Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1917, 20 Mars. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Accès à 03 juillet 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/862b854g1t/
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4me Aimée - N. 889 Ed. 1 CIHQ ïllfllll Mardi 2® Mars 1917 ABONNEMENT POSTAI, Éfl. g Bruxelles - Prov rnoe - Etanger 3 mois : Fr. 4.58. » MU, 3£0 Léo Unresaï poste m Bcfeiiii* et à l'Etranger o'ji o •'« qoe «tas afcoanemeMs î"Ri '''AES1T8H3LS: uean -ci preaes-'at tours its I Ja*V. 1 Avro. -I JVJUOT J Ocm On peuts'atooBji.-r iotiitrîojî.potirk* «eux derniers mois ou fntirre porcr le dernier «lois de chaque trimestre au prix de • 2 Mois 1 Mois F?.3.00-Mfc.2.4û M.59-M*.ia9 "TIRAGE ïîtO.OOO PAR J0Î3R Le Bruxellois Rédacteur en Chef : ïâE&iio Armand linrial ffiaitiSlsa lniipsiiiaiif a Rédaction, Administration, PoMkrté, Vente : j BRUXELLES, 45, RUE HENRI MAUS ANNONCES — La ligne Faits divers et Echos . fr. 5.00 Nécrologie 3.00 Annonces commerciales . LEO > financières... 3.00 PETITES ANNONCES La petite ligne . , ... 0-50 La grande ligne. ..... X£0 TIRAGE : IlO-OOO PAR JOUR DERNIERS COMMUNIQUÉS OFFICIELS wë&Ï m ^ m m m * ALLi-a*A«Da BERLIN, 13 mars, — Officiel de raidi : Théâtre de la ^*; îiie à l"Cî»ssi, Au cours de as derniers joins, une bande- de terrain entre la tfgiat A'Arrat et i'Aisne a éJé évacuai pat nous m&fiGdùji'.enient, Les mouvements struti-gjt/ues prtperés 'épais longtemps ont été exécutes fans être entraves par l'ennemi ne suivant qti u-vec hésitation; nos trou/-.s de sihéh ont caché, par un attitude circonspecte et énergique, l'abandon des positions et le déport des trompes. Dans la région cédée, les argamsatîcns de transport utiles à l'ennemi ont été détruites ; une partie de la population a tic laissée sur pince, pourvue d'une prévision de subsistances pour cinq jours, hier, près du littoral, au front d'Artois, cl sur les deux ripes de la Meuse, l'action a été vive. L'après-midi, des compagnies de régiments qui se sont sauves! distingués ont pris d'assaut, dans L partie sud est du bois de Maian-court et sur lu pente est de la côté 364-, plusieurs lignes de tranchées fiançai se s sur une largeur de 500 à 800 mètres, et on. ramené huit officiers, 485 soldais,ainsi que plusieurs mitrailleuses ei lance-mines. Des contre-attaques françaises entreprises ta nuit cm Me repoussé es. De même, à la penic sud de la hauteur-du Mort-Homme, une poussée de detadheménts ipcitaquc a ramené èluswnrs prisonniers. Sur la rive est de la Meuse a échoué, comme la veille, de bonne heure an malin, l'ttLiqac de plusieurs compagnies frt&çaises au r.nrd de la ferme clrs ChsmbrcUcs. Théâtre de la guerre à l'Est. Pas d'événements essem els. Front -en Maeédame: Les combats „n$re les lacs tfOchrdia et de Prespe et dans, h bassin de x ,r. stir oui été confinais hier. Dcr.s les iP'oi's des lacs et an nord-vnest de !-lo-nasîir, les Français oui été repousses. Au nord de' la ville, grice à l'intervention sans égards de leurs troupes, ils ont obtenu un gain de terrain min;-rie. A l'est du lac de JJmnm, riens avons occupe à nouveau kl sUiik-ti de Porcj, après avoir chassé les Anglais,. BERIJN, 18 mets. — Officiel : Un de nos hydro-avion f a jeté, dans l'après-midi du 17 mars, des bombes sur le port et l'usine à gaz de DonVrcs. Dans la 'iv.it du 17 au 18 mars, des parties de nos forces oc combat maritimes eut de non-ve..u pcnéîri dui.s -c i cmal Dounes-C ~>£is, et dans l'einvoucaure de le Tamise. Un destroyer cuti-où, riiui^. la çïweiiïame a < - . ■ aa coi rsà m cori s-à-corps par h' groupe assaillant ma. ricic-naij un second destroya a été gravement en-àemmagé. Le groupe assaillant venant dn nord a eac-anU près ùc ixcrlh-ïoveianà un vapeur de commerce d'environ 1,500 tonnes, par un covp de torpille et deux navires uraul-postes pur son jeu d; artillerie. H bombarda ens itc avec plein succès le pat fortifié ne Mcjgaîe à courte distance. P> s beiierics ennemies de i- rre ont riiosic sans succès. Nos forces de combat maritimes sont rentrées indemnes, au grand complet ci sans &■■ .y i-eréa m setd homme. tiEUMNt IS mars. —Cctiaaaniqu • iei d'hier Sl i r ; Dans la b~\tie de ierrem évacuée par nous vaion-taircmcnt entre Anus et Remis, il ny a eu qu'en quelques enaroits des contacts de nos troupes de sûi été ave fia cavaUne ci l infanieric env.e.rues.. D'-s deux e-c ■ i &e la Jlievsc par m crue ni. ■ tiiii-c ce< -4m iive animée. Au front à l'Est nen de particulierLes cc-mèats euue les nies a Ochi.da et de l'icspd et av kgju de Mmtstfr s>. sont tanimés et ne sont pas enewe terminés. Xsû gneïza trtxu-mmia*, HEKUN, 19 mars. — Officiel ; Encore une fois, nos sous-marins ont coulé dans le Pas-dc-CaL- s, ans i Ai; "tique ei dans la mer au Noid, au total 116,000 tonnes bretes ae jauge, hr 're autrea se trow jichI, à après les ncr.a'eites complètes reçues jusqu'à pi < sent, des sous marins, $aim les narras coûtés, le vapeur a me aaglais vi Conmaghi » (2,64ti tonnes), une allège i.ui a-iûiàe iiKoa-ae &e t ,200 ii-nnes; les veiters ai-& s i'.jiia 'a.. ilem^ xi. les ..'.a Ivi. i. anglais «iïeàc.\ ^ at -u D.lng'am», en ue-iie ue.^ vapeurs incfmnvs d'environ 5,</J0 et •S.o&d tonnes, te vapeur italien *Vttvcur» i&mcs}, mr-si qu'jm 3'gpcnr ù.ilii n im • nnu d m irm X ?«9 ton-neSg le ; ip*cur belge yHain.s^it«t le voilier russe -St-Thiodct», -an ^ •t.i rspe '- >ésavoir isccmnu d en-viion 6jm *,nr.es,, ei ut: coi go- boat inconnu d'environ 5,000 tonnes; le vep ttr espagnol uGrazia»(Jl~a tannesj, le -rapera grec dTiwasK^ Vcngctcs» -[2838 tyrcaes); les vapy.as , >r» t-g .ns «Siorms», gei », «Lars», ^'ersicncas -, <c i hede i ageï* et le voilier norvé„ieu «Hsnu a». u a» afcaseï» aei'ififiua# caeiis iiB^.ùïss HmUin. m'mais. — OjfU.ai s Dans la nuL s-u Jd au 17 neanwi sue escuire &c 4ari£CBfbi 's de la mmûfte a i.jioé «s oxers 1! vue iaqj. a qra a «vn une éeœi-heaac, mec succès, des étambes sa» iamdt c* et ies m ait s sim-c a ée l An-givterre, maigre me walenfc acfer.se par des (am-teurs <mg ée et ic feu des varions -> rtëi -nse. Ixs dirigeaW » rev. ; nsinoeïtmes, s&J I • L. 39 q:a, d'après me- mmeoie i'- nçaise, -a 'iê c rafa *i Gomgik&ts an no, d-e.4 de Paris, n tmi '• fem de 3,500 m., a. eint par le feu é 's cr- >r jiutuais eu défense. iie-us rccev. -us encore « ce sujet de eomcc valorisée k-s détails suivants ; Parles tiirig-ables, t»i a pu cemsloie, . a-t-.c> sous d'eux uaiieSe- '■ 1;\I ue Londres pus moins que 30 à ^0 réf ecti ers eoas i 'icM-raQe desquels ils ontt éU e^piesseneoi Imuttaidés à coups de grenades incendiaires, mais -"s .accès. Des aviateurs ennemis uni égale nteiit participé a L defense, sans icpemduU pom-otr fnpprocher des dirigeables. La Tamise a été iris bien recemue, 'de même que la ville de Londres, -quoi qu'elle cvt clé plongée dans t obscurité. Pendant le voyage de re tour, alors qu'une violente tempête s'H ~ildécharnée, les dirigeables ont été recherciiés sans succès par les fortifications de Ia Tamise ei isi que par les jotees de ce m'eut. 'ta ml-poste s m iillées avec de pi res. Vll'NJfE, iS mars ■' Théâtre de Sa guerre à l'Sst. Théâtre de la gaeïie tla sud-ouest: Rien à annoncer. Tiiéaue de la guerre italien. Sur la Costcbeila une contre-< c, c - .Isnchée '-par les Miens a échoué devant notre jeu dbarrage. PULGAFJES SOFIA, 18 mars. — Officiel du 17 mars : i'ront en Macéaome : Sur la rive cuest du lac de Prespa, il y a en toute , ia journée un vicient feu d'artillerie. Après un long jeu roulant de canons de tout calibre, les Français ont attaqué nés positions au nord de Bitolia. Us furent repousses avec des pertes sanglantes. Ce n'est qu'au sud du vil'age de Snogc-vo, qu'us réussirent à pénetrer dans nos tranchées les plus avancées. Sur le restant du froni, faible feu d ariiilerie. Dans la t'.aine de Set es, aes patrouilles anglaises se sont avancées en plusieurs endroits; elle s fur eut dispersées par le feu de nos aut-posies. ifrest eu iioascaniG : Le calme règne. FRANÇAIS PARIS, m mars. — Gjficicl u<, 3 h. p. m. : Entre A rre et Oise, nos iroup.es ont sérieusement progressé pendant ia nuit. Tout le terrain conduis entre nos anciennes lignes et la rouie de Raye à Noyon, depuis Damer y jusqu'à la hauteur de Las-signy, est en netre possession. Quelques engagements assez vifs avec des éléments d'arrière-gm ^cs ennemies se son1 terminés <i noli e avantage ci n 'c-sl Htùtemeat entravé la posrsmte qui continue au nord de la route de Noycn. Dans la rigion de Reins et au nord de Seichepiey (Oise), renconiies de pa-irouilles. Plusieurs tentatives d'attaque sur la tranchée ue Calc-nne ont coûté des pertes à t ennemi, sans aucun résultat pour im. Des prisonniers sont restés entre nos mains. Nuit came parient c-iUeurs. PARIS, 16 mmi. — Officiel de 11 h. p. m. : De i'Avrc à l'Oise, sur un front de plus de soixante kv mètres, ,a marche en avant de nos troup> s > a conunné au coins ue .u fournée. Au nord ac i .4-vre, notre cavalerie est entrée,ce ;natia, dans .Nés-le. Nous avons immédiatement lancé des patrouilles vers ia Somme ei livre plusieurs engagements aux détachements d'arrière garde ennemies qui ont faiblement résisté. Les habitants de Nesle ont acclamé nos trouves. Au nota-est dt Lessigay, nous avons réalisé éi l'heure actuelle, uns uvance de plus de vingt kilomètres es prwiciweur, dans la direction de Hum. Plus au sud, notre cavalerie et nos détachements légers, kmgeant la vallée de l'Oise, ont occnp> Noyon, ce matin vers dix h-.ures. Entre l'Oise et Soissons, toute la première Vigne ennemie ainsi que les viStiges de Çtvrlepori, Mcrsain, Nouvron, Vingré sont tombes en notre pouvoir. Nous avons piis pied sur le plateau eu nord de Soissons et occn-pé Crovy. Dans la région de Heims, nous avons aisément repoussé nn. coup de main vers la Pompclie. En Champagne, lutte â'artillerie assez vive dans les secteurs 4c ia BnUe-ûe-Mesni} et je Massige. Sur la rrve gauche de ia Meuse, l'eaneMî « violemment lombarde nc-s positions depuis se bois d*A'vocourt insqunu Mort Homme. Noire ariu'eric a éner^ique-meni répondu aux tirs d'artilîaîe adverses. Sur la rive droite, une ailcqne ennemie dirigée sur nos iranch< es de ta Chambrette s été- arrêtée net pur nos tirs de barrage. r A/il S, 17 mars. — Officiel de 3 h. p. ni, Au noid :ie ïAvre ei entre FAvre et < V:sc nos détachements continuent d'exercer une rigoureuse .pression sur l'etta* m. Ils oui pou;suivi au cours de L ni-ii iear marche m ava-r sur ne jrc-ut de plus ne 20 kilomètres. Nons avons fait pendant la nuit nne eetiiaine de prisonniers, An nord-mtest de Ber-ry-ju ttac, Vemene, après une vigoureuse can-.nna-d: annoncée dans mire eommmic.-ni d'hier, s alto-qv vos tige x. L'ai ,-pn a été brisée par mire feu. Quelques dj i-ichcmcrus e; remis, qe.i niaient réussis à pén- ira dans nn élément de tien hée, y ont été ! nm-'-dkt.naeei eejetée à ia baïonnette. A l'est le Renus, n-^s noceurs de grensies à main c-ru arrêté meiiement des tentatives <l\''aerae en ru nies unigées cenre nos pouls postes. Oms la ri g1-on à l'ocesi de Mmsums- ée-Chompcii^te nons ci ns ri aï > 6 des progrès séntnx K copfs . de grenades à main. Pendant la nuit mas avons .i-iu'i.ii t ■■ .:?> ci eaents de tranchée. La lutte d'artillerie a été très vive dans tout ee secfrn et rers Anverivc-. A i'esi ée la Meuse an combat animé a eu heu âiit et per.;!.mt ia niât dans ia 1/gtaa tle la ferme des Ckambrettes. Plusieurs tentatives d'-ai-iaqne ennemies contre vr.s de îr(Mcfoêes vnî éu à- fiaiti vemau reponssées après ptadettrs tmm-. ces et reculs, Vemani a s,M eu eoSft de ocs combats des pertes s» n-sibUs. A test de ia '-.case, à Cheppy dans le bois Le Prêtre, à Remenanvul:, ét l'ouest de Poni â-Moutso», en Alsace, ainsi qu'an Snàeiliopj plusieurs coups de main nous ont réussi. ■ Nous avons frit une quinuâne de pn'aimn-ers. PARIS, 1? mars. Vira. >J dry 11 h. p. m. -De part et d'autre de t'Aère nos détacher:- nts ont oorrlmué ê progresser au cours de la journée sur divers points du pont ennemi depuis ânâechy jusqu'au sud de Lassigny. îHoas avons fait des pri-. scarnL rs '.mire Soissons ei Reims. Action d'aiiiUcrie assxz violente- dans la région de E-crry-au Bue. En Champ.gire, nous avons exécuic nn coup de main sur nne tranchée ennemie à t'est de ia Butte de So-aain. i\'os tirs de desti action oni bouleversé les organisations ennemies du bois Le Pré Ire. Rien à signaler sur le reste du iront. & w M m Tmïïr m «ja 8s v- Evénements a-'ii'ieas. PARIS, 17 mais ; Ce m nitt, vers S h. JjZ le Z r, 'te 1. 39, qin a su' volé les environs de P.e's, éi une. attitude de 3,800 m., a été abattu aa-deSSis de Comptégne par le feu de nos canons de défense, et est tombé en flammes clans le parc de la ville. Aucun dégât n'a éic occasionné m par la cindu dirigeable ai par l'explosion des bombes. ïout l'équipage a péri. —• SUSSE., PETROGRAD, 16 mars : | Sur le front à l'ouest, r.ans lu environs de la ville de SiemsUm, l'ennemi a ataqné nos tîgncs e a occupé une partie de nos tranchées. Grâce à nos conire-aitaqnes et à l'entrée en ligne Ue nos renforts, il en a été rejeté et repoussé crans les tranchées d'où il était sorti. Pions avons reprussê des tentatives isolées faites par d importants détachement, ennemis de reconnaissance pour approcher, svr divers points dn froni dJ nos lignes. Sur le iront en jRtstunsjue, canonnades réciproque s. ITALIEH ROME, 17 mars. — Officiel ; Dans w ivMtc de l'Acuge, i'activiiè de l'artillerie a tic plus v: c te 16 mais. L artillerie Uni terne a bomoardé lu station de Gadline ci les cantonnements aux enviions ne la vallée de Laganna. Les italiens ont refoulé les troajês aistrtch'-vuies ei leur oni fait quelques prisonniers^ au cours ce peins corn, as près lie Serra Vailo < allée de LagarinaJ, sur tes versants du Monte Sief ( au de ta. Je Uoracveiejjiuns Les environs se ttessa trnss-rai Ce Patiebana F elle) et sur ia hauteur 126 (à L àsiire »• plentrionde du Karst). AftGLhis» LONDRES, 17 mais : iSapaume a rte pus upiés vu dur combat avec des ariiere-garae ai, manies. Au sud de ta somme j nous avons occupe ces pos.iu.ns ennemies sur un \ poni "d'environ iô mules* .' eus avens occupe les villages de picsnes, horgiifii e, Cetouucl, E-arleux, lï'.ierpigny et La Mau.-jnncuc.Ah soi '1 du fleuve nous avons occupé te Transies, La îs\cfi teUers, Achiet-Le-Petit, AbiamzcviUe, itwjj-' et assort, tiapacme a été'piitie 4pste'matàijv,i.mcnt par i ennemi. Toutes tes iiuii.,oiis pi lues ei bûïimrijs put lies ont rte de-— ^ * bridés* A t.lie t, ,.u < n aian}! s'est J arU* ornent effectuée pendant le jour sur 'es eeepe rives de ia Somme. Pious maintenons la ferme ae <J.nesnoy, e. Pi'JO y aras au norit est d'hssari et nous avons atteint es instaurions de défense ù i ouest et au Tioia-ouest de Mouchy-aa-Bais. Mous avons exécuté ce matin des poussées heureuses à l'ai et au nord-est d' An as. Le, ligne ae soaticn de (ennemi a <ié atteinte et un certain nombre de prisonniers ramené ainsi que deux mitrailleuses. Au nord est de Vcr-mclies ns détachement a~t&jiie ennemi a été dis-p< rsi dans la nuit. .n i i. Dernières Pepêcfaes La Crise iHinisteneMe en trmee Paris, 18 mais. (Hafss./ — M. ffeinearé u reçu eu audience 1-e n ' -in, Miu. ÙrsSi>m>ei -dt Dalwst, •eostute IL B pvar ù :/_frer sc\ sc;et «e ia crise œi«sté»ejle. Ai. ûescaatel m âésiîsê i'oirc de instituer le c«-.:ueî, parce q« û cens ère 4s scio devoir se rester au poste aï cor dé par le. reprs.-- . i. tants de la naTiou. Ensuite M; Poineaiv a cïïeit à ÏA. Rifeol de ccc.-Jiuer un cahieet de J'uaiui patrie-tique. M. Ribot a 6i.r< re sa repense jusqu'après consultation de piui:-u!ô membres Psrie.v.uu. Genève, 18 énws. — Au --.c)e\ ùc ia nouvelle, que. PL Ribot, sel on ie résu.lai de sïs démarelics «ùprès dss membres du l'aUemeaf, serait.disposé à consti-'tuer un esbinet national, .l'Agence ilavfcâ annonce cciapjémentaîrMaent «ue M. iSibot a eu d»s entretiens avec MM. DiObcat, Dssc&adièi et ârîaail. «u> suiaravaut a.afc-.u -été reçus pai- M. ï-'ejneari. l>ey-..'s que les eon.-...aencfs de ia gu re sous-marine allemande sans learjciTon se fast seniir âe plus en plus da is les pays de l'iiaisnte, k Chasabn française esf .devenue de plia enpiu.;. s^iwîe et 3a si-.'aJoa de Bri.. ;d est gravîîaent saesacec. Il y a Q&î'qiaeâ joiu s,lia homme qvéort a'avsit "V-p£ié an ca-binet que depuis peu de temps, parce jja\a croyait que a .'atue a .?îi beadto d'uae snsis forte, s'est retiré; mainîvub ,t *-ut le cafcàict, Bîmed en îêts, s remis «as pouv-rs au fté^àeat. Ce'ià qtti aîcte les ciiiSres. aura r« consister que c'est te fi3e cafesse-i-tpti se retire depuis la 3e ifcap&Kijoe.rc'est un <3ùî-Ire très élevé pour ce Japs de temps de 43 ans. Le cabxet Briatsd a été au pouvoir dep-uls !i fin d'oeso-bre 1915 et il arriva au pouvoir parce que ta Frsnac ciait «tûcaateate de la p-jUtiçue du cabîtiat Vivian! et ûummiak un ci.aageandît de système qid ae signifiât ai re cliose que la victoire s» les Puirt-unces Centrales. Mais qu'est-il arrivé depuis ta lia d'octcla-e ISiS? Rien qui puisse Jusdfisr' d'ici Jcritcnips les espiâis, de la France sur «ne parûiie t ictolre. A «eue époque, Consiantiaople était aecœe met oeî passible, ia Rirtunsnie . '.ait eusore un îk» nuansa» dans le jeu de loterie de l'Entente, et i'&tieusive ce it>l-6 devait aineoer ia décisjon. Sous saveos cousuesri tons ces esprfrs sont tombés h l'eau, Aujourdiiiii, «es Alliés n'ont plus qu'un esjfflir assez iaspcjrusst : l'Amérique; mai» ils savent très Wsn qce i'Atlauti-qne entre i'A'Jemngr.e et l'Âasérique est Je ni-ilk-ur obstacle et ils sentent aussi qu'un secours pareil pourrait arriver trop tard, en raison de la guerre sous-mariae sans restriction» contre ia.. ,oi.^ v.s pouc-i.aient obtenu un appui plus ou inoins frane en Asie-, tique. Oa veut ia lumière à- la ChajBhrc îj ^nçaise; on soupçoune qu'on en est arrivé au point où les promesses seules ne servent à rien et qu'il iaut des actes.Briard a dit que h situation décelait une atmosphère empoisonnée, qui s'eet dévoilée à l'occasion de k diecussion du ravitaillement -de la Fmtce. Ceia veut due qu'en n'avait plus confiance en France dans le gouvernement de JBriand, plus ecnliatice dans son progiamme de la victoire, avec lequel il s'est présenté à la dumbre icasqu'il fut appelé à sauver ia ixtiitkjue française de h décadence dans laquelle son prédécesseur Vivi?ni l'avait précipitée. Un article de l'« Œuvre a, du 13 mars, pronve eosablea on se méfiait de Britad : « îl a "est pas douteux que la Réplique soud-re d'un ulcère ce cerveau. S'il n'est pas vidé, nous allons à x abîme. Nous ce sav :K»s aujouîd'btii ccmmeat la dise sera résolue. Nous s?vons totstelois bien que i© succeseear de Briand ne pourra faire que des promesses au syjt-t o;s so»s-îna:ins allemands. S'-en contentera t on? Peut-être ua irisant, mais pins 1a situation devieadra-t elle dilticiie ta France, des sui--4ea de ia guerre sous jnarme allemande, dauteat plus rapidement et plus ïorsaetkiseat la Ctsambs e reocaa-mtera-t-eiîe ses piamtes; elte se kû-sse plus rarement asuadouer par des promesses, dont ie vide est trop évi-: - nt pour tors les membres de la Oiarabre. Et il sera donc indiSérenj <;ui sera ibemms qui sera a la tête du cabinet. Oa ne se trompeia r ae si on considère ia chute de H: iond comme un prélude d ua erépasénie ea France et dans toute l'Entente; *■ on ne doit dette pas lui attrirmer £raaœ laspattaace. Beriin, 19 mars. — On annonce de Lugaîîo an < iîcrliatr Lokûl-Ai^ciger » ; Le « Corriere délia Sera » apprend de Paris, que les ministres français ont mis ieurs portekuiiles à ia m-^poi-iîkai du miais-trerprtssdeat. Brjand travaille déjà à ia recoastita-tioa du nc v - eru cabinet. A ia Chaai-orc irançaise, Paris, ië mars. — Les députés ae fris, Bokaoowe-ik, £yase et Violettes, tons paxtfeaas de i'eppoauoa, cru dtposé à 'a Chambre une lâwlatica o'ajsrès ia-quciie aucjin membre de la Càsmtee «e i<o«rrait ï. encre part à une - Section avant que soa congé ne ccit expiré et que sa p ét-eace n ;-.it été cctisîatée persoeneikaient par le préâ.enî de ia ChambreJLa rr.îure est destin*, e à eiapèciser des er.tnpJcadcas çjqri in?, il ■»'<■« E-. T ■'-'■>■ w* décrit r v: .... La Révolution e»i Ryssîe Vienne, 19 stars.— i-a «< Ncue Wk«er Tsgefelatt » annonce de Christiania : A Ostrowo et à Pétrc-grad, les socialisées ont formé an deuxième gouvernement indépendant. Stockholm, 18 mars. — D'arris les demîères aou-ve'nes parvenues ici, ;a révciuliotî russe entre de pins en plus dans H-s voies anarcfeisto-socia-listes et commence à proj -ger laj^publique. Ce n est pins la ton:inuatkm ae ia guerre qu'on envisage comme but visé, mais la démocratisation -de la Russie, ce qui ressort de .a proclsm«:ion solcnne-ile révolntionnaire de ce j-onr et encore cuivaiitage ou démenti de Milju-irofr, doitès lequel celui-ci a dû rétracter sa première déciaration officielle comme ministre des Affaires étrangères. Le cwreîî-ondsnt à Hsparanda du « Berlingsîte Ti-d'.nde » ejprend de scurroe eérieuse, qtte lorsqrte le jeudi IS mars. Ut grande révolte tirait écfaé à Pé-trograd, ia police s'était barrîcad e dans îe bureau Se police central, d'où elle tirait sur la foule au mt.j ..n de mîtisilieuses. Les ré vol u ticmirires prirent le bâtltsefl* d'assaut «t l'ont nivelé complètement. Aucun policier n'a -échap.>S au csrnage. Rome, 39 mars. — Le « Co;rlrre délia Sera » apprend de Pctrograd, que M. M^Jukofi a déclaré, dans son discours-pr-cgramme, q«e la question dynastique reste réservée à la prochaine Assemblés consignante.Stockholm, 19 mars. — D'après des nouvelles arrivées de la frontière finlandaise, la révolttrion a également éclaté dans les gowvenjemems asiatiques de la R-jsï.'î, en les garnisons se sont ralliées ans révDhîSoGnsires. Berne, 18 mars. — Les Jouraatis parisiens nnnon-ct-nt : Les conférences entre le Comité exécutif de la Douma et les députes des unions ouvrières de Russie, <mt duré jusque hier matin. Finalement nn accord a été conclu concernant la p' iode de transition qui précédera l'élection de l'Assemblée constituante. Le Comité exécutif insiste sur le réttfcîîssc-ntsnt de Tordre public,avant que les nouvelles élections aient lieu, dans l'intérêt de la continuation de la guerre. D'api es des mformafions de la presse pa-risâûaae, 70 wagons de chemin de fer chargés^de farine et de oétrésles sont arrivés àSt-Péteaa>ourg. Berlin, 19 mars. — On mande de Zurich au « Ber-finer Lokal-Aczeiger » : D'après ttn télégramme de Berne à la « N'-nvtîie Gazette de Zt rieh », Niet^-as KicolaîewrA a accepté le .cc-mmsndemeist civil ci cvHtUire de la part :'u Tsar abdiqv .nt. Le sort de Etunner. Genève, 17 mars. — De 3a « Gazette Populahe d-.; Colu^ic » : Conttaire.meal à d'autres bruits, le cor respasidant du « Temps » » St-Pctei'sJjwtrg auuoacs que l'ancien président de Conseil ne se trouve pat prisonnier au parais Ue TatBi'-e, mai-- qa'il serai: décédé d'une aîfcque d'apo-;!-. ie, causée par l* ftaycui- au moment de son aneôtafei. tPeni-êtr; est-ce des coups reçus qu'il est mi rt.) Dans la iatnilie du Tsar. Genève., 19 mars. — Des n-. elles de Paris -con tiennent quelques détaSs «iatiis à i'afodica^oa di Tsar; elles disent eatre autres _• Le Ts&ar était, ni oie stdte n l'émotion des derniers jours, c&œplète ment ab:.:tî! H a été pris d'une grave crise de uert: ecoompegnée ae crises de laa-mes, an eoore desqaei les it- ïsar a pris a résoiittion de leacneer au i m vernement. Au sujet des désaccords qui régnent dans la ta s -£3 SSSàga tâtm W&r mille du Tsar, te < Temps.) veut savoir que .'a tension continue it exister entre le grand-doc Nxciai-Nikoîajewîîsch ei le grand-duc Cyrille, quoique tous les detu aient reconnu avec grand enthoasiastne le nouveau gouvernement. La Haye, 13 mare. — L'Associated Press aunon-ee de Pétrograd ; Lorsque la "i ^ariae a été mise su ct tirant de l'abdication du Tsar, elle a fait nne tentative de suicide, qui a toutefois échoué. Des Coatre-Eévohilîoïis Stockholm, 19 mars. — Les nouvelles dignes de fol parviennent ici de la province russe au sujet d'un contre-mouvement naissant. Dans ies gouvernements de Kttrsk, de Poltawa et d'Orel, le® paysans ont suspendu dans beaucoup de vil«ges ies préparatifs commenças des travaux des citamps pour la réeo!tç prccliaine. La population nés ctaiipegnes parcourt ies villages en chantant 1 hymne nnp siai et en acclamant le nom du Tsar Nicolas. Les gouverneurs de K&higa, de Peia-wa et de Bessarabie ont <iêjH décidé qn ils ce se soumettiost pas au nouveau gouvernement. Le gouverneur u Arcbaa-gel compte prendre la même attitude. Des nouvelles extremem&nî alarmantes sont parvenues à Petrograd dit Turkestan. Le gouverneur générai de cette province, Kouropstkin, n'a pss reconnu en s;n nom ni an nom des troupes ni de iepcpuiatîaa le nouveau gouvernement. Les commandants des villes d'Odes-sa et de Ros-tow, qui senbtent persocr,. .ilement sympsutiser avec le nottveaa gouvernement, ont t&égrap-nié à Petro-graa qaun mouvement répubncain ooœmcnce à prendre nne tournure menaçante. Le roitugal vena ses colonies. Berlin, 59 mari. — Ou annonce de La tàsye au « Berliner Tageoist » : Un journal paraissant à Opûrto annonce que le Portugal a vendu su Japon sa colonie de Macao, en Chine méridL na!e. £=a qnestioa du raviraij.aïiieat de m Belgique. New-Vork, 18 mars, — Un annonce ue ton à ï'« Ass-oentî&d PreK, » : il est p-rcbaaJe que l'abandon prochain de la participation de 1 Amérique, au Comité de secours beige, est prévn au département de l'Etat, à la suite de ia pression de la guerre sous-marine allemande. Des jowrr-aax de New-York annoncent que ies efforts pour sauver ia Be gique, nsrâlyséa entretemps, seront cent •i«c par iM ,-,m «m iicaîns de New-York. B a été publicaujeurd "nui que dans le cas en les Etats-Unis interaendrajçnt nans la guerre, l'œuvre de secours sera continuée pai les représentants hollandais et espagnols. Le département de l'Etat a déclaré que J epîmoa au sujet de l'avenir du Comité de seccmrs belge n'est pas -envisagé comme si l'œuvre de secours beige aevait cos-sagecom-ma si l'œuvre de secours beige devait cesser d'exister. On espère que les souscriptions ne cesseront pa-s en Amérique. La Commission réclamera encore à l'avenir Vaide du public. Le eosiûit gsimano-amen;cain et ies seavelles tendandsnses. New-ïcsrk, 11 mars. (Rai oui -0c. "S'.-iS.) — jus-qu'ici, tou'es les mesures prises p«r le gouvernement américain depuis la rupture des relations dipioma. tiques avec l'Allemagne sont en coneordacee avec les préparatifs usuels en pareil cas. On fera bien de se représenter ce t ut, en présence de la fausse expii-'cali-a donnée pair les nouvelles inqnâétsafcs par.e-mies à Berlin par la voie de Londres; et qui sont de nature à exposer sons un taux jour ies désistcaes du gonvernemenî américain. Aucune datas:tii: n'a été faite dans le but de provoquer l'Allemagne. An contraire, il a été déclaré à diverses reprises qte le geu-vernem^at aniericaia n'eaîreprettdralt lien qui put montéi les esprits contre l'Ail-ea»s®ae ea Amuiqite, On insiste sur le fait que le démenti officiel immédiat de l'information d'après laquelle le gouvernement projetterait la publication d'un livre baœc sur les intrigues et les attentats allemands, et que le démenti d'autres nouvelles inquiétantes prouve que toi': indique la plus grande réserve possible envers FAllemrgne. Une dépêche de Washington & la « New-York Tribune ■» déclare qn'û y a encore toujours "un groupe qui s'accroche à l'espoir qu'une neutralité année n'implique pas nécessairement nne guerre. Ce groupe, qui espère qu'on n'en arrivera pas à une guerre réelle, compte beaucoup sar l'attitude de lenteur du Président ia dédsisn dn ftési-dent d'armer les navires marchands peut être considérée comme la continuation Oogsqne de la politique énoncée ci-dessus. Le raid aérien sxrt Loodros. Londres, 17 mars. ÏReuîer.j — On enraadit. d'à-bord trois Zeppelins vers 10 h. 30 et deux autres une heure plus tari. Par suite du brouillard épafe, oa ne pot apercevoir les dirigeables, mais on etr-endalt distinctement 1e ronflement des m-ot-urs, et l'on put voir des flasataes dans les airs. Envirc-n douze bombes de calibre extraordinairemeat fort ont été je. . es. Les SSaias-Ujâs et la ïiexique. Washington, 17 mars. — D«ns sa réponse à la note mexicaine, laqueSe proposait de cesser les four-«itérés de sKtolSorts aux aTHés, le gottversassent américain a repeissé cette propisition qu'it qsaïifi® ■ de germanophile. La guerre sous-marine. ZcricSt, 16 mars. — Oa ap^terd peti à pea tpte la déclaration do guerre sons-marine renforcée a provoqué une panique diiecte .dans les ports français. Les «avares «ont rentrés dans leur port de départ d'une façon qui frise la fuhe, et lorsque ceci ne leur fut point possible, iis acco-kiein le premier port \\Ttu. Do» marchandises en partie déchargées se troitvLui encore a-tfourd 3aâ expos'es publiquement su ;. j qui s. ii e?.;9te tin pêie-mele, qui ne pourra i être mis en ordre que d'ici plusieurs mois. J' -,.;j J, if: mars. — On mande de Silbao à l'« Im-pfieli ». qt-v ie vapetn d.ocis « Yiv;»sa » (425 t.), charge de charbon pour l'Angleterre, a été torpillé à proximité Us Bordeaux, car un sous marin.

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Cet article est une édition du titre Le bruxellois: journal quotidien indépendant appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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