Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1918, 07 Janvrier. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Accès à 19 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/3j39021110/
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Le Rr uxel loi! TOURNAI/ QUOTIDIEN IND )?PENB A N 1U~~~ . . === ABONNEMENT Bruxelles - Province - Etrangei Le* abonnements sont reçus exclusivement par tous BUREAUX DE POSTES. "Les téclàmalioiis concernant les abonnements doi' ttfe ^dftissc'es exclusivement au bureau de poste qi àé'ivié l'abonnement. PRIX DES ABONNEMENTS ! 3 mois : 2 mois 1 mo: Fr 9.00 Fr. 6.00 Fr. 3. YïUAGE ■ 125,000 pas* jo Lunai 7 janvier i»i« ANNONCES Faits divers et Echos ... La ligne, fr. 8 00 Nécrologie «••••...,.300 Annonces commercialos . 2.00 Annonces financières . . . 2.C0 PETITES ANNONCES. . . La grande ligne. 2.00 Rédacteur en chef : Rprfè ARMAND Rédaction, Administration, Publicité, Vente î BRUXELLES, 33-35, rue de la Caserne L'AVENIR DU PACIFISME Vtf • » V ml h If (1 U H*a e> rtwaa ■ ET LES [ÉHsiliPiiiuMii .Là gt^Qrrs inonda'e a été un coup "terrible pour le pacifisme. Le rêve de la pais utiiver-selle, qui hantait tant do nobles nspri s, s'est évanoui comme iin mirage en présence die la désolante réalité. Sans dou.e, en Amér-que et cheta liie nations de- ''Eairope occidensale, la grande masse die l'opinion n'a pas éprouvé o sentiment do déeaption, parce que, dans ces pays, où esnvlsàgetes puxsances central s com. me les grandes coupable et qu'on y a, dès le prJic'py, inscrit en tête des buts de guerre l'a-aiéantlssement du « militarisme prussien», dont la dàpaxi.ion est considérée comme la condition «Btnbjeile die la pais universelle. Mus, éoriib dans l'exceili-imie « Revue dis Hongrie », un horfime d'E.at hongrois, pour nous, habitants de l'Europe CeLtHile, ce réquisitoire contre nos naiiom» est y roc'siKmicnt ce qui nous fait regarder avec p> us d© pecsfohiemé le naufrage de l'idée pa.iifisite, car houb ccn-nalsjoics la fausseté de l'Écousavion proférée contre les puiajano'B centrales... Aussi bien, pendant ia première année de gUé'rrê, ii a semble que la causa du pacifisme était irrémédl-btement perdue. Mais la proten. gac- on de La campagne a déterminé un revirement complet dan, les esprits. Plus nous allons et p us impérieux et passionné est !e désir dè pais qui tourmenta le cœur des hommes î l'idée d'une pais durable, garantie' contre îe«it rétour o-ffweif des .nefcnoîs belliqueux; cétite' dé® qui a paru Un moment in«rté, s'est réveillée «i elle est plus vivaoe que jamais; elle . «vi -deveinue un mot d'ordre qui trouve <ie semaine en semaine un échj grandissant cj qui commence à dran ner le fracas des armes. Devant te fiot montant de l'idée pa^if.ste rea-eoEdïëe, lés g1'ris de 1 Entente, y compris Rilsan, ont ieb-.i'.a néoes&ité de nicdïfiier i" ordre, dé leurs buté de" gtterro et ils'ont fa-t' a'Wa^Èr au pr~m er rang'i'etiibi.asem nt d'une pais durable, an donnant à ce point do l'éuif programme la préséance même sur les « restitutions, les garanties «t les répairajems » qu'Us préten-d.nt, exigear de nous. La îésetance-. de nés adversaires contre l'i-dé- de ta paoi ay.a-b fini par les p'acer dans une aoatiBv <ks puis embarrassées à la suite de l'offre de négoc iions fasto put tes pii s-sano e contrains. le 12 décembre 1916 et des ImanâfeBtatwiis ^021 cette démarche a été le pont de départ : résô ufcion dai B ich.stag alle^ tuantd en faveur- d'une paix de. ccnciiiat'on, dâ-elacaii-ais i'ernpçwsux-nii ,Ch»rJ£p. d'Ai^ri-ch| -iHongrlj; '«teitsa, déciarationu récentes du m-u^bre anarre-hongroia des Affaires étrange. ms, ©osn.e Csernijt. Nos adveirsa-ito se sont d'a.ffajre en di-»anit que toutes «ses avances étaient de ,1'liypo-erisie, éelon te mot.du porésid nt W'îéq'^ qu'il b'agis, ait d une « îilr.gue p o fi te » d s puis-aonoB oatofue». è>i qu'il était plus que jamais uéosàfapi <le poursiftvre « l'ecrasement du ml-litaj'Kiue pra in »; que c'éta t là 'a vraie yo^e qui mènerait à la paix et que la dispariJon do ee fiieau é ait la. ccadition indfepeiieabte de I l'h rmonie unmiBeî-è. Ce®t ainsi qiie l'Enkn-I te déguise &cs plans de conquête et ceux dî.ses I uompiles, plans qui eupp<x-ent k. destruction I deB Ët®s de l'Europe otfflibràle, eu leiux d©fl-I aant -e carte:ère d'une mesure de sécurité en I favÈtïr de la paix durab'e et qu'elle justifie I la oontimiation de la guerre. Admettons un rnst.;nt, à titre d'bypollièeo, la I poas-biliê d'une défaite décisive des puigsain-I 0-8 entarake et de îeuxa al.iés et aceommodons-I sMisis à l'a manière' d£ voir de l'Entende «t.,de I scia anii "Wife«n. Supposons nos adveisaii-es en-■' iraint en fcrktmpha't'.urs à B'arlin, à Vienne, à Budapest, à Sofia' et à Oonàantiaiople et de-ariandoii>none lei, îîwèlémflat, îe jour de effe évé-aement mémorable ii)sugurera.it l'âge d'or du miîiënaii'e, èaps de félii^të sans ratage pour l'hn-I roanité relevée des ruines de la- gueriC mondiale.Oe jour-là, le monde apprOndraiit qu'il a un ■ maître: le président des Ebats-Unis d'Amérique — noanmone-le Wilsoai ou autrement — le- ■ quel, eji qualité de représentant de la race an- ■ blo^asonne, exel'oerait aux l'univers une auto-I ri té discrétionnaire, sous îaquci le devraient Si plier non seulement l-fts vamcais, mais atleèi les I alliés d'-s Anglo-SaionB vi-c.ox.ieux. Ce jour-là, le président des Etats-Unis, p«r. ■ tant au; nom des empires anglo-saxon s, ainnon-I testât le fègne' de la pâix nnlv^rselle; mais là ■ Dix qui gérait dicté? au mqjidô' eei-a t formn: I iée de telle sorte qu'elle aasiifeiarb à jamais l'itégémenio anglo-saxonne. m Sesàit-bo là l'idéal d's vrais amie 'de' la paix, de «ce pacifistes qui on; 'toujours voulu et qui veule.it encore de la piàx poxu- elle-même? Ja-ma% ne iraient plus loin de leur but, plus Ifrln'de Paeeomp œs^-mïnt do leurs vœux et de lenixrs espérâneeg, que ce jour-là. Sans doute, la I guerre, en tant qùs"colatinuation de la 'politique pài' d'autres moyens, cesserait'; il n'y" aurait plus d'& diplomatie secrète ni de HéelarS-I t'on d'hostilités; "mais il y aurait uno nouvelle forme de guerre, et la ph-s tertiblp de toutes: H Bous reverrions ks guerres d'escJave». H La portion de l'human'té qui strait t ombée H bous le joug angloiaxon n'aurait plus d'autre moyen de recouvrer f-a libïrtfi que do recom-ntemeer la g«sbe de Spartaous. Et l'on peut H être certain que les .Aaglo-Saxons n'hésiteraient, pas, s'ils restaient vainqueurs <kns cette lut», à icflig-ar aux va-incus le même sort que les Romains ont ménagé aux compagiipaa de Spar- I tacus, qui furent mis ea croix «umoo cbâti- IStfnt de leur révolte... Niîus nt doutons pœ de la bonne foi rte «eu,x d'encre les fafe de la paix, noitamment dan3 les empires centraux, qui pr-nnoct au .sérieux Ses déclamations «nglodsaxiîBnes sur U démo- ■ tutti», i» Bberté <t iê dfo't d'1» peiaple» petto II I ou grands de régler eux-mêmes Uurs destinées Mais" à ces espri s cand d' e nous pouvons dir< ein toute assurance qu'i s out été victimes d'un< iliuaon : Wilsom et e-s comparses anglais ou rf| d puis longtemps jeté le masque et omt refust [JJ l'offre de paix ia plus manifestement sincère paie- que les puissances centrales n® veutam »i" pas se mettre à la merci de leurs advei'saii^'s. 'r- Wtlscn et 'es Anglais n'ont jamais été paoifis-;S,'C tej pour l'amour de la p Jx, et les sentiment; la pacifitites dont ils faisaient montre n'ébaiem et qu,' .e déguisement de leurs calculs de domi nation. oe Mais cela ne signifie pas encore l'effondrées ment dru pacifisme. Ce qui s'^st effondré, ee n- n'est point le vrai p'cii'isme; oe n'en es; qu'une 1® contrtfaçcii; ce n'ost que la fin d'une itniri-a- gue, d'une imposture conduite sous le masque at du pacifisme, Wiisou et ses complices parlent H- Loujoiura d'intpriguo paaiffe.e, L'homrae mauvais prête volontiers ses viccb aux autres. MaJfi le 1© véritable et Bioicère amour de la paix, le pair ciflsmc de bon aloi, atira son jour die triosn-ii- pjae; il prendra a place des faux semb'ants ce pacifistes, des appsr nceg hypooribes à la fa-lè veui' d& quelles ou réclame le désarmement de Q- osroa-na peuples, afin dé pouvo.ir les ocnir t&-u- &'rvîs, en restant' soi-même armé. Ce vrai et loyai oaeifisme, tel qu'il régnera le un jour, a été dévoilé à race regards par le mile nisitre auatro-hongrois dea Affaires éta'aingèrcs, a. comte CzRrnin. e. La réai.sa.ion d«B vues dm comte Czernin se. ■1- raifc l'aecampliissement d'un rêve qui a déjà é- depuis longtemps séduit les esprits d'Europ. : n- le rêve d'une ligue de tous e, peupLs et de u- tous 1^8 Etats <lu continent européen. Dans la x; première tentative qui lut faite de réal eer c-st proj-t, H s"agissait de çonaifeu-r une un.on dé-le femeive des puissanices européennes contre le e- péril amér cain, qui coiifiis^ait dans la menace ui d'un assujettissement de l'Europe aux intérê s économique^ dès' Eta s-Uriis. Aujomd'hui, c'est s- coucre .e monde angio eaxo., tout entier que y- s'ofïecï'Ui-rait.* ie ralliement dés peuplés feuro-i*fi' pédriS;, e£ là pârels de dé:i : Ànyiomxonia sr ' e-,ntra' râun'durii, * se' retournerait -«n ee mot 11- d"ordf6 : 'Mukdili cW.râ Angiàsaxàn am. a- Cer.es, îe 'chem n au do t meour à est sVi-A d.ihtOt barricadé. M .s ia feirmule" de conol n- liat.ion du «kmftc Csiérriin et si ii idée de poix univefséile sont raie excellente dynami.e poui '1- faire sauter- i« » oUi^ac^es tt ouvr r ia voie; ■e-lN's us la rendront praticable môme à o ux qui sont te encore aujourd'hui les allies des Anglo Saxous s- et qui ft&ienâettt vaitu-m. n, le part- gc des fiées pouiites qu'on Leur a promieës. Voi à b - n iong-le temps qu' ls attendent 1 Ils sent à bout de pa-o t.ence et d'endur.mce tant moira.e que phj'sd-s- que', tant ;m!!ità.re qu'économique. Est-<5.; que, ■i- plu fit qtio'Ue'B'i ffal ser'dv-f r. itv mèm tcus le ta fardeau qui l-.s écrase, Ils ne feront pas ie ges^e è- libératetir et ne finiront pas pir saisir la planche de éatut que leur t nd le co te (Virnm ? l'i- C'e e^rai; le U'iomphc du vér.tabie pacifisme) 0-. exempt du moindre alliage d'arrières-petuxJes il in értesé s, .Sous le reyne de oe pacifisme, la. s- rouit a du. eommeree et ia haute mer s»-'rai. ni cuv,.nés à tous; l'a®»,parement, ttea sgjhèrKto il- d'influence et des ttri'i oires producteur» de lté ma ères premières par a raoe aing^b-saxoniie n eci-a^t aboli; ehaqae, peup e ©t chaque Etat te jouirait de ia faculté de, g'épauouir ai gré de 1- sep génie et pourrait donner essor à sa viioalité, fs ks barrières qui se dret-aient sur oertanies in voies maritimes et à l'étirée oe O-'rains couti. 1- nepts se trouvam.i abattues. Alors, .il ne sora.t 1^ p us besoin de <J4p acer d.s frontières; il n'y te aurait plus, au centre de l'Europe., de p uples r-tranohés du monde extérieur par une im-la menge ligne de siège; mas aussi il.n'y a.iuait r- plus besoin de urçadnouycts aux dimensions »- fantastiques, plus b©so n de mi'liiins d'avions, te <io canons gigw esqu.s., d'armées mo. a res. Li> a- tribunal ar.b.tra), gardien dè ia paix, universelle, à serait constitué, ipw. facto et forecttemneralt e- sp-oirtanéinent. , , é- Pou® te moinent, les p-uplrs et les Etats qui lu gs sont laissé éblouir par la mégalomanie et u- l'orgueil ttc race des Anglo-Saxons, et que n- ceux-ci mènent eu lasso oomme d s aveugles, ne voûtent pas croire à la poss bilité die cet ave-'n nir : c'est qu'ili leur faudrait d.re adieu au i- rêve d'uu accroisisement de puissance, dans le-6- quel 011 les a bercés. Pour les Français, c'est la penséi& de Aie^z, do Strastboairg qu'il fau-drait ehaaset sans retour; pour les Busses im-Sî pi-'r alistss, e'eeb ia vision de Ocastantlnople, de s» la Galicie et da la Bukovine réunis à l'empire giavO ; jjoui* 'es Italiens, c'est Trente, Tri.ste r- dont il faudrait faire le deuil. Espoirs chimé-Q; riques, saiis parler des. convoitises des associés ''i do moindre importance. Tous espèrent encore; u- ils gardèrent Ifui' illusion jusqu'à ce que le ■îô banquier anglo-sa xon soi.t indubitalement convaincu d'insolvabilité: insplvabiité..politique, x, militaire, économique e> financière. Ce jour-là u.i approche. a- Et quand il arrivera, !a partie sera fiiie et is pKis d'un des joueurs, qui aujourd'hui a écarte té d'un geste hautain pareille éy ntualité, ro-la oh reihera avec empreese-inestt la. main du comte •i- Czernip. X. ï LA GUERRE ». Bwaamna iffislsls re ALLEMANDS n- j,t BBBL1N, 6 janvier (Officiel) midi: H ftéat:e ds !a tuerie de l'Ouest, ie; En, général, l'ao'.iaU est'restée m ni inc.. Er" es s'est, r nforUe passagèrement en différents eti- r- <frokt du front en relai.on avec des engagements :i- d.' reconnaissance. L*s agressions- françaises en Ch-amjpqgne ont été rejioussèes .11 oorps-Â-, orps. ix Près rie Ji>v<[ncourt et av nord-est d'Âvoeourt, us non entreprises exécutées après prépam.ion p»r ix l'artill-rie, ainsi qu'une m vas on par surprise o- dans les l.gnes 1 nntnvea à l'ouest Je Besonvaua, t." vit ropporé de nombrçwe prisonniers et va * butin de qu& Qu€s migrai censés. Au bo's d'Ail• 1 [y, les Franças ont tenté vainement, à deux i repr.se de s'introduire dans no# tranchées. : Les 4 et 3 jârivter, 15 avions ennemis et 4 t baUoiiê-càpt fs ont Hé abat us en combat uéi\en et -par tir venjiit de terre. -irceat i e' la gaett* à' l'Est-, Iiien de nouoeatt. • io . c-n îSacido'ne. La si'nation m s'est pas modifie. e o<i ^uesxe De part et d'au:re de la Bren at dans la rt-g on de Tom ba et du Montello, duel d'arti erie intermittent. BEllLiy, 5 janvier (Officiez du soir): Bien de mu vtau d s théâtres de' la guerre. Sur mer. BERLIN, S janvier (Off iciel) : Lq va.1 an>.e uftaque, de tws tous-marins a causé de nouveau une .perte de 22,000 tonnes de jauge brute à nos tnnems,, > n dépit de pius énergitjuç. défense,. fro.s grand» vapeurs sont tombes victimes ds nos torp Les dans le canal de La Manche. L'un des navi>rés était <.« vap ur-.anfc ourdemejit ehgrgè,, nai/iguanft vers lest. 1 tojiia dans leipace de 40 seçon-ues. Quant aux autres navirn, on p.ui e.aô'ir que l'un d\v.x était te 1 ayeur anglais armé « l'o yarth », jaugea n brut 3,146 onnes. Le navre parait une cargo Son pjréci use de minerai de fer et de phosphore à destination de l'Anglet rre. AUTRICHIEN V1EXAE, 5 janviêr; Théâ r. de La guerre <J 'Est: Armi tire. ThcârÇ dt lu gu ir<- 1 in; L'action est dente réa Uini ée à un d'arti Une ut..exultent..,Sili.ÉàAi?Ê:S SOFIA, 3 jativ et {Office > ; Front en Maiedo ne : .-i l'ouest du ta- d'O-eltrida, no» '■ e ai h iw'/u.<a r-«unnaunauee ont d sp, ri-é d> « uni es oun ées ennemies, sur es- tos t o * il hua urs dan ui h tua-e de a Czifthi, l'aa.viP- u*nl <.r.e u e é un p ut e n inéd. Au nord du Lac de 'J'acuina, eutr*.pr* set, tje p/Aruu te? »van ayeus « yoiir nous. Au cours d un comha né ri- n e v çé-f du be- a-lem- nu (JneUig ■■ a ,a u u,i av on enn-mt qui s'abai t uerri r un tiun* au iK/r>i-"UCsl du lue de Dornn. D - tus. ap aieurs angla.s o.u été fai s pr oitner a cet u uceus on. Front de la UobrouU chu , ai mit, ice. ruRCjs CONSTA NTlXOP/'iïî J j nv'er. — Front de l'a t ne : Xout avons e/.levé part (' temen' t. m fjos e e- ne nu et ahn'iu 4»V<« e; à jMrt ce a /•<ts d èvèn'eniéh s pàrlicul ers. * COMMUNIQUES DES ARMEES Ds L'cNTE^i r.- FMA^tAlS PARIS., 5 janvier (OfhciUj, 3 h. P.M.: Activi è marquée dr s deux artil Cries dans a région uu sud de (Jorbeny e sur rlve gauche d la Mous., uu bois d Avoiouri. Au nord ae St-M.hœl un de licitement -mumi qui avait ten é d enlever un de nus pos. s. a subi mus nos feux dis pênes us b es, .-an.* obt n r de résula. Une au r. .enuitve ènn mie dan g. ki rtylotl de Fhr^y 1 ega cmeni é houé. Nui cil'-partout, a. leurs. PARIS, 0 janvier (Office!// h. P .M. : Nous avons re-pou sé un coup de man ennem-av, rud de Juotncou.ro ■-1 tait uns prisonniers. En Cha n pagne, an de nus acuicnemcn ts a pé-. nétré au itftrd de La M».n-de-Al-asd.yus, dans tes tranché s ennemi.s où d u opéré de nombreuses d s rue ions. Lu d\rt der.e a.se^ ue-ive au ho.s d'A voerjurt et dans ia région du boit des Cu-ur ères. Ai.acioti ; Dais ta journée du 4 janvier, cinq avions ennemis ont été ubattus, au cours de com. ha s avec nos pifa et. Armée d Orient, 4 janvi-r ; Faible activité de comba.s sur l'ensemble du front. Tempête de ne.ge. ITALIEN ROM-E, 4 janvier (Off ciet) ; Dans les montagnes, dans la vallée de Laga-nna. nous avons < onc-n. ré h er no re feu sur ie col ne Bar- ita et dans le secteur de Sismon, tandis que des batt.nes ennemies bombardaient p us v oh mment nos pos tions 1 tab i s sur t'Ai, ttssmo, à l'est du aç de Garda, e» «os lignes à l'arrière, du mon.e Pallone et du monte' Tomba. Des! par omit et françaises ont fait prisonniers quelques so dut s ennemis sur le monte Fetieru, et l'an lier.e anglaisé a efficacement répondit au feu des bat'.eries ennemies. Dans "le seàieùr d*i la côte, feu routant de part et d'autre et opérations de patrouil'.es à l'est de C'ava Zuechirma. U n a viat-ur anglais a descendu un avion près de Conegl.ano; un aulre cppareû enn m, touché par une grenade, est tombé sur la r.ve gauche du P.ave, a i'"st de Mas-rada. La nuit dernière, entre 2 et 6 heures du matin, es aviateurs ennemis ont survolé a région • située en re te Piave et Bacchigl.one. Un grand nombre ds bombes ont été lancées sur des quartiers de '[révise et de Padoue. A Trévise, il y a eu dxs dégâs, mais pas de v etimes. A Padoue, don: le quartier o<n.ral a été particulièrement v:sé, que ques tn end>cs ont éd . té. Six personnes, (parmi lesquelles d~sux femmes et un vïcvîùrd, ont été blessées. ANGLAIS LONDRES, 5 janvier (Officiel) ; Hier midi, sur 10 front de Cambrai, dans les environs du canal du Nord des combats locaux sé sont Uvrés ■ t.s n'ont pas scnt. blement modifié a s iv'ation. La nitif, nos troupes ont lé-4 * il- gèrement avancé leurs lignes au sud de Lent, ux La canonnade ennemie « été active la nuit; elle a été violente dans .es secteurs de Bullecourt 4 et d'Y près. en I r riÀraïAirAfi iWnArkAfi U lit* (lAtVl! V» m*? UjQWWiUITtoJfe? . , ; nouveau casinet belge» ré- Bâte, 5 janv. — De Paria au « Schweîaer •ie Press Tevegraph » : Le nouveau cabinet belge st constitué; Paul Hymans reprend la direction du minis.ère de'6 affairée étrangères, le pré-ft.dejit du Conseil de Broquevule échange ks affaires étrangères contre te portefeuille de la rtooffij„ruot.Gn nationale, le m.nistre des scieo-cet et des ar,e, Poullet, reprt nd o lui de ''é.o-a n- m-^i p- pinaire. M. Brunei, député social s.e es d'1 Charleroi, devient mm®tre sans portefeuille. w Simultamaiitnt trois conirn ssioua ministérielles \rs particulières ont eué çréees en. vue d'é. udier >es le question* de l'armée, d'éeonom.o transitoire et dt de réforme industrielle. "** coîicbavs à l'Ouest. fl» -r T Berl n, 5 jenv. — Par te temps cflair, 1e îeu 'l d'arti l ne ennemi s'e^ renforcé en Flandre le 1 c 4 j -Jivier, avec une in'tens.tô particulière dans !t- la région de Pa.ssciiieiitiae.e et e'e»t ma ntenu jusqu'à 'it romb-t de la nuit. Entre B-ce-aere et Uhe uvel,, la iuite est également restée v.ve ia nu t. A l'est die iSonnebeke, nous avons ramené des pr sori.mors tt-s tranché.s euncnifes, L', ctiv.té d.t> av ateurs a é.é extraordinair-ment v.v-, auisi bien .11 F andre qu' n Artois. Dau3 p ia région d'e Cambrai, e feu ennemi <et devenu plus an mé en pius.eure endroits du front.. Nos tr; upes apéca„es d'assaut ont pénétré dans lep -ra.iohé s anglais*», sans tenir compte des ter-a ns d » uto. no.rs couverts de neige et_.de glace ei ont brisé à l'arme blanolie et à la gre; I ' j à main ouieretietan.e, tajine m.e. en. vaimii^at e 14 A. gais et d'mjporans résu.taii- de recoii-' l'.as 'ançe Emrfc a M' use et la'Moselle, le feji a h,c mi ù'. rt.. l'rie et.de. ia,n<.e- mines a augmt-ntâ c 'in.. ui-ie. Un. fort patrouil © ennemie qui. tt-.11 ait de p s»er e fieuve eu can t., a éé. d.ie-p ise par no re feu. Sur c^'t.o p r^ie du front, ' l av.. t etn a été égaiern nt animee ui 'si Londres, 6 j nv. — De New-York au « Daily •'t Neu-»: La réponse mmneu.e du Prés-d n.; à '.1.vitatiion ru&«? exprane l'espor d'une dé limitât o'i xacte de lluviwton rusec à a paix. Dei « D.ii y Mai»: r.ioyd G orge a expri-nf n'é iorr de la reeption dé'éguéi de la Tra-(i, d* Dn < n, uiardi pa té (jour du nouvel, an), sa g ooUvjgtJon quj ia, guerre actu-lie ra dénisivo pour l'Ang.e erre;: pour 1 Ange,erre, il n'y u pas de ch >ix : vaincre ou ê re vain .u. Bàlt, 5 jfcnv. - De t'« Allgcine.n S. hwei-zeriiiçhe Press dims »: L'ancien ministre Run. ' oman, I un d-'« députés les pu» .nfiUtnts, a déckré e ci : « Ce seiait -e p us g;and dommage, s l'o.i dis-it aux Français que■ l'Angle» eut c mbat pour reconquérir 1 Alsace-Lorraine, av c a même déc sion que pour la- libération de la Be g que et du Nord de la France a Nous ne me tons point les deux objecUfs sur ,e l" même ligne, tt ce-sera t Ulusionneff ks Fran-l<i ça s qu de ,ee ame er à croiire que ces dieux < bj Ci ifs i nt pour nou- la même importance, a-xs A c-s mots, la Chambre des Communes cria r h Eo u < z ! Ecoutez 1 » Lora.eur eu-vant, Loii'd a Ce, qui s'occupa d a même question, nè ! ' c.ioi.r dit en rien son prédéo sseur. > -,1 « iuisou'aubcutiste », n Berne, 5 janv — Clemenceau a fait à un coi] borateu.r du « Petit Parisien » la "déolai-a-^ ton su van e : •< AÎ,oii programme d guerre ooaaste naturellement à renforcer la guerre, ,à et acj.éoir n ;s soldats et à faiw tout pour eux, ta de façon qu'Us puiteeut combattre et vaincre. C'est là mea p.an pour l'avenir. » s iroid en France. 'S Berne, 5 janv. —tf>s journaux parisiens Sai-*• nr-ncent que e froid d vient de plus en pltis intente en France. Même dans le Midi Le ther-^ momètre marque 11 degrés sous zéro. La Gâ-romue cet partie lement ge-ée. La navigaion a dû presque comp'lètenîent être interrompue sûr 1 s canaux. La communication pj,r chemin de fer, interrompue par le.-, chut s de neige, n'a pis encore pu ê.re complètement rétablie. a" T.-'n ét>a d .uce FMandsise. ir Patis, 5 janv. — Du « Temps » : L" gouv'M-- J ne meut français a reconnu l'indépendance de ^ la République fin'-arda's-o es i=a kwe^ie iox^.ce et Impopulaire te- eu Amérique. Stockholm, 5 janv.,— Du « Nyo Da^ligt Aîle-n- k.inda » : Cn Suédo:s rtntré d'Amérique ra-1te conte qu'un véritable régime tsariste a été éta. nt bh aux Etats-Unis. Dans toutes les cassée dv la Soc été des agents discrets foat une guerre ie pans merci aux propagandistes, poiu- la, paix. II. à n'e<.t pas rare que des.g-ns qui s'expriment dé-fav.orabjemcnt sur la guerre «oient arrêtés en vi pleine ru'î. Eu dépit d'uaie pi-opagande ykJente, U, îa gu. rre r ste impopu^aire. Les soldats ciai-ve gnent avant tout le transport par mer, .par su'fe du bruit que plusieurs grtnds vapiurs ira sport a- ont été coulés. Il y a des vivres en quantité, mais les prix ont tellement - haussé qu'il e'est id produit de graves émeutes. Jouniel ement des r- g-èv's éclatent, que lo gouvernement cherche à «2 réprimer par la force militaire. i»*'i rétoci'è. io ■ de paix de Etest-Litowsk. :x Brest-Lltowsk,5 janv. — Hier et aujourd'hui ef des pourj>orlers sans engagement ont eu lieu à Brest-Litowsk avec la délégation ukrainien t ; ils se sont terminé^'à' notre entière satisfaction. «e Vlaii €ênpïu,-.t de jguçtjte autrichien. Vienne, 5 janv. (officiel). — Le résultat ilnal et du 7me emprunt de guerre autrichien es chiffre <x par 6,047, lb2,800 couronnes, non compris les t'i-o- gnatur-s do-nnées e» campagne qui n'y figurent 'é- ■ qu'en péiiie. , nt. T '■ -* "r-"*>1;p.u Portugal. •Ile Paris, 5 janv. — On mande de Madrid au urt a T. tups » : Le bruit orxru.e dims ks milieux monarchistes portugais qu© l'ex-roi Manuel aurait renoncé à ia couronne et ee rendrait prochainement à Madr d pour y faire connaître mi 1 résoiutoai. On affirme que cette renonciation qui a pour but de grouper tous .les éléments moiïar. hutes, se ferait en faveur du prince Luarte, i'un des fils de Don MigwJ, - dîuc tic zer Bragance, qui réside actuellement n Auti>chi. !ga Les monarclistes portugais rentrent au Porbu-ec- g«l, tandis que les démocrats du parti Cosa af-ré- f.uent à Madrid. I.s as.urent qu'un mouvement 16 monarchiste se prépare au Portugal. L'ag nce la Havas éprouve -e besoin d ajouter le commeu->0_ taire suivant : « Il est à craindre que les agi n.a 0_ des Puissances Ctetitraies s'efforcent de px'-T s e d'-s avantag e de c® mouvement en favorisant jc> Ls troubles, 1 s causes ou le» suites po&Jb.ea j^g leur étant indifférentes. » ■es L'agence ilavas s>- croit obligée d'ajouter à et icette information, la réflexion suivante ; Il est» à craindre que les ag n.s des Pui6s-o.es Gai-traleg s'effoioeront de Urer parti de ee mouve. ment, poux f'avor.ser ks désordres, sans s'occu-eu ptr de ce qui- peuvent être tes causes ou' te» 'e effets. A ceia l'agtnce té.égraphique Wolff replu lls qui- : (Je. te supjH>&Ji.ion em.se pur Havas se 00 a-QU vr© des susp ek.ns systématiques qui, depuis re quelque temps, lont le tour d£ j» pre«tr fran-ve ça se. Il est manifeste que eette manœuvre fran. ç.;ise pour un uniquement le but de voiier ses propres inirigues. Li ré vol ukou qu eut lieu ^it en Espagne au printemps dernier ind que à suf. La-..Ce, dans quel camp il Lut chercher tes nu troub e-paix, d nt kb cti' fs t-ont connus comme °s étant en é. ro te connivence avec la Franc» et iep l'Angle, erre. ee ^ DEPECHES 'n-~ ■ ' (Reproduites de l'édition précédente./ ai î y» L'a B- 1er que et Ls négociations de paix. ig_ i Hambourg, 5 janv. — Jje « Ilamburgei lti Fremd.nb.av 0 publ e la dépêche suivante de La U'aye ; « Dans es milieux dt l'Em-en.e d>i le cap 1 ta e néerlandaise te' bruit circule que ia ' liom-nàtion de Hymaus, au peste pré.tden^ % du Conseil b^.ge si îmm.n' iite, — si elle n est °t déjà i,n fait accompli. On admet généra.emeni lé tei, dans ces mil.eun, que si on procédai, à un '?• ref reindum, en tou.e liber, é de coubO,t4i.e, iea ri- neuf d.x èmes du p-up e beige te déclarerain't ra- p>ur une adhésio.i eL un. participa non aux sa i-égcciat oo» de pa.x tt, pour un delà h<Jmeii| ve <le i'Ang itftrcR et la Frai:oi>. Oj- au t guosi /y av c b auôctup d'.mgosee le développement ded iv5n''in.n s en I àlie. a L arair e Caillaux. in~ Paris, 4 jauv. — De «L'Humanité»: La a Çour mi ita.re a d i'féié l'exécution du mandai l!" décerné conire M. Caiiiaux par le gouverneur Cl*' mi, 1 taire de Paris. On attendra la fin de l'in-*** syuction. ,e ii» v,U6Jidon des paiae-pcrt-s français, ur Paris, 5 j nv. — M. .A'bert Th*îuafi i décla-n- ré que e gouvernemeni ava.t eu l'intention de ux k charger d'une miss-on officielle à S.ookhtilm . » et à Pé iogr;.d. (juo.qu il ait refusé cett mm-à: ! sion, il est tou.«fo)& d'avis qu'il est md epen-rd faille d'envoyer une dé égation .socialiste à Pé-ne; ti-'-grad. Eïitjj re, il estime que M. Ciémeûccau a assumé une lourde et dangereuse rtsponea-b.lité en renîssSir: d 's passeports aux toeialistoe qui désirai nt partir pour Pétyograd. im Genève, 5 janv. — L'« Intrana géant n aru !a" no.icc sous réserves qu'. n pr&tuce du refus formel de Clemenceau de délivrer i«s ps«ss>-<• [icrs pour Stockholm aux députés socialisiUffi, ;<I cbux-ci son. décidés à demander des passe-ports : * pereoain ,1s pour certains d'entre eux, qui ae--raient personnellement, respoteabks, de façon ■ : à dééhaxger ie gouvernement d. tout; ro pon-un-' sabl i.é. Il n'est pas 'mpossibie qu un accord tis pu sse intervenir sur œtte bise. Lès pertes anglaises à Cambrai.. ,â" Berlin", 5 janv. — Du 20 novembre 1917 au B 2 janvier 1618, les Anglais ont perdu, r • n que sur ie champ de bataille de Cambrai, 227 of-f,ie ficiers et S,t300 hummes faits prisonniersu Ii leur ia fut tn evé 172 canins, 724 mitiailleustte et 19" « mineti-werkr ». De plus, les Allemands ont reconquis 32 canons que les Angia s teur >,T. avaii -nt pr s. Sur les 300 « tanks « mis en llgn», jo les Ang aïs en ont perdu 107 dout 75 sont t.om-■ bés aux ma.ns des Al Léman ds, dorriore les ii-giiC:.: allemandes, tands que 3È gisent d molia entre les deux lign' s. Os pertes repréèehten,t i tin quart do l'effectif total de tanks anglais. rA_ Le rapport sur les négociations de paix. ta., La Haye, 5 janv. — Le représentant du 4V « Daily News », à St-Pétt-rsboùrg, a ascist^ hier à ia séance d ia Commission centrale exté-JJ . eutive des « Soviets », à l'Instant Smolny.pnur y entendre ie rapport cte 'Kameneff; sur les .né-en . gçc'a.,ir'n.s de paix. 1/.i grande salle b-anche de |p 1 ' Institut Smo.ny était bondée d-" personnages, ii- dont très peu'savaient v.eulenieiit jusqu'à ce '.te joor qu'au cours deâ négociations de paix d'irn -ttj portantes- divergences d'opinions e étaient pro t©, dui.es. Lorsque Kamerteff déclara que les eon. ^,t ditions de paix formulées par les Allemands [es étaient Inacceptables, 'es représentants des di- • . ^ vers groupes d'armée se levèrent et déclaré, rent que <es so dots ne comba frai nt p us, et qu is ne pouvaient d'ailleurs plus combattre. *' Le correspondant du « Daily News » ajoute ; 111 i « S-r donc aucun événement particulier ne sur. à v.i nt, la Russie devra se piler à conclure una * > paix séparée humiliante avec l'Allemagne. Les ,n- Maxim^i-st-ïs essaient de se Soustraire à ocltie ' i iv,'oessibé: I e promirent une révolution eri Po- tal ' ■ XoS^ •iy. L'inddent de Breàt-Litousk. si- Le baroii von den Bu&sche, eoiuB-fieicxétare m dfBtk, a fait à la Conun'gèibn pii'neipftle dli ■■ Re.fchetiag la déclaration suivante* I SKt année. - M* 1174 - Ed. B HlV rFNTIMFîÇ Lundl 7 Janv,#r

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Cet article est une édition du titre Le bruxellois: journal quotidien indépendant appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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