Le courrier du Limbourg

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s.n. 1914, 21 Mars. Le courrier du Limbourg. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/z60bv7cc5r/
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61œe Année — N° 12. Ce numéro comprend 8 pages. Samedi. 21 mars 1911 Ons'abonne à Ton chez H. COLLEE, éc et propriétaire de feuille. Le Courrier par; amedi. Tout envoi eoncei lejournaldoitêtread banco à l'éditeur, gi place, 37-39, à Toni Téléphoné ISS" COURRIER DU LIMBOURG FEUILLE HETCDOM ATi A T'R'R —. . km ABO ewkvt V Pour l'étranger leport en sus. Les ahonnements sont r payables par anticipai ion Annonces: laligneir.0,15 Un numéro, I 0,10 Réclames, i par tions judiciaires et autres insertions dans le c- rpsdu journal,! fr. la 1 gne. On traite à fort it pou esannon?3sàlongterme ■■■■in »v PREMIERE FEUILt TOUJOURS LA PRESS Oui toujours la Presse ! On n'en 1 lera jamais assez, parce qu'il faut, à prix, convaincre les catholiques qn Presse est l'œuvre des œuvres, elle, on ne peut rien ; avec elle, arrive à tout. Nous l'avons dit, et aimons à le redire : c'est la presse fait l'opinion publique ; l'opinion | blique fait les législateurs, les lég | teurs font les lois. Les lois, en France, ont mis ruines ce que des siècles avaient éc Elles ont laïcisé les écoles et les t [ taux, chassé les congrégations et [ fisqué leurs biens, réduit le clergé mendicité, fermé des milliers d'éc chrétiennes, d'asiles et d'orphelii mis à néant tant d'œuvres catholii qui avaient été édiffiées au moyen normes sacrifices ; les lois ont b; [. Dieu des écoles ; l'éducation de la I nesse n'a plus de base morale. Or, ce que nous voyons en Fn I peut se produire en Belgique si r I laissons l'opinion publique se per I tir par les journaux irréligieux, ; [ opposer à la mauvaise Presse le con I poison de la bonne Presse. Ecoutez, chers lecteur, cornu | parle sur cette question un grand c I teur français le R. P. Coiibé : «On a dit que si saint Paul revei I parmi nous, il se ferait journali | Vraiment je le crois. » Il y a une chaire où le curé exp I la vérité et réfute l'erreur devant c I cents pieuses personnes. Mais au det [ il y a une chaire où le laïque peut I faire entendre de cent mille ou de c [ cents mille hommes. Cette chaire c [ le journal. Eh bien, je dis que s; I Paul, s'il revenait, y monterait. E I dis aussi que pendant longtemps | catholiques ont eu le tort de la lais [ au socialiste, au libre-penseur, au fra I maçon, sans penser à s'en empai ! Aujourd'hui, ils commencent à mont | plus de clairvoyance ; mais ils ne f pas assez. » Le journal a encore un autre av j tage : c'est une arme que l'ennc ne peut nous enlever. Je suppose q ^ » Malheur à nous si, au lieu de d ser notre argent à la propagande c vérité, à la diffusion de la bonne Pi - . nous le dépensons en œuvres bonn t, ! elles-mêmes, mais qui peuvent et doivent attendre ! Par" » A quoi bon construire et do tout grands frais des hôpitaux, des éc e la des églises, si le législateur de de bans doit nous les confisquer et les laïc on chasse'- nos infirmières des hopil nous nos frères et nos Sœurs des écol 1U1 désaffecter nos églises ? Ne voyez-. Pu" pas que ce serait faire le jeu de la fi isla- maçonnerie, que demain elle pren, ces églises et ces écoles pour en en des salles de théâtre ou des loges ! lifié. » valait-il pas mieux donne ÔP1" peu moins, pendant quelque ter con- rationner toutes ces belles œuvre: ^ la avec l'argent ainsi épargné, fonde] oies repandre les bons journaux et faire < lats, dg bons députés qui eussent fait lues bonnes lois et assuré la liberté de ^ religion et de toutes ces œuvres el mm mêmes ? leu" »Donnezdonc à l'œuvre de la Pre œuvre la plus importante, la plus u' ince la plus nécessaire dans les temps actu 10US C'est l'œuvre des temps de guerre, veT~ autres sont les œuvres des temp; sans paix. C'est le bon journal qui nous : tre- vera... si nous le voulons. Aboni vous donc au bons journaux. Ne pre ient pas p0ur excuse le manque de temps 3ra" ies lire : dans ce cas, fai'es-en prol des familles peu aisées où ;ls feronl iait bien. En répandant les bons journz ste. vous répandez la bonne semence d vous récolterez les fruits. Ce qui est ?se jeu c'est l'ordre social, la cause mcl Dieu, l'éducation de nos enfants, l'e: ors tence de toutes nos œuvres, le bonh se des familles et de la société. » inq est ^ Jîux uwieg, MeSëëiffleg les Un de nos amis nous écrit : ser La femme votera t elle ! La fem nc_ sera t-elle ? un jour électeur !... ou él ,er trice ? Telle est la question que l'évolut des idées pose à notre société moderne 3nt qui, tôt ou tard, devra recevoir sa se tion. Quand ? ln- i Chi lo sa. Demain peut-être qui sait :mi | Il serait donc oiseux de vouloir l'ig ne, rer. Si le droit électoral de la fem épen urnes la femme qui dans tous [e la domaines de l'activité se montre l'éj esse, de l'homme, lorsqu'elle ne le dépt 3s en pas ? • C'est pourquoi M. Golaert se décl 4 nettement partisan du suffrage témi sur le terrain provincial et communal oies, * * majn LeJournal de Paris vient d'ouvrir : iser m®me sujet une enquête et recuei ' les appréciations des personnalités m ' quantes du monde féminin en Fran îs et „ Leg femmes doivent obtenir le dr vous (je V0t6i ejies l'obtiendront, c'est dp anc- l'ordre des choses, déclare Mme Siegiri* irait présidente du Comité National des fe Faire mes françaises, et cela sans violence, f la simple raison que l'évolution des idé r un se poursuit|en leur faveur.» npS) Une des grandes causes de cette évol . et' tion résulte de l'augmentation constar . des femmes seules, des femmes que 1 ij. nécessités de la vie condamnent. bi< H souvent malgré elles, à une indéper.dan 1 qu'elles ne désiraient guère : jeunes flll ; ia qui ne trouvent pas de mari, veuve les- femmes abandonnées par l'époux, dive céesplusou moins volontaires, femm sse, dont le mari est incapable de gouvern :ile, ou de nourrir la famille, en un m els. toutes celles qui, seules dans le mond les doivent lutter pour l'existence. . jg Ces femmes-là n'ont-elles pas des int ,au_ rêts légitimes à défendre ? ' Certains veulent accorder un doub vote aux pères de famille comn n®z tel. El pourquoi pas à l'épousé dont 1< i de idées sont parfois différemment orienté! lter et qui cependant a tout autant intérêt : du la bonne marche des affaires publiques ux, Voilà certes des questions troublante ont auxquelles il paraît téméraire de voulo: en répondre pour le moment, de craint de d'etre taxé de féminisme à outrance. . • Att.pnrfnns nlntnt \.ia- - , eur m Elections législatives du 24 mai 1914. Demain Dimanche, 22 mars, s me 4 h précises de l'après-midi, lirand Meeting ion ~ : et dans la grande salle de la CONCOROIJ lu- Les candida's catholiques y prendront la po rôle. t Tous les électeurs cathofques du canton son ,10- instamment priés d'y Assister. me les Nous engageons vivement tous les éleeti taie de ces communes à se rendre à ce? réunù sse f-e programme catholique y sera exposé par honorables mandataires. are La discorde régne plus que jamais dan ijn 1 camP bberal. Les socialistes veulent à tout r une place sur la liste et, ma foi ils ont rais j ue ne plus vouloir etre les eternels dupés. sur - lie 4r M. Gslmette, directeur du Figar se- a été assassiné par M"" Cailla u femme du ministre des finances ■rf Les circonstances du drame sont suffisai ■ ' ment connues de nos lecteurs. Nous publions ici la biographie de la malhe I1VUIUC> 6S u- GASTON CALMETTE Pc ^ homme qui vient de mourir assassi dans i exercice de ses fonctions, notre ch - et grand ami Gaston Calm.ette, paursuiva ^ depuis des semaines une campagne ardente co es tre un des hommes les plus influents de VEtc s, D aucuns, étonnés de la vivacité de ses attaque r- s ingéniaient à en chercher je ne sais quell 3S sécrétés raisons. C'est parce qu'ils connaissais 3P mal, bien mal leur auteur. . Gaston Calmetle, sous les dehors les plus soi g riants, les plus affables, cachait le tempéramei ' le plus passionné, la sensibilité la plus frémi , santé II était impétueux dans ses haines ma plus encore dans ses amitiés. Il se serait ta tuer pour ses amis. C'est en pleine bataille au' le vient dètre frappé. le II s'était allègrement jeté dans cette batail ;s prêt a porter et à recevoir les plus terribk iS coups. Lut que la fortune avait comblé, au à pouvait jouir en paix de l'existence la plu 2 enviée et la plus enviable, voici qu'il se risqua\ lg dans la mêlée, cornme un débutant. Le gran journal qu'il dirigeait, la plume qui était dan sa main, sort influence et son crédit, toutes ce forces qu il employa si souvent à obliger de amis, voici qu'il les tournait entièrement contr un homme politique dont, en la pleine loyaut fa son jugement, il èstimail le rôle néfaste > son pays. Celui qiii disparait ainsi, entouré de la com mune affliction de lo-is ceux qui l'on} approché fut avant tout el par-dessus tout un journaliste Le journalisme était tout pour lui el it était tou au journalisme. Il ne concevait pas l'existenc, » en dehors de cette maison de la rue Drouot,dan. laquelle, entré presque adolescent, il avait fai toute sa carrière et dont, à force d'énerqi, tenace, d application et de zèle, il était devem le chef. . Il y ai rivait vers la fin de Vaprès-midi, c cette heure si exquise et si douce du crépuscult parisien qui pour le journaliste est comme unt aurore, puisqu'elle sonne le commencement de t son labeur. Il entrait d'une démarche paisible et reposée, silencieux et recueilli. Ln. tp./p. lÀnpr-omont iurs l'art, le théâtre, le monde s'y trouvaient ; >ns. j sentés. Le f Figaro d c'est moins un io nos ; qu un salon et un cercle. i Que de fois l'entretien commencé di s le bureau de Gaston Calmetle s'achevait di irix couloir / Assis sur le grand canapé qui, on, toute sa longueur, l'occupe, des rédacteur, amis de la maison montés pour cause> instant y prenaient part familièrement, sortie du spectacle, les soirs de répétition rate et de première, les , couloirs du joi 0 ? étaient que le prolongement des couloir théâtre. ! Gaston Calmetle était le centre et co t. lame de es réunions parisiennes, à la u- légeres et prof ondes, tour à tour passionné sceptiques, où l'on touchait à tous les sujets u_ chacun apportait une anecdote el son bon Il y déployait sa bonne humeur souriante, bienveillance exquise mais qui par mom excellait à envelopper de manie, l'art de -, j al instant propice la petite phrase discrète j touchait le but. 'ié j Ce doux entêté savait à merveille ce qu'il \ i lait et ne faisait que ce qu'il voulait. Jar il : chef, sans donner aucun ordre,ne fut plus si i- : temenl plus minutieusement, plus reliqie t. | ment obéi. s, I Agé de cinquante-cinq ans, il était né à M m pellrer le 30 juillet i858. Son père était f< il tionnaire el, au hasard des déplacements fa i liaux, il poursuivit des études à travers • lycées de Brest, Bordeaux, Clermont-Ferra it Maçon Joui jeune, à vingt cinq ans à peiw, le je '■s nalisme l'attirait impérieusement ; il enl it ■ par une petite porte, modestement el tim '■t | ment, au i Figaro », comme secrétaire de f I lippe Gille, chef de la rubrique, il devei ■e j "Mulot le titulaire Le rédacteur en chef, Frai s j Magnard, un maître du journalisme, le prêt, 1 : en particulière estime el l'attachait étroitem i : a lui. I Naguère, un soir où il était en veine d'expi sion amicale, Gaston Calmetle nous racont s délicieusement les débuts de son intimité a s Magnard. Petit rédacteur jusque-là el rélrit s pauvrement à la ligne, il venait, pour la p s i mtere fois, d être appointé au mois et de re e voir un « fixé î. Tout joyeux de cette auba; i impatiemment attendue et ardemment espér il décida de consacrer intégralement, sans distraire un centime, sa première mensualiU une fêle qui fut une des plus réussies,une soîi ■ des plus gaies. Francis Magnard.qui déjà avt - remarqué ses qualités et appréciait son talei ' en fut informé le lendemain. Il vint le troui < a sa table de travail : C'est gentil petit, ce q - vous avez fait là, très gentil. Tout le mon ' n aurait vas eu celte idée-là ! » Et dès lo, Francis Magnard s'attacha de plus en ni a lut. Ravmond Recoulez. , (Le Temps), Nouvelles urnal ^'MCr.ene coopérative agricole. — Toute I c_ tte semaine dos délégués ont parcouru dIu- ins le ' !,T c°mmunes du grand centre agricole • ™te , d^la nar devenir CC.3Uil,iS ?-VeC enthoi«'asmé fz «st'vîâ s»; ■' un '■ .ve'.,'.Ja"s plusieurs communes, ce fut à l'una A ta rn'vài ÎW ,e;VUlfVateur?' (?arls les autresï mie I Y , e 0U ' autre exception • un nen- rnal ]VnUX °U™ locataire de Propriétaire grincheux s du ?,°S esPerance? sont vraiment dépassées de îdn et nous avons la conviction que, sans difficulté nous recruterons non Dar deux mii)o IS mme mais trm\ mîiiû . j . mi"e "ectares fois N, I hectares de betteraves. ss et .,ril w engageons donc vivement, tous nos j «tesamstçw» <*. *•> 1ul contrat de plus d'un an. ^ ue tou- ~ A des prix très avantanau* iais ^-erez à la Maison Collée, Grand'placê rie- f « & Tongres un choix nouveau et extraor- lse- fe hvres, de P''iéres. Chapelets, 7oZ-mr= et cadeaux de toutes sortes. Objets religieux ml- et de fantaisie en articles riches et ordinaires me- - CONSEIL COMMUNAL ~~ z ri mt- sont réunis samedi dernier U mars et Mer m. SA80 s rem ,rr ***> "'-l'ce. deui :de- c Séamcb DU 16 MARS : 'hi- ^ ? proposition de M. Meyers, un subside 'ail nLr ^ nhftaCCOrdlaux Ailleurs de la vffie PTielab l.sseTnfd uneécole de coupe. ait j. . enllS,n de la pour la construction eut ts ,mT Tongres-Orene et Tonqres Heen ■ L annuité est portée de 3,90 fr. à 4,35 fr ' m- ''aménagement du Boulevard des ait oc. s re®Parts derrière la rue de Maes- vec ?st remis ? une prochaine séance. 'ué iLeurs artlclesr du budget sont adoptés re_ sans observations. L'emprunt de 100 000 fr ce- - et^:SSement d'une n°uvelle machine à 'ne emprunt de lîoooiff ad?P'é • 1,umanité- Un gauche ' ' 6St voté droite • à , ^even propose d'augmenter les traitp- ée ments des agents de police de 100 fr. lit p Conseil, d'après la proposition de M le il, Hp^nVSSaire i® po ce' vote une augmentation ,er de450 fr.pour la masse d'habillement % con,arePgauche0n ^ M'NeVea 63t rejetée droite Matériel d'incendie. Le Collège soumettra us une proposition à la prochaine séfnca. Séance du 20 mars • Aucun membre de la gauche n'assiste à la séance. Les articles du budget sont successivement 9 MPtr)P^ budBfl.est «té à l'unanimité. M. Deckers se plaint que le règlement du ci-metiere n'est pas observé. °sieuj«nt au «- I Remis h il na coir.or. . .

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Cet article est une édition du titre Le courrier du Limbourg appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Tongres du 1854 au 1921.

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