Le national bruxellois

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s.n. 1914, 07 Mars. Le national bruxellois. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/cv4bn9xt9z/
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JS ® A N NONCES: Le NATIONAL est distribué au rez-de-chaus Uï ^ ~fg f*A « w—i"Mî -w ^ "■"✓"S Les annonces sonl exclusitement «çoeè Su*t. pltet .1 à* lynm. . . .[t. O.JO séc de wules les maisons situées à l'inléiieiil' ÉÉ 1"% 1 11 /\/ I 1 1 f \|I« «» « NATIONAL », «, Montagne-»»- ■ ' . WO des bou" flaires mo^liwùwjw fA Wf H~C » / 1 §■* ils I I Herbe» Potagères. (Téléphone JtlsSS) el /«««M Hgnt mppUmmu*!.* : *0 wMmnJ sernenl du pn* du poil soit 3<> intimes par «3 SP S % 3a, / m e " i* §1 K | 1 >n Tï A. V * ^ Réclames pipmg* (avant Bourse/, la ligne fr 1.85 mois. A Ielage ou au delà des boulevards, >1 est ^ d® pr S «k/ S Q R qÏÏ 1 a lp al Avr —"* ' Ville et faubouryi ou ?-page . . <5 <;i perçu 10 centimes par semaine, ou SO cen- / | I j/ là. jL-3.A_9 JL3 Vy A gureasx enveris de 9 a 6 heures, ^ : : : : : : : : : : aloo u.m« py ,nois. conu-e ncket^iuanc. Institut royal Météorologique. Bull, du 6. Situation atmosphérique générale, S h. du mali/u ! &m>môtro k 0 degré et au niveau de lu mer, 148.7. — fempéTature : Maximum de ia veille, 0°4; minimum de la nuit, 7"8.— Température : Normale, 4.G.! Maximum absolu, 1G°C-, minimum absolu, —10°7. — ; Déclinabou magnétique à midi a Uccle, lzuM'.l. hjjhémérldcs du 7 : Soleil, lever, 6.10; coucher. ; 17.1)2. — I-une, lever, 11.08; coucher, 4.07. - Une nouvelle dépression dont le centre, iiifé- ■ Teiar à 725mm, se trouve au nord-ouest des îles i tSbetland, couvre l'Europe nord-occidentale.. Le : minimum qui était hier sur le centre do la ISor-j vège s'est porté sur la Russie. Les. plus fortes pressions, supérieures à 763min, s'oberveut tou-.. jour sur là péninsule hispanique. i l.c baromètre monte légèrement sur k- sud de l'Irlande, le contre de la Grande-Bretagne, le sud de la mer du Nord et nos contrées, ainsi que ; .sur le nord et l'est do la presqu'ile Scandinave, le golfe do llothnie et l'est de La Baltique ; il ; descend sur le. reste de l'Europe. j. En Belgique, le vent est modéré ou assez fort d'entre S W. et W. et la température est coin-., prise entre 7 degrés 5 et 10 degrés. Prévisions: Vent SW. assez fort; pluie. lire: A la Chambre : Augmentation des (rai<e-■medts dos membres de l'ordre judiciaire. Xa flamandisalion de l'Université de G and : Le projet en sections. Catastrophe minière à Thicu : La Heine va visiter les blessés et les familles des victimes.Insurrection au Brésil. Allemagne, Russie, Autriche. Le trafic des piècess de cinq francs. Le mystère de Landerueau. AUX DERNIERES NOUVELLES La mort (lu procureur 3. ''iieb. La l'épouse de la « Gazetî • de Cologne » au démenti de lu Russie. Bruit de la défaite"des troupes constilulion- nalistes mexicaines. Ouverture du parlement roumain : Le message du roi Carol. Les royaumes de l'ombre Tout le pourtour des côtes cPaziir, tous les abords des contrées méditerranéennes et méridionales, Sicile, Sardaigne, îles JBorromée, îles Baléares, sont les royaumes de la lumière. Là-bas, la belle saison tôt venue, attarde ses pas fleuris et mélodieux, aux fins des automnes prolongés, avec des arrêts, des flâneries et des retours. Et le peu qui y reste de la saison ^ morte est comme un lendemain de fête qui serait la veille d'une autre fête. ^ j Le problème de la lumière artificielle, de celle qui éclaire la figure austère de la nuit et la tire un peti de l'ombre froide, ne s'y-■ pose même jtas. En nos climats hyperbo-- réens, c'est là, au contraire, question es-' sentielle. Si l'homme du Nord avait mis à vaincre1 l'obscurité urbaine la même obstination qu'il a apportée en sa lutte âpre, incessante et séculaire contre l'obscurité domestique, la nuit serait depuis beau temps vaincue. Ici, chaque sdècle a marqué un éclatant- progrès. De la bougie et de la torche de jadis, à la féerie électrique d'aujourd'hui, toute la gamme des clartés et des lampadaires a été parcourue. L'ombre a recule, lustre à lustre, pas à pas, devant le rayonnement des lampes, et, à l'heure oà nous sommes, quand quelque maîtresse de maison, pour recevoir ses invités, tourne, dès le seuil de son saxon, le commutateur électrique à double, à triple et à quadruple détente, on peut dire que toute l'ombre s'est d'un seul coup, et comme par enchantement, évanouie et volatilisée. Aucune pénombre n'échappe à sa victoire ; aucun recoin ne s'exempte de son empire. C'est le magnifique triomphe du plein midi. C'est plus, tant le luminaire électrique épand judicieusement, depuis les plafonds, jusqu'aux parquets, depuis le repli des ri- j deaux et des stores jusqu'au mystère des, tentures et des tapisseries, son onde égale, ' p. pénétrante, immobile et royale. L'homme a vaincu, dans son home, la nuit. Il y a fait de l'ombre, le jour, mieux et plus que le jour. Nous le voulons bien, pour le riche seul, la science^ humaine à réalisé ce prodige. La bourgeoisie moyenne et le peuple n'y peuvent prétendre. Pour l'heure, en effet. Mais le progrès a-t-il dit son dernier mot? L'électricité est encore produit et denrée cher s., Mais le prix en peut, en doit baisser.. On s'ingénie cléjà en certains pays à la donner, pour remplaçante, à la vapeur. On y recourt, pour sa production, aux forces que la nature met, pour rien, à la portée de nos chemins de fer et de nos ateliers. Un jour sera où les chutes d'eau, l'énergie hy-f diaulicjue des fleuves et de la marée sèront attachées, tel Sams on vaincu à la meule, aux turbines et aux volants de nos usines productrices. » Alors l'électricité sera denrée de vil prix et l'obscurité du home sera vaincue, en bas comme en haut, à tous les étages, de la grande construction sociale. * * * L'homme a donc vaincu la nuit du « ho-' me \ Mais la nuit citadine ! ! ! En n«s pays: du Nord, les hivers durent six mois et, tout l'hiver durant, le jour compte à peine quel ques heures de pleine clarté. Le reste. $'écoule dans l'ombre et la pénombre. Or, ce qu'a fait l'homme moderne pour] éclaircir cette ombre qui pèse, comme un cauchemar, sur lui et sur ses yeux créés rur Ja lumière, six mois durant, se mesure trois étapes. L'étape du lumignon à huile ou au pétrole; l'étape du lumignon au gaz; l'étape de la lumière électrique. Celle-ci «étant la seule qui mérita, en plein ab, î$ nom de lumière, à elle seule il nous plaît de i la donner. * Presque partout, nous en sommes encore j à la seconde étape, au deuxième stade. D'un * bout à l'autre de nos villes belges, des ré- , verbères malingres clignottent, de quaran- . te en quarante mètres, à travers rues et j places, éclairent autour de leur pilone quelque dix aunes cireonféreneiellement et : laissent le reste de l'ombre, par contraste, J plus intense, plus opaque et plus lugubre. 5 Qu'aux nuits d'été si courtes et encore toutes enveloppées des réverbérations de la j splendide lumière diurne, cela suffise, on . peut à 1a rigueur le concéder. Mais l'hiver, t ces trous do lumière miséreuse espacés, de j distance en distance, dans la grande nuit, donnent une idée piètre de nos progrès lu- l-mineaix.11 y aurait remède et facile. Hâter l'heure annoncée plus haut, l'heure de la production électrique inten>e et à bon marché. Etant à vil prix, une aspersion abondante de rayons grèverait peu les budgets communaux et autres. Les lampes à arc remplaceraient les réverbères désuets et rétrospectifs. Ils balayeraient largement la rue autour d eux. Et l'ombre serait vaincue et nous serions, à parlei* vrai, dans le siècle de la lumière, des hommes de lumière. ; L'ombre citadine ne serait plus. On y vaquerait à ses affaires ou à son amusement , sinon comme en plein jour, au moins com- , me dans un beau et lumineux crépuscule. Car, il faut bien le dire, dans la grand'ville, la vie mondaine se prolonge tard. Onze 1 heures, minuit même ne semble pas moment 1 trop tardif pour la sonnerie du couvre-feu. 5 La plupart des magasins ne ferment qu'à J dix heures. Le mouvement urbain, onde à , onde, ne s'arrête donc que de six à huit heures, après la> disparition de la lumière naturelle et solaire. Et ces 6 ou _ 8 heures, noua le3 passons dans une obscurité comparable, en la généralité des rues, à celle des petites villes de province, où le mouvement n'a plus guère, après le souper familial, que quelques remous vacillants et tôt aplanis. Jusqu'à ce que donc sonne l'heure de l'électricité universelle, nous sommes et 1 resterons les vaincus de l'ombre, les pauvres enténébrés qui luttent, six moi» durant, contre la grande nuit se.p tesn trio n aie : exbé-rieuavec des moyens ânssî pauvres et aussi rudimentaires que l'étaient, pour cclaicér l'humide et opaque nuit intérieure de la caverne, la torche de bois et de résine de l'homme préhistorique. Einilio. ggyQwrtHS i ; «S» i . >— Au Cercle aitistique et littéraire, Waux- I ' Hall, œuvres de MM. Celas et Lemniers. (Jus-; qu'au 8.) 5 — De 2 à 6 h., gejerie du Roi, 14, estampes et « 5 gravures sur bois do M. Paul-Emile Colin. : > — De 10 à ô h. 1/2, à la Galerie d'Art, 138, ^ rue Royale, œuvres de M. Henry Lemaire. | — Ru© Royale, 134> exposition de peinture. < 5 (Jusqu'au 15.) { ^ — A la Salie « Studio », 2, rue des Petits 1 r. Carmes, œuvres de M. Jan Van Geemput. (Jus- « qu'au 14.) * .i — A 2 h., au Musée Moderne, ouverture du ~i Salon de la Libre Esthétique. | — A la Galerie d'Art, rue Royale, 138, œu- J - vres de M. Moneassel, caricaturiste. ' — A 2 h., dans les locaux ce la Maison du Li- ( ' vre, 46, rue de la Madeleine, exposition phila- J - télique internationale. — A 8 h., à la Grande Harmonie, rue de la { - Madeleine, nouveau concert suivi de sauterie : J » % Les deux billets » ; intermède ; « Les Noces - de Jeannette ». ] B — A 8 h. 1/2, ruo Royale, 134, seconde coufé- . rence de M. l'abbé Klein. SPORTS. — A 7 li./ chaussée de Waterloo, . ^ 561, Marathon sur patins à roulettes. Traditions culinaires. — Qui n'a constaté la vogue durable et certaine du t spéculaus » ou « spéculation » (selon un vocable incorrect), non seulement dans le petit peuple bruxellois, mais dans toutes les clauses de La société? Là où les -< mastelles », les « dure-longtemps », les a kran-kens », etc., etc., ne parvenaient à s'imposer, les figurines de pâte croustillante s'imposèrent... Mais pour bruxellois qu'ils soient, ces « spéou-laus » ne peuvent se revendiquer d'une origine bien nettement locale. Il n'en va pas do mémo pour le « pain à la grecque ». Celui-là, d'origine nullement hellénique, mais très certainement bruxelloise, a trouve droit de cité complet: admis à la table de nos rois, le pain à la grecque connaît les gloires des tables somptuaires de la noblesse bruxelloise et de la « bonne société ». Inventé par un boulanger-pâtissier du Eossé-au-Jionp («t Uracht » en flamand), ce bonbon de iir.uxeiles fut nommé, du nom flamand delà rue où il se fabriquait, « broetl van dc-n Gracht » : « tfain du Eossé-auX-Loups ». A la Révolution, les Français se plurent à traduire ces vocables locaux qu'ils ne comprenaient mie, par une * équivalence » (I) phonétique on français. Comme de « Y<n'st > ils avaient fait Forest et Boitsfort de « Boschvôorst », ainsi de « broed van don Graoht » firent-ils — admirez leur jolie audace! —- « pain à la grecque ». Peut-être bien que c'est à cette appellation « distinguée » que lo bonbon bruxellois, promu aussi fortuitement au rang «to produit balkanique, dut d'être reçu dans les milieux raffinés et seleots de la grand'ville de JBrabant. Depuis, un certain orgueil patriotique, un certain sens du particularisme s'est manifesté à Bruxelles, dans Fart culinairo notamment. C'est ainsi que, grâce surtout à do très hauts exempts, la bière bruxelloise par excellence, la k geuze-lambic », a été introduite il n'y a que quelque dix ou quinze ans dans les grands cafés , de Bruxelles. Il ^t"Vràî que la « geuze » a pour , elle non seulement 1e culte que lui voue le plus ^vaut des habitants de la capitale — j'ai nommé ' S. M. Albert 1er, roi des Belges — mais encore ce rare avantage que, bière bruxelloise en bou-j teille, etto est servit seloa le rit^ des plus Bolen- ; nele sommeliers versant le plus rare des bourgo- g giies aux plus gourmets de nos buveurs wallons ! r » Et cela aussi a quelque importance dans les oau- p j ses du succès de la « geuaie ». j Une invention récente a fait d'ailleurs monter le dit lambic aussi haut dans l'estime de set, ® " anciens feiveuts que les nectars étrangers, îes " ^ plus fins. « kriekon-lambic » est une invention bru- r t xelloise que bénissent déjà maints voyageurs il- d , lustres a qui te boulevard Anspach révéla cette c . succulence ! > Quant au-x « ckoesels », dont l'apparition «Ur ^ les cartes des grands restaurants bruxellois date ^ ^ de quelques années, ils sont réputés déjà dans y tous les continents terrestres, et nul ne sait jus- „ » qu'où grandira la vogue de cette meiveille tu- , ; linaire de nos Vatels « bruxellisants ». Géo. -1 , r -LesfAWB©y4Ciâ j Nos Souverains «ans le Grand-Duché îc c J Luxembourg. — Nos Souverains rendront 1 • les 27. 28 et 29 avril, à la Grande-Duchesse " la visite qu'elle leur fit, à Bruxelles, l'an , 1 dernier. Voici le programme prévu pour J ces trois journées : , T.e 27, dîner de çaîa, au palais grand-ducal; » fête populaire en ville ; 1© 28, concert au Palais k municipal, organisé par le Conservatoire de musique Cantate eu dialecte luxembourgeois : pa- | ' rôles de M. Alexis Brasseur; musique de M. Vio- j tor Vreuls, un Belge, directeur du Conservatoi- + 1 re ; le 29, départ. t r - Dans le corps diplomatique. — Le comte [ > Louis d'Ursel, seci-étaire de légation, à Pé- 1 kin, ira remplir les mêmes fonctions à Té- c 5 héran. 1 t . j Le parachèvement (lu Cinquantenaire. — e j Voilà troia années que l'on parachève le u t Cinquantenaire. Les travaux ont coûté en ù - 1912, 450,000 fr. ; en 1913, 425,000 fr. ; pour - - 1914 une somme de 350,000 fr. est prévue 3 sait un total de L225,000 fr. La section ecp- ^ 5 traie qui a examiné le budget extraordia^i 1 r re pour 191^ a demandé au Gouvernement i - en quoi consistent ces travaux et si 1914 en c ; verra la fin. c M. Helleputte a répondu: Les travaux do parachèvement comportent: d ■ les plafonnages, la marbrerie, les menuiseries, e les pavements, les ferronneries, les installations c sanitaires et d'éclairage, les galeries Jjouterrai-nés en béton armé pour le chauffage oentral et l'achèvement des installations de chauffage cen- s irai. • Tous ces travaux sont achevés ou sur le point I de l'être. t Il restera à exécuter ensuite les travaux de - peinture, do décoration, d'ameublement, etc. t « Miousic is monnaie... » — Sous ce titre, c t on lit dans un confrère catholique de Bru- { xelles : Mercredi, aveo un ensemble touchant, le £ !. « Peuple » et le « Journal de Charleroi » consacrent des commentaires au procès intenté par * s les directeurs de l'exploitation commerciale dite 1 i- « Théâtre de la Monnaie » à un honorable con- i frère bruxellois. ^ Les deux journaux socialistes, sans attendre le jugement, prennent parti pour les négociants | L_ en musicrue. Le « Peuple » va jusqu'à secouer, avec la délicatesse qu'on lui connaît et qu'expli-quent ses démêlés fréquents avec Thémis, l'or-t_ gane du ministère public. Celui-ci a osé dire, figurez-vous, que les articles du confrère attaqué ne justifiaient pas la < . demande des négociants en question. A-ton idée ' de pareille audace 1 Ces journaux socialistes, si empressés do faire . leur cour aux FF.*, négociants, se frappent eux-i_ mêmes en combattant aveo tant de précipitation ce qu'un de leurs confrères et le ministère public estiment être le droit de la presse. Mais voilà 1 Si certains industriels ne pouvaient _ pas compter sur l'amitié, qu'est-ce qui leur res- - terait? Messieurs les exploitants de la Monnaie, sub-sidiés par la ville de Bruxelles, sont deux fois justiciables de l'opinion publique. D'autre part, il s'en faut que leur petit personnel soit traité comme îe « Peuple » dit que les prolétaires le seront dans la future société collectiviste. N'empêche que les austères organes de la démocratie socialiste prennent tout de suite parti pour ces •andîalistes. Nous leur payons avec plaisir le tribut de notre admiration... — Côte cPAzur, 16 mars,' Italie, 20 avril, Lourdes et Pyrénées, 13 avril. Voyages de a noces et particuliers, François, 45, boule-u vard du Nord, Bruxelles. 4844-757 ,n — is La Ligue belge de l'éducation familiale a 36 tenu, jeudi, à Bruxelles, son assemblée gé-nérale annuelle. Durant l'année 1913 la Li-}H gue a organisé nombre de conférences, par-[i ticipé à plusieurs congrès,institué des cours l0 de pédagogie familiale dans des maisons lo d'éducation, etc.. etc. A la suite de ces ie cours, plusieurs élèves ont passé un examen it spécial. ie — Ce qui reste de \sc première enceinte 'a de Bruxelles. — Un de nos lecteurs fait re-marquer que la « Verloren> kost Poort » f~ (Parte à frais perdus) ne faisait point par-, tie de la première muraille qui encerclait ® déjà notre ville au début du XIII® siècle, j' Construite peu de temps avant la seconde ?s enceinte fortifiée qui suivait la ligne des îe boulevards extérieurs actuels, cette porte s. perdit son utilité ; de là, sans doute la dé-ît nomination pittoresque que lui donnèrent *1 les Bruxellois. ie La rue Rem-part des Moines doit son nom ^ au mur précédé d'un fossé qui clôturait de îî ce côté le couvent de Jéricho.^ t m De la Tour Noire les Mortification g al-/. 1 aient directement vers la rue Ste-Cathe-rine où existait une porte de la ville de ce in nom. Au fond de l'immeuble, au numéro à 42, se voit encore une partie importante de l'ancienne courtine formée d'une série j1" d'arcades dont les creux servent d'alcôves. Des vestiges importants de notre premiè-Ie re enceinte subsistent encore à l'établisse-^ ment St-Georges, Ecole des Frères, rue us des Alexiens, où se remarque sortant d'un bâtiment moderne le sommet d'une tour en re moëllonfi à toiture en poivrière. L'accès en u- est par le numéro 29, rue de Villers: de n- U chambre semi circulaire du rez-de-chaus sée part un rudimentaire escalier de pier- < re conduisant aux étages et de là au som- 1 met du mur des fortifications qui s'étend < des deux côtés à une assez grande distance 1 et se découvre le mieux derrière les immeu- ] ble« numéros 35 et 39, rue de Bavière. Enfin derrière la Bibliothèque Royale se i remarque également des restes importants r du vieux mur percé de meurtriè»res et qui 1 contournait l'ancien hôtel de Nassau. c — i — Au Sablon. — Voilà des mois que l'on c a commencé des travaux pour la mise à ni- c veau et le pavage des terrains sur lesquels c avaient été installés les lïa-n.ga-rs pendant la restauration de l'église, du côté de la 1 rue Rollebeek. 1 Entre cette rue et l'escalier d'entrée de c l'église de oe côté il y a quelques mètres de 1 pavage à exécuter. On a abaissé le sol, ren- * dant l'accès de l'escalier plus difficile, puis j on s'est arrêté. Aujçurd'hui on en est ton- » jours au même point. En ce moment, on re- j mue à nouveau la terre le long du chemin 1 et l'on a déposé un tas de pavés juste sur le chemin d'argile gluante, sur lequel les vieilles personnes glissent après avoir ris- 1 , qué de se casser le cou, à la période de la '• neige et de la gelée. — Banque d'Outremer, 48, r. de Namur, J , Bruxelles. — Location coffres-forts munis ' des derniers perfectionnements, toutes dimensions aux prix les plus réduits. i ; B45S0-4S2a « — Le tunnel île ceinture. — Le long du i ■ boulevard Olovis qui s'amorce au square ; Ambiorix, s'ouvrent d'affreuses et gigan- ! tesques cages de tôle, noires, d'où s'échap- < pent toute la journée des flots de fumée. : , Ce sont les cheminées d'aérage, fort peu . ; agréable pour les voisins, de la ligne de chemin de fer Schaerbeek-Quartier-Léo- ; pold. Un accord est intervenu entre l'Etat et la commune de St-Josse pour la buppres- ■ sien de ces cages. En ce moment on couvre i une partie des surfaces ouvertes avec , des poutres en béton armé, et de distance • en distance on ménagera des cheminées > 'Jindes, beaucoup moins grandes, peu éle- - vées et peu apparentes,en béton aussi,pour ?j&ërage du tunnel, comrac on le fera, du : ^ reste, tout le long du nouveau boulevard i créé sur la ligne de ceinture voûtée jusqu'au delà du parc Josaphat. L'assemblée générale du comité national ; des fédérations des cercles de fermières a ! • eu lieu, jeudi, à Bruxelles sous la présiden-5 ce de Mme la baronne délia Faille d'Huys-l se. Le rapport sur l'activité de ces organi-„ sations en 1913, présenté par Mme la baronne ae Rosée, marque une situation très b prospère. Actuellement il y a 266 associations comptant près de 29,000 membres. > Des rapports intéressants ont été présentés au sujet des desiderata des fermières en * ce qui concerne la prochaine organisation » du 4e degré d'études primaires pour jeunes " fill©3 de la campagne. Des rapporteurs ont été désignés pour le congrès de l'embellis-9 sement de la vie rurale. La présidente de la section des agricul-r teurs de France, Mme la comtesse de Ke-e> ranflech-Kernezne, prononça quelques pa- - rôles en faveur des cercles de fermières. a — Semoîs c: Ze Sanglier », pour amateurs. En s paquet de 0.20, 0.30 et 0.50 centimes. 4681-621 — Dans les gadoues. — Bruxelles a dépensé en 1911 et par habitant, 4 fr. 28 pour _ le service du nettoyage de la voirie, tandis a que St-Josse en dépensait 3 fr. 46 ; St-Gil-o les 3 fr. 03; Anderlecht, 2 fr. 45; Ixelles, 2 fr. 32; Sehaerbeek, 1 fr. 72; Laeke>n 1,47 0 et Molenbeek, 1,36 pour le même objet. " Bruxelles exploite le service de nettoya-~ ge public en régie, de plus la ville possède une usine d'incdnérationo qui va être rem-t iplacée par une autre plus grande, paraît-il, :- et mieux appropriée. Ixelles et St-Gilles ont organisé le ser->- vice en régie partielle ces communes ex-[s ploitent une usine d'incinération,mais l'en-Jj. lèvement des immondires est assuré par un entrepreneur. [_ Régie partielle également à Anderlecht, e à Molenbeek, à Laeken et à St-Josse. Ces >s communes ne possèdent pas d'usine d'in-ie cînération. L'entretien des voies publiques, outre les ■ travaux de réparations nécessité® à des in-' tervalles plus ou moins réguliers, compor-® te le balayage, le lavage et l'arrosage.Ces travaux doivent se faire aussi discrètement 1 que possible, sans trop incommoder les habitants. C'est pour cette raison que dans la plupart des grandes villes allemandes, ■" le nettoyage de la voie publique se fait la nuit de sorte que les rues y sont propres, ;s fraîchement arrosées dè?f le matin et dé-a barrasse es des^ équipes d'ouvriers, lesquels ^ n'ont pas ainsi à entraver la circulation,ce n ciui est fréquemment le cas chez nous. A propos des balayeuses mécaniques, également en usage en Allemagne, faisons c remarquer qu'il est indispensable que les ». détritus ramassés par cet appareil soient j » enlevés de suite sans quoi ils sont distri-bués à nouveau sur la voie publique par it les voitures et les charrettes, ce qui se ». produit souvent à Bruxe^es. [e ■ B — Chaussures soldent 24, r. de la Bourse, 25,chaussée de Louvain et 5^7,Pont delà Carpe. Ie 11865 5- ♦ La loi scolaire au Sénat. — La commis-m sion des sciences et arts du Sénat a ter-le miné la discussion relative aux dispositions qui visent l'enseignement de la Religion et j_ de la Morale. La plupart des membres y e_ ont pris part. La commission s]est ajour-îe née à mardi et a décidé de terminer 1 exa-men du projet vendredi prochain. Le rap-port sera dépos^ danB la quinzaine et la discussion publique pourra commencer g après les vacances de Pâques, èl • — Les vols. ^ Un bon Bruxellois, gref-lD fier au parquet, se trouvait, hier soir,avec >,n sa famille dans un music-hall du bas de la in ville. Comme, à l'étage, .on dansait le Tan-jc go, et que la foule des curieux se partait ^ de ce côté. 1e jeune greffier alla risouer un coup d'ceil et fut pris aan^ le remous de la fou Je. A peine sorti de l'établissement, il p constata la disparition de sa montre et de p sa chaîne en or. Plainte a été portée à la police. — Vendredi après-midi, M. Ernest Fleiac, r rentier, demeurant à Paris, rue Longier, P 92, retournant à Paris, avait déposé sa va- t; lise derrière lui, sur un banc, dans la salle d d'attente de Ire classe de la gare du Midi, e Au moment où il voulut la reprendre, il ii constata qu'elle avait disparu. La valise d contenait des bijoux, une somme d'argent, cl des vêtements et d'autres objets de toilette, a — M. SchobeJ, industriel à Charleroi, Vil- c] le Basse, prenait jeudi soir, avenue Marnix, ti le tram qui deaait le descendre à la gare p du Midi. Arrivé dans la gare, il a constaté g la disparition de son portefeuille renfer- r-mant 800 fr. en billets de banque. La vie- fi lime soupçonne deux individus, qui l'ont li bousculé sur la plateforme du &am bondée e de voyageurs, Il a donné leur signalement à la police. si — Chronique des accidents. — Un ou- j* vrier emballeur, M. Nicolas M.... âgé de 34 » ans, demeurant chaussée de Wavre, tra-versait, samedi matin, la chaussée de Wa- £ terloo, chargé d'un volumineux paquet, (-lorsqu'il fut tamponné par un tram et grièvement blessé. Après avoir reçu des soins dans une phar- i macie voisine, le blessé a, sur sa demande, L été reconduit à son domicile. — Vendredi après midi, une collision s'est produite, rue du Marché aux Poulets, entre une automobile appartenant à M. Houchard, rue de la Victoire, 194, et une charrette attelée d'un cheval, appartenant à M. Jordens, rue du Fort, 4, à St-Gilles. r Les brancards du véhicule ont défoncé la £ voiture, qui, heureusement, était inoccu- , pée. d — Jeudi vers 9 heures du matin, une col- " lision s'est produite, avenue de la Couron- P ne, à Ixelles, entre un tombereau chargé ^ de sable et attelé d'un cheval, et un tram ^ venant du Bois de la Oambre. Le charre- 11 lier, M. Charles Thielemans, demeurant ^ rue du Relais, qui marciiait à gauche de 1 son cheval, a. été pris entre son chariot et le tram, et grièvement hleVsé. On l'a trans- 3 porté à l'hôpital communal Le tombereau c a été endommagé. e — Une charrette attelée de quatre chiens ^ et conduite par Charles Heyvaert, demeurant à Buggenhout, longeait, vendredi ma- 2 tin, la rue Wayez, à Anderlecht. Soudain, r l'attelage a été tamponné par un tramway ^ allant vers la ville. M. Heyvaert, lancé sur -le pavé, a^ été relevé gravement contusion- ] né à la tête. La charrette a été démanti- ^ bulée. — Mme Yvonne Mortellemans, habitant chaussée de Charleroi, se rendait en ville, c vendredi matin ; arrivée au boulevaerd du Hainaut, elle fut renversée par un auto- c taxi roulant dans la direction de la gare du Midi. 1 Dans sa chute, la victime b'est blessée à la tête et fait des contusions aux bras et J aux mains. ^ r t — Le fils, âgé de 7 ans, de l'agent de po-lice M. Couvreur, d'Ixelles, demeurant rue , Sans-Souci, 208, en longeant, vendredi dans ' la soirée, la dite rue pour rentrer au domi- 1 eile paternel, a été renversé par un cyclis- y te. Le garçonnet a été porté au domicile pa- j ternel, ayant le crâne ouvert et portant de sérieuses blessures aux jambes et à la poitrine. La police a dressé procès-verbal à " charge du pédaleur. , — Le même soir, Mme Sterckèndries, de- J ' meurant rue Vandyck, 45, à Sehaerbeek, en voulant traverser la rue Royale, à hauteur ( de la rue ^Botanique, a été renversée par un , vélocipédiste qui se dirigeait vera la porte de Louvain. Mme Sterckendries a été grièvement blessée à la tempe droite. Elle a : trois dents brisées et souffre de douleurs internes. La blessée a été conduite à l'hô-pitaJ.— Un ouvrier charretier, M. Philippe ' Vandievoet, demeurant au Heysel, à Lae-■ ken, conduisait, vendredi après-midi, bou-• levard du Midi, un tombereau chargé de ' charbon. A un moment donné, l'homme glissa sur les payés humides. Il tomba et , une des roues lui écrasa la main. Le mal-s heureux a été conduit à l'hôpital Saint- - Pierre. 5 — Rayons X. Prix 5 fr. 31. r. de Malines. F10009 5 — Cycliste renversé par un automobile, b — Vendredi matin un garçon de 15 ans, du 3 nom de Jules V..., roulait à vélo, avenue , Louise, lorsqu'il fut renversé par un auto-, mobile qui débouchait du Rond-Point. Le i jeune homme fut précipité sur le sol et re-, levé grièvement blessé. Il a. été transporté - à l'hôpital. î . —; £c feu. —- Une panique s'est produite, jeudi vers 11 heures du soir, rue Thomas , Vinçotte, à^ Sehaerbeek. Le tram parti de s la rue Verbiest pour le cimetière d'Evere. à 5 10 h. 50. était arrivé dans la rue précitée, b lorsque la voiture fut entourée de flammes - énormes, à la suite d'un accident survenu r au moteur. Les voyageurs, alarmés, ont 3 pris la fuite,en dépit de la pluie qui tombait à torrents. Aucun accident de personnes, heureusement. — Jeudi soir, une jeune servante d'un L1 hôtel particulier de l'Avenue Marnix, Mlle J Mélanie B..., âgée de 25 ans. nettoyait ses vêtements au moyen de benzine. Soudain, t- par suite du contact du liquide avec la - flamme d'un bec de gaz, une violente explo-s sion se produisit. Un commencement d'in-t cendie s'ensuivit. Le feu fut rapidement y éteint par les pompiers, accourus à la pre-•- mière alerte. La jeune fille a été gravement /- brûlée au visage et aux mains. a — Vive panique, rue Haute. — Vendredi, r vers 7 heures du matin, au passage d'un tram venant de la porte de Hal et se dirigeant vers la Bourse, l'un des nombreux câbles qui se croisent à l'angle de la rue t- Haute et de la place de la Chapelle, se mit c à flamber et menaçait de-communiquer le a feu aux autres. A ce moment, la circula-i- tion était déjà, très intense. La police du it poste de la rue Haute organisa un service n d'ordr*. afin de tenir à distance les pas sa—«Muni m iimi ii a—is. sants et les véhicules. Heureusement, îe personnel du tram parvint à éteindre promptement le câble en feu. — Fausse alerte. — Vendredi à 11 heures et demie du matin, le boulevard Ans-pacli a été mis en émoi pendant un instant et une foule, qui en un instant, était devenue énorme, prenait ses quartiers comme pour assister commodément à un incendie, les petits devant et les grand* derrière. Les dévidoirs automobiles, l'échelle des grands jours, étaient accourus au premier appel au son de leurs grosse» cloches tintinabulantes. Après une inspection soigneuse faite par un officier des pompiers et quelques hommes dans ail grand cinéma du Boulevard Anspach.on dut veconnaître-qu'il ne s'agpssait que d'une fausse alerte.La foule semblait déçue qu'on la privât d'un spectacle intéressant et c'eet en maugréant qu'elle se retira. — Un noyé. — La police de la 3me division a retiré, vendreai, vers cinq heures dtï soir, du canal de Charleroi, le ca!davre d'un homme âgé de 35 à 40 ans. D'un certificat trouvé sur le défunt, il semble résulter que celui-ci serait un ouvrier plombier, M. Guillaume Dedoncker. La « fiamanâisation » de l'Université ne Mi LE PROJET EN SECTIONS. Les six sections de la Chambre se sont réunies vendredi après-midi pour examiner le projet de loi de MM. Van Cauwelaert-Franck-Anseele transformant l'Université de Gand en Université flamande. 112 membres étaient présents ; 60 ee sont déclarés partisans du projet et 41 adversaires Onze membres se sont abstenus. La section centrale se composera de MM. du Bus de War-naffe, Neujean, Versteylen et Ponoelet.-adversaires du projet et de MM. Siffer et K. Huysmans qui eu sont partisans. En première section, M. de^ Broqueville s'est déclaré partisan en principe de la création d'une université flamande mais ^ entend s'abstenir actuellement les modalités d'application n'étant pas formulées. Le Gouvernement est d'avis qu'un enseignement supérieur flamand doit être oréé mais il n'est pas décidé à supprimer l'uDi-versité française de Gand . M. La-mborelle a défendu le projet. MM» Van Marck et Lemonnier l'ont combattu, M. Vandervelde est partisan de la création d'une université flpnande qui n'entraînerait pas la disparition de l'université de Gand. La proposition a été rejetée par 10 voix contre 8 et 4 abstentions. M. du Bus de Warnaffe a été nommé rapporteur.En 2e section, MM. Delbeke et Daens ont défendu le projet tandis que MM. Verhae-gen, Masson et Destrée s'en déclaraient adversaires.M. Poullet a fait valoir en 2e section îe» arguments présentés en Ire section pao* M., de Broqueville. M. Braun a déclaré que la bourgeoisie de Gand était hostile à la flamandisation de l'Université ùe cette ville. Le projet a été rejeté par parité de voir-soit par 9 voix contre 9^ et 2 abstentions. En 3e section, îe projet a été adopté par 12 voix contre 5 et 2 abstentions. M. Siffer a été nommé rapporteur. En 4e section le projet a été adopté sans discussion par 10 voix contre 4 et 2 abstentions (MM. Mabille et Mechelynck). M. C. Huysmans a été nommé rapporteur. En 5e section, M. Versteylen présidait. M. Goblet n'est pas adversaire en princi-; cipe du projet, mais il est hostile à la dispa-' rition de l'Université de Gand en tant qu u- niversité française. 5 M. Van Cauwelaert. — Si nous sommes ■ d'accord sur le principe, nous pouvons noue " abstenir sur le projet J M. Versteylen. — Rien ne dit que nous ' sommes d'accord sur le principe. Il faut que t nous procédions au vote. Le principe est adopté à l'unanimité et ?e - projet Franck-VanCauwelaert-Anseele^ est adopté par 11 voix contre 7 et 2 abstentions. M.Van Cauwelaert propose alors de nom- ■ mer M. Vandeperre rapporteur. M. Mélot ) propose de nommer M. Versteylen. Au vote, M. Versteylen obtient 11 voix contre 9 à M. . Vandeperre. i Une situation analogue s'est du reste pré-5 sentée en 6e section. 6° section. — Présidence de M. Woeste. 3 M. le président s'abstiendra car il consî- - dère que pareil projet est plutôt d'initiative S gouvernementale. Une solution conciliatrice est souhaitable et facile à trouver M. Poncelet combat le projet tout en re-, connaissant- le droit pour les Flamands s d'avoir un enseignement supérieur en levïr 3 langue. i Le projet Franck, dit-il, constituerait une , contrainte pour un certain nombre de fa-s milles flamandes^ et il supprimerait dans le i pays un centre important do culture fra-n-t çaise. t M. Feron propose un amendement en , deux parties. lo II sera dit-il, institué un enseignement n supérieur flamand ; e 2° l'Université française de Gand est s maintenue. , Le 1° a été adopté ; le 2° est rejeté, a M. Poncel«t qui avait.combattu le projet i- a été nommé rapporteur par# 10 voix contre - 8 à M. Moyersoen qui l'avait défendu. t « , y- 4 le iratio des poes de Gioa irencs. IL SE FAIT MAINTENANT EN AUTO» n MOBILE.— UNE AUTO. CHARUÉÊDE 1 SACS D'ÉCUS, TAMPONNE UN FIA- x CRE A TOURCOING. c t La nouvelle réglementation prescrite pur e le gouvernement belge pour enrayer l'ex- i- portation de nos pièces de cinq francs en n France comporte notamment la désignation >e de certaines gares, qui seront secles ouver- s tes à oe trafic, et l iui?osiW>n d'un droit Vc ^ •' Samedi 7 mars 5 914. La publicité de nos offres et demandes d'emploi et de sujets est la plus coasidérabls ea Belgique. 2lino 66.

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