Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

1615 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1916, 07 Janvrier. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Accès à 20 septembre 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/tm71v5cp69/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

2i° ANNÉE.— Série nouvelle. — Ne 42S Le mimer© ; 10 Centimes (5 0O8TIMii ÈM fRdlT) "Vendredi 7 Janvier 1916 RÉDACTION & ADMINISTRATION ffisi ras ia !a Bssrss —13 EAY3B Téléphone ; Le Havre n' 14,05 Sirseteu? : FSF.MS î!E5Hâ? Toutes i«3 communications concevant ta rédaction douent Cire adressée îa5*<Tj rn<? de la Bourse,Le Havre* LQNOOBi ©FFtCE : g1,Panton Street (Leicester Square s. w). ABONNEMENTS Franco 2 fp. 60 par mois. d 7 fr. SO par trlmsstPQ Anglatsrre.... 2 si?. 6 d. par mois. » .... 7sîi.0 d. par tPimésîPC' Hollande.. 1.25 florin pap moîa. d ..3.75 flor. par trimestre. Autree pays,. 3 fr. » par mois. o .. 9 fp. a par trloièstr* % """" PUBLICITÉ S'edroiser à l'Administration du Jour nui hj Havre ou à Londres Annonces 4' page a Ofr. «O la ligne Patitesannonces*9 page : 0 fr. 303a ? Igné Les petites annonces so?it tigalenim'l ?eçMes à La Société Européenne do publl* çltô, lo, mede la Victoire, Paris, qui «re a te monopole pour Paris. Quotidien Ijelye paraissent eu Havre LWBSIliLE I HEUMIJE I lîi plaidoyer lêmm Se M5 DestrÉs M Jules Dostréo s'est prononcé lui aus- I Bi dans le •< Petit-ParS-nen » du 5 Janvier I contra l'adhésion do la Belgique au pacte de I LoiïdK" \ vrai dire, lo député do Charle- I roi n'y voit qu'une forroatttiô diplomatique I consacrant une alliance existâûtdéjà on ■ lait niais il la décolns^ille et il déietid sui-I tout qu'on- y voie l'abandon de la. neutra-I jjitô belge. . I M. Ifcstréé estima que la. BelçiqiU» est en- I cure' neutre, il estimé que, Bi la neutralité ■ A ou des toeottvottieat», elle .1 eu aussi des ■ avantages et cru'on pourrait concevoir « au I profit des petites nations tout au moins une ■ pnmwesc d'inviolabilité de leur sol. » M. I Dcstrée conclut qu'en tout cas la question I .1 it iv-sfr cuverto et que c'est au Parle I ment qu'il appartiendra de la résoudre. Il y aurait beaucoup à dire sur les titres I du waïfement belgo h décider du statut di-I iileaîioitique qui assurera, lo mieux l'exlsten- ■ -co et le développement do la Belgique de I dltsmain, mais nous voulons aujourd'hui ■ aious borner au fond même du débat qui I . -■» la question uo la neutralité belge. M. Destrëe estime que cette question doit I aester ouverte. 11 faut, o.u contraire, qu'elle I soit résolue au plus tôt dans l'intérêt- me I ne de notre pays, car ce serait ccmpro I «bette gravement l'avoir do la Bests^quc I <fuo d<.< vouloir l'oSilig'cr à contoprmex sa I conduite dans la direction politique de it I guerre à la thèse allemande do la neutra- I aité, 11 eeto thèse abominable Par laquelle I les journaux d'outre-Rliin prétendent en I oorj quo l'Allemagne n'est pas en guerr( ■ avec la Belgique, malgré la destruction di I Louvain, do Termon<le^ do piymnde et I d'Ypres, malgré les massacres d'Aerscliot I de Dînant et d Andenné ! :> Les mots qu'on vient do lire sont dé no I tre confrère Roland de Maris dans un arti I do du « Temps >1 (11" du 0 janvier} où il ré I pond à la fois aux deux députés d'Anvers H ot do Charleroi 1 1 Sans entrer dans des polémiques qu I risqueraient d'énerver les esprits et de ereei I des divisions entro Belges, il importe pour H tant grandement à l'avenir de la Belgique I écrit VI. HoAanid.ifoMarfiS, nueja (rueisiio| H do principe soit nettement iixéo. La neutra I lité permanente ne fut pas réclamée par I; I Belgique. Elle lui fut imposée par le traiti ■ de 1839 et constituait, par son caractèr. I mémo, bien plus un garantie pour les puis I sanoes qui se portaient caution de eetti I neutralité que pour la Belgique oUom&me H En fait, c'était une garantie quo prena.i I l'Angleterre contre tout glissement possi I 3>le lie la lMgi«u« vers 1», France. Au cour I de ssutitm qu? suivirent le traité do 183 J I d'éminente hommes d'Etat belges ont cons I toimiient déploré cette neutralité porma I nento imposée, qui empêcha la Belgiqu I indépendante d'avoir uûii véa-itaJMe poJiti I que extérieure que les cléments hostiles au: I dépenses militaires invoquèrent constam I ment pqva* soutenir que la Belgique n'avoi I pas à se préoccuper do sa. défende, n'avni ■ |pas besoin d'armée, et que le fait pour «il I do disposer do forces appréciables consti I tuait une insuito aux pûisnaapes gnrante -I C'est cette neutralité pennanento qui fu I cause que la Beîgiqiie s'est trompée inipui: I sainte à erwliguer l'inva..ioa allemande e ■ qn.0, malgré les louables efforts de M. d I HrocqueviUc p-y.tr hùter dès 1912 la réorgs ■ nisation militaire, la nation héroïque n I disposa, pas le i août 191 i des forces qu ■ Teuœont mise à l'abri do toute . tragiqu ■ aveauturo. Voilà co que la neutrailto pei I inan«nte imposée à la Belgique par lo tr» I té de 1839 a valu à ce pays, et voilà pouj I quoi l'imanenso majorité des Be)§ies, apj-è I la douloureuse experieneo faite, lepouasen ■ énoi^iquemeint poui' l'avenir toute formul I de co genre constituant en fait une ref ■ triction. de la souveraineté nationale. » ■ Et M. Bolard do Marès met tràs bien e: ■ îRmière les conséquences désastreuses qu'ai H K^<nt dès miaintenant pour notre pays le ■ «lèses do M. M. Vojndeperrc et Dcstréc : ■ « La thèse de la neutralité permanente in: ■ .Posée, écrit notre excellent coiifi-èi'e, ponu ■ .irait Ctre bien plus dangereuse encore pou ■ (l'avenir qu'eïle ne l'a été pour le passé. S' I 'fallait l'admettre sains réserve, s'il falla ■ ooneidéner que la Belgique n'est pas pui; ■ ;6ance boiligcirante, qu'elle n'est pas e ■ ifiuerre avec l'Altema^Tio, on risqueras d ■ i'eslireindre singulièrement son rôle à févei ■ itueHc eonfiirenoe de la paix, où seuls le I jl)elli|jèran'ts seront admis. Pourrait-on coi I cevoiv an seul instant que, sous prétexte d ■ Sauvegarder le principe do la neutralité qi ■ lui (ut imposée, la Belgique devrait conseï ■ tir simplement an règlement de compte qu' ■ plairait aus beUigérants d'établir ? Nul n'< ■ serait !e souterii.- sérieusement. La Belg ■ | iTue, qui a donné au monde civilisé une a< ■ iiiurable leçon d'honneur et de loyauté, do ■ iiMre seule maîtresse de ses destmées. El ■ jdoit se trouver en posture de discuter 1 ■ wvmient do ses intérêts et de son avenir ■ : elle a payé du meHlem- de sa souveraines ■ i'H à la future' conférence de la paix, c'et ■ 'l'égale à égale qu'elle doit pouvoir ta'ûite: ■ j M mémo titre que tous les bolligiérante. i ■ ' Les échos qui noua viennent de la patri ■ jtovahie nous prouvent que ces vérités a) I Paraissent lumineuses aus Belges de 1: ■ -3»; comme à l'immenee majorité des Be ■ jgoa du dehors. M. M. VandepeiiTe et Destr< ■ 'ne sesiffiflcnt pas s'en rendre compte. Si not ■ 'ïoori-iœions contre le parlement les noii I «esscins qu'on nous prête, noog ne yon ■ ftons que $otthaitcr & ces nbnorahfos de eût ■ :*muer. Comme nous n'en voulons qu'ai ■ diochcs, noua leur demandjons plus tôt d'o ■ wrlr les yeux... I Ce j&îspkèJ se peut êire tcac' [I q,ae 10 CENTIMES ou I i»SWSr A «» Angleterre, 5 cesfs e ■ Bolls.nae les numéro. Pauvres gens !... MISCH ET THHON MARTYRS î —o— Parole d'honneur, 63 son' les Allemand qui sont martyrs en Belgique. On a lu liie les lamentations de von Bissing qui dot liaient lo sceau (fe lo, Kwmmandantur aux rémioides <lp Kili.ua Wertheinicv. Voie» iju'u autre boclie installé à Bruxeliès depuis d longues années geint à son tour dans un revue d'OutrcRhin. Il s'agit d'un M. Tlnon, un des associés d la maison Miscli ot Ttoroai, la librairie bie connue d-î la rue Roy!;'--1. Cette librairi avait à Bruxelles un.; clientèle nombreux et. fournissait notamment beaucoup d'adm nistratiohs publiques. Les chefs de eetto maison qui avaient d quitter. Sruxe'iîes au déîbut de la guerre pont rentrés depuis l'occupation allemand: mais ils n'y ont pas retrouvé les amitiés < la confiance d'autrefois. Et c'est cela qv les étornç douloureusement. Penscz-d'cmc, de méehants Brui-eilois soi: alMs jusqu'à aceusfr ces deux hoebes d'» voir provoqué la fcunetes de la librairi Dawit l C'est Thron lui-iMmc qui nous l'appren dians le n° 282 do la « BorsenKatt far de deutsc'ne Buclikantlel » (10 décembre) : n Cela ne peut nous étonner. — ajouts c boche dans sa revue de librairie, — dan l'état d'esprit actuel du' pays, non plus qu les lettres do menace, naturellement anon^ mes mie noiais aveng ,reçues en notre quoliî de libraires allemands et qui ne nous ai n:«.aient tien de moins que la eonilamii! lion à mort par les belges fanatisés do nou mômes et des femmes <p« nous sswmdent e ce moment dans la librairie et CELA PA CKliX QUE NOI's AVONS CONSIDÉRÉ PENDANT 17 ANS COMME NOS AMIS. ( sont là les désagréments de la vie d'affa : res en pays ennemi, (pic l'«n doit accepte nolcns voïeiis. Dans la vie privée, notre s tnalion n'est pas beaucoup meilleure TOL LES AMIS BELGES NOUS ONT TOURN LE DOS. ILS ONT FAIT LE VIDE AUTOU DE NOI'S. A côté du boycottage comme cral, le boycottage personnel. Nous nous somme,s déjà si bien habitués, que nousnoi ; en apercevons encore à peine. » N'est-ce pas extraordinaire d'ineonscie: ce V Parce quas les Beîges les ont acueitl ! et, nourris pendant dix sept ans, i ls devraic: leur nai-donner tous les crimes de leur pays ■ Ces boches ne nous en veulent pas eu i pourquoi donc leur en veui-on LESFAITSDUJOUI Les journaux allemands ont lo nouvel-i trish'. Hier, la Gazette de la Croix tilail fie simisle. Aujourd'hui, le Taeglischc P>ui5 schau est lugubre : a L'année courante suffira à consomm > les excédents rte l'année dernière. Que - passara-t-il l'année prochaine ? Nous ne do ; ijons pas le savoir. - J Notre devoir est d'espérer que tout i t lavorablement, « mais nous devons être pi t parés à des évi'neinr ,is défavorables >. - Il faut toujours pour savourer cette pr dcnce se non venir des fanfares d'août r.) ^ et même d'il ;/ a quelques mois. wvwwm ^ Les socialistes du Kaiset continuent à 1 montrer bien obéissants. Le Vonv^orU a B nonce que le Comité du parti social-dèm I cratc a voté» nar 63 voix contre 15 et 2G o! tentions, un blâme contre les vingt déput .. Qui ont repoussé les crédits de guerre. IL avait auparavant repoussé une deman ; a eoiclmion. 3 W\WUVV\U* e P«*H Journal a appris d' « ma pt r sonne qualifiée n qu'au moment où le oc vernement italien se préparait d signer pacte de Londres et à prêter son coucou i aux Alliés en Albanie, le l:aiser fit propos i- au roi Viclor-Emmanuel la conclusion de s paix avec des concessions territoriales i portantes. L'Italie n'en a pas moins siq le pacte de Londres. luumu r On télégraphie de Tabriz que le sard i Reshid, partisan de relations amicales on t la Russie et la, Perse, a été chargé des aff ;- res de l'héritier du trône, mineur, qui ', n gouverneur général de l'Azerbaidfan ; c sardar Reshid 'devient donc en fait goui\ i- ncur de celle province. s ii- . , e i L§§ fâsancês dy soldat belge APPEL A NOS COMPATRIOTES g Le Comité » Les Vacances du so(Àl; bebro » sous le haut patronnage de s . Altesse Royale Madame la Duchesse do Vt S, dôme et la Présidence d'Honneur do M d de Broquevilte, Ministre de la Guer: Hymans, Ministx-e do Belgique à Londres Emile Vandervelde, ministre d'Etat, f; un pressant appel au public belge en v o do réunir des fonds pour assurer à n j. vaillants combattants, séparés do leurs : L. milles et dépourvus de ressources person 1- les, un congé bien mérité. ,0 Le Comité a installé, 20, Mancliesi ,s Square, un home où il reçoit actucilemt ,g cinquante soldats par semaine, r. A dater de ce jour une souscrlntièn i î. om'érte pour couvrir las frais d'établ x sement et d'entretien de plusieurs hon i- semblables. II importe quo pas un de r défenseurs ne soit privé d'un repos née saire. Pour ceux qui défendent nos liber au prix do leur sang, personno no voud ™ refuser lo sacrifice d'un pou d'argent prix de son bien-être, si rlatif qu'il soit Bi ces temps d'épreuves. C'est un devoir do solidarité pour les B S ges fortunés et pour ceux auxquels le travail procure actuellement des ressouri S assurées, de contribuer à adoucir le $, do leurs frères du front. On est prié d'adresser las dons à M. W paraître % Une nouvelle liste j de prisonniers belges ^ Le premier fascicule do noire nouvelle ISsto de militaires belges prisonniers i t Allemagne V1EHT ÎJE SORTIR BE FBES5E. Il contient, en 2« PAGES GRAND FO MAT, les noms cto queifiues milliers tie militaires dont les noms sont compris ENTfi ^ LA LETTRE A ET D E T inclus. o Cette brochure, d'un s! grand intérêt pour les Belges, sera expédiée franco cent s l'envoi de 0 fr. 60 EM UN BON POSTAL au bureau du journal, rue de la Bours 28 ter. Le Havre. a Léo demandes pour l'Angleterre doivent être adressées à notre Lornlon Offi< y 2t, Panicn Street t.Leicester Square) Loniion S. \V. Joindre 6 PENCES. j Aidi Werl'Aiiiie ,1 L'ALLEMAGNE IMPOSE „ LE ZOLLVEREÏN AUX TERRITOIRES POLONAIS CEDES A SON ALLIÉE Los journaux de Vionac nous foilt con-2 naître les principales stipulations d'un ^ accord conclu entre les doux Empires au c sujet de l'occupation de la Pologne. Le ter-j rit.aire est divisé en deux parties par une 1 ligne qui correspond à la frontière Sud do l'ancien gouvernement de Siedlieez ; ce qui est ait Nord de cette ligne e.st administré s" nar l*s Allenià:! is ; ce qui est au Sud res-g sortit aux àutpjités autrielnênftes. i Ce sont donc les Allemands qui tiennent . Varsovie. Mais ils* ont dû admettre la pré-sence d'un délégué de l'Autriche au sein du gouvernement de la ville. Les voies fer-'T rées et fluviales sont administrées cil coin-mun.J? Mais ce n'est pas là que glt l'intérêt de la k convention. La' clause 2 stipule quo les '* règlements d'ordre économique et connu or-r" ciàl imposés par les Allemands aux pqpula-y lions polonaises qui relèvent de Berlin s'aip-'s cliqueront aussi au territoire occupé pal l'Autriche-Hongrie. Ainsi l'Allemagne n'a i- consenti à céder à son alliée une minime is partie de la Pologne occupée qu'à condition it d'y maintenir son emprise économique. Cri ! actf de « pénétration pacifique » accompli j, au détriment du « fidèle second » est d'autant plus intéressant que l'Allemagne s'efforce aujourd'hui même d'imposer à la Doubla-- Monarchie le Zollvercin économique, prélude d'une main-mise complète. C'est déjà . chose faite, on le voit, pour les territoires î conquis. » Si cette clause n'a pas édifié les hommes d'Etat austro-hongrois sur les visée3 demi natrices do l'Allemagne, il leur aura sufll sans doute, pour que lcui\ yeux se dessit-i» lent, d'accorder un moment d'attention à un Sr prospectus publié à la fois en allemand et d- en polonais par une dos plus.grandes firmes commerciales do Berlin, la maison Rodol-,,r phe Mosse, propriétaire du « BcrÙner Tafie-se blatt ». Ce prospectus, répandu à profusion :!. par" toute la Pologne, a pour but d'allécher i les industriels et îes commerçants polonais ra ! par l'a.ppét do brillantes affaires avec Jes maisons aHemaudes. Il y a une carte mon-j ti-ant les voies de communication entre l'Al-I lcmagiie et. toute Vétenduo du territoire po-f? -'lpnals, district autrichien compris, et le bo-i£ ïiiméiit se termine par tes mots : « La guerre... ne fait pas que détruire ; elle cons-tr.di. Elle provoquera la formation - d'associations commerciales nouvelles et qui pour-se font prétendre à un bel avenir ; elle omène-n- ra Un rapprochement' économique entre l'in-à- : dustrie allemande et l'industrie polonaise, i s- et'entre le commerce d'exportatica de ces es deux pays. » La réclame est d'un bout h l'autre sur le [/u mémo ton. Commerce avec l'Allemagne, industries allemandes, rapprochement économique ' ;. ■: l'Allemagne, marchés allemands, etc. : pas un mot de l'Autriche., .... Et notez que les Allemands ont inondé de u_ ces prospectus toute la Pologne conquise, à , la barbe des Autrichiens, que les journaux allemands l'ont reproduit, que la presse cm-' hochée de toute la Pologne lui a fait un sort. ; Ne trouvez-vous pas que cela illustre ad-mirablement les desseins de conquête ôcc-. j nomique de tout le territoire polonais, nour-ri3 par l'Allemagne aux dépens de l'Au tri-che-Hengrie ? Avant de s'en prendre diroelement à la Doubie Monarchie, lo Kaiser a voulu sans ar doute faire une expérience n in anima vili ». ra — Mes commerçants me rendront, a-t-i ii- calculé, ce que mes diplomates ont dû céder. •|t — A moins que d'ici là le Petit Père... Un curienx « poste â'econle » allomaiiâ Il n'y a pas fort longtemps, dans la ré gion de pixmude, un détachement belge chassa les' Allemands de -leur ligne avancé< où ils étaient, d'ailleurs, peu nombreux, e nos soldats purent visiter à l'aise ces posi lions do l'ennemi. Ils y découvriront, non sans surprise trois puits bétonnés placés à égale distancf lt l'un de l'autre, Ces trois puits aboutissaien ™ à une galerie terminée du côté des ligne; ®- belges par une chambre assez spacieuse ot se trouvait établi un poste téléphonique 'e> L'installation était singulière et on se de et riianda pendant quelque temps quelle étai ut sa raison d'être. Or, il advint qu'un sergen u® du génie s'étant assis au poste téléphoniqui OS sous le « tambour de teirre » le séparant di a- la surface du sol, s'aperçut d'un singuliei el- phénomène : tous les bruits, quelque mi nimes qu'ils fussent, lui parvenaient arvei or une extraordinaire sonorité. A 1,000 mètre; nt de dis!anec1 i! entendait les soldais belge: irtafcl>e<r et parler dans les tranchées ; ui »t coup de bêche était-il donné, un sac à terri is- ou un madrier était-il déplacé, aussitôt 1( es répercussion du brait lui parvenait. Ce dis os positif ingénieux faisait de cette cliambri ïs- sonore un » poste d'écoute » au sens propr. :és du mot. ™ ' W FRONT lion eJ. UNE FETE DE CHARITÉ A GU1NES m' Le Cercle philantliropiqMj^ et artistique di :es soldats belges « luler Nos », sous la prési irt dence d'honneur du majoi- Michaux, orgoni se pour le dimanche 9 janvier, une fête d-U-- chaulé au profit des bles3iis dea armées an L'EFFONDREMENT DU WM ET Di Là COURONNE DEUX RECORDS Lo change du mark est tombé ù Vô : mardi à New-\, : c'est le cours lo pi bas depuis l'ouverture des hostilités. Lo change de la- livre sterling est reme té, sur le même marché! à Dell. 4.74 !/, c'est le .cotirs les plus haut depuis plusiei mois. A LA BOURSE DE GENEVE On a asssité mercredi en bourge do Gei ve à un véritable effondrement des cho ges sur Berlin et sur Vienne. De 95.50 qu'il côtait la veille, le mark i tombé à 94. La baisse est do 23.57 %. Le change sur Vienne, qui faisait moi BI francs, a baissé de quatre points et i tombé à tiO francs, soit une baisse dé' 42, LES COMMENTAIRES La baisse générale des valeurs ennemi écrit lo 'i Journal » est duo en partie a difficultés éprouvées par le gouvernent allemand à régler en or le montant do i importations. Mais, de l'avis des spécial t. s, l'accent c ation <4 rapide do la cil1, tient à un ensemble do facteurs mora dont le principal est lo niMique de conli; ce. Les offres do marks dans les pays m t'.' ' par les titulaires de comptes oourai et par les banques ayant ouvert ces cou tes ont provoqué mie certaine mêfianco les ventes firent boule de neige. Les coi sa tassèrent en vertu de l'a.xiome eomit la baisse entraine la baisse. Ajoutons q «e» ne permet de croire quo le mouvemi de recul ait pris fin. De son côté, tq chroniqueur financier a .Tournai de Genève » écrit : » L'effondrement, qui menace d'aller p' loin encore, des devises autro-hoagi'oi caïuse do grandes préoccupations dans inonde des capitalistes ; ils se demanda s'ils doivent tbucticr leurs coupons ou réserver, et se résignent à l'eracaiàseme crainte île pis. Nos financiers se demandi si ce désastre eoirhiit à la. faillite ou à paix, et ce n'est pas à cette dernière ait aativ<3 qu'ils, s'arrêtent lo plus. -o- L'Evê^e de Namur serait par pour Rome P On téiégfophie d;î I.a Ilaye au « Mali de Paris ot nous reproduisons sous r:.. vos : i I.; eorresponi'ant du ' Tijd » en Be que affirme que Mgr Ileylen, évêque de i mur, est parti pour Rome le 3 janvier, ap de longues négociations uv ec les autori ailerunui^s. Mgr Iloylen, qui a publié les noms nombreux prêtres massacrés,- porto communications impartantes au Pape. » La résistance de la Belgiq Snvaiiie —.—»0« Voici comment la « Croi:: » do Pari: présenté à ses lecteurs lo 31 décembre nouveau livre do M. Maurice des Ombiai u Au moment où 1915 ra entrer dam pénombre de l'histoire, ndus sommes h reiu; qu'une occasion nous soit fournie rendre encore hommr.qe au vaillant pei qui est resté fier, invaincu, pendant Van tout entière, sous le joug de l'ennemi. C'est en témoin oculaire que AI. Mai t; : des Qmbiaux raconte, cette tragédie oit : gloire le dispute à la douleur. 11 a vu et il • late. avec une émotion patriotique qui pal discrètement à travers toutes les pages calvaire d'un peuple, — la mauvaise dans la déclaration de guerre et l'invast : — la surprise de la Belgique qui avait cru ; pacifisme ou du moins au respect de sa i: : tralité, — l'entrée ostentatoire aies Boche : Bruxelles, — l'invention de la légende francs-tireurs cl le sac abominable de I ■ vain, — toutes les cruautés qui e-nsanni . teut le territoire, — l'atlitude admirable d , peuple qui, bi oijé, au lieu, de s'incliner, ! pute le terrain pied à pied, au lieu de se .< : mettre, résiste. Cette résistance indomptable remplit ■ pages. Leur originalité est de la prései : non par récits successifs, mais nar prfl : stom coHMe e>est pot ï>?ojes6wns quela ' i gltjw. était groupée dans les siècles écou i ainsi que l'atteste par sa disposition ar i teclurule la magnifique Crand'Place de I ^ xclles. » Rappelons quo le volume de M. des < ; biaux sera envoyé franco par l'admi: tration du ( XX" siècle » contre un postal de 3 fr. 50. ~ ' COMMUNIQUE BELGE 5 j;.!i\Ur. — Tandis que l'artillerie helf > pris a partie les batteries alBcmandes à l ; .lo Dixmudjc. l'ennemi a bombardé lo vii! : Leurs manigances iKSre—— UN AGENT DES BOCHES A L'AI îIAMBRA y —o— 5 Malgré toutes les rebuffades que les fia mauds leur ont déjà infligées, il n'est pa de moyen auquel ne recourent les Aile m.mds pour tâcher de les amadouer. Voie qu'ils essaient maintenant du théâtre, î- On sait que lo théâtre de l'Alhambra., pre g pr-iété de M. Chamberlain, fut mis dorniC remont sous séquestre par lo gouverneu Bissiing. Or, un nommé Adolf Clauwacï-i re qui faisait jouer des pièces flamandes dan e uno salle do cabaret iio Molenbeek St-Jéaj; ' a. loué cett» immense ealle do speetacli écrit 1' ii Echo belge » qui ajoute : e, ! « Ce Clauwaert reçoit quelques bourro des énergiques dans le « Belgisch Daf blad ». Tout lo Bruxelles flamand sait qu > c'est un sans M sou. Et c'est lui qui love i plus grand théâtre do Bruxelles î Les Allemands ont donc accordé à ce ec botin germ&noïshilo l'établissement qu'il avaient mis sous séquestre. Cet individ était directeur des chansons flamande pour le peuple, fondées par les fils IIost< Borginon, etc. Il avait cru, avec l'aido d ces mossieor.-, remplacer à, la tête du ttoéf tre flamand M. Edmond Ile&dcrirkx. 11 ii trigua pour noircir Je doyen des com< •1° diens flamands devant le Conseil comnu liai de Bruxelles, mais §es calomnies n'or pas eu de succès. Un outsider fut nomm< 111' — on se le rappellera peut-être. ■ J Sous l'occupa'tion allemande, Clauwoci ^ a essayé d'obtenir lo tlié.y.re de. la rue d Laoken. U ne réussit pas davantage. C'e: alors qu'il s'adressa à un chef d'espioi nage germanique, de sorte qu'il put oi-g niser uno troupe. Le 18 décembre seulement, Clauwœr ,sj ouvrit sa saison avec « Jésus do Nazareth — co qui lui allait à merveille ; suivirei ,fjj <i Rolo van Moerland », un mélodrame d ,3j son proîectour Ilàffler, dit von Zigezar ;;0 agent principal du club « Pan-Germania, Il joua au-°-,i .i Ijes Brigands, » de Schi 1er, sans quo la censura allemande y v mol ! « Matie-ï 1.i^daloino », do Ilelibei ' « De Meester », de Balir, « Do Karemzai v* ger », de Wodokind, « Anatole, )> de Sch: klei-, d'autres ouvrages et une pièce d i03 traître G. Van Hecke, correspondant bn ':s* xeltois de la « Vîaamscho Pcst ». lte Los lecteurs qui no sont pas au courcus -J* remarque; ont immédiatement que co pr gramme fut imposé à co dlrectsur-homu "}' do paille qui ne doit pas avoir peur de fa ro' faillite. La caisse allemande comblei 'P, bien les vides c' Clauwaert jouera .des opérettes et di l; ,~ mélos pour « éduquer » !o peuple. Comrr 1 : dramaturge, après le Guàt. Van Heck déjà cité, il s'adressa à von Haller vc ,J1' Zigeza,;-. t Adolf Clauwaert abuse de rexistenec d-llu « Vîaamscho Liedor Avond » pour fai paraître sur scène les membres de cet us société. Il sv;st assuré aussi lo coucou >e,s du maiiiste Coppens et du dramaturge c le inique Peeroboom. Doit-on ajouter quo 1 ail » trotteurs de manche » joueront dévales les banquettes ? Vucun Flamand loyal i nt, mettra »lut les pieds daiis la boite emb .ni chéo de ce Clauwaert. » la Tout cet article do 1' « Echo belge » e er- pour ainsi dire traduit du « Belgisch D g'eblad » et h'e-st par consé<îuent pas su pset. Cette protestation du journal fl in and do La Ilaye. a d'ailleurs reçu j j meilleure cànfiimation qu'on pût souh ter. La « Fraiïkfùi-ter Zcitung » du i; décembio a rendu compte avec gi'ands él gc3 de la soirée inaugurale et a souliai grand succès à l'entreprise de Clauvvaei j „ Voil' de quoi édifier définitivement 1 llamands sur lo rôlo de co bonhomme 1 t ' " ti ta Suisse allemaade ^ et îa oanie beis UN JOURNALISTE SUISSE FOURSUTV 10 POUR AVOIR PRIS NOTRE DEFENi — a— Lo, ii Journal de Genève » a ipublié da; s'on numéro du 31 décembre 'l'article ? ) a vaut : J°. « Il parait le temps en temps depuis qu u ' ques mois à Zurich, sous le nom généra) la d Stimmen ini StUrm », uno série do pa: eu- plilots que nous ne voulons même pas no; de mer pour .lté.pas leur faire une réclame i: Vie méritée. Disons seulement qu'ils n'ont li née de suisse et s'inspirent de l'esprit pang. mauis'e je. plus accentué. Aucun effori, . iee eune calomnie ne leur coûtent pour chercl la h sen^-r la zizanie entre Confédérés. re- » Les journaux qui comptent dans ■lile Suisse allemande, pour autant qu'ils se su , le occupés de ces élucubrations, les ont lr, foi tées avec la sévérité et lo mépris qu'ell on, méritent. Rpau-'onp d'entre eux du re au ont préféré faire complètement le silen eu- sur cette répugnante publication, qui ne i s ù l'iète à aucun degré l'état d'esprit de des Suisse alémanique. ou- n De temps m temps cependant des p: (in- testatioais s'élèvent. C'est ainsi que le i 'un dacteur de langue allemande de la «Dian! iis- M. von Burg, ii Olten, a exprimé en terni ou- éloquents l'indignation justifiée, que lui causée un misérable pamphlet sur la Bel ces quo paru dans celle série. Cette protestati i'ct lui u valu mie citation devant le ftibui (VOUon. Non faisons les meilleurs vos pour notre confrère M. von Burg, qui a <• les, vé la voix de la justice et de fa dignité j 'ht- tionale. » Iru- Que M. von Burg nous permette de )m dire que tons les-Belges lui seront proton. lis- ment reconnaissants d'avoir pris aussi a ion rageusement la défense do notre -pays. Ne savons quelle campagne de calomnies agents du Kaiser ont menée contre ne dans la Suisse allemande. Nous savons ai si à quelies rancunes s'exposent les éc vains qui osent dénoncer en allemand crimes du Kaiser, de ses troupes ,ot de hommes" d'Etat. e a Aussi iic pourrons-nous jamais . exprirr 'est assez noire gratitude aux vaillants an âge quo noire e 'se compte dans 1a Suisse ai P.v^sAïYvns nM lp trLîmn^l rl'OI! mmmm \ ïïmm ' Ssmmwsiquè officiel français ~-w~ . ; Paris, 6 janvier, 15 heures. r A u cours de la nuit, faible activité de nolri , arlUlerle. s !W ARTOIS, aux abords da la route d/'. , LiUe, l'ennemi a fait sauter une mine dont , il a- pu. occuper ('entonnoir. ENTRE OÏK1-; ET AISNE, nous avons pris «Otts notre feu des patrouilles ennemies eJ • des travaillews occupés à réparer les Iran-' e chics. c EN CHAMPAGNE, le bombardement, exécuté hier ~ar nqs batteries sur divers .- noints du front ennemi a été *"irticulière< s ment efficace d l'ouest da Malsons-de-Chann j pagne où les tranchées allemandes ont éti 3 comblées. —'—»cy<—— 0 | LA FRANGE PRETE h LA GRECE. L . Athènes, G janvier. — Le gouvernenien! français a, informé le gouvernement greq '' qu'il lient à sa dispositif i dix millions <3« [ francs, constituant une avance sur î'emt -> prunt qui se négocie. ■t »o« •j DANS LA MER NOIRE [" Pélrograd, G janvier. — Un torpi-ieur rus« se a capturé," près j» Sourmin, sur la eôta , sud-est de la mer Noire, plusieurs voiliers turcs non chargés, faisant prisonniers quai» rante hommes, dont uno partie étaient " armés. Pétrograd, G janvier. — Le Roi d'Angle-' terre a conféré onze insignes de divers or-. dres et treize médailles aux marins de la flotte do 1a mer Noire, qui se sont dislin* ^ gués le plus. J" LA GUERRE EN AFRIQUE j fe naiirt §!kssiîl capifsN 1 5iir le lie mmfils iQ Londres, 5 Janvier. •— Officiel, — .Sur U lac Tanyanyiha, lexpédition navale britant ' i niQvj2 a attaque le 2b décembre le n/ivire dA guerre allemand Kkigani, elle Va ■orcé ô, capituler après 10 minutes de combat. Les - navires britanniques ont ramené au port M to ^mle all?m/w;d> àien qu'il fut -res de cou-rs 0Us s °iïlclers uUcmands ont été tués, \ Ta" sttûatof i, militaire a- r-»0{( s- Jeudi (} janvier, i. „.Ey attendant que l'ennemi altau-- Sa!"- nique, ce qui so produira pêut-ô'r.- W!. o- ffi™' ~ revenons-en au,très intéressai t(! l î il ius?e' l-autant que chacun aimerait <t t ',ecivl du <ÎCS9ein actuel de n,.m ^ vaillants alliez. M ,,Lc front russe, du golfe de Riga à la jtorjio ue la fjonticre rounnino-hessarabicnne ess une ligne droite nord-sud, séparée en son milieu par le vaste marais d i Prioet Pour partir en offensive générale dans' le vasto secteur nord de celte ligne, les Ra'-cs devront déboucher do Dwinsk et do Minsk et ,, marcher cona '.liquement vers Kovno -i@ boulevard de la Prusse Orientale et d' la Pologne septentrionale ; par contre, ,jai8 secteur sud, sous le Prijîet, leur nffensiva sera menée, comme tout, au début de '*» K guerre, en directior. générale Lemberg-1E Przemysl-Cracovie. Mais précisément pos que celle offensive-ci soit possible, il faut, au préalable, que l'ennemi soit maîtrisé c 1 Galicic méridionale où il est installe lans le as coulo.r formé par la Sti-ypa et les Cnrpatfiés. n- Or, cette action préalable exige clie-iiiémo une opération de redressement de l'extrême 0- droite de l'ennemi qui a pu former celte aile de en potence grâce à l'occupation de ia Buko-n- vine et dc Czernowitz. Ccite aile de l'ennemi: il- redressée, tes Russes pourront tirer tout le il- parti utile de la mauvaise position de l'en-a ne.mi dans la Galicie méridionale où .îeua 'r- front est divisé nae le Dniester, ce qui es"! t- bien l'une des situations les plus fâcheuses er où se puisse trouver une' armée. En liaison avec l'action russe autour delà Czernowitz,— action qui s'étend puisque la nt communiqué dlaujourtf'hui nous annonce u- i^uo le coiîibat s'est porte au nord-ouest de es 1*5 ville, qui n'était attaquée jusqu'ici qu'an te nord-est, — en liaison donc avec cette ac-00 tion, les Russes attaquent, sur la Strypa f' moyenne, — c'est-à-dire en direction do 'a Burkanov et do Buczacz, — l'aile gauche de l'armée do Ptlanzer. Si,par une faveur insi< lf gne du sort, les deux ailes de Ptlanzer pow-vaient être brisées, le centre serait acculé ' aux montagnes et. y pourrait être rejeté, os moyennant quoi l'offensive générée vers ? f emberg serait une tâche beaueaap plas ®L" aisée. Ji) Nous n'entendons certes pas dire que tet f_ est le dessein de l'éîat-major russe, 3ur quoi i„ on no donne aucune information. Mais cest là un dessein vraisemblable et en confor-mité avec les événements antérieurs. Au l'emeurant, le seul fait que -les Russes dons „: l'ennemi vantait la perte reparlent à .atta-i.-, aue avec de3 hornmos ot#des canons est toiii ml à fait significatif et réconfortant Que Ion us tienne bon, que l'on persiste et la vicloirs es complète couronnera tant d'efforts, us Paul CROKAERT. S " l'EFFQRT britannique »o« er LES ETABLISSEMENTS de MUNITIONS ra t^Aanvler

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1895 au 1940.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Périodes