4,B* Année - N» 1100 - Ed. B CINQ CËtfTI^SES Dimanche 21 Octobre Î915 jytXJiwr'«• ■>' *■M^rcjicT4n>vnuiii».ijuvw.mHHHHBiaMannnnaHiM«B3WBnaRM#' am !■"■■■! gniiiiMMmr«MM Fr. 3.00 - Wk.2.4â F« 1.3©-^ifc. 1^0 ^ 111 t ____^ Q . tirageTuc^ooo ( ^^™5ir~l « Mgnul QaatHiea imMuendaiit • R^~"'"'M>Uc'ié,Vc°fe:| T,"*"J»°-000 PAR JOUR —„——_ — *' . — « —— —» ™R J0!,s mÊÊmmmmKmswmmï iijiimm jl!!L" M'!!1!r JT " L"" j"," """'-i" TZT.ir'^nZTTrxrEr3T Les bureaux <iu « BRUXELLOIS » se trouvent RU£ DE L& CASERNE» 33 et 33, s BruxsHos (près «le ta place ^nneessens). COMMUNIQUES OFFICIELS ALLESAANDa BERLIN > ï& o&&fye, (Officiel ét attk'U.j 'JPaôatr» de ii guesrra a (Groupe d'annae du ieiiirMaiécaai général. prince kéritie? Btrppseelît de Bavière ; Par suit® de tortdittrm» dh&i-rvtdhm dé,f*va. teiifs, ie- duel «Fartdkri* en Flandre cat resté msiaetlre qu'aux four* précédent-». Sur qu&t-gue* ieetèitrs uoàâs ntulemenl entre la forêt aHoiLthttfcA et i» Detffe, ii u iSè i'igo.ufenx far marnent*. Etes *»ga§C9ie*>ts do reeauaansmic* te sont déramiét ex. pfmdcurs endroits également en Artaus et asu nord de SanU-lJ-eentm, avec des sé&iduitz fav«miles paur nous. Kïoape »i'amc6 du pïinee iinpsi'iai allemand : . La ixsta i.it!, d tr dlerie an nard-esi de SQï&son* continue. Les «cossus d'artillerie qui y so-nt concentrées s'y combattent, avec une extrême énergie, la violente ne diminuant passagèrement que durant le* 'mût,. Le* feux. concentré» et persistants des lancC-min.es ont transformé la tone de combat antérieure entre Vauxailfon et liraye en an champ d'entonnoirs. Des ayrese flans, isolées de troupe# d'éekaman prançaes ont été rtfpawsées. De» attaques de quelque- *>*-f&rgma ne se saut pas: produises jwnju'tel. A l'est de la Meuse, Caution, et pris des pro portions plus grandes, hier après-midi. Plusieurs entreprise^ de nos troupes notes ont rapporté des prisonniers. ïâeàîre de la guerre à l'Est. Nous avons d'barquê également, des Srottpet sv.-r l'île de Dàgçt,, ou de* détachements de. débarquement de notre marine avaiervt déjà pm pied il y a quelques jours pour couvrir nos en* dro.tn de débarquement projetés.Les> opémticms engagée» est net endroit se développent dignement. £kfiu$ la côte de-.la Jkdttgisn ju» qu'à la-, mer Noire, rtén if importante. \ front en feactaoïne. Sur la nue ouest d'n lae d'OcAriJ'i* de» comt payants frtmfcene» 08m>Ji«mte& cas été. reptits-sées. Près de MuRmïtr, eians, la btmete d& la Czerna et près de Dtttmrpaiy., le feu £<>& ravivé. Sur mer. >r Atfcaqu1- de torpilleur» c'ufi'e TK.irïh 'r<jite BERLIN, 19 ocx. — Officiel : Durant la nuit du 18 au 19 octobre des frao 'Haas <te nos forces de combat et z&rgAletrts. uni attaqué Dnnkerque et aéckargi 254» gtemode* expio.-iives à courte distance, sur tes mshtiia-tiuns du port de ta forteresse. Les batteries de >i,eere et les forces de eo-mbat awseasK^ que nous avons combattues également avec un suecèi rator-çué ant npwté à natte feu. Un mufitw an^ats a été yrtuement enaommegé étant attem.% ett trois endroits jjut nos torpilles et en, lie nombreux e-iutruits p"r notre feu d artillerie. Jios navires sont rentrés au grand complet et W-- d'emritex. BERLINy 20 octobre, (tffmel.) Un de nos- mcis-mateess, eumimndé par le Ueutenant-capitanie Rohrbach, a 'coûté le 2 octobre au nord de l'Irlande, le croAsett-r cuiras-sc unylais <tUmk- », d un tirant deati de 14,300 tonnes au muycii d'un coup de torpille. En au. tre, nos sous-marins ont coulé, dans l Océan. Atlantique„ là,00ti tonnes de jtmuje brute, £*ar-fn, te- vaisseaux anéantis. fatugeM le vaptitt an-ylai< nUrakeo, j-.aeyeaits 2,2ix7 tatuiH*, amut yue te vil y anyiitis ■.<, Fiero-na., cliAirtjfi de. e/iwiiwi en outre, la barque i,rois-mâts française uJieu.U-ly»t chargée de 3,QS& tonnes de eététiles du Met-bocurne a aestinat.o» de iiorcteaux, ainsi que le., cotres de pèche français «Union Rëpualir e.a «€» a D eus-Jeanne s a, «.Liberté» et «Peuple» frère s», dont tes it <loru*ex» étaient armes* AlTi'SSÏ '&îï*£H Y lEà'NE> 19 octobrem — Officiel i ï/.iv-i.ie ae *a èusixo & i"est tî. -utaanie : . Rien de nouveau auprès des forces de eum&at TiUsit o-hoiiyrois. s. , jj.m-a.Uir uô lit gefiiïs initiiez : Aux frmts ,.yrohen et carint&ten, il y. eut avant hier et hier des eof/ii/ttis locaux en d& nombreux endroits. .Vos troupe^ oit. rttmc* MU pnso-nniéri et du uiatenet ae guerre. Set'iflt* fiahituet.e auriutc/ig a L hou io„ ■£itRG8 COJSTJM'IJOPLM, i Soctabrrs : Jt^en de partic-uiter à xiymiter de» dmer» frcmtte. SOi: 1A, ta- »t labre, ( Qffic. ei.) StL.il gii AÏ™U6ÛCUi-é . En dfiers e-ntjtots du frmn, no.i£tmment à l'ouest du t-'e de Ltmram, l'asbivUe d artillerie a conMicrahUnir-ht augmenté. rFueieurs avions ennemis oui fitt a&s hosties dans la rtyw,n au nord du l t d- Doirm. A la Dobroudsilue, faible feu d'artillerie. FStA MQAm PARIS, 19 # tobi-e. (O, tetet ni 3 Ji.pm.) A ta tyii te-d M*e préparuUorn d artillerie particulièrement efficace, toute une serie <1 ope-rations de dêiud no-us a. permis de pénétrer dans les or garni atton» ennemies de ta rcyion de M oui n de Laffaux - Braye-eu-Lao n n'a ts, a' y opérer des destructions et de ramener une centaine d pnsonniers appartenant à quatre divisions différentes. Une tentative ennemie sur vsi de nos pet.vis postes du saillant de (Jheureux a échoué. Lntre .kiette et Aisne, wnh ukous exécuté un coup de mam au cours duquel noies avons fait subir des p rtes i, r,euse$ à lad versa, rc et capturé du matériel. En (Jhampojrie, / «n. de nos détachements pénétrant dans les trancin es ennemies au nord du Calque a 'pv-ur-tiifivi l'ennemi qui se retirait et après tin vif combat est rentré cru complet dans nus lignes. Sur. la rive droite de la Meuse, nous avons re- pxsuaaé tut# Sentait iv* exaeunm' au- mté At Qkâr titt*arsaœ-i*.3&àts** Avk'-izon : La région de' Hunkezgue a reçu di-etê, lot adirée et'keor -îms® wes^oats de bombes à'tiviiOiiSr tMatrze mcl*iœ. n'a èti Kgnfdé&JtlOfts Sut journée tt.u. 16» tfiimx evwm ewtetnmt ont été «sbâsi izt par (a 5-1 s sietimu d'auto canotas. PAÉiS, 19: cmiokra. iOff.ciet de 11 L.p.m.J Activité m^i!ipa.ce des é&ux artMame» en qteetqttes point» dit front de l'Atwe, ttetam & seeiear de Sautenr et star tes deux rtv.es du ta M'use, Armée £~0,ne.nt i Vise, teetwite de l'art,Ucne bulgare pendant la. nuit. Un ataa&ta bri-^catnt-$u& a rédutst an sdeit&t Les ieitertxs. tatttptres en position vers l'emboitchuure du la Str^utKO. L'a.vMLtumt française a bombardé la gare de (■J'uGma&eh* RUSSE * ' • PETRQGRAH, 18 octobre? — Offiniel • L'ennemi st pm-paté as toute '• île diesel, Joua avions detruirt toiufr ee qui pu-tw/ut lut être utile au po ne ae vue miiiUtire. Le» Allemands on,'t pénétre dans le gplje de Riga après, nous avoir enlevé, le contrôle, du car md d'irbem et repousse nos, patrouilles dans fe Moowzund. Les nacire.î de ear&Jrat russes «• Grastid&nm » et «t Slava. a» ains que. Le. cmisgur « Bajan »z ont r. pousse l'C/m.' ntl. Pat 711.1 les nauire-; de, guerre; atHemaaids. se troit-vatent deetcc areaduo/ughis du type « brosser K eerfùrsi ». Les, cauam de l «mut/m a-joieu/i urne portée -plus■ tangue que cède aie L arttlUriiS (tes ■tutsiens natures russes- gta ont défendu assez le apte m p» Centrée du canal. Gra a«u*eat avar iû'is, am nauire» ami été fartés- d'e ae retirer. Le m Slauci a a été tanche à diffiérea.e*, reprises smts la ligue tSe ftattcusum. Presque tmfttjfr cppipti-ye et été sauvé et. © rémst à gagiter la. côte russe. N os batteries postées à Centrée du Moonsund ont disp rsé tes torptUl'eurs allemands qui tentaient d'uppraeàejt de uns atiaoet. On dreait-nought ennemi a ensuite été mis hors de combat.Dents le Moi»! .Hué, iene tsmre de nos. e$ca-di os a enrayé fe» attaques de» martre-,s ennemis ve» ttt du nord. HvmutsmtéHte/it, un grand nombre, d'avions ahem <tttis ont tancé de wnntbre-msea bombes- *«r ceux- de nos aaireres <pai se truavaient dans les ports. L ennemi et débar.ptté de petits détachements -.ur i'We de Dag&s, mais ils ont été furets de re. gagner te un navres sous notre feu. Un croiseur et un dreaduattgiti allemands ont eusurje bombardé fendrait où les troupes ennemies tLvai>,m d. barque. Près d'OesKt et de Dagae, nos pairattûfcs ont observé 53 navires ennemis. la oti.«ure. — Etoute n<»&-«v.e&t, sua ouest ©S ro-^mafa: f ttsïUs.d«s. et. cofla&at» d'éeiairewfs. LNsb» ta nuit du th an uii zcppejai enntaii a suiffote Jrk&raa.ii et a jele des boîaia«^ fciLE mai-iCiiS oitt été fietinites. Fi coi éa eaa«is£t. Ilie® d'uaportan-t à signaJer. 17AUKI1 ROME, m och.bre., — Offie.ei ; Tout le long du front, duels d'artillerie hnn-tés et opérations un peu plus actives sur certains petln'A. Sur te mante Metano f vallée de J udicaner et sur le col Toron», nous avons refaané d'impor-ttimts: detnehemen s ennemis. Sut le haut plateau de Lirnnxf.za, nous avons fait des prisonniers au cours d'engagements d'assaut au ric/teens. ANGLAIS LONDRES, 1? octab/e^ Offici-Jl. : La nui t dernière, des troupes de Londres ont exécute un coup de vunn. (quelques soldats ennemi. on t été tués au faHs pruanmer*. Nos perces sont ttiiu.m-ts. La nnd, l'artilltrue ennemie a été active au sud du canal ï pr<'s-€uni. ainsi que dans la requin, de AonnebeLe et dans celle de iiroods-emde.h,i<-n d'autre d signaler sur tout îe front de b^trrUe. LONOUES, 19 octobre. (Qffi d.) Le remorqueur «Active», de isueum (Ecossej s'est perdu dans tes eaux anglaises. Tout l'èqurp ige, composé de 11 hommes, a pért. Dernier es Dépêches L» résultat du 7e eiapan -t de aSîaawad. B r.iri, 20 oct. — Jjaus i-es aatien» empranî6 de guerre convertis, ie résakcic-tlu Te empraut a raidir® sé traduit, par l?>4âZ,0ii0,W)tt ra.uks. j p* .l i.rm-cL.«J'Y*.tbi qu une.* ti'.s agnatiiies en e.;mp.tgîie- fjoux lesqueUfcs le os-Ui de âigaatur® ne sjt termiae qae le 20 na-veaibre. pt'riBettertt d'eBtv ~iger cjue ie «aut. tat iraàl déj>as&ei:a. 12 1 2 milliards. Le peuple aHrjitaad a. donc fourni es cette troisième a«-Bce de gusxee iiilï p us de 25 t 2 milliards de i*' — rk.:.i, j..lt piiis de 4. . itii—rds clv- pitts qu en 1915 -_t 1916 Cotte preuve de force écoaomi-que et fciaireièïe &.t,n.. précéd ut daa& 1 lriatoirtî ci® masde, eac la. mei lieuse réponse q\ij 1«- peuple Blk-mand. pût toiurniE à la note do VV.lson e-„ à L'eepo-ir d'un écrtiuLeaunt écoaoanqiie que aes aiversaireâ. faisaient nia-eiter aux yeux de kiirs- p'.'up'es. £&i éstectkaîà su s«iB da parti nosâaiista ausaisîsd. Wiirzbourg, 19 oct. — En clôture de la sésn-ce du Congrès du parti social-déaaaoorate, Schea. demann et Ebert onifc été élue clt'-is du par 312 et 311 voix L'aeeHti Ausixo-hoIianiCus. Cdlegfae» 2Q- ocÊo&re. -J b'Aasstesdsssu à ta « GaîseîtiC de Cote®»® »: (fa accord couiniear-câaî semblable à l'ac-i'-wd ,g«"i«a>a>-!±o)iaiid.*us <?*& intervenu fci«' taotror lu. Heilaaade» et l'An-tJfiidtte.-Ho ngiife. Cet aocoïd viae 16i qaa8#i«os ' d'ijaporbatioa cfc d'ecspartulion et accortfo à L'Autridb-e-licvvn ic un. crv'-iti- m Hotimah*. La aeutralSé de l'Argentine. JScvlfc, -2ù octobre. — -Dfc Bueaos-Ayw? an n Momiag Poat »: !<*>, ministère ar-yotrtifi a rcfeisé I© 15 <x;tobro de r^nipr» ie» rel»tîo».s dipîtîmwiqo,<-s «w FAife^iftsw. le nouveau ministère cîiiHea. Berao, 19 ofjt. — Un aon--eau min fît>orï a été ecuttîtao mt CbvK. H w composé deamoœbree éBOEtaets do tous, fca paurtis. Sa conipositioin est la sDivaBtieK. Intérieur.Eliodore. Juanez ; étran-gQr„ Suarez. Mapcr; instruction ptrbuqùe, Ar-taro Aiempatto; ânamcC^B cbavdo Salas; guerre, Oscar Fiel: industr.e', Malognias Ciuioba. D'après, ia. ©ompeaitiem du ministère, on estime que velui-d. continuera ki steicte neutralité politique du Cbili. CkJsuteiifc îes Etats-Unis violentent las neutres. Zurich, 20 act-, — Le département politique faàe publier par L'Agence off cieuse œ Pr«ss-ïte-tegrapb»,. une-note de laquielle il ressort que fey citoyeas. helvétiques clata i» aux Etats-Unis QH4 été réQuisiti4itUL.5s, pomr le sta'viee mikii«Jre "dan® l'armée aBnéri«aine et que, çefon toute appar.Bee, il s'ag.t là d'une violation du droit d.-a geisa- Lee Etats-Unis. senabJent avoir adsipté «tep-uis quekjue temps ce principe, si peq^ én eancardancP avo<; Wrs pi-etestatiems de respect peur tes natoon-aiités, d i nr^inneiiitr, de gre ou de fors®, les aajssfcs œstres, 11 iliemRat aatoeinta t.zt service BMlitaàra. Il s'ag i là d'une e-ppres. sàafi systéasatique des fatblt's par les forts» Vioîeîsfs. OîsïagaEs ea Sieste. Messine, 1!> oet. (Bfceiani.) — TTrt earagan a sévi strr ta ville et sr»x environs, dans la nuit ■âu ÎG octebre, et a eatisé de» dégâts çf nssdéra. b es tu pcmt que la eomninn cation a été coupée §ur la ligne de cfe fnin de fer iVLssaaee-CataiBe. L'après-owdi élu 17 octobre, un second ©ssragin a. provoqué dt-^s inondations. Cent ba-raquonaents environ on êfe' détruits; 11 personnes- ont. été tuées. La cir«utetion est interrom-pne dans les rues. uo-iisa&kiL de traiaa en France. St-Omer, l& cet. — I>"ux trains, sont, entrés en eoU'.s!CM> sur lia. ligne de. chemin de fer aillant de làfc Oaaer à Boulogne. 11 y a plusieui-s îstiùî'rs. el blesses. iiA si-jcua iosr osisioir^Eîr mrssas. Les matrn.er.es des soldats russes en France. Eapatr^nsda, Î9 o_t. — Du «Rjetsct» L Le eiîsnp dea. nmliiis de La CouUine*aurait été ca-ïwM&Eté à l'aide d'artillerie russe. Après que fe psejecUieg turent tombes sùi le c^inp, u^ne ta il tut da 4septemiare, 160 émeut iers se jendin ni. Lt; 4 septembre, L.> c-uup fut cauonné de nouveau. Vers 11 heures, du matui^ aptès que 30 farojec^u-1» «u^-nt été déchargés, tes mutin» hissèrent deux drapeaux b a.ncs et oonimeBce-rc-ïit à qu tfeer le camp sa ai s armes. Vers, le soir, 8,300 hommes avaient quitté 1. ur oamp et tn-ten^ r'çus par les traupes françaises. Les 150 mutina, r âtés au caniT) ouvrir' lit le soir un viu. kiifr iea d J mitraiiis.nsas. Dane le but- d'. u finir dé-fiiiitiveméiit, avec la révolitè, un feu vio- ut tut dirigé le 5 septembre sur le camp qui itw. pea p' U occupé par ks troupes ruy_.es.Les •jmeutiers r p si èr nt par un ff'ii d ; mitrailleuses. Le 6 6epte.i br", vers 9- heures du soir, le o mp fut eoiîip èfeement occupé. On compta q'.it l,5fJ5 soldats au total av.'icnr qitit é le camp. Les p>'n«s des troepes rases s'élevaient à u» mari et 5 ble-i (s. Les éirteaiiers comptaient 8 ntorte et 44 W seés. Parmi les- Fra»ça«e, il y eut deux victimes accidentelles : I mort et 1 bîesoj; tons dstix étaient d>-s porteurs de lettres qui &ëtai'Ht av«iatuïés dans la région eiu feu Après que- Lig. mutins en a±a£ été désarmes, 81 d'entre eitx furent arrêtés. Une contai ssio-n spéciale d c'iqu torass.e a été instituée. M'iwfesrai ions paafist sttes nuvrimalme». Stockholm, 10 oct. — L'attitudo dt» oirviiers maximaliatc'e de- Moscou prend un cam. ter tre, sérieux. Le3 12, 13 et 14 octobre, il y eut de îiornbi-eus-'s manifesl i lieras en favori d-e la pa*x, auxqueiîst, part.<ipèreiit 17,000 personnes. La « g?jde rouge » de Moscou a arrête de ru.mbreux industriels très eo-rtsidérfca. Le& «u-vriers menacent de faire .a grërve générale. T une l.or haiffll se «ça* ntre contre Kerenski. Le «Df' uu rsppoiie des nouvelles de Kiecki-afiiî, d'après k'^qtieiles la .sittsatiae. au front Iftisse du sud-o-aest s pr s un caractère très in quuc'tan.t. Les déserti ..^ ont prte '€ cLa^aa. La direction d'am.ée mtiMise s€.-t vue obligée de retirer toutes i's unité» roumaines, ainsi que les group méats russ s. Le générai Avères, cœ dédire dins un ordre- du pur, que la Rou-ro .nie fera la gu. rre pour son compte, L'Cs ù-ou. pcà tiennent de nouveau de grands rass_iiibl,e-mente au front; on y discute la question d'un armistice. L'anarchie. Stockholm, 20 oct. — Le « Journal de la Bouifc.e » de Pétrograd reproduit les edamu-meations qui ont été faites à la réunion extraordinaire du Conseil d s Hiffibtres, fconcli ut l'anarchie qui règne dans i;. pays. U rcsalte <fcs tapports qui ont été lus à cette rconton,qu'une an arch.e complète règne d ;ns fss goeverne. tnents du Centre et du Midi, ainsi qu en Si-bérie et au Caucase1. Les 5 6 de la Russie se. laiint en pieinc dééompoait.o». Le eonimiataire , du gouverueim'nt en PoaBolie- a envoyé une dépêche dans laquelle ii dit en'cf '.mtres « Jesd-a impu.ssant à empéchcr tonte les misères. i>Bs-gens sont tués tn mat&e ' et les villages sont . abandonnés. » L'anarchie comp ète au r î es Aâiatté. Stockholm, 19 oct. — Le j&érnaf «Hufvud-: stadebladel», d'Heisingfoi public un arfce'o . sur la situation de la g.- m bon aux îke Aaland, et termine en disant qu il règne dans efc îles une anarchie complète, contre laquelle les autorité civiles et militaires sont impuissantes, i C'est avec le3 plus vives appréhensions qu'on attend le début de l'hiver, car alors te kabi-tanta seront, privés de commimicatiarts et de--siendronfc fa proie de la soldatesque, dont îes exploits sont déjà de telle nature qu'auonn ha. bîuuat a® ♦.1 arcîe à quitter sa demeure en plein jouir, w' isplda s russes s<3 sont joints, à unie bandeTffe brigands et commettent Joramel-I*. ment des cambriolages, des assassinats et des viola. On abat îe- bétail dsuis les rwes et on le partage entre les soldats, il y a quelques Joure, îe« soldats, ont mis le feu aux bains publics da iLariembourg. L'indîeciplne complète de la garnison est confirmée par maints antres faits du même genre. La guerre sous-marine, Cologne, 20 octobre. — D'Amsterdam à la et Cîazette de Coiogno- »•: L» vapeur néerlandais « Parkiia-ven », jaugeant brut 2,655 t<m-aes, a été eerrtê hier vers T heures entre SeiteTrenings» et la cote anglaise, par un so«s-taarin allemand. 14 hommes <i équipage ont été efébarqiués à Doefe van jdt^liand, les 10 au-tre .s ont été recueillis par an bateau de pêche d'ÏJnuiden. DÉPÊCHES (Beproâmea, de l'éititvm précédente.) Les combats à l'ouest. Berlin, l® act. — En Flan-ire le fe» ennemi a augiaeiuté d'intensité ie l& «ciobjre- dès l'aube dans tous tes secteura. du enamp de: grarwîe bataille. Il était dirigé prm«pai'em"Bt «sejfttre notre position de. la foièt d Jtlo-wthulst, près d«-i'a&^h_nctaefc, Gfieluveld et ZiJmivawde. Co-uun.es. et W c-rvieq ont eto lortemenS eamannés. Le feu violent qui aeqti.t une giaïade intensité à la cote pt-rsista en cet eiïdro.t aus&s bien qu.i sur tout ^e- iront de cemoat, |iisq;u«-tard dans ta, soirée et se marntari aiirajEt, toute la nuit .-*jus torme d'«s lourd feu d-^ diversion. Au s«d. de foelcap^ie et à i'oeregj. «te Elenberg de foru.s patarouil"t-s ennemies «« été repo«4!>-e'ées. Apre^ une très, v.vt activité de nos aval-te tirs cuiie de nua oicadr-lles de bombai demisaii, a jeté avec succès de nombreuses- &»mb«s star 1® cii m p eiaiemi au. ,ur d Ypres ainsi que pcès u'i!iiwiracDgiie<ex jfoperiBgne. Au front d'Amas, pièa de Presmoy,, dans lat région de kl prts d'Av-iiîCowrt e(t, d tia»ew«rts «te» patwuiskife» «ut été» repo-HSiisîcs après un iseit animé' de eemiij» à autre.Au front de i'Ajsoe» de &*tes poussées «nne-m.es de reconaL-s-iHc*?» engagées- apsès usée btè-ve, recrti'dest'-.iiee d» fa», ïù tio«ï «itslroits de l'angle dk Laflatax, ont. égaiern-nt eca-nié- le iiiatrci du 1S oceobie.' ljit bctÛiiliUrdi arlfï'itrie au nord-est de- Sofssicïas a eou&tjiuiâ' après une ei an. née pmvk ®se. tirage à une depeu,^ «oiessaie di® muniiLion;, le rerr de grand (6«ailo«K auignaunta lcr-tment d'mtetiaifcé «l .ns ie courant de lia pur-née, surtout vers ie soir et dégénesa. fretjuem-nient eit reu routant, i^ous av^.sts repoub&e de fert^s poeiscees de reeoai'iaissaaee frâiiœjaiâes aa fruiic t.e Vaaxatl.wu ji »qtt a la ferme stg Keye. re. Durant toute la nuit un vwlent feu. de destruction a pesé .-ar noe positivas, acnqffii1 moire a utlerie a énerg qaeroe»t nposté-. Au Cheuam des Darnes, l"en»erai tenta d. non. esi® de mous arracher au moyen de trois nou'veiW& aittaquesx nob pos.t.ions nour-lte-naent eanquissi-'s au u«;rd an moulin de V auclete. Les- attaquas ont été 6o-in,j-.letement. n p- as^ee& avec tes- plus, lourde» pért es pour l'enît nu. Lej à î ?st. B&r'Bi, 10 oct. — Al est nous nous ssBimes emparés ecmp-etein jjt de i-'iie de Un<j tiitga.de eiinem=e ior<-« d environ 5,1x10 nommes a été tafte prtaonmere «v..e son coasMaaitdianti et bous sa» bd^aget. Le vaisseau de ligne rossa « Siara u a semble en fia.nntes entre Sek idau. et Mooq. La pofcst.--sioii d Ot'se-1 et de Moau-, équivaut pour rues entreji rise® futures à uoiv b-.se d't pér..tioHs extteiiitment favorable. Gra» ce à ta (ivù-liaboca&ioii de la m^ïtir.'- , rendu, possible par ia potoiiea-ioii de lue d'Qesei, les eoin>-numieauuns à Karrièrc de ce troat se pincsen-bent sortis un aspect BSSaacoôp plus- sictple que jiiiqu à présent. tti.sujset i&otttessàaasée à ia, ui'^agaltie iian^a^e. Berme, 19 ott. — Du «■ Progrès de Lyon » : Au ©ourc a& la séance s^'cteie de la Cnambre^il s'est prodoh de vi^icatss alKntaUe-ns encre cer-L&iHb députés, îLui.aniiia.en.u eutie iiibov et Urtand. L.-. ptupaït dc:s aepui-es. estiment qu ii est impossible que iU-bot L'ente aux aliaires éicrangetes- M. Long, n^mistre du ravieaiue-iceat a oépose à la V^hambie un projet de Jio1, atv îtdi'iiit un er-edu suppteiiK ntau-e cte S45 mii-Utitts tt,e trauu» pour t achat d'1 céréales, de fa-r.B,e et d autres vivres- a.c 'scames. On mande de Paris, aux. journaux lyonnais : La séance d hier a été trà» ot g-use. Descka-ueii a fait part de l'interpellation Rifeoyrçs suc la. politique générale du gouvernement. Chau met a déclaré au nom du gouvernement que la discussion de l'int ip'ilal*.on ne saurait avoir lieu avait vendredi, aiiisitôt de nombreux de-putes protaiter- nt vivement-. Au milieu du tu milite gênerai t-«tbi.>e éOicoliit- ensuite la date d aujourd'hui pour -a discu?aiou. Au co-irs d s détailo fcurtiiis f.ar le ministre de la niarui^, thattait*tr qui déclara que la gU-fte tontmuaic et que tg ministre- de la guerre avait d & d- voirs à r£Bi; lie, il se pivcioisct des ïncid uts. Jcotite la Chaasbre était en prore au vacarme, au p m, que Chauinet ne pat se- faire comureir die. Il déclara qu« ce n'ét..it po..n,t iraulter au patriotisiue, d'itiiifin. r que la ^aerre dure toujours. Il dit qu le m nielre de Li. guère « eiait empêché, d'assister à la a anee de la Ch ;ubie. (ània»a,-.iiai à gAteche e. à 1 ejt.eême g---ue_ e.y La gouvernemertc ae voulait, toutêloia pa» si soustraire au verdict de la Chambre. On procéda ensuite au vote au mrlî-ti d'une t-urex-ci-tation êxtraordin- lie co-ust noiam-iient pa.r les î-adiç .ax-fiH.iali-.-tes et sociullstafc Apie^ que te calme eût ét> un p;» rétabli en procéda à ta discussion de plusieurs projets de loi. tin projet îim tant à 5 p.c. tos intérêt des eapi.aux tut adopté, et en outre un projet de loi autorisant les Als cieus-Lorrains à franciser leuis noma 1 A la Gfcambrefiiaaçaise. Taris, 19 octobre. — (ilavas.) Le députe républicain ilibeyras déclare en justifiant son îmexpc tiMJina «wr :a genenuo ou gouvemeiaemt que k-s. aaeeèâ obtenus jusqu'à présent dans ia politique ext»ric.u"e ne &e-rpjienfc point ceux des Miobt, ims ceux tle la Piftnee. àÈ Wame kl manque à ewsembie dans certaines déclarations et termine avec l'invitation au gouve naemfïit d'à iaare ecainaitre son programme. Le dêptrfcé focïrJi'îte Robert a ciemairde égaiemeat. uac «léetaratioev gênerai e et- définitive. Le dépwté rTwtoeaJt-soeixiisSœ Sa-kanows&y s'est plaint lies esises- rv-acsterteiles trop, moirnbretis.es qià missent aux ittterete du pays. M. Pusch a déclaré qu'il refusait sa iiance au go^vememeat, parce que JfcUbot: n'a pas eompria à rétablir l'union et (pie ceilte-ci rte peut, d'ailleurs pma èire- rétablie. II reproefce à PainSevé qu'il a m-asque d'au-torité daa-s diScsreate® aàtaires jwcïkiairevï, surtout* dans h1"» aceasaif.MMs ©oatre Matvv- Ln-sattte ie mirfïsir® Paiiilevé Esan-te à la. tribune. Troubles aa Irlande „ Amsterdam,19 cet.— De Lessdcea, à V « A!gc- . uteem ilaiwlt i-^btad » r Le « ïrnes * annoneo que des eolftsioass oct eu bers entre ta pateee et, les Sinn-Fem a Listov. n. La potJie; avait ex-pailsé des Sina-J^èBH: d'un. café. Cfe fut le signai d'une attaque die la part a.>. ia ïotne ©p-nt-re la, poil ce' qu'elle tapsda à eowps. d* pierre et de bo«ïiwyjles. Fluaieurs pateiera fîsceat. bleseéa. JFiniaïement, la polie® fit uissge de a«s a,rw-'s à fe«» et blessa un- reuitse homme-. Le «aime ne put être rétablît que quelqa,© keurîs. plus. tard. J;j£ï& JD&(.»!*&> Usj ôtte<3Xiî.Ô 4 JÙkîi«w«wi.Wit>. Berlin, 19 cet. — Dans Ba praWisafes <t Ba-nk-Areiriv », qui vient <»e par^t«r«, Si itroxive: une étude très doemnreatée Si-ir les isarae. resiuUant de- lia gaerae, pour ie» Puissance» an 1 Jsirttente. On peut 1» retunaer aotarf : a Lus- feu» de guerre da i'-ieint. imte qj. s"êtexe«aït jifaqui a la îtn de S9M> à 221- mifeodis ae irautes, étt cJMixres rsatts, se a>j4it aeeras, peii'Laia.6. le prertuei se- -Baessre da ïSttï 0>e )»5. m-ititwrds 7iO milnoiias «e ïran*s, ce' qui fait uns tec.ei; ftc pses ue 30& milliards qaî eertainiea.KiBt atteuadranï^ porta-, -de 400 lîki'ihargto à la fin da l'asasc. Or, jitoqu a i.» |am w-ei.fflit.'sx-, 41 p. c. aeule-iB,eni6 dtes o^ll>ea!i.a «te? gM-iarnè de FLnli-.'nte étaient, eontvwtts pa-sr des «rarpruiiais a longue éekeauree, et ce, 3® p. evem Atogieeene, 3>{ p. c. en- i^raiicfi' et eu iisllic et 2y- j*. e. este tim&sie, centre 7& à 8® p. e- et* AAtamagni®- fai, ©ûuiune «ela ea a tout, à latfr l'as*, de Bouveanx eni-pmwts cte gnœerirw a ki-agïte e«fi.eaiiMEe n tnter-vicŒueae pas, cte-ns Iws pays de t'Jriùatsate, avant ta t«i de l'"a)iiaee, aî «b «és«Étei» «s.-», quà la fin- de- 1-SÏT 2b p-, c-, : smKaïeisti <l«s- cktws de guerre seront eoaveïSs- par sises empru-iiis à longue eehéaiiiee. A ieeds'tiafefflsoi.taii-tea de- a'éievai-ïist déjà à 1S0 milliards de- fraifiesr, do«t 5& nt lliards rs-n qi^e pour le corn-pie papner-niffiEiiiaie-, Ati-.p-tsrd liim, c'est- à-dtre a l'a nrt-< ctoibre, cette dette a déjà atteint au moins 212 milliards de fcsts- et. se- chitirera oertai-nemenB à la. tua, d.-;- I anmée courante par 250 mtilKttrd» Ce sert une rude: tâche que celle de consolider cette dette forMdablo, par la suite. i^a. couv.rtitre or, dans les banques d énl.s-&ion„ a notamment «aiifetatié à, diminuer. En France eUe était tombe., fin dacc-mme ISS6, de pv c. à l&.i p. t. au 4 oetoore eottaot; en iiaâsiie, de l'T à 7.7 p. o., en ï&ali1 de 23 à 18 p. c. (f-n juiiBÏ. Ce qui «su part.esbèreni-nc in.tèr5?ssaut, c'est la grande mesure dam= laquelle i épargne étrangère a é«é mise a coutribuEion pour -w»»r.r 'es frais d guerre. A tin ^tim l-isi? les cu.pr.mts» cenciut, à l'et-rsuager repre^.ntaiseîit. cïtfja ae 15 à 16 p. c. de ia totaJite dies trais -tï ^a».re d-e i'EnUnte. Dans le courant «Ces mots a Àtr, ï'étKtBigej va ^re requis .-'ti-,-'-c i d--1 fournir 3U p.c. oes tre. g o- gu sre,, s&tes une tenue ou sons- urne autre, a i'La-eeaùe-, Cts-festii -, l'An, g terre qui fait appei ài t'étuang^r et qui devient, rin<iB€ieit.iiiti;.tj, «se ptua e» pl-us tribu-t-..ire d-'s Par c*;s préparés moyens, I Aragtetejcre ne p="ut pm& wtoa qisc ae 50 a 60 p. c., la j»'ra«K?e 50,, i Jtaise 40 et la Russie a peine 20 p.e. «ie sts £sais de gueire.,, Tout Je reste do.c eére towtni: par ' étrang 'r ou pur la ptess®- a Uulets de isanque, qui alam nte. aéjà jusqu'à coMcurreHee «e wl; p.. e. en jAu-stie, aa psoaqjue csO p. e- en- ltaïas- et de preat-pie 2U- p. c. CH iritance le buaget «les dépenses oe guerre. L;, sub-venLuon ties .là-iats-C uis qai tSi. en cliif-fcreji ro-Ktiâ» de 2 ï e. nu-ecuir.^ cke rrancs p.ir mois ne p**met de eoiisvrtr que eh aixit-^e par-tie des irais de guerre «L l'Lateaté évaiacs î niev te on io iàiltoards p^r snois. C'«si oc qu> explique- les préjaccapauons qui pei-tcB- danj. tes «îacoms- de& fcanmsas d'Etats qui dirigeât tes fi,liantes sv.s Alkes. jjà nouv^iiu csmr.sù sti-e-a.-e.-3. Stockholm, 19 act. — Le Roi a accepUi îa d& mieâion. ou ministère Swarte. Le nouveau mi-nistère Lcl u, i pieté aéraient ut est conip^Sf; bornasse àuit : kre^ident du Cotise, 1 ©t mimstu4) sans portefeuille. : Kcien (Ubérsti); aifaire< eii-t.-ngc,L-es : Kellner ^n-e fa,sant. p s parte du iùk&tt.just ce . Ln-i.gi-m (cUpaté nouvelle, ment élu ;.u Rilisda.g); gu-eire : Nielsen (lioé rai); marine : Paimafci-jtna ^socialistef; intérieur (ùchotte (libérai); finances : Bran.ini» (.socialiste) ; instruction pabiique : R-dea (sa ciatiste/; tgfkaltaie : ir'-tTsfei-In I efaola (li. Léràî/; ndaistres t-aaiiâ po-rteieuiiile :i-'e.ur (libé rai) et « tinden- » psoi.sseiir de droit à TJpsa, La (socialiste^ aucun de ces deux derniers n« faisant pu*fc.e du R ksdag. ^ Le ïoi Go satiiim c.eerê ds bohtoi. Berim. 19' oct. — i). G nève à îa « Kriégszei. tung » Le roi Constantin de Gièce s'est f-ai( eoiictuii-e à la clinique ou preics&e-ar Dr Sauer. bruc-h, j.-. ur y sitb r une nouvelle opération L éoat da rt-oi esc très grave. jria ûô 4a gi'tvia eu Asgenciii-a. Un radi. gramme angl'i a anno es la fLn.de 1' 35 le va de j tiieniinots en. Argent-.ne. La sSeâtioa eii-c^ rae ea Kassie. La situation a Bées -ra ' ie. De l'Ag ace ReaUr -. Le <tTintes» apprend d'Odessa que dc> troubles graye» ont éclaté ei B«-sûarable-. Une série de pogroms ont eu lien dans les districts ruraux; dans plusieurs ville» . de® désordres provoques par le manque de vi . vi es ont éclaté.

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