is lofie faiforltç militaire sHinwis- Il WÏÏISB0 : 5 CEHTim Yminûl e! nwMl, 8 et S.-ocfcfire î§15 ^? CoîUge 2V.-D. de la Paix, Kamur %& B-^^b'rL Bjiteerokgi^iLe du 8 ectobro ■ 0 heures du mafln)( Oàul. laromètritfue à 9 . Variât, bar. dep. la veille , Température de VtLir Temper, max. de la veille , Temper, min. dt le nuil , Direction du vent Vitesse du vent [m.ff tec.) , mmÊEmeamaattBmmÊfmmÊiÊiBmt^^^^^^^U A.BONNSMSMT AtfîfUEZj F mr Naraar. **■ c*, 1 « x 1 to» 12.00 Pour la Belgique .- *'*» s« ■ sfr. 14.00 QUOTIDIEM e jj Tarif de» M»»*** IAnn. 2. ?.««,!* «f0W J— notaire*, av«»«*. vente, ** u* l Anntucet fe*«*c* " Nécrologie ] Faits (Myert ' de ï'p^ruo-n.ll^ent iceiiu On lei; a S'a g-air bur. dm jaarna). 'iU goem à POui Communiqué allemand : ilin, 7. — Eo Champagne, i'offeniive f/ançaise continue. Après an violente canonDado qui, peu à peu, a atteint la plus grande intensité, les attaques ont recommencé hier au point du jour. Au Nord-Oaest de Soaain, sis attaques en Jmasse dos Français se sont écroulées sous no; tra ïeu. causant des pertes excessivement éle | vées aux assaillants, qui ont laissé en outre 2 ' offioiers et 180 soldats en notre pouvoir. A l'Ouest de la Toute de Somme-Py àSouain, dans ia direction de Sainte-Marie, des groupes appartenant à deux divisions nouvellement • arrivées ont dépassé à un endroit notre toute.première ligne. Nous avons.aussitôt entrepris'des contreatraques. rejeté l'ennemi de notre.'position et capturé 12officiprs,29soo3-ofïiciers, 550 soldats et deux mitrailleuses. | A l'Est de la route précitée, les attaques en ' masse des Français n'ont eu aucun euccès no- table. A l'Est de la ferme do Navarin, ils ont . pu se maintenir dans un petit morceau de tranchée; nous contre-àttaquons. L'ennemi n'a réussi à progresser, de 800 mètres environ,que près et au Nord de Tahure, après de ! : multiples attnques et contra-altaque:j. Notre I contre off-nsive a enrayé les progrès ennemis. i Au Nord et au Nord Est de la ferme de - Beauséjonr, les Français ont tout à fait échoué dans toutes leurs tentatives. Là où ils ont pu atteindre nos tranchées, ils ont été tués ou faits prisonniers. Nons sommes restés entièrement maîtres de nos positions et avons capturé 3 offi- ; ciers, 300 soldats et 3 mitrailleuses. A l'aube, nous avons repoussé une attaque ' violente mais inefficace dirigée contre la briqueterie située au Nord-Ouest de Ville surTourbe. Pendant la journée.' des attaques pics faibles ont suivi; elles ont été repoossées ou i se sont écroulées dès le début sous notre canon- : ofede. ' Au Nord d'Arras, il n'y a eu que des coœ- ibatft à coups de grenades, sans importance. Dans la vallée de l'Aisne, près de Sapigneuî, one faible attaque des Français,dirigée contre one partie saillante d'une de D03 tranchées, a abouti à on échec complet. Communiqués français Paris,G. — 23 h. — Notre action en Champagne a obtenu aujourd'hui de nouveaux résultats. Nos troupes d'infanterie, ont, après une solide préparation par le canon,enlevé d'assaut le village de Tahure et atteint le sommet de la butte du même nom, formant point d'{ dans la seconde ligne de résistance ennemie. Nous avons également progressé aux environs de là" Ferme Navarin. Le total de3 prisonniers .ennemis :ent dénombrés dépasse un ; millier. Sur le rente du front, on ne signale que des ' eombata d'artillerie, particulièrement violents eo Artois, dans la région ou feoia-de Giveichy et de la cote 119, en Argcnne, an Nord delà Oarazée et au bois Le Prêtre, en Lorraine près de Leintrey, Reillon et Badonviller, ainsi que dans les Vosges sur la crête de Metzeral; ' Paris, 7 oct. 3 h. après-midi. •— Les Aileisands ont violemment bombardé tout noire j front français au. Nord de la Scarpe. ■ Ils ont tenté 4 contre-attaques successives j contre les positions récemment conquises par i nons dans les bois à l'Ouest du chemin deSou- ' chez à Àngrss. Ils ont été complètement repousses. Bombardement intense et réciproque au Sud de la Somme, dans les secteurs d'Ancbeehy, 'Dansourt, Cagnysur-Mats, ainsi qu'au Nord de l'Aisne, dans la région de Traoy-le-Val et •de boisSt Mard. t En Champagne, les Allemands ont prononcé en fin de journée des retours offensifs opiniâtres, oar ligno3 £uocessivës,contreles positions 'oa'ils* venaient de perdre au Nord de Tahure. Ils ont partout échoué. Aux Epargna, nous avons fait exploser deux mines qui not sérieusement endommagéies ouvrages ennemis. Canonnaoe violente de part et d'autre entre Meuse et Moselle, au Nord de Flirey. En Lorraine, une force reconnaissance allemande a tenté d'aborder nos tranchées dans la région d'Athunviile; elle a été arrêtée par les réseaux de fil de fer et repoussée par nos tirs de iarr •*ge et no3 feux de l'infanterie. à Communiqué allemand * Berlin, 7. — Armées du maréchal von Hindenburg : Devant Düoabonrg, nous avons • pénétré dans les positions ennemies sur uneétendue de front de 5 kilométras. h Au Sud du lac de Dryswjaty, nous avons [continué à repousser l'ennemi; une brigade do { cavalerie russe qui a attaqué a été anéantie I par notre feu. tN Entre le lac de Boginskoje et la région de Smorgon, l'ennemi a de nouveau essayé pîo- sieors fois de rompre notre front; toutes seü tentatives, qui lui ont coûté de fortes pertes, ont échoué, parfois après des corps à corps. Nous avöss-'fait prisonniers onze officiers et j 1,300 soldats. , < F -es de Raggasem (dans le golfe de Riga), an torpilleur russe a été sérieusement endommagé par le feu de nos batteries du littoral, j Armées du maréchal prince Leopold de Bavière : Rien de nouveau. ,:Armées du général von LÎDsingen : A la suite des combats engagés près de Czartorysk, i l'ennemi a été rejeté des forêts situées à l'Ouest de cette localité. DANS LES BALKANS Des forces allemandes et austro-hongroises 'ont franchi la Drina, la Save et le Danube à ,plusieurs endroits; elles ont pris pied sur la '■rive Est de la Drina. ainsi que sur la rive Sud de la Save et du Danube. \ Communiqué autrichien 1Vienne, 6 oct. — Pas de modification. Au SudEst. — Rien de nouveau. Communiqué russe Saint-Pétersbourg, 6. Dans la région de Jacobstadt, le bombardement ordinaire a repris. Au Sud Ouest de vJacobstadt,les Allemands bombardent lardon de Jargrad (12 km. au Sud da Lîwcobof sur la Dun a). Dans la région, dé Düoabonrg, continuel duel d'artillerie. Au Sud dePosiawy,erès du travail annoncé do Sagatsch (5 km. an Sud ie Posiawy), «tus avons cfcassé les Allemands 4e leurs trantfeées. Au front, entre le Iao de Narocz et ia îao de Wiszniew, nous avons encore davantage fait reculer l'ennemi. En poursuivant l'ennemi dans la région au Sud-Ouest du lac de Wiszniew.noa troupes ont pris les villages de Abmmowfi (11 km. an Sad du lac),Bo\vry Mlyns (3 km. au Nord-Est de Smorgon) et le village de Minski (1 km. au Nord-Ouest de Smorgon). Piu3 au Sud jusqu'au Pripjet, pas do changement important. Près des bouches du Stochod, l'ennemi a tenté de nouveau d'occuper le village dn Gozod (45 kil. Sud-Ouest doPinsk) sous la protection d'un feu concentrique de son artillerie. Nous avons repoussé cette attaque. Au Sud-Our;St de Czartoryst, i'ennemj a été repoussé au dolà du village de Sioiki (6 kil. au' Sud Ouest de Czartoryat); nous y avons fait environ 150 prisonniers et pris une mitrailleuse. Près des localités de Krasnówola (J3 km.) et Koszyzcz (8 km.Est de Koiki), nous sommes en contact avec l'ennemi, rJui veut gagner la direction de l'Est. ra lu bue iiaiienns Communiqué autrichien Vienne, 6. — Sar îo haut plateau de Vieigerentb, vers minuit, une forte attaque italienne,qui ? amené l'ennemi,à certains endroits, tont près do nos travaux de défense, a été repoonée définitivement. > Communiqué italien Rome, 6. — Dan3 la vallée de Terragnoîo, une de nos colonnes a occupé, le 5 octobre,sur la route de Rovereto, les localités de Car péri et d'Alla Volta, sur le versant Sud du Dosso del Soramo. L'ennemi a évacué le bourg voisin de Piaccax et s'est retiré vers Potrich. Il y a ea de petites rencontres près de Filon dei Solas, sur la croupe située entre Feîla et Dogna, au Sud-Ouest de Leopoldskirchen.ainsi que vis-à vis de Peteano, sur le versant Nord du Karst de Görz. L'ennemi a été repoussé et a laissé quelques prisonniers entre nos mains. AU CAUCASE ' Pétrograd, 4. — De l'armée du Ganor.ce : Sur tout ie front do Caucase, sauf dans ia région de Wan. il n'y a pas eo de combats sérieux. Eo diffiérents endroits, les Turcs ont tenté d'avancer dans la direction de notre frontière; mais leurs tentatives ont toutes été facilement repoussées. Il y a 6o des escarmouches entre ies avairt-postes dans la région côtière de la mer Noire, au Sad-Ouest de Chopa, et, r-.lus vers le Sud-Est, jusqu'au confinent du TsjoL'och et do l'Oita.daas la région d'Isjchan. Nos patrouilles ont fait quelques reconnaissances heureuses au doîà du lac de TorToom jusqu'à Ghororsan. Le calme a régné dans la région de Doutabk, sur ï'Etiohrate, anSudd'Alashgert, dans la direction Eat de Melasbgert et dans la région d'Ardjtch, à l'eitrémité Nord-Est du lac de Wao. Le 3 octobre, an Sud Ouest de la ville de Wan, après avoir défiit on détaehement turc, nos troupes ont commencé à poursuivre l'ennemi, qui se retira le long de la rive méridionale du lac de Wan, s'engageant dans des cols qui vont jusqu'à 800 à 9uO pieds d'altitude. Pius' au Sud-Est, dans ia région de Basjkalaet d:Ûurmta, la situation est inchangée. ■■ "*«»■■ ■■ ■■■.■■■—— SUR MER Londres, 6. — Une note fie L'Amirauté avise los navires neutres ci alliés que le passage par i, au Nord de l'Ecosse, est exlre eux. Londres, 6. — Le vaj-eur britannique Noro- Caslri1,060 tonndé. L'équi- ix hommef; blessés, a été Londres, 6. —• Lloyds annonce que le.3 vapeurs britan"Hor Prince cl Haydn mit été cou- lés. L'équipage du Haydn a été sauvé, de même du Sailor Prince. Madrid, 6. —s'est échoué en ■ de SUSares de C Le brouillard a empêchéir la nationalité du navire. On croil[u'il est italien. rs ont été Ea Russie Potrograd, 6 — Dans les cercles bien informés, on assure que lea séances de la Douma ne seront p3S reprises avant la date annoncée do mois de novembre. Les délégations des Zemstvos et des villes ne seront pas reçues par le Taar, puisque ces réunions ont dépassé les limites qui leur sont tracées. LacomDositiondu ministère né sera paschangée.Le président du Conseil, M. Goremykine restera à 3on poste, car il a ia confiance entière du Tsar. Bâle, 6. «— Lea journaux suisses annoncent que le général Kouropatkine commande un corps de grenadiers sur le front de l'armée Ivanof , qui forme l'aile gauche du front russe. L'ancien ministre de la guerre, le général Suchomlinow, a reçu l'ordre de partir pour le Caucase. Bombardement de Dunabourg Stockholm, 6. — Les « Birschiv/ija Wiedomosti » annoncent de Dunabourg que le bombardement par les Allemands s'accroît de jour en jour. La canonnade est si violente qne dans la ville, qui se trouve à 16 verstes do la zone de combat, le sol tremble et les vitres se causent. Des patrouilles allemandes ont avancé jusqu'à la rive de la Duna. Un combat s'est déroulé à une verste et demie de Dunabourg, entre des patrouilles allemandes et russes. DEBARQUEMENT RUSSE c, SUR LES COTES DE LA PERSE Le Temps annonce que des troupes russes ont été débarquées dans le petit port persan d'Enseli, sur la mer Caspienne. Les troupes marchent sur Kas win. Cette mesure aurait été reconnue néire parce que les Turcs ont occupé IlerLe gouvernement persan, de son côte, serait impuissante a. faire respecter sa neutralité. DÂH3 LIS BALKANS Laremisederiritimatumàla Bulgarie Sofi>,6.-~ Le gouvernement annonce officiellement qn«lundi,entre4et6h.deraprès-midi,le •résident dn Conseil des ministres a reçu laviûte i des représentants de la Russie, de la France et de la Graode-Bretagqo. Les deux premiers ont transmis des notes qui ont le caractère d'un ultimatum et qui interprètent arbitrairement la neutralité armée proclamée par la Bulgarie et les buts de la mobilisation bulgare. En menaçant de rompre les relations diplomatiques, iss puissances précitées demandent à la Bulgarie qu'elle brise ouvertement, endéans les vingtquatre heures,ses relations avec les puissances centrales et qu'elle éloigne les officiers allemands et austro-hongrois qui se trouvent prétendument auprès de3 divers état-majors de l'armée bulgare. Le représentant britannique a transmis une courte note verbale, qui annonce que l'Angleterre rompra ses relations avec ia Bulgarie s?, à la suite de la mobilisation bulgare, des hostilités surgissaient dans les Balkans. N'ayant pas reçu d'instructions, le représentant de l'Italie ne s'est pas encore joint à*la démarche de ses collègues. Paris. 6. — Complétant les déclarations par lesquelles l'ambassadeur russe à Sofia ex'ge du gouvernement bulgare le renvoi, endéans les vingtquatre heures, des officiers allemands et austrohongrois, lo3 ministres de France et d'Angleterre ont fait savoir an cabinet bulgare que la France et l'Angleterre se joignent entièrement aux exigences de la Ru*îie. Ils ont déclaré, au surplus, que les propositions faites antérieurement par les Alliés à la Bulgarie devaient être considérées comme nulles et non avenues. La réponse de la Bulgarie Sofia. 6. — L'Agence bulgare annonce que la réponse de la Bulgarie à l'ultimatum anglofranco-russe a été remise dans l'après-midi. Le matin du même jour, le gouvernement bulgare avaittransmis aux représentants de ia., Quadruple-Entente la réponse aux propositions du 14 septembre. Sofia. 6. —Lesmembres du Cabinet se sont réunis mardi en conseil au domicile de M. Pvadostawof. La délibération a duré do 8 h. du soir à minuit. Peu après, le général Savof, le généralissime bulgiro de la première guerre balkanique, arrivait chez M. Radoslawof pour se rendre avec loi, après un court entretien, à Vranja, où le roi Ferdinand réside actuellement lis ont été reçus immédiatement. Les délibérations ont duré mercredi de 4 h. Ij2 à 8 h. du matin. M. Radosluwof,rentré à Sofia. a fait immédiatement convoquer les ministres d'Allemagne,d'Autriche-Hongrie et de Turquie à une conférence qui a dore quatre heures. La rupture russo-bulgare D'après des dépêches adressées de Sofia à l'ageneo télégraphique de Pétrograd, la réponse de la Bulgarie à l'oltimatum russe a été remise mardi à 2 h. 40 de l'après-midi.Cc^^e elle a été jugée « non satisfaisante », le ministre de Russie a notifié à M. Radoslavof que les relations diplomatiques entre les doux pays étaient rompues. La protection des intérêts des sujets rnsses en Bulgarie a été oenfiée ao chargé d'affaires'des Pays-Bas. D'autre part, le * Daily News » apprend de son correspondant à Pétrograd que la guerre n'éclatera pas immédiatement; pour le moment on s'en tiendra à la-rupture des relations diplomatiques. On ne remettra même pas immédiatement ses passe-ports an ministre de Bulgarie à Pétrograd. Son départ de la capitale russe n'est pas encore jugé nécessaire. Le gouvernement russe voudrait démontrer par cette façon d'agir qu'il ne rompt qu'avec le gouvernement bulgare. — Le « Morning Post » apprend de Pétrograd, le 6 octobre, qu'il est imposible à i'am bassadeur russe à Sofia de quitter la capitale, où il doit être opéré 'd'une inflammation du gros intestin. Il restera probablement à Sofia jusqu'à son rétablissement, nuis en tant qu'homme privé seulement. Officiellement, l'ambassadeur russ9 qoiltera Sofia ce soir et ceax des Alliés se retireront incessamment. En Grèce Salonique, 6 oct.—La mobilisation grecque s'est poursuivie rapidement. Les écoles et les églises ont ététransformées en vue de recevoir des troupes. Le peuple et l'armée ont confiance dans les mesures que prendra le roi, car ils sont oon vaincus que oelui-ci ne travaillera que dans l'intérêt de la Grèce. L'état-major de l'armée siège à Salonique. Le dernier discours de M. Venizeïos L'Agence Havas mande d'Athènes qu9 la séance de la Chambre qui s'est tenue mardi a commencé à 5 h. du soir pour se terminer à 5 heures du matin. M. Venizeïos a déclaré qu'il solliciterait de la Serbie l'autorisation de publier le traité d'union serbogrec. Il annonce qu'il lui sera probablement permis d'en donner lecture dans une prochaine séance afin que les députés et le peuple puissent'juger alors de la situation exacte du pays. Les chefs de l'opposition ont combattu violemment M. VenizoJoset l'ont accusé de ne pas poursuivre une politique neutre et d'entraîner le pays dans une guerre incertaine. M. Venizeïos riposta en indiquant que la destruction de la Serbie conduirait également à l'écrasement de la Grècy. A la Miite de la démission do cabinet, la Chambre fut ajournée. Les troupes françaises à Salonique Frontière hollandaise, 6. — Un avis d'Athèîles à la « Tribuna •» assure qu'une division de troupes alliées a déjà débarqué à Salonique. Cette nouvelle est complétée par un avis de Milan au « Daily Telegraph ».qui annonce que parmi les troupes françaises débarquées ne se trouvent pas de forces coloniales.Elles campent dans les environs de la ville où elles ne gêneront pas les mouvements de la mobilisation grecque. Rome. 6. — Le correspondant athénien de la » Tribnna » confirme le débarquement d'une division de troupes alliées à Salonique. Paria, 6. — Une note publiée par l'agence Havas annonce que le débarquement des troupes à Salonique aurait commencé hier. Depuis plii sieurs ioursj les gouvernements alliés auraient fixé les décisions et auraient donné les ordres «écessaires; La note dit ensuite qu'ils auraient «a teut limier lieu entremis des négociations avec lo gouvernement grec, qui en sa qualité de gouvernement neutre, sursit protesté. Pendait ce temps, les officiers français aurai

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