Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1914, 23 Mars. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/348gf0nq87/
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LUNDI 23 MARS 1914 I M IMIfiISI riASSîS L'ACTION A Kl m abonnements Pour tonte ta Belgique Un ao. &• ! Çii mois ....«.« 4 Trois moi» i Gr.-Duché in toiaml). SC JmOB poiUI* *{ Directeur : Fefnand NEURA Editicn **¥ (6 h. 50 Edition-^ (10 h. « Edition if> (minuit) LE XXe SIÉCLE ) Téléphones 3È4Q et 3686 Rédaction et Administration : 4, impasse de la Fidélité, 4. Bruxelles ANMONOE8 Annonces ordin.. petite ligne . 0.4# Réclames (3» page), la fig»», Faits divers corps « .. » 4.00 Faits divers fin. • « » 3-00 Séparations judiciaire» i> 3.00 Nécrologies . ■ . ■ • 2>00 Les annonces «ont reçue» au bureau du journal ° ^ centimes E D 1 T I O N * CANETONS NOUVEAU — OI^O^O Gourmand! Sur !a nappo (l'une blan. étincelante saignent les azalées. Dan coupes s'allume la flamme du Cnambi dont l'ame errante s'évapore en un boi subtil. Imprégnée d'aromates, la chan culente du caneton apparaît, découpi fines aiguillettes roses. Paupières ba et recueillies, vous vous pénétrez de exquise des choses et votre imagination que des solitudes... Par un jour gris tourne, ■venant du Septentrion, passant^ dans le ciel, un ivol aux lignes inflé [ d'oiseaux sauvages, disposés en triang filant à tire-d'aile vers le Sud; ou biei core des étangs aux franges de ros< qu'effleurent les évolutions des halb Vous vous bercez de la musique des sa et votre pensée flotte imprécise. Aussi la science culinaire a ses arcanes qu' faut pas sonder. Respect à ses myst J'ignore tout de l'art subtil d'aecomn le*4* *ard. Mais voici l'époque, où il fai ap^rition 6ur nos tables — celui-là m'intéresse — ; je voudrais saluer « chronique le caneton primeur. *«# A son entrée en Belgique, l'Escaut : à droite des prairies basses, d'une été de 'huit cents hectares, bornées à l'O par le bois de Glançon, cité dans la Ch que rimée de Philippe Mouskes à p: d'un ermite, le faux Baudouin. C'est la uiune de Laplaigne, enfermée entre le veet la forêt, à laquelle l'élevage du cai assure aujourd'hui l'aisance. Il y fut introduit, vers 1878, par un mé Dervol. Ancien commis de maison c nicstibles, à Lille, il avait parcouru le d offices de la bouche. Initie aux méthod< usage, depuis 1850, en Normandie, la se du canard n'avait plus de secrets poui Il vit tout le parti qu'on pouvait tire prairies marécageuses de Laplaigne. quelques spécimens de ces palmipèdes 1 prenaient alors leurs ébats dérivaier bleu de Termonde, mais en qui le type rintif s'était modifié par les nombreux sements avec l'espèce sauvage familiè ces parages. M. Dervol introduisit le \ bolr.ur de Normandie et le 11 ou en. Gr * sensation aux marécages; on est hospil chez nous. Ainsi prit naissance le canai Laplaigne, race très prolifique et très coce. Le type en fut fixé vers 1885. Il s ractérise par clea pattes jaune orange bec jaune parfois légèrement anouchet vert, ponctuant de leurs notes vires un mage blanc, où passent des reflets d'. Les mâles se distinguent par une petite cle de plumes, relevée sur le croupion. La grand© extension de l'élevage da' 1890. Si je suis bien informé, la produ annuelle serait aujourd'hui d'enviror mille canetons. C'est un oiseau de pr tions discrètes que le canard de Lapla Il est loin, par exemple, d'égaler le M tem. Mais alors qu'à Merchtem on n'a e: qu'un produit d'arrière-saison, ayant loisir de s'arrondir; à Huteghcm, lia] de Leupeg!hem (près d'Audcnarde), un duit de demi-saison, le tendre caneto Laplaigne est destiné à fournir nos t des prémices de l'espèce. Voici son histoire, telle qu'elle me contée. Dès la mi-octobre, les canards d tour des prairies, trouvent au logis copi< et excitantes pâtées. Ainsi sollicité-cane peu pondre, pendant dix à quat ans, une moyenne annuelle do deux < œufe. La ponte commence en novembre dès la Saint-Eloi, on dispose des œufs cessaires aux premières couvées. La grj loi de la division du travail trouve comme partout, son application. La car consacre exclusivement à la ponte. L'i lation est réservée à la poule, la couv de Laplaigne. Encore uu type bien intéressant! Issir croisement de la poule commune d'Herg ! et du coq cochinchinois faux, avivée < [ peu de sang de combattant, c'est une p [ quj a de la race et qui fait 'honneur a | créateur, M. Jules Cotton. Très pré t pondeuse, couvant après une ponte d'e • ron quinze œufs, elle peut mener à f trois couvées successives d'œufs de cane se remettre à pondre au bout de huit je Bref, à Laplaigne, on m'a chanté ses lo; ges c'est la couveuse aux œufs d'or ! Au bout do quatre semaines d'incubat apparaît le petit caneton, tout de d 1 jaune vêtu, à l'œil luisant comme une r I tille. Ah! le singulier manège! Voyez c j ces gens gui dansent! Ce sont les chass-> de lombrics. En effectuant sur le sol prairies leurs savants entrechats, ils en puisent le ver de terre. Coupé en m< tronçons de un à deux centimètres, 1 pour le petit caneton chère exquise et < cate à souhait. Trente grammes, au me j par jour, telle est la dose à laquelle s'a [i tent les pâtées de « rebulet » (mélange de rine et de son). Au dixième jour, le cam fait son entrée... dans la mare (le plat). \ Paillassons (coits de vent), placés de I cance en distance dans les prairies, l'a | tent des grands vents. Vers.l'âge de six semaines, quand les I nnges commencent à sortir de leurs gaî quand le bustau fleurit, le caneton pass l'élevage à l'engraissement. Les éleveur livrent à l'engraisseur à dos prix qui I rient de 9 à 7 francs, la couple, quel que le poids, selon la saison. Pour être mené à bien, l'élevage e: tout un lot de connaissances pratiques, seule peut donner l'expérience. A cette [ ctition, il est très rémunérateur, puisque quatre mois do morte-saison (janvie avril), il permet à un ménage ouvrier réaliser des bénéfices variant do 800 à 2 francs et plus. Le prix de revient d'une plft de canetons de six semaines — payéi '.a 9 francs — ne dépasse pas 2 francs. C bien là l'industrie domestique idéale, et jjo requiert, même pas l'intervention du 1 de famille. Cest à la ménagère qu'est lai? gouverne des canetons. •»** Tandis que presque toutes les familles Vluage pratiquent l'élevage, l'engrai , n'ei|1.t est centralisé par deux ou trois 1 | ^a-istes. L'engraisseur donne au caneto] i uRffie de développement voulu, puis le 1 ® P'urae, *e trousse et enfin l'expédie sur \ Marches des grandes villes. Dass les parquets d'engraissement, où ont a peine l'espace suffisant pour remt cb canetons trouvent à discrétion la pi de rebulet, additionnée d'un tiers de f; de maïs blanc et d'un vingtième de sar non moulu. Leur eau est contenue dan bacs longs et étroits traversés de lattes, permettant d'y passer le cou pour t mais non d'y plonger. Toute nourr verte leur est retranchée. Ils passent là ; r-w r et nuits à faire de la chair et de la grf % En quinze jours ils ont doublé de poich 'A sont à point. A proximité des parquets, 6e trouv< étroit réduit, où siègent les égorgeurs. •heur Parmi indifférente des palmij i les barbotant dans le sang chaud, s'aceor •rtin l'holocauste. Les paniers 6e gonflent de iquet lites plumes légères et, dépouillées de suc- dernier duvet, apparaissent lea appétii ^ en tes poitrines blanc'hes. issées A Bruxelles, à Londres — où il dispu ['âme Pa^mc au tayle&bury —, à Paris, par toi évo- fait bon accueil au caneton de La rj'au S-ne* ^ nous arrive, dès la mi-février et haut apparaît dans une buée légère, les cijies fîûes frémissent et les faces s'illumineni le et. peut-il, pour un canard, plus glorieux , pn_ tinî •aux, René PAILLC rans. — S BULLETIN ' POUTIQU loder —o seuj Le Petit Journal dit qu'un certain r, l'une bre de députés envisagent Véventualit l'ajournement, des élections, qui son xées au 26 avril. Ils préféraient qu premier tour eût lieu le 10 mai. Ils t 0Ij&" nent pour argument l'utilité d'éloigm rient flus tosslble les élections du scan, roni. Rocketie et les chances plus grandes j opoa les deux Chambres, avec ces quinze j ">m" de répit, de voter le budget. letoîi — L'entrevue du. roi d Italie et de l pereur Guillaume aura lieu à Venist nom- 25 mars prochain. En raison de la cc e co irophe du Lido, qui a plongé Venise t lvorh le deuil, il n'y aura pas, à cette occas ience f^tes spéciales. Le roi d'Italie oh lui >tn déjeuner à l'empereur au palais r de« Doges et le soir, il sera l'hôte de G V* laume II à bord du Hohenzollern. Le rePar^ra t? so" mê,Jie pour Rome. pl.j. n'attache aucune signification polit eroi spéciale à cette entrevue des deux so. re à rains allés, qui est de pure courtoisie bar and<' Iles nouvelle ^ Le tunnsl du Cinquantenal i^ur On annonce que l'administration des < hou- m^ns ^er fera adjuger, le mois procl: les travaux d'achèvement du tunnel, du 1 ouantenaire, qui doit permettre aux tr 5-" du Luxembourg d'éviter la ceinture et a " "J J'entrée de la gare de Schaerbeek (Sud; ' 6>n sait que la construction du tunnel ; -P être interrompue, ce travail ayant été a ercA Par l'entrepreneur. 1 vue ^ Una collecte fructueu nean conseil d'administration du Conse pro. fcoire Africain adresse au public bruxe c|e ses plus chaleureux remerciements pour ! ibles bienveillant et généreux qui lui a réservé le jour du Mardi-Gras. fut Le résultat de l'exercice 1913-1914 att 3 re_ fr. 45,278.68. uses nom ^es Petits enfants des crêc i, la merc^- orzo o—■ ents La situation de fa culture maraîchè: > et, Voici quelle était, au 15 mars, la situa: né devla culture maraîchère : in de La production de l'asperge^ forcée a ici, bonne partout ; seuls quelques établissent ie se de la région de Louvain ont eu des réco ncu médiocres. euse Le witloof a donné des résultats très courageants ; il a été vendu cette année à î du prix très rémunérateurs. nies Les plants hivernés de choux-fleurs s l'un de très bonne venue dans le nord du pa oule ils sont bons dans la province de Haim son dans la Hesbaye et aux environs de Hu^ soce Vervicrs ; ils laissent à désirer dans la \ nvi- vince de Brabant, surtout aux environs bien Louvain et dans le nord de la province s et Namur. Quant aux autres plants de ch urs nivernés, ceux-ci ont bien résisté dans îan- provinces d'Anvers et de Limbourg, as bien dans les deux Flandres, à l'excepf ior<r do la région d'Alost, où ils ont souffert, jvet Les épinards de pleine terre ont été fo tiyr ment atteints par la gelée ; aussi leur réc« lonc est-elle médiocre partout, à l'exception t îurs tefois du Hageland et des environs de I; des selt, où elle est bonne. ex- Les autres légumes ont bien passé l'hi1 mus l^s provinces de Liège, de Luxembourg et .'est Namur exceptées, où leur état est médioi jéli- et même mauvais. ins. La production des épinards se>us verre c j0lll tinue à donner pleine satisfaction. , fa. La laitue à couper sous verre donn£ iton bonnes récoltes, de même que le cerfeuil. j)cs prix de ces légumes ont été élevés, t dis l'hiver. Le Congrès fnternatlona! des Inventeur ré aura lieu à Lyon les 21 et 22 août 1914. nés, Les principales questions à l'ordre du j î de : diminution clans les taxés à payer s le les inventeurs ; brevet international ; s va- pression cle la déchéance des brevets p soit non exploitation dans chaque pays, etc. Les inventeurs belges disposés à assi? cjg8 à ce congTès ou qui désireraient émettre 1 qUt opinion en vue ae ces débats, sont priés ;on. s'adresser au secrétaire pour la Beigiq » eil M. J. Gevers, 70, rue Saint-Jean, à Anvi : à qui leur enverra immédiatement un prosi de tus détaillé. ,000 o ïou- Les lignes nouvelles de chemins de fe , cie Le comité de direction des Chemins de 'est l'Etat vûent, dit la « Chronique des 1 qUj vaux publics », d'arrêter comme suit l'or •he.f d'urgence des lignes nouvelles : ;sée Landen à Welkenraedt. — Le cahier charges prévoira l'exécution, par priorité, la section de Fexhe-le-Haut-Clocher à E kempois, qui est appelée à dégager la pa] la plus encombrée de la ligne de l'Est ; du 2° Ligne du Luxembourg. — On propos sse de rattacher à l'entreprise la construction >pé- tronçon-nouveau .Jemelle-Marloie-Modave i K la ligne de Landen vers le Luxembourg; -ue, 3° Louvain à Aix-la-Chappelle par Tong les et Gemmenich. — Le service de l'exploitât insiste, en outre, sur la nécessité très pi ils> santé de la quadruple voie de Namur à T 1er, tre et de la double voie de Battice à B! iftée berg. NOS FICHARDS leur ^ oire, ■ 1 ? < 1 " ?urs § onre «ncfrnmoinfe fîo il»»". , BkciWtS» ^ III Vîiil M 11 I! V/ S • l v VëfcS || V6W i ; lia | Nous avons dit, a y a quelques jours, que tat obtenu; IL EST PARTICULIEREMENT rement en faveur de la coopération du s 3 "n | sous prétexte d'organiser un vaste pétition- RECOMMANDE D'UTILISER CE CAR- cat, de l'organisation politique ou des La, nexnent en faveur du S. U., le parti socia- î\E't\ d'y annoter l'âge, le sexe ET LA PRO- naux du parti. > iodes liste s'oeoupe de confectionner les fiches i,(i:. <>5ION des personnes qui signent, d'y îp'lt : secrètes des ouvriers qui feront preuve d'un mentionner CELLES QUI ETAIENT AB Contre ces , instructions-là, qu'il ne ' pe- civisme insuffisant. Rappelons un extrait des SK \'TES AU MOMENT DE LA VISITE, désavouer, l'organe officiel du parti s leur instructions plutôt confidentielles données aiL-^i que CELLES QUI ONT KEFUSlî Dli liste se défend depuis plusieurs jours >san- aux fichards de bonne volonté : i\H. l'embarras que l'on devine. , r f, , , ,. . , *. CES ANNOTATIONS NE DOIVENT Pour illustrer très dignement les « ins [je la « Le Comité local divise la commune en PAS NÉCESSAIREMENT SE FAIRE EN tions» eîes fichards, nous reproduisons ; 'tj il PRESENCE DES il BER-SONNES VISI- photographie de leur matériel de camp: jlai- j GNEUSEMENr NOTE DES MAISONS T^J-S. C'est le carnet de poche qu'il est partie lors- VibiULbb. » Ces carnets restent la propriété de l'or- rement recommaneié d'utiliser pour la ! na- » CJhaque propagandiste reçoit, A CET gajusation locale, qui y trouvera UNE fection des fiches. Se'EFFET, UN OARNET DE POCHE, dans bOURCE DE RENSEIGNEMENTS PRÈ-des- lequel il annote, au fur et à mesure, le résul* OISEUX pour la propagande à faire ultérieu- — a use llsîa û'â péilîîonneniinl rï9„_ Annotations Ir.slniciions pour l'emploi du Cari-el às poen? des propagçin PERSONNES VISITÉES jKT iistes à domicile. "" -i i -i i ■ i . Sue, NtmUro. om- . Éiagt il n'est pas utile que les annotations relative: „.,sr personnes ■ ' 1 f1' visitées soient faites en leur présence; i! faut évite' cie donner N e le j. votre propagande un caractère V. |uisitorla) «ui indisposerait prenom Ion- ceux qui en seraient''objet. - J ^ il n'est pas nécessaire que tes rensetgnenients relatifs S Profession iale leur qualité de syndiqué, coopérateur, membre d'une organi- 'rour sation politique ou lecteur d'un journal soient demandés de ■ ■ ■ ,n;««.«»• m m» ours façon à ce qu'on puisse assimiler la "isitc du propagandiste .ap . s une enquête de oolice. ' em- C'est au cours de.-ia conversation, qui doit nécessairement 11 , le porter sur les organismec du Part! ouvrier, que le propagan- , _ tas- '.îisie doit essayer d'obtei 'r. en quelque sorte incidemment. BcVRaIT ÊTRE TRAVAILLÉ POUR EN FAIRE UN 'ans 'es renseignements qiv peuvent lui être utile. . ion, Pour indiquer que la personne visitée a signé te pétition» Membre Lecteur rira nement. il suffira d'inscrire 'au haut de sa page le numéro de Syndique de l'organisa d'un journal Coopérateur des ^ liste. tion politique du Parti uil- Dans la colonne " Observations », le visiteur consignera en • roi style télégraphique les observations qui lui auront été faites On ou celles que la ccversation lui auront inspirées, ainsi que " " t' ' . ' ■' ' ....... ■■ ;„ue celles relatives aux org?"isations qu' ne seraient pas ren- we- seignées sur la page. „ Observation t • . Ce carnet contienl 64 pages, ce qui correspond à trois listes de pétitionnement en supposant que toutes tes personnes visi- ■ ,,, , tées signent. ' ^ ■ « 03ns un ménage où te mari et la femme sisnent, où il y a %. des enfants en âge de participer au pétitionnaient on peut se m | ■ servir d'une page pour la famille, pour autant qu'il est nossiole de mentionner dans les cascs ad hoc les noms, àp.e ebatfëliiés ■: ro de toutes les personnes qui ont signé. ,'hc- On indique, dans ce cas, dans la colonne » Observations ,-an, le «ombre dé membres ue la f«mille. On voudra bien remarquer que ce qui précédé est donne 3 ■■■ ■■—— usai t'!rc «l'indication et qtie nous comptons sur la clairvoyance de Souligner d'un trait de plume ou ce crayon i l'aniline ce que n?>3 propagandistes pour s'en inspirer dans la mesure du.pos- ta peteanne visitée parait «useesîiible de devenir <2 * i dû Chronique du Jour i—»Oi LES BANQUETS DES HOSPICES 0 est sajnedi soii qu'a eu 'ieu. toujours dans les salons du restaurant de M Catteau, le banquet offert par quelques praticiens au Dr Spehl,pour venger oet administrateur des [l' attaques dont il fut l'objet dans le monde r* médical depuis le jour où il attacha sa fortune à celle de l'infortuné Bauwens. Une quinzaine de médecins — c'est tout it l'effectif que l'on avait pu réunir! — assis-a- taient à cette manifestation gastronomique. 3c Pauvre docteur Spehl ! «—»o« P" ROUTES FRANÇAISES ET ROUTES BEL6ES ' Eors de la discussion du budget des tra-vaux publics, les orateurs de la gauche ont perdu un temps précieux à dire grand mal des routes belges. Dans leur pensée, cela ne devait point rendre le pavé moins raboteux, mais il s'agissait d'attraper, le gouvernement. Donc ils l'ont attrape. Ils ont, pour mieux triompher, opposé à nos routes les splendides routes françaises qui, que, dont, etc... Or, voici que l'administration française se préoccupe de ce que le » Temps » - organe gouvernemental — appelle « l'état inquiétant des routes de France ». Le ministre compétent vient de déposer un projet de loi proposant un impôt de S millions sur les automobiles pour la réfection et la consolidation des routes nationales. Les étrangers, écrit le « Temps » dans son article, en date du 10 mars, déclarent avec une insistance inquiétante que les routes françaises laissent à désirer. Pendant cinq ans, écrit-il en soulignant ces mots, nous n'avons rien fait. Au contraire, nul ne peut nier que notre réseau routier soumis, à raison de la densité de la population, de l'importance de notre industrie, à une circulation beaucoup plus intense que les routes françaises, s'améliore •progressivement. Ce n'est pas de nous que l'on peut dire que pendant cinq ans nous n'avons rien fait. LES ARMOIRIES DE TENNOEY M. Frick se. désolait depuis longtemps de ce que la commune aux destinées ae laquelle il préside, n'eût pas d'armoiries. Etait-il décent qu'une commune dont le premier magistrat est appelé à recevoir — grâce à la gare du Nord — tous les grands personnages, hôtes royaux, princes du .sang, à leur arrivée dans la capitale, ne possédât pas le plus modeste blason, le moindre écu héraldique à offrir à l'admiration de ses illustres visiteurs? Désormais St-Josse-ten-Noode n'aura plus rien à envier aux autres faubourgs, plus riches en souvenirs historiques. Un arrêté royal récent vient d'autoriser les communes à adopter des armoiries à la condition de justifier la composition de l'emblème et d'obtenir • l'agrément du conseil héraldique. M. Frick a eu tôt fait de satisfaire aux conditions de l'arrêté. Les armoiries qu'il a choisies présentent une vue du château des Deux-Tours jadis occupé par le cardinal Granyelle et... une simple feuille de vigne. évidemment, en langage héraldique, tout cola est bftaflftnnn nliK «nmnbiMiv t 60 Chez les journalistes belge rva- [lois —sO« -~ 1 L'Association générale de la Presse belg a tenu, dknandhe matin, une assemblée gén . raie sous la présidence de M. Gustave d< emt Essarts, président. Après lecture du rapport sur l'exercic ies> écoulé et quelques communications d'ordi divers, l'assemblée a discuté la création, du à l'initiative de quelques journalistes qi •c n'ont pas jugé à propos de consulter au pré'; ■ion takte le comité de l'Association, d'une unio professionnelle. Un autre groupe de journ; été listes appartenant à tous les partis ava ;n^s émis le vœu, sous la forme d'un ordre d [tes jour> (ï^e cette union professionnelle, pou le cas où elle paraîtrait nécessaire ou simple en_ ment utile, fût créée dans le sein de l'Ass< ciation, soit sous les auspices de celle-ci. * Le premier groupe a opposé à cet ordre d 0Ù£ jour la question «préailable. Après une longu yS . et assez 'vive discussion, la question préalabl lu^' a été votée par 44 voix contre 34, ie vot r et ayant eu -lieu par assis et levés. Une vin£ >ro- taino de membres se sont abstenus. Bien qu'il ait été entendu que ce vote n de touche pas le fond et que l'Association de 1 >ux Presse ne renonce pas à discuter la questio jcs de sa\oir s'il lui convient ou non de crée se2 elle-même une union professionnelle, ce vot nous paraît fâcheux, plus encore pour l'unio professionnelle constituée que pour l'Associa rte. tion elle-même. jjte L'Association s'est donné Pair d'étranglé QXX'_ un débat réclamé par plus de trente de se as_ membres. Quant à l'union professionnelle apparaissant comme l'œuvre, non pas d rer l'unanimité des journalistes belges, mais d quelques journalistes qui ' ne peuvent pa îre même se flatter d'être jla majorité de l'Assc ciation ; créée en dehors du comité et à so 01V insu, elle risque d'être indifférente ou mêm suspecte à bon nombre de gens. Médioor baptême, nous paraît-il, et malheureuse er Les ^rec Pour un organisme qui se propose un: out Quement, d'après ses parrains, de a resserre les liens de la confraternité ». Qui ne voit que, pour assurer le plein su( cès d'une telle initiative, l'adhésion de tou les journalistes est nécessaire? Cette a,dht sion unanime peut seule cautionner, devan le public et les donateurs éventueJs, un union professionnelle. £ Si le comité avait été consulté et si l'Assc ciation avait pris l'union professionnelle sou I son patronage, nul doute que les opposant se fussent volontiers ralliés à la aécisio j prise. Nous craignons à présent qu'il n'e aille pas de la sorte. Nous craignons mêm ' que le vote de dimanche o'ait jeté un brando: ae discorde dans l'Association de la Press ,ec" belge. Lr Nom elles diverses ira- —o ire ALLEMAGNE jes — T^e Ijeutenant de la Valette-Saint Georges, qui tua en duel le lieutenant Haage •n_ après l'avoir outragé, a été condamné à deu: •tie ans efc forteresse et à l'exclusion d l'année. era — Pr?sence des graves événements pc (ju litiques qiii se déroulent en ce moment. 1 de banquet Briand, organisé par le parti repu blicain-socialiste, est remis au 1er avril, res e £n- LE XXe SIÈCLE est le moins clier dos grandi quotidieu^belgee illustré». s Victor Delporte assistait encore, plein de vie et de santé, a juste trois semaines, à la fête du «j ,0 naut ». Son toast, au dîner, fut oharm A la Chambre — ce n'est pas manquer ; '3 mémoire que de le dire — il parlait cor tout le monde, ni plus ni moins. Mais c e scrn pays, au milieu de ses amis, dans les £ nions boraines, particulièrement dans ■ assemblées populaires, il déployait natu lement, et sans s'en rendre compte s doute, tous les dons de l'orateur. Sumplk " bon sens, verve savoureuse, bonhomie, é l~ tion contenue : toutes ces herbes do la Sa Jean donnaient aux discours de Victor 3 '' porte un bouquet original et une incoir rable saveur. Il était de son pays ; il a ses pieds sur sa terre, il connaissait e aimait le Borinage et les Borains. Et puis, peu d'hommes ont prouvé a' ^ bien que lui le désintéressement. En vouant aux œuvres sociales et à la politic il n'était sûr que de deux choses : sacri _ sa clientèle de médecin et récolter en afc 1 dance lès grossières avanies des socialis du cru. Ce sacrifice, il n'en souffrit janr que matériellement. Sa bonne humeur n? relie et l'ardeur de sa foi le protégère toutè sa vie, contre l'amertume et le déc rarement. De ces avanies, peu d'bommes ^ litiques en auraient pu montrer une col tion ausi riclie et aussi variée. Ah ! si Vie Delporte avait pratiqué à l'endroit des il vidus qui ne rougissaient pas de Fattaq dans sa personne et dans sa vie seulemen moitié des principes que la presse socia-l ' s'acharne à défendre, en ce moment, en ^ venr du ménage Caillaux, nous connaiss " plusieurs seigneurs de l'aristocratie rév< tionnaire qui seraient passés, et depuis lo ^ temps, de vie à trépas.. Mais Delporte ne ' vengeait de leurs bassesses qu'en éclair leurs dupes, qu'en fortifiant les œuvres thoîiques, qu'en faisant reculer le parti ro ou en arrêtant ses progrès. r Toute sa vie a été consacrée à ce labc H1 a été le soldat de ses idées, l'ouvrier son parti, fidèle à ses amis, dévoué aux g tits et aux humbles, et cherchant princip; me . selon la vieille parole, le royaume j. Dieu. Il laisse un nom honoré et une ] moire pure. Le jour où le peuple du Borin aura enfin secoué le joug des mauvais 1. gers, le jour où il sera revenu aux viei s traditions chrétiennes qui ont fait, si lo ' temps, son honneur, les catholiques qui 1 vront iissez vieux pour voir un tel spectE 1 attesteront que, parmi les semeurs de cf moisson, aucun ne fut plus courageux et p persévérant que Victor Delporte... 3 L'OBSERVATOIRE La pression reste faible sur la plus gra partie de l'Europe. Elle n'est supérieur 760 mm. que sur le nord-est de la Scandi vie et le nord de la Russie-(Haparanda mm.), et elle est inférieure à 740 mm. su: mer du Nord au large des îles écossaises, j Les minima secondaires s'observent su l Bretagne <743 mm.) et sur le centre de la 1 3 tique (741 mm.). Le baromètre monte sur le nord de la $ " vège, les Iles Britanniques, la mer du Ne L_ la Hollande, les pays de l'Europe Centr l'Italie et les Balkans; il baisse sur le r< de l'Europe. Un vent faible ou modéré d'entre sud-s ouest et ouest-sud-ouest souffle sur nos c trées, où la température est comprise ei ^ 2' et 7°. _ Prévisions : Vent nord-ouest à nord, : déré; ondées et giboulées.. LE SCANDALE MONIS ROCHETTE • CAILLAUX u- es ^ > ^ S DANS LE CLOAQUE é, i Monsieur >1 ,it 11 Sous ce titre, M. Maurice Barrés qui, ne . lecteurs le savent, fait partie de la con mission d'enquête, réunit dans -i' « Echo d se Paris» les impressions que lui ont laissées 1c ^ audiences de samedi. Ecoutez-le : i- Il est près de huit heures, et voici seulemer ïs que nous sortons de la séance de la Commi: is sion. Je vais à l'essentiel. Uu nouveau persoi n- oage vient de faire son apparition sur la scèm C'est lui qui préside le drame, c'est lui qui 1' j! créé, il en sait tous les secrets. Malheureusi ment, il porte un masque sur son visage. Il a surgi cet après-midi, et c'est M® Mauric Bernard qui a introduit parmi nous ce persoi V nage mystérieux. ■l" M" Maurice Bernard, un Lorrain de Nanq îr devenu une figure de Paris. Un homme solidi la armé d'une merveilleuse clarté d'esprit et d :e parole. Et qui le sait ! Ah ! l'avocat ne ressemb] :i- pas aux magistrats que nous avons vu défik is hier et ce matin. 11 a une autre liberté, un auti ton, une autre allure. Il avait l'air de nous divt t. « Si vous n'êtes pas satisfaits, messieurs, d :e mes paroles et de mes silences, eh bien ! ç m'est égal. Je n'ai besoin d'aucun de vous. J'j mes amis et ma conscience. » r Aujourd'hui il s'est fait ^ort de son indeper 'e dance d'avocat pour proposer à la France ci tière une effroyable énigme. r. —Un jour, racorftë M0 Maurice Bernard (j le ne reproduis pas ses paroles d'après la stém e- graphie, qui n'est pas publiée à cette heure e- quelqu'un que je ne veux pas nommer vint m le trouver dans mon cabinet et -me dit : « Vou é- pouvez demander la remise de l'affaire Rochett re au procureur général, elle est accordée d'avar 'r. ce. » Je n'y croyais pas beaucoup, car M. Fabr poursuivait Rochette avec ardeur. Mais c'éta l'intérêt de Rochette. D'autre part, je me ser tais fatigué. Je la demandai au magistrat. EU I me fut refusée. Je fus fort mécontent, non pa 10 du refus en lui-même, mais d'avoir fait un pa :o de clerc. Très peu de jours après, et quan is j'étais bien décidé à ne plus la demander, o vint me dire de réitérer ma demande et que 1 - remise, cette fois, me serait accordée. Je ri fusai de faire cette seconde démarche. On m dit qu'en ne demandant pas cette remise, j mettais le procureur général dans un mauvai le ras. On me demanda comme un service d'a< à cepter ce que j'avais refusé la veille. Je fis 1 demande. J'eus ma remise. Et même, on me l ^ donna avec magnanimité,à très longue éch^no I sans que j'eusse pensé à la demander àus: Ul lointaine. Le voici donc posé, et qui s'avance à pa la feutrés, le tout puissant personnage qui sa 1- tçus les secrets du drame dont il fut le prii cipe, le mystérieux inconnu, qui désormais a r- tire sur lui tout l'intérêt du débat. :î, — Vous ne voulez pas le nommer, maître Be e nard ? té Et, par trente fois, M0 Maurice Bernard ri pond : j — Mon honneur d'avocat m'empêche de dii son nom. Sachez, toutefois, qu'il n'est ni u homme politique ni un journaliste. k'c Je pris alors la parole. — Maître,vous venez de créer un personnag o- qui entre, à cette heure, dans l'histoire du r gime parlementaire. Vous n'avez pas levé st » masque. Mais comment ne pas le reconnaître, ce visiteur que votre -devoir vous empêche de nommer, qu» soigne si puissamment les inté-y rêts de Rochette, qui n'appartient ni au journalisme. ni à la politique, et qui dispose des ministres ? Aucun doute. C'est Rochette. Rien de k plus logique. Rien de plus infamant pour nos maîtres. M® Maurice Bernard s'est tu. s Cette apparition monstrueuse, c'est le grand i- fait qui domine la journée. Après cela , qu'irn-e porte le défilé des magistrats qui sont venus, s pendant des heures, successivement, certifier, en la nuançant, la véracité.du procureur général. Il y a entre eux des divergences. Mais, au ,t total, c'était l'avis unanime, à trois ans de dis-tance, ils s'accordent mieux sur l'historique i des faits consignés dans le document Fabre, que nous autres, Commissaires, nous ne som-a mes à même de le faire sur telle déposition, quand nous n'en avons plus la sténographie sous les yeux. Ils piétinaient, répétaient à sa-e tiété des faits devenus indifférents, maintenant i- que nous savons qu'un certain Monsieur X a mis en-branle M0 Bernard, le procureur et les ministres. Au soir, dans le moment où l'on allume l'élec-c tricité, nous vîmes réapparaître soudain, parmi f npus, le mystérieux personnage. C'est fyl. Mo-i nis qui se chargeait de nous le ramener, e La mise en scène, cette fois, était au vrai sens du mot, dramatique, car sur notre petit théâtre, c ie veux dire au centre de notre table en fer à a cheval, ce n'était pas comme tout à l'heure un L; personnage qui faisait paisiblement sa déposé tion, mais deux adversaires qui s'affrontaient, i- Nous avions mis en présence M. Monis et le i- procureur général Fabre. Deux chaises étaient préparées pour ces mes-e sieurs. Mais sans doute parurent-elles trop rap->- nrochées à un huissier prudent. Il avait vu dans , les couloirs ces deux-messieurs et il jugeait que i la lutte ne serait pas sportive, les champions s n'étant pas de même classe, Monis plus lourd, c Fabre plus svelte. Il s'élança pour écarter les deux chaises. < Les deux lutteurs s'assirent et commencèrent t de disputer, mais sans jamais se mesurer du - regard. c M. Monis a-t-il donné un ordre? C'est l'affir-s mation de M. Fabre. Ou bien a-t-il simplement s donné des suggestions? C'est cc qu'il assure, i M. Jaurès, paternellement, les exhortait à n faire un effort ensemble pour harmoniser leurs a souvenirs. Peine perdue, éloquence-superflue ! Ils se se» c raient plutôt dévorés. e — Si je vous avais donné un ordre,dit Monis s (et rien ne respirait plus la haine que ce dialo-> gue pressé entre ces deux hommes qui se tou-a chaient presque du coude, se déchiraient avec a des mots et ne se jetaient pas un regard), si je >. vous avais donné un ordre, vous n'auriez eu ;i qu'à obéir; vous ne seriez pas revenu me voir. — Mais j'y suis revenu parce que vous m'ave* s téléphoné ! Èt c'est même ce coup de téléphone it qui a bien obligé mes hésitations à cesser. Ce i- fut un coup de fouet qui m'a rappelé à la réa-l- lité. Et quelle réalité l 'La destitution prochaine, r- si l'esclave n'était pas docile. Mais Monis bondit : — Jamais je ne vous ai téléphoné, ni fait téléphoner.e Holà! monsieur le ministre,vous aussi.comme n M® Maurice Bernard, vous faites surgir monsieur X ! Car enfin, soyons net. Cette affaire de la remise à obtenii, cet ordre ou cette sugges-e tion que vous venez de donner à votre procu-é- reur, n'étaient connus que de vous, du procu- m reur Fabre et du mystérieux X, que nous venons >*■

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Cet article est une édition du titre Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1895 au 1940.

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