L'indépendance belge

1494 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1914, 08 Août. L'indépendance belge. Accès à 04 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/0p0wp9v20v/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

^^i^MPV^^*VPPI^pi|V^p**^^^VPa^Vi^^^Vjr^P^^^V^P^^^^P^^^^^^^^^^^^^, tfi $ Snow Hill, E. G.; à ï Agence Bavai, o iiâ| BEjLHB Cheapside E, G. ; et chez Neyvoud & Fils, LâJ. Bo« 14-18, Queen Victoria Street, et ï„ B. Browœfc «aoKinmoss ^ ^ ^ ^ ^^ Ltd. n° 163, Queen Victoria StïDet. iAMSTEUDAXi : chez Nijgh&Van Ditmar, Hokia, 2, & ROTTERDAM : même tirme, Wynhaven, 113, tOHSEEVATIOS SAS IE FEOGEE9 «âfî ALLEMAGNE, EN AUTRICHE-HONGRIE et m SUISSE, aur Agences de la Maison Rudolf Mossfy jft ITALIE : chez MM. Hsasenstein & Vogler, à Mî)»^ Turin et Rome. Ëdiioii i ft SEW-YORK : T.B. Browne, Ltd, /5East4^ûdStreeU ce méditerranéenne, coups des "jrafW~V0nteXpc etai» ;li^a?re? françaises et discontinuer. Et malgré la fati ^ 1? ^ " de tous 4 bi 1de soldats indemnes ou blessés, tants épouvantes, nous rega8Ïs Liège. La population est en le à une panique indescriptible. La ville est rendue; le général Len est prisonnier; telle est la nouvelle qi'on colporte de groupes en grour-jLes gens affolés courent dans toudirections, portant la nouvelle démentie. 1 coin d'une rue, nous apercevons ufflaque de sang, et plus loin deux cadfes étendus sur les trottoirs. La rue ejonchée de débris de verres. Les ds malheureux ont été tués par un ofe qui a pénétré dans le second étage djfe ganterie de la rue Chaussé des I's. Ln homme sur le pas d'une porte hjjp d'épouvante. hélons une ambulance qui reles deux cadavres. Puis, avec l'de de quelques habitants, nous enîeçons les portes de la maison. Les rnitants se sont terrés dans la cave, ■e-mme est blessée au sein. Elle cusi est recueillie par une ambulance, fous revoici en ville. Les bruits les pis terribles circulent. - On va bombarder Liège ! 'es gardes civiques passent dans un caiion automobile et s'efforcent de rassufir la population. )Somme nous passons près du quai d'iugrée, deux obus éclatent successitent près de nous, à une centaine de mitres. De l'autre coté du canal de déïion, un panache de fumée s'élève us d'un pâté de maisons : un indie semble s'être déclaré dans une celles-ci. Plus loin on aperçoit les rescousse, le 1erchasseurs, en I'occiun renée, aidèrent à refouler l'ennemi jusqu'à la route de Warsage, 'sous le feu des forts, lui infligeant des pertes sérieuses. Il fut encore forcé, dans sa retraite, à traverser un petit pont sur le Benvinne, franchissant la frontière hod-< landaise sous les yeux d'un poste deal douaniers. quelques enga-emen = éiaU«*»«* avaient eu lieuf^ h cdfanl lemandes. une^ de" patr0Uil anéanti uneXa,e SÛT" eu deux hom rus — •• D'autre partf p^nne*^ alliée !, fAawSJftS a -VCCJ' autre ment l'AllemagPso™5"!;.^ vrai" Suerre à l'Italie if iifait u plater la gouvernement d» r pro ,bable qu, de reJewMe défi efr ft™*»» ^'on lui oSr ains?dtn%l; nOOCaSi01 l'état de "S S,.p _ersonn« n'ignore .nea blessés eflols^d aller 1SSOldaisseP lei en reconnaissant du . t ou l'ennemi étai fi. A_tout instant, les officiers do- D'après les renseignements reçus à onze heures au ministère de la guerre, les Allemands demandaient un armistice de vingt-quatre heures pour relever leurs morts et leurs blessés. Ils reconnaissent donc que leurs pertes sont considérables. Ils avouent 25,000 morts et blessés. Ce chiffre serait cependant très inférieur à la vérité. L'HEROÏSME DES DÉFENSEURS Liège, jeudi, 6 août. Pendant la vigoureuse échauffourée de cette nuit au fort de Boncelles, plusieurs vaillants citoyens liégeois, dont des Congolais en congé, se sont particulièrement distingués, allant sous le feu du fort, en automobile de la Croix-Rouge, ramasser et ramener les blessés. Il a fallu que les officiers supérieurs leur interdissent finalement la zone, le f en étant devenu trop meurtrier, pour qu'ils cessent, enfin, d'exposer ainsi leur vie avec un courage vraiment héroïque. Non moins héroïque, d'ailleurs, furent nos petits lignards, gais à la bataille, s'interpel'lant avec enthousiasme sous le feu de l'ennemi, se passant des cartouches et se lançant des boutades, visant avec soin et sang-froid et obtenant ainsi comme tireurs des résultats merveilleux. Les mitrailleuses de nos carabiniers ont également admirablement 'fonctionné, les pointeurs gardant un grand calme pendant que les en ne c le feu' du fort et des soldats de ligne. Peu de blessés. Très peu d'uniformes belges aussi dans cet ensemble si funèbre. L'attentat contre le générai Léman (Renseignements officiels.) Nouveaux détails. Vers deux heures du matin, dans la nuit de mercredi à jeudi, au moment où Je général Léman, entou"é die quelques officiers d'état-major, u'J'ail abandonner les locaux de la rue Sainte-Foi pour d'autres, l'on vit arriver un groupe de huit cavaliers que les passants acclamaient, les'prenant pour des Anglais.Comme ils s'approchaient du groupe formé par l'état-anajor, im officier cria : « Mais ce sont des Allemands 1 » Aussitôt Le général el ceux qui l'entouraient d< nèrenl tandis que partaient des coups île feu. Heureusement, l'héroïque défenseur -'e Liège ne fut pas atteint. L'on s'empara des faux Anglais qui étaient, suivant toute vraisemblance, des espions déguisés. i>'-s espions seuls pouvaient savoir, l'heure exacte où l'état-major devait aller prendre possession de sa nouvelle demeure. Lorsque la foule sut qu'elle avait été dupée elle se livra à des protestations indignées et tenta de lyncher les prisonniers. Ils ont été conduits à la citadelle, où >»s sont enfermés. Ce n'est donc pas un trait d'audace des uhlans, mais bien une nouvelle manifestation de l'espionnage allemand. C'est d'une maison même de Liège qu'ils ont dû sortir armés et équipés et le complot a dû être assez longuement, mûri. LA MEUSE N'EST PAS FRANCHIE Sur les lignes de Visé, Argenteau et Vivegrus, les forces allemandes n'ont pu non plus gagner le moindre avantage. Aucune des tentatives faites par ennemi pour construire un pont de bateaux sur la Meuse n'a réussi. Plusieurs de leurs mitrailleuses, appuyant ce travail, ont été détruites. La cavalerie, qui avait franchi la Meuse a gué 4 à Lixhe, a été plusieurs fois balayée par le fort de Ponthisse. SUPÉRIORITÉ DU TIR BELGE taient poûn /alia erl ^S i eoie de l'endroit , renneml étai gnaié. Ses1^^ chees et avancer. Pendant ce temps, les canons), ■— viit de tonnp,r> i?mk Il est absolument inexact que das regiments allemands en fuite, mercredi, et réfugiés sur le territoire hollandais, aient été ravitaillés, comme on l'a dit, par les autorités hollandaises. Voici, nous le tenons de bonne source, ce qui s'est passé : Plusieurs centaines d'expulsés alie~ mands, hommes, femmes et enfants, dans le plus grand dénuement, ont été secourus par les autorités hollandaises, mais « tout soldat allemand qui passa la frontière lut désarmé et fait prisonnier ». Il n'est donc nullement démontré, comme le bruit en a couru, que « les Hollandais sont avec les Allemands »... LES CIVILS Une dépêche Ilavas a signalé hier qu aLiège des civils auraient participé à la luttequi s'engagea à un moment donné dans lesrues, quand un parti de uhlans parvint ày pénétrer. Notre envoyé spécial à Liège, qui a assisté à to a.lents de cette journée tragique, dément formelleit Je fait et affirme qu'aucun civil n'i les armes à aucun moment. Seule la gaule civique a agi. BEL EXPLOIT BU LIEUTENANT-AVIATEUR MASSAUX dans le « Joue » : Jsàt teni la vallée qui s'ouvre devant eux. De Muyter aussi ost. là, le courageux chamniqn du sphérique, qui ne demanda qu'à donner son appui à la patrie menacée. grand oiseau

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre L'indépendance belge appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Bruxelles du 1843 au 1940.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Sujets

Périodes