La semaine d'Averbode

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04 janvrier 1914
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s.n. 1914, 04 Janvrier. La semaine d'Averbode. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/3f4kk94z07/
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montre plus étonnant dans les petites plantas, parce que cette vie nouvelle sort d'une faible semence. Pour les humains, au nouvel an, se présente une nouvelle vie physique, intellectuelle, morale. C'est par années que se comptent les diverses étapes de la vie humaine : ceux qui sont anciens aujourd'hui, furent dans l'âge mûr, dans la force de l'âge, dans l'adolescence et l'enfance. Les différences apportées par les ans sont telles, que le même sujet, après plusieurs renouvellements d'années, ne peut plus presque être reconnu. Donc, bien évidemment : « Nouvel an, nouvel vie. » Dès lors, si la vie physique, intellectuelle se renouvelle, se perfectionne d'année en année, il est comme conséquence que chaque année devrait apporter plus de perfectionnement à la vie morale, spirituelle. C'est pour cela, que S. Paul écrivait aux Ephésiens (IV, 25) : — « Renouvelez-vous en votre esprit et revêtez-vous de l'homme nouveau, qui a-été créé selon Dieu, dans la justice et la sainteté de la vérité. » C'est cette rénovation que nous vous souhaitons à tous. Impossible de s'arrêter sur le chemin de la vie et le commandement est pour chacun de nous : Marche, marche ï Cette vie est un passage, un acheminement du berceau à la tombe. « Je meurs chaque BOyiGNY ET SON CLOCHER. (Photo J. Derouane.) jour! » s'écriait S. Paul. C'est vrai, on vit I pour arriver, par différents stades, à la fin inévitable. Cette vie qui se prolonge, se renouve-. lant chaque année, nous a été donnée, nous est conservée par et pour Dieu. Ne l'oublions pas : avancer dans la vie doit-être progression vers la perfection. — Un nouvel an s'ouvre pour vous, qu'il soit bien un degré vous rapprochant du ciel ! — Fuyons la faute qui tue, qui paralyse et rend stérile ; pour cela, demandons la grâce, sans laquelle nous ne pouvons rien. —■ Il y aura faiblesses humaines, c'est, hélas ! possible, même probable ! En haut les cœurs, qu'on se relève dans la pénitence, le repentir et la ferme résoltuion de mieux faire, moyennant l'aided'En-haut. — Augmentons la grâce en nous, par les sacrements bien reçus, ornons, notre âme de vertus:, enrichissons-la de mérites, acquérons degrés, de gloire, par la pureté d'intention, en faisant, supportant, offrant tout pour Dieu. Donc, avançons en paix, au nom du Christ Jésus ; implorons la protection, l'appui de notre Mère du Ciel. Que ce nouvel an compte bien réellement pour la récompense. Bonne, heureuse, joyeuse même, soït pour vous cette année ; qu'elle soit surtout sainte, qu'elle apporte renouvellement de vie spirituelle, accroissement de perfection. Nouvel an, vie nouvelle ; réparons le passé fautif, préparons l'avenir meilleur toujours, prenons notre croix généreusement et, en avant, à la suite de Jésus-Sauveur !... Heureuse et fructueuse année à tout point de vue ; mais surtout pour l'obtention de l'éternité de délices. L. R. L'éloquence des chiffres. Apres des semaines de discussion scolaire, nous en savons tout juste autant que le premier jour. Car loin de critiquer ou d'approuver une seule des dispositions nouvelles introduites dans le projet Poul-let — qui même en matière de subside à l'enseignement libre ne fait que consacrer la situation acquise depuis longtemps — nos adversaires se bornent à ressasser constamment la même objection : à savoir que ce que le Gouvernement cherche, c'est à ruiner l'enseignement officiel et là, où il n'y parvient pas, à'substituer l'élément religieux à l'élément laïc. Cent fois cette objection a été réfutée ; cent fois elle est de nouveau exploitée par les orateurs libéraux et socialistes qui sont bien les pires sourds puisqu'il ne leur plaît pas d'entendre ce que leur disent nos amis. M. le ministre Pôullet, dont on a beaucoup remarqué l'éloquence sobre et précise au cours de ces débats, et dont la libérale « Meuse » faisait à ce propos le vif éloge, a rencontré au cours des dernières séances de la Chambre cet argument stupide et en a fait bonne justice. Pour cela, il a communiqué à l'opposition, des chiffres catégoriques, qui ne permettent plus d'ergoter. Et sa démonstration était à ce point gênante que, tandis que les députés anticléricaux ont haché d'interruptions passionnées ce discours pour essayer de démonter l'orateur, les journalistes anticléricaux ont unanimement négligé de signaler à leuts lecteurs les chiffres donnés par le Ministre des Arts et des Sciences. Nos lecteurs comprendront leur gêne en prenant connaissance de ces renseignements.On avait affirmé tout d'abord que, dans les Flandres, les écoles communales étaient de plus en plus rares et que, partout où. il en existait encore, c'étaient des religieux qui y enseignaient. M. Poullet répond : dans la Flandre Occidentale, il y a 600 classes communales où enseignent zéro instituteur congréganiste et trente-deux religieuses ; dans la Flandre orientale il y a 1,200 classes communales, où enseignent zéro instituteur congréganiste et 9 religieuses! Pour i,Soo classes, il y a donc 41 religieuses enseignantes et pas un seul religieux. Et la situation est la même dans les autres provinces flamandes. C'est ainsi que dans le Limbourg, sur 25o classes communales, on compte 3 instituteurs congréganistes et 4 religieuses ! ! !. Dans la Wallonie, la situation est bien autre encore. Si l'on défalque les enfants qui fréquentent les écoles des grandes villes libérales, pour s'en tenir uniquement aux écoles communales en grande majorité catholiques des deux provinces catholiques, Luxembourg et Namur, on constate que : dans le Luxembourg, il y a 14,929 enfants dans les écoles communales et adoptées contre 1,584 seulement dans les écoles libres ; et dans la province de Namur pour 19,184 garçons dans les écoles communales et adoptées, il n'y en a que 3,191 dans les écoles adoptables. Est-ce donc cela qu'on appelle la destruction des écoles officielles, grâce à la lutte que leur livrent les catholiques là où ils sont les maîtres ? Voyons quels sont les résultats de cette lutte dans les provinces plus farouchement catholiques encore. Dans le Limbourg 19,901 garçons dans les écoles communales et adoptées ; 1,008 dans les autres. Dans la Flandre Occidentale, 46,311 garçons dans les écoles communales et adoptées ; 3,148 dans les autres. Dans la Flandre Orientale, 6o,8i3 garçons dans les écoles communales et adoptées ; 2,778 dans les autres. Dans la province d'Anvers, 3.9,956 garçons dans les écoles communales et adoptées et 8g5 dans les autres ! Et pour l'ensembie du pays, nous constatons qu'il y a 321,000 garçons dans les écoles communales et 77,000 dans les écoles adoptées, contre 68,000 seulement dans les autres. Et ces 400,000 garçons des écoles communales ou reconnues par les communes ont pour maîtres 8,112 instituteurs laïcs contre 297 religieux seulement ! Voilà donc bien la preuve qu'en Belgique, après 29 années de Gouvernement catholique, l'enseignement donné aux futurs électeurs, l'enseignement pour garçons est demeuré essentiellement un enseignement communal, desservi par des instituteurs laïcs. Voyons ce qu'il en est maintenant, quant à l'enseignement pour filles. Là non plus, il n'y a aucune tendance à remplacer les laïques par des religieuses. En effet, en 1900, il y avait dans l'enseignement communal 126 laïques de plus qu'en iSg5 ; et en 1911, 826 laïques de plus qu'en 1900. En ce qui concerne les écoles catholiques, celles dont l'administration relève exclusivement de leurs comités directeurs, l'élément laïc croit de même, puisqu'il y avait, en 1900, 212 laïques de plus qu'en 1895 et 497 de plus en 1911 qu'en 1900. En sorte que, dans les écQlea adoptables — c'est-à-dire absolument libres. — de 75,7 0/0, la • proportion dçs, .religieuse? est tombée à 72,3, tandis que ia .p.i-opoviiou LA SEMAINE D'AVERBODE

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Cet article est une édition du titre La semaine d'Averbode appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Averbode du 1907 au 1956.

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