La tribune congolaise et La gazette west-africaine

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s.n. 1914, 12 Fevrier. La tribune congolaise et La gazette west-africaine. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/k649p2x952/
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Jeudi 12 Février 1914 ie Numéro : iO centimes (tiranger ; 15 centimes 12lm Annéi 51 LA TRIBUNE CONGOLAISE ET LÀ GAZETTE WEST-AFRICA1NE irï e lo dt o m a,d ai :r© Directeur : JEAN PAUWELS VILLA SYLVI A, Avenue des Cottages VI EUX-DIEU-lez-ÂN VERS ™—^——mw—CTi«—»m—uwwm^MgJ>FTr?,"BT':» A msasaHOErass Les manuscrits ou articles non publiés sont détruits. La plus grande discrétion est assurée à nos colaborateurs ou correspondants. Tous droits réservés. .A. 33 OIST ÏSJ" 33 3VE 33 1>T T S Belgique u. S.— Union' postale î payables en un mandat-poste international de . fr. 7.50 PAYABLES PAR ANTICIPATION Nos Correspondances Lettre de Kinshasa L'assemblée plénière de la Chambre de Commerce du Stanley-Pool. — Encore des vœux. — L'avant-propos du rapport annuel. (De notre correspondant particulier) Kinshasa, le 18 janvier. Voici encore le texte des deux derniers vœux adoptés au cours de la séance plénière tenue par la Chambre de Commerce du Stanley-Pool, les 15 et 16 décembre dernier : Logement des travailleurs. — La Chambre de Commerce du Stanley-Pool à Kinshasa, réunie en assemblée générale le 8 janvier 1914 ; Considérant que le travailleur du commerce est un contribuable, alors que sous l'ancien régime il était exempt d'impôt comme celui au service de l'Etat l'est encore actuellement ; Considérant que si des terres sont justement attribuées à l'indigène, le travailleur indigène ne jouit d'aucun droit à cet égard; Que pareil système est loin d'encourager l'indigène à louer ses services, ne tend pas à l'attacher au lieu où il s'emploit, et est insoucieux de son bien-être légitime ; Considérant qu'à Kinshasa les quartiers indigènes sont déplacés peu après leur affectation ; Que l'usage, et dans certains cas le décret sur le contrat de travail impose à l'employeur de loger ses travailleurs, ce qui l'oblige de construire des cases à cet effet; Qu3 les conditions prescrites par l'ordonnance du 12 février 1913, créent des charges qui deviennent onéreuses quand ces quartiers doivent être déplacés peu de temps après leur édification ; Considérant que les cases ainsi construites se remplissent de vagabonds et de prostituées qui exploitent les travailleurs, et suscitent des désordres; Que les travailleurs congédiés continuent à les habiter; qu'il y aurait tendance à considérer comme seule légale leur expulsion par autorité de justice ; Que si on obtient de les faire expulser par mesure police, ils y reviennent impunément ; Emet le vœu : Que des terrains à proximité des centres soient attribués aux indigènes contribuables qui s'engagent eomme travailleurs, et ce, dans les mêmes conditions de liberté et de confort que si ces indigènes habitaient leur village ; Que des terrains de culture à proximité des centres soient donnés gratuitement à tout travailleur contribuable ; Que dans les quartiers indigènes, des terrains soient attribués gratuitement au moins pour dix années aux employeurs qui en font la demande, pour le logement de leurs travailleurs, avec le droit d'expulser les gens qui y habitent contre leur gré; Que des peines soient édictées contre ceux qui habitent ou logent sans droit, dans une de ses cases. Di s t r i b.u t i o n d'e au. — La Chambre de Commerce du Stanley-Pool, à Kinshasa, réunie en assemblée générale : Considérant que la population européenne de Kinshasa s'est fortement accrue ; Que par la création des quartiers indigènes, le quartier européen est entouré d'une forte agloméra-tion de gens de couleur ; Que les quartiers indigènes sont établis au-dessus des nappes aquifères qui fournissent les seules sources auxquelles il soit possible de prendre les eaux alimentaires ; Considérant qu'il se constate depuis, à Kinshasa, un nombre disproportionné de cas d'affections intestinales, tant chez les Européens que chez les indigènes;Qu'au dernier changement de saison correspondant avec les premières pluies, ces affections ont pris un véritable caractère d'épidemie ; Considérant que si des cas'de dysenterie se produisent, il y aura tout lieu de craindre, dans ces conditions la formation d'un véritable foyer épidémique, avec toutes ses désastreuses conséquences. Considérant que, lors de la visite dont il a honoré notre Chambre le 16 octobre 1912, M. le gouverneur général a reconnu le bien fondé de la demande lui exprimé par notre président, d'un service de distribution d'eau ; Considéi ant que si Kinshasa produit une recette très importante en matière d'impositicns, les services publics d'eau, de voirie, de vidange, d'éclairage, restent inexistants pour cette importante ville commerciale, et semblent jusqu'ici réservés aiix cités administratives ; Emet le vœu : De voir assurer par des mesures immédiates, telles que prise d'eau au milieu du fleuve, l'alimentation de la population en eau saine ; De voir créer à Kinshasa aussitôt que possible, un service de distribution d'eau. * * * L'avant-propos du rapport annuel de la Chambre de Commerce, s'exprime comme suit : Messieurs, Nous avons l'honneur de vous adresser l'exposé des travaux que nous avons effectués durant notre deuxième exercice. Notre organisme comprend à ce jour 81 membres et 63 firmes du Pool et de différents districts de l'intérieur, y sont représentées. La Chambre de Commerce de Buta et celle de Stan-leyville ont demandé leur affiliation à notre Cham bre, celle-ci leur a été accordée dans notre assemblée du 28 juillet 1913. Les différents vœux que nous avons présentés au gouvernement en 1912 ont donné les résultats suivants : Régime de Fi voire. — Une taxe en argent a été créée en remplacement de la remise d'une pointe à l'Etat; l'enregistrement subsiste. Nous sommes revenus sur la question. Légalisation et constats. -— Le gouvernement nous a promis la satisfaction de nos demandes dès l'achèvement du code civil. Postes et télégraphes. — Ce vœu a reçu complète satisfaction. Abattoirs. — Ceux-ci n'ont pas été établis administrativement, mais l'inspection des viandes a été organisée. Franchise postale. — Ce vœu n'a reçu aucune solution. P r o t e ts. — La création du protêt nous est promise dans l'achèvement du code de commerce. Taxes de magasinage. •—• L'arrêté ministériel du 2 janvier 1913 a limité ces taxes. Hypothèque. — Les hypothèques sont établies par le code civil en préparation. Achats de terrain. — Ce vœu n'a pas reçu de solution. v^ou r d'à p p e 1. — Aucune solution n'a été donnée directement à notre vœu. En fait la réorganisation judiciaire a réduit en certaines conditions les dif ficultés d'usage de la voie d'appel, en Imitant le cadre. Réorganisation judiciaire. — Ce vœu a donné des résultats importants notamment la compétence des juges de police vis-à-vis des non-indigè-nes a été restreinte dans les limites étroites ; la défense par note écrite à joindre au dossier a été admise; les peines prononcées par les tribunaux du parquet sont suspensives au delà de 7 jours de servitu 1 ; et 200 francs d'amende. U subsiste néanmoins dans le décret du 11 août 1913 de véritables tribunaux d'exception qui ne se rencontrent nulle part et qui comportent peu de garanties si on tire conclusion de récents débats de la Chambre des représentants. Bâtisse et voirie. — La surface bâtie a été portée à 40 % ; les conditions établies par le règlement paru créent de véritables empêchement d'installation ou d'agrandissement dans les centres urbains. Recrutement Kinshasa et Léopoldville. — Ce vœu n'a reçu aucune suite. Régime douanier des vins. — La réorganisation douanière étant à l'étude ce vœu n'a pas reçu de solution. Actes officiels des chefs territoriaux. — M. le gouverneur général, par circulaire du 18 janvier 1913 a prescrit aux chefs territoriaux de lui adresser copie de leurs actes officiels ; mais il paraîtrait que cette circulaire n'est pas observée. Nous sommes revenus sur la question. Chasse à l'éléphant, Uélé. — M. le gouverneur général a pris l'ordonnance du 6 décembre dans l'interval. Règlement discipline travailleur. — La question reste à l'étude ; le gouvernement a pris en 1913 plusieurs ordonnances consacrant sa nécessité. Nous sommes revenus sur la question. Service télégraphique. — Ce vœu est réalisé. Extraits de permis d'importation. — Ce vœu a reça entiere satisfaction. Permis de port d'armes. — Ce vœu n'a pas reçu de solution. La situation générale est fort touchée par la crise du caoutchouc. Ses effets se feront sentir surtout durant les premiers mois de 1914. Il y a lieu d'espérer que les prix des ventes de novembre et décernée se maintiendront. Si on compare les frais grèvant le ki'ogramme de caoutchouc depuis Stanleyville ou Lu-sambo jusqu'à la réalisation à Anvers jadis et présentement, on constate que pour le caoutchouc de liane le dégrèvement atteint 2 fr. 20 par kilo. Les réductions des prix de transports qui sont annoncées sur les marchandises à la montée amélioreront encore la situation D'ai.tre part le gouvernement sur notre demande a bien voulu nous dire qu'il avait invité les chefs territoriaux à mettre l'indigune au courant des difficultés actuelles pour aider à la réduction du prix d'achat. Le gouvernement a consenti à des lourds sacrifices et a consacré ses efforts aux dégrèvements ; il a ac-ceuilli nos veux avec bienveillance et a accordé de réels encouragements à nos travaux. Si on considère le taux du dégrèvement du caoutchouc et l'abaissement des prix d'achat, on est amené à envisager la situation avec calme, car le commerce du caoutchouc reste possible aux cours actuels. Mais le commerce doit aider l'action gouvernementale dans l'amélioration de nos gommes, et il a l'impérieux devoir de se diriger vers de nouveaux produits d'exportation. Dans l'orientation nouvelle à donner aux efforts commerciaux, c'est vers l'agriculture qu'il faut se diriger. Nous étudions un vœu, qui a pour but d'amener l'éducation agricole de l'indigène, et de créer un régime de petites concessions payant des redevances à taux progressifs pendant les premières années, accordées sous réalisation de la mise en valeur amenant un titre de propriété définitive. Ce système, qui fonctionne dans d'autres colonies favoriserait l'exploitation du sol et la production de nouveaux débouchés d'exportation, et cela d'une façon générale, évidemment préférable aux concessions avantagées, de territoires de production naturelle, qui ont été attribuées dans des limites de quasi totalité en ce qui concerne l'huile de palme. Le commerce de celle-ci n'étant plus accessible de façon générale, nous devons à côté des fibres et textiles, viser à la culture de l'arachide et à la production de son huile. A cet effet nous préconisons, pour le travail des arachides dès que la. cultiu'e en. aura, été amenée, un projet de coopérative huillière à Kinshasa, semblable aux coopératives laitières qui fonctionnent en Europe. La perception égale et générale de l'impôt indigène, le renforcement de la discipline du travail, que nous avons demandés au gouvernement, seront les remèdes principaux à apporter à la crise que nous traversons. La réalisation du commerce libre, l'abandon des régies, le rôle gouvernemental limité à une bonne administration et à la protection du oommerce, constituent des garanties qui jointes aux résultats atteints depuis la reprise et aux amples ressources du sol et du sous-sol de la colonie, nous permettent d'envisager l'avenir avec confiance. Lettre de Dima Dans le sud du Kasaï. — Attaque d'un juge. — Plusieurs tués. (D'un de nos correspondants). Le brait court à Dima, mais je vous transmets, jusqu'à plus ample information, la nouvelle sous les réserves d'usage, que le sud du Kasaï s'agite. Un juge, dit-on, a été attaqué par les Baketes et a eu 3 soldats tués et les indigènes 45 tués, après un combat d'une journée entière. On prépare une expédition militaire importante. Un poste du Sud, est cerné par les indigènes, mais un poste de l'Etat a pu accourir au secours avec 75 soldats. Les détails manquent encore ; les courriers sont tués en route. Voilà les nouvelles graves qui circulent ici... Ont-elles été grossies, comme cela s'est déjà vu P Espérons-le. Lettre d'Elisabethville La situation des colons belges au Katanga. Mise au point. (D'un de nos correspondants) Dans un intéressant rapport, qu'on vient de rédiger ici, sur la situation des colons belges au Katanga pendant le 4e trimestre de 1913, il est signalé qu'au cours de ce laps de temps, dix nouveaux émi-grants sont venus s'établir au Katanga, dont 3 femmes et 2 enfants. Six anciens immigrants partis sont revenus. U y a eu une naissance et pas de décès. Par contre il y a 42 départs pendant ce trimestre dont 10 femmes et 10 enfants. Au 1er octobre 1913, il y avait au Katanga 235 immigrants ayant bénéficié des avantages prévus par l'Arrêté Royal du 2 Mai 1910, dont 137 hommes adultes, 60 femmes et 38 enfants. Depuis l'entrée en vigueur de l'arrêté royal du 2 mai 1910 jusqu'au 30 septembre 1913, le nombre d'immigrants arrivés au Katanga avec l'assistance du ministère des colonies est de 479. U y eu en tout 259 départs de la colonie, 10 naissances et 19 retours d'imigrants partis. L'état sanitaire des immigrants belges continue à être très satisfaisant dans son ensemble. Au point de vue des salaires et du coût de la vie, la situation n'a pas varié. Les bons artisans obtiennent sans difficulté des salaires de 25 à 30 francs et même plus. U devient rare que les immigrants se présentent dans les bureaux du service de l'immigration pour demander du travail. Il y a 36 colons immigrants belges occupant des parcelles de terre et des immeubles au Katanga à titre de locataires et de propriétaires ; 13 d'entre eux occupent des maisons dites «de colons» et ont passé avec le gouvernement des contracts en vertu desquelles ils deviennent propriétaires de leurs immeubles après avoir payé la valeur par versements mensuels. La plupart des 23 autres ne sont que locataires de terrains mais un grand nombre nombre d'entre eux sont propriétaires d'habitations qui y sont construites.Ne sont pas compris parmi les 36 colons, ceux venus au Katanga à titre privé et sans le secours du ministère des colonies, et qui sont devenus propriétaires ou locataires d'immeubles de la colonie et également ceux qui comme colons agricoles occupent des fermes à titre provisoire et qui seront incesamment invités à signer des contrats de location avec facilité d'achat. Comme on le voit, le nombre de belges qui occupent en ce moment des immeubles au Katanga à un titre quelconque dépasse probablement la soixantaine, abstraction faite des sociétés commerciales et de l'administration.Aucun agent ou fonctionnaire de la colonie ne possède des immeubles au Katanga. Cependant au point de vue de l'immigration belge il serait bon que ceux qui viennent dans notre colonie de peuplement pour s'y créer une situation dans l'administration seront encouragés en vue de leur permettre, eux et leur famille à s'établir dans la colonie d'une façon plus permanente.* * * La lettre du Lomami (Katanga) que vous avez publiée dans votre numéro du 11 octobre dernier, a fait ici pas mal de bruit et a soulevé de vives critiques émanant des premiers magistrats. En effet, cette lettre, sous les dehors les plus sérieux, unissait la dérision à la méchanceté. N'étant pas sur place et n'étant pas averti vous ne pouviez pas en saisir le caractère odieux, aussi n'est-il venu à l'esprit de personne de mettre directement le journal en cause, sachant que votre bonne foi, sans aucun doute, avait été surprise. Par contre, on ne peut assez blâmer ici celui qui a, ainsi, si indignement abusé de votre confiance pour vous faire insérer un compte-rendu fantaisiste de la célébration de la fête du 1er juillet à Kabinda et de la visite du consul allemand, compte-rendu dont il vous était impossible de contrôler l'exactitude et que tout autre journal eut inséré comme vous l'avez fait. De même, on a critiqué une lettre émanant d'un de vos abonnés parue le 4 octobre et relative à la bicyclette de l'interprète Jean et qui constitue une critique acerbe, nullement justifiée. Ces quelques lignes, que j'ai cru bien faire de vous envoyer, ont pour but de remettre les choses au point. Comme le dit fort bien notre correspondant, notre bonne foi a été surprise et nous sommes les premiers à regretter ce qui s'est passé, ayant souci, avant tout, de ne publier que des renseignements exacts. On ne saurait trop blâmer d'ailleurs un agent qui n'hésite pas à se servir des colonnes d'un journal pour satisfaire une rancune personnelle. — N. d. 1. R. Il estintendit de reproduire nos correspondances, à moins d'en indiquer la source. Nos Informations Les partants du 19 février. —S'embarqueront également sur l'«Elisabethville», le 19 février: Pour le ministère des colonies (2e et dernière liste) : MM. Tiérache, maçon, (2e départ) qui sera accompagné de sa femme; Van den Brande, poseur de télégraphe (2e départ) ; Halain, sous-chef de section (3e départ) ; Marquet, maçon, (2e départ) ; Collet, forgeron, (2e départ); Dechamps, charpentier (2e départ) ; Decornière, surveillant des travaux (2e départ), qui sera accompagné de sa femme; Cloquet, conducteur de travaux (3e départ) ; Caretti, chef de chantier (4e départ); Peuman. percepteur des postes de 2e classe (2e départ) ; Moreau, percepteur suppléant des télégraphes de Ire classe (1er départ) ; Gianpietri, juge d'appel (5e départ) ; Engel, agent judiciaire (lr départ); Lemaître F. agent judiciaire (lr départi); Vanden Houte, commis-chef du service des Impôts (2e départ) ; Saussus, commis-chef du service des Impôts (2e départ) ; Renier commis 2e classe, du service des Impôts (lr départ). Pour la Forestière et Minière, MM : S. S. Moore, docteur (lr départ); W. M. Vandeventer, prospecteur, (lr départ); Emmanuel de San, agent, lr départ ; Raoul Geenens, agent, ( 2e départ). Pour la Misiosn de Recherches Minières de la Compagnie du chemin de fer du Bas-Congo au Katanga : M. Harry Yates, ingénieur. Pour la Cie du Chemin de fer du Congo MM. : Joseph Schupp, commis-chef. Pour le Katanga. — S'embarquera sur le s/js. «Walmer Castle)> quittant Southampton le 14 courant à destination de Capetown : Pour le service de l'Exploitation du Chemin de fer du Katanga: M. Albert de Stein d'Altenstein. commis, (2e départ), du Chemin de fer du Bas-Congo au Katanga. S'embarqueront le 21 février, à Southampton, vià lei Cap, à destination du Katanga: MM. Bonacina, médecin de le classe (2e départ), qui a été autorisé à se faire accompagner par sa femme ; Coeymans, agent territorial de Ire classe (5e départ) ; Henneton, agent territorial de le classe (3e départ), qui sera accompagné de sa femme ; Léon Samuel, commis de Ire classe (2e départ) qui sera accompagné de sa femme. M. Léon Samuel a passé son premier terme, de 1911 à 1913, au Kivu, en qualité de chef de poste de Luvungi et d'Uvira. Pour le Kivu. — S'embarquera, le 25 février, à Marseille, à destination du Kivu, via Mombasa: M. le lieutenant d'infanterie Ruwet, administrateur territorial de Ire classe, du ministère des Colonies. Chez les compagnons d'armes des campagnes Mad-histe et Batétéla. — Le Cercle des Compagnons d'armes des Campagnes Madhiste et Batétéla s'est réuni le 6 février dernier, à l'Union Coloniale, à Bruxelles, afin de procéder au renouvellement partiel de son comité. Etaient présents :MM. le général Wahis, le colonel Chaltin, les majors Michaux et Bastien, les commandants Dubreucq, Henri, Lothaire, baron de Renette de Villers-Perwin, Roy, M. Steeman, lieutenants Hen-rion, Arthur Sauvage, De Grez, Dupont, Buzon, San-drart, etc. Le comité à composé son comité comme suit : Président : le colonel Chaltin ; vices-présidents : les majors Lothaire et Michaux; conseiller: le major Bastien; secrétaire: M. De Grez; trésorier: M. Sauvage.Le président a félicité M. Michaux pour sa nomination au grade de major et a souhaité la bienvenue au commandant Henri qui vient de rentrer d'Afrique. Des remerciements ont été adressées à MM. De Grez, secrétaire et Sauvage, trésorier, pour le dévouement qu'ils apportent dans leurs fonctions. Le cercle a examiné ensuite les mesures à prendre en vue du monument à élever au regretté capitaine Cassart et diverses propositions relatives à l'admission de nouveaux membres. Un souper a suivi cette réunion où la plus franche cordialité n'a cessé de régner.

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Cet article est une édition du titre La tribune congolaise et La gazette west-africaine appartenant à la catégorie Koloniale pers, parue à Anvers du 1902 au 1914.

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