L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire

762 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1915, 19 Decembre. L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/qn5z60d708/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

"773ÀNÏÏEB, No 399 PnfiM §sss le coisfrô!s ffs ft 9 "f9!Sf mËmÊÊÊBËaaËSA Collège N.~D. de la %Paix, Namur S ■mbrr v». 5,(Jâ III * Tarif des annonces Î ftnn. 2» page, la lig. 0.39 £►- notaires, avoui ssiers, directeur vente, la lig. ^Annonces finaaov » J. Necrologie» a Fails divers fin » ts divers carps » | Chronique locale » f Réparations judic.» ife Des remises sont accor| j3ées proporùonnellemenl f au nombre des insertions y demandées. a, On traite a forfait pour '. w|es annonces périodiques.- fcj'ad" bur. du journal. ,1 3 ABONNEMENT ANNUEL -.. J>ôut Naaiur. » » « s a « t fr. 12.00 Pour la Belgique t/Z * • « s « lr. 14.00 QUOT1DIE ïïi& (fa la Cr&ix, 29, Namur Nouvelles diverses mont considérables à Barfleur et Gonfreviiîe-POr- *"t»An » «" •' aer ' Toitures effondrées, fenêtres arrachées, Berne, 16. — Les journaux suisses annoncent 1 murs croulants, c'est le parfaitd'un bom- que les Grecs résidant en Egypte viennent d'être ! bardement, et beaucoup d'immeublidom- invilés à rentrer immédiatement dans leur pay.' ^'^seù.f Harfleur a été. partfcidiöremènt ^ ,n., . . « ,"ve ■ lesvitreux siits et le portail rlome,lo. — On annonce que le roi deSerln.ffert également de la violence de l'explosion. se fixera prochainement au château royal dels-la? mûre pour une tentative pacifiste, quelle qu'elle soit. A plus forte raison n'admettront-elles pas enee étrtnfère dans l'organisation de leur système défensft. Si, au contraire, le principe de l'arbitrage prévaut, si l'arbitrage est dans les pratiqué en fait, et respecté, s'il s ancre mœurs, l'augmentation indéfinie des armements se trouvera enrayée par •« force des choses. L'organisation de l'arbitrage est d'ailleurs une entreprise extrêmement délicate et qui se heurte multiples obstacles, du moins si Larbitrage englobe un grand nombre de nations. Autre chose est, pour un Etat, de conclure librement un traitéd'arbitrage avec nue nationdéter- . ; autre chose, de s'engager à soumettretout conflit éventuel avec n'importe quelle nation;i>a décision d'une cie où toutes les nations seront représentées et auront voix au chapitre. Ce serait un énorme progrès dé/à que pareille institutionpuisse être créée sous une 'orme viable. Vouloir davantage, c'est verser dans l'illusion,et c'est se condamner üdas efforts stéri' En S L'üssrnir M. ui* sur \S8, en qualité de président fédéral pour 1916. l'ancien viceprésident CamilleDecoppet. Originaire de Succevaz pres d'Y verdon. le nouveau président a 53 ans et appartient au Conseil fédéral depuis I9l2. M. Edmom' Schullhelz a été élu vice-président pour 1916, par 80 voix sur 87.11 e 47 ans. Au Conseil natiounl suisse, M. Mot la', président de la Confédération, a déclaré : « J'ai la conviction que, quoique quelquesfautes aient, pu être commises, la Suisse a biend son rôle pendant la présente guerre. Je ' que le pays continue a suiva§ la voie danslaquelle il s'est engagé et je c[ue tous les citoyens rempliront encore à l'avenir les.devoirs que la neutralité leur impose. » Paris, 17.— D'après une information envoyée de Salonique au « Temps », il s'est produit, dans l'exécution des mesures prises en vue de l'occupafion de Salonique et pour lesquelles un accord était intervenu entre la Grèce et les puissances de l'Entente, quelques difficultés d'ordre secondaire. — Une information d'Athènes annonce que les bruits de demobilisation de l'armée grecque sontdémentis par le gouvernement. Unedépécbe de Salonique dit que le gouvernement grec a donné ordre de quitter Salonique au cinquième corps d'armée. —Le « National Tidende » écrit qu'on compte à Paris sur un siège rapide de Salonique. Les fortifications de la ville sont renforcées activement Tes hauteurs au Nord de la ville forment le noyau des positions défensives. 3 dont les verrières sont teuSn nombre de magasins qui ont subi d hnportants dégâts. Maisdans 1' « usine d'or », nom que Von donne «i l'anir la rive gauche du Tancarvilte, les ravages^dus à la dd'une si grande quantité ded'une •. Toutlà pourifr des -l par m.. ids Sehnei tinghouse ont leurs vitres briouvriers ont été blessés plus ou;riève- Caser ta. On attend également enltalic la-familleroyale \ monténégrine. Le roi Nicolas restera, lui, à h tête de ses troupes. Rome, 16. — Par suite du manque de char { bon, la direction générale des chemins de fe • italiens.»supprimé 23 trains sur les !igncs>prin cipalcs suivantes : Bologne-Foggia, Pize Rome. GênesSpezzia, Gènes-Vintimilie,Milan-Chiasso, Milan-Démodossola,Milan-Turin, Gênes Turin. Turin-Modane. Christiania, 16. — Le vapeur « Oskar 11 •».„„„...., î,i:«:„'cm-h ,i^ m Ev«,r £ . pro- ayant a boroM expedition pacifiste de M. Fore» est arrive à Kirkwall. Washington, 15. — Le secrétaire d'Etat de la marine défend, dans son rapport annuel, ut', programme naval qui comprend la construction profondeur de 50 a fin centimètredans un rayon de 3 kilomètres, on* peut dire que toutes is ont été plus ou la violence du de tous les ou- de 10 dreadnoughts, de 6 croiseurs, de 10 croi seurs légers, de 50 destroyers, de 15 sous mai de haute mer et de 85 sons-marins garth sh ainsi qu'une dépense de 6 millions de dollar^ pour la via lion. Washington, iô. —Le mariage de M. Wilson aura lieu samedi. Deux bauquets diploma tiques seront donnés, .de sorte que les ministres des pays qui sont en guerre ne se rencontrerons, pas. Stockholm, 16..— Le gouvernement suédois a mis à l'étude la question de la traction éiec trique pour tous les chemins de kv de l'Etat. Les expériences faites pendant la guerre ont démontré la nécessité/pour la Suède de se rendre indépendante du marché étranger pour le charbon. Elle cherchera donc à utiliserses chutes d'eau pour la production de .l'électricité Pétrograd, 16. — M. Chwoslow, le nouveau; ministre russe de l'intérieur, entreprendra peu un voyage à travers la Russie. ïl rendra visite à tous les gouverneurs et cherchera à se rendre compte personnellement de l'état d'esprit nt de lexplosion. i'ur de la poudrière; est mort m■■■rià l'h : lès lundi matin et se sont poursuivis toute la journée. Les sold ticipnienl ,: #';i consiste ts — onts 'à peu pi'ès entiers et un[ui peuvent les coi*]s vic- environ. Cesis hu- mains ont étéîs clans des toiles us de l'i . qui les ont conduits à l'hôpital du ns, eu ''on a tenté de .a leur . On ne sait encore rVn de bien précis au'sujet lant, il- est Gtre attril . 'les expience est toujours . eut que l explosion n'ait d'autre cai — '1, qui a été chargé par te sur 1315-1915. La Suisse célèbre cette année, pactes Fêtes do tèorgartcn, le 660eanniversaire de son indépendance. Le gouvernement helvétique a fait éditer à cette occasion deux cartes postales commémora- lives, à 5 centime;ries seront vendues dimes et la diflerence sera affectée à des oeuvres de bienfaisance. laux du Havre 'une défia- iens. —Le Diron, mille Parmi>, dont le nöit n'a pes et 1(j:> — !me les détails suivants: Il y ie poudre à l'endroit oùse produisit l'exi.-s fut . Tous les bâtiment de la population et de la situation du pays au point de vue alimentaire. Berne, 16. — Aujourd'hui a passé par Berne le premier Irani express amenant environ 50ï) habilanlsdes départements du Nord de la France, principalement de Lille et d'Armeniières, vers le Sud de la France. Les voyageurs, presque exclusivement di's femmes et des enfants^, ont' été partout ravitaillés en vivres et en vêtements. Il* ont continué leur route sur Genève. Jusqu'à Dans le Pays Déclaration des pommes de terre Comme suite à l'arrêté du gouverneur général du 5 décembre courant, et à celui du gouverneur 'delà position et de la province de Namur du 14 du même mois, quiconque .déliant, à la date du 20 décembre 1915, plus de cinquante kilos de pommes de ferrées! tenu d'en faire la déclaration à l'autorité communale du lieu où cfc pommes de terre se trouvent. Pour Namur, ces déclarations seront reçues du 20 décembre au matin jusqu'au 23 déce dollars contracté aux EtatsUnis par la Frài?.ceell'Angleterre vient de sedissoudre. oaj..p #Morgan el C° fait sa voir que 300Jfnûllions de cet emprunt ont été places. Les 2f jij millions restants se trouvent encore entreJf^s pmns des membres du syndicat. AvaJD«5es à 1 Italie.— On mande de Milan que, jryaprcsjejournal - Avanti », l'Angleterre acé à l'Italie 3 milliards de lires, outre les 5 milliards déjà annoncés. Pi'oaaotion du généra! OaSorna. — D'aprèsles journaux suisses, le général Cadorna serait nommé commandant en chef de toutes les forces italiennes. v î*os intor»éfî ea Hollande. — Soixantequinze sol«ats belges, internés au camp d'Harderwjk, ont quitté ce camp, 60 à destination de Tifbourg pour le travail dans les fabriques el 15 vers Rotterdam pour le travail au port. Solidarité hottfe&âftise.-—La reitteWilhelmine Vient d'accorder son patronage à l'organisation d'une tombola officielle au profit des blessés et prisonniers belges. Parmi les dames qui se sont chargées désorganisation, nous citerons la princesse de Ligne, la comtesse d'Oultremont,la vicomtesse" A. Simonis, la baronne de Trou* de Wardin, la comtesse E. du Monceau et la baronne Wittert de Hoogland. Kitchener en Egypte Lord Kitchener se rendra très prochainement en Egypte, où il prendra le commandement en chef des opérations. En Egypta Le Caire, 15 décembre (Officiel). — Le 13, il y a eu un nouveau combat à la frontière occidentale. A 3 kilomètres à l'ouest de Matruch, des •troupes britanniques ont rencontré 1.200 Arabes, armés de canons et «ie mitrailleuses, qui ont entrepris une attaque vigoureuse; ils ont été réponses et ont subi de fortes perles. Les Anglais out eu 8 morts et 38 blessés. Des pris niera, parmi lesquels se trouve le cheik. Has Gabriel, ont déclaré que. dans le coin l'ennemi, à eu 80 moûts et plus de 30 b LES POMMES DE TERRE A BRUXELLES. — linistraUon communale, sons le couvert deson service spécial de secours et d'alimentation,vient de prendre des mesures pour assurer : vitaillement de la population en pommes de terre.Déjà deux magasins viennent d'être ouverts aupublic rue des Ursulines et au marché de la ruede la Loi. Tous les détenteurs de la carte donnant accèsgasins peuvent s'y procurer,au tarif légal, 2 kilos de pommes de terre parpersonne inscrite et par semaine. Un dél 10,000 kilos par Jcur est dès à présent assuré et.dès qu'il sera possible, ie "service sera étendu. Lesdélégués communaux ont fortpour acquérir la grande quantité de pommes de terre nécessaire aux différents services. Pour la ville deBruxelles seule, la soupe communale réclame 50,000 kilos par semaine et la distribution auxindigents secourus s'élève pour la môme période à 200,000 kilos. On comprend dès lors les difficultés qu'il s'agit de surmonter. La limitation des armements Un diplomate américain, sir Edward Fry, publie dans « The Nation » un article où il envisage la limitation obligatoire des armements comme Tunique uio.yen d'assurer la paix dans l'avenir. Le « Bien Public », commentant cet article, écrit : Vouloir assurer la paix par la limitation des armements, c'est mettre la charrue devant les bœufs. Il faudrait que la paix soit assurée au préalable; c'est seulement alors que les'armements pourront être limités. Deux moyens s'offrent pour limiter les armements : 1° La contrainte qu'un^vainqueur impose au vaincu: 5° La convention internationale. Il ne s'agit^ pour les pacifistes, que du second moyen. Mais quelle illusion enfantine de croire qu'une nation abdique jamais, aux mains d'un congrès de diplomates, son droit souverain d'organiser la defense nationale! Dans l'idée de sir Fry, il semble que cette limitation doive être combinée de manière que les peuples se fassent équilibre les uns aux autres. Comme si le jeu des alliances ne pouvait déranger cet équilibre d'un jour à l'autrel Il faudrait assurément, à tout prix, chercher un moyen de prévenir té retour d'une conflagration pareille à celle qui nous envcbppe aujourd'hui. Tous les hommes de bon sens sont d'accord sur ce point.Mais encore convienclraiil de ne pas s'attarder à des solutions chimériques, dont l'énoncé risque de faire avorter dans le ridicule le zèle généreux des pacifistes. Jusqu'à présent, nous n'apercevons d'autre moyen de résoudre pacifiquement les conflits que l'arbitrage international. Le principe de 'arbitrage est susceptible d'applications "plus ou moins étendues. Si les nations ne l'admettent point, c'est que l'opinion européenne n'est pas üms LES Communiqu Berlin, 17. — Bije! Plus de ÎUOpris L'explosion de GravilleSainte-Hoflorine Voici do nouveaux détails sur l'explosion de la poudrière belge installée sur le territoire de Graville-Ste-Honorme : La catastrophe s'est produite exactement à 9 h. 55, dans l'annexe des établissements de pyrotechnie occupant l'ancienne usine Bundy, boulevard SadiCarnot. La déflagration- a porté sur 250 tonnes de poudre; elle a creusé un énorme entonnoir dans l'annexe, dont toutes les constructions ne sont plus qu'un amas de décombres. Fort heureusement, sur les 1,500 ouvriers employés à la pyrotechnie belge, 105 seulement se trouvaient dans l'annexe, sôus les ordres du commandant Stevens et de son adjoint, le souslieidenant Jacqmin. Une équipe envoyée hors de l'usine a pu échapper aux terribles effets de l'explosion, dont les effets n'épargnèrent aucun de ceux qui se trouvaient dans la poudrière. Des corps furent lancés à plus de 200 mètres de distance. Le fracas a été entendu fort loin du lieu de la catastrophe, à Trou ville, Fécamp, Yvetot. Les habitants du Havre et de Harfleur ont eu l'impression d'un véritable tremblement de terre. Une personne qui se trouvait au moment de l'explosion dans son cabinet de toile lie raconte qu'elle fut soulevée en l'air et projetée dans une pièce contigue. Les maisons du Havre, dans le quartier inant le territoire de Graville, ont leurs car! reaux prisés.. Mais (es (légats sont parl|cuUère- SIGNALEMENT. — Il a été volé à Hervé, en août 1914, au préjudice de M. Pierre Thonnard, 47 ans, négociant, domicilié à Hervé, rue du Marché, les obligations suivantes : Ville d'Anvers, emprunt 1903 de fr. 100 millions : s. 23095 n. 23 et 24, s. 14045 n. 16 et 17; .ville d'Anvers, emprunt 1887 de fr. 183 millions 400,000 : s. 18055 n. 23; ville de Bruxelles, emprunt 1905 de fr. 42,000,000. s. 39864 rr. 17; ville de Gand, emprunt 1896 : s. 17854 n. 16, s. 18375 n. 5, s. 24247 n. 2; ville de Liège, emprunt de fr. 84,222,500 : s. 27755 n.5. BIBLIOGRAPHIE En vente à la Société St-Augustin, Bruges-Bruxelles (52, me de la Montagne), et dans toutesles librairies.' ALM AN ACH DE LA FAMILLE, petit in-4°, 64 pp.,nombreuses illustrations.fr. 0.30 AGENDA DE POCHE, in-16, 2 jours la page, avecencadrement rouge autour du texte. Calendrier.Renseignements utiles. Notions de médecineusuelle. Conseils, recettes et procédés. Travauxde jardinage. Pensée quotidienne de grands écrivains. Reliure percaline,fr. 100 CALENDRIERS CPHEMERIDES AVEC TEXTESRELIGIEUX : Série A. i ainte. La SainteFamille. ImitationSalftte yiejge. /Sajut Io>eph, _ „ îr. O.Tj Communiqué allemand Berlin, 17. — Au Sud-Estd'A/mentiares,un ' petit détachement anglais a hier, dès avant l'aube, -pénétré par surprise dans une de nos tranlis il s'est relire sous notre l'eu. Plus au - SuJ, une tentative pareille a été déjouée de la • «nêmc façon. demeurant, à cause du temps brumeux qui régnait presque parlout.les opérations, localisées •et peu intenses,se sont bornées à des duels d'artillerie et (les combats de grenades à main et de lance-bombes. Communiqué français Paris, 17. — En Belgique, lutte à coups de abcs dans le secteur des Dunes. Navires italiens clans tes eaux grecques Bâle, 17 dec. — On mande d'Athènes aux * Nouvelles'de Bâle » : Le gouvernement italien a envoyé deux navires de guerre dansTés eaux grecques. Getto nouvelle a cause la plus grande a citation en Grèce et à Athènes. Quelques combats de patrouilles au Sud du fortin de Givenehy (Artois) et entre Somme et Oise. En Champagne, à l'Est de la butte du Mesfiil, un bombardement de nos tranchées a été -arrêté par une riposte de' nos batteries sur le front'Nomény-Aulnoy. Les Bulgares attendent la décision, des diplomates Parts, 17.—Le général Jostow, chef de l'étatmajor bulgare, a déclaré ce qui suit à un représentant de la « Balkanska Tribuna », qui lui avait demandé si la guerre serait bientôt terminée : « L'ennemi a été battu, mais cela ne signifie pas que la guerre soit terminée. Nous ne devons pas oublier que nous ne faisons pas seulement la guerre à la Serbie, mais aussi à l'Entente. Aussi longtemps qu'il y aura des Anglais et des Fran çais en Grèce, nois ne devons pas penser (pie tout soit fini. Peut-être la guerre entre-t-elle dans une nouvelle phase! En nous préparant à foules les éventualités, nous serons plus forts encore pour les rencontrer. » En ce moment, nous attendons que les diplomafes nous disent où et de quelle manière nous devons poursuivre l'ennemi. D'après ce que'nous savons. les Anglais et les Français sont complètement désorganisés et sont incapables d'opposer une resistance énergique. Ils se retrancheront vraisemblablement près de Salonique pour y opposer la résistance suprême. » Le maréchal French cède le commandement des troupes britanniques en France au général •sir Douglas Haig et prend le commandement en ■chef des troupes stationnées dans le RoyaumeUni. Paris. 17. — Il h snir. —En Belgique et en Artois, noire artillerie,de concert avec L'artillerie britannique, a exécute des tirs heureux sur les •tranchées adverses. En Champagne, nos canons ont éteint le feu ■de plusieurs batteries allemandes pres de Mas■siges■. En Argonne, au Nord de Malancourt. nous avons pris sous le feu de nos pieces un convoi -allemand. Aux Eparges et dans la région du bois Le Prêtre, noire tir a causé dis dégâts importants •aux organisations des Allemands. [a perre à PEst Communiqué allemand Berlin, 17. — Armées du général feldmarétchal'von Hindenbucg>. Entre les lac de Naroz et Les relations bulgaro grecques Sofia, 16. — Le gouvernement grec a accepte avec satisfaction la pi de Mïadziol, la nuit et à l'aube,, des attaques pusses se sont écroulées devant nos positions; les 'pertes ennemies sont très élevées. 120 Russes iition bulgare de fixer une bande de terrain neutre qui ne pourra èlve tes trou'ires ni par les troupes grecques On n'a pas encore déterminé Well1ttilude à prendre dans le cas où cette zone neutre serait utiliséepar fes troupes françaises "et anglaiseslandélriment de la Bulgarie. M. Radoslavow, président du Conseil des ministres bulgare, a déclaré au correspondant de'la « Gazette de Cologne » que la délimitation d une ceinture neutre, entre les troupes bu et grecques se fait d une manière satisfaisanteet que les rencontres entre détachements bulgares sont amicales. ' Si la Bulgarie et la Grèce étaient sen les en tice, une paix sincère et durable dans les Balkans serait immédiatement assurée. Des concentrions de troupes de la Quadru-pleEntente ne seront pas tolérées. Les Grecs ne s'opptseront vraisemblablement pas à ces confentratious^iaisretirex'cmtleurspropres troupes. Si la Bulgarie prenait part à la lutteen Grèce contre les troupes de la Quadruple-Entente, elle f s'engagerait à ne pas occuper la ville de Saloni- sont restés en noire pouvoir. f Années du général feidmarécha! prince Lèo■ paid de Bavière et du général you Linsingen : 4 Sien, d'important» Communiqué russe Petrograd, 16. — Sur le front de l'Ouest et •au Caucase, pas de changement.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Namur du 1839 au 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Périodes