|vpf> nj' OTIDIE y f mm: k» TRitff do» t.8§ Ann. 8» page, Ia lig. vnotaires, avoué», • huissiers, direct-oa» I de vente, la lig. ^Annonces fiaano. » Nécrologie» Faits dirers fin » Faits divers cai^s » Chronique isottis » Bóp&rations jMlle.» Dos remisse soa\ aecorSées proparÛMCRsUMneal a« MMèrs en fetasrtta» deiaaaiiéea. On trait» h ferftiK pou? (59 aaaiwcat pArt^Kjüea. S'»*r Ira. vers S heures et lança plusieurs bombes. Quelques-unes firent ezpioàon aux environs da palais de la grande duchssse et de l'église des Dominicains. Deux membres de la chapelle militaire luxembourgeoise furent grièvement blessés. Les dégâts matériels se bornent à quelques vitres brisöoa. La population est très émue» SUR MER Amsterdam, 3. — Le service de navigati, rétabli entre l'Angleterre et la Hollande. — le vapeur Mecklembourg est entré â Flessingue-le 2 octobre, a, 5 heures, ayant à bord le courrier postai et 184 passagers dont la majeure partie se trouvait à bord depuis mercredi. Christiania, 8. —Un navire entré ti Christian-sand annonceavoir rencontré un bateau enflammé, dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre, à vingt-cinq milles Sud-Ouest de Ryvingen. On a pu établir qu'il s'agissait de l'épave d'un navire de 700 tonnes environ. Ceci est le quatrième navire brûlant que l'on a rencontré à quelques jours d'intervalle près de la côte méridionale de la Norvège. Christiania, 3. — Le vapeur norvégien Tyne Brangt, jaugeant 2,200 tonnes, a coulé près d'Archangel, à la suite d'une collision. Iî était assuré pour 350,000 couronnes. DAHS LIS BALICHiS Saloniqus.nouvellobased'opérations Constantinople, 2. — Chaque jour, !a certitude que les euiasaness de l'Ëtalente choisiront Salouique comme base d'opérations ne fait que grandir. Il semble que les puissances de l'Entente sont fatigaées'des combats qui durent depuis 8 mois sur la presqu'île de Gallipoli et qui échouèrent grâce à la résistance héroïque de l'armée ottomane. A Athènes, on considère avec une défiance toujours croissante et avec impatience ce qui se passe à Saloniqae. L'Entente agit en toute souveraineté dans la capitale da la Macédoine, sans se soucier dea intérêts grecs. A Belgrade Budapesth, 3. — La fuite de ia population de Belgrade coatinue. La statue de Milosch Obrenowiteh, devant le théâtre de Belgrade, a été démontée et transportée à Pristina. Bulgares et Serbes Sofia. 2. — Suivant les journaux, les aotorité3 serbes pourchassent la population bulgare de la Macédoine. Ces informations aigrissent de plus en plas l'attitude envers la Serbie. *AUX DARDANELLES Constantinople, 4 octobre.—Sur le front des Dardanelles, rien d'important à signaler; il n'y a ea qae des combats entre patrouilles et, comme d'habitude,des canonnades et fusillades. Le 2 octobre, près deSadd-ul»Bahr,nous avons détruit une mine ennemie on faisant stator ua fourneau de mine dev u les ajaV" fronts, rien o Eo Rusfie AfHan; 4. —' Xe « Gar««ra de*îa Sera » sasare qea tout espoir te voir rouvrir la Douma s'est évanoui. Elle ne rentrera paa avant } ta date prévue, c'est-à-dire la l*rnovembre. L*» conseil dea ministres a décidé que ni lea délégation a dea petites communes, ni la Congrea dés aeœotvos ne pourront ôî.ra reças par le Tsar, à cause do leurs propos révolutionnai^ res. M. Goremykino posséderait l'absolue confiance da Tsar. Paris, 3. —• M. Bark, Ministre des finances ru«se,eat arrivé hier à Paris, venant de Londres. — Le * Timea » mande de St Péteraboargque les membres an eabmet russe 8ont reotréade leur entrevne avec ie Tsar. Lea joarnaaxrusses disent que la Douma esra oonvoquéepour lo 3 octobre. * '— On mande de Si-Péterafeeurg : Les journaux « Djen Weatjornoa «et «£f o voie Vremia* ont été condamnés chacun à 1,000 roubles d'amende pour leurs appréciations défavorables £u Coagrès de Moacoa. Les « Borlingsko THenda « annoncent : Le prince Jcesoepof, commandant la place deMoscou a été relové de son poste et vient d'êtrenommé adjudant général du Tsar. On annonce de Pétrograd que bon nombre d'officiers de marine russe, qui avaient étépromus au commandement de l'artillerie, sont üsmfcés au cours des combats en Galicia. Les combats devant Dunabourg Copenhague, 2. — Les combats sur ia Bac a et au lac de Dritzwiaty sont extrêmement vioieats. Près de Nowo-Alexandrowsk, au SudEst de Donaboarg, on combat jour et nuit sans interruption. Les tranchées ont été plus d'une fois prises par les Allemands, puis recomquises par les Russes. Partout, il y a des monceaux de cadavres qui ne peuvent être enlevés par auito de la violence da f«w. A Dunabourg,à 18 kilomètres d'Alexandrowsk, las maisons forent ébraniéea par la violence de la canonnade. En Angleterre Londres, 3. — Vendredi soir, sont entrées en vigueur lea nouvelles mesures prescrites oour l'éclairage des rues et des bâtiments de ia capitale. Les taxis xî3 sont plus éclairés su? les eô'.és, et leur lumière rsycnce uniquement; à l'avant, ce qui rend assez difficile aux passants de les éviter. Sur les omnibus, les voyageurs comptent malaisément leur monnaie. Les relations germano-américaines Naw-York, 3. — Le comt6 Bernstorff vient de remettre à M. Lansing une nouvelle note de l'Allerasgoe. Oa dit que cette note formera une base raisonnable pour aplanir le mfféread au sujet de 1' « Arabie ». -— ■ ■■■■■. LE TEMPS Sun LE FRONT Le correspondant du Times au quartier général ar*.liés ne sont pas favorisés par îe temps.'Lundi et mardi une forte pluieest tombée et mercredi nous avons eu à subirune averse accompagnée d'un vent cinglant. Onse croirait plutôt en mars qu'en septembre. Letemps est préjudiciable aux deux partis, maissurtout aux assaillants. U ARMER DU KRONPRINZ Le correspondant à Paris du Daily Mail attacbo la plus grande importance à l'offensive de l'armée du kronprinz dons les Argonnes.Le kronprinz veut empocher la pénétration des armées françaises vers Challerange, qui, tombé entre les mains des Français, deviendrait une menace pour les routes de communication des armées des Argonnes et du centre. Tous les efforts sont fails pour arrêter l'offensive du Kronprinz. -—— , fut ach*Yéa, l'administration communale fit opérer des recherches afin de retrouver la première pierre du monumeat,pcsée solennellement en 1623. Dans sa Notice sur l'Hôtel de Vi'de et le Perron de Namur, Jules Borgne* dormait l'indication précieuse que nous transcrivons : « L.e 6 mars -ƒ«?*, par un iempst aiïreux, M. d*OmaHus tpouvernevr de la province, au nom de Guillaume /«r, roi des Pays-Bas, posa la première pieri'e. Les discours d'usage {urent prononcés par le gouverneur et M. de la Rschs, bourgmestre. Le procès-verbal de la cérémonie, écrit sur parchemin, ainsi que des monnaies à l'effigie de GuMaume, depuis 10 florins jusque* un demtcent, furent renfermés dans une botte de plomb, fus Von déposa sous une grosse pierre au milieu de la façade. Il y avait donc grand intérêt à remettre à jour ces documents de notre histoire, locale. Les recherches ont heureusement abouti ci, samedi après-midi, en préseace de M. Golenvaux, bourgmestre, et de M. Lecocq, échevia des travauxpublics, entourés d'an nombre 2*espectable de curieux, le coffret de plomb déposé en 1828 a été ramené au jour. Il a été transporté immédiatement chex M. le bourgmestre. La boîte est carrée, a 22 oentimètres de côté et une épaisseur de 2 centimetres et demi; elle présentait assez bien l'aspect d'un gros carrelage rougeâtre. Elle était encastrée au milieu d'une grosse dalle d'environ un mètre carré, recouverte d'une outre dalle de même dimension. La première pierre était donc, en réalité, composée de deux dalles soigneusement, cimentées entre elles par la main des autorites officielles de répoqae. Cette pierre éiait placée sous îe pilier âe droite de rentrée principale de l'Hôtel do Ville à environ un mètre sous le niveau actuel du trottoir. Hier lundi, en présence du Collège échevinaî, il a été procédé a l'ouverture du coffret. Il est ea asses boa état; cependant l'humidité l'avait pénétré 'malgré l'épaisseur de la pierre qui le garantissait. La boîte est en plomb de 2 millimètres et demi d'épaisseur et soudée à l'étain. L'humidité avait rougi le métal autour dès parties soudées. M. Antoine, plombier, notre excellent conseiller ouvrier chargé du soin de dessouder, n'eut donc aucune peine à désarticuler deux des côté3 du couvercle. Les indications de Borgnefc n'était point tout à fait exactes. Aucun parchemin ne se trouvait déposé dans lo petit coffre. Lo contenu se composait d'une plaque épaisse de cuivre portait, gravées sur les deux faces, les indications relatives h la cérémonie d'inauguration, et de dix pièces de monnaie. Il s'y trouvait aussi des déchets de papier réduits en bouillie. A première vue on pouvait croire que c'étaient là les débris du procès-verbal sur parchemin mentionné par Borgnet. Mais l'examen de ces déchets par nos excellents archivistes a démontré qu'ils provenaient de simple papier vergé de l'époque, dont on avait entouré la plaque et les monnaies. La plaque était fortement noircie et attaquée par le vert-de-gris à certaines places; le décapage, opéré par M. Fallon, orfèvre, lui a rendu fraîcheur et netteté. Voici le texte OKact qui y est "consigné sur la face : Sous le règne de " GUILLAUME I« Roi des Pays-Bas, Prince d'Orange-Naseau Grand-duc de Luxembourg, etc., etc., etc. La première pierre de cet édifice a été pesée es Soar G mars 1823 AU NOM DE S'A MAJ23ÏB par Monsieur D'OMALÎUS Chsvalier de l'Ordre Royal du Lion Beîgiqa», Conseiller d'Etat Gouvernaurdé la province de Namur A l'avers, tout â fait intact, se trouvent les indications complémentaires ci-dessous renseignées : Cet Edifice A ÉTÉ ÉRIGÉ par l'administration de la ville Compoj-éb de Messieurs 'jC Comic De ia Hoche, Ëoui-giticstre. L. S. DerenneUe i . , . M J. Tonnelier|

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