Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1915, 17 Septembre. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/mp4vh5dd29/
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2« Année. - N° 350 TIRAGE 75.000 CINSNTIM ES £d°" A JEUDI 16 ET VENDREDI 11 SEPTEMBRE 1915 Le Bruxellois ABONNEMENTS: 13 6 12 Mois Bruxelles et Faubourgs 2 fr. 4 fr. 7 fr. 12 fr. Province et Etranger ..... 3.50 8.50 16.00 30.00 J013.2^33.^.1 Q-ia.o-fc.em. Inciépesicâaiit j i. i —— d,„*i.ii = b et Banlieues î Rédaction, Administration, Publicité: ! Bureaux de vente pourlMT,iqiFR<; Bruxelles : 45, rue henr* ma ». fJ™TU REDACTEUR EN CHEF : MARC DE SALMiî DIRECTEUR DE VENTE ' - jr— T——~ , Faits.DiverB et Echos . . . ^ ligne Ir. ^u \ \ Nécrologie, Annonces commerciales » Q 50 amohces ferrr. : : «■» \ » ... la grande ligne » 0.40 Vérités paradoxales sur la Justice Lorsque la pais sera rétablie, il n'est pas d douteux que les intérêts contradictoires, les q désaccords, feront naître entre les Belges des a légions de procès. Une justice rapide s'im- g posera fatalement. c: La Belgique comme la France sont encore le sous le régime du Code de Napoléon, insti- fi tué il y a plus d'un siècle, et nullement adapté aux conditions économiques actuelles g du siècle de la vapeur, de l'électricité, du s>e téléphone et de la télégraphie sans fil. : li Aidé de son avocat, un plaideur peut pro-longer la durée d'un procès. Si adroitement t® il se réfugie dans le maquis de la procédure, 1 ai il peut presque l'éterniser et faire attendre in une solution au détriment de la partie ad- ! verse. Les lenteurs de la procédure e,n Bel- ' té gique sont bien connues- de tous, et lors mê- le me que les plaideurs, tous deux de bonne ' in foi, désirent une solution prompte, l'apathie ' de leurs avocats y met trop-souvent un ob-'à stacle. . |fr Les avoués, n en parlons pas. C'est un ' su rouage inutile qui, nous l'avons dît naguère, ! so ici même, peut et doit être supprimé. Ils1 va sont cause de l'augmentation des frais de j pi procédure. La justice est gratuite, mais les;vi moyens de l'obtenir sont trop coûteux et peu- j pe vent déjà ainsi être allégés. L'égoïsme des év intéressés explique pour une large part l'hos. té tilièé et le débinage qui ont, dans le monde pi des robins de tous poil, salué l'excellant ar- qi rêté (décret du 10 février 1915), instituant à les tribunaux d'arbitrage pour les locataires ra et propriétaires. di Au Palais les remises à huitaine, à quinzaine, à trois mois, après les vacances, se à font par les concessions mutuelles des avo- un cats sur le dos des plaideurs. La vie privée, di; les plaisirs, les exigences mondaines de l'a- tu passent soiyvent avant l'intérêt du rêi WSm une pareille gracieuseté dans les Hiêmfs circonstances. D'autres fois, l'avocat n'a pas pris la peine d'étudier le dossier, il n'est pas prêt; encore motif à remise. C'est la règle et tout cela augmente les notes des avoués et autres compères qui vivent de Thé-mis.Il faudrait écrire des chapitres s'il fallait analyser les autres multiples causes de la lenteur de la procédure et les conséquences douloureuses et ruineuses apportées dans la vië d'une nation par une justice lente et compliquée. Le commerçant attend vainement l'issue d'un procès dont la terminaison lui permettrait de donner un essor à ses affaires stagnantes dans l'attente d'une solution. L'entrepreneur est arrêté dans ses travaux pai suite d'expertises lentes et coûteuses qui se prolongent en retardant une solution que le tribunal ne se bâtera pas de lui donner. Le bâtisseur se trouve dans un cas analogue. L'industriel ne sait quelle tournure donnei à sa fabrication sans connaître l'interprétation du tribunal dans un contrat. Dans lej affaires de famille, de succession, les désaccords perdurent à défaut d'une entente commune que pourraient faciliter les avocats. Fait remarquable et ne souffrant que de rares exceptions, des avocats tiennent éloignés les plaideurs au lieu de les rapproche: en conciliation, donnant comme motifs qu'ils pourraient commettre des gaffes préjudiciables à leur intérêt. TJne solution prompte, facile, sans l'intervention des tribunaux ne justifie pas des ho noraires aussi élevés qu'une affaire fréquemment remise et laissant des espoirs au nou veau procès à la Cour d'appefc^C'est toujours l'histoire de l'Huître et les Plaideurs di Bonhomme La Fontaine. La mentalité de certains avocats est eu ■ rieuse et mériterait d'être analysée plus pro fondément. La lenteur de la procédure et les frais qui l'accompagnent grèvent considéra blement les résultats obtenus en cas de gaii de cause. Il n'est pas rare de voir des procès se terminer avec un ensemble de frais qu atteignent et dépassent l'objet du litige. Même sans procès un vulgaire huissie: vous compte 20 francs de frais pour vous ei faire obtenir 50 en écrivant un© ou deu: lettres. Avec une procédure expéditive, loyale e peu coûteuse l'essor de la Belgique aurài connu une prospérité plus grande et insoup çonnée. Des voyageurs, des chefs d'entrepri ses, circulant en'pays étrangers, auraient pi obtenir du crédit dans les affaires cTîmpor tation si la justice belge avait eu la renom mée d'être prompte. Le commerce à l'étran ger n'ignorant pas les difficultés de la pro cédure en cas de contestations, exige le paie nient des marchandises avec la command •ou contre remboursement. D'ailleurs, dan d'autres pays où la justice est aussi compli-quée, les Belges n'agissent pas autrement et ainsi les affaires d'importation se restreignent. A titre de comparaison on pourrait citer les pays où la justice est rapide et où r,1 les nationaux obtiennent le crédit qui est re-fusé aux Belges. ' "la Ên 1908, M. le Ministre de la Justice char- feu ?ea un de nos confrères, M. Camille itous- cen sel, d'étudier les rouages de la justice. Le [ivre de M. Camille Roussel, La Justice bel-ye au début da AA'e siecle} œuvre documen-taire parue en 1909, fit sensation chez... les G; ivocats, mais p>assa inaperçu de la masse des intéressés. £ Aucun journal belge n'osa, en vue de l'in- na^ téret général, sacrifier une coterie, ni avoir le courage de publier en feuilleton ce livre, 4 1 nstructif et d'actualité. ' des A l'appui de ce qui précède, il est loisible séei i tous les Bruxellois de méditer un exemple îrappaait : En face de la place de Brouckère, â iur nos grands boulevards, des immeubles se en ont effondrés il y a quelques années. La Pris *aleur du terrain est considérable, il est im- Gi productif. Le procès dure et s'éternise. Ce ide faite tache au centre de la capitale et les certes journalières s'additionnent. Il est Szc: vident que si on ava.it voulu la bonne volon- Gr é des experts et des avocats auraient pu, i'e-mis longtemps, mettre fin au procès dans le- L [uel se complaisent des gens qui ont intérêt bre le voir perdurer. Une vraie justice n'aa- 700. ait pas permis cet état de choses si préjudiciable. L Le plaideur fortuné, disions-nous naguère propos d'un procès d! assises, peut choisir n Maître du barreau pour le défendre, tan-|s que le plaideur, moins favorisé de la for-ane ou moins bien informé, confie ses inté- .1 ' à un avocat sans éloquence, sinon sans ■s| D'autrefois, un avocat possède «l'oreille ( t du tribunal », l'autre, au contraire, est éloi- l il gné de ce privilège. Les chances alors ne sont <-;t pas égales non plus. 1 ■s Un avocat a prolongé l'étude du dossier. 1 ;- Il connaît l'affaire à fond ainsi que tous les trucs de la procédure. L'autre avocat a liâ- 1 it tivement pris connaissance du dossier au a dernier moment, le matin ou la veille peut- , îs être. Les chances ne sont pas davantage éga-a les. Nous avons connu un ancien ministre-ît avocat, qui avait gardé trois ans un dossier sans l'ouvrir et préféra payer les frais du ie procès perdu par son incurie. t- Un avocat expose mal l'affaire au tribu-i- nal. If invoque maladroitement des argu-î- ments ou des présomptions qui tournent con-ir tre les intérêts de son client et dont profite >e l'adversaire. Le Un avocat... etc. Mais au fait, les chances je sont-elles jamais égales? s. Dans ces conditions la justice devient îr presque immorale. Ce n'est, plus la recherche i- du vrai. C'est une joute oratoire! un match ?s sportif qui n'a rien de commun avec « la c- Justice ». i- La justice morale devrait chercher à atteindre la vérité en écoutant les parties en le cause avec l'aide des avocats pour l'exposi- i- tion plus claire des débats. Une vraie justice ?r devrait ramener l'avocat de la partie adverse ls à'reconnaître le droit de l'autre plaideur si a- la justice de sa cause est démontrée. Or, presque toujours, vu la pléthore et le besoin de r- vivre, un avooat vous déclare votre £ause o- juste et gagnée d'avance ; cependant, un avo-a- cat ne devrait pas consentir à s'occuper d'une a- cause où il a la certitude de tromper la jus-rs tice où lorsqu'il doute du succès du procès, lu Or, un avocat est renommé lorsque, retors, il a la réputation de gagner les plus mau- ii- vaises causes. Quand on dit : fin, rusé, arti-o- ficieux, retors, on pense qu'il s'agit d'un es avocat ou d'un avoué. Pourquoi? a- Le langage judiciaire doit être, lui aussi, in réformé. Il doit être clair, conçis, explicite, ès Ainsi modifiée, la littérature des actes judi-ui eiaires sera mieux comprise par tous au lieu de n'être qu'un jargon archaïque et oiseux, er Les procès vexatoires qui prennent leur ?n source dans l'animosité devaient être inter-îx dits sous pénalité comme étant des procès à tendance. et En résumé les mœurs judiciaires dans la Belgique de demain doivent se modifier dans p. un sens loyal; exempt de chicane et moins ■j_ esclave de la forme et des formules chères à 3tl Brid'oison. ir- La société future chez tous les peuples sera n- indiscutablement modifiée de fond en com-n- ble, tous les tespoirs de réalisation d'une o- meilleure civilisation sont permis et nous e- espérons fermement qu'ils seront atteints et de qu'il y aura de ce côté un progrès sép'eux -et ns indéniable., MINOS. j La uerre W I combatt ^ Gommuiiés Officiels\TS ■! AANDS 1 que noi -, Théâtre dierre de l'Ouest I ù " Berlin, 15 sepM - (Après-midi.) - ^ a O ne tentative d\ue française au aarl'\prisonr, mannsweilerlcopfi empêchée far notre \ ^ },c feu. Un ballon c\d'observation fut des-1 os {r( cendu à Recheswroximité de la f ron-1 ialje tière franco-suisst a culbuté et est tom-1 En ( ,C bê en brûlant. |lr* li'ennei Théâtre (buerre à l'Est ^ I f ' Grouiie d'armée «-énéral feldmaréchal I \ ; vue ïeliburg : , n S» Combat à la têUpont, à l ouest de L>u-1 en vire nabourg. A SoloJc i sud-ouest de Duna-1 (( r bourg, de là cava ; ennemie f ut battue. I pîws ci , A la Wilia, au noi au nord-est de li ilna I traM' ' des contre-attaque, nemies furent repous-\^^^ e sées. A l'est d'Olit de Grodno. nos «tta-l " g ques ont progressé. I Au sud du Niémi la Szezara fut atteinte I r ^ en différents endro. En chiffres ronds 900 \ |f^L v prisonniers furent ) s. Groupe d'armée d général feldmaréchal 3 prince Léo d de Bavière s U adversaire est foulé au delà de I Szezara. Groupe d'armée di général feldmaréchal von l^kensen La poursuite vers . jislt continue. Le novi-t bre-des prisonniers f !s s'est élevé à plus de g - 700. Les Théâtre de la Jierre du Sud-Est c^rl L.es troupes allem rides ont repoussé des ^ attaques ennemies a ec pertes sanglantes. m* AUTR jHIENS le : ~~ fie Théâtre de I» guerre russe 1 ienne, 13 septembre. — A la frontière be. ciiu bique, nos troupes oi.l fies de noire front gcuiciTii et voïKymeh il y a eu iille de nouveau des combats Violents sans résultat pour 'loi- l'ennemi. Au nord-est de Dubno, dans une contre-jont attaque malheureuse, l'ennemi abandonna, en dehors de nombreux tués, Yj officiers et SÛO hommes -ier prisonniers et, comme butin, 3 mitrailleuses. j * Des bataillons de l'armée des réserves et le régi-, , ment d'infanterie d'Otocan n" 79, sous la direction 1 de commandants résolus et agissant de leur propre autorité, ont donné encore ici des preuves de leur sut- habileté militaire. Vans le territoire boisé et ma-éga- récageux du Styr et du l'ripet, notre cavalerie a stl'e- repoussé ces derniers jours de nombreux détachc-ssier ments de cavalerie ennemie. Les forces impérialei 5 du royales combattant en Lithuanie, ont atteint avec nos alliés le Szcezara. ibu- Théâtre de la guerre italien rgu- Dans le territoire de frontière du Tyrol, les com-con- bats d'artillerie habituels ont continué hier. A l'esl ofite c^a défilé du Loclinut, nos troupes ont passé à l'attaque et se sont emparées des positions ennemiei au Findenig-Kofel et à la crête au sud-est de lo nC(?s montagne de frontière. Au front du territoire di la côte, l'artillerie italienne a fait feu avec uni lent violence plus prononcée sur nos positions de Javor■ rche ceic jusqu'à la tête de pont de Tolmein. Des atta atcli ques ennemies contre le Javorcek et le territoirt « la de Breie ont échoué. Leï autres tentatives d'ap proche de l'adversaire dans le .secteur de Doberdi i at- on* également été déjouéts. s en FRANÇAIS >OSl- par-lSi septembre (15 heures). — Même acti stice de l'artillerie sur le front d'Artois. sud d, 'erse la Somme, bombardement réciproque et particuliè ir Sj rcment violent aux environs de ViUoloy-le-Ccssic\ nres- et TSeuvraignes. Actions d'artillerie continues su: n (Je te canal de l'Aisne à la illame, près de Sapigneu ause et dw Godât, en Champagne, au nord du camp d' avo Châl-ons et sur la lisière occidentale de l'Argonne , Au bois de Alurtmare, noi batteries ont fait cesse uhb . les feux des mitrailleuses ennemies et exécuté de tirs efficaces sur certains saillants de la "ligne en D-ces. nemie. Nuit calme sur le .reste du front. tors, Nos avions ont bombardé la gare de bifurcatioi nau- de- Bensdorf> près de Môrliange et les cantonne arti- ments ennemis de Châtel en Argonne et de Lange d'un mardi,au nord d'Ypres. Paris, Ut septembre heures). — Lutte d'ar ugg- tillcrie toujours vive autour d'Arras, dans les ré cite' Roye et de Nouvion et sur le fiont d ■ ,.' Champagne, particulièrement piàs cl'Aubérive, d 'll. Souain et de Perthes. On signale également un 1 canonnade assez violenle en forêt d'Apremont, a eux. n0rd de Flirey, et en Lorraine, dans la régio: leur d'Emberménil. nter; RUSSES ccs <i Pétrograâe, 15 septembre. — La poussée des Ai lemands dans la région Bu lac Pilcstem, au la ns la Saulce et près du village de Baschishki, à l'est d dans la ligne J ah obi tadt-Dunàborg, continue. Dans 1 loins région de la station de PqdbrOdze, des attaques rt l'es à nouvelées de l'ennemi ont été repoussées. Les atte ques des Allemands à l'ouest de Podbrodze se ci S°ra ractérisaient avec beaucé^ip de vigueur. Au fror, ' ' des environs d'Orany jusqu'à environ dans la ri com- gion des villages autour de Kossowo, t'adversaii une a continué sa poussée prudente vers l'est. Des con nous j,ats sérieux se sont développés ici et dans la r, lts ©t gion des villages de Nosty-Szeinialca. nx et .A l'ouest de Slonim et au sud du fleuve de l )S. 1 F/fia, la cavalerie ennemie recula dans la régio \T 'TrétonÏ dans la reg on de De ^ aw)ls avancé en ^ » hLttï » que nous sommes Pa™en"° a avançâmes alors dems tre-attaque ™°^2\teWan et nous y fîmes dans te AlZnZïpÏès du village d'Olos^a plus de 1,300L re !î" '^l'ouest de Wisniewice au Goryn s«î>c'tcur,|p ÀJ trouves ont refoulé Vadversaire hors du wt-lg1 •n- lage de Bydomel et environs. oursuite m- En Calicie, nous a,ans eu, n [l'ennemi du front du ' réaion des villages] I chaudes écliauffourees dans la rcgion A f, 1 y n - ,7/-rr T ehrow et Jusophowka, a l ouest j al I Tarnopol, ainsi qu'au v'Mage de^L I environs de -Jusci rt,.0ll, fait prisonniers I , na-\ i- 7« in smtembre, nous avons J i _ i, \heu le U sepicmu, , et „r s , mî- «e- plus de 3,700 soldats avec 35 officiers et P > Ina 1 {railleuses. I tta-1 ~LISEZ~~Ën 3e PAGE NOS j m renseignements I pour les personnes hal isans nouvelles de leurs parents i arv 9 *. _ /v -Ajm. À rt ^ Dernières Dépêches la Çî La Bulgarie et l'Entente chen ' Sofia, 16 septembre. (Agence B^eQ\~ ^ ^ T représentants des puissances de la Mua druplice-pût rendu Uier des visites £L,al ' S rigoureux. de^ Les relations germano-améncames c. Hambourg, 16 septembre. - aun^ce Comme l'annonce un télégraiM^^mve a pour Londres de Washington,Wilson serait main-ontre- tenant disposé à soumettre la qu-éstion de .n de- l'Arabie au tribunal arbitral de La Haye, immes D'autre part, le Président ne veut pas abandonner le point de vue pris dans les autres régi- questions de principe contenues dans la note ection américaine. tropre leur La diplomatie italienne t ma- Berne, 16 septembre. -— La Gazetta del erie a Popolo publie : L'ambassadeur italien à tache- Constantinople, Garroni, a eu un entretien ;riales au quartier général avec le Roi et a rendu tteint higj ^t une longue visite à Giolitti, dans sa villa à Bardonecchia. Le journal écrit : Cette conférence a probablement certains s com- rapports avec un autre phénomène qui mû- 1 '' est rit actuellement dans certains cercles poli-à l'at- , • tiques. icntics (]c la Conventions anglo-italiennes ire de Pétrograde, 16 septembre. — Le Rjetch ■c une annonce que les accords anglo-italiens se Javor- rapportent non seulement aux Dardanelles; ! atta- [es forces italiennes seraient principalement i-noire utilisées à la côte méridionale de l'Asie M iberdo uellre' dans le golfe d'Adalia, où les Italiens ont de grands intérêts; toutefois le for e-ment des Dardanelles est également une question vitale pour l'Italie, attendu qu'elle e acti- se trouve dans une grande détresse au poini sud de de vue des vivres. Cadorna malade /CSS2 CT" :es snr Berlin, 16 septembre. — Un journal de igneul Milan écrit, avec autorisation de la censure, mp de que l'état de santé de Cadorna laisserait à gonne. désirer depuis quelque temps. Les journaux cesser suisses voient dans cette communication un té des indice de la possibilité d'un changement ne en- jans }a direction du haut commandement •cation '^a^en- tonne L'attaque aérienne contre Londres Lange- Bâle, 16 septembre. — Les Basler Nach-richten publient : Comme on le sait, une c d'ar- succursale d'une maison de broderies de St-les ré- Gall a été endommagée lors de la dernière ont de attaque des zeppelins contre Londres. On we, de annonce maintenais que le bureaux et les magasins de plusieurs agences de firmes bâ-ré'rion l°^Ses oû^ ^ dévastés par le feu et par l'eau. J D'après la situation de ces commerces, les bombes ont donc été jetées dans le quartier commercial, le plus mouvementé de la ville ' " géante, et notamment près de la Banque 'rn de d'Angleterre. lans la Pertes anglaises ues re- Londres, 15 septembre. — La. liste des :s atta- pertes d'hier porte les noms de 43 officiers se ea- e|. 2,258 hommes. 1 fronj L'emprunt franco-anglais ersa'îre Londres, 15 septembre. — On annonce de s com- Washington au Central News ; Pierpont la ré- Morgan a invité à une réception les financiers français et anglais, ainsi que 175 ban-? de la quiers et autres négociants en vue. On croit région avec certitude que les Alliés réussiront à con- I dure un emprunt de 100 millions de livras sterling à 5 p. c. La presse allemande en Amérique blâme sévèrement le PA)]e :d emprunt et le qualifie de grave violation de I Couverture du Parlement britannique Londres 15 septembre. — Le coilabora- : Leur paîlementaiie du Daily Neics, annonce > que le Parlement siégera de deux a trois f i par semaine avec un court congé de Noël. ■ Les députés sont inquiets et consternes pr "I suite du cours des événements de 1 ^ Ils interpelleront le gouvernent <1 | manière détaillée. II Londres, x5 septembre - Le ^ ^ ,J écrit dans un article de fond . L s , S stances dans lesquelles se reu r ment sont plus graves qu elles ne l o J itUais été depuis le commencement de la rJ pierre La menace .vient de F intérieur,; non «i-h i vtrann-er I' s'agit de la situation fmau-eiè e et df 'agitfon en faveur du service JoSral obligatoire. Le journal est convain-_ eu nue Mac Kena résoudre le problem ji-nancier ; mais 1 'agitation scandaleuse, pour le service obligatoire qui n mr^t jamais du . D êtTe commencée, a amené la discussion et les malheurs et a menacé les mineurs^on J ? situation périlleuse du pays » ^ Ce serait un malheur national si le 1 ar/tm®nt — reflétait, la désunion à la suite de cette agi» I tation Ije jour a.il discute la question ouvrière et dit qu'il est encore temps d éviter la catastrophe menaçante des employés de chemin de fer ; mais ces gens sont résolus a i — ne pas abandonner leurs exigences. ' L'affaire Archibald Ipu I New-York, 15 septembre. — (Beuter.) ;re-|L'ambassadeur autrichien, Dr Lumba, a suri déclaré qu'il a demandé a son gouvÇiii ^ ^ ■nce I de lui accorder un congé, afin qu il pu éclaircir les circonstances qui ont amené la I demande de son rappel. Guerre a i H Uerliu, itnialn- placé le centre de gravité de leurs attaqi ■tion de colltre l'armée Pflanzer:Baltin. Leurs atti i Hâve (lues prononcées avec des forces considérable as aban ^ frolîtière bessarabiquê ont toute^m'e é : autres rePouséées dans tous les cas. V , Panique à Minsk no Stockholm, 15 septembre. — D'apio- i Nowoje Wremjn les déclarations des fugitif de Dunaburg et Wilna, ont produit une pa etta del uique ^ Minsk. La population rassemble .<oi aliei\ a avoir et quitte la ville par masses. Elle p-tr ntretien p0Ur Chorel, Dobruisk et Smorgon. Une pa a rendu niqUe s'est également produite dans le mon ti, dans c]e commercial de Minsk et ce n'est qu'à i; il écrit : sUite de l'intervention énergique de l'admi certains uistration qu'il a été possible de prévenir 1 qui mu- fermeture de tous les magasins. Le gouvet les poli- tleur conseille le calme à la population. 70' wagons de pain pour les réfugiés affamé ont été achetés à Riga. > Rjetch GUERRE SOUS-MARINE liens se Bâle, 16 septembre. — On annonce d lanelles; Londres aux Basler Nachrichten : Les coin lalement munications de l'Agence Lloyd semblent fa: isie M >-e supposer que toute la navigation marchai: Italiens de vers et de Marseille et Bordeaux a ét le for e- «prêtée jusqu'après l'organisation des mesu ent une res de précaution contre les sous-marins ai a qu'elle lemands. au pomi SUR ,îER llotterdam, 14 septembre. — Le vapeu Rembrandt, de la Société « Nederland », iirnal de été arrêté en rade de Deal, dans sort trajt censure, de Batavia, à Amsterdam.-sserait à GUERRE AERIENNE ournaux Berlin, 16 septembre. — A Udine, annoi ation un cent les journaux autrichiens, un aéropla-, ngement autrichien a été bombardé par trois avioi ndement italiens, les canons de défense lui tirèrei plus de 600 coups; malgré cette prodigalités de munitions l'appareil revint sain et sau er Nach- tandis qu'un avion italien tomba à pic, ce :a.it, une tainement touché par un coup de fusil c es de St- l'aviateur austro-hongrois. ETRANGER S Il av -*-A > ANGLETERRE. — Nouveaux crédits is-. mandés. — Londres, 16 septembre. (Reuter.) s — On annonce de source officielle que le cra-r dit de 250 millions de livres sterling que le e gouvernement réclamera, n'est pa^_ seule-e ment destiné à la flotte et à l'armée, mais également à d'autres buts financiers. ANGLETERRE. — Les grèves minières. *s — Dans le district charbonnier de la Galles ■s du Sud, une nouvelle grève a éclaté. 1,10( mineurs chôment, à raison de l'incorporatior des ouvriers non organisés, e PORTUGAL. — Nouveaux troubles. — tt Lyon, 16 septembre. — On annonce de Ma l- drid au Nouvelliste :Un nouveau mouvemen i- de révolte est signalé du Portugal. Il y i it des troubles non seulement à Lisbonne, mai 1- également dans plusieurs villes de province

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Cet article est une édition du titre Le bruxellois: journal quotidien indépendant appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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