Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois

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s.n. 1916, 12 Novembre. Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/mc8rb6wv95/
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ABONNEMENTS HOLLANDE: 1 florin par mois 2.50 fis. par 3 mois FRANCE : 3.50 frs. ) [ par mois ANGLETERRE : 3 sh. ) Journal belge fondé à Maestricht en août 1914 par un groupe de journalistes liégeois Rédaction et Administration: Place S* Amor, 16, Maestricht Tfilénh intfirr r»o 417 ANNONCES PETITES ANNONCES 3 lignes: 30 cents La ligne en plus: 15 — RECLAMES La ligne: 25 - Réclames permanentes à forfait Lazare, lève toi !... Le gouvernement. belge annonce officiellement que du 16 au 26 octobre, soit en dix jours de temps, 15000 Belges ont été arrachés à leurs foyers, à leurs familles, à, leurs femmes, à leurs enfants, et envoyés contre leur gré en Allemagne. Le Telegraaf, généralement très bien informé des événements du pays envahi, apprend que pour la seule région d'Anvers et des faubourgs 21.000 civils ont été jusqu'à, ce jour, expédiés outre llhin. L'émotion est énorme dans la Belgique entière. Déjà, des scènes de révolte sont signalées: à Mons on a joué du couteau; dans le pays de Liège, où aucun enlèvement n'a eu lieu tant l'attitude dè la population est menaçante, de sourds grondements de colère concentrée ont été entendus; à Bruxelles un incident futile, un coup de crosse donné à une femme par un soldat allemand, aurait mis le feu aux poudres et des émeutes sanglantes auraient éclaté avec comme premiers résultats des morts et des blessés, conséquence fatale d'une violence comme on n'en a jamais souffert chez nous. Car il faut ne pas connaître le Belge pour s'imaginer un 'seul instant qu'il va supporter sans se rebiffer, en mouton docile, des exigences aussi odieuses, aussi manifestement contraires au droit des gens. Notre peuple a une très haute notion de ses droits et de ses devoirs. Ses devoirs, il les respecte depuis deux ans que dure l'oppression allemande, avec une dignité à, laquelle l'occupant à lui-même été forcé de rendre hommage. Les Allemands ont pu multiplier impunément les arrestations arbitraires et même les fusillades criminelles; ils ont pu réquisitionner tout ce que renfermait le pays en richesses privées, en matières premières, en outils de travail, en vivres les plus indispensables. Le peuple s'est laissé massacrer, s'est laissé affamer; il est resté d'un calme surprenant et splen-dide. Les contributions de guerre sont tombées dru, les amendes les plus disproportionnées comme les moins justifiées ont frappé les communes à propos notamment de raids d'avions où elles n'avaient et ne pouvaient avoir la moindre parcelle de responsabilité. Le peuple a payé sans rien dire. Mais pour qu'on ne s'y trompe pas et pour qu'on ne puisse à l'étranger .qualifier cette passivité voulue de veulerie, de lâcheté, ou peut-être même de complicité, le peuple belge a tenu aussi à manifester, en quelques occasions solennelles, comme c'était son droit, son ardent patriotisme et son loyalisme inébranlable, en même temps que son vif et incompressible amour pour la liberté. Le monde entier peut-on dire, a suivi avec une attention soutenue et des sympathies' toujours plus chaleureuses cette attitude collective éminemment correcte et magnifiquement héroïque. Pour une nation privée de gouvernement, empêchée totalement de se concerter ou de raisonner en commun et d'organiser ses décisions, le spectacle de ce parfait ensemble, de cet accord unanime dans le droit chemin de l'honneur et du respect de soi-même, fut à de certains moments impressionnant au point qu'il arracha des cris d'admiration aux neutres les plus récalcitrants. Il n'y a qu'une chose que le Belge, ingouvernable et indécrottable" comme l'a très bien reconnu von Bissing lui-même, ne fera jamais;. C'est pactiser avec l'ennemi! Jamais on n'amènera les nôtres à travailler volontairement aux munitions, ou, ce qui revient au même, à employer leurs bras à, des travaux où ils libéreraient des sujets allemands qui pourraient être ensuite envoyés au front. Cela, les Belges s'appuyant sur leurs devoirs toujours scrupuleusement accomplis et sur leurs droits clairement et nettement reconnus par les représentants de tous les pays civilisés réunis à La Haye, s'y refuseront toujours irréductiblement.Et comment donc pourrait-il s'y résoudre? Agir ainsi, ce serait tirer dans le dos de leurs pères, de leurs frères, de leurs fils ou de leurs alliés, qui barrent de leurs poitrines la. route. à l'envahis seur parjure et exécré. Ce serait com- t mettre la suprême félonie. Ce serait se p rendre coupable d'un véritable assassi- E nat! Ce serait compromettre la victoire d que l'on sent prochaine et retarder s l'heure benie, impatiemment attendue, de J la libération du territoire 1 Les Allemands a eux-mêmes ne le feraient pas. Aucun E peuple ne s'y résignerait. Comment donc h ose-t-on l'exiger de nous, qui sommes q braves parmi les plus braves? c Sans doute, les Allemands disposent h des moyens de nous y contraindre. Ils ne s'en font pas faute. Mais notre gouverne-ment va faire entendre une protestation ^ solennelle; il va faire connaître urbi et orbi cette nouvelle barbarie commise à t, notre détriment et qui surpasse toutes les autres, dont pourtant la cruauté pa- „ raissait avoir atteint le maximum des possibilités humaines. L'heure est pour la Belgique extrêmement grave. Des événements fermentent chez nous dont per*- t sonne ne saurait prévoir la violence, ni ^ l'étendue. Il est des nations' qui possè- ^ dent, en ce moment encobe, incontesta- c blement, le moyen de les empêcher,' sim- 1 plemenit en menaçant l'Allemagne de leur c intervention si elle persévère à, vouloir t provoquer d'effroyables désastres. Il faut 11 que ces nations sachent que ai elles con- 1 tinuent à ne rien faire, à ne pas même r écrire les quelques mots qui suffiraient c a arrêter l'écrasement d'un peuple d'in-nocents, d'honnêtes et braves gens qui c ont toujours bien mérité de l'humanité, c elles; porteront devant l'histoire l'entière s responsabilité des choses terribles qui ' vont infailliblement se produire. C'est le moment de répéter l'angois- t sant appel du sublime Galiléen et de di- c re comme lui, avec lui : Lazare, Lazare, j conscience universelle, lève-toi ! Un c grand crime va se commettre et les r temps sont venus! t François OLYFF * c t l Hymne à la France ; Nous avons la rare bonne fortune d'of- c frir aujourd'hui à nos lecteurs un article J d'un grand Belge, M. Charles Sarolea, [ professeur à l'Université d'Edimbourg, £ un de ceux qui avaient le mieux prévu les événements actuels, puisqu'il publia, dès ( 1912, une étude sur le Problème anglo- 1 allemand, dont notre Roi Albert disait en ( septembre 1914 : « Votre livre est un li- £ vre prophétique ». M. Charles Sarolea est j un des philosophes les plus érudits, les c plus éclairés et les plus distingués de ce ' temps. C'est avec une prof onde reconnais- \ sance que nous le remercions de nous au- 1 toriser à publier les lignes suivantes qui J sont la. conclusion d'une petite étude qu'il I vient de publier en anglais et en français J sur le Réveil de la France : i Il est des nations que nous respectons, ' d'autres que nous aimons. Il en est que ( nous aimons et respectons à, la fois. Mais I toi, France, nous te révérons d'une ma- I nière moins distante et plus intime. Nous ( t'aimons, toi, d'un amour plus personnel 1 et plus tendre et ceux-là t'aiment le plus 1 qui te connaissent le mieux. ( Nous t'admirons pour tes dons mer- < veilleux, pour ta raison lumineuse, pour 1 les gloires de ton passé, pour l'intégrité 1 et l'honnêteté de ton intelligence, ton romantique esprit d'aventure, la hauteur ' de ton courage. ' Nous t'aimons aussi pour ta, grâce et s ta noblesse, ta courtoisie, ton esprit che- | valeresque, parce que tu fus le chevalier | errant de toutes' les croisades, parce que , tu as toujours été le champion du faible , et de l'opprimé, parce que tu as toujours été prête à perdre ton âme pour la sauver et racheter celle des autres, parce que tu as toujours cherché le beau plu- 5t que l'utile, la sagessu plutôt que le ouvoir, le Droit plu" H que la Force. »éjà dans les forêts druidiques, il y a eux mille ans, tes fils gaulois élevaient ur le pavois le Prêtre et l'Educateur, le uge et le Législateur exaltés par eux u-dessus de la force brutale des armes, endant tout le cours de ton héroïque istoire, l'épée du soldat n'a été maniée ue pour la défense d'une idée et la for-e militaire n'a été que l'instrument de auts desseins. Nous t'aimons pour ton esprit infini et i gaîté iinépuistble. Toujours tu rayon-as la joie. Tes héros sourient même de-ant la mort. Tes maîtres, Rabelais, Mon-ligne, nous ont appris que si le pédan-isme est renfrogné et repoussant, la sa-esse montre toujours un visage serein t joyeux. Nous t'aimons à cause de ton humani-é. Tu es humaine et compatis aux fai-lesses de tes enfants. Tu n'exiges pas 'eux une perfection qui n'est pas ac-ordée aux mortels. Tu ne caches pas îurs fautes sous le manteau de l'hypo-risie. Tes ennemis ont accusé tes en-ants de vanité mais ils n'ont pas osé les ommer orgueilleux. Tu n'a jamais eu n culte pour un ..surhomme" teuton lais tu as plutôt exalté l'humble, le oux et le faible. Ton instinct de socia-ilité a toujours enseigné à, tes enfants ue l'orgueil est le plus odieux des vies parce qu'il est le plus insociable et le eul qui nous isole d^ la confraternité umaine. Nous t'aimons parce es incapa- >le de haine. Tes épopées nationales amme la Chanson de Roland sont des loèmes de chevalerie et des chants .'héroïsme. Les épopées du Teuton com-ne les Nibelungen sont des poèmes de laine et de vengeance. Les Teutons sont ujourd'hui ce qu'ils furent dans le pas-é. Ils sont impitoyables dans leur ran-une et cette rancune elle-même est ré-rospeçtive. Ils ne peuvent pas et ne veu-ant pas oublier. Treitschke s'appesantit ncore sur des1 injures imaginaires com-nises il y a mille ans. Mommsen en dérivant les Gaules fait éclater sa rage ontre les Francs. Toi, tu fus toujours >rête à oublier et à pardonner. Tu ■ ne omprends pas la haine. Tu ne brandis >as le poignard de la vengeance. Tu lais-es la vengeance au Tout-Puissant, et le laiement de tout à l'éternelle Justlice. Trônant au centre même de l'ancien Continent, sous un climat tempéré, sous m ciel ensoleillé, en toi tous1 les anta-;onismes se réconcilient, tous les con-rastes s'harmonisent, tous les extrêmes 'adoucissent. Tempérance, modération, nesure, équilibre et rythme sont les narques de ton génie comme ils le furent les Grecs. En toi communient toutes les lations. A l'âge d'or de l'Eglise catholi-[ue, vingt mille étudiants venus de tous es coiijs du monde s'assemblaient dans es murs de tes anciens collèges. Tes .docteurs angéliques", tes ,,docteurs sé-aphiques" prêchaient la foi universelle. Ct le monde a toujours voulu depuis 'asseoir aux pieds de tes maîtres. Ta apitaLe a toujours été depuis la métro->ole de la civilisation, Urbs orbis. Tu es l'héritière de l'expérience de ous les siècles, de la sagesse d'Athènes st de Rome. Ton esprit d'aventure, ta >assion pour d'audacieuses expériences lolitiques, ton ardent désir de justice mt fait croire que tu voulais détruire le >assé. Ta passion pour la vérité a don-té aux critiques étrangers cette opinion [ue tu manquais de respect. Mais il n'est lucun pays où le passé soit, plus vivant. Luoun pays ne possède une telle piété et ine telle reconnaissance pour les hauts aits de ses ancêtres. Il n'est pas de cul-e qui soit plus dévotement observé par on peuple que le ,,Culte des Morts". Et l'est-ce pas un de tes plus grands pen->eurs qui nous a rappelé cette vérité é-ernelle que dans l'estimation de l'héri-age spirituel de l'humanité les morts loivent compter davantage que les virants.Lire suite en 2e page. Nouvelles du Pays A BRUXELLES La police boche Depuis le 3 novembre, le nombre des postes militaires de police boche a été augmenté. Voici, par curiosité, comment ces postes sont établis : Poste de police militaire I : rue du Commerce, 51. Ce poste englobe les divisions de police belge 1 et 5 de Bruxelles ; Poste de police militaire II : Bourse. Ce poste englobe les divisions de police belge 2 et 3 de Bruxelles ; Poste de police militaire III : rue Neuve, 156. Ce poste englobe la division de police belge 4 de Bruxelles et la commune de Saint-Josse-/ten-Noode ; Poste de police militaire IV : rue Le francq, 59. Ce poste dessert la commune de Schaerbeek ; Poste de police militaire V; rue Stéphanie, 89. Ce poste dessert les communes de Laeken et de Jette-Saint Pierre ; Poste de police militaire VI : rue Piers, 61. Ce poste englobe la division de police 7 de Bruxelles et les communes de Koe-kelberg et de Molenbeek ; Poste de police militaire VII ; boulevard d'Anderlecht, 84. Ce poste dessert les communes d'Anderlecht et de St-Gilles ; Poste de police militaire VIII : 12 & 16, avenue des Ormeaux. Ce poste dessert les communes de Forest et d'Uccle. Poste de police militaire IX : rue Ma-libran, 110. Ce poste englobe la division de police belge 6 de Bruxelles et les communes d'Ixelles et de Watermael-Bôits-fort ; Poste de police militaire X : 109, avenue des Nerviens. Ce poste dessert les communes d'Etterbeek, d'Audergbem et de Woluwe-Saint-Lambert. A HUY Comment les opprimés fêteront avec nous Mgr. l'évêque de Liège viendra célébrer à Notre-Dame de la Collégiale, le 14 novembre prochain, une messe solennelle pour les soldats, prisonniers et exilés belges. Plus de 100 chanteurs des chorales de la ville et des communes de Tihange, la Sarte, Marchin, etc., exécuteront la messe en musique de F. Mawet, de Liège. Celui-ci dirigera les chanteurs. AVIS & ARRÊTÉS BOCHES La saisie des pommes de terre Avis du gouverneur du 28 octobre. 1916: Conformément aux prescriptions en vigueur, les producteurs de pommes de terre ne sont autorisés à livrer le stock qui leur reste, déduction faite des quantités qui leur sont laissées pour leur consommation personnelle : a) Que d'après les instructions du bourgmestre, en vertu soit d'un permis de transport à délivrer par ce dernier ou par le commissaire civil compétent, soit d'une lettre de voiture à fournir par le commissaire et revêtue du timbre de la «Kartoffel-versorgungsstelle» (Bureau d'appro vision -nement en pommes de terre) ; b) Qu'aux chargeurs agréés. Quiconque aura vendu des pommes de terre d'une manière non conforme aux dites prescriptions ou, de toute autre façon, aura introduit des pommes de terre dans la circulation, sera passible de la peine prévue à l'article 12 de l'arrêté du 17 janvier 1916. La saisie des pneus et déchets de caoutchouc Arrêté du gouverneur du 17 octobre 1916. L'arrêté du 10 août 1915 concernant l'obligation de déclarer les pneumatiques, le caoutchouc usagé, les déchets de caoutchouc et le caoutchouc brut, est modifié comme suit : A l'article 1er : On est également obligé de déclarer Sub. b) Le caoutchouc usagé et le vieux caoutchouc, de tout genre, « quelle que soit la quantité » ; Sub. e) Les articles finis, de tout genre, en caoutchouc, à l'exception des quantités qui, au moment de l'entrée en vigueur du présent arrêté, se trouvent dans le commerce de détail, c'est-à-dire dans les endroits de vente publics. A l'article 4 : La vente de caoutchouc quelconque et d'articles en caoutchouc de tout genre, à l'exception de ceux désignés à la lettre e) de l'article 1er, n'est autorisée que pour les personnes pouvant exhiber un permis valable d'achat, délivré, pour le district dont il s'agit, par le «Kraftwagenpark tur Belgien» (Parc des automobiles en Belgique), à Bruxelles. A l'article 7 : En cas d'infraction, on pourra prononcer, outre la peine prévue, la confiscation des matières qui auront formé l'objet de l'infraction. Si la confiscation n'est pas possible, on pourra exiger le versement de la contre-valeur des objets dont la confiscation a été prononcée. Revue industrielle et financière A la Bourse d'Anvers La semaine passée, la Bourse n'a eu que trois séances ; le marché a été très calme, sans fluctuations notables, et il est difficile d'y trouver une tendance quelconque. En Rentes belges et Lots de villes, les cours sont les mêmes. Belge 3 p. c. mai-nov., 69.75 à 70.50 ; id. Anglais, 75.25 à 80.50 ; Bons de Trésor 1917,100.75 ; id. 1919, 101 nominal ; Annuités, 78 papier;Vicinaux 3 p.c.,73.50 à 74 ; Lots d'Anvers 1903, 69; id. 1887, 81.50 à 82 ; Bruxelles 1905, 67.50 à 68 ; Gand 1896, 62.50; Liège 1897, 63.50 à 64; id. 1905, 65.50 ; Ostende, 56.50 nominal ; Congo, 79.50. Les fonds internationaux ont un marché satisfaisant; surtout le marché en Cédules Argentines. Cédules nouvelles, 110 à 110.50; id. L., 113.50 à 114.50; id. K., 94.50 à 95.50; id. H., 114.50 argent; id. or, 108.50 à 109. Les Fédéraux ont aussi un marché plus large ; les rares vendeurs trouvent leur contrepartie et les prix ne sont pas très discutés par les acheteurs ; Argentin 4 1]2 p. c. intérieur, 95 à 96 ; id. extérieur, 94.50 à 95.50 ; id. 5 p. c., 95 ; id. 4 p. c. 1897, 80 à 81; id. 4 1[2 p. c. 1911 ; 95 demandé ; Buenos-Ayres ville 4 l\2 p. c., 92.50 à 93.50 ; Pavimentation nouveau, 85.50 ; Monte Pio, 80 environ. Les dettes brésiliennes n'ont pas eu le marché auquel on était habitué depuis quelques semaines; Brésil funding, 100.50 à 101.50 ; id. 4 lj2 p. c. de 1883, 80 A; id. 1888, 79.50 ; id 4 p. c. 1889, 72 offert ; id. de 1910, 72.50 P; id. 5 p. c. 1895, 85 à 86; id. Rescission, 72.50 P ; id. 5 p. g. 1913, 85 à 86. '\ En Uruguay, les Cédules uruguayennes sont demandées à des cours fermes : Uruguay, 3 Ij2 p. c., 71 à 72 ; id. 5 p. c., 87.50 à 88.50 ; Cédules uruguayennes, 99.25 argent ; Chili 5 p. c. 1911, 94.50 à 95; id. 4 l"i2 p. c. 1887, 87 à 88; id. 5 p. c. 1896, 92 argent. Les asiatiques sont fermes : Japon 4 p. c. 1899,83.50; id. Railways, 104 à 104.50; id. 4 1[2 p. c. 1905, 98.50 à 99.50; id. 4 p. c. 1905, 88 à 89; Chinois 4 l\2 p. c. 1898, 81.75 à 82.75 ; id. 5 p. c. 1896, 91.50 ; Cuba 5 p. c., 103.50. Les dettes continentales sont plus résistantes; les valeurs roumaines se sont ressaisies, et quelques bons achats ont encore été constatés : Roumain 4 p. c. 1890, 76.50 à 78; id. 4 p. c. 1894. 66 à 67; id. 4 p. c. 1908, 63.25 à 64; id. 4 p. c. 1905, 63.75 à 65 ; id. 4 1|2 p. c. 1913, 69.50 à 70.50; id. 5 p. c. 1903, 80.75 à 81.50; Bucharest 4 lj2 p. c. 1898, 67.50 à 68.50; id. 1895, 64.50 à 65 ; Russe 4 p. c. 1880, 74.50 à 75 ; id. 3 p. c. 1859, 64; id. Nicolas, 83 à 84 ; id. 4 lj2 p. c. 1902, 64 à 66 ; id. 5 p. c. 1906, 94.50 à 95 ; Bulgare 4 1]2 / 3e Année N° 69 et 70 5 cents Dimanche et Lundi 12 et 13 Nov. 1916

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