Le quotidien

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s.n. 1916, 26 Mars. Le quotidien. Accès à 21 septembre 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/wp9t14vz36/
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8\ Le numero 5 centimes Dimanche 26 mars igio. Afresser toutet tef comnnmicafiwis A LA gtioa générale da "teflfit^ J./5, boalevard Militaire lo$ maniMcriti non ln«érê« Oo tont pa* rendot. Gastod BONÏfET/BLrectear générül, A. BOGHAEKT-VACHE, Eédacteur en chef. .^DRESSER TOUT CE QUI CONCERNS LA rüBIilCITJÉS A ARTHUR LAURENT Administration pout" la Beïgiqut gae da ffiidi, 70 (prés de la Boarsf) Le journal decline toute responsibility quant a ia teneur de» annoncea. fftmédecine militaire dans la Grèce antique Ti semblö que l«ö historiën» se soient con- LL pour cacher a la postéiitó lout ce qua %cöö Texercicö de l'art de guérir dan» &rmées grecques die l'aaftiquké. Est-il luesible pourtant que les Grecs, peuple usavauts et de soldats, aiemt emvoyé des [■Ltaincs de mille hommes sur les champs ;'fbataille, saus songer aux soins a donner blesses, a une époque surtout oü les iattants iuttaient corps a corps, et oü, '^consequent, les blessures par javelots ■L armes blanches étaient tres nombreuses? fjoa certes. Et les rares documents que [nous possédons vont l'établir a suf usance- j Homère est naturellemeni ie premier au-Lr auquel nous nous adresserons, et c'est [hu» l'i/tode què nous trouverons les pre-auèies, les plus anciennes indications. Tout le monde connatt, par 17/iade, Ma-[jlnon[ 4 Podalire, fils d'Esculape, qui sui-yi^at l'armee des Grecs au siège de Troie. ilachaoin est cité plus souvent que Podalire, 'o»qui a fait supposer qu'ü était plutöt chi-rurgjen. et que Podalire s'occiipait plus Lcialement de médecine, ou mieux d'hy-adue et de régime, car, a cette époque, on Üeglagieait un peu les maladies, qtfon consi-denut comme des fléaux envoyés par les jieux et reclamant surtout des sacrifices et p prières. En tout cas, cette question de judcialité n'a pas grande importance pour Us ne furent pas les deux seuls médecans ie l'armee des Grecs, car Homère nous dit qUidoineiiee, rencontrant un Grec blesse au jtaet et porté par ses compagnons d'armea, a lit coiiduire « aux medecui© ». 11 est probable que chaque nation avait ses aededüs, bien qu'Homère ne nous en fasse üoüuaitre que deux, pour uwe flotte de 1,194 vajsseaux, comptant environ cent mille hom-W Les me deems attaches aux armées grec-|iesn'avaientpas| un röleexclusivementmé-ilical: ils etaient aussi combattants. Machaon I Podalire commandaieiit a treiite vaisseaux portant les guerriers de Trikka, d'lthome et ÏUbcaahe, dans le Péloponèse. Ils etaient Mes aux combattants, et Homère nous apüorte que Alachaon Lui-même fut blesse i l'epaule par Paris, époux d'Hélène, et Bootte vers les vaisseaux. Leurs connaissances chirurgicales etaient talore peu étendues. Ëlles consistaient dans l'arrèt du sang, dans i'apaiseaieut des dou-leurs, dans l'arrachement des traits. Lors-que Ménélas fut blessé, Agamemnon envoy a cberctier Machaon, a qui arracna le trait du solids baudrier, en pioyant les crochets mjjus... et après avoir examine la plaie 'aite par la Heche et suce le sang, il y versa jadroitement un doux baume que Chiron avait autrefois donné a son père... » G'était la une sorte d'antisepsie primitive. Le même braitement est suivi lorsque Eu-rypile est blesse, et c'est Patrocle qui fit ['operation, car Machaon étaU blessé dans ■» lente. A défaut de medecuis, des compagnons d'armes en faisaient I'office. Chaque blessé retournait done dans sa ieote ou bien y était porté. Lorsque Machaon avail éte blessé a l'epaule par Pans, ido-aeoee avait present a Nestor d'emporter le blessé sur son char et de le conduire aux wusseaux. Si * les coutumes de son temps, et nous de-roa» tenir un grand compte de ce qu'il nousAconte sur la vie militaire d'alors. « Depuis la guerre de Troie, a écrit Concreet, on avait substitué l'usage de la ca-?»lene?» è celui des chars. L'art de panser [«•blessures, de remedier aux luxations et luxfractures, de trailer les maladies, était jiercé par des hommes qui, sans former j*teun corps, sans aucun mélange de su-[pörstition[, se dévouaient au secours de leurs 'Wnblabks, les uns par l'appat du gain, Paulres seulement par l'attrait de la gloire.» Huit siècles environ se sont écoulés entre * guerre de Troie et la naissance d'Hip-?°crate?°, et, pendant ce long espace de 8ttlP9, aucun écrivam n'a mentioimé 1 exas-£üce£de medecins militaines. Pourtant,Wgue (IX° siècle avant J.-CJ, d'aprèsp'iopQon, avait régie la place dos medecinsn08les armées lacedémomennes : « Sousr même teute, dit-ü, étaient les devims, adeems, joueurs de flüte, chefs de^pe, etc.» l XéoopaoQ nous fournit des détails plus fécisen racontant la retraite de dix milie p8atravers l'Asie Mineure (401 avant m. f Après la 1Perse, des medecins étaient également «achéy a l'armee : on en faisait grand cas, car, dit Cyrus, « qu'est-ce qu'une armee sans la santé »? Xénophon rapporte encore ces paroles de Cyrus ; « Pour la santé, j'ai en-t&ïidu dire et j'ai vu que, comme les villes qui veulent être en bonne santé se choi-sissent des medecins, les généraux amènent avec eux des medecins pour leurs soldats; par conséquent, a peine entre en functions, je m'en suis préoccupé, et je crois que j'ai avec moi des hommes habiles dans Tart medical. » Gtésias, originaire d'Ionie, de la familie des Asclépiades, était depuis dix-sept ans è la cour du roa de Perse, Artaxerxès, et c'est lui qui donna des soins au roi blessé d'un javeiot a la poitrine, sur le champ de ba-taille de Cunaxa. En Macédoine, Philippe et Alexandre avaient aussi leurs medecins qu'ils emme-naaent dans leurs expeditions. Au siège de Méthone, quand Philippe fut blessé a l'ceil par un archer, il regut • immédiatement les soins de son médecin Critobule. Alexandre emmena avec lui plusieurs medecins en Asie. Celui quö occupait le premier rang était Philippe d'Acarnanie, qui raccompagna dans toutes ses expeditions. Ce fut lui qui donna des soins a Alexandre lorsque le rod commit l'imprudence de se baigner dans les eaux Au siège de Gaza, Alexandre fut blessé par une flècke qui perca la cuirasse et se .fixa dans l'epaule. Philippe scia le bois de la flèchê, óta k cuirasse, fit une incision prof oude pour arracher ie fer du dard. D'a-près Amen, ce serait Critodème qui aurait pratique 1 ablation du trait. L'historien Pausamas raconte qu'a la ba-taille de Sellasie (JtöJJ avant J.-C), Philo-pcemen fut blesse aux deux cuisses d'un coup de iance. L'arme brisée resta dans la plaie. Les medecins retirêrent d'une cuisse ie talon de la lance, et de l'autre la pointe. Plutarque dit que ceux qui se trouvaient presents n'osaient toucher k ce javeiot, mais qu'è force de remuer les jambes et de les secouer, Philopcemen brisa le trait par le milieu et en fit retirer de la plaie les deux. fragments, sépa^"y21. . On sai t que Pinj\/\ r-quo n'est pas toujours d'une exactitude scru-puleuse : l'essentiel pour nous est de dé-montrer la presence de medecins dans les armées grecques. * *# Depuis iors, jusqu'è la reduction de la Grèce en province romaine (146 avant J.-C), nous retombons, quant aux Grecs, daas robscurité la plus profonde. A. COIILIEU. ■■■■ ■>"*eHKw» ig■ ■■ ■ 1 Noixvelles de la Guerre -£—<»•£ «sa» < BULL£TgS« ALLEMAHO Berlin, 25 mars. — (Communiqué de midi.) 1 hèdtre de la guerre a Vouest: La situation n'a subi aucun changement essential, depuis hier. Dans la region de la Meuse, il y a eu des tuütes d'artillene particulière-ment vives» au cours desquelles nos obus ont mos le feu a Verdun. Thèdtre de la guerre a Vest: A rouest de ]akobstadltles Russes, ayant amené des troupes fraiohes, origmaires de la St-dérie, ont fait une nouvelle attaque, pré-cédée d'une vigoureuse préparaticm d'ar-tillerie. Cette tentative a echoué avec de grosses pertes pour 1'enïiemi. Queiques pe-tites attaques ont été aisémen/t. repoussées, au sud-ouest de Jakobstadt et au sud-ouest de Dunabourg. Les efforts que Ten-nemi a tentés, a plusieurs reprises et même ia nuk, centre noire 'front au nord de Widsy sont tous restés aussi complètement inutiles. Plus au sa-d, dans la region du lac Narocz, hier, l'aotiv-ité de l'ermemi s'est réduite a nous canonner. -Dans les Balkans : Lors d'une nouvieLle attaque aérienne, un avion ennemd a été abatfcu par un de nos aviafceairs. Etant tombe entre les deux lignes de front, rappareil a été détrnit par le feu de notre arfci-llerie. Berlin^ 25 mars. (Officie!). — 11 se confirms maintenant, — ainsi que des nouvel-les, parvenues ici de sources différentes, l'avaient déja signalé, — que le 29 février, il y a eu, dans la partie septentrionale de la Mer du Nord, un combat entre le croiseur auxiliaire aÜemand Grcif et trois croiseurs et un contre-torpilleur anglais. An cours de ce combat, le croiseur Grcif a torpiüó et couló un grand croiseur anglais de 15,000 tonnes environ, après quoa, ii s'est fait sauter lui-même. Environ 150 hommes de {'equipage du Greif sont devenus prisonniers des Anglais ; leurs noms ne sont pas encore con-nus. L'ennemi, qui, du reste, observe un mutisme des plus sévères sur cette affaire, les tient isolés en leur interdisant toute communication avec Ie dehors. Des mesures sont prises pour mettre fin a eet état de choses. LES AKMüHliis ALLlSMA^DES Arrêté con.oeraanfc lea mesures desbinées ;i assurer Ie foaefcienn-emeat de 1'administration dd la commune d'Etterbeek. — Attendu que Les votes da conseil commamai d'Eterbssk ont, dans les ssan.cec des domières semaineSj donné habituellement parité de vois et que, coniocmómeut 4 1'art. 65. alinea 6 de U Ioo. communale, il «a eafc résulté k rejet des proposition soumises au conseil; Attendu que ce fait & pcovoqué Un a-rrêfe complot des affaire* d* l'administration communale; Attendu qu'ü imports de nieste» fin è cette 8)tQft-fcion, qui compromet la aécoxité pofalique, j'arrête ce qui suit, jxisqu'a nouvei ordre x Si une proposition sooims® au conceal communal d'Etfcerbeek par ie college des bouxguieaure et éche-vins est rejetee a deux repriea» eucecauvej par parité de voix ou ai, bien que le college des bourg-mestre et échevins ait eounua deux foia une propo sition, le conseil communal ne prend pas de resolution Legale soit parce qu'il n'était pas dans les conditions requisea pour prendre une rósolulioa va-lable, soit parce qu'ü a refuse de delabérer sua? cette proposition, il y sera statue par la deputation permanente du conseil prov-mcial de la ptovmc* de Brabant, a la domande du coUege des bootgmestre eb échevins. Les resolution* que la deputation permanente prendra a ce sujet seroat soumieöa a l'approbation du Üouvameur general eu Belgique. Bruxelles, le 21 man 1916. Der Generat-Gouverneur in Lelgien, Freiher» vox BISSINQ, Geneoalobexist. Londres, 25 mars {Beuter). — Le vapeua? britaa-j nique Fulmar a été coulé. 13 hommes de réquipage] ont étcé sauvés. Londres, 25 mars. — Le paquebot-poato Englishman, de la Mississippi and Dominion Steamship Company, a couié. Londres, 25 mars, — Le paquebot-poate Svssex, 5,68b tonnes, faisant le service régulier entre Dieppe et Folkestone, a été torpillé, dans la Manche. Il avait è> bord 350 passagere,, des Francais pour la pltq>art, et un equipage de 50 hommes. Il parait qu'ü n'a pas encore couló. D'autres navires ee sonitj portés a son secours. Londres, 25 mars. (Reuter.) ~ On annonce que tous les passagers du Sussex ont été sauvés. Le navire avait quitte Folgestone, a 1 h. 25 de l'apres-midi; il fut torpillé au large de Dieppe. Il flotte esoere. Bruxelios, 22 mars. — Avis. ~ A partir de ce jour, les extensions suivantes onb été données- au service postal en Belgique: a) Province de Brabant et de Liége. ■— Toutes les communes des provinces de Brabant et Liége, qu'il y ait des bureaux de poste ou non, sont adxoises au service postal avec rAJlemagne, la Bulgarie, l'Au-triche-Hongrie (la Bosnië-Herzégovine comprise) et la Turquie. 6) Province du Haruaut. — Toutes las communes du district de Charleroi sont admises au service postal avec rAUemagne, c) Province de Namur. — Toutes le» communes du district de Namur eont admisea au service postal avec rAUemagne. De plus, la vüle de Ciney est admiso au service postal avec 1© grand-duché de Luxembourg,---A partiï do ce jour, la Belgique peut ©nvoyer-ue» ..mandats-postes vers la Bulgarie, aux conditions ha-bituelles. Maximum par mandat: 400 marks. Le montant de3 sommes a enyoyor doit être enoncée en francs (maximum 500 francs). :—~~" >—<8ye> <■ ■ ' ■ ...... BULLETIN AUTRIGHIEN - (Communiqué d'hier.) da sud-est : Rien de Vienne, 25 mars.] Fronts russe ei change. Front ilalien : L'ennemi a pris sous son feu les villes de Górz et de Rouereto* Pas d'autres événements. BULLtTiN TÜRC Constantinople, 25 mars, — Le quartier gééral mande : Aucue operation essentieile sur aucun des fronts. BULLETIN ITALSEN Rome; 24 mars. — Du généralissime ilalien : Dans la vallée de Sugana, prés de Brenta des détachements ennemis, soutenus par de i'artiUene, ont attaque a plusieurs reprises nos positions. Ils ont été repoussés en su-bissant de fortes pertes et nous ont aban-donné quelques prisonniers, des armes et des munitions. Prés de Ravnilaz (bassin de Fliisch) et sur lo Nzli Brh et le Km des tentatives d'at-taque ennemies ont été enrayées la même nu it. Sur le Nzli Brh nos détachements- après avoir repousse l'ennemi, ont pénétré dans les retranchements ennemis et ont jeté quan-tité de bombes. Divers duels d'artillerie se sont produits sur tout le front; ils ont été plus violen ts sur les hauteurs k l'ouest de Gorz. Nos aviateurs ont relevé, au cours de reconnaissances, la presence d'un nombreux materiel roulant sur la ligne de chemm de fer dans la oaliée de Baca et sur Vldria. D'autres aviateurs ont bombarde Oppac-chiasella, PonsUmjevlca et Nabresini et sont rentrés indemnes, en dépit du feu des nom-breuses pieces antiaériennes. Des aviateurs ennemis ont jeté des bom-bes sur Asiago et Tetve (vallée de Sugana) sans occasionner des dégats. — >-^>»o. < BULLETIN RUSSE Petrograd» 23 mars. — Du grand état major: Dans la region de Riga, Ie combat a continuo. Dans le sectcur de Jacobstadt nos troupes ont percó les ouvrages ennemis et ont para-chevó ainsi leur succes d'hier. >^♦e» < ^ BULLETIN ANGLAI8 Londres, 23 mars. — Du War office: Au cours de combats fructueux eontre les retranchements ennemis dans la region de Gommecourt tBethune et la route de La Bas-sée, nous avons fait un prisonnier. Nous avons fait sauter trois abris oü se trouvaient des Allemands. L'ennemd a fait sauter une petite mine au nord d'Arras, ansi que deux mines au nord-est de Neuüe-ChapelU%qui ont lëgèrement endommagó nos retranchements. Une attaque a la grenade a main a été re-poussée au nord d'Arras, Action d'artillerie prés de Fricourt, Gom-mecourt, Souchez, la redoute HohenzoUern et prés d'Ypré». A un certain endroit une forte explosion s'est produite dans les lignesennemies. ■i. > ^-^g> <■~ ■ Wjk BULLETIN FRANCAI8 I Paris, 23 maïs. — 15 heures. — Eo 'A.r-gpnnetnos batteries ont canoniné énergi-quement, au couts -de la nuit, le bots de Malancourt. Prés de la cóte28$ (est de la PMU-Morte\ nous avons fait explóser une mine, dont nous avons oooupé rentonnoir. At l'ouest de la Meuse, niuit calme ^fe.' Vest de la Meuse tbombardemenit mr terniittent de la region Douaumont-Dam. Loup. %En Woevre, rafales d'artillerie de part et&a*ïtae dans le secteur dt MoulainviUt e£ des Eparges. Aucun evenement impoi'tant k signaler sur rensemble du front. 'Paris, 23 mars. — 23 heures. — En Ar. gonnes ta la suite de rexplosion d'une de nos mines a Vauquois, rennemi a attaque et. róussi a prendre pied un moment dat» notre tranches de premiere kgne. Il en a été cnassé aussitót par une contre-attaque, au cours de iaqueile nous avons fait une [ trentaïne de prisonniers. L'actavité de notre arllLlerie continue a être intense sur les voies de cenimunication ennemies, en Ar. gann&s orientates et sur les bots de Malan-court-Avo'court. Au nord de Verdun, aucun evenement important è. signaler, au cours de La journée, en dehors dun bombardement intermittent de nos deüxièmes lignes k l'ouest et k Test de la Meuse auquel nos batteries ont énexgiquememt ré-pbndu. Au nord-est de Satnt-Mihisl, un tu de nos pieces a longue portee sur la gare de Vjgneuiles a donné de bons résultats. ff'n hangar a été démoli et un tram, qui sè brouvait en gare, a fait explosion lAU PAKIi bOClALiSXE ALLEMAND I Une dépêche de Berlin annonce : dix-huit membres du parü social-démocratique se aont scindés dé leur group© et ont l'ormó un 1 ;ouveau parti sous le noin de a traction de li Coiiimunauté ouvnère sociale-democrati-< uo » (fraction der sozialdemokratiscnen Èneits geineinschai'y. Les dissidents sont Èrustem, liock, Bückner, Dr Üsker Cohn, l&iLiiian, (jfoy'erT Haaae, lleüke» llerzleid, tioni (öaxej, Ivuliiiert, Lcdebour, Schwartz, ötadüiagen, btolle, Vogtherr, Wurm et Za-i>eii. l^es presidents du nouveau parti sont tiaase et Ledebomv LA NAVibAliU.\ NEERLANDAiSEOn mande de La Haye ; Le gouvernementvient üe laire connaitre aux coiupagmesniariUmes qu ü se propos© ue prendre les»d spositioiis suivantes pour dimuiuer les dangers que coureut la navigation dans laMaucne ; 1° bn navire staüoniiara pres dupjaieaupliare toordhmder, pourvu de tele-grapnie sans lil et qui prétera eventuellementsecours en cas de danger; 2° Les navires qui le deniauderout serum, escortes, une l'ois parjour, par des remorqueurs, transioruies endragueurs de mmes, entre ie bateau-phare Nordhinder et les eaux anglaises territoriales."T^ Le gouvernement ajoute qu'il n'assumeaucune responsabilité au sujet de ces mesures, et ii f ait observer spécialement que le danger a courir dans les eaux territorialesanglaises ne sera pas diminué par les mesures prévues. 11 est persuade que les accidents qui s© sont produits ces derniers moisjustiüent la conclusion que la navigagationpar 1'Ecosse est moins dangereuse que ceile par la Manche. 11 serait, néanmoins, de soi devoir, dans le cas oü la route de la Mancheserait encore choisie, de faire tout pour res-treandre le danger a courir. La responsabilitédu choix de la route ne retombe, comme au-paravant, que sur les intéresses. A VALONA On mande de Milan : Les autorités civiles de Valona ont quitte Valona se rendant è Bairi. LA GUERRE MARITIME L'agence Reuter mande de Washington: On annonce que les allies ont répondu a la note de M.- Lansing, relative au désar-mement des navires-rnarchands, d'une ma-naère negative. On apprend que M. Lansing préparé une circulaire, ou il déve-loppe l'at-titude des Etats-Unis vis-a-vis de cette question. • **• Les Daily News annoncent de Washington : Le département d'Etat vient d'envoy er è Londres une protestation formelle au sujet de la saisie de papiers de valeur améri-cains, d'un import de 4 millions de livres sterling, qui étaient en route pour la Hol-lande. *•• L'axnbassade anglaise de Stockholm vient d'annoncer que rAnigleterre va apph-quer une methode de prises plus severe. Un nouveau systems de aignaldsation sera mis en pratique, et, dans Le cas ou il ne serait pas donné suite aux signaux, oo ti-rera immédi atoment ♦ # # Lloyds mande du Havve que le steamer norvégien Kannuk a coulé dans la mer da Nord; l'équipage est sa/uvé. #»# Lloyds mande de Londres que la barque norvégienne Silas a débarqué a Queea-stown trente hom-mes de l'équipage d« va-J^ peur norvégien Lunafieldiqui a été coulé. I DEMOBILISATION PARTIEIXE EN GRECE Reuter mande d'Athènes : Dans le but de restreindre les dépenses miiitaires, le gouvernement grec vient de decider que 30 p. c. des hommes de toutes les levées qui se trouvent sous les drapeaux seront renvoyés chez eux. ,,... >^frgi -<5S •§■«=—«ao-fr-o <'"■■■■■ ...——.■■■■J» ECHOS LlTTE^AIit&d! ARTiSTIQUES Cl SCIËNTIFIQUFS Conférences liollando-bclges. — Le cycle des coa-férences hollandobelges organise a La Hay* m poursuit aveo le même succes. La denuèré reuxuoa était consacrée a une étude de la poes ie néerl&udauw et naniande au cours du siècle dernier. La ooa^é-rencière, MUeAnnie Salomons, a longuemeut puté de i'influence de la race sur la poésie flamande. * *# Pour la Croix-Rouge. — Un concert a eu he* récemment a Middelburg^ au profit de 'a Creis-Rouge de Belgique. Un jeune musicien hoUandaiai Jan Morks, avait a cette occasion compose un raarcis« Rollando-Belge qui a obteau un tres grand sueeès, Le trio en est compose de la plupart des motifs de* chansons populair es üamandes. »*• Antoine au Concert Mayol. — M. Defreiine, directeur du cóièbre Concert Mayol, est parvenu ft engager pour quelques ^presentations le oóièbr* Antoine, auquel le public a fait une serie d'ovations. Il s'est produit dans La Payse, une csuvrff inedite d'Yves Minande et d'Henri Géroule, et av

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