Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1917, 17 Janvrier. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Accès à 20 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/d50ft8g70n/
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4~ Année - N. 827 - Ed. S irtn* r*i *~'"T"--ii ai» ■ ' ii il,» i mu uni >n mu ni y —— ——i n i ii i — CIK9 CEKTIHGS Mercredi 17 Janvier 19X7 ASsNNEMENT POSTAL. ÉD. g fouBaffias - Province - Etranger #àtSfe s Fi . 4,50. - Mk. 3.®) tfes jkgR»aux de poste ea eî 2 iv'aiact-iUi-ni v®0 e&r? B3«w*eqprtswm8IW^Î lOi-lS; ceux-ci ^WDiWïTt ecurs tes $3xîiv. 1 A**a l JutLLzr I ©CT©B. ©a n»at s*abor+p^r ieui*?Ms peur §es ■rai <fendte» isnfe an nrêsœc pour le dtamiter mw$s de c&aqoe ttlmestre au prtx de : 2 m«m 1 ja«a *aflUOO-Mi&40 Fr.l.50-Mk.l.20 9 TiftAGS:®3.O0O PAR J81SR Le Bruxellois rfr ■ |H| Rédacteur en Chef : Bdfeix*® <-ï<a SA.r.,3(«i ■aCT^M.u»uug^iMig^AM«a»3«g^«w«w!CCT!««Mw---- lin n Il !■ I» an ni Jawasl luaililsa Mffsaisisi Bédé"ioB"a«irain«tretîon, Pablicité, Vente : | B8UXBÎJK. 45, RÎJE WSfflM MAUS J ANfWNLES — La ligni Faits divers et Echos . fr. 5.CX ISéerotsste 2.CK Annonsas «smrnercistei . IM » finaudes es. . <X$ PETITES ANNONCES La petite tigir® La grande ligne OJf TIRAGE: 9O.O0G PAR J04JB DERNIERS COMMUNIQUÉS OFFICIELS ALLEMANDS BBRLTN, 16 janvier (midi), officiel : ThéAtre de (a guerre a i'Oiu&t. (3hn>npe d'armée du prince héritier Ra^preciu do Bavifere. La tentative de détachements français de pénétrer dans notre position a Beuvraignes (au sud de Roye), a tté empêchés par les occupants de la tranchée. Du reste, l'actu n combattire réciproque s'est maintenus dans des Unités modériez, sauf quelques taux £ tannerie pins aa moins vifs on certains endroits.Théâtre de la ftlierre à i'Bsï. Front du générai ieid - maréchal prince Léopoid de Bavière : Pas d'événements essentiels. front du geaeral-coteael arciùduc Juscpte Egalement hier, des attaques ennemies entre la valtée de la Casinn et celle de la Susita sont demea-rêes suas aucun succès. Des Roumains qui envient pénétré en un endroit, ont été complètement repoussés par une conire-aUaque. Nous avons fiât prisonniers, à cette occasion, 2 officiers et 200 hommes. Groupe d'araiee uu leîd - Disarecliaî général' von itinekensen : Après uns vigoureuse préparation d'artillerie, d'importantes musses russes se sont élancées à l'attaque des deux côtés de Furuleui. Quelques centaines de mètres devant nos positions, les vagues d'assaut se sont écroulées. En renouvelant le soir les attaquas, quelques éléments ennemis sont parvenus Vans nos tranchées, mais en ont été immédlaieinent ehassés. Les pet les de l'ennemi sont grandes. Srtail towc*t&*Qim ; La situation n a pas subi de modification. Une/ fctîf® ifë i'empereur au chancelier. BERLIN, 1S janvier : La a Gazette de l'Allemagne du Nord » écrit : A la Éaciimeniaiten reianve à V offre de poix des Puissances eentrules, que nos ennemis afipedent une * hypocrite cmtiacuvre de guerre a, la tettre euvs-gt-uphe ci-aprcs, adressée par lErnpeiew au chan-■ceûer ée l'Empire, journit une «onîribuM&l tout parMcuficrejiieru importante : a NoLiveau-Psdais, 31 octobre 1316. /usa caer tsvuiuuaau j* QZ TE '«S £>sk-6>*3£ à wufc-y w*«Vr-^tCatV» £>Cd ptes 6e nets ennemis, victimes de la psychose dfi guerre, livrés à force de mensonge et de fowrberie à l'itlusion d'une victoiie passions et à ta haine, manquent des hommes qui serment à même et qui imavenî le cearo&e moral de pionancxr la parole libératrice. imposer la faix constitue îe gesis ntees-saire pour libérer le moaue — y compris tes pays neutres — du farécau t'oppresse. Un pare# acie tte peut être posi, qiie par un souverain coiischem dfi sa resp'JsistbiM.è devant Diea, un saavtnaixi mœt le eceur bal pour ses suiets et pour ses ennemis euz-m&mes et qui, négligeant les interpréietiom volon-■ieiremsnt malveillantes que peut soulever son geste, e la voianSe d'ejlnmehur ie monde des rsiaux &mt il toiiipe. j'ai le courage ne le laae e4 je -veux l'oser «nec ttàsee du Tdut-tmssaBi. ï,o:imeites~iw;i les notes an plus tôt et préparez le travaiL (s.) WilMELM I. R. •» Que nos ennemis soient convaincus que nous con-thueerons jusqu'à la victoire tinase ta g..erre qu ils nous ]orcent de leur faire, sans pitié aucune et avec une énergie égale à ia sincérité du désir de paix exprimé par l'Empereur cans sa Lettre ouic.grephe au ÇbumtHer de l'Empire. BERLIN, 15 janvier. — Qtficiel, soir : ' Aejivtté oombaUrve minime tunt à i ouest qu'à test. Emue Cusina et la vaMe de la S.:siîa ainsi que prf s uc Fm&eni ne fortes aitequez russes ont été renommées. AïlïMICHiEK» VISNNS, 1S janvier ; rm^ire *ts Ks guerre a ré-tel, ôe» ti vi, t/eh turques ont pris d cssnui hier le vK-tege de Va^ni, la aernièra locatiié çlii était encore mtevpée pxr l ennemi an sud du Sercik. A i aile méiidtonoAe ttu front a'armée de farckî-iae joseph les Russo-Roumains ont ptmanci tte fortes attaques, contre Iss positiens que neus avons sorutuise» ces j&urs-ci aa nora <xe kl vaUée t'a la Ss-uta. Les c.saifiants furent repousses sur toute la igné. Plus aa nord, rien de nouveau. J"a«àire •<> la jfaarrs i'.ali t!. Àu front acs ùotomites, nos tripes ont fait sauner ta nuti dernière au grand Lagazuoi, une ligne ae 'Qchxii. formant la paiol mérièkma'e de no* post-ans et de ta position ennemie. L'opération a patate ment réussi. Une large gorge nous sépare main. inani de l'adversaire. Aa front du Corso, activité d'artîlUsrie plus vive i» temps à attire. I hafe tv de ia jjustï* Ssal-Est. Situation inchangée. •roses COKSTAXTINOt'LË. 14 janvier. — Officiel : Activité d'ai-ulicrte et combats à (est de Kut-el Amer a. t en Perse : Nous avens refoulé une compagnie russe el sommes entiés dans Rajat. ï'.oas f.u L»Dense : Aucun événement important. Aux autres fronts tien d'essentiel. BULGARES SOFIA, 16 janvier (comm. *jj. du 1S tomber}t Fr®îii Btaeédfiiiien : Faible canonnade sur tout le front. Vive activité eériemis ds t ennemi dans la région de Monastir, dans le vallée du Wardar et sur la Struma. N'eut avons abattu par notre feu d'ariiîiene un aéroplane ennemi qui survola les environs de Kanthî. L'appareil est tombé dans la mer. Front roumain : De ia rive droite du Danube, nous avons bombardé tes installations de chemin de fer dans les environs de Gaiaiz. L'artxUeiie ennemie a riposté psi un faible feu inefficace. FRANÇAIS PARIS, 15 janvier, 3 h. p. m., officiel : Pas d'événement impartant en cours de la nviî. Assez grande activité d'artillerie sur f Ancre ci entre l'Aisne et Argonne. PARIS, 15 janvier, 11 h. p. vu, officiel : ■ Bombasdemeuis réciproques sur les deux rives ie la Somme, sm la rive droite de la Meuse et en Lorraine. A ta suite du bombardement de la nuit dernière entre l'Aisne et Argomie, i'eimemi a aitsayaé nos postes avancés. 11 été rejeté après an vif combat a la grenade. Noos, de notre c4ié, avons réussi plusieurs coups de main sur les lignes ennemies, (sis du matériel et fait des prisenni&\ RUSSES PETROCRAD, 14 janvier. — Dans ta région de Riga, sur le lac de Babit, d'épaisses masses ennemies ont attaqué nos détachements à 7 verstes à lest du de Kalutzeu; elles furent repoussées par noire feu et par nos contie-attaqucs. Les Autrichiens ont tenté une offensive à l'est du village de Putna, dans la vallée du fleuve du m;iœ nom; ils ont été refoulés par notre -av Leurs attaques, prononcées contre nos détachements au nord da fleuve Slonie, au sud de l'Oiioz, ont clé repeus-sées. L'ennemi a attaqué les Roumains à 6 versies 1 à l'ouest de Piacdea, à 18 verstes au snd-esî du cou- : jlueni du Kasiu et du Treius; il a été rejeté. Des détachements ennemis ont tenté une offensive uans la région de Rainilesci, à 10 verstes â l'est de i oc-sany ; ils fuient repoussés par nos feux éaus leurs ' tiancliées primitives. Fort d'environ 3 régiments et 1 appu}. e par une vigoureuse ariiBerte, l'ennemi a ' saisi f offensive sur le front de nos garens de Kotv- ! michali sur le Sereth jusqu'à Vouent, à 10 verstes 1 au nord de Krmlvw, après que uss troupes d'avant- i garde avaient repoussé plusieurs attaques; elles os./ i évacué,sous la piession de ia supériorité ennemie.le \ village de Kotuwichali. 1 K-Evs-atsasrs-is ROME, 14 janvier : Activité plus jorte des deux mtàUtrks on front du ! Tremin. Par notre fen bien <ângé nous mnons porté i ie aésumsi eu miden dîmpOnatts mouvements de î troupes, derrière le pont ennemi et détrnît quelques j points d'appui de batteries. Au front uss Aipe* jv.uemnes tactiiiîé d'artillerie i a été entravée par le marnais temps, ce qui n a pus i emptché tovtejois i activité habituelle is nos pu- l trouilles. A&GLAïS I LONDRES, 14 janvier La ten3ab*e d'un aéiacbesaest ennemi en vue Se , surprendre iuer soir sa de nos postes à l'osrst ée Gweudécourt a compittiemsni échoue. L'ennemi a . été dispersé avec pertes. Garant ia nuit nos pa-tromiiàes oni exécuté des ewhtcpfisses eoaranuées de succès dais Je région fie Neui-e-Ciispets et é'Ar- , menlières. Nous avons aaasmé efficacement, tier après-midi, es tranchées ennemies an nord-ouest d# . Lens. Dernières Depêches La iurtœe <at t'uSaattùiiai. Berne, 15 |au». — La près se mmysuise n'est satiatai» «ie la réponse te gcravesafeasimt gr*« a 1 tfc-ttmatum et dont ra tanettr visnt ô Stns pi>u«ce. L» «joarnal des D^catc?» écrit : 1a rép&uœ grocqiî---û'^st qu'ans nouvoîje nanseavra -pour iiu toEcps. A earjjt» aîtteaiaia, Aîtèues d'fc- borâ ai&nnanvsiïi»rit et fait «ssj-.ite tes «ojfectJuBs qui nota vraim-sîit flégath-ss. Ls «JoTirnsà» sf-elare : Le roi Constantin et s» Eiisisma nous SWn cwb-prensire qa lis sont assaz inwiligsais peur ^u« une TiÇjtme, mais çn'iia ne fereat ràm >«,u itwlitti not« tâcae. Totite ia presse exige que i'Entent® imposa fa. tous ies msyîns et avec énergie l'exécution de se^ exigences. iiécksiaJtsagtoiiL'jit imki? le pfôhaye nsiïgejîfets rfa sraa»«a£3. Bcatie, i£ jaav. — La pwj«sâBtioa .-ite per If-. Frepriskairie ii-s megaàcfi piÎKae au «ieout ds ia guerre, *is-à-yis de l'Etat français et la vilfc ée l'arif, a r*ça à présent SKiàtatlifta. L'Etat inior-n-jdia à «isoa de iSê p. e. et la vSJe à xtiaua 4-. 20 p. e., à litre d'kidutimité. Il ne s'agit que des ma-g&siss de vivras ftasça-s. Cuœœtxftsiics sisédfîis sir 4a iKiî/i-rémMise aêio^jsû. StocàdîotaL, i£ jaav. — La réponse sngteiss à Sa not» attemesde aux aeœL-es csi psa eotatmacuée tfeas ia grtaas suédoise. Le «Kya Da^igt Â^oliaadB» fait remarquer caas un bref eoîruîi«&aake : La tectati^e d'affirmer qu iî n'y a pas de peuples opprimée m Russie parce que lotis £oet cortancn® avec 3a ftusofs, nous appsrak encore plus discutable dans la Noîd, que le r«ste de l'argurjentation. Croit-on que la Fialafice h-ns cause commuas avfcc îa Rassis? Qui4s doî'»«at être tas sentiments des mers-s polonaises qui sont ob'igéis 4ec«tab3î!re iatkps propres trèr«9, dans les' légions de v&Iostsi-rss, pfiâji" ls compte ds la Raseie? Q'jaat à la mise en action de la puissance protectrice vis-à-vis de te Grèce, ie tmxâs soder a enssoda oomnwnt ia Grèce a fait uo appel à Sa pU6 de la civiUsatien tmrt entière pour la sotiKi'anee qa'eSe eût à endar&r de sas protecteurs. iVoie C-onstEiitinoçle, 15 ian\ — La Porte a adaessé i^a!ein«î)t aux neutres «ne aote, dans ia^u^lie tes affirmations de ia noie de repense de i'Enteate sont ssfutéea. L® ^oaverBeiaent nsymi i tto SaicEsqae. Les iuiiWsiliesis. Salcniqae, 1S janv. iriavas). — Le g^averne-meat aatiaaal a décidé d'impuser k toute parsosiae aoa incorporée uae conaismiiin spéciale. L-ts prtsuiersjs de «nsïaaiêaes. Gene/e, ltj janv. — Le. gouvernement luixûiStSL, iixti n avait pas pablié de ilstes as pertes aepius "f ; oéèut ce la gaerre, s't.5! «eciac, « après un radie-gramme de jassy, à aaattaoer que a après .as lua-selgîitmfcats rtyas, Zyu.feiKj iiOFianes ont eié t«és ou bisesés et que It30,w98 tonustes ont été laits» pti-sonaKïs. L'armée ronxtîaïae est entrée en can^j-gne avec OUO,<»Uu hommes. L'œuvre *h> a«Bb'uciioa en liouuiaiiie. La Haye, 13 janv. — Le cGrrespoa&ant spécial-du « Daily Mail » aorme fièrement une description as la Cbstrutiiuin sysji'iman^iia g^aaos gisemesas pétroiiléres roiaaaias, ce qae ce nombreux pioprié-tairs-s nsaDes a 'aj.prtai.retiî pas avec plaisir. Ls correspondant (HamiîtSa î'ytp) tiic fficaie trac l'œuvre de desirnctiaD s est passée de xei^e faç-.i qu ii est impossible de s en faire une idée ; mais ia dfcstrocîian «.'tait nécessaîia atiiadn qaon devait se défendre par des moyens barbates cenrt des moyens ibaroaies eî >j«e ce ssian un crime fc laisser I»s gisements pécoiiie|;s isuu^a. L atiaire asvmt très urgente loiisqne le lot des eiuisinis ea- vaiiit la Roiunanii et avjut isalaye l'année jou aine. La desti uciicn a donc été ■exteuiée v^gaureiisemea*. Heureusement l'Angleterre y avait envoyé nn iom-ma energique pour diriger cette œuvre ce œe»ruc-tion.C'est le colonel .Ncriaon Griifitlt qui a non ser-le- i muât surprts les Roumams par sa métuoee cnejèi- çue., niais également iea Aa<sricaffla. i_jn tratear, qui a va comment GriaBSi fcja,_._l.-!îaa mi lourd marteau et l'abattit ensuite nus lea masïaiiie&, a tiéclaré que ie coieuei semotait pifeaa e pouihi à cette oastriuctioa. i\i la Jatigae ni le danger ne rtfte- : naïauî cet itc-iiune. Loiaque ie pécrojfi u.e voujtit pas brûier «ans lse récipiectâ, ii jsra une botte de paids, 1 alluma, ta jcta.dans le zetteuxu • - — pt.i..es a »e sauvai mi-tnciaie. Sas aiiiSa som digasà ' de leur citai. L'.œuvre ue dest^-uctton -dsait a autant plus désagréable pour eux qu iîs avaient aotobone à la CL'asa'uctioîi des msjaJtaijons. ÎNeanmoins, fis ont accompj cette œuvre de desuuciioa avec uae rage sans égale. En peu de jours on a détruit o*s iusiaiiaiions valant des miiiMQs ae livres s enlng. Le peuoie fut brillé, ies sources aouciiés-s, les machinas déiruitaa, tes raifinanas mises uors d'axitoita- : tien. Uae fumée épaisse couvre je pays entier. L 'fflKCï*i raina «btiaaaesâK. Berlin, 16 jar.v. — On annojjœ m La Haye au «fiaijâàtx L'.Xaî Anzet^vn» : Cotoaie ie «Times» lappîean de Jaroato, in aécistin; aaaa:a<so hue*»ae a céeiair» tins un oiscutir.a, t;u ii us pietaŒàw pat is sarvice senorai ob^gai.£*re, comme «ai i a cru jus-qa ici. Le but du Caassa, esp-tas aa teLûemue. a a jouais été de pratagaï et de uassn_ie ia^ejaasa uttro-paaie et las Canadiens ne «omoatseat p«6 inaiatouffiat pour i'Angmerne, mxjs p>ur la causre ! générale d« ta liberté humains. La poâUftts «a«Mou *te> Lyon, ifi jaav. — Les jouroaui: appaen- oeot ds Mi,.u"d que 1 au..ieii pjuskisai uu Oujaeil, M. Lato, a dit dans un disStouas potoomé à i oeaa-sitat a un kaaquet organisé par la pani eoaeee valeur, que la paûtiqnô cxtéiiiure de i'&ssaigas deit 1 eoaùuuer à s inagrirer ue ia jsuj> scicts &c.uu&A». Grâce à cette poiitiqta, ie Roi a réussi à MtuuMSH oaasiêéiafitemeia s.j prseegs ttt*s tous ifcs pajS. Au iaomant vefilu, l'£sç«gca dispuafea a use auix>-tàsé suffisante p^ur yue sa veut soit eatcadue. ttrmâan d'ui&t- iw>uvt^« Ueat|j^ m'iusaJe OîlCSLiaBOO. i Constantinople, 18 jaav. — Un îrade impériat a approuve les statuis ûs ;a Banque dts Crédit natio-nals ottomans, ainsi que la nomAiatean de lan^issi tniuaiaor es la Banque InÀnatitma» eu BruxeSse, IA. Victor Wcu, eosums ®rect»ta- ^àiàral. XL L/'je-vid Bey devient prusiasut du ctins&d a ackiMnisaa-Hon de la nouvsiie baaqua, qui ouvrira prodiafce-ment ses guiciiets à Stamboul. Wlfiaf tte ia greva i#*i t»=ij2S de tmutftioits «n Franoe. Paris, 16 jan-v. — Le «Marin» assure qt'.s 1 on n'est pas eacora parvatiu » trouva» xme s-oiutîon à la giève de» ouvriers usa fabriques de munitions, dont on avait attendu la fin avec impat ;.aee ces jours derniers. Les emptoï*enrs akisi q a ies ouvriers ont soumis au ministre c*s nusaitions des ba-ismes de salaires si dissemblables, qt® ies doux psntes déclarent te proposition ée i'auv.rsane œ-acceptable.lîftiiart du tiiiais*i'» â'A^irîebe à BSrne. Berne, 16 lanv. — Ls baron Ton Gag. , qui a été penoant ces sept fermâtes anao«s miaisare d'Autricba auprès da gouvernsanam fédéral, vîs&i ; Us giendre sa resrafte. On croit qu'il s-a.-a rem^issé par un fenc:icitriaire dit tiépanemeat dss aîTaîres , étrangères à Vienne, M. von Mssulin. Poar ia fSeotur* sttîy» &.• ta &tt&X&à$n8 de Louvstîn. On mande de Genève qvse i'adciâHstr^fca de 3a bibliothèque is Rayiand {£ta«s-Unte} a îaft iki «SiOtx de 8000 voî»mes qu'elle- mettra à îa disposition ds la Besgique, en vue de la reconstitution de 'ia bfrlie-ikïqos da l'Université de Louvaàa. Las iaponais «n JtetKk'&oiiïîfB. Stockhoim, 16 jaitv. — On mande de Pékin que îes négociations qui ont eu li®u dans îa capitale elti-Roiss rsiativement aux încMetits de Ictieng Tsia-T«v'jn, est ttbouti à une eonvantion en vertu ds la-Que&e la Cîline s'engage à condanmej- les coupables a gayci «ss îÈuai£iS®s»3alé<êîs et à fr-ssaesar des excuses. La (îsaïaad® fesnsuiég par le Japon d'asitorlsef l'établissement de eojjsesïïers mMairss et ds poiiciajs japonais dans les localités de ia Al.:-.dofcor;rie méridionale, occupées par les japonais, fera l'objet de neg.jciaîions spéciales entre le gouvenienîeat japonais et les actcjâtés iecales chinoises. l^t jjiseEïe irtttjîîiuie. Madrid, 14 janv. — D'après nne information Renier, fiiS pèclteuïs ont trouvé un bateau abandonné en pleine mer qui appartenait an vapeur hollandais «isensnae». On «on que les personnes ont été re-cuelhies à bord d eu autre vapeur. Londres, 18 janv. — Le Lloyd annonce que le vapeur postai américain «Minnesota» a sombré à ia suite d'une collision dans le port. Copenhague, IS janv. — Le aBerliugske Tidea-de» écrit : Hier, 20 matelots allemands, appartenant a l'«quipagé an craisnii' auxjsiaue aliimansl «Ber-iin», interne a iiergon, sont paires a Copenhague, laisttnt route vers 1 Allemagne. Par suite de 1 as-ctad lruervenu eaue les gouvernements ailemtsd et aiurv-iigiea, i équipage du croiseur «uxiâaire aâe-uaïua, iwr iOe 4®u nommes, a reçu un congé a un mois à passer ea Allemagne, par détaeiîenienîs de «20 Hommes. DEPECHES {E-efucamles de i etuuon. i-rtxxueaie.) Lit sitsuliun en tirec^. Londres, 16 juuv. — liai-»us une informaiion d a i ajj«.iict! Keuicj, ou amiouïc ua-sa ies milieux £i~tdS toutài&lS, que jes Ve.di£eue;es OC-cups tire, iie c.. Aï^un u'euvoyvr ia au gou^ejxts^iûvui a i aftgihiafiôit aa iiiurem^ re pre~ Sîttisii uu oujiseu a eu pnuttar^csi cauvitÊtis i-.ïs t ji.ua ur uaaea Jia»iaai-l, en vue u ' .-ïCiiii" i ou- lit ituuijiau sas ies cujjiiu^s L.e i uiama-irtiii, iiu sujet uce.jueîlfcs ie gousaiuemeat grec a rfiiU dSS jTEsseXVaS. iieiiui, io janvier. — Cn mauu.e de Bduaptst à 1 «evi-aûcsuâjiatî» : lcius une aouv^ue finie que m *jmai up*6-Xiuttaic Auteasem » m yiesé, ou cia£MaJ»aui-s «tuerzeuis et ton, proaiw. De rue-mt que ai prcmfcie, ia asuveite note aura ie caractere a mi liknuatum. Lui>^i«.s, to janvier, — Le « L>auy Carcsiei» » mu. -a ee l'iie u fcuoei que ie oumsigent de troupes giouinôs dans i ne a tMXsi, a a&M«t pas ete «tes». aue, niais au contraire reionx/s. soites c^a-unueat a paoseï *e pont vers i iie pies ae Csalciai-^ue, -on j;:oKnà çue ces teoupes s-....i«iî des per-iiiibsi-jni.auvs, ass ee qui est euiu.^5, c est que ci a avujs* ut i»,;;»'.»® ;e p-.a çk a nuit et qu'ei-esb tiaiiîrpeTtaat «gaismsaa des canons ; en outre 3 à %■&&> tusiis e, anc quaiHa» ae tarais et ae nn.ui-rw«ib «u;si-xû été envoyes vers lits ; c est ie îamecx feuiswai t; iras, qns ct.maiai.de eu CtaicsUiq-ue, aux et tes auquel se cm, , rai ces officters ioywiKss ai-rues «êpuie pou, i© g-nfeai serait décide à psur-suivre i eriïstatien ûe uornoiCuX vu.iseftswe. A picsent il de ieuis postes tous tes empœyés vénizSitères «i lear intime l'ordre de se faire inscrire en ChaicsciitTue. iai iioUi de Vi usuu. Bénie, IS jauvier. — Le j„iu_al jépafelicâîi « ftegî^usrstc ae Lyon a eeilane reaais eaasat a ia note ae ièponso strsi aù»iss a ^fcson : La nota esi uifi»EiiLtu. re sur qaeiques poaiis: Si oa ae doit pu-ta« ttii. atome, «a sujet con-iiioias qaaa u»-aieiu fies îiegudiiiiv'ias, tai tien* pteuare soîu que ia àipùaaaae u ajjitsa pas tiap «*ia»îreïû«aî svee les tirai», son ai» txm -.si atm soumit. Ls paix de 1 Europe ea « déjà trop soisfc'-it. La qmeaatea 4e i eapiustoa ds?» Tares de i'auwpe doit être «uom-nse. a iuûj. au tstmeri propace. La crsiarsé® ifcra des Uargaas lies «t au tscsp6o«e est une çuasu^a \d-îaie pua ia iftsafe. îims s ii «ioi aéeeeaalre - cet en.t ae u.aer Cgg à ia knjs-.o, cassmc posséîaii n. en ea ga, aaae ees droits «e «eus les voi-sa.s a ta. tsar «si iimimitajgi* cass aes oenoiaoïa» •qidvaiMQtss, la azi&, tua. ivutsuswhbî, n «a dit rka. Au point ée aas maitarre ou &t»t cactaio»-mtat p.'CiJre ces mesures ae ps-tcauriau; mais si aanisre i exjart-sïioa « Canveatfca fc»«at;i,na.3 » se cacùrnt ass bitentions aaaœUocaissefe, aous ae votiisas pes ea sn^adie parier. Le <*eput® Reaaa-daâ deiit ànu I' « Meaaa-ar.é » : L'Emeut» serait au pî'iCiser et qu'elle eiueud par compsasakm ter-rîioiaales et rastiattica 4e jauuacas et ae «eiTÎtoi-res arrsciiés anîirtiais aux a.liés. On aaraû d« aom-mar 1 'Ateace-Lwessac et tira ^uea ne caeiiali pas des latMStfcuas «tiacidnanifeMs dans tes «kpvsdoas iiapréersœs. Oa asiisit aiaas thiîé ^a'E ce fût parié du retovu de la rrsaae à U rive gauche du Rhin, comme c'est îs cas asaitttsaant. Il s'arplique eus les Ruissasioas Ceattafes 0««s;dèreaî les conàiîioss des Alliés «omai-e eetagÈrées. L'efsaa« parisien des c«rps ds Tatifers « La Bs. taîlle » écrit : L'Eateme aurait d'abord dâ se renseigner au sujet de ia question de savoir quolles étaient tes fcsa4s»H# précises éss Puissances C«o-atiiss. Si cf t'-fc -c.i s'ëtait-ra meaib'éss irréé-ucttoles, l'Estmie atuai: alors pu avec raison centintier ia guerre. Les .titeulîi'cs m- se te&sseat pas itfui'rer. Amsterëam, 13 }aavisr. — Ls o Nreuvre van den Vas " écrit : Les Alliés n'ont pamais pu îsâre comprendre plus dîsônctement que cette fols-sî, qu ils ne vsuie:-; t pas eiïteîidFe paster de paix. L'Eutsnte veut bien appliquer le prteelpe des r.stîssaSiés aux pai^s des Puissances Cenbales, mais pas à sss prepres pays.L'Entente a des intentions conquérantes.C'est un pian de camjtëgne très net, quand oa parie d3 l'espulsion des Turcs habitant l'Europe, et le priu-eipe des nationaMws e-xigfe ait ainsi %ti't>a Empiro ture e-Kiste en Surope; en second Hao ii » été déclaré si souvent oôïciefessent que la sefcateivtafton 4e i'Empire tara ea Europe stgntf?fcraft I'abs«dEn ds Constaiiltaopie et des UardaueJ.es à la Rusere, que l'absence de toute allusion à «e lait, ne Joue aucun rôle dans «eue note. Tout eoia est suffisanx-rnent évident pour qu on soit étonné de la naàveté d«s journaux anglais qui croisnt qu'on assiérai» ces belles paroles comme des douceurs «utts tes pays neutres. Ce sera, namrefiejtient, te cas chez les journaux américains qni suivent l'EnWase tmijeurs et partout. Mais pour nous, les véritables neutres et impartiaux, 1 afratre en est autrement et no as ief tisons de nous laisser leurrer et de croise à ces no. bles intcffltiaos, u;urad il ne s'agit vfcis&sîemenî que d'intérêts nanonaux égoïstes. Le « Handei&biand » écrit : La note exprime, un principe adniira.fcle, qui pourrait constituer une basa pour un» paix totura et durable: La réoiganisation de l'iiorope, teaséa sur le principe des iiancnaiités et du droit pour tous les peuples, petits et grarias, à la sécurité complète et le libre développemsot économique. Mais il est certain qu'une pareille paix ne pourra jamais se faire. Que veut dire 1 exigence de la note qui réclame la restitution des territoires qui ont été enlevés dans le temps par la violence aux alliés contra le vœu de leurs habitants? Que veut-on faire entendre par là aux Patesaaees Centrales ? Toutes ces exigences exprimées dans sa notes pourraient être approuvées, mais non pas dans ia forme que l'iint«ûte réclame. Ce que 1 Entente fait maintenant s'appelle»: Faire l'arbre iouteim et pilier les Puissances Ceanaies pour parler après du principe des cauomîitfis. Ce n'est pas ia forme pour craie!tue une paix sfesère, permanente ei amicale. Liw fos'in-aieiitture â âukjewps^ Paris, 14 janvier. — La commission oa ta uaam-bre pour les aftaires eiraiièts'ès a eB»o^é ■ trois ukiÊsribres de la Côasnhre à Saioaique qui ûeveoot faire une enqt;éié minutieuse au sujet de ia suua-1 non militaire c-î poétique. W> jidiltv Bernrr; jti.,. — yxjn^.-i). — un t» (Max», uns set te île trsivés ont été signés aa minisîèîe des affaires étrangères par les màwstws pfeaipsxmM' ibs de 5 fempâte ai»vr.and et te i£mffre e*«R;-aa. Ces iraisés ont pour but ds ragier s^fei.'ïîïwiseiit les relations de droit eiitre tes deux pays. Parmi ces traités ogtsreot : aa tiaité consudase, tu tiat» «m-cerîiîïit la protection du droit et Pasateianae juéif ciaire réciproque en matiere eiviie, un traité d'e«tra-ditlan, un traité d établissement ainsi qu'un tiaité oonceraaat le transfert téciptoqae aas hommes as-trs.ists su service militaire eu des éâ^rt«iaii». des aimêôs de terre et de aw. R teut y ajouaar cinq autres trairîs d'après leaqtwis ies désMotia éaa c-hr-cons-tanees jurtdiqaes menfeenaws es mssfôre da protfcCi.au sont c-vusiciei'ajiiEaent étendues, suivant les circonstances pariicuiierss ae la matière. Las traites remplaceront le syatsaa» «ft ds « capitulation » en vigueur jusqu'ici en Turquie, par des seessïsns modernes conforme au droit ees gens européen. Rîon d'an avïa1»wr îssinçais. I Berne, 10 janv. — L'aviateur miStaire franjals Sauvage, dont le nom était mentionné à pHtsterars reprises dans les communiquiis cîf^cisSs tranyaîs vient de succomber, victime uans un combat aérien sur la Somme. L«s inertes de l'aftïé» roauuainfi. D'apiLs tui îaâiogi anime u-e jfiiSy, is gouv^rne-mont roumain lait annoncer qw* des i00oo0d isiin-mes que eonij^t l'année rotanatoa à son «ttïés en gusa-ro, 20U,Uâ0 sont morts ou bisssés, temâs que 100,000 ont été faks prisonniers. Bu;** ste pawi euumse On apprend à La Haye, 15 janvier, que la conîâ-îencc annuelle du parti ouvris*- an^ate auia Iteu le 23 janvier à Aiancîiester. Le groi psmaîit «muitar o linmingiiam a i iutemien de pripotar te vesa d'une motion déatarant que l'adaesion êes ie$®éffien-taats ouvriers à un ministère cse eoaliîiQii, sasa et'> surmais cousiiérée comme une iniractton aux rà-gieinents des si'noicats. ÎLii i£a»ao irariiîSl'aijffl ciure i'tiruruay ei ie Psa^juay, L « Agenzia Aniericana », de transi, appsena qu'entre les républiques de l'Uruguay et d® Paraguay, fi a été conclu un traité à arbisraga, emsi qu'un traité de commerce, qui seront sagaés à l'ce-casion d'une prochaine reucocne des jntete-rss des atemes én-angeree des eeux pays. L'ageaee an-nonse, d'autre pan, que le Pariasasat a dé- eldé do prooéder à un rettaos-emect des tadtens et d'établir oas écoles agricoles et indusîricses pouf cette population. La vriirve ée SkitCtaigiota aux BUMa-îlsis. Le « Nftw-Yorli Tîniïa » jsppmii k .-i'UïS du journaliste irlandais Sits>ïiii.gton, tué toîs des trouisas d'Irlande, est arrivas à Kcw-Yssji, ave?, siu Ois âgé de 7 ans. EDe compte faire des sesiéresioea et écrire des articles sur la mort ée son mari. Elle a dit à un journaliste qwe les autoritCs ai-gtofecs lui avaient refusé un passe-perî, mais qu'elle était quand même parvenue à quitter Tltîaaée, gi-âae à un déguisaraent. Les fo«ctionnait es do Kdv-Ycrk auraient reçu l'eidre d'arr^ar Mme SksSingfeiî, mais ils ne l'ont pes reconnus. V&ls (î'un ®aws de gwa— auié--'Ee»iak Londres, 15 janvier. — D'après aa» départie da Callîeniie, le croiseur cuirasse « Mitwaukee », da la marine américaine, a sosiroré par suite du brouillard. L'aecident s'est produit au cours des tsu ^ives tslîfts pour mnâtti-e à flot le seus-starrs a. ; '--îcaki « H. 3 ». oui a touché fond il v a semaines.

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Cet article est une édition du titre Le bruxellois: journal quotidien indépendant appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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