Jenffl el vpjifrüol, ? et 6 août ffltf SCBfïïm it HÜME10 Mile sotïs Ie crafrêîe a*e Faotorité militaire alïeianie *77> IMEE fl* 18a Collège N.-D. d* la Paies, Namur y Boîletia météorolagiquô du 5 a8uf Tarif des annonces fcan. 2apage, la lig. 0.30 ^ notaires, avoués, huissiers, directeur - de v«*te. 1* li*. S.30 .Annonces fiu&nc. • 0.4Ü ''jNécrolo^ie» 1.00 Faits divers fin » 1.2a Faits divers carps » 1.50 Chronique locale » ZM Réparations judic.» 2.0» Des remises sont accordées proportionnellement au nombre des insertions demandées. On traite a forfait pour les annonces périodiques.- S'adr. bur. du journal. (8 heures du matin) Haut, barométrique à ê .. Variât, bar. dep. la veille ., Température de l'air ... Temper, max. de la veilla .. Temper, min. de la nuit .. Direction du vent •. Vitesse du vent {m.pvsee.) ., l'air max. = 190 .. Eau tombée en millim. »» ABONNEMENT ANNUEL Pour Namur. Pour la Belgique . JOURNAL QUOTIDIEN GÜERR Oommaaiqués et Arrêtés DU GOUVERNEMENT " LES IMPRIMES ET LA CENSURE Piueieur/B circonstances de ces derniers tempe» m'obligent ù rappeler l'arrêté du gouvernemenfc général concernant la censure. Der Gouverneur der Festung und Provinz Namur I. V. RATHGEN, generalleulnant. L'arrêté, qui a déjà été publié dans le temps» a la teneur suivante : « 1. Tous les produit» d'imprimerie ainsi que toutes autres reproductions d'écrits ou d'images avec ou sans légende, et de compositions musi, oales avec texte ou commentaires (imprimés) obtenus par des procédés mécaniques ou chimiques et destinés à être distribués sont-soumis a la, censure du "gouvernement général impérial aile* mand (administration*civile). Quiconque aura fabriqué ou distribué des imprimés indiqués à l'alinéa 1 sans la permission du censeur sera puni conformément à la loi. martiale. Les imprimés seront confisqués et les-, plaques^ et clichés destinés à la reproduction seront rendus inutilisables. Est considéré également- comme distribution ; d'un imprimé prohibée par le présent arrêté :f l'affichage, l'exposition ou la mise à l'étalageen des endroits où le public est a même d'en.'prendre connaissance. , 2. Des représentations théâtrales, des récitations chantées ou parlées de toute espèce, ainsique des projections lumineuses, cinématogra^phiques ou autres,**ie peuvent êlre^organiséesvque lorsque les pièces théâtrales,:-les récitationsou les projectiunsj.umjn_£usos auront été admises,par le censeur^ _ ^Puicoïïi&kjép'irorganisé des représentations théâtrales, des récitations ou des projections lumineuses sans la permission du censeur, ou qui-! conque aura pris part d'une manière quelcon-i que à ces représentations, récitations ou pro-; jections sera puni conformément à la loi mar^' tiale. Les plaques et films seront confisqués. (Cet arrêté entre immédiatement en Bruxelles, le 13 octobre 1914. Le Gouverneur Général en Belgique, Baron von der GOLTZ, feldniaréchaU vigueur. APPELS Les appels suivants auront lieu pendant le mois d'août 1915 : 1. Italiens, hommes, femmes et enfants au* dessus de 15 ans (les religieuses, vivant dans les couvents, exceptées) dos communes de Namur ' .Jambes, St-Servais, Wépion, Daussoulx, Cogne-' fée, h m in es, Vedrin, Champion, le lundi 9 août; 1.915, a 3 h. de l'après-midi (h. c), au bureau boulev. Ernest Mélot, 9. Les cartes d'identité et de contrôle doivent être présentées. Celui qui"' manquera sans excuse, sera puni. t Français, Anglais, Russes, Serbes, Javanais et Montenegrins, hommes, femmes et enfants' au-dessus de 15 ans (les religieuses, \\\i\\\, aans Jes couvents,exceptées) des communes de Namur ! Jambes et St-Servais, au bureau, boulev. Ernest' Mélot, 9,' le lundi 9 août 1915, lettres A-C, à 4 h ' (h ç.); mardi 10, D-F, 3 h.; G-K, 4 h.; mercredi.' Il, LN, 3 h.; O-Z, 4 h. Les cartes d'identité et de contrôle doivent être nrésenlécs. Celui qui manquera sans excuse sera puni. 3. Garde civique de Namur, Jambes et Sl-Ser- ' vais, dans la cour de l'école des cadets : 1 à 300. le lundi 16 août, à 3 h. après-midi. N. 301 et suivants, le lundi 16 août, à 4 h Participants de la guerre ennemis invalidesde Namur, St-Servais et Jambes, dans la courde l'école des cade's, le lundi 16 août 1915, à 4 h. 30 après-midi. Les cartes d'identité et decontrôle doivent èlre présentées. Celui qui manquera sans excuse sera pun;. Libérés de ce con-' truie ne sont que les membres qui sont nés avant ' le 1er janvier 1875. Pour les officiers, il n'y apas de limite d'âge; tous doivent assister au contrôle. Milicien*. Tous les Befges. nés dans les années de 1892 'à 1897, et qui se trouvent actuellement dans les communes de Namur, Jambes etStServais, dans la cour de l'école des cadets : a) Namur, les miliciens, nés en : mercredi 18 août 1915, à 3 h. après-midi mercredi 18 août 1915, à 3 h. 30 id. mercredi 18 août 1915, à 4 h. id. jeudi 19 août 1915, à 3 h. id. jeudi, 19 août Ï915, à 3 h. 30 id. jeudi 19 août 1915, à 4 h. id. Jambes. Tous les miliciens nés dans les années 1892^897^, lundi 23 août, à 3 h. après-midi. St-Servais. Tous les miliciens, nés dans les.•mnées 18921897, lundi 23 août 1915, à 4 h. id. Les cartes d'identité et de contrôle doivent être présentées. Celui qui manquera sans excuse sera [Mini. Il est défendu de fumer pendant le contrôle. Deutschés Meldcamt, Namur. id; Pas d'entente buigaro-grecque • Le correspondant spécial do *> Temps » à Sofia annonce qu'on dément, dans les cercles offioiels, les bruits d'une entente buigaro-grecque qui permette à la Bulgarie d'occuper la Macédoine. , » La Grèce et l'entente turco-bulgare Une correspondance d'Athènes annonce que les milieux officiels grecs ne parlent pas de la convention buîgaroturque, dont les détails ne sont pas connus., La presse antiveniz^liste estime que cette convention semble marquer une orientation de la politique bulgare vers les puissances centrales et rendra impossible la formation de la Ligue balkanique sous l'inspiration de la Gran-deBretagne, et que, dans ces conditions, la neutralité doit être maintenue à tout prix. Les organes venizelistes expriment l'avis que cette convent!on,inspiróe par rAllemagne,doit assurer d'importantes compensations territoriales à la Bnlgarie en cas de victoire de la Duplice. En Tripolitaine Rome, 31 juillet.—Un télégramme parvenu de Tripoli a annoncé que l'évacuation de l'hin- Hambourg.. 2 août. — Le « Hamburger FremdenbiaU » apprend de Lucerne : La navigation commerciale entre la Sicile et la Tripolitaine est suspendue. Plusieurs vapeurs de transport armés ont quitté Brindisi pour aller recueillir la colonie italienne tripolitaine. EXPLOSION A L'ARSENAL DE MALTE Une terrible explosion s'est produite à l'arsenal de Malie. Un hangar a été détruit. Vingt ouvriers ont été ensevelis sous les décombres. • LE ROI DE GRECE Les journaux athéniens du matin annoncent que la guérison du Roi de Grèce se poursuit méthodiquement. Le Roi fait quotidiennement des promenades dans le parc. La plaie résultant de i opération subie est entièrement cautérisée. L'ARMEE SUEDOISE On mande de Copenhague que, d'après une statistique qui vient d'être publiée à Stockholm, i armée suédoise, au cours de son histoire, ne tut jamais si nombreuse ni si puissante qu'aujourd hui. Depuis le début de la guerre, elle a 5re'!Tne™5°.ubié;elles'élèvemaintenant à plus ne 540,000 hommes exercés, dont 360,000 de premiere ligne. LE GRAND INCENDIE DE CONSTANTINOPLE Athènes, 2 août. — Des personnes arrivées de Constantinople à Athènes rucontent que trois mille maisons ont été détruites par le récent incendie. ANCIEN MINISTRE. BLESSE Paris, 1er. — On annonce que l'ancien ministre de la guerre français, M. Messimy, qui avait repris sa place dans les rangs en qualité de colonel vient d'être blessé à la cuisse par un éclat de bombe, au cours d'un combat-dans- les Vosges. TREMBLEMENT DR TERRB Heidelberg, 1er. — Ce matin, le sismographe de Kœnigsstuhl a enregistre un violent tremblement de terre, dont le foyer se trouve a une nce d'environ 9,noo kilomètres. CONFERENCE l.\ 1 8RAMMUCM \'E ^W |fn^'V^°ine. le Bré- sil, le Chili, left- '{vie - ixr guay ont accepté l'ir»*Ptd'--nt Wfi-i son de 'ueui des CONDA MN. ITION En vertu du § 3, n. 2 de l'ordonnance '-impériale du 28 décembre 1899 et de l'arrêté du gouverneur général du 16 juillet1915, Leopold . chiffonnier ù Namur. a été puni, le 30 La zone belge des opérations Le « Temps » annonce que le gouvernement belge a résolu de faire partir les habitants des localités comprises dans la zone des opérations, vers l'intérieur de la France. Lundi, ie premier train est arrivé à Rouen; il renfermait 220 enfants et vieillards, 26 femmes et 30 hommes valides. D'autres convois sont attendus. La durée de la guerre M. Heckocher, professeur d'économie poli lue à l'Ecole supérieure de S'.cckholm, a fait une enqoête dans les différents pays belligérants afin de se rendre compte des effets de la guerre au point de vue économique. Interviewé par le « Stockholm Dagblad » au sujet de la durée possible de la guerre, le professeur déclara : - La guerre ne se terminera que pour des motiîs politiques et militaires et non pour des raisons pécuniaires. La guerre coûte dessommes vraiment fantastiques, mais pas assez cependant pour amener, pour ce motif seul, la conclusion de la paix.» La moyenne a été de 96 écrous par jour. A LIEGE —- Vendredi G courant, à il h. (h. centr.), une gjand'messe anniversaire sera célènrée à Rabozée-Wandre, en présence de Mgr Rutten, évoque de Liège, sur la tombe des soldats belges tombés au champ d'honneur. Elle sera chanté&^pjïr les Disciples de Grétry et la Legia. Fausse monnaie. — Au Marché Cockerill, à Liège,* il a été émis une fausse pièce de 2 fr., 'effigie d'Albert 1er, millésime 1912. La police, a saisi un billet, de 5 francs de la caisse communale de Liège, parfaitement imité. I n précoce colosse. — Vu, dimanche, rue des Champs, à Liège, un garçonnet de 4 1/2 ans, de .lupille^Jîinu chez un parent, mesurant environ i mètre et pesant 49 kilos. Le public contemplait ce véritable phénomène. — Au marché du quai de la Batte, dimanche,il y avait foule. Les lapins se vendent un bonprix : 2 fr. 50 la couple de- jeunes âgés de 4 a. 5 semaines. Les poulettes se paient 4 fr. 50 lacouple. Les jeunes pigeons se vendent de 3 a 5 fr. la couple.y Electrocuté. — Un ouvrier électricien, QjÊpTî'ru Delderenne, né en 1889, habitant^r,uB$duyPommier, à Liège, avait été chaj$$, de?réparer quelques câbles détériorés dans 'la cabine électrique de la fonderie Kétin-Thiriart, à Sclessin. Tout à coup, on entendit dans la cabine la chute d'un corps. On se porta immédiatement au secours du malheureux ouvrier, qui avait été électrocuté. Le docteur Philippe, appelé d'urgence, lui donna des soins, mais, quelques instants après, le malheureux expirait. VOL D'OBLIGATIONS. — Signalement d'obligations volées à Latinne, au préjudice de la Fabrique de l'église du dit lieu : deux obligations de la Société nationale des chemins de fer vicinaux.n°« 11761, voleur 1000 fr., et 16711, valeur 500 fr. A CHARLEROI ROUX. - Cercle des Conférences Populaires. — Pas loin d'un millier de personnes assistaientdimanle M. le docteur liaux, chirurgien en chef de l'IIôtel-Dieu à J unie t. Le sujet : « Blessures de guérie, premiers a donner aux blessés », fut pour le distingué professeur et conférencier l'occasion d'enune pensée aux valeureux soldats belges tombés pour la Patrie, évocation à' la fois émue et "énergique qui impressionna profondément Blessures de guerre, blessures dfi l'industrie, toutes réclament les mêmes soins éclairés. Depuis les découvertes du génial Pasteur, l'antiseptie a sauvé bien des vies, et bien des blessés autrefois condamnés à l'amputation ont pu conserver l'usage de leurs membres mutilés. L'émiuent chirurgien établit un parallèle entre les procédés empiriques de certains de ses confrères, et les méthodes scientifiques appliquées au premier pansement. Il cite le cas d'un blessé dont la plaie fut lotionnée à l'eau du Piéton — l'accident s'était produit à proximité de cette rivière —, ce traitement au bouillon de microbes ayant mis tout une année le prlient à. deux doigts de ia mort par empoisonnement du sang. Comme pendant, un autre cas, plus grave, traité en observant les règles d'une rigoureuse antisep tie, ce qui permit au blessé de reprendre ses occupations professionnelles ap.ès quelques semaines de soins. Les causeries les plus courtes sont les plus appréciées, le conférencier en convint lui-même. et, en moins d'une heure, il parcourut un sujet ;n d'autres circonstances et dans un jpilieu profane, il a dé'en une longu órie de Ieçj ' Les notions théoriques ont été appuyées de ^démonstrations pratiques sous forme de radiogrammes, magnifiques pièces documentaires. projetés sur l'écran lumineux, et auxquels le public a pris le plus vif intérêt.* (De notispondant) Disparition. — Nous annoncions dans notre dernier numéro," la disparition d'un jeune ga- de 12 ans, Lucien Débauche, habitant aver re, veuve, rue des Piges, 86, à Dampremy. ait quitté sa mère, disant qu'il allait à la leur qu'on craignait qu'il lui ar- redi, à 5 h.30, on retirait son cadavre de l'étang Chausteur-, à Lodelinsart. Cointration commu- nale de Coire de police, jus- qu'au garde-champs mercredi s à la Commandantüre à Charleroi ours du Ri irs.— L'instruction à cland Queriat et de GermaineI con- tinuese passe pas de jour où on ne retrou\ billets. le nom de i'ïmprf- it prêté à cette basse besogne ? ce que l'avenir nous apprendra. En tout : n'est pas possible qu'ils les aient fabriqués ; . ils sun! trop bien imités et ils n'au- mais pu être pinces, si. on ne s'était rouvent. : Le . la lettre r manque; le mot Wordt, ir un a; le mot Dewchnet, le { est remplacé par un l. L'encadrement est moins 'lui du billet véritable. le disions hier, Quériat tenait un in rue Turenne, enseigné « Au Ravitaille- ». Il se' rendait dans toutes les villes de Belgique acheter de la marchandise à vil prix pour la revendre ici à des prix exorbitants, aussi en aura-t-il écoulé des faux billets partout. Le crime de Solrc-sur-Sambre. — Arrestation. — On vient d'arrêter et d'écrouer sous mandat dttrrêt un nommé Alexandre Jeandrain, 18 ans, né à Marpent (France), domicilié à Grand'Reng, prévenu d'homicide avec violence sur la personne de Victor Gobeau, de Sohe-sur-Sambre, dans la nuit du 13 au 14 avril 1915. Nous tiendrons nos lecteurs au courant de l'instruction de cette affaire, qui a eu un grand retentissement à Solre-sur-Sambre et dans tous les environs. La grave affaire de mœurs de Charleroi. — L'instruction de cette affaire, dont nous avons entretenu nos lecteurs, se poursuit. M. le juge d'instruction- Cappelen avait fait mander hier, en son cabinet, Julien Gan^man, ancien chanteur comique, et Hélène Watrin. sa concubine, qui tiennent ensemble le café de le rue Desandrouin, où les faits se sont p Nous ne donnerons pas de détails sur l'instruction qui a eu lieu sur les faits que la morale réprouve, mais nous apprendrons à nos lecteurs que Julien Gansman et Hélène Watrin ont été mis sous mandat d'arrêt et écroués à la prison de Charleroi. Le crime de Leval-Trahegnies. — On se rappelle le lâche assassinat commis a Levai sur les époux Moriamé. Tous deux avaient été victimes d'une bande organisée de bandits qui ont tué pour voler. Tous les prévenus ont comparu devant lachambre du conseil mercredi malin. Ce sontles nommés : Constant Genin, 31 ans, men né à Laroche; demeurant à MontSte-Alde^Jean-Baptiste Waltin, 31 ans, houilleur, né a Dour, domicilié à Carniôres; Alphonse Vandevoorde, 28 ans, houilleur, né à Beauval (France),demeurant à Fontaine-l'Evêque; Julien ;Lebon, 24 ans, houilleur, né à Montigny-sur-Sambre, demeurant à Mont-Ste-Aldegonde; Henri Boudart, 35 ans, houilleur, né à Anderlues, y demeurant;Léon Boitte, 25 ans, né à MontSte-Aldegonde,demeurant à Carnières..'£jp£ Tous ces individus ont vu leur mandat d'arrêt confirmé oour ua mois.

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.