 novembre.—Des dépêches de source i allemande disent que l'Empereur a été très peiné , par les nouvelles du front oriental, et qu'il a tenu , un conseil de guerre avec le général von Hinden- ï burg, le duc Albert de Wurttemberg et le général ; von Conrad. Une longue discussion a eu lieu i au sujet des mesures à prendre pour arrêter ; l'avance des Russes.—Reuter. i . : L'ETAT-MAJOR AUTRICHIEN GARDE LE SILENCE. 3 VENISE, 9 novembre.—Pour toute nouvelle î des combats en Galicie, les journaux viennois ; ont publié samedi un communiqué officiel de l'état-major autrichien, en trois lignes. La presse viennoise garde le silenoe au sujet , de l'avance des Russes, et se contente de publier des articles au sujet des "hauts faits" de la i marine de guerre allemande et de la " perfidie M ; de l'Angleterre.'—Reuter. 5 LA MISERE EN AUTRICHE. ' ROME, 8 novembre.—Le " Messagero " an- ] nonce que Trieste est réduite à la plus grande > misère du fait que la mer, qui est sa grande 5 ressource, est minée partout. Le comité de secours de la ville a déjà épuisé ' un fonds de 250,000 francs et les sans-travail 5 meurent de faim. | Des quantités de réfugiés arrivent à Trieste de 1 Pola, de l'Istrie, et de la Dalmatie, qui fuient la ! guerre et le choléra. ' ouvernemer- autrichien a l'intention de ' ( lure un emprunt d'un milliard de francs.— • Jteuter. . ; LE MYSTERE DU PACIFIQUE. i ' VALPAPA ISO, 9 novembre.—Le transport ; chilien envc é la recherche de survivants sur ; le théàue de la récente bataille navale est revenu, [ et annonça qu'il n'a trouvé, ni les croiseurs man-j quants, ni v.ucui.v: épave. On •' t que, d'après les courants régnants, lo dé : aurait été emporté vers la haute mer. l es -;;rn,ï:.- " YaMivia" et "Chiloe," de la Croix-I rjge, continuent leurs recherches.— i Reuter. i L ~ conseil municipal de Ste Adresse (Le t Havr décidé de nommer " route du roi Ail "route • la Hève," et "rue de la rei - l • îteth ' la "rue de la Mer." ! —Me Telesoft, de Bruxelles, plaidant pour ; la première fois, Samedi, devant la cour martiale i de ? salut a barre par M. Seligmann, j comrciïsa;re du irouv.- nement, et par le colonel Go i. .. président DANS LA MER NOIRE. bombardement de poit et de sanguldak. AMSTERDAM, 9 novembre.—Un télégramm du quartier-général " turc " à Constantinopk reçue viâ Berlin, mande que les Turcs ont pass dimanche la frontière égyptienne. Comme la flotte russe s'était retirée des port navals, la flotte " turque " bombarda Poti, ui des ports les plus importants du Caucase. Cinq croiseurs cuirassés qui avaient surveill la côte étaient partis ; il ne restait qu'un croiseu anglais.—Reuter. PETROGRADE, 9 novembre.—La ville d Sanguldak, sur le littoral de la mer Noire, qu fut bombardée par la flotte russe vendredi dernier se trouve à environ 200 kilomètres à l'est di Bosphore sur la côte de l'Asie Mineure. C'es une station de charbon importante.—Reuter. DANS LE CAUCASE les turcs repousses. TIFLIS, 8 novembre.—Communiqué officiel d> l'état-major de l'armée du Caucase:— " Deux divisions turques, avec 48 canons d-campagne et plusieurs pièces lourdes, couverte par de nombreux cavaliers Khurdes, ont march de Hasankala, vers la position de Koeprikou, qu nous avions occupée la veille. Poursuivant un offensive vigoureuse les Turcs attaquèrent le hauteurs. Ils furent repoussés a plusieurs r« prises, mais ils revinrent à la charge; ils ei voulaient à notre aile droite. Notre artilleri. s'attaqua à l'arrière des Turcs et ouvrit un fei meurtrier. D'abord l'aile gauche se rompit c ensuite toute la ligne prit la fuite. L'obscurit et la rudesse du sol rendirent la poursuite im possible."—Reuter. LA TERREUR EN TURQUIE SOFIA, 9 novembre.—Des nouvelles de sourc privée disent que la situation à Constantinopl est très peu sûre. La population est surveillé d'une façon extrêmement sévère. Au moindr mot contre le gouvernement on est arrêté et oi passe en cour martiale. Plusieurs exécution publiques ont eu lieu ces derniers jours. D'après des rapports officiels turcs on aurai trouvé des dépôts (?) d'armes et de munition chez le consul anglais de Mossul et chez 1< drogman russe à Adana. Le patriarche arménien a adressé une circu laire patriotique à son clergé, sans doute sou la pression des autorités turques. T^e consul anglais à Beyrouth et tous les con suis russes en Syrie, ainsi que des personnalité en vue des colonies russe, anglaise et française ont été saisies comme otages. Un véritable régim. de terreur règne en Syrie et en Palestine. Le sujets de puissances alliées sont persécutés e leurs biens saisis pour les besoins de l'armée mais en réalité pour être vendus aux enchères ; des prix dérisoires, de sorte que ces procédés w sont autre chose que du banditisme organisé.— Reuter. les belges a londres. Les membres de la " Belgica, Union de: Réfugiés Belges" sont invités à assister à uni assemblée générale qui se tiendra le jeudi V. novembre 1914, à 3 heures précises, au No. 20 Hanover-square, W. (1er étage). Les Belges qu désireraient être admis à la réunion comm< nouveaux adhérents, sont priés de se présente le même jour de 2 heures à 2 heures et demie oi bien dès à présent au siège du comité de la Bel gica (20, Hanover-square, W., 3e étage), entn 10 hèures et demie et midi. Les membres déjà inscrits seront admis i l'assemblée sur la présentation de la quittanci de leur cotisation. Ordre du jour : (1) Exposé d-la situation; (2) rapport sur la question de l'en seignement; (3) rapport sur la question di travail; (4) communications diverses. * * * Toute personne désirant avoir des renseigne ments sur des parents ou amis égarés doit s'adres ser par écrit au Registrar General, Somerse House, London, W.C., en indiquant leur nom prénom, et leur adresse postale actuelle, ains que les nom, âge, sexe, occupation dans le pay: délaissé des personnes dont elles désirent de: renseignements. Des formules imprimées contenant les indica tions requises seront envoyées ou tenues à la dis position des intéressés an Somerset House ou ai War Refugees Committee, General Buildings Aldwycli. Toute autorité locale et comité ayant la charg» de réfugiés de guerre, toute personne leur don nant l'hospitalité, ainsi que les réfugiés subsis tant par leurs propres moyens, s'ils ne sont pa: encore enregistrés à Somerset House, sont invité: à demander sans aucun retard à l'adresse sus indiquée des formules imprimées qui sont à re tourner d'urgence avec tous les détails requis pa; l'enregistrement. * * # Le " Belgian Day" tean à Oriord samed a obtenu un succès inespéré. Dans la ville, tout< pavoisée aux couleurs belges, des dames et de; demoiselles ont vendu des rosettes tricolores ; pev après midi elles en avaient débité plus de 90,000 N'ayant plus de rosettes, elles vendiren d autres objets à des prix variés, et qui ont pro duit une recette dont nous ne connaissons pa* encore le total, mais qui doit être coquette. ■L® " Bëlgian Day" était organisé pour veni: en aide a 250 réfugiés belges hospitalisés at Iluskin College, et aux soldats belges blessés soignes dans les hôpitaux d'Oxford. * * * Vendredi ont eu lieu à O.iford les funéraîlle: des soldats Godefroid De Kan. du lOme régimeni de ligne; Jules Couvreur, du 1er régiment deî carabiniers; Gustave Compass, et François Dt Swiet, du 2me régiment des carabiniers, morts des suites de leurs blessures à l'hôpital d'Oxford. Les funérailles ont été vraiment imposantes; la garnison d'Oxford rendait les honneurs et un< foule de plusieurs milliers de personnes a suiv le cortege funèbre jusqu'au cimetière. Les cer ce uns etaient couverts de nos couleurs nationales. En tête du cortège on remarquait M. Ortegat, député de Malines, suivi du major Motte et d< plusieurs officiers belges en traitment à l'hôpital d Oxford. Avant la descente dans la crypte le£ S°ldats anglais ont tiré trois salves d'adieu. M. Cleirens, de Malines, a remercié en termes émus le lieutenant Symonds pour tous les soin? dont sont entourés nos braves soldats à l'hôpital, On arrête en ce moment tous les Anglais âgé de 17 à 55 ans résidant en Allemagne, et on les interne dans le camp de Ruhleben. — Lô War Office annonce que le capitaine O'Neill, membre du Parlement pour Mid-Antrim (Irlande), a été tué au champ d'honneur, en France, vendredi dernier. — Le correspondant à Anvers du " Tyd " d'Amsterdam signale que de nombreuses troupes allemandes sont retirées de l'Yser pour être en- oyées en Prusse oriental©. LA JOURNEE DU DRAPEAU BELGE. Nous avons reçu la lettre suivante qui emporte notre plus chaleureux appui:— M. le rédacteur en chef de ""Hropole. 5 Les multiples preuves d'amitié-——• ,ympathi« » qui ont été si généreusement donn par l'Ere:--s pire britannique à la Belgique dans cette heure de détresse m'encouragent à soumettre à votra , appréciation ce qui suit: 5 Le 15 novembre marquera la fête de Sa Majesté 1 le Roi Albert I. de Belgique, et il a été suggéré que cette fête pourrait être une occasion pour le î peuple britannique de montrer sa charité pratique r à l'égard des pauvres enfants, qui par suite de cette guerre, se trouvent être orphelins, privés pour toujours de la protection d'un père et de ? l'amour et de la tendresse d'une mère. 1 Comme il ne reste que fort peu de temps pour faire les _ arrangement s nécessaires en vue du 1 14 (le 15 est un dimanche), il a été décidé t d'organiser une "Journée du drapeau belge" à Londres et dans les districts environnants le 26 novembre ; de petits drapeaux belges seront vendus dans toutes les rues et à tous les coins par des collaborateurs désintéressés, et le produit de la vente me sera remis pour être transmis au gouvernement belge dans le but de fonder une Caisse des orphelins belges. Son Excellence le comte de Lalaing, ministre de Belgique, a donné son approbation au projet, et les dames Suivantes ont bien voulu accorder s leur patronage; Son Altesse Royale la duchesse de Vendôme, Sa Grâce la duchesse de Somerset, î duchesse de Choiseul, la comtesse de Lalaing, s Mme E. Pollet, Lady Watts, Mme Georges van S Zeveren, Mme Hallet et Mme Stone. Mlles D î Fulton et Edith Browne, F.R.G.S., feront office de 2 secrétaires honoraires, et M. H. Staines Mandera s sera organisateur honoraire. M. Rambot, de la - Banque Belg^, 2, Bishopsgate-street, sera tré-i sorier, et maintenant je viens faire appel au î soutien de votre journal dans cette noble cause. i Je sais que je ne serai pas désappointé, et t quoique de nombreux appels aient déjà été Laits ï au coeur du peuple anglais sa générosité est sans limites quand les malheureux implorent leur protection ou quand ceux qui luttent pour la justice s adressent à l'Angleterre. L n appel est fait aux dames des lord-maires pour qu elles contribuent aimablement à l'organisation de la " journée " dans leurs districts respectifs et toute assistance honoraire qui peut ; etre. donnee par un aide personnelle ou dans l'or-ï ganisation sera accueillie avec reconnaissance. > loutes communications doivent être adressées directement aux secrétaires honoraires, bureau s rn°!fmSt-' Chancery Lane, 75 (Holborn), i"'*' nui a été mis gracieusement à la disposition du comité. [ Veuillez agréer, etc., I (Signé) E. POLLET, t> q m , Goasul général de Belgique. - J°DS de rubans aux couleurs beiges, larges d un pouce, seront acceptés avec 3 reconnaissance. * lord mayor's day. 5 hiir0]!' au /F"'6" d'une foule énorme qu'a passé ' ïl T„„/°ttegV u lord;m-iire à travers les rues ' "1^ Cette certnion ie historique, un des 1 «^2 Clteî avait dépouillé pour la cir- * rien nn wa ^mpeKhabituclle, ce qui pourtant n'a " Srl^J > t? ca^het ni décorum du " Lord mfmaif«^ay' f 1 a.r.C0I,tr0' un grand appareil i ®nto.u'e la procession. Trois mille fï?ït et des colonies encadraient le cor- îiStP?î?S*?1 i™*. acclamations enthou-n v m fo]lle: Ies troupes du Canada, de la uvelle-Zelam e et de Terre-Neuve eurent un succès particulièrement brillant. La plupart des aUiées Pav°1sées aux couleurs anglaises et Le cortège venant de Mansion House conduisit | ?ord-maire, Sir Charles Johnston, au Palais de Justice, ou il prêta le serment consacré fv>iL== m païc™''f' u"e auto remplie de soldais foufe^ k*€sses fut longuement acclamée par la uJtîaS !il ,soir®e un banquet réunissait une brillante assistance au Guildhall, dans laquelle 011 reconnaissait M Asquith, premier ministre? M Churchill ministre de la marine, Lord Kitchener îw mm Va £uerre' ei 10 ^P8 diplomatique: dont MM. Cambon, ambassadeur de France et le comte de Lalaing, ministre de Belgique, qui turent longuement ovationnés à leur entrée. Des toasts furent prononcés par M. Balfour, qui but aux Allies, et rendit un vibrant hom-mage a la Belgique. Lord Kitchener flt acclamer 1 armee anglaise, 1 armée française et son émi-nent chef, le général Joffre. LE LIVRE D'ADRESSES DES EXILÉS ^ 9 pence la ligne.—Joindre le montant aux ordre», â.r.p. Q.EANDJEAX, lieutenant, 80 infanterie belge, . rentre en Belgique 7 norembre. XJLLLEMANS-CLAES (Mme.), de Lierre, w miî: ^ noPTe,,lœ de «= deux cillante, l'abtv , Joseph liellémans, âgé de 37 ans. professeur a* neSt , Séminaire a Hoogstraten. et Charles, âgé de 32 ans. ! Tl/rORTELMANS, LOUIS, actuellement. 64, T- -f- ft,mirch-6t., Tewkesbury, Glas., demande renseignement de la famille Charles Morkelmans et De Bruyn. d'An-rera. CWENNE, docteur, d'Anvers, rue de la Tai> à i "MéîrôptJe." dem*ndo * famill° > Hf^RAPPENTERS, CAMILLE, et sa femme, de ! , résidant à "The Cottage," Exminstw. pria Exeter, demandent nouvelles de leurs familles ac tuellement en Angleterre, arec prière de leur écrire. \TAN THOURNOUT, de MOUSCKON, 3e de ▼ ligne (Red Cross Hoepital, Beokenham), demande nou-▼ elles femme et enfant. MISS PURSER desire obtenir des nouvelles de Madame L. DKLVAUX (née Collignon) (jxn d*-mcura.it, 51. Rue H. \an Zurglen, Uoole, Bruxelles. Toute la lamille trouvera un bon accueil chez Colonel Purser, Bird'a Eye, Bromyard. Worcester. PERSONNE HONORABLEMENT oannoe prend courrier Bruxelles, 15, Bcssborough-street, Westminster. Ixindon, do 9 heures à midi. ; rpHE NATIONAL INV EST MENT TRUST CORPORATION OF ENGLAND. Lt4. Fondée en 1887. Capital £700,000 (Frs. 17,500,000). Achat et Vente de Titres—Prête sur Valeurs françaises et belges Change de toutes monnaies étrangères A céder: Participations à des syndicats industriel» arec gros bénéfices assurés. Ponr la Conseil d'Administration: THOS. WOOD, teerétaire. 6, BROAD-STREET-PLACE, LONDRES, E.C. PENSIONNAT des BENEDICTINES à VENï"- NOR (ILE DE W1GHT). Réourerture des classes: le 7 janTier 1914. £J0URRIER BELGIQUE. " Prochain départ. Prix modérés. Bureau 3 à 5 heures, 147, Flect-strect. même dimanche. LA METROPOLE, parait chaque matin, sauf le dimanche, dans lo " Standard." Tendu chez tous les marchands de journaux au prix d'un penny. Nous conseillons vivement à nos amis do s'abonner au prix de 3sh. 3 par mois j>our le Royaume-Uni et 4sh.4 pour l'étranger, et de nous adresser le prix do l'abonnement en un mandat. lie tarif des annonces est de 9d. la ligne pour lo " Livre d'adresses des exiles, payable d avanoc, et pour toute autre publicité, U tarif du " Standard." Nous avons ouvert un bureau dans l'immeuble du " Standard," Fleet-street. 132-4. E.C., ouvert de 2 à 6 heures. En cas do demande par écrit, joindre doux timbres d un penny.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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