L'indépendance belge

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s.n. 1916, 07 Fevrier. L'indépendance belge. Accès à 13 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/2j6833nq3b/
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1 £ , No. 32 S7eme aniiee, 5ji INDÉ If CONTINENT : 15 CENTIMES J# (HOLLANDE: 6 CENTS.) IimnVT^rrRATtûN ET &I3DACTJ.Û2C • BtTKBÀTT A PAHIS: »3 MOIS, 0 SHILLINGS. ) n TL-DOR HOUSE ÏUDOR ST . LOKDOX. E.C. « DE LA BOCBSE. ,6. ABONNEMENTS: 6 MOIS. 17 SHILUKGS. r CONSERVATION PAR LE PROGR TELEPHONE: CITY 3960. TELEPH.: '.illlii. SHILE^GS. » SOMMAIRE. LA SITUATION : Projets d'offensive allemande sur le front occidental.— Activité des aviateurs. — Attaques autrichiennes reponssées â Toltnino et à Gorizia. — Les rapports gfrmano=américairts. — La con= tersation continue. Le registre de réfugiés belges.— Henry Segaert. Billet Parisien. -Jean-Bernard. En Suisse. Lettre de Hollande.— Dr Tervvagne. Les Echos. En Belgique. La politique économique des Alliés. — Yery More. La fête patriotique du 5 février. Etc. LA SITUATION. Lindi, midi. Pas plus sur le front occidental que | sur les autres théâtres de la guerre h I situation militaire ne s'est modifiée at I cours des dernières quarante-huit heu-I res. Faut-il conclure de cette inactivité I toute relative d'ailleurs, que l'ennemi"esl I impuissant à faire un effort sérieux, ot [ faut-il y voir plutôt l'accalmie avant h K tempête? La crise des effectifs, cela n'est pah H douteux, commence à se faire sentir che2 I notre adversaire. II ne faudrait pas cependant en con-I dure qu'il en soit réduit déjà à subir nos I volontés et que toute initiative lui soi! I désormais interdite. II est vrai que l'é-I cliec moral qu'il a subi du fait de l'aban-I <lon, momentané (ou définitif?), des ex-péd'tions de Saîonique et d'Egypte, san; parler de la situation périlleuse à laquelle ii s'est laissé acculer en Russie, sont I des symptômes caractéristiques du degre I d'affaiblissement dans lequel il se trouve [ cl auquel il n'y a pas de remède : mais i lui reste tout de même des réserves er I quantités largement suffisantes pou; i pouvoir entreprendre une action vigoureuse sur l'un ou l'autre front, où il croil pouvoir escompter un résultat sérieux. Quel front va-t-i! choisir pour déclan-i cher l'attaque que certainement il pré-p£- £n-C( Commu l'effort qu'il va tenter sen p-obab!ement le dernier pour lequel i disposera de forces numériques suffi san ; tes pour opérer " en grand " il faut s'attendre à le voir se produire là où sor succès aurait le maximum d'effet, c'est-à-dire sur le front d'occident. I-a diversité des attaques allemandes sur ce front, faites tantôt avec, tantôi sans préparation d'artillerie, dénote 1< souci de dérouter l'adversaire et de le laisser dans l'ignorance absolue de h | région probable où l'attaque décisive sera livrée. Les coups de sonde donnés jusqu'c i présent dans les différents secteur-| n'ont pourtant pas été encourageants pour l'état-major allemand, qui a pu se convaincre que le point faible tant cherché n'existe pas et que chaque jour qu passe voit s'accroître le nombre des pièces de gros calibre dont le tir si effi-I cace fait des ravages terribles à l'arrière | des lignes ennemies. S il fallait en croire certains ren-| teignements qu'il est impossible de con | trôler, les Allemands s'appliqueraient i I réunir sur le front d'occident une artillerie écrasante au moyen de laquelle ils 'omptent, sans doute—comme ils le I firent avec tant de succès sur la ligne | de la Dunajetz en Russie — forcer un* Vèche dans les lignes alliées et repren-j dre la marche sur Paris et Calais s I .brusquemment interrompue sur ls Des derniers bulletins publiés nous ne I retiendrons qu'un bombardement d'Y-I près par les Allemands et une canonnade très efficace de la part de l'artillerie française et britannique, des positions aile- ♦ » — ' mandes en Belgique (du côté de Holsin ; ghe) et sur le plateau de Navârin (et i Champagne). Les artilleurs alliés ont ré i duit au silence plusieurs batteries aile ■ mandes et ont fait sauter des réservoirs , de gaz asphyxiants dont les fumées s« t sont répandues dans les tranchées enne i mies. Les aviateurs ont été très actifs, e dans la seule journée de samedi il y eu - vingt-huit combats aériens sur le fron : britannique avec le résultat que six ma chinés allemandes furent obligées de . descendre. L'n seul appareil britannique ne rentra pas. Sur le front russe également on . signale l'activité croissante des avia-. teurs- Le communiqué de Pélrograd . parle de " plusieurs Zeppelins " appa-; rus du côté de Dvinsk et il est possible -. qu'il s'agisse, dans l'occurrence, des mêmes dirigeables qui, la semaine der-nière, exécutèrent le raid sur les Iles ; Britanniques et qu'on fait apparaît "e 1 ma: itenanl sur la frontière russe pour , créer l'impression que l'Allemagne dispose île plusieurs escadres de croiseurs . aériens. t Sur le front italien les Autrichiens ont profité du brouillard, fréquent en cette . saison, pour tenter quelques attaquas . isolée; dans la région de I'Isonzo. Tant d" . le acteur de Tolmino qye dans , celui de Gtxriria, nos Alités ont repoussé j ces tentatives en infligeant des pertes sensibles à l'ennemi. Un coèffifmiinifjûé -turc parle d'une ten-, tative du général -Ayi'rrter, retranché sur le Tigre, pour reprendre sa marche sur Kut e; Amara, et qui aurait été arrêtée . par ies troupes ottomanes. Il est proba-L ible que sentes les difficultés du terrain ifo-nt, orovi soi rement, obstacle à la marche en avant d'e la colonne de secours ^ briiaiMiiqut. La irtîpture des relations diplomatiques •entre les Etats-Unis et 3'Allemagne à laquelle on croyait devoir s'attendre après les affirrnatiofn's sa-catégoriques verrues tant de Washington que de Berlin au 'sujet du " Lusitania," ma s'est pas produite. Le fait qu'à Berlin une violente panique a eu lieu eni Bourse, prouve que _ dans les milieux financiers .allemands la , situation est regardée comme très sérieuse. D'ai'Meuifs, à en juger d'après les dernières informations, ''Allemagne, plutôt que de céder, est prête â la rup-L ture. La guerre sous-marine est considérée ; à Berlin, et l'aveu est à retenir, comme l'arme " la plus efficace " dont dispose . l'Allemagne, et celle-ci est décidée à ne . s'en dessaisir à aucun prix. Déjà on dit que Washington est ré-: signé à un nouvel échange de notes, et i les discours enflammés du Président Wil-son dans les Etats de l'Ouest n'auraient ■ eu d'autre but que de faire campagne en - faveur de l'augmentation des armements ; .de la grande république, qui, faute d'une ■ armée et d'une marine efficaces, est bien • obligée de faire du pacifisme à outrance. LE REGISTRE DES RÉFUGIÉS BELGES. IL'ne étude remarquable. Dans le courant du mois dernier. M. i. S. de Jastrzebski a présenté à la Royal Statistical Society de Londits : une étude remarquable sur le Registre ! «s Réfugiés belges, tenu à Somerse: House depuis octobre 1914, sous la di-; fiction du Regist/âr General de l'Angleterre et du Pays de Galles. Ce travail est ie premier, croyons-nous, qui donne | Sir population belge actuellement in-K'^*ee en Angleterre, des «ndi cation s trieuses, précises et détaillées : Il ne | I1 ut manquer d'intéresser à ce titre tous ®li'S compatriotes cjui sont, en ce moment, les hôtes de l'hospitalière Albion. ' importe de rappeler tout d'abois tj'uc ! institution de la " registration ' t't, en Grande-Bretagne, une de ces 1 beautés nées de la guerre et dont L: p atique était absolument irconnue il y ;; '■ ^-buit mois. Pour nous, Belges, habits aux inscriptions légtles auxqueil" "jjs astreignent nos administration? ' ■Cliques dans chacune des gra\ es circonstances de la vie, nous ne nous-som- l ; : " ,, , -, cents insenrè sur une sorte de registre Drovj de population "... Notre seule surprise (source d'ailleurs des difficultés et des ^ erreurs rencontrées par le service nou- veau) a été de constater la part énorme laissée en l'occurrence à l'initiative per- son ne île en cette matière. , ' Pensée secourable. d'An En fait, l'institution du registre, xellc: comme toutes fes œuvres pro~be!ges, réfuiî procède, à son or'gine, d'une pensée se- 9 poi courable. Tout en assurant le recense- 56 p< ment des réfugiés, le gouvernement an- ciden glais avait comme objet principal de per- Il mettre aux familles éparpillées dans la vince débâcle de se retroaver. Le War Refu- de N gees' Coirrrmittee d'Aldwych avait, dres dès le début, établi une liste aussi exacte ble s que possible des exilés qui s^étaieirt con- trzeb fiés à ses soins. Le 24 octobre 1914 cette vince (charge fut reprise par le Registrar Gene- des f •rai et ce fut etï décembre seulement que au s( l'obligation de l'enregistrement fut im- sons posée, par un ordre fo-me! de l'autorih-, side - îi.tous le-- Belles ou étrangers avant ré- réi 1 ■:| ES. 225.000 hches. Au 30 novembre deruier le registre de fugiés belges comprenait quelque 15,000 fiches permettant d'évaluer ux cent mille environ le nombre de no ncitoyens actuellement fixés dans 1 nyaume-Uni. en tenant compte de c te 15,000 Belges environ ont quitt Angleterre pour des destination verses, indépendamment des quelque illiers de bons citoyens qui ont rejoit irmée. Le mouvement des arrivées est rest nsidérable, étant évalué à mille pt ur en moyenne, de janvier à mars 191Î i moyenne est toml e brusquement >0 d'avril à juin, pour diminuer gr; (ellement ensuite et descendre à 5 rivés par jour en oetefore. Oepu'e tîovcrti'Xi 'it.regist^e fa ti mbre 1Ô14 plus de 100,000 recherche ont été faites à la demande de part liers, de comités étrangers, et d'adml strations publiques belges ou britann les. Selon l'époque 15 à 30 pour cer ■ ces recherches ont été couronnées c :ccès et plus de quinze mille personne it été retrouvées par des parents ou de nis à l'intervention de Somerst ouse. Depuis quelques mois un nouvel inde été institué dans lequel les réfugié nt classés d'après la profession qu'il erçaient dans leur patrie. Ce noi au registre comporte un total d '.000 fiches. On ne peut pour .1 ornent en déduire de chiffre exae tant à la proportion des Belges qui or ouvé du travail en Angleterre, ma: •S indices sérieux permettent de fixe iprovimativement cette proportion ès de 70 pour cent. Espérons qu'eli ; fera qu'augmenter et que, bientô us nos compatriotes seront à même d availler à la grande œuvre qui requiet ce moment toutes les activités, et d assurer en même temps par eux-même subsistance si généreusement offert puis les premiers moments du j exil. Index nouveau. Des mesures seront prises incessam ent pour l'établissement d'un inde: >uveau classé d'après la résidence de téressés en Belgique, de sorte qu'a ornent du rapatriement il soit possibl : réunir rapidement les fiches concer int les réfugiés d'un canton, d'um lie ou d'un village donnés. En ce qui concerne la population civil Ige en Angleterre, indépendammen s blessés ou réformés pour lesquels u gistre séparé a été dressé, les diver dex de -Somerset House permettent d ire également quelques constatation téressantes : C'est ainsi que si l'on compare le pour ntage des réfugiés arrivés de chaqu ovince belge, on constate que 62 pou nt d'entre eux viennent de la parti mande du pays et 18 pour cent seule ent de la partie wallonne. Le Braban lui seul donne 19 pour cent du chiffr tal. De la province d'Anvers, la gran majorité des réfugiés vient des ville Anvers et de Malines. La ville de Bru lies donne 40 pour cent du total de fugiés du Brabant ; la ville de Louvaù pour cent seulement. Ostende a donn ' pour cent du total de la Flandre Oc lentale. Il appert de ces chiffres que les pre nces de Limbourg, de Luxembourg Namur, du Hainaut et des deux Fiat" es ont donné un pourcentage très fa K sur le total des réfugiés. M. de Ja* sebski attribue ce fait à ce que ces pre nces sont spécialement habitées pr. s populations agricoles plus attachée i sol qui les a vues naître. Nous pen ns que la raison de cette situation rc le plutôt dans la façon dont s'est ope i l'invasion ele la Belgique en deu: *•* A vagues successives et extrêmement rapides, la première submergeant en cinq ou six jours les provinces wallonnes, la seconde se répandant tout aussi soudainement dans les deux Flandres après un répit de deux mois, qui avait laissé croire à la population qu'elle se trouvait à l'ab i derrière la barrière de l'Escaut. La concentration des réfugiés. v- 1- du elle ou collective n'a joué qu'un rôle en général absolument secondaire La conclusion de l'étude. Aussi faut-il louer grandement l'auteur de cette intéressante étude d'avoir terminé son travail sur des conclusions absolument générales qu'il spécifie en quatre points : 1. Qu'entre l'élément flamand et l'élément wallon le premier est le plus large ment représenté. 2. Que les diverses provinces sont très inégalement représentées parmi -les réfugiés. 3. Que l'élément rural est de loin .inférieur â l'élément urbain. 4. Que certaines villes 'ont donné des proportions de réfugiés supérieures à d'autres. Nous sommes heureux pour noire part de féliciter l'auteur de cette étude, d'un intérêt très réel pour les Belges exilés autant que pour " les amateurs de recherches statistiques. Nous ne doutons pas que M. de Jastrzebski ne trouve dans l'exercice de sa collaboration à l'œuvre considérable et si utile du Re-gistrar General l'occasion de relever encore de multiples -détails intéressants pour l'histoire future de la Belgique en exil pendant la grande guerre. Qu'il nous permette de tirer à notre tour une conclusion générale de son travail dont nous n'avons donné ci-dessus qu'une résumé trop succinct. C'est que les réfugiés belges d'Angleterre chassés de leur pays par les dures nécessités de la guerre à quelque classification qu'ils appartiennent, sociale ou régionale, ne sont que de pauvres déracinés qu'il fallait accueillir tels quels, avec leurs qualités et leurs défauts, et qui seront éternellement reconnaissants à la Grande-Bretagne de leur avoir ouverts tout grands ses bras fraternels, à l'heure de l'épouvantable tourmente dans laquelle se débat notre malheureuse mais si belle et si fière patrie ! HENRY SEGAERT. PARISIEN. - >'■ " — campagnes, dont deux au moins furent des plus utiles, il faut le reconnaître loyalement dans toutes les campagnes domine cette manie de dénigrement systématique, d'attaques personnelles incessantes, qui gâtent les meilleuss articles et ont forcément éloigné de :\L Clemenceau ceux qui l'auraient certainement soutenu s'il avait commencé par respecter la Constitution, qu'il veut, dit-il, fortifie:- et rendre vraiment utile. C'est pour avoir fait fausse route dès le début et pour avoir persévéré avec un esprit rageur dans son erreur que M. Clemenceau se trouve isolé, sans appui, parmi les indépendants et n'inspirant pas confiance aux autres. Au point où i! a conduit les choses, il (faut que M. Poincaré s'en aille pour que l'ancien Président du Conseil puisse revenir au pouvoir. Dans ces conditions, à part un petit groupe d'indépendants fourvoyés, personne îie veut tenter une pareille aventure, et le sénateur du Yar est un peu comme les muftis sur le haut des minarets ; il fait beaucoup de bruit, tout le monde l'entend, mais personne ne veut suivre ses adjurations. Et cependant cela ne peut durer ainsi ; nous arrivons a un moment où une décision énergique doit se manifester. Il est impossible de laisser l'anarchie, dont la Chambre donne le lamentable spectacle, se manifester davantage. Les scandales auxque's nous avons assisté hier sont plus que démoralisants. Les marchands de vins, par la \oix de leurs défenseurs attitrés, ont obligé le ministre de la guerre à descendre de la tribune quand il soutenait que les soldats devaient être soustraits à l'abrutissement de l'a'coolisme. Une partie de la Chambre déchaînée a coupé la parole au général Galliéni, soutenant que les bistros de Marseille n'avaient aucune qualité pour disqualifier le général d'Amade, soldat héroïque ayant fait son devoir avec courage et bonheur. Le général d'Amade, le ministre de la guerre, l'intérêt des soldats, leur santé, leur dignité, est-ce que cela compte devant le désir de gagner un peu d'argent en vendant le poison d'alcool ! On a hué tout ce qui représentait la dignité nationale au bénéfice des bistros Courroucés. Et les Prussiené sont à 80 kilomètres-de Paris? JEAN-BERNARD. J I S S E. Tendancieuses. lion des événements de guerre et même à témoigné en certains cas à la cause belge une bienveillance dont les Belges lui sont restés reconnaissants, des correspondances invariablement signées presque toujours consacrées aux r*"-—

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Cet article est une édition du titre L'indépendance belge appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1918.

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