Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1918, 30 Juin. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Accès à 23 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/jw86h4dv06/
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■ ilm mmm s sss m su mr m bbhe &s» JOURNAL BELGE PARAISSANT LE DIMANCHE A propos de la Mmn ils H. de, Erep UNE CAMPAGNE INDÉCENT Ui^ Ju V^r^-XTJLJL .T*.V- une agence d'information a commu que aux journaux, mardi après-midi, note omnibus ci-dessous, qui réunit ma festement tous les caractères de l'offîc « IL revient de diverses sources àutoris que le choix fait par le "roi, de M. Coo man comme successeur de M. de Bro*j ville à la direction des affaires, « au tifié, en Belgique occupée, par cQ-pim \ nationale entière. » Et la démission de M. de BfoqueviUe plus forte raison, bien entendu ! Car c' bien plus la retraite de l'ancien chef cabinet que l' avènement de son suc cesse que les auteurs de cette prétendue inif mation ont voulu célébrer. Etrange ach nement ! Auraient-ils peur que leur \ time ne soit pas morte tout à fait ? Cr gnent-ils que le fantôme ne revienne ? manifestation de ces inquiétudes postl mes. en d'autre temps, serait du pi haut comique. On nous fera difficilement croire q cette note soit le fruit d'une délibérât! de nos Quatorze réunis en conseil. A déf£ de la décence qui devrait, être de rigue à l'endroit d'un chef dont la. carrière min térielle a tout de même jeté de l'éclat s certains satellites médiocrement raye nants par eux-mêmes, la plus élémenta prudence aurait certainement dissua Il nos Excellences de gratifier le baron Broqueville, une vingtaine de jours api sa démission, d'un coup de pied aussi c ■ lectif que public. I Contrairement à ce que pourrait fai V croire cette espèce de danse du scalp, plupart de nos ministres sont des homir bien élevés. La plupart doivent d'ailler leurs portefeuilles à M. de Broqueville, -, B sut, affronter le mécontentement de p. sieurs de ses amis politiques, en janvj 1916, pouir faire entrer dans le cabinet M Goblet, Hymans et Vandervelde. C'est 1 qui rappela M. Helleputte, en 1912, au :i nistère des travaux publics. Si une parei brutalité avait été discutée en conseil, sonne n'aurait protesté plus prompteme et plus éloquemment, nous en somm sûr, que M. .Iules Renkin, sauvé du n'a frase, en 1913, par son chef et ami apr qu'il avait ameuté contre lui, en livra les missionnaires à une opposition ébloi par ce mirage au point de ne plus voir q du feu dans la brousse du, budget coioni l'opinion catholique tout entière... w Les gens qui jugeraient M. de Broqi ville et. ses collègues d'hier sutr le fo. et la forme de cette note auraient suj de se croire en présence d'une assembl d'hommes illustres et vertueux répudia avec éclat un associe incapable ou in< gne ! Cependant, même s'il -avait comn toutes les fau-tes — et dix fois plus encc — que ses vainqueurs lui reprochent, il serait trouvé au moins un ministre s quatorze, voyons ! pour évoquer, en ne nière de réponse, au rédacteur ou à 1 ii pirateur de cet indécent bulletin, la militaire de 1913, la réorganisation et l'a ministration de l'armée, la longue sir des services rendus au pays en guerre p cet homme intelligent, désintéressé, coi tois et hautement estimé de tous les hoi mes d'Etat alliés, auprès de qui son chî me personnel a si efficacement servi 1 intérêts de notre malheureux pays. Bref, si l'on veut que noais croyions q cette note est vraiment une œuivré go vernementale, il faut qu'on nous en don l'assurance formelle. D'ici là. noiws ne'pc vons y voir qu'une agression stricto me personnelle. Elle ne pourrait avoir été ir pirée, s'i 1 fallait absolument ad mettre qu'i ministre ait trempé dans l'affaire, que p un membre du cabinet agissant à l'insu ses collègues. Le devoir de ceux-ci, dès lo: est tout tracé. Une enquête s'impose a fins de découvrir et de flétrir l'homn quel qu'il soit, qui a exposé le gouvi nement bedge à passer aux yeux du j folie, du public français partioulièreme: pour une collection de .malotrus — il r » -pas d'autre mot en lui prêtant. nu ni- l'éga rd de son chef de la veille, des sén-li, la timents aussi vulgaires et exprimés avec rnani- autant de mauvais goût. Nous ne vou-fficio- ions pas douter que les treize quatorzièmes du ministère hésiteraient si — ce qu'à risée., Diieu ne plaise — l'auteur de cet exploit Joo-i'e- membre du gouvernement, à le désa- oi/ue- vouer avec tout l éclat commandé par la re ra- circonstance. inion Qui est-ce donc qui l'autorise, l'auteur, à parler au nom des Belges du pays occupé, îlle à à interpréter leurs sentiments, a piétiner c'est joyeusement M. de Broqueville à leur pla-îf du ce ? Eç moins de vingt jours, il a fait, Ju sseur Havre, son enquête en Belgique occupée, imfor- réuni témoignages et documents, interrogé ,char- les citoyens les plus représentatifs de l'opi-* vie- nion publique, le tout à la barbe des Alle-Crai- mands, et il est en état de jurer que la +,i^a re^ra^s de M. de Broqueville a été salué? istnu- comme un événement heureux par les Bel-plus ges captifs, qui n'avaient pas cependant les mêmes raisons que certains hommes que d'Etat de Sain te-Adresse, de souhaiter le ation départ du chef de cabinet !... C'est se ino-éfaut quer du public, et de quel public ! c'est rueur insulter aux tourments du peuple belge que linis- de le supposer capable de s'intéresser, dans t sur sa prison, autrement que pour les déplorer, lyon aux byzantines intrigues de la banlieue itaire du Havre'. Il serait à peu près aussi sé-iuadi rieux d'imprimer dans les journaux que n de l'ofpinon publique, en pays occupé, accueil-après lerait avec satisfaction la démission de M. i col- Renkin, de qui nous savons pourtant, de la façon la plus certaine, que la presse fairp emboc"h^e de Bruxelles l'a bombardé de ia , fleurs... p,la nmes * * leurs _ , , . qui .V® n est &a's seulemient une indécence de 'plu- Patiner, en pleine guerre, un premier mi- nvier n*stre démissionnaire ; c'est une sottise. MM. no«s garde de dire à ce propos seu- ;t lui ^emen^ Ie quart de ce que nous savons, i mi- de Broquévilfle n'était pas sans défauts, reilie ^ a eu *e temPs> pendant les sept années oer- *ïua occupé le pouvoir, de commettre mpni des ^au^es- N'empêche que les neuf dixiè- nrnifts m'es' des EeJ§es de toilte opinion disent de lui à présent : « il a bien fait de s'en aller; s'i! R,était Pas Parti, il aurait fini par ipieb sombrer avec les autres,, et sans retour ; louie C8 e&^ est " , A la place de M. Cooreman, le plus ho» înial n^e P^us galant des hommes, nous ' tirerions tout de suite cette histoire ou clair. D'ailleurs, au risque de lui gâter un peu sa lune de mie^ prenons la liberté de lui dire qu'il se méfie des conjurés qui lui ont frayé le chemin, à son insu d'ail-Dque- leurs et sans le l'aire exprès. Lit-iil le> fond ^ .Tournai de Genève » ? Qu'il ouvre la sujet f< Métropole » du 24 juin. Il y verra, dans nblée un article reproduit du « .Tournai de Ge-diant nève » le masque de son héritier apparai-indi- tre entre les lignes. nmis icore « La nomination de Cooreman au pos-il se fe de président du Conseil étonnera davan-i sur fc}Qe> c(1t un tutre nom était stir toutes les ma- lèvres. Peut-être l'homme dans lequel tous Pins- Belges voient le futur reconstructeur i loi de leur patrie préfère-t.41 se réserver enco-l'ad- re T>our aborder Vheure décisive avec une suite autorité et des forces fraîches... » cour- Mettons un nom 3ut le Surhomme pro- hioim m's par le <( Jorurnal de Genève >> à. l'impa- -har- tietlce du peuple belge. Ce Messie est i les Renkin, ministre des Colonies, qui n'a. pas encore su se protéger contre lia. maLadresse de ses amis. Sur toutes les i que lèvres ! tous les Belges ! Il va un peu fort, gou- à Genève, l'ami de M. Jules Renkin. Que onne M. Cooreman commande une cuirasse ; Je pou- poignard qui vient de servir contre M. de ment Broquie-vdlle e;st toujours aiguisé... > ins- Tels sont ies jeux de Sainte-Adresse, [u'un après quatre ans de guerre, quand la Pa- ■ par tria souffre dans les feirs ! Qui nous con- >u de tredira >i nous disons qu'ils ne sont pas lors, innocents?... ai|x Sunlight, nme, uve.r m m „ m w ,|,,, | i pu- nent, LIRE PAGE 2 1 n'y nt, à Matin d'Yser, vers, par Jean Panisel ■ JI A Vit VU / » ^ » V. p 14 « V ^iJU U anaBgK—w—nc—B———B—■f—apaaiMiri' ■ yi>j»k«rei jjf, Fâ:heuses I;;spiratio.;s... La démission de. M. de Broqueville a éi accueillie dans la presse belge de Hollai de par des regrets unanimes. « Aucun de nos compatriotes, à quelqr parti qu'il appartienne, ne méconnaît! sén- que M. de Broqueville, après avoir rend avec, à son parti les plus grands services n'a vou- également bien servi la patrie », écriva èrnes l'Echo Belge d'Amsterdam le 5 juin, qua u je] es^ phomme que la Belgique viei cpioit (je perdre. Puisse l'avenir ne point tro désa- nous faire regretter ce départ ». écrivai ar la G juin, la Belgique de Leyde, aprt avoir rappelé l'œuvre de M. de Broqu ur, à ville. cupé, ^6 Courrier de lœ Meuse de Maestrich itiner dans S0T1 numéro du 7 juin, écrivait c ' Plj1- même que c'est un devoir « de rendi t, du hommage aux mérites de M. de Broqu upee, ville, à son patriotisme, à son activité, rrogé SOn dévouement à la chose publique ». Dans le Telegraaf du 5 juin, notre exce là *en*' con^re Monet saluait dans le ch< . du cabinet démissionnaire « un homir Rd'Etat de talent qaii s'était brillammei ' l mis en valeur pendant la plus terrib' crise que la Belgique ait jamais trave: mnt3 sée ». ér ie —i j. . , ! ino- Il es^ permis de croire que ces appri c'est ciations émises par nos excellents confri 3 que res de Hollande à la nouvelle imprévue d dans la retraite de M. de Broqueville refléter orer ^es .s&ntinients des Belges réfugie lieuo c^ez nos voisins d'outre-Moerdijck. >i ^é- (Nous avons de .bonnes raisons de croir< que en effet, qu'il a fallu quelques télégran cueil- mes du Havre pour provoquer dan le M. .l'Echo Belge, le Belgisch Dagblad, ] t, de Telegraaf, les Nouvelles, le lendemaii resse une série d'articles d'un autre ton et d u é de autre sentiment. Les reproches pleuvent dru sur l'ancie chef du cabinet. On lui fait notammer grief de ne s'être pas montré assez énei ce de gique contre certains flamingants. Plu Ï.Î111" d'un article du XXe Siècle témoigne qu ttise. nous n'avons pas non plus trouvé toi seu" iours aussi ferme qu'il l'eût fallu la pol vons. tique du cabinet de Broqueville à l'égar a.uts. (jes menées aktivistes. Mais M. de Broquc inees vij]e n'est pas seul responsable d'une pol Lettre tique dont plusieurs artisans continuent + h ^ai're Par^ie du cabinet actuel. \,p_e Notre distingué confrère, Charles Be: ' nard, le reconnaît d'ailleurs dans l'Ech P . Belge, du 8 juin, en attribuant à de « mai 1 ' vaises suggestions )> l'indulgence excessi\ de M. de Broqueville à l'égard de certaine ^or-" factions qui ont d'ailleurs consciencieusi nous ment travaillé à le renverser. e ou ir'un Pour être juste, H faut reconna: berté ^*e I116 s y a eu des fautes commises d s qui ce côté, il y en a eu d'autres dont on sen d'ail- '^ire bon marcl'é. Aucun des censeur ij je, de M. de Brofjueville ne songe, pair exen ,e ]a pie, à s'étonner de complaisances, ceper dans daiH autrement graves, de certains men , çe_ Iu'as (lu cabinet à l'égard de leaders d arai- llnternationale socialiste. Ces « erreurs n'ont-elles^pas permis à M. Camille Huys mans d'exhiber comme un certificat d p0<ç_ loyalisme certain télégramme de M. 1 ivan- unnistre Pau! Hymans ? ■s les Même parti pris évident dans le repro tous cjTe adressé à M. de Broqueville de s'êfr cteur entouré « d'aristocrates du nom et de l'ai ?nco- gent ». Le confrère .qui a fait cette décou une verte s'aviserait-il par hasard de frappe d'ostracisme tous ceux qui portent un non à particule ou qui jouissent de quelqu j " fortune ? Cela aurait, de quoi étonner, mai ' j si ce zèle l'anime, il est permis de s'éton •e ner qu'il n'ait eu jusqu'ici aucun écho d t ' l'étonneraent provoqué parmi les AngJai: i par la confia/ce de M Renkin dans un fil À j d'Allemand qui fait la pluie eit le beai n. ' temps dans l'administration financière d j® la colonie. I. de Que nos confrères de Hollande, vqui on toujours fait preuve du patriotisme le jVlu esse, ardent et du sens politique le plus avis* , pa- lorsqu'ils ont été laissés à leur propre ins con- piration, nous permettent de leur donne pas un conseil fondé sur l'expérience de mi lieux que nous connaissons pour les avoi ht. vus de très près et qu'eux ne voient que d< trop loin : qu'ils se méfient d'avis intéres sés qui n'ont pour' but que de les amene. ~ il servir des intrigues. Qu'ils se fient i leur ssule inspiration désomv.is pour ju ger les hommes et les choses. C.e s. ra plu; sûr. beaucoup plus sûr... » •ai oû-U'î & rAKlZ) >. Espflfir! disent .nos soldai Paris les a vus défiler, fusils fleuris, drt an- 7)e?u fl°ttanj,, clairons sonnants — pâle . brillante image de ce que sera, chez nou le retour après la victoire — alors que lt que pierres elles-mêmes crieront « Vivat ! » i itra qu'il y aura partout, des larmes et dt idu roses. 1 ait Le merveilleux voyage du retour, aprt la licence russe et l'effondrement d grand empire, leur a montré, en Amer ient Que, l'organisation de la liberté, l'emph ,rop des compétences, le triomphe, enfin^ c ait, l'initiative encouragée et de l'activi >rès ordonnée. Il s'en reviennent pleins d'e [ue- voir ; ils nous rapportent la certitude c la victoire. cht d ' Nous rentrons, écrivait l'un d'eux de Foi Tol^er1' avec l'image de la préparation fai UIL tastique des Etats-Unis. L'enthousiasme qu pie- notre passage a suscité un peu partout, L i, a paroles et les discours que nous avons e: tendus, l'effort que nous avons nous-mênn , constaté dans l'industrie, dans toutes 14 Vf " branches du travail et du commerce, pro •nei vent à quel point les Etats-Unis prennes îme leur tâche à cœur. ient _ Notre diplomatie a un grand rôle à joui ible ; l'attitude de l'Amérique dépend surloi i?er- de l'intelligence et du labeur de nos repr sentants. L'on a fait beaucoup : il reste beai coup à faire. Notre séjour en Russie noi 3ré- a donné l'expérience et la connaissance d< frè- menées boches. Toute l'Amérique est av< , nous, toutes les énergies sont tendues ve: ent §Peri!e» sachons en profiter et nous auroi n'p<; 'a vljCl;0ire complète, mais non avec des mot avec des faits L'A.méricain n'agit pas vit mais il agit toujours avec sûreté et succès irp ^ a compris la valeur du temps. :i:' f Les Angais et les Français tiennent ; o "ii" été, nous verrons se déverser chez nous ! ans flot américain, et, alors, gare aux boches le Tu vois, par ces courtes lignes, notre morail lin, il est celui de nous tous. •urj Nous avons traversé le Pscifigue en : jours. La Californie nous réservait "un a cueil merveilleux ; nous y avons été bon :ien tardés de fleurs et, nous n'y avons renconti ent ?ue ■ deô sympathies. D'ailleurs, en généra 1pr 1°- vle en Amérique est merveilleuse. Tous ce " pays sont en avance sur notre vieille Ei lus rope. L'activité y est surprenante. Tout ce qi que veut travailer peut gagner ici autant d'à ou- gent. qu'il veut. C'.est un pays de rêve, jeun oli- riche et plein d'espérance. ard ne- La patrie, après la victoire, trouver ne- ^ puific, après La victoire, trouvera oli- parmi ses soldats, les meilleurs artisans it à de sa restauration. ier- ** ' * £ ta Mflaial lit» D A PROÎOS mTSôSs cs bsl^UÏ1 de par Fernand Séverin 2m- lire _ « Un nous a du souvent que les Belges en- ont. un Sérieux passé. Après 1830, des hisn-2m- ^i'ieus patriotes mirent à retracer nos fas-(2e l°s un 'zèlie louable, trop soiuiveaut desservi' s „ P^r une critique insuffisante. Leurs naïfs .ys- ouivrag;es mous montrent la nation belge "de pleinement formée et consciente d'elle-mô-je me, ou peu s'en faut, dès les jours loin, tains où nos ancêtres entrent dans l'his-»' toire. C'était le temps où l'on rangeait par-ro- mi les « Belges illustres » le Firanc^fcb.arle-'' tre magne, voire le Franc C lavis. Les gloires, ar- belges devinrent de solennels lieux com-ou- muns, des thèmes à cantates patriotiques,-per des sujets de peintures officielles om Une réaction se produisit entre 1870 et; lue 1890, contre cette historiographie tendau-aîS cieuse. 11 n'était plus nécessaire, à cette* on- époque, de prouver par des ti/tres préfens-' dûment historiques, les droits de la Bel-' a.is gicpie à l'existence. Notre pays, en dé-ployant une vitalité intense, avait, asse® 'a^ prouvé qu'il méritait de vivre. On put étu-* dier nos annales autrement quia dans uni but d'apologie ou de glorification, objecti-i Dnt vement. Des érudits, exempts du naïf ro-\us inantisme et de l'esprit de parti qui avaient! isé faussé les vues de leurs prédécesseurs, re-, ns- prirent cette étude sur nouveaux frais, et îer ils y apportèrent notamment un souçi dies.' ni- relations internationales et des questions; oir économiques qui devait, sous maint rapide port, en rénover les résultats. Leurs traJ es- vaux aboutirent à la grande Histoire de 1er H. Pirenne, dont la publication allait à sa\ à fin quand éclata la guerre qui devait, plus' ju- qu'aucune des crises traversées par notre [us pays, mettre en danger son indépendance., Ôn me trouvera peut-être naïf v niaâs j'e^» - ■ QUATRIEME ANNEE. = 2, lie Numéro ; lO oentii DTMANnHP sn TITIT

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Cet article est une édition du titre Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1895 au 1940.

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