La tribune congolaise et La gazette west-africaine

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s.n. 1914, 04 Juin. La tribune congolaise et La gazette west-africaine. Accès à 19 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/tm71v5cp50/
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Jeadi 4 Juin 19x4 le .Numéro : 10 centimes (tiraniier : 15 centimes) 13me Anné< N* 15 LA TRIBUNE CONGOLAISE ET LA GAZETTE WEST-AFRICAINE. HLetociorELaxAsiire Directeur : JEAN PAUWELS VILLA S Y L V I A, Avenue des Cottages VI EU X-DIE U-lez-A N V E RS Les manuscrits ou articles non publiés sont détruits. La plus grande discrétion est assurée à nos colaborateurs ou correspondants. Tous droits réservés. I A.B02ST3STE^IEISrTS Belgique . , ♦ fr. 5.— Urùon postale ' Payables en un mandat-poste international de , , fr. 7.50 PAYABLES PAR ANTICIPATION Le dénouanement des marchandises pour le Congo, à Anvers L'article de nôtre collaborateur G. D. semble avoir vivement intéressé le monde' de nos commerçants et de nos industriels faisant des affaires avec le Congo, ainsi que les agents coloniaux,leurs clients, à en juger des multiples communications que nous avons reçues à ce propos. Deux d'entre elles nous paraissent devoir particulièrement retenir l'attention de nos lecteurs, car elles résument en quelque sorte le pour et le contre de la ment hostile aux desiderata exprimés par notre collaborateur, mais met plutôt en garde contre les difficultés qu'entraînerait leur réalisation. question, encore que la seconde ne soit pas précisé-Nous croyons utile de les reproduire toutes les deux, afin d'éclairer le débat. La première émane d'un de nos coloniaux les plus expérimentés en matière d'importation de marchandises européennes au Congo .11 émet l'avis que le principe exclusif de la vérification sur place, au Congo, des marchandises importées est de nature à créer de grosses difficultés et de graves pertes pour les commerçants. Cette appréciation est très légitime, ajoute-t-il. On ne peut en effet pour des motifs d'économie et pour des raisons de surveillance pratique multiplier à l'extrême les postes dé douane, donc les entrepôts publics ou privés. C'est ainsi par exemple, en ce qui concerne l'Uélé, que Buta (peut-être Bambili), sera le poste de douane extrême sur la voie de pénétration de l'Uélé. Le décret prévoit que l'on peut retarder la vérification jusqu'au moment de la sortie de l'entrepôt de Buta. C'est donc en ce point que les colis seront ouverts pour la vérification, et il se fera qu'au moment où un emballage parfait devient strictement nécessaire, ces colis «vérifiés» continueront leur marche vers l'intérieur en caravane ou par pirogues dans des conditions très précaires. Parlons seulement des transports de tissus. Je me souviens, contmue-t-il, de ce que lorsque le résidais à Dungu, sur le Haut-Uélé, nous avions ordre d'ouvrir tous nos ballots d'étoffe dès l'arrivée d'un transport. La moitié des ballots, les mieux emba]_ lés, étaient intacts, nombreux étaient ceux que la vigilance des convoyeurs n'avaient pu soustraire à l'action absolument destructive de l'eau. De ces étoffes mouillées, une partie était définitivement abandonnée, quelques brasses séchées servaient aux usages secondaires des postes, et dans tous les cas, n'avaient plus aucune valeur marchande aux yeux des indigènes. Dungu était chef-lieu de zone ; trimestriellement le chef de zone répartissait l'approvisionement entre les postes et c'était son plus grave souci que de faire arriver à destination les marchandises en bon état. Grâce aux soins plus parfaits apportés par nos exportateurs à la confection des emballages, grâce à l'emploi pour les transports d'intérieur des étoffes ou autres marchandises en vrac de tonneaux ou sacs étanches, les pertes ont diminué, il est vrai. Mais une firme commerciale, un colporteur isolé, qui aura son magasin de répartition à Buta, subira en cas de vérification en ces points les mêmes risques que ceux que je viens de vous rappeler. Les missions religieuses, les maisons de vente en gros, les firmes détaillantes mêmes, possèdent en général à Kinshasa un siège central d'où les marchandises partent pour les postes intérieurs ou succursales.La vérification se fera soit à Kinshasa, soit, en ce qui concerne l'Uélé, par exemple à Buta. On retardera la période critique ,on ne la supprimera pas. Il y aurait donc lieu ,dit-il, en terminant d'abonder dans les vues de votre collaborateur qui me paraissent excellentes. Passons maintenant à la seconde appréciation. Elle nous est donnée par une autre personnalité coloniale très expérimentée en matière d'importation au Congo et qui de plus connait admirablement, pour les avoir étudiés à loisir ,les usages de la place d'Anvers et les nécessités de son port. «L'idée émise par votre collaborateur, dit notre correspondant occasionnel, parait tentante en principe, mais il me semble que l'auteur de l'article n'a pas envisagé les difficultés pratiques que je vais vous détailler ci-dessous : » Actuellement les marchandises destinés au Congo sont camionnées vers le steamer ou y sont amenées par wagon directement. La chose ne serait plus possible s'il fallait les dédouaner à Anvers, car il faudrait d'abord les acheminer vers un entrepôt congolais spécialement affecté à cet objet. On ne peut, en effet, songer à établir cet entrepôt à quai, car on devrait le clôturer pour en permettre la fermeture à 6 heures du soir, la douane, pour son contrôle, ne permettant pas qu'on y circulât après les heures réglementaires. Or comme à quai viennent s'amarrer d'autres steamers que ceux de la ligne du Congo, ce serait entraver le commerce et le travail au port, ce que la ville d'Anvers ne permettrait assurément pas. Il ne resterait plus qu'à créer un entrepôt le plus près possible du lieu d'embarquement, mais ici surgit une nouvelle difficulté. Les marchandises devraient d'abord être dirigées sur l'entrepôt et de là sur le steamer, soit qu'elles soient acheminées par camion ou par wagon. Encore, en ce dernier cas, en résulterait-il, un déchargement et un rechargement, en supposant que l'entrepôt de la douane soit accessible par rails. » A-t-on songé aux frais qu'entrainerait pareil transbordement ? Je l'ignore, mais à mon avis, si le trafic est intense, cela reviendrait à 6 francs la tonne minimum et bien plus encore s'il s'agissait d'un trafic réduit. » Est-on assuré d'un trafic intense? Pas le moins du monde, car le dédouanement à Anvers ne seraif que facultatif ,ainsi que le propose votre collaborateur, et se réduirait au trafic des marchandises fines, tels que les tissus. Reste donc à voir combien de commerçants et d'industriels profiteraient de cet avantage et s'ils consentiraient à payer les frais. Il y aurait peut-être moyen de concilier les choses, c'est que le fisc oongolais supporterait ceux-ci. La réalisation pratique du projet, comme on le voit, ne semble pas très facile ,s'il faut s'en rapporter à l'avis autorisé publié ci-dessus, mais peut-être se trouvera-t-il quelqu'un qui résoudra les difficultés.Ainsi tous les intéressés seront satisfaits ; c'est ce que nous souhaitons de tout cœur. Nos Informations Les partants de ce jour. •— Parmi les partants de ce jour ,signalons : M. Gosme E. L. A. P., lieutenant payeur au 2e chasseurs à pied, adjoint supérieur, qui part pour la 4e fois. Il est parti la première fois le 16 mai 1901 comme sous-lieutenant de la force publique et fut désigné pour reprendre la compagnie du Kwango et y ramener une discipline qui n'y existait plus. En avril 1903 il part pour le Stanley Pool, fait une reconnaissance dans le district en le parcourant depuis l'Inkissi jusqu'à Bokola. En novembre 1903 il est chargé de refreiner un mouvement insurrectionnel qui avait surgi parmis les travailleurs de la ligne télégraphique, il y réussit en fort peu de temps. En janvier 1904, il est chargé d© recenser et d'imposer la région de Lukolela dont le rendement était nul. I fait à cet effet 22 jours de route sans un seul soldat, dans une région très agitée et arrive à ses fins. En mars 1904 il est chargé de reprendre le poste de Sabuka et de ravitailler Léopoldville en vivres pour noirs, ce qu'il arrive à faire très facilement et très rapidement. Est nommé lieutenant de la force publique en mars et rentre en septembre 1904. Il repart le 2 mars 1905, est désigné pour reprendre le secteur de Pania-Kasai et ramener au calme la région de Lukolola. Dirige avec succès une. opération de police contre le chef rebelle Boukusu, installé à la frontière orientale du secteur. Est désigné pour la province orientale, reste quelques semaines à Stanleyville, impose les populations riveraines en vivres pour noire et amène hebdomadairement de très importants ravitaillements de bananes. Est désigné par M. le G. G. Wahis pour asurer le service des transports à Kabambare, il y trouve des magasins encombrés, et des populations farouches non recensées. En 6 mois il arrive à tout évacuer et à assurer le fonctionnement normal des transports. Il recense tous les villages de son secteur, et règle le portage sur la base d'une seule corvée par village et par trimestre. Au cours des recensements ayant été menacé et assailli plusieurs fois par les indigènes Bango-Bango il arrive à soumettre et à pacifier toute la région. En août 1907 il reconnaît la Luama au point de vue de la navigabilité. Est désigné pour reprendre le secteur de Kama ou il renoontre les farouches Wazimba, éternels ennemis du blanc. En mai 1908 étant violemment attaqué par les bandits du chef rebelle Gom-be Uyama, il part accompagné du capitaine Losange et escorté de 20 soldats il soumet d'une façon absolu toute la région. Est nommé chef de secteur et rentre en septembre 1908. Repart pour la 3e fois le 26 août 1909. Est désigné pour la province orientale, gère successivement par intérim les zones de Ponthierville et de Stanleyville, part en novembre 1911 exercer à Coquilhat-ville les fonctions de chef de zone. Est désigné pour le Katanga en février 1912 ou il doit organiser le nouveau district de la Lulua. Il y trouve une situation des plus difficiles : des meurtres et des exactions commises par les européens avaient mis toute la région de Dilolo en pleine effervescence. Il traverse tout le pays sans tirer un seul ooup de fusil et réussit à ramener les Batshiok et les autres populations du district et rentre prendre un repos bien mérité à fin octobre 1913. M. le capitaine commandant Bataille du 2e régiment des chasseurs à pied, (2e départ) qui a exercé avec grande distinction pendant 3 ans, le commandement du camp de Lokandu. Nous croyons savoir que cet excellent officier reprendra la direction des troupes des districts du Kasai et du Sankuru. M. le lieutenant Muller du régiment des carabiniers, adjoint supérieur (3e départ). Durant les deux termes de services qu'il a accomplis au Congo, M. l'adjoint supérieur Muller a commandé la compagnie la Gurba-Dungu et a ensuite rempli les fonctions de chef de zone au district du Lualaba-Kasai. M. Muller remplira ses fonctions dans le district du Lo-mami et il rejoindra sa destination via Borna. Est Chevalier de l'Ordre royal du Lion. M. Polledro, médecin-inspecteur (4e départ) qui depuis plus de dix ans assura la direction du service sanitaire au district du Kasai avec le plus grand zèle et le plus entier dévouement. Son retour au Kasai est vivement attendu par les nombreux résidants dont il a gagné toute la confiance. M. le docteur Polledro est Chevalier de l'Ordre Royal du Lion. M. J. Pelet, agent d'administration de 2e classe. Parti la Ire fois pour le Congo, le 23 octobre 1902, M. Pelet fut, au début de sa carrière coloniale, atta ché à la direction des transports, à Stanleyville. Peu après, il fut désigné pour la gestion des magasins généraux, alors très importants, des Stanley-Falls. M. l'inspecteur d'Etat De Meulemeester, alors commissaire de district, apréciant les qualités administratives de M. Pelet, lui confia, en août 1903, les fonctions de secrétaire de la province Orientale, fonctions qu'il assuma jusqu'à sa rentrée en congé en avril 1906. Reparti pour la 2e fois, après une pénible maladie, en avril 1908, il fut désigné pour le secrétariat général. En mars 1911, il venait prendre un repos bien mérité et se rembarqua en septembre de la même année pour Borna ou il reprit ses anciennes fonctions. Revenu au pays fin décembre de l'année dernière, il repart ce jour, pour la 4e fois. M. Pelet est accompagné de sa jeune femme. Mentionnons encore parmi les partants de ce jour : MM. le commandant Wilwerth, directeur des Pêcheries du Congo (6e départ) qui se rend en inspection à Banana; Gustave Beernaert (2e départ) qui accompagne le précédent à Banana et François Barozzi, aide-opérateur-dessinateur, attaché à la mission d'études du chemin de fer du Bas-Congo au Katanga. La déclaration des éléments imposables. — Subsi-diairement à la circulaire du 29 janvier dernier, M. Roskam, directeur des finances à Borna, vient, en date du 21 avril, de confirmer que, dorénavant, le6 prescriptions relatives à la déclaration des éléments imposables seront strictement exécutées par le service fiscal. Donc, tout contribuable qui aura omis de déposer sa déclaration au 15 janvier ou au 15 avril, selon qu'il s'agit d'éléments existant au début de l'année ou d'éléments supplémentaires, sera réputé en défaut et se verra appliquer les pénalités prévues à l'article 38 du décret du 17 mars 1910. Contrairement à l'opinion que d'aucuns professent, les mesu-rages que peuvent effectuer les agents du fisc ne constituent qu'une formalité de contrôle qui ne dispense nullement le contribuable de déclarer, dans les délais légaux, les éléments sur les trois bases. Dans le même ordre d'idées, la non-réception des formules de déclaration n'autorise pas le contribuable à différer l'accomplissement des formalités requises par les articles 17 et 18 du décret. M. Roskam a rappelle également les dispositions de l'article 11 du règlemnt sur la perception des droits de sortie ,modifié par l'ordonnance du 24 octobre 1912, prescrivant à tout négociant qui installe une factorerie de la déclarer à l'ouverture au commissaire de district. Celui-ci en avise le contrôleur des impôts du ressort afin que le reçu réglementaire soit délivré. La réorganisation administrative. — Par une circulaire en date du 21 Avril 1914, M. Félix Fuchs, gouverneur général, a porté à la connaissance du personnel de la Colonie qu'en suite des exigences de la réorganisation administrative, certaines modifications, dont l'étude se poursuit actuellement, doivent être apportées aux tableaux annexés à l'arrêté royal du 27 mars 1912. Dans ces conditions, il lui est nécessaire de surseoir jusqu'au jour où ces modifications seront acquises, aux nominations et aux promotions qui sont réservées au gouverneur. Afin de ne pas léser, en ce faisant, les fonctionnaires et agents qui depuis le 1er janvier 1914 sont dans les conditions voulues pour recevoir une nouvelle nomination ou pour être promus à un grade supérieur, les ordonnances de nomination ou de promotion qu'il prendra leur accorderont la rétroactivité nécessaire. Nominations et promotions. — Par arrêté royal en date du 4 mai 1914, est nommé : Administrateur territorial de Ire classe : M. Simon, N., lieutenant de la force publique. Il prendra rang dans son grade à la date du 21 janvier 1913 et immédiatement après M. Kleven I. V. G. administrateur territorial de Ire classe. Par arrêté royal du 16 mai 1914, sont nommés : administrateurs territoriaux de Ire classe : MM. Nuycon, L. O. E., Thuysbaert, C. R. L. J. M. A. G. Bunard, A. E. G., Coclet, P. J. M. Liaudet A. L., De Brandt, E. A. A. Populaire, Y. A. A. A. Gilson, A. H. L. M. G., administrateurs territoriaux de 2e classe. Administrateurs territoriaux de 2e classe : MM. Strythagen, R. H. J. J. agent d'administration de 3e classe, Collaert J. B. F., Lepage J., Cre-lot P. V., Misson E. M. J., agents territoriaux de Ire classe et Michot L. F. W. agent d'administration de 3e classe. Par arrêté ministériel en date du 6 mai 1914 sont nommés : Agents d'administration de 2e classe : MM. Rieux, Gaston, Thiébaut F. X. F. Ballim, L. J. J. Empain, Armand, François J. A. Lejeune, E. P. A., Mourue, G. R. Buysse, V. E. J. Crombez, L. J. A. N. E. agent d'administration de 3e classe. Mort de M. Perlo. — Nous apprenons le décès de M. Perlo Jacques, agent territorial de Ire classe à la colonie qui a succombé à Bolobo, le 5 mai dernier.M. Perlo s'était rembarqué pour le Congo avec sa femme le 2 avril dernier, il y a un mois à peine, et la mort est venu brusquement le frapper alors qu'il se rendait au district des Bangala pour lequel il avait été désigné. M. Perlo qui justifiait 7 ans de service au Bangala comptait parmi les meilleurs agents du service territorial du district. Les indigènes dont il était aimé et respecté, travaillaient volontiers sous son autorité et les résultats qu'il obtenait étaient réellement surprenants Sa mort est une perte sensible pour la Colonie. Le départ de ('«Albertville». — S'embarqueront ce matin, à 9 heures, à bord de 1'«Albertville», les passagers dont les noms suivent parmi lesquels il y en a plusieurs dont nous avons déjà annoncé le départ: D — O Noms » Compagnies Qualité S P Cfl rç •_ Drapier 5 1 Minist. des Col. cons. T. F. C. Vandergeten 4 » id. géom. c. 1 » Licot 3 » id. » » Borremans 3 » id. vérif.imp.2 » Mme Borremans — » id. — » Ruelle 3 » id. vérif.imp.2 » Thoumsin 2 » id. » » De Raeve 2 » id. pharmacie" » Muller 3 » id. adj. supér. » Bataille 2 » id. capt.comd. » Massart 4 » id. ag. terr. 1 » Gosme 4 » id. adj. supér. » Martinesen 2 s> id. capt. s/s. 3 » Neesing 2 » id. » » Nikitin 4 » id. capt. s/s. 1 » Van Campfort — » id. adm.terr.2 » Polet 4 » id. » » Mme Polet — » id. — » Polledro 4 » id. méd. insp. » Vermeersch ■— » id. directeur » Lontié — » id. instituteur » Born — » id. perc.s.tél.l » Mme Born — » id. — » Roland — » id. per.s.pos.l » Mme Roland — » id. — » Enf. » 22 mois — » id. — » Wegnez 2 » id. ch.cult.2cl. » Courard 2 » id. ag. adm. 3 » Brognez 6 » Ch. de fer Congo chef d'atel. » Guenot 3 » S. A. B. ag. princ. » Paas 2 » Cie du Kasaï gérant » Duff — » Forminière » » Villas — » id. s » Grosemans 5 » id. » » Elder Nance — » id. » » Barozzi — » Ch.ferBas-C.-Ka1 aide-op.des » Goldschmidt — » T. S. F. ingénieur » Wilverth 6 » Pêcheries Congo directeur » Buzon — » Etabl. Buzon administrât » Stroobant — » id. » » Mme Stroobant — » id. — » Frison — » Compt. C. Velde agent » Voisin — » Equatoriale » » Rolfes — » Rolfes,Nebel&C° » » Vernon — » id. » » Dittrich — » Privé — » Van Buschbank — » N. A. H. V. ?gent » Degraef — » C. B. M. C. » » Van de Sande — » Privé — » Ramaekers — » D.Pauw-V.Camp agent » Mme Ramaekers — » id. » » Mme Debay — » Privé — » Moseley 2 » Forminière » » Thomas — » Comfina agent » Levack — » S. B. C. T. agent . » Loef — » Minist. des Col. ag. judic. » Mme Loef — » id. — » Bassompterre — » Comfina agent » Gérard — » Sucrière Europ. directeur » Mine Gérard — » id. — s Calvocoretti — » Co Min.C.-franç, agent » Fastrez 2 2 Minist. des Col. com.-chef » Kerremans 2 » id. com. 1 cl. » Mme Kerremans — » id. — » Ballez •— » id. com. 2 ci. » Godichal — » id. » » Che 'alier — » id. » » Denys — » id. » » Hanssen — » jd. » » Dits — » id. » » Gomrée 2 » id. ch.com.mil » Pelgrims 3 » id. sousoffic. » Adant 2 » id. surv. trav. » De Coster 2 » id. com 1 cl. » Dekoninck 2 » id. com. 2 cl. » Smolders 4 » id. s/ch. cuit. 21 » Folie 2 » Ch. de fer Congo commis » Arens 2 » id. mon. ajust. » Dewez — » S. A. B. lradjoint » Devisschere — » id. » » Rottier — » id. » » Hanff — » id. » » Dufour — » Cie du Kasaï adjoint » Darrouzain — » id. » » De Caluwe — » id. » » Decourcelle — » id. » » Heyman — » id. « » Petit — » id. » » Walhousen — » id. » » Bassompierre — » Comfina » » Beernaert 2 » Pêcheries C ongo mécanic" » Vinck — » Equatoriale agent » Leprince — » Huileries Congo » » Gobeaux — » id. » » De Raeymaeckers — » i'. » » Stassen — » . id. » » Voussure — » id. » s> Mairy — » id. » s> Fransquet — » id. » » Geelhand — » id. » » Rousseau — » id. » » Pots — » S. A. B. lr adjoint » Antoons — » id. adj. plant. « Douglas — » Huileries Congo agent « Marshall — » id. » « Gaillard — » Etabl. Nava & C° » « Klinck — » Huileries Congo » « De Vrieze — » Minist. des Col. com.-chef « Marlier — » Meunier & Cie agent « Mme Marlier — » id. — « Schoonejans — » Soc. Ursél. Sec. agent « Nadjemba — pnt Mrjungers boy « Geerts 2 1 Ch. de fer Congo ch. service « De Mey 3 2 id. mon'.ajust. « Tarchetti 3 1 id. com.-chef » Gots — 2 S. A. B. lr adjoint » Haazen — » A. B. C. ag. adjoint » Braconnier — 3 Minist. des Col. — » Comme on le voit les passagers s'embarquant à Anvers pour le Congo sont au nombre de 118: 64 en Ire classe, 52 en 2e classe un en troisième classe et un dans le pont, à qui viendront s'ajouter 3 passagers s'embarquant à La Pallice, parmi lesquels M. Badolo, consul d'Italie. Nous leur souhaitons à tous un heureux voyage et un non moins heureux retour au pays. Les départs pour le Congo. — Le départ de I'«An-versville» fixé au 16 juillet a été remis au 23 juillet, afin de faire alterner les départs et les arrivées des malles congolaises avec les départs et les arrivées des bateaux français. A partir du 23 juillet donc les départs et les arrivées des malles congolaises

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Cet article est une édition du titre La tribune congolaise et La gazette west-africaine appartenant à la catégorie Koloniale pers, parue à Anvers du 1902 au 1914.

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