L'indépendance belge

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s.n. 1917, 04 Septembre. L'indépendance belge. Accès à 16 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/4b2x34nh42/
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L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT: 15 CENTIMES (HOLLANDE: 5 CENTS) ADMINISTRATION ET REDACTION: PTICI DFA A ROU RSR 5 DANE STB.. HIGH HOLBORN, W.C.L PLACE D®^A1 TELEPHONE : HOLBORN 1773-4 TELEPH.i { 238-7 5 MARDI 4 SEPTEMBRE 1917. En vente à Londres à3 h. le lundi 3 sept. f 3 MOIS, 0 SHILLINGS. ABONNEMENTS:J g MOIS, 17 SHILLINGS. [-CONSERVATION PAR LE PROGRÈS. Il AN. 32 SHILLINGS. J LA SITUATION - Lundi, midi. Battus sur les fronts occidentaux et I méridionaux, paralysés sur le front sud-I oriental, nos ennemis font un dernier I effort dans la région de Riga en vue dç I relever, par un coup de main heureux, I le prestige perdu au cours de la cam-| pagne estivale. Depuis quelques jours déjà les Alle-K mands se livrent, sur les bords de l'Aa I et de la Dvina, à des actions offensives I suivies mais qui, jusqu'ici, se réduisaient ■ à des succès locaux sans importance, vu ■ la nature particulière du terrain très 1/ marécageux dans toute la région. Aux ■ dernières nouvelles, les Allemands ont ■ progressé au sud 'de Riga et ont réussi à I passer la Dvina. Après un violent I bombardement, l'ennemi a franchi le I fleuve dans le secteur d'Uxkull, occupant Kuffer-Mamer, sur la rive orientale de I la Dvina, et progresse, dit Pétrograd, I dans la direction du nord. Nos troupes, ajoute le communiqué I russe, ont contre-attaqué l'ennemi, mais I sans succès. D'autre part, à l'ouest de I Riga, sur la route de Mitau, les Alle- ■ mands ont pris également l'offensive et I la lutte dans ce secteur continue. Le communiqué de Berlin n'ajoute au- ■ cun renseignement nouveau aux bulletins I russes et se borne à dire que nos alliés I évacuent précipitamment la tête de pont I sur la Dvina au sud-est de Riga. Le passage du fleuve constitue un fait ■ assez inquiétant, bien que les détails sur I l'importance des effectifs allemands dans ■ la région nous fassent complètement dé-I faut. Le passage en force de la barrière I naturelle constituée par la Dvina signi- ■ lierait la chute imminente de Riga, dont I l'occupation compenserait. nos adver-I saires de l'échec de leurs efforts sur le Sereth. Le général Korniloff ne mentionne pas I cette fois-ci de défections dans les rangs I russes, mais nos alliés n'ont certainement I pas fait preuve de la même énergie que I précédemment. L'éehec, tout local qu'il soit, ne s'explique que par le relâche-| ment de l'esprit de discipline dans les I rangs, relâchement qui perdurera _tant I que le gouvernement ne prendra pas les I mesures de rigueur préconisées par le ! commandant en chef. Au prochain conseil des ministres, M. Kerensky lira, annonce-t-on de Pétro-I grad, un important rapport sur les me-[ sures à prendre pour relever le moral et rétablir la discipline, rapport basé sur les observations et les conseils du com-I mandant en chef, du ff. de ministre de ! la guerre (M. Savinkoff) et de M. Philo-[ denko, commissaire. S'il est vrai, comme l'affirme la "Vet-ohernoé Vremya," que l'accord est complet entre le général Korniloff et M. Kerensky, la situation peut être rapidement améliorée malgré l'opposition du Conseil des délégués ouvriers et soldats de la capitale, qui a adopté une résolution protestant contre le rétablissement de la peine de mort sur le front. Le Gouvernement Provisoire et le commandant en chef des armées (que d'aucuns essayent de compromettre en l'accusant d'avoir trempé dans le complot des oontre-révolutionnaires qui vient é'être découvert) savent qu'en tout état de cause ils peuvent compter sur le concours des co§aques, qui constituent, à l'heure actuelle, le seul organisme russe t qui n'ait pas été contaminé par l'esprit - anarchiste. Ce sont eux qui soutiennent r le plus- chaudement le programme du gé-ç néral Korniloff, et ce n'est pas dans leurs rangs qu'on trouverait des déserteurs ou - des félons. Il est assez étrange, dans ces condi- - tions, de voir qu'il est question, comme a l'annonce le correspondant du "Times" s à Pétrograd, d'abolir les privilèges dont t jouissaient les cosaques par le passé, et a qui leur confèrent le 'droit, entre autre, s de nommer eux-mêmes leurs officiers. Ce x serait mal récompenser les seuls éléments t d'ordre que compte encore la Russie, que à de les frapper dans leurs traditions les t plus chères à l'instant même où il faudra e probablement faire appel à leur concours t actif pour renforcer les décisions gouver-e nementales. On comprend que les extrémistes, qui ont une peur salutaire des cosaques, fassent campagne contre eux, é mais il serait impardonnable de la part s du gouvernement de s'aliéner les cosa-3 ques, dont les vues sont partagées par . les douze armées qui font partie de la t ligue des cosaques. La conférence entre M. Kerensky et le général Kaledin, commandant en chef des cosaques, a été, dit-, on, très .animée, mais on ne sait rien 3 quant au résultat de cet entretien, t La menace contre Riga et, subséquem-ment, Pétrograd, aura probablement un t-, effet salutaire sur les décisions qui vont r être prises dans la capitale dans lé cou-s rant de cette semaine, et, au point de vue politique russe, les progrès de l'offen-3 sive allemande ne peuvent qu'exercer un . contre-coup heureux assez important même pour influencer éventuellement les . plans de nos adversaires. Ceux-ci ont attaqué sans "succès dans le secteur de Focsani (Roumanie) et y ont subi des pertes sérieuses sans obtenir le moindre avantage. Du front macédonien on signale une certaine activité et les forces, britanni-l ques, françaises et serbes ont montré une . assez grande initiative dans la région du Vardar ainsi que dans le secteur de Mo-glena.Au nord-est de Gorizia, nos alliés italiens ont eu à faire face à une série de j très violentes contre-attaques autrichiennes,-dont le but principal a été de briser le cercle de fer et de feu qui entoure'le Mont, Gabriel. Mais le général ' Cadorna avait prévu ces contre-attaques et les Autrichiens n'ont réussi qu'à augmenter leurs pertes qui, en prisonniers : seuls, se chiffrent maintenant à 27,0000. Les Français, sur le Chemin des Dames, ont enlevé à l'ennemi une nouvelle tranche de terrain : deux kilomètres de front sur 300 mètres de profondeur, et ils ont fait au cours de l'opération qui eut lieu au nord-ouest de Hurtebise 200 prisonniers. Le ' , Y sir D. Haig signale des attaques ennemies au sud de la route de Cambrai à Bapaume (Havrincourt), qui ont obligé nos alliés à céder un peu de terrain, reconquis dépuis. Sur mer, une escadrille britannique, opérant dans les environs de la côte du Jutlandj^a attaqué une flottille allemande de pêche-mines, défendue par des sous-marins et hydroplanes. Le résultat fut q,ue qliatre pêche-mines furent coulés ou obligés, de s'échouer. 8KMTIM8 NAVALES UN COMBAT AU LARGE DU JUTLAND Quatre chalutiers allemands coulés Un communiqué de l'Amirauté dit que des,unités légères britanniques opérant au large de la côte du Jutland, samedi matin, ont détruit quatre bateaux pêche-mines ennemis. Un télégramme aux Central News dit que cette action eut lieu près de Ring-kôbing. La canonnade fut particulièrement intense pendant une heure. Quatre chalutiers allemands furent chassés en feu vers lar côte. Une centaine de marins allemands et un certain nombre de blessés parvinrent à atteindre le rivage. Le sauvetage des équipages ' fut entrepris Jur le champ. « Une dépêche Reuter dit qu'il semble qu'il y eut de nombreux tués à bord des bateaux attaqués. Des aéroplane's et des . sous-marins allemands prirent part au combat. Des informations complémentaires 1 ; parvenues à l'Exchange Tel. Co. disent ■ que les destroyers britanniques conti-• nuère'nt le bombardement des bateaux : allemands alors qu'ils naviguaient précipitamment vers le rivage et que de ■ nombreux cadavres ont échoué sur la côte occidentale. Un grand nombre de navires de guerre et d'hydroplanes alle- ' mands sont arrivés sur la scène de la bataille. Les chalutiers allemands ont sauté avec fracas, ayant encore à bord un certain nombre .de mines. Le "Berlingske Tidende" dit que les unités britanniques attaquèrent les pêcheurs de mines allemands au moment où ils étaient au travail. Les navires de : guerre britanniques se sont retirés, n'ayant subi aucun dommage. Suivant les survivants des bateaux allemands, ils étaient tranquillement au travail, lorsque, vers 5 h. 30 du matin, ils s'aperçurent soudain qu'ils étaient entourés de navires de guerre britanniques, lesquels les attaquèrent par l'ouest, le nord et le sud. Le seul ^«min de salut pour eux était la oôte dai ^ise. Les navires de guerre britanniques les bombardèrent violemment et ils coulèrent ■ juste au moment où ils allaient atteindre terre. Les canons britanniques lancèrent plus de 1,500 obus pendant le com-, bat. Deux sous-marins et deux hydroplanes allemands participèrent à l'ac-; tion.Le sort des sous-marins est inconnu, mais un des hydroplanes fut abattu. Les chalutiers allemands avaient à bord une grande quantité de vivres pour ravitailler les sous-marins. Samedi après-midi un canot automobile d'un navire de guerre allemand essaya d'établir une liaison avec les chalutiers détruits, -mais il chavira. Dix hommes tombèrent à la mer et l'un d'eux se noya. Les illusiçns du capitaine Persius Le capitaine Persius publie dans le "Tageblatt" un article sur la campagne sous-marine allemande, qui a visiblement pour mission d'encourager le peuple teuton dans sa résistance désespérée contre la faim. Après avoir dit qu'on trouverait avec peine un Anglais qui croit encore que l'invincible flotte britannique forcera l'ennemi à se soumettre ou contraindra la flotte allemande à chercher une décision sur mer, il admet que l'Allemagne se ressent sévèrement de la pression de la Grande-Bretagne. Il dit, cependant," que celle-ci aura difficilement une influence décisive, parce qu'il y a toujours en Allemagne des réserves intactes et que de plus, le peuple allemand peut faire un plus grand effort que celui qu'il a fait antérieurement.Le capitaine Persius se demande ensuite ce que les ennemis de l'Allemagne, qui avaient basé tous leurs espoirs sur la flotte britannique, 'peuvent encore attendre de lia venir. "Même si la flotte britannique pouvait changer sa tactique et attaquer et battre la flotte allemande, l'Angleterre, dit-il, gagnerait rien ou peu de chose en cela, et la situation présente. continuerait tant qu'une base sous-marine nous serait laissée." . Suivant le capitaine Persius, la participation de la flotte américaine n'altérera pas d'avantage la situation et de plus, la froide réflexion américaine, qui juge la situation d'une grande distance, arrivera vraisemblablement et à bref délai à une conclusion toute différente de l'optimisme qui prévaut en Grande-Bretagne.Le capitaine Bçrsius se dit convaincu que l'entrée en jeu de toute la flotte des Etats-Unis, si elle était destinée à combattre contre l'Allemagne, serait incapable d'étrangler l'activité des s"îius-marins allemands, et demande'"combien de temps cela durera?" Et il répond: "Jusqu'à ce que l'homme dans la rue (le -mouvement populaire) décide son gouvernement à trouver une voie pour éviter la banqueroute !" OPERATIONS AERIENNES Un raid sur la côte du Kent Des aéroplanes ennemis ont survolé la côte orientale du Kent hier soir «vers 11 h. 15, et ont repris le large quelques minutes après. Quelques bombes ont été jetées. Jusqu'à présent on ne possède aucune information sur le nombre des victimes, mais celui-ci semble devoir être très petit. ^ L'ARMEE BELGE En vue de mettre fin à certains bruits malveillants, sans aucun doute d'origine allemande, qui ont été mis en circulation, l'information suivante au sujet de la situation présente et (pour autant que les nécessités militaires le permettent) de la participation aux opérations de l'armée belge a été donné à l'Agence Reuter, de source militaire belge autorisée : "Aujourd'hui notre armée est beaucoup plus forte et mieux équipée qu'au commencement de la guerre. La dernière offensive des Alliés en Flandre a ■ attiré l'attention publique sur le secteur occupé par les troupes belges, et, comme les préparations pour cette offensive ont nécessité certains changements dans les positions des armées alliées, il est bon de rappeler brièvement quelle est la situation de l'armée belge. Il est inutile de dire que le quartier-général belge . est en contacte constant avec les quar-i tiers généraux britanniques et français, et qu'il agit en coopération avec eux. Bien qu'aucun soldat belge n'ait été retiré de la zone d'armée, le front belge a été légèrement réduit ces derniers temps. Il s'étendait avant de Nieuport jusqu'à Boesinghe, à 32 kilomètres au sud, et Constituait , un secteur important, étant donné notre petite,force et notre manque de réserves. Cette ligne n'a jamais cessé d'être tenue par les Belges depuis la fin octobre 1914 jusqu'au moment où les changements signalés ci-dessus se sont produits. Au' début, avec nos forces restreintes et plus de la moitié de nos canons rendus inutilisables, notre tâche fut difficile et dangereuse; l'armée belge, pour cette raison, se tint principalement sur la défensive. Mais, s'étant réorganisée et ayant reçu de nouvelles recrues, la situation s'améliora sérieusement. Tous les Belges en dessous de quarante ans sont appelés !ri service militaire. Au début, l'armée belge dépendait entièrement des Alliés pour son équipement et ses munitions; à présent elle se suffit de plus en plus à elle-même, grâce aux industries de guerre établies en France depuis le mois d'août 1915, et pour lesquelles de nombreux ouvriers qualifiés ont été retirés de l'armée. A la suite de ces travaux de renfort et de rééquipement exécutés dans des circonstances très difficiles, parfois même sous le feu des Allemands, nos soldats furent capables de coopérer avec succès à la deuxième bataille de l'Yser, où leurs contre-attaques sur l'extrême gauche contribuèrent à combattre l'effet de la première attaque aux gaz des Allemands et à appuyer la résistance héroïque des Canadiens. Le splendide exemple du Roi Ce secteur du front de Flandres est un des plus animés, et nos troupes ont eu depuis lors, à repousser plusieurs attaques ennemis. De tels incidents locaux passent généralement inaperçus du grand public et ne sont que brièvement cités dans les communiqués officiels ; mais ils impliquent toujours de nouveaux sacrifices et il ne s'est pas passé un jour sans que l'armée belge n'ait payé bravement un tribut à la guerre et ait eu sa part dans le sacrifice commun. En collaboration avec la dernière offensive dans l'ouest, elle a montré une activité croissante. Nous avons organisé de nombreux raids de tranchées ; notre artillerie a été particulièrement active, et nos aviateurs ont rendu de grands services en bombardant les lignes de communications ennemies. L'ardeur déployée par le soldat belge, après deux ans et demi d'exil et de souffrance morale causée par l'absence de nouvelles de leurs familles, de leurs foyers, est une preuve remarquable de l'endurance belge. Le moral au front est excellent, spécialement depuis que les succès britanniques et français en Flandre ont arraché une partie de notre pays des griffes de l'ennemi. Nos soldats, aussi bien Flamands que Wallons, n'ont qu'une anxiété, celle de contribuer à la libération de leur pays. Cet esprit est largement encouragé par la présence du Roi, qui n'a'jamais quitté le sol belge, si ce n'est pour faire de courtes visites aux armées alliées, et qui vit constamment au milieu de ses soldats et pour ses soldats. Le dévouement des troupes à leur chef n'est égalé que par leur adoration pour la reine qui, à côte de son mari, s'intéresse constamment au bien-être des blessés et s'efforce par tous les moyens en son pouvoir d'encourager les hommes et d'alléger leurs souffrances.LE CONTROLE DES VIVRES La carte de sucre Le ministre du ravitaillement fait remarquer qu'il n'y a pas avantage pour le consommateur à s'enregistrer à présent chez un "détaillant dans le but d'obtenir du sucre sous le nouveau projet de contrôle. Entre les 15 et 29 septem- e bre, les ménagères recevront à domicile î ou pourront obtenir aux post-offices une t feuille d'inscription pour l'obtention 3 d'une carte de sucre, et après avoir ren-1 voyé" celle-ci à leur Local Food Office, 1 elles recevront en temps opportun, par la poste, la dite carte de sucre. Chaque 5 consonnnateur sera libre de déposer cette carte chez n'importe quel détaillant de * son choix et le détaillant recevra en . temps opportun la portion de sucre né-^ cessaire "pour satisfaite à autant de ra- tions qu'il aura reçu de cartes. Il n'y a ^ aucun avantage à déposer sa carte chez l un épicier plutôt que chez un autre. Le plus petit détaillant aura la même oc-^ casion que le plus grand d'être appro-visionné en sucre en proportion du nom-B bre de cartes qu'il a reçues. Le fait d'exiger de l'acheteur "la commande d'au-_ très marchandises pour obtenir du sucre restera une contravention à la loi et sera à Puni- Le prix de la viande - XA partir d'aujourd'hui le prix de la , viande de bœuf, de mouton?» et de porc . sera diminué de 2 à 3 pence à la livre, a Les prix varieront néanmoins d'un - quartier à l'autre, comme par le passé, niais partout ces prix subiront une dimi- . nution de 20 p.c. sur les prix antérieurs. ' Le beurre et le fromage Le prix du fromage vendu au détail ne peut pas excéder ls. 4d. la livre, quant e au beurre les nouveaux prix fixés aux importateurs et fabricants pour la vente 1 ayx détaillants ne peuvent dépasser pour le beurre australien, 206s. les 112 s livres ; No"-Zélandais. 208s. les 112 1 livres; Canadien, 206s. les 112 3 livres; irlandais de 25s. 3d. à 25s. 9d. - les 12 livres, franc de port, l'anglais de s 25s. à 25s. 9d. les 12 livres, franc de t port. Une majoration de 3s. aux 112 i livres est permise pour le bfcurre non s salé Personne en dehors des importateurs 3 et des fabricants ne pourra prendre plus i de 7s. 6d. par 112 livres, au dessus des 5 prix indiqués ci-dessus, en plus des 5 frais de frigorifère et de transport. A partir du 10 septembre les détaillants ne pourront pas exiger plus de 2d. et demi par livre, au-dessous dé son prix de re-i vient, bien qu'un demi penny peut être i imposé au client, soit pour la vente au ■ crédit, soit pour la livrai son "à domicile. Les prix maximum pour le meilleur beurre anglais seront donc de 2s. 5Jd- (salé), et de 2s. 5£d. (frais), qui ne différent pas beaucoup des prix de ces dernières semaines. Pourquoi les aliments sont rares En juillet 1917, la Grande-Bretagne avait importé 94,264,272 boites d'allumettes en moins qu'en juillet 1915, dit , le "Cigar et Tobacco World." Ceci signifie qu'en un mois les allumettes mises à notre disposition sont moins nombreu-. ses de 6 milliards qu'il y a deux ans. En 1914 nous importâmes 10,142,657 . grosses de boîtes d'allumettes ; en 1915, 1 ïl,918,342 ; et en 1916. 6,457,826 seulement, soit une diminution de près de cinq millions et demi de grosses. * LA SONFEBEiOE DE STOOKHOli L'ajournement . En présence des délibérations de la ■ Conférence socialiste inter-alliée de Lon-, dres qui n'indiquent aucune solution • prochaine de la question des passeports, le comité organisateur de la conférence ' a décidé de ne pas convoquer celle-ci 1 pour le 9 septembre 'et de fixer une nou^ ' velle date qui sera annoncée aussitôt 1 que la délégation russe qui a pris part ! à l'organisation de la conférence sera s rentrée de Londres. AUTOUR de la GUERRE BELGIQUE — On signale que non seulement à Dresde; mais également dans d'autres . villes allemandes, des personnes ont été arrêtées pour avoir distribuée des pamphlets poussant à la grève et à la révolution. On se montre inquiet, dans les , cercles officiels, de la persistance de la propagande en faveur de la grève dans les industries de guerre. — Les autorités allemandes ont pu-. blié un ordre réquisitionnant tous les Suite à la 4c pa£e. * I , 1 ' - ,-y • I .%, i SSème année. • No 208

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Cet article est une édition du titre L'indépendance belge appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1918.

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