L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire

606 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1915, 07 Octobre. L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire. Accès à 05 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/q23qv3d95x/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

yy& OTEE, Fa » FeMflTanis'ft w%r&ifb'Ynfart& elitaire tlte LE .RffffiTCO : 5 C1HTÏMES Jesfi st ftsfrrii, 7 et 8 ostilrs im Tarif de bruit autour de la reprise du travail par le personnel des post Bruxelles, et, certaines personnes ayant été induites en erreur, nous estimons qu'il est de notre devoir d'éclau*er le public sur sa véritable signification. Une campagne méchante et calomnieuse a été ciingee contre nous par un groupe de collègues otiblcs et'adversaires de la reprise du travail, et l'on a usé de tous les moyens malhonnêtes pour nous faire perdre l'estime et la considération de tous les citoyens belges. Il importe donc de relever ces inepties et de rétablir la situation sous sa véritable forme car certains agents n'ont même' pas reculé devant 1 injure et la menace ! Après avoir chômé pendant cinq mois, le public se sentait vivement éprouvé de ce chômage volontaire, et le commerce en souffrait énormément. Cette situation devenait critique pour tout le monde en général, et ne pouvait perdurer. D'autre part, certains facteurs se trouvaient, clans une misère telle que c'eût été un erime aux yeux du monde de faire souffrir de faim leurs femmes et enfants. En présence de cotte lacune il fallait un remède urgent. Des pourparlers furent engagés et des demarches furent faites auprès du gouvernement belge au Havre par des industriels et des négociants de la capitale afin d'autoriser le personnel des postes a reprendre ses fonctions dans le but évident de faire revivre le commerce et de faire marcher les affairas. Le ministre n'hésita pas un instant et, revenant sur sa décision première, autorisa M. le directeur il des postes sur place, à Bruxelles d'orgaun service de distribution au mieux des intérêts de la population. Le ministre avait eu soin d'ajouter que le directeur n'avait nas démé; confiance el qu'il avait le plein pouvoir de prendre toutes les mesures nécessaires que comportait la situation pendant les événements douloureux que nous traversons en ce moment. Cette décision était du reste conforme à la Convention de La Haye, et il convenait — en teute 3 — d'obéir aux supplications réitérées ck notre chef suprême. C'est ce qu'un grand nombre de facteurs ont compris, car les conditions étaient formelles et catégoriques. Les agents qui seraient consacré? au service actuel toucheraient leur traitement intégra.?, ceux étant inoccupés pour le moment ton encraient un minimum de deux tiers, quant h ceux qui opposèrent un refus- systématique, ils ne devraient s'en prendre qu'à eux-mêmes concernant la question pécuniaire. Pour ce faire, il fallait signer un acte de loyauté pour l'autorité allemande, puisque celle-ci avail pris possession de la poste et prenait en main lé gouvernail du pays. Mais ces formalités sont absolument conformes à la Convention de La Haye, et personne ne pouvait s'y soustraire sans porter, atteinte il la dignité de notre directeur, dont la bonne foi ne pouvait être suspectée par personne. Detail caractéristique : plusieurs collègues étant revenus du Havre ont élaboré des rapports d'une entrevue qu'ils ont eue avec le ministre belge et dont, les déclarations confirment en tous point? les précédentes d'une façon peremptoire. Dès lors, plus' aucun doute ne pouvait subsister, et. en présence de ces faits irréfutables, le personnel subalterne pouvait avoir tous ses apaisements et avait pour devoir de respecter, tout au moms, les instructions de ses chefs supérieurs. Et voilà comment et pourquoi plus de cinq cents irs, trieurs et candidats ont signé la reprise du travail à Bruxelles, dont deux cent et vingt sont, déjà en fonctions à la satisfaction de la grande, majorité du public, et des commerçants en particulier- Et, en cela, nous n'avons fait que suivre l'exemple de nos collègues de la province, car, dans toutes les grandes localités du pays, le service a repris son cours normal sans avoir rencontré la moindre opposition. Que ceux qui nous accablent d'injures et d'outrages ravalent donc leur venin, car les argu3 dont ils se. servent contre nous sont pitoyables £t sont indignes d'une corporation qui se respecte. Quant à nous, rassurez-vous, le? facteurs qui vous servent en ce moment ont la conscience bien tranquille et n'ont rien à ' procher, car nous avons la conviction ai d'avoir fait notre devoir de bon père de famille et de serviteur public. En Perse MASSACRE DU CONSUL ANGLAIS ET DE SA GARDE A ISPAHAN Berlin-, 5. — Le consul anglais à-Ispahan a été tué par les partisans de la guerre sainte. Les soldats anglais, qui gardaient le consulat, ont été tous massacrés. Chronique Locale POUR VOS LECTURES Avec l'hiver reviennent les longues sciréfipour beaucoup, c'est le temps des lectures ' aucorn du feu. Le livre, en effet, est un compagnonque Ion a toujours auprès de*soi. Mais cacompagnon a les mérites et les dangers detout ami : s'il est bon et utile, il profitera, mais,s il est mauvais et nuisible, il fera des ravagezsouvent irréparables." . Ceci est vrai pour Ions, mais surtout pour les»jeunes gens et les jeunes personnes. C'est le casde rappeler le proverbe : dis-moi qui tu hantes?et je te dirai qui tu es ! Jeunes gens, si vous re" cherchez des livres malsains ou dangereux c'eslque votre creur est malade, et bientôt il seraperverti. Evitez donc comme la peste la compagnie de ces livres abominables. Vous voulez lire!pour vous distraire et vous instruire. C'est bien;Alors nourrissez votre esprit'de productions saines et sérieuses. Adressez-vous en toute confja la Bibliothèque Noire-Dame des Bons Livrcs r rue Lelièvre, 8, à Namur, vous trouverez là desmillier., de livres traitant de tous les sujets ? histoire, sciences, romans* etc. Vous n'aurezl'embarras du choix.j Parents chrétiens, surveillez les lectures de enfants H gardez-les des mauvais livres ce vous les préservez des mauvais compagnons. Ecole Saint-Grégoire Les cours de chant et d'orgue reprendront-' le vendredi 15 oetobro, à 3 h. (fa. centr.).i Tous lea élèves,anciens et nouveaux .sont priés: détre présents à cette séance de rentrée.i Le pèlerinage annuel à la Grotte doNotre Dame de Lourdes à Bricniot (St-Servais) aura lieu dimanche prochain, 10 octobre î^ Depart ds l'église paroissiale de St-Servai ià 3 h. (h. c); arrivée à la Grotte, vers 4 h. ; exercices spirituels dirigés et sermon donné \ oar le R. P. Braby, oblat de Marie. La cérémonie se terminera par la bénédiction du SaintSacrament.< Nous convions les fidèles à assister à cette' t elle démonstration religieuse,qui sefa comme l'épilogue de la magnifique neuvaipe célébréo ea l'église St-Loup en l'honneur de N.-D. de Lourdes. COMITE DE SECOURS Dons remis à M. G. Devaux : Banoue -Gov iîejge, 500 fr.; M. Thibaut, président du tribu-j tal, 20 fr. La population el les ioumaux. —" On écrit de! Dinant à un journal bruxellois : Les Dinantaisj ont compris, depuis le début de l'occunaiiori, la; rôle que doit jouer actuellement la presse belge.) Loin de s'associer à certains tartufes qui cri-i tiquent, la presse à lort et à travers, ils sont con-* vaincus que la parution des journaux a rendu; de grands services à la population, en facilil les relations entre les provinciaux et les auto) en ranimant un peu la vie commerciale et industrielle, et en désarçonnant ces tartufes qui pandent leurs « canards » ridicules parmi la po-J pulation avide de nouvelles sensationnelles. FAUBOURG SI-NICOLAS. — Dimanche 10 oc-| tobre 1915, à 2 h. très précises, grande lutte de* jeu de petite balle au tamis, organisée par le cl» FaubourgSamt-Nicolas-Attractions,* entre les! îeux fortes parties ayant joué le cnamnlonna* te la Basse-Sambre : Namur (Thirionet-Pire) ct{ Jemeppe-sui-Sambre (Les Bieusj. LA FETE DE BIENFAISANCE DE LOVE TA — M. Alexandre Mélotte, de Charleroi, nous Inù' parvenir 15 fr. 70 pour iison1 iiers en Allemagne, ^produit de la moitié'de ia/ recette do la fête. En France Genève, \. — On annonce que plus de vingt trains de blessés du front de Champagne sont arrivés dans le département de l'Isère, et à Chambéry (Savoie).1 -- Depuis le 1er octobre, la solde ûes soldats a été portée de 5 à 25 centimes. Ces quatre sous supplémentaires représenteront pour les trois mois d'octobre, novembre et décembre, une augpicntahon de dépense de 70 mutions de francs. Paris, 5. — Le ministre des finances s'efforce de remédier h la pénurie de monnaie divisionnaire, signalée dans un grand nombre de régions, en favorisant, d'une part, l'émission de petites coupures par les Chambres de commerce et en portant, d'autre pari, à son maximum d'intensité la production des frappes de monnaies d'argent. bLes frappes effectuées au mois d'août atteignaient déjà 7 millions et demi de francs, celles du mois de septembre s'élèveront à IS millions; ce dernier chiffre sera vraisemblablement doublé au cours des derniers mois -de 19i5 -A/W En Italie D'après le Bollelino Militaire on vient de metIre en disponibilité' léraux de pbis; cesont Hasalli, Nava, Reisoli, Mirone, Caputo,Giowa, Amadée. En quatre .semaines cela fait33 généraux placés en i La neige et la pluiau Times, rendent très pénibles les opérations dans le Trentin et sur l'Isonzo. Sur les montagnes le thermomètre marqua, à certains endroits, 17 degrés sous zéro. Près du bas Isonzo et dans la région de Gcertz les tranchées sont pleines d'eau. Les Italie; tendent pour reprendre leurs opérations, que la temps soit plus favorable. Le Secoio apprend, de Rome que jusqu'ici l'Italie a dépensé en millions de lires : en juin, pour l'armée, 311.4; pour la marine, 5.1; en juillet, 383.9 et 29.8; en août, 279.7 et 30.8. Ces chiffres sont ceux de l'augmentation des dépenses sur les chiffres correspondants pour 1914 v En Extrême-Orient Londres, 5.— L'agence Reuter mande de Simia; A la séance de clôture du conseil législatif, le vice-roi a déclaré que les troupes postées à ia frontière indienne étaient souvent attaquées par des tribus fanatiques; ces-attaques ont toujours été repoussées. Les tribus indigf' - sont restées calmes. L'Afghanistan a observé une stricte neutralité depuis le début de la guerre. La situation est plus troublée en Perse. Le vice-roi a exprimé l'avis que la fin de-la guerre était proche. —■■ '-■ \^±/** ■ ■* I Communiqué autrichien ! Vienne, 6 octobre. — Rien de nouveau. Au Sud-Est. — Nos trounes, partant de la frontière formée par la Drina, ont fait des incursions en territoire serbe et ont ramené des prisonniers. Ailleurs, rien de parjicnlier. Communiqué russe St-Pétersboarg, 6. — Sar le front à l'Ouest . de Riga, n'ont en liea qae de petits combats. ' Les combats continuent anx lacsdeMeddam, 'Dryzwyaty, Miadzol et Wiszniew. ; Après on violent combat à la ballonnette, • Dons avons occupé les villages de Waswlina.SudEst de Kosjany (6 km.), et de Bussaki,sur la Myadjoika, Nord de Gcsta\vyv(8 km.). ' Le combat à la baïonnette près do village dé Rvb'schany, dans la région de Russaki, s'est termine suivant nos désira. Nous avons occupé le village. • Dans la région de Smorgon et au Sud. ainsi " dauo la région da village de Dioiiâtitsoai, les escarmouches con- En Chine Le Morning Post apprend de Tientsin que le général Changsoun, de Nankin, un monarchiste convaincu, a demandé au président de supprimer la république. D'après un journal japonais, l'armée préparerait un coup de main monarchiste pour l'anniversaire de la révolution. Ce jour-là le président passe d'habitude la revue. »■ i ■.-■'^/^/^^ ■ PARI SUR LA CONCLUSION DE LA PAIX La manie de parier continue à sévir en Angleterre. Ces jours derniers, dit Fair Play, a été conclue une « assurance » en vertu de laquelle la paix ne serait pas conclue avant le 30 juin 1916. La prime de cette assurance a été de 65 livres sterling pour cent. i i-ptr'— ■ -i L'offensive et le mauvais temps Milan. 5. — On mande da front français an corespondant de la « Sera »: L'état déployable do temps a causé un retard dans la grande j Institut chirurgical et HâtelDisude Jumet[ Spécialités : Hernies, Varicoceles, Des-: centes dominatrice, difformités des menr bres,} • /Icite. Consultations : luncW, mer ^edij ,endredi» de 1 à.3 heures.)26Q Vous voilà complètement édifiés sur la valeur de ceux .qui s'acharnent contre nous comni lions, et qui veulent nous traiter en véri' ennemis pour le simple fait de travailler et de Ots bruxellois. is attendons votre verdict avec confiance. LUI? ision administratire.des lur recevra jusqu'au lundi 11 ocIla pour la' le 100,000 kilos de;]i oo4 lots su grétears, |s des charges et r iat des Hospi-' |io Cuvelier, 62, à Namur, où les en prendre connaissance* ion férié, de 9 heures à midi,'^our la commission :1C425 I" ident, 1RD._2_ A. DETIiY. b» En Rhée, DINANT Iifiques VELOS pour Triant de 100 à 150 üi ., v [garanti [oix do Lanternes do tous prix, 137 fr. les ICO kilos, La Iveloppes, Cl; |ies à coudre, modèle intair» Dck d'aigailles do : jiratfon. Atelier de répar ps, 67, r9N as 1 1 ' rissaga, Waesn SI. 16, L. ÏÏB jhauff?ge. — |r de cou' Serrurerie Poêlerie I | '01N, 4 Coins r dels si - ru a be |Soécialité de C SAINT-a ' — Prix D L« Provends boix pour le bétail. An)2 °/» }one. — Pria am \ feoS;18 % acide p ez-veus à la firme NAMUR.•' ï> oir ia visite des cta d'un coffre-fort inde ia fabnée PÈDUZY, ts incrochetables et ? I .virons à îàant on mois ' es, I ins, ~ Cr ÏK\f\ taTllI : arrivage : Savon non irseillé dur; C images : Gouda, E< îhez COURTOIS-CHAH i-Marcelle, 9 vKA?jl?Jl. \ \ o de i on ûsic fF> « G püo G pand0 s'adjoindre îe commerce, c .s-, des euirs, poai |oiT.r char npeigne, crèmes, talon ES pour ch |ES en location et d'oi CARTON bjtumé. I en bois -pour I. rue ou Pr :S de TERRE du et FOMIJSS Se 1VÛc ssezvous an i 25, ruePatenïer, SÀLZ1 Gros et Doral-Sros | :OMMUNE DE CRUPET I ] phe ce | pour . ïehasse et celle i 1 w re co:p'5 rr«, Le :IllUADi:.C JACMA Inde de M' Bqseret,notaire â I1917, la ferme * Is de be* 1res et prairies. rem!e* Boseret, û Ciney.-ia*; IftBONNAGES DE BONNE-ESPEJ1. SOCIÉTÉ AKONYÙE Ià Lambui Icei Iaires, que l'assw I'! Iheures (hi I I I iris du Conseil d'ad*'< ' I de- sufveilli> *■ I:]':'' , «'" I.1 du Bilan el du compte de PC: I Pertes? .. ,s lécharge à J dcnner à MM. lominaires.* à celle assemblée, MM. les s*a de se conformersert lie l'article 84 des,statuts. Ile. d' ]au siège social à Li:a s I:' ique, à L [teur-Prop^ vl4,!0ppi&.VAUX, N^l le de Namur. à Namur; à ia mai. f La goerre à IDses Communiqué allemand Berlin. 6. — Près de la haatear située ao , Nord-Est da Nenville^oue avons repoussé ens attaque française entreprise à coops de grenades. Eu Champagne, les Français ont essayé de .'reprendre l'offensive dans lea mêmes secteurs . d'attaque. Ils ont era que leur violante canon- )nade, qui, dans l'après-midi, a atteint la pluû [grande intensité, leur permettrait de livrer on ' assaut général à nos positions, et, pendant que ' leur artillerie préparait l'attaque, ils ont groupé lears colonnes d'assaut. Mais.grâce ao feu de notre artiilerie.dirigésur les positions dont les ssBaiiiants voulaient déboucher,ceux-ci n'ont pu quitter leurs lignes qu'à quelques endroits;là - gùJgey^^aaiaaaaf faF,li8rWpe^h(fHr8r ainsi que.sur la route de Somrae-Py à Sooain, leurs multiples assauts se sont écroulés entièrement sous notre feo. Ils n'ont pas eu plus de succès au Nord et au Nord-Est de la ferme de Beàuséjour, non plus qu'au Nord-Oaesfc de Ville sar Tourbe. o- Les combats aériens B communiqué anglais du 1eroctobre prétend que, dans les combats aériens, les aviateurs anglais ont remporté l'avantage sur les nôtres. Le relevé suivant réfutera cette affirmation : En septembre, nous avons perdu 3 avions dans des combats aériens; 2 ont disparc, 2 ont été descendus; total : 7 avions. Pendant le môme laps de temps, les Anglais ont : perdu 4 avions dans des combats aériens, en outre, 1 a été descendu et 3 ont dû atterrir . dans ou derrière nos lignes; soit, en tout, 8 avions. Les Français' ont perdu pendant la même période 11 avions dans des combats aériens, en outre 4 ont été descendus et 7 ont dû atterrir dans ou derrière nos lignes; total : 22 avions, \ Communiqués français Paris, 5 cet. {23 heures). — Bombsrdernent acLcz violent de part et.d'autre ao Nord do la Scarpe et à l'Eut d'Arras,Combats de tranchées à coups de grenades et de bombes dans les seo'teurs' de Linons et d'Andeehy. turc Coi En Champagne, l'ennemi poursuit, à l'aide d'obus suîToôant8,le bombardement des régions en arrière de notre nouveau front ao Sud de la ferme Navarin et aux environs de Sooain. Notre artillerie répoud trèa énergique ment sur les tranchées et le3 ouvrages ennemis. Même îatte d'artillerie presque continue en Argonne, dans le secteur de la Houyetle, aux Eparges, en forêt d'Àpremont et en Lorraine, près de Moncet, Arrocourt et Ancerviller. Dans la soiree du 4 octobre, l'ennemi a tenté on coup de main sur nos postes à l'Est d'Orbey, dans les Vosges; il a été complètement repoossé, en vain. Sur ls3 autres fronts, rien à signaler. Les sous-mains allemands et les communications entre Salonique et ies Dardanelles menacées Sofia. 5. — Les sous-rnarins allemands dans la mer Egée préparent de pénibles difficultés à l'action des naissances de l'Entente contre Salonique. lia ont montré une grande activité au cours de ces derniers jours en menaçant les communications entre Salonique et les Dardanelles,. Le capitaine d'un vapeur français, en route de Salonique vers Tenedos. déclare qu'il fut obligé de 3'enfuir à Dedeagatsch. Par suite du brouillard et d'habiles manœuvres, il mettre son navire en sûreté. ■ Londres, 4. — Le feîd-maréchaî French mande le 4 octobre : L'ennemi a commencé hier midi un bombardement violent et a entrepris ensuite des attaques répétées contre nos tranchées entre les carrières et Vermelles et la chaussée vers Iiuliueh. L'attaque ét2Ît exécutée puissamment.L'assaillant a cependant été repoussé on subissant de fortes pertes et n'a plus atteint nos tranchées. fF Vers le Nord-Ouest, l'ennemi a rsconquïs one grande partie de l'ouvrage «Hohenzollern». > Sur les autres parlies du front^ aucun chan•gement•. ' Paris, ô oct. C h. après midi. — Le bombardement réciproque a continué en Artois, particulièrement violent ao Sud do boiB de , Givenchy, pot Nous avons fait quelques progrès à la grenade dans les boyaux au Sud-Ouest du Château de la Folie. Les forces françaises dans la mer Egée Milan, 5. 4- On mande de Salonique au « -Secoio « le 3 octobre : 16 grandi navires de transport français sont ancrés devant le pont de Karaburun, mais ils ne sont pas encore entrés an port. Oo. affirme qae d'importants détachements français sont des'.inss à protéger contre des attaques bulgares la ligne des chemins de fer Gewgeli-Voies et à assurer ainsi ies communications entre Salonique et la Serbie. L*« Idea Nazionale » affirme qae le premier corns de débarquement à Salonique s'élèverait a öQjOOÜ hommes. La guerre à l'Est Communiqué allemand Berlin, 6. — Armées du maréchal von Hîndenbnrg : Hier, l'ennemi a entrepris des attaques assez importantes entre le iao-de Drysw'jaty' et Krewo. Elles ont été repoussé^s ou se .sont écroulées sous noire (eu.Près de Kosjany ot immédiatement au Snd du :Arm6e8de3 maréchaux prince Leopold de Bavière et von Mackdnsen : La situation n'a pas changé. Armées au général von Lïnsingen : Dss abats sont engagés à l'Ouest de Czartorysk. • Sur tout le reste du front, on signale des actions d'artillerie de nart et d'autre,en Champagne, entre Meuse-et-MoselIe, ao Nord de Flirey et sur le front de Lorraine aux environs do Leintrey, Coudreich et Sainevre. sun MER Londres, 6. - On mande de Marseille que le 3 octobre, au large de Cerigo, sur la côte «reWue un sous-marin a coulé le vapeur fronçais Provincia. (3,523 tonnes). L'équipage a pu's'embarquer dans les canots. nnnïï3Sil?,i?,M~ Leminls[^Qte la marine annonce que 1 attaque contre le vapeur Provincia. de 1 armement Fabre, Cyprien et Cie, a été faitele 3 octobre, par un sous-marin austrohongrois,qui avait signalé au navire qu'il devait descendre les canots à la mer. Le sous-marin a ensuitecoulé le vapeur. Les 40 hommes de l'équioacesont parvenus à gagner la côte.* Londres, 5. — Le vapeur britannique Highland Warier a sombré près de la Corogne. Le vapeur français Ville d'Arras, de Dunkerque, chargé de charbon, a sombré près des îlesSisargas, à la côle Nord de l'Espagne. L'óquipage a été sauvé.lö Maasluis, 5. — Le croiseur-auxiliaire, fortement endommagé, qui a été remorqué à Douvres est un grand navire a deux cheminées. Le vapeur a touché une mine ou bien a été torpillé; son avant est complètement sous eau. Londres, 6. — Le vapeur anglais de 1,060 tonnes Novo Casfrian a été coulé. L'équipage, don*' % hommes sont blessés, a été débarqué.' LA PERTE DE L' « HESPERIAN » On annonce de Washington que les officierschargés do l'enquête sur la perle de VHcspcrian, auraient, en examinant des morceaux de métal,trouvés dans le navire, acquis la conviction quela perle du bateau a été causée par une mme flottante. Le rapport sera remis la semame prochaine an secrétaire de la marine, M. Daine'

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Namur du 1839 au 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Périodes