Le télégraphe: journal quotidien d'information

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s.n. 1915, 19 Septembre. Le télégraphe: journal quotidien d'information. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/g73707xx7t/
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LE TELEGRAPHE QUOTIDIEN LIEGEOIS D'INFORMATION AGENCE GÉNÉRALE POUR LA PUBLICITE Riae Forât cl'Âvroy, 52 RÉDACTION & ADMINISTRATION i Liège — 13, Boulevard Saucy, 13 « Liège BUREAUX OUVERTS de 3 à 11 i/< et de 2 â 5 h. b. T .A. R X F Petite ll^ne . . , , o-3o Grande » ........ 0.60 Offres d'emploi ....... o,2o Demandes d'emploi 0.15 Réclames, 3* pa£e, la grande ligne . , l.OO Nécrologie, Avis financiers . . . 1.00 Corps du journal 2.50 LE Théâtre pour^oldâts Plus que lout aulre, le soldat a droit à des distractions. La vie de termite qu'il mène depuis plus d'un an, est entrecoupée de variétés qui rompent ainsi avec la monotomie des heures de tranchées. Le théâtre offre au militaire la distraction nécessaire. Pour quelques instants, son esprit abandonne l'idée des combats. Il n'entend plus le crépitement des mitrailleuses ou le grondement lugubre des pièces de grosse artillerie.Il me souvient d'une lecture que je fis au bon temps. Un auteur y racontait des scènes de la vie de caserne ou de sièges célèbres. Entre deux batailles, on organisait une représentation. On jouait du vaudeville et même du drame. La guerre est revenue. Les traditions ont été reprises et voilà pourquoi, en France comme en Allemagne, les militaires se complaisent de* temps à autre dans des soirées théâtrales. Déjà sous Louis XIV, l'on avait réalisé l'idée de doter le régiment d'un théâtre de campagne. Les soldats de 1789 et ceux de Napoléon ne furent pas moins épris de théâtre. La Montan-sier et sa troupe suivaient, dit-on, le corps de Dumouriez pendant la campagne de Belgique, es 1792, donnant des représentations sur le champ de bataille même. Le 18 juillet 1808, les divisions Yedel et Dupont durent capituler à Baylen en Espagne. Prisoiyiiers de guerre,les Français furent entasses pas, milliers sur cies ponlons en rude de Cadix, où la famine et les maladies firent parmi eux des ravages. Au milieu des horreurs que faisaient les captifs ? Ils organisaient des représentations de théâtre ! Plus tard, dans l'île de Cabrera, ils fondèrent un nouveau théâtre. La scène était établie dans uné salle du château et pouvait contenir trois cents personnes. « Nous nous mîmes à jouer tous les genres, écrit le fourrier Quantin du 121e de ligne, triomphant de toutes les difficultés à force de courage et de bonne volonté. Changements à vue, démolitions, apparitions, danses, combats, on exécutait tout avec un zèle infatigable, et le théâtre était aussi bien machiné que ceux de la capitale. > Chacun s'employait suivant ses aptitudes ; un maréchal des logis jouait les grands premiers rôles de femmes, un caporal d'infanterie faisait les soubrettes, un fourrier remplissait les rôles de duègne, La conquête de l'Algérie par la France donna naissance à un type nouveau de soldat : le zouave. Joyeux luron, troupier alerte, ingénieux, débrouillard, aux aptitudes variées et aux inépuisahles ressources, le zouave n'a peur de rien. .. si ce n'est de s'ennuyer. Aussi, quand un détachement de zouaves, au retour d'une expédition, vient tenir garnison dans une ville, son premier soin est d'organiser un théâtre. Leur passion, c'est le vaudeville et la chansonnette. Au besoin, l'un d'eux s'improvise auteur dramatique et compose une bouffonnerie d'actualité. Telle fut la pièce : Les aventures de M. Maroc et de Mms Algérie, représentée en 1844, au théâtre des Zouaves de l'Isly, peu après la victoire du maréchal Bugeaud sur les Marocains. Cette fantaisie échevelée eut un succès de fou rire, et le Journal d'Alger fit de la « première » un compte rendu enthousiaste : * Durant la représentation, le café, le thé, pris sur l'ennemi, circulaient à pleines gamelles ; les spectateurs étaient mollement étendus sur les tapis de la maison de l'empereur et fumaient dans les pipes d'Abd-er-Rhaman lui-même et de ses officiers. Le succès de la pièce et des acteurs a été complet. » Mais c'est surtout en Crimée que les zouaves se montrèrent comédiens et imprésarios de génie. Que faire pendant cet interminable siège deSébastopol? Le jour, les soldats jardinaient, mais à quoi employer les soirées ? C'est alors que les zouaves du 2e régiment dressèrent ce fameux théâtre d'Inkermann qui, dix mois durant, devait récréer les assiégeants, Français et Anglais. Pour exécuter décors, costumes, accessoires, il fallut des prodiges d'ingéniosité. On s'empara des robes fanées, des palatines râpées,des vieux chapeaux que des femmes avaient abandonnés. Les soubrettes, dont les rôles étaient tenus par les conscrits imberbes, se taillèrent des jupes et des cotillons dans des pavillons multicolore* que voulut bien donner la marine. Point n'était besoin de se mettre en peine pour les tabliers : n'avait-on pas les protège-jambes en cuir dont se servent les tambours ? Avec du papier à chocolat, des boîtes à sardines, des balles fondues, on fabriqua des bijoux. Le peintre Protais, qui suivait les opérations du siège, décrit ainsi la mise en scène au Théâtre des Zouaves : « Le théâtre était en toile et les décors faits de lambeaux cousus les uns aux autres. La rampe, qui se composait de bougies, avait les réflecteurs en boites à conserves de fer-blanc. Les costumes étaient encore plus curieux. Les perruquès des pères nobl&s étaient faites avec de vieux housseaux de peau de mouton ; les manches avec des sacs à terre où, avec de la poudre, on avait imité des queues d'hermine ; les chapeaux de femmes avec de la toile de ceinture et de turban ; les manchettes brodées en papier, les faux-cols aussi. Vous parlerai-je d'un superbe habit de marquis dont les broderies d'argent étincelantes étaient faites de décou-.pures de fer-blanc ? Tout cela très adroitement fait. C'est à n'en pas revenir de tant d'adresse.» On devine que sur ce théâtre à l'usage des troupiers, le répertoire était emprunté au genre gai ; comédies et vaudevilles en un acte en formaient le fond. L'Omelette fantastique le Sire de Franïboisy, Edgard et sa Bonne, tels sont les litres de quelques-unes des pièces jouées au théâtre d'Inkermann, à ceux (le i'raktir et de îa Tchcrnaïa. Une verve joyeuse, une inépuisable fantaisie inspirait les rédacteurs et les dessinateurs des affiches, sur lesquelles on lisait des inscriptions telles que celle-ci : « Représentation, si l'ennemi le permet ». « Venir en armes, en cas d'appel ou d'attaque.!, On jouait deux fois par semaine, et il y avait foule aux représentations. Le prix des places était peu élevé ; celles réservées aux simples soldats coiitaient deux sous. L'affluence était telle que la moyenne des recettes ne fut jamais inférieure à 400 francs. Une partie du produit des places était envoyée aux prisonniers,l'autre servait â procurer quelques douceurs aux blessés qui etaplissaient les ambulances. Souvent, au dernier moment, le zouave régisseur venait faire une « annonce » : « Deux amateurs ayant été tués et, plusieurs blessés aujourd'hui à l'affaire de... on a été obligé de changer le spectacle, » Enfin, on put voir plus d'une fois, la pièce s'arrêter brusquement, le régisseur s'avancer et déclarer : « La représentation est interrompue : le régiment a reçu l'ordre de marcher à l'ennemi. » On repliait vivement les châssis, on roulait les robes, on empilait les accessoires dans les malles, et, le fusil au poing, les artistes rentraient dans le rang. Toutes ces scènes amusantes que l'histoire nous rappelle, se déroulent encore certainement en 1915, chez les soldats des divers belligérants. • Il y a quelques jours, le journal Le Temps écrivait : Le théâtre dresse le feu de sa rampe en face de celui de l'ennemi. Un groupe de brancardiers vient de monter en quelques jours, une revue en deux actes et dix-sept tableaux, dont la mise en scène, improvisée avec des moyens de fortune et des éléments de rencontre, eût éclipsé de loin Folies-Bergères et Olympia. Ce fut un spectacle à la fois délicat et joyeux, littéraire et spirituel. Et en des couplets vivement troussés sur les airs traditionnels du genre, où le mot drôle le disputait à la note sentimentale, furent évoqués tous les types locaux de ce coin du front et aussi toutes les actualités de la grande guerre. Le national et tonitruant Tartarin, armé de pied en cap, qui « s'engage, pour sauver la France,dans le train des équipages >, le sentimental poilu parisien regrettant les grâces féminines sur un rythme de tango, le traditionnel Tommy qui parcourt le monde à la recherche de l'armée de Kit-chener, le permissionnaire et ses déboires conjugaux, le poivrot qui conduit à sa tombe la dernière bouteille d'absinthe, l'embusqué prétentieux et suffisant, tous ces types si divers défilent devant les spectateurs, finement présentés, jnstement dessinés. Et comme intermède il y eut un ballet, le balaie-tue-mouches, gavotte plaisante et menuet spirituel qui « bla guait > l'engin hygiénique cher au général J..., si soucieux de la santé de ses hommes. » On racontera plus tard la vie théâtrale que la guerre a réveillée et même créée sous la pluie des balles et des obus. Et nos lieux de retour au pays diront que le théâtre de campagne a \ été pour eux un très grand délassement. Un soir, prenant sur ses genou* un petit chérubin aux larmes trop tendres, le papa, de retour au pays, dira: « Allons mon p'tit sois sage, je vais te raconter les histoires du théâtre de guerre C'était en 1915 TÉLÉ. EN MARGE DU JOUR L'architecture chinoise. — Les maisons chinoises semblent attachées à des pieux qui, plantés en terre, auraient fini par y prendre racinc et par s'immobiliser. Les palais ressemblent à un certain nombre d( tentes réunies; les pagodes elles-mêmes, les tours les plus élevées, ne sont rien autre chose que des tentes amoncelées, empilées, pour ainsi dire, l'une sur l'autre, au lieu d'être placées cote à côte ; toute l'agglomération de maisons depuis le plus petit village jusqu'à la résidence impériale, à Pékin, ne présente que l image d'un camp. De tous temps les édifices chinois ont été plutôt légers que grandioses, mais avec leurs étages de toits, aux angles relevés et ornés de clochettes ou de personnages fantastiques, aA'ec leurs murs de briques vernissées, leurs colonnes de bois peintes, dorées et incrustées de cuivre, d ivoire, de nacre et de perles, leurs revête-i aents de porcelaine, leur menuiserie si finement ( ''coupée, leurs couvertures de tuiles vernissées aux couleurs variées et brillantes, ils ont un aspect tout particulier de fantaisie et de fête, qui n'est peut-être pas d'un effet très imposant, mais qui charme et réjouit le regard du spectateur.Le coût des coups de canon. — La revue Maclii-nery, publiée à New-York, établit d'après les expériences faîtes avec l'artillerie des Etats-Unis, le coût des coups de canon comme suit : Un coup d'une pièce de campagne de 7,6 cm. revient à 54 frs, de 12 cm. à 152 frs, d'un mortier de 15 cm. à 232 et d'un canon de 15 cm. à 325 frs. A partir de ce calibre le coût augmente par bonds prodigieux. Un coup d'un mortier de 30 cm. demande déjà une dépense de 1.620 frs. Un canon de 30,5 cm. ne fonctionne pas au-dessous de 2.600 frs. Le maximum des frais dans l'artillerie américaine est atteint par les pièces de 40,6 cm. qui réclament par coup 6.500 frs. Dans tous ces chiffres l'usure des canons n'est pa£ portée en compte. Autrement ils seraient augmentés considérablement pour les grosses pièces particulièrement, qui ne survivent guère à 80 coups. Communiqués Officiels Turc. — Constantinople, le 17. — Au front des Dardanelles, il n'y rien de changé. Près d'Anaforta, nous avons interrompu, par notre feu, les travaux de fortification de l'ennemi devant notre aile droite. Notre artillerie mit en fuite un torpilleur ennemi qui essayait de s'approcher. Nos batteries de la côte bombardèrent efficacement un pose-mines ennemi et d'importantes positions ennemies dans les environs de Sidd ul Bahr. Dans la nuit du 5 septembre une de nos patrouilles, au canal de Suez, à 5 km. au Sud de El Kantara, prit sous son feu un transport anglais qui transportait des munitions sur le canal. Elle tua des gens du bateau et troubla une compagnie ennemie qui campait dans cet endroit. Dans la nuit du 9 au 10, une autre patrouille turque fit exploser à la dynamite la station de télégraphie sans fil à l'Est de Adschigol au canal. Aux autres fronts il n'y a rien de changé. Russe. — Pétrograd, le 17. — Le grand quartier général annonce : Dans les environs, au sud-ouest de Dunaburg, nous avons repoussé des attaques allemandes répétées devant nos fils de fer barbelés, entre le chemin vers Dunaburg et le lac Samara. De petites divisions de cavalerie allemande sont apparues dans les environs du chemin de fer Molodetschno-Polozk. Plus loin, au nord-est de Wilna, l'ennemi a réussi a prendre pied sur la rive gauche de la Wilija. Plus loin, au sud-est de Orany, les allemands essayèrent de passer le fleuve Wcrsowka, un affluent du Meretschanka. Nos troupes repoussèrent l'ennemi au fleuve. Près de Pinsk, nos troupes se retirent sous la pression de l'ennemi. Dans les environs de Nischni Stochod, nous avons repoussé une offensive de l'ennemi contre Ugrinitschi. L'ennemi entreprit des contre-attaques dans les environs de Derajew et à plusieurs parties de notre front en Galieie. A l'ouest du village Pendyki, dans les environs de Derazno, nous avons fait 410 prisonniers et avons pris 4 mitrailleuses. En nous rendant maîtres de la brasserie et du cimetière, près de Derazno, nous avons fait 700 prisonniers et pris 4 mitrailleuses. Des attaques acharnées de l'ennemi ont été repoussées près du village frontière Neuple-rinetz et la ville Vischnewetz. A la Strypa, à l'ouest de la ligne Tarnopol-Trembowla, nous livrons des combats acharnés à l'ennemi qui se cramponne aux passages du fleuve, italien. — Rome, le 17. — Nos divisions de montagne exécutèrent le 14 septembre, une attaque hardie contre les positions ennemies de la crête de Villa Corna, de la pointe de la vallée de Noce et le bassin de Presena dans la haute vallée de Genova.Un avion ennemi exécuta hier une attaque rapide dans la région de Vicenza et jeta d'une grande hauteur une bombe sur Ascago et huit bombes sur Vicenza qui occasionnèrent seulement de légers dégâts.Quelques personnes furent légèrement blessées. Autrichien. Théâtre de la guerre russe. Vienne,17.Les Russes essayèrent de rendre inutiles par une contre-attaque l'efficacité de nos attaques de flanc annoncées hier au nord-est de Buczacz. Ils ont été repoussés. Notre feu d'artillerie a anéanti près d'ici une auto blindée ennemie. Des 3 officiers de l'équipage, 2 ont été tués, un non blessé a -été fait prisonnier, tous les soldats sont morts à l'exception du chauffeur qui a été fait prisonnier. Pour le reste, l'activité des combats en Galieie et à la ligne de l'Ikwa diminue. La situation est complètement inchangée. Vu l'impossibilité d'obtenir un succès dans cette région, l'ennemi exécute de nouveau de très fortes attaques contre nos forces qui se trouvent dans la région fortifiée de Wolhynie. Les combats enflammés d'hier, durent encore ici. A la Sczara rîen de neuf. Théâtre de la guerre italien : Au front du Tyrol ont eu lieu hier, à nouveau, des combats d'artillerie de toutes espèces. Après-midi, le feu ennemi a été très violent contre les plateaux de Lafraun et Vielgereuth. Aujourd'hui après minuit, de la forte infanterie italienne attaqua le Monte Coston et nos positions au nord de ces montagnes. Cette attaque fut repoussée avec de lourdes pertes pour l'ennemi. Dans la région frontière de Carinthie, l'artillerie ennemie déploya une vive activité, notamment contre la région de Tarvis. Cet endroit et en particulier l'hôpital qui s'y trouve furent bombardés par des canons à longue portée des positions près du ruisseau frontière de Sondogna. Au front côtier, des attaques ennemies eurent lieu à nouveau contre Flitsch. Plusieurs attaques des Italiens ont été repoussées : les combats ne sont pas encore terminés. Plus loin vers l'aval de l'Isonzo jusqu'à la tête de pont de Gûrz incluse, un calme relatif règne. Quelques endroits au sud'de Gfjrz et le bord nord-ouest du plateau de Doberdo se trouvent sous le feu violent de l'artillerie ennemie. A l'ouest de San Martino, des tentatives d'ap-prochement des Italiens ont été comme toujours rendues inutiles. Allemand. — Berlin, le 18 septembre. Théâtre de la guerre occidental : Des navire» ennemis qui s'étaient montrés devant Dunkerque ont été attaqués par nos aviateurs. Uu destroyer fut touché. Sur le front, la situation est inchangée. Les Français ont essayé en vain do regagner la partie de tranchées qui leur avaient été arrachées à Perthes. Théâtre de la guerre oriental: Groupe d'armée von Hindenbourg. — Des attaques ennemies à PREMIÈRE ANNÉE. — N° 25. Le Numéro : iO Centimes Dimanche 19 Septembre 1913.

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Cet article est une édition du titre Le télégraphe: journal quotidien d'information appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Liège du 1915 au 1918.

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