L'indépendance belge

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s.n. 1918, 13 Août. L'indépendance belge. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/vx05x26m16/
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L'INDEPENDANCE CONSERVATION PAR LE PROGRÈS ROYAUME-UNI: 1 PENISÏ* le numéro continent. . 15 centimes . hollande 6 cents ADMINISTRATION ET REDACTION : BUREAU A PARIS : TUDOR HOUSE, TUDOR ST.. E.C. 4 11. PLACE DE LA BOURSE TÉLÉPHONE: CITY 3360 TELR-: 311-57 et 231-75 (VIARDS m AOUT 1918 En vente à Londres à 3 h. le lundi 12 août » «> 3 MOIS, S SHILLING^. ABONNEMENTS • 6 MOIS, 17 SHILLINGS ,1 AN. 32 SHILLINGS LA SITUATION Lundi, midi. Ces deux derniers jours ont été marqués par de nouveaux progrès des troupes alliées sur tout le front de bataille, s'é-tsndaiit à présent d'Albert à l'Oise. Ainsi que nous l'annoncions samedi, en Dernière Heure, les Britanniques, renforcés par des unités américaines, ont brisé la résistance allemande dans l'angle formé par l'Ancre et la Somme, emportant définitivement Morlancourt et lés hauteurs au nord-est de ce village, et ont avancé dans la direction de Braye, dont ils ont atteint les approches immédiates. Chipilly, qui fut si chaudement contesté, a aussi été capturé et dépassé, nos alliés étant actuellement ^ plus de six kilomètres de ce villàge. Dans le centre nos progrès se sont encore étendus efc nos avant-gardes ont pu pousser jusqu'aux confins de Chaulnes. Toutefois, les troupes teutonnes ont puissamment réagi de ce côté, ayant hâtivement amené des divisions de réserve toutes fraîches de Cambrai, de Péronne et de Saint-Quentin; dans des combats d'une violenoe extrême l'ennemi parvint un moment à reprendre pied dans Lihons, capturé samedi matin par les troupes de sir H. Rawlinson, mais, contre-attaque sur-le-champ, il en fut bientôt rechassé. Chaulnes reste aux mains des Allemands, mais cette imjxir-tant carrefour étant sous le feu constant de nos batteries, est devenu totalement impraticable pour les hordes barbares. Plus au sud, les contingents britanniques étaient parvenus vendredi soir jusqu'à Fresnoy-le-Roye, mais ici également les renforts allemands s'employèrent de leur mieux à enrayer notre avance et réus--sirent.à réoccuper ce village. Au sud du front de bataille, les Français ayant franchi 1"Avre, firent des progrès rapides et la 3e armée, sous les ordres du général Humbert, étant entrée en action entre Montdidier et l'Oise, Montdidier dut être évacuée hâtivement par l'adversaire, menacé d'être coupé. Cettè retraite, effectuée dans le plus ^rand désordre, laissa aux mains de nos lliés un nombre considérable de prison-tiers ainsi qu'un énorme butin. Les ré-iments de la 3e armée française firent es merveilles, et leur avance fut poussée .vec une telle vigueur qu'en moins de 'ingt-quatre heures la ligne alliée fut :ransportée, en certains points, à plus de douze kilomètres de son point de départ, malgré une défense souvent opiniâtre de la part de l'adversaire. Les captures de ces trois derniers jours sont imposantes; les chiffres cités ne sont pas encore officiels, mais tout porte à croire qu'ils sont en-dessous de la réalité. Le "Times" signale que, depuis le 8 août, nos alliés qnt fait plus de 30,000 prisonniers et ont pris un matériel innombrable. D'autres journaux disent que le nombre de canons enlevés par nos vaillantes légions n'est pas ,loin de 500, parmi lesquels plusieurs batteries de pièces lourdes. Lès communiqués allemands ont reconnu que les troupes du prince-héritier de Bavière ont dû abandonner leurs "positions de combat" et qu'elles ont perdu des prisonniers et des canons. Mais ces derniers bulletins "de Berlin signalent que j avance alliée a été arrêtée partout par le feu des batteries et l'intervention des réserves teutonnes. Evidemment, notre offensive a atteint en oertains points des objectifs qui ne peuvent être dépassés pour le moment sans imprudence, étant donné leur éloi-gnement de nos batteries de gros calibre, efc il est aisé dès lors, aux scribes de Berlin, d'affirmer que nos attaques ont diminué, à ces endroits, de volume et d'intensité. Toutefois, jusqu'à présent, nous tenons la suprématie sur tous les éléments de combat germaniques, et rien ne permet a l'ennemi d'espérer qu'il pourra — même à longue échéance — nous contester cet avantage. La nouvelle ligne alliée entre l'Ancre et l'Oise suit à présent le tracé approximatif suivant: Est d'Albert et de Meaulte, ouest de Bercy et est d'Etine-ghem au nord de la Somme ; est de Méri-court et de Proyard, Framerville, Lihons, Hallu, Fransart, est de Parvillers, Damery, est d'Andeohy, ouest de Villers-lez-Roye, l'Echelle-Saint-Aurin, Mar-quevillers, Popincourt, Tilleloy, Bois de Bus, est de Conchy, ouest de Roye-sur-Màtz, Gury, est de Mareuil-la-Motte, est d'Elincourt, Saint-Amand-Cambron-ne et Machemont. Sur le front de la Vesle et de Champagne, les Allemands multiplient leurs efforts pour s'accrocher à leurs positions et les combats livrés par eux ont un caractère désespéré, surtout en face de Ba-zoohe et de Fismes. Les troupes américaines déploient ici une admirable bravoure et leur ténacité finira par avoir raison de la résistance d'un adversaire dont les forces s'affaiblissent journellement dans des oombats sanglants. Cherchant une .diversion, les Allemands ont exécuté une puissante action locale dans le secteur au sud d'Ypres; une attaque lancée au nord du mont Kemmel dégénéra en un vif combat, au cours duquel les troupes britanniques repoussèrent les assaillants tout en leur enlevant des prisonniers. Nos alliés ont encore amélioré leurs positions dans le secteur de Robecq et refoulé des détachements ennemis en reconnaissance au nord de la Scarp«. En Italie, l'activité de l'infanterie a continué à être grande dans la région du plateau d'Asiago, ainsi qu'à l'ouest du lao de Garde. Les bataillons italiens, britanniques et français ont rivalisé de vaillance dans des çoups de main audacieux ,>»i leur ont permis,de .faire un total de 681 prisonniers et de oapturer un copieux matériel de guerre. En Albanie, il n'y a eu que des duels d'artillerie et des rencontres de patrouilles, au cours desquels les Français ont fait des prisonniers. En Russie, les Soviets commencent à s'inquiéter très sérieusement de l'action des Alliés et Lénine, dans une adresse au Comité exécutif, a déclaré que tout devait être subordonné à la lutte contre les Tohéco-Slovaques avant que ceux-ci aient pu être renforcés par des troupes de l'Entente. Entretemps, les cosaques ont remporté de nouveaux succès sur les troupes maximalistes dans la région septentrionale du Don et ont capturé la ligne de chemin de fer de Zarizyn vers le nord. Ils assiègent également Vladkava, dont la chute ne pourra plus tarder, les Gardes Rouges ayant dû abandonner la gare de Beslan. En Sibérie, la situation des Tchécoslovaques reste critique sans être cependant désespéreée, grâce aux renforts reçus, non encore des Alliés, mais des cosaques, des Sibériens et des contre-révo-lutionnaires russes. Les troupes tchèques, ainsi augmentées, comptent environ 300,000 hommes, ce qui fait dire par la presse allemande que le "gouvernement" des Soviets ést sérieusement menacé et que Lénine aura grand'peine à se maintenir au pouvoir. Le fait est que le Japon, l'Amérique, la Grande-Bretagne et la France sont bien décidés à mener rapidement leur intervention. Dès que celle-ci sera devenue effective, le ralliement de tous les éléments sains de la Russie, actuellement livrée à l'anarchie, ne tardera pas à se faire autour des vaillantes légions tchèques et cosaques dans toutes les parties de l'ancien empare moscovite. Alors, Moscou sera réellement menacé et les tyrans, tout comme les Allemands, pourront faire leurs bagages, s'ils ne veulent être écrasés sous le flot de la juste vindicte du peuple russe enfin réveillé. SUR LE FRONT OCCIDENTAL Le gros canon ^ Les Central News annoncent qu< 1 avance des troupes franco-britanniquei & permis aux observateurs de déoouvrii 1 emplacement du gros canon qui tire sui Paris ; il est soumis maintenant au fei d'artillerie des Alliés. Du roi Albert au maréchal Foch Au maréchal Foch, commandant ei chef des Armées alliées. 'Au nom de l'Armée belge et au mien: je tiens à vous adresser "mes plus chaleu reuses félicitations à l'oocasion de votre nomination à la dignité de maréchal de France. Nous nous réjouissons vivement de l'hommage rendu à l'éminent général s oommandant en chef des Armées alliées, ' au lendemain des glorieuses victoires de • la Marne. (s.) ALBERT." Réponse du maréchal ' A Sa Majesté le Roi Albert, commandant en chef de l'Armée belge. "Je suis très honoré des félicitations i que Votre Majesté veut bien m'adresser en son nom et au nom de l'Armée belge. Je la prie de recevoir mes respectueux • remerciements à ce moment d'ébranle ment de l'ennemi. C'est avec une entière confiance que je considère la valeur des troupes aux ordres de Votre Majesté. "(s.) Maréchal FOCH." e K J La croix de guerre belge à un officier e américain Cité le 7 août à l'ordre du jour de l'ar-L" niée belse et décoré de la Croix de guerre : o ° belge : *> "Pendleton, Georges, sous-lieutenant d'infanterie de l'armée américaine; offi-r" cier doué des plus belles qualités mili-ls taires : bravoure, sang-froid, intelligence et énergie. Il a sollicité l'autorisation de s'adjoindre à la patrouille chargée d'exé-cuter un coup de main en avant grand'-garde. Il fut blessé dans le oombat que l" livra La patrouille au parti allemand." 'S I OPERATIONS NAVALES i- —♦— i- Destroyer allemand miné L'Amirauté britannique annonce que r des reconnaissances exécutées par des 6 aviateurs britanniques ont observé un destroyer allemand coulé à environ 13 kilomètres au nord-ouest de Zeebrugge; il est probable qu'il avait heurté une mine II britannique. y -m . ■ U OPÉRATIONS AERIENNES Raid sur Karlsruhe 1 Dans la matinée du 11 des escadrilles britanniques attaquèrent la station de ^ chemin de fer de Karlsruhe et un aérodrome. Des nuages entravèrent les observations, mais une grosse bombe fut a vue touchant la gare de Karlsruhe et u causant une explosion, u ' [. L'activité britannique 1- Le 9 août: 39 appareils ennemis abat- x tus; 22 désemparés; 23 appareils britan- e n.ique^ manquant • 38 to^neset,demie de x bombes lancées pendant ia journée et 18 tonnes et demie pendant la nuit sui- I vante. • s Le 10 août: 41 appareils ennemis dé-truits; 20 désemparés; 12 appareils bri- s tanniques manquants; 23 tonnes et demie de bombes lancées pendant la jour- à née et 31 tonnes la nuit suivante. Au u cours de cette même nuit deux appareils u ennemis p»our bombardement nocturne i- sont abattus, dont l'un un aéroplane s géant à cinq moteurs transportant une t lourde charge de bombes. Deux autres e appareils ennemis ont été également t abattus par l'artillerie. L'activité française e Les communiqués français signalent la j part importante prise par les aviateurs ^ dans la bataille. Vendredi, 14 appareils ennemis furent détruits ou désemparés; e 9 ballons ennemis incendiés; 23 tonnes de bombes jetées vendredi sur des objec-tifs divers; 17 tonnes au cours de la nuit suivante. !- D'Angleterre en Egypte >- Deux officiers aviateurs britanniques, >- accompagnés de deux mécaniciens, ont >, effectué un vol, avec un ou deux arrêts, a d'Angleterre en Egypte. La distance à a vol d'oiseau est de plus de 3,200 kilo-' mètres. t Les succès de Coopens Le sous-lieutenant Willy Coppens a abattu le 10 août les ballons ennemis à Lerringhe, Ruyterhoek et Gapaard, rem-^ partant ses 23e, 24e et 25e victoires. a LES EVENEMENTS EN RUSSIE L'expédition alliée s Le correspondant de 1' " Associated h Press " à Washington apprend que le t général Kikuzo Otami, un des militaires s les plus distingués du Japon, sera le do-i, yen des officiers alliés de l'expédition t, alliée en Sibérie. a Un succès du colonel Semenoff "Un télégramme de Moscou à la "Rhei-m nisch Westfâlische Zeitung" signale un e sucoès du colonel Semenoff sur les gardes e rôuges, à la frontière chinoise. Après t un dur combat, dit le télégramme, les j Cosaques du colonel Semenoff parvinrent avec le ooncours de l'artillerie chinoise, à e bâttre les assaillants et à disperser les forces bolshévistes en Mandchourie. Les arrestations des consuls alliés Le Foreign Office de Londres n'a reçu aucune nouvelle information en ce qui g concerne le consul britannique arrêté à r Moscou. Le ''Temps"_ de Paris signale . que M. Grenard, consul général fran-k ça-is, le général .Lavergne, chef de la mis-- sion militaire française, et M. Nazon, —.ia 6. INDIQUEZ VOTRE DESTINATION EN PRESENTANT VOTRE ARGENT Le receveur ou la receveuse saura ainsi immédîa» tement si le montant est exact et vous donnera un ticket en règle. Ceci évité la peine de devoir 3 réclamer un supplément de parcours pour le cas où le ticket délivré en premier lieu ne serait pas suffisant. , 3 C'EST UNE MESURE DE BONNE ORGANISATION PRISE DANS L'INTERET DU PUBLIC 5 . 1 "SSI ^H 1 Electric Railway House, Broadway, Westminster, S.W. 1 1 ■ , collaborateur de M. Grenard, ont également été arrêtés sur les ordres du "gouvernement" bolshéviste. L'entente des partis en Sibérie Les gouvernements rivaux qui se disputent le pouvoir en Sibérie négocient activement et, malgré leur profonde divergence d'opinions et de tendances, paraissent pouvoir atteindre un terrain d'entente. Us ont toutes raisons de s'entendre. Pour l'instant ils sont tous deux sans pouvoip et dénués de ressources financières". S'ils s'allient, ils pourront immédiatement .solliciter la reconnaissance des Alliés et obtenir d'eux l'argent nécessaire pour établir une administration capable de réaliser un programme. Le point principal de ce programme sera de lever une armée à opposer aux Allemands.L'idée de' constituer une réelle armée russe ne peut être réalisée jusqu'au moment où des cadres puissants aient été formés et que les éléments bolshévistes aient été complètement domptés. Cependant, un gouvernement local est indispensable pour solutionner de nombreuses questions commerciales et autres qui sortent du champ d'activité ordinaire des autorités locales. La tâche immédiate est d'écraser la puissance militaire des prisonniers austro-allemands et de débarrasser la Sibérie du cauchemar bolshéviste.Un télégramme Reuter signale que le Zemstvo de Vladivostok, qui semble être sous la coupe des maximalistes," a adressé un ultimatum au doyen du corps consulaire, demandant l'expulsion immédiate du général Horvath de la province maritime.AUTOUR de la GUERRE ALLEMAGNE • — Un télégramme officiel de Berlin, faisant allusion à diverses notes parues dans les journaux hollandais au sujet de l'échange de prisonniers de guerre britanniques et allemands, dit: "Le nouvel arrangement entrera en vigueur après ratification par les deux gouvernements; celle du gouvernement allemand dépend d'une assurance à donner par le gouvernement britannique que les. Allemands en Chine ne seront ni internés, ni déportés en Australie." CHINE — La légation de France a protesté auprès du gouvernement chinois contre l'acceptation par celui-ci d'un nonce du Pape. La nomination d'un nonce- en Chine est contraire à une clause du traité de 1858 relatif à la protection des catholiques romains en Chine par les Français. La note de protestation ajoute qu'il est connu que la sympathie du Vatican va plus du cfâté de l'ennemi que du côté allié et que, dans ces conditions, l'agréa-tion^par la. Chine serait un acte inamical envers les Alliés. Dans des milieux • bien informés de Pékin on considère cette nomination comme une mesure politique allemande due à l'initiative de l'amiral von Hintze, ministre des affaires étrangères d'Allemagne, qui est un catholique romain. Aux dernières nouvelles on apprend que le gouvernement chinois a fait con naître au Vatican'^ qu'il est dans l'impossibilité d'accepter le nonce désigné. Celui-ci était M. Petrelli, un ami de von. Hintze. ESPAGNE — Le Conseil des ministres a siégé à' Madrid, presquo sans interruption, ceg trois derniers jours, s'dccupant principalement de la situation internationale. Le Roi Alphonse a présidé la dernière séance et bien que les ministres soient très discrets au sujet des décisions prises, on sait que celles-ci comprennent des résolutions de la'plus grave importance en ce qui concerne les relations extérieures de l'Espagne. On ajoute qu'une note a été adressée au gouvernement allemand, demandant satisfaction immédiate sur les questions pendantes entre les deux gouvernements ; faute d'une réponse satisfaisante, des mesures seront prises sur le champ. FRANCE — M. Malvy a quitté Paris samedi pour Saint-Sébastien. Avant son départ, il a envoyé une lettre à M. Deschanel, le président de la Chambre. Après s'être excusé auprès de ses collègues de son ab-1 senoe forcée à la prochaine session, il pro-j teste contre son jugement par le Sénat sur des faits non compris dans l'accusation primitive, procédé qu'il déclare illégal. GRANDE-BRETAGNE — En 1913, la Grande-Bretagne s'étaiti retirée de la Convention suorière de Bru-' xelles en prenant l'engagement vis-à-via des autres signataires de la convention de ne pas favoriser douanièrement le sucr« des colonies britanniques sans donnei un préavis de six mois aux dits co-signa-taires. Le gouvernement britannique vient de décider de donner ce préavis et de recouvrer ainsi toute liberté d'action* Les pays intéressés sont la France, l'Es; pagne, l'Italie, la Belgique, la Hollande, la Suède, l'Allemagne* et l'Autriche-Hongrie.ITALIE •— Le change italien s'est beaucoup amélioré récemment; alors qu'il y a quelques semaines on obtenait 44 lires ita-liennes pour une livre anglaise, on n'eu obtient plus actuellement que 36.26. DERNIËRE HEURE Le communiqué britannique Lundi,, 10 h. 15 matin. Hier sojr l'ennemi a attaqué de nouveau nos positions au sud de Lihons et a été repoussé. A la suite d'une opération heureuse exécutée par nous immédiatement au sud de la Somme, nous avons capturé plus de 200 prisonniers et rattaché nos positions â l'est de Méri* court avec notre ligne à l'est d'Etine» hem, sur la rive droite du fleuve. Sur la droite de la 4e armée britanni» que nos alliés ont fait des prôgrès hier après-midi dans la direction de Roye, capturant les villages d'Armancourt et de Tilloloy. Sur la partie nord du front britannique nous avons amélioré localemen'-notre ligne à I est de Robecq et entre Vieux Berquin et Merris '(secteur d'Ypres).. . 89e année No 189

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Cet article est une édition du titre L'indépendance belge appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1918.

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