Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois

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s.n. 1918, 07 Fevrier. Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/gf0ms3mb25/
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Les Nouvelles Journal belee fondé à Maestricht en août 1914 ABONNEMENTS : . Hollande: 1 florin par mois 2.50 fl. par 3 mois Administration et Rédaction: La Haye - Prinsegracht, 16 - Téléph. 2787 Bureaux à Maestricht : Wiihelminasingel 27 ANNONCES: j La ligne : 15 cents en 4e page. Réclames permanentes à forfait LETTRES DU HAVRE l Nous publiions hier notre première Lettri de Suisse. Voici notre première Lettre di Havre. Toujours notre but est le même réunir par la pensée et par le cœur — c'est à-dire par le fond même de leur3 instinct! et de leurs affinités de race — ceux qu< les épreuves rapprochent mais que le! distances séparent d'autant plus que la diffi culté des correspondances postales et autres augmente chaque jour. En collaborant ains par tous les moyens en notre pouvoir ï l'unité nationale, nous prétendons seconde) de notre mieux l'action de notre gouver nement et lui préparer les lourdes tâches d'avenir. Puisqu'aussi bien bien c'est ut gouvernement de coalition que nous avons en ce moment, tous les Belges ont poui premier devoir de se coaliser autour de lu et c'est de ce devoir que nous nous acquit tons, avec autant de fierté que de ferme résolution. <■ La Belgique au ïiâvre De notre correspondant : Le Hâvre, 20 Janvier. Nous voici enfin sortis de la crise ministé' rlelle ! Elle a duré près de trois mors, 1< croirait-on? ___ C'est, en effet, vers la mi-octobre que 1< bruit des incidents Comtesse Werner de Mérode-Evence Coppée eût des échos sui la colline de Sainte-Adresse — qu'à cette occasion un mauvais plaisant, il y en a toujours, a dénommée Saiate-Maladresse... Et, depuis le début de novembre, de palabre en palabre, de conciliabule en conciliabule, on en était arrivé à la mi-décembre, époque à laquelle l'entrée de M. Paul Hymur &uk jvtUires Etrangères je U-suVa défiufi.--vement résolue. Mais, dès les débuts des Incidents, il avait été unanimement décidé que M. de Broqueville abandonnerait les Affaires Etrangères. Ce n'est ni le moment, ni le lieu d'entrer dans les détails de cette crise, mais il doit être permis de dire que toutes les histoires colportées à son sujet par certains confrères de Hollande et reprises " con amore „ par la presse de Bochie, pe tiennent pas debout. Dès le premier instant de la crise, il avait été admis unanimementque des remaniements profonds dans le Gouvernement n'étaient pas à souhaiter et qu il était hautement désirable qu'aucun de ses membres n'abandonnât son portefeuille. M. de Broqueville devait-il, comme chef de cabinet, s'occuper uniquement de la direction des affaires? Qui fallait-il placer à la tête de notre Foreign Office? Telles furent les questions qui s'agitèrent jusque vers le 15 décembre. Sur les conseils de M. Helleputte, M. de Broqueville avait songé à M. Vandenheuvel, notre ministre à Rome, pour le portefeuille des Affaires Etrangères. L'ancien ministre de la Justice fut pressenti et M. Helleputte lui dépêcha même Mgr Deploige, mandé de Lourdes à Sainte-Adresse, afin d'obtenir son adhésion. Mais M. Vandenheuvel refusa catégoriquement. / 11 fut alors question de M. Poullet; puis M de ivi. (Jooremàn, ranc,ien"près?3ênFde la | Chambre, mais tous deux déclinèrent le busTe début, une fraction des membres du gouvernement eût voulu que le portefeuille des Affaires Etrangères — en ce moment où l'on parle tant et si justement de " compétences „ — fut confié k M Pi»™» . Orts. Dans l'espèce, celui-ci était tout par-*Tîculièrement celui que les Anglais eussent dénommé " the right man „. Petit-fils d'Auguste Orts, un des hommes qui honora le plus notre Parlement — il en fut le président pendant plusieurs années M. Orts, bien que jeune encore — il n'a que 44 aijs— est sans conteste le premier de nos diplomates. Successivement spcrétain» de Légation à Paris, puis à Londres, conseiller du Roi de Siam, il a occupé pendant près de dix ans le poste de conseiller diplomatique du Département des Colonies. M. Renkin, qui appréciait hautement ses remarquables qualités, fut enchanté pour le pays de voir entrer M. Orts aux Affaires Etrangères lorsque M. de Broqueville en prit la direction en juillet 1917, mais, à son point de vue et au point vue de nos affaires coloniales, il ne cacha pas son regret de le voir quitter les Colonies. tre M. Orts, par la sûreté de son jugement, la du solidité de son éducation historique et diplo-e : matique,l'ardeur de son patriotisme, nous rap-st- pelle qu'il y eût chez nous des citoyens qui cts s'appelait Devaux et Van Praet. Mais M. Orts ne n'est pas député, ni sénateur... [es Parmi ceux qui, jusqu'à la dernière minute fi- de la crise, le poussèrent le plus, il y eût M. es Paul Hymans et c'est assez dire que, con-isi trairement à ce que d'aucuns ont voulu laisser à entendre, l'éminent député de Bruxelles n'a-[er vait pas songé un instant à revendiquer le ;r- poste redoutable de chef du Département des ies Affaires Etrangères. un Cependant les circonstances — et aussi les ns habiletés cousues de fil blanc de tel ou tel — ,Ur firent que, finalement, le seul moyen de ré-lui soudre la crise, sans trop de heurts, fut d'ap-it- peler M. Paul Hymans à ce poste redoutable, ne L'accueil qui a été fait à M. Hymans dans tous les milieux, et chez nos Alliés, fut excellent, pour ne pas dire enthousiaste. La presse française, et la presse anglaise plus encore, lui ont exprimé les félicitations et la vive satisfaction de leurs gouvernements respectifs. Ce qui est mieux, c'est que l'arrivée de M. té- Hymans a scellé de manière plus parfaite en-le core l'union qui existe entre tous les groupe-ments politiques au sein du gouvernement. Et le les ministres, ses collègues, quels qu'ils fus-de sent, ont été les premiers à se féliciter de la ur manière chaleureuse dont le nouveau ministre tte des Affaires Etrangères a été accueilli, tant par a ses compatriotes que par les gouvernements amis. de Le nouveau département dont M. de Bro-:i- quevillea pris la direction sort évidemment e, de la conception constitutionnelle ; mais nous go sommes en temps de guerre et il ne faut pas "* prendre îei choses ttvjp à la lettre,puisque tuus es ne poursuivent qu'un seul but : le bien du ié pays ! es Ce département comporte, en effet,et essen-it, tellement, les comités de guerre — c'est-à-dire te que les ministres, dans ces comités, devien-ue draient s'il fallait prendre au pied de la lettre et leur constitution et leur objet, des fonction-ri- naires placés sous la présidence du chef de ie, cabinet prenant ainsi, en quelque sorte, la situation d'un chancelier d'Empire, avec plus lit de pouvoir encore que celui-ci, puisque les ts ministres deviendraient les exécuteurs des dé-it cisions du Président-Chancelier ! it Mais, dans la pratique, il n'en sera pas ainsi. i- En réalité, il eût peut-être suffi de décider que le conseil des Ministres constituerait pour ef l'étude de telles ou telles questions spéciales c- des sous-commissions qui examineraient d'abord ces questions avant de les soumettre ;n à la discussion du conseil lui-même. Dans i- l'espèce, aujourd'hui, les comités de guerre constituent des sous-commissions, ayant cha-ie cune^urs attributions neltement déterminées :1, d'avance. le * 1C * - * re Déjà celui delà "Guerre et des Affaires te Extérieures „ s'est réuni jeudi dernier et a le examiné notamment la question de l'appel des n catégories 5 et 6 des classes 19 et 20. >a La discussion a été assez longue. Le Ministre de rinterieur, M. Berryer qui, ^depuis is la ccfhstitution des comités de guerre ne faisait a plus partie de celui-ci (et ceci démontre que e dessous commissions eussent mieux valu que les comités ) a cependant dû être appelé à dé-:s libérer à nouveau dans le comité dont il ne faisait plus partie, la question de la milice et e de l'appel des hommes étant dans ses attribu-it tions exclusives ! e Et les appels projetés ont soulevé divers ■- problèmes, notammént celui de la situation t que l'on va créer aux femmes et aux enfants des appelés, et en même temps celui de la s cherté de la vie pour tous les autres inté-i ressés qui se trouvent dans le même cas et - dont les maris et pères sont déjà : dans les rangs de l'armée. ï D'autre part, le ministre de la guerre a - récemment, au moment précis où le prix des i vivres renchérissait partout, descendu à cinq « francs le taux de l'allocation quotidienne » consentie à nos officiers, la réduisant ainsi i de trois francs par jour. Plusieurs membres du conseil ont émis ' l'avis que de nombreux officiers devant sub-: venir à leurs besoins ou à ceux des leurs , se trouvaient mis ainsi dans une situation : vraiment pénible et qu'il fallait en revenir à une conception plus généreuse des choses. Bref, il a été décidé finalement que ces LES NOUVELLES DU JOUR — Grosses nouvelles de Russie : Krylenko et tout son état-major auraient été arrêtés par les Polonais à Mohilef. la En Ukraine, la radâ serait triomphante sur i toute la ligne. Elle aurait chassé les maxima-listes de Kiev et reconquis Charkof. Un nou-1P" veau ministère a été constitué, à la tête duquel qui se trouve Hoboulovitch, le chef précisément irts de cette délégation de la rada à Brest-Litovsk que Trotsky refusait de reconnaître et contre , laquelle, hier, il lançait l'anathème. Cela nous promet encore de joyeuses surprises. M* — La peste sévit en Russie méridionale Dn- et en Caucase. ser — Kuhhnann et Czernin sont retournés , à Brest-Litovsk, après avoir pris les ordres ~ de Ludendorf à Berlin. 'e — Bonar L*aw a déclaré à la Chambre des ies Communes que le Conseil de Versailles n'a pas nommé de géneralissisme des Alliés, les — Activité aérienne toujours grande. Une vingtaine d'avions ennemis ont été abattus en Occident, une douzaine en Italie, ré- ap- questions feraient l'objet d'un examen appro->le. fondi et qu'une décision serait prise au dé-ins but du mois de février. :el- «g—â—"•»«" sse Certains journaux, ceux précisément qui lui ont fait croire, peut-être bien l'ont-ils cru ac- eux-mêmes, que c'étaient des manœuvres allemandes qui avaient amené la crise el M. provoque le départ de M. de Broqueville :n- dès Affaires Etrangères, nous ont servi des pe- idoléances au sujet du caractère wallonnisanl Et des deux nouvelles recrues gouvernemen-us- :tales : MM. Emile Brunet, nomme ministre la -'sans portefeuille, et notre confrère Goerges tre Lorand qui sera incessamment, la chose esi jar formellement, décidée appele au poste de nts ministre d'Etat. ^Ceux-là semblent croire, en effet, que les ro- Flamands ne pourront être représentés au ;nt sein du gouvernement que le jour où... ils ns seront appelés eux-i|êmes à en faire partie. >as La vérité est que les Flamands sont plu-kiï tP.i, bien, renréseri vi. .au çro'uvepieinent. du- Nous avons toujours entendu dire, et ce ne sont certes pas ses correspondants et ses ;n. conticlenis eîT HoTlande' çuL tinus d mpiîti-ire ront, que M. Helleputte était le prototype >n- îdïï"?lam ingant forcené. tre 3 M. Paûl Segers, que nous saçhLona>_csl m- légalement ' 'WSSdç.çlùp plus flamingant que de ; flamand ; quant à M. Vandevyyere, avec un si. peu d'exagération en moins, il est aussi fia-us mingant q'içe M. Heiieputte. es M. de Broqueville, le chef de cabinet, lé. bien que de descendance française—son grand | père était gascon — est sincèrement acquis 5j ! aux revendications flamandes, "il parle" le er | flamand et est député de T urnhoutMFoulieJ, Jr qu'un fumiste, l'autre jour, dans une feuille es era'ssaui a Pans, a classe parmi les w^ns, nt est un pur Flamand (il est superflu de le re dire à ceux 3"'' ont vécu pi.ès ùe lui en lls Hollande pendant près de deux ans). re M. Juîès JRenkîn, qui parle le flamand a. comme le "français, est favorable depuis tou-es jours aux Flamands, M. Vandervelde figure parmi Tes amis d'Anseele qui ont voté tes résolutions flamingantes les plus nettes à la esj Chambre ; lè général de Ceuninck vfe^t rl<» a prouver par toutes les mesures prises par es lui en faveur des Flamands qu'il est fils de la Flandre et ne l'a point reniée. i_' Ah! c'est-'vrai, il y a deux wallons dans jg le ministère : MM. Paul Berryer et Hubert ! Evidemment c'est lïêaûcoup sur quatorze ,e' ministres! le Que disons-nous quatorze : et les deux mi-é- nistres d'Etat de droite, MM. Cooreman et, ,e Liebaert, seraient-ce des Wallons, par exém-et pie, ce Gantois et ce Courtraisien ? x- Et voici que deux ministres vont-être, nommés que l'on classe parmi les adversaires rs de la cause flamande. Or, M. Brunet est in Bruxellois, petit-neveu du premier ministre ts de l'Intérieur en Belgique, un pur Bruxel-[a lois. s. Quant à M. Lorand, polyglotte s'il en fut, il parle et connaîFàamirablement le flamand à et, toujours à la Chambre, il a pris la défense des intérêts de la cause flamande, a Mais alors, direz-vous, de quoi donc se s plaignent ces Messieurs ?... q La vérité est qu'il est attristant de voir, e hors du pays, des Belges faire les affaires ;j de MM. les Boches en ne cessant d'agiter cette question des langues dont nos enne-s mis, en pleine guerre, se servent préclsé-„ ment pour diviser les Belges. s Battons les Boches, Messieurs, chassons-i les du pays et puis nous aurons bien vite r fait de nous mettre d'accord! , Et, en attendant, n'essayons pas de faire s croire qu'il n'y a pas de flamingants, ni de Flamands au sein du gouvernement ! VENI. Nouvelles du Pays (Reproduction interdite sans Indication de source) uel ^ En Flandre Française tre De notre correspondant: )US Je reçois des nouvelles de la Flandre fran-aje çaise. Ce n'est qu'une poignée, mais elles m'arrivent de première main. Elle concerneni rés sp cialement quelques industries du Nord. res L'usine Amëdée Prouvost, à Roubaix, pei-les £naSe la'ne avant-guerre, est occupée pai n>a l'ennemi. L'usine a été vidée d abord de son contenu.Les machines ont toutes été transporte tées en Allemagne. 200 ouvriers, presque tous en allemands, travaillent actuellement dans — l'établissement à la réparation des autos mili-ro- taires. ic- La scierie Lehoucq à Roubaix, située boulevard de Beaurepaire et joignant le canal, est occupée par l'ennemi. 500 soldats qui allemands y sont occupés à scier des arbres ;ru obtenus eux-mêmes en sciant les troncs à res 50 centimètres du sol dans les bois des et environs. ille Les usines Lepoufre situées également bou-jes levard Beaurepaire, joignant le chemin de mt fer, étaient avant la guerre un peignage en- de laines comme l'usine Prouvost. Comme tre celle-ci aussi, elles ont été vidées de leur Tes contenu : toutes les machines sont parties est pour l'Allemagne. Les bâtiments vides ser-de vent actuellement d'entrepôt de ciment ; ils sont bondés de sacs de ciment provenant de les Belgique et qui partent tour à tour pour les au tranchées du front. Au fur et à mesure que la ils réserve s'épuise, de nouveau arrivages vienne. nent refaire le plein dans les dépôts, lu- A Leers, hors ville, joignant le canal, à droite de celui-ci en allant de l'ouest vers ce l'est, il y à une usine ou les Allemands ses produisent de l'huile. 300 ouvriers, doni iti- 200 soldats allemands et 100 civils, y sont pe occupés nuit et jour. Des os sont amenés à cette usine et des est dépouilles d'animaux qui arrivent la nuii ue par wagons fermés répandant souvent une un odeur pestilentielle à longue distance- la- Près de cette usine, s'érige un énorme terril de gravier, qui a été amené petit à et, petit par de nombreux bateaux venant, dit- tid on, de la Meuse et du Rhin par la Belgique, lis Des déportations ont lieu à tout instant dans 'le le Nord français. Les Allemands pratiquent gk de véritables razzias d'hommes qu'ils font lie voyager en troupeaux et font travailler en iS| esclaves aux retranchements du front ou [e aux autres ouvrages militaires. Nous en en connaissons qui ont travaillé à St.-Aignan, à 10 kilom. de Sedan à la construction id d'une scierie. 6 hangars ont été édifiés qui u- abritent 12 scies verticales, 12 scies circu- re laires et 3 scies à balanciers. De ^mbreux es prisonniers russes et des civils travaillent la dans cette usine. A BRUXELLES ar je On a trouvé, dans une mansarde de la rue de Rome, un vieillard de 76 ans mort ns de privations. *! BERCHEM-SAINTE-AGATHE zt Un nouveau parc public ii- La Commission royale des Monuments et et, des Sites vient d'approuver le plan d'ensemble a- de l'aménagement des sept nouveaux quartiers que la commune de Berchem-Sainte-Agathe a re projetés des deux côtés de la chaussée de ;s Gand, non loin de la maison communale, st Toutefois,la savante commission fait des ré -e serves concernant le quartier dénommé le !- quartier de la Basilique, et, notamment, par-rapport à l'avenue du Parc Louise qui le tra-t, verse au milieu. d Cette avenue pourrait être supprimée et s- ainsi la grande partie dudit quartier, si favorablement situé, serait transformé en parc pu-ie blic, lequel aurait à peu près une étendue de 5 hectares. r, Il serait à front de la Chaussée de Gand et s limité parles avenues Laure, Josse Goffin, x de la Basilique, larges avenues, les deux der-i- nières comptant une largeur de 30 mètres, '■ pourvues de deux zones de non-bâtisses de 7 mètres, permettant l'installation d'une double voie de tramway et reliant ainsi le nouveau e parc au plateau de Koekelberg, partant à la grande artère-projetée, l'avenue Charles II, s qui constituera la prolongation du boulevard s Léopold II, derrièrerfemplicement de la Ba-. silique. Quoique le tracé de ce parc nécessite plusieurs expropriations, l'Administration communale de Berchem se conformera aux an* désirs de la Commission royale des Monu- : lies ments et des Sites. Aussi fera-t-elle élabo-e"t rer incessamment les plans de ce nouveau parc, dont les frais d'aménagement seront' îei- évidemment couverts en partie par la Pro-' par vince et l'Etat. 6 son La création de ce parc entraînera fort >or- probablement d'autres modifications aux1 ous projets d'embellissement des quartiers limi-' ans trophes, ainsi qu'au projet d'agrandissement' lili- de la maison communale de Berchem-Sainte-Agathe.uée Le Conseil communal s'en occupera trè$ le prochainement. lats A MONS s à La ville a contracté avec 200 cultivateurs des des environs pour s'assurer des pommes de terre pour 1918. Elle va aussi augmenter ou- le nombre de vaches de sa laiterie com*t de munale. age L'Accident de chemin de fer d'Odeur ime eur Le procès a commencé à Liège, relative-ties ment à cette terrible catastrophe, qui fit! ;er_ tant de victimes. Pierre K... le garde quî" >il9 conduisait le train tamponné, le 19 septem» '1 'de bre dernier, est accusé de ne pas s'êtr® les garé à temps. Il riposte qu'il l'aurait fait: ela s'il avait été prévenu que l'express d'An«; en_ partait à 8 h. 40 On aurait dû lui indique^ cela, affirme-t-il quand il passa au point dé I ^ croisement. Il avoue toutefois n'avoir pas ,çrs 'u les ordres de service ce matin là. Lt' nds d'instruction Cornéliau, interrogé en.1 ont suite a déclaré que les arbres le long d« ont 'a v0'e emPêchent d'apercevoir un train ve» nant à une certaine distance, circonstance des ^u' excuse K. dans une certaine mesure. îuit Journez P'aide pour le prévenu et une Me Cornesse P°ur la Société des Vicinaux Les débats seront continués le 20 févrief courant. me t à La Catastrophe en Meuse :ilt" Cette catastrophe plus terrible que cell«' lue- d'Odeur (qui ne causa que 23 morts) con- ans sterne la région et provoque à la charitéà ent Déjà on organise partout des fêtes de bien»' ont faisance pour les familles éprouvées. Lundi en dernier un service d'âmes ayant été chanté ou pour les défunts à l'église de Flémalle, celle- en ci s'est trouvée trop petite pour contenir an> la cohue accourue. l0U On n'a encore repêché que trois dev qui trente-sept cadavres. Le 3e repêché à Se- cu" raing est celui d'un nommé Leburton, frère ;ux d'un des rescapés. ent A SERAING ' II y a eu des fraudes importantes au dé-' triment du Ravitaillement. Un sieur L. qui la y était employé, inscrivait des habitant! ort fictifs logés dans des maisons... encore inexistantes ! On sait que dans les nouvelles rues où il y a des terrains vagues on réserve un certain nombre de numéros pour les immeubles qui s'élèveront là. Ce sont et ces numéros que L. choisissait. Des com-)le pères allaient se fournir au moyen des ;rs fausses cartes dans le magasin tenu par a une Mlle D. ancienne religieuse, qui était ^ de mèche. On n'a puni les coupables que de 6 mois de suspension de ravitaillement, ré ce qui indigne le public sérésien. le A VERVIERS ir" D'après des renseignements fournis paf a" le volé lui-même, le vol commis chez I« bijoutier Quoilin-Lothaire s'élève exactement e* non à 150.000 ni à 90.000 francs, chiffres donnés jusqu'ici, mais exactement à 75.000-u* francs. Un des bandits a serré à la gorge M Quoilin, qui était seul, tout en le menaçai*, e* d'un revolver. L'autre a raflé montres, épin*-ni gles, barrettes, alliances, bijoux de toutes r" sortes, colliers de perles, etc. s, ^ „N<>us prions nos lecteurs qui' reçoivent'! 'e des nos. pn double ou qui ont lu leugî LU No. d'envoyer LES NOUVELLES en secondai' 'a lecjfcunei & des amis ofu connaissances .sn*] I» oopitLbles de souscrira un atomement, d coopéreront ainsi à unel teuvro utilja !&•4 »- propagande patripÇquew'O" ^ ' i 4e Année N.166. ûiracleur-Fondaleur : François Olyft. Jeud i 7 Févr. 1S18

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