L'indépendance belge

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s.n. 1914, 21 Avril. L'indépendance belge. Accès à 19 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/nv9959d91z/
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!lO Geaa.tin3.esi r*j rpi kinnc cr a parjc: * Ci 85" ANNÉE Mardi 21 avril 1914 ADMINISTRATION ET REDACTION 1 y., rue de» ttsiblea., BruxeUefc BUREAUX PARISIENS : 11, place de la Bourse ABONNEMENTS: . ÉDITION QUOTIDIENNE BELGIQUE. Un an 20 fr. 6 mais 10 fr. 3 mois, S tr. LlintiBCIIItCISr.-D.) » 281t. » 5 fr. » 8 fr. ETRANGER " 40 fr. » 22 fr. » 12fc ÉDITION HEBDOMADAIRE Internationale et d'Outre-miri 10 pages, paraissant le mercredi L'a au SB franc* L'INDÉPENDANCE X" 111 Mardi 21 avril 1914 Les annonces sont reçues i A BRUXELLES : aux bureaux au joira&C À PARIS : ii, place de la Bourse. À LONDRES : chez MM. John-F. Jones & C3, n° ^ y? Sdow Bill, E. C.; à ïAgence Havas, n° 14^ Cheapsicie E. G.; ei chez- Neyroud t£ Fils, LtaL jqo» 14-18, Queen Victoria Street, et T. B. Browo^ Ltd. n° 463» Queen Victoria Street. & AMSTERDAM ï chez Jîijgn & Van ûitmar, Rokin, 2,' A ROTTERDAM : même ïlrxce, Wynhaven, 143. ® ALLEMAGNE, EN AUTRICHE-HONGRIE et EUS SUISSE, aus Agences de la Maison Rudolf Moss^ 'jV ITALIE : chez MM. Haasenstein & Vogler, à Milan. Turin et Rome. 4èDiEW-YORK ; T,B, Browne. Ltd, f9 East42cd StreaW •SOK écmow? PAS ZùTTR. — g IX PAGES BELGE cossewjhoif Ti-V. «s pbogeEs Édition du matin Aujourd'hui Revue politique. LA SITUATION AU MEXIQUE. — Les tergiversations du président Huerta. — Sor refus d'obtempérer à . la demande des .Etats-Unis. — La démonstration naval* américaine. — L'attitude de l'Angleterre. En Autriche. — La santé. de l'empereui François-Joseph. — L'ne affection ca tarrhale. — A propos de l'entrevue d'Ab bazia. En Allemagne. —Manifestation en l'hon neur du comte de Wedel. En Espagne. — Nouveau- combat au Maroc — Vapeur attaqué par les indigènes. En Grèce. — Remise du bâton de marécha au roi .Constantin. Lettre d'Italie. Notes d'une Parisienne. En France. — La campagne électorale. -Discours de M. Doumergue. La Roumanie et l'organisation de la nou velle Dobroudja. En Belgique. — Ce qui les gène. Chronique mondaine. Tablettes judiciaires, par Camille Roussel. Informations financières et industrielles.-Nouvelles diverses de nos correspon dants. CuUr,»;., L-UJ 1 • J_ T> J. jjuge;. Les dépêches suivies de la lettre i $ont celles qui ont paru d'abord dan notre première édition, publiée à i hèi res de l'après-midi; les dépêches suivie de la lettre B sont celles qui ont par d'abord dans notre deuxième édition publiée à 6 heures du soir; les dépêche suivies de la lettre G sont celles qui on paru d'abord dans notre troisième édi tion, publiée le matin. Revue Politique w m m* w M w ■ ™ w" ■■ .Quelques jours à peina nous sépa fent encore des élections générales frai jaises et .la campagne électorale bat sa t>lein chez nos voisins du sud. Par i feree rrifïme'des choses et en raison dt circonstances créées par les événemen de ces mois derniers, cette campagr électorale est acharnée. On a l'impre Sion qu'il s'agit d'une bataille décisiv d'une lutte d'où se dégagera de façc précise l'orientation nouvelle <le 1 France. L'intérêt de cette bataille n'e pas l'opposition iréducti-ble do la réa tion à la démocratie; il est tout entii dans le fait crue deux forces nettemei républicaines sont aux prises; le par radical. unifié et la fédération des ga.i ches. Il s'agit de savoir laquelle <. ces deux forces dirigera l'ensemble di groupes républicains et présidera ai destinées de la République. Le parti radical unifié détient le poi .Voir, mais les récents événements l'oi placé dans une situation assez diff: cite. Un grai. I parti ressent toujoui le contre-coup des fautes commisi • par ses chefs et les erreurs de M. Cai lau- ont ébranlé dans une certaine m sure la confiance des niasses dans l'a tion du parti qu'il avait été appelé présider. Est-ce à dire que le parti r dical français puisse être rendu respoi sable de l'action personnelle de son pr sident? Nul n'oserait l'affirmer, ma le choix des chefs a une telle impo ■tance dans un régime démocratiqi qu'on ne peut empêcher que les mass soient impressionnées par leurs ge tes. Le parti radical unifié souffre ,p conséquent, do la crise morale déte minée en France par l'affaire Caillai et il pâtit également du programme to théorique et impossible à réaliser da les circonstances actuelles qui lui f donné par le congrès de Pau. Ce pr gramme, de Pau, désavouant en princi; fe rétablissement du service militaire < trois ans et préconisant le retour ; service de deux ans; insistant en fave de l'impôt, sur le revenu avec la f( mule de la déclaration contrôlée, q implique une sorte d'inquisition fisc; qui répugnera toujours au caractè français, fut une faute dont les rai eaux doués d'un véritable sens poli que commencent à se rendre compte.l fait, le cabinet Doumergue, qui rep sente le parti radical unifié au.pouvc a de lui-même atténuer les lignes sentielles de ce programme : il s'eff ce d'appliquer loyalement la loi du s vice de trois ans et a reconnu que était une nécessité impériseuse dans circonstances actuelles. Aussi est-il noter que beaucoup de candidats qu présentent avec l'estampille officielle parti radical unifié affirment leur lonté de maintenir le service de ti ans et se gardent d'insister sur la 1 mule de l'impôt sur le revenu avec claration contrôlée. En réalité, i«s sai fie ' délibérément le programme Pau aux nécessités politiques de l'her Il ne faut pas le regretter, car l'accord se fait entre les _ hommes bonne volonté sur le principe du m; tien des trois ans et sur le désir de ï liser la réforme fiscale dans des cor fions qui s'adaptent au temperam français, c'est-à-dire en dehors de t esprit inquisitorial, l'opposition en lès différents groupes républicains s ténuera rapidement et leur sincère laboration sur le terrain parlement; redeviendra possible dans un avenir dirigent MM. Briand et Barthou, com me un instrument de réaction est l'ai' reur politique- la piUs grossière qui s puisse commettre.Ce groupe se compost d'hommes politiques dont le républica nisme sincère a été éprouvé dans les c-ir constances les plus difficiles et iour: tendances démocratiques ne peuven être suspectées quand on se rappelle 1< part qu'ils prirent à l'œuvre des vaste: réformes entreprises en France en cei dix dernières années. Ce qui sépare net t-ement le parti radical unifié de la Fé dération des .gauc-hes, c'est que le pre mier, obsédé par le souvenir du « bloc « entend poursuivre l'œuvre démocrati que ave d'appui et le concours des so cialistes unifiés, ce qui doit naturelle ment écarter de l'œuvre gouverneme-n taie les éléments modérés, . tandis qui la Fédération des gauches entend agn par des moyens purement républicains Telle que se présente la campagm électorale en France, il serait assez dif ficile de prévoir avec une certaine pré cision l'issue de la lutte. La seule chos< que l'on puisse tenir pour certaine,c'es que les républicains l'emporteront dan: des conditions pour le moins ausi saf-is faisantes qu'il y a quatre ans. S'il j avait une logique électorale, l'épreuv* 1 prochaine en France se ferait nettemen contre le cléricalisme réactionnaire e contre le socialisme révolutionnaire, I; nation elle-même donnant ainsi l'exem pie de cette concentration républicain* 1 en dehors de laquelle il n'y a pas de sa ' lut pour la France démocratique. Lt i grand discours que M. Doumergue, pré sident du conseil, a prononcé hier. è Souillâc laisse place à cette concentra , tior.. Sans doute, M. Doumergue détenc avec énergie les positions du parti ra ' dical unifié, mais on sent que son so.uc dominant et hautement louable est d( rendre la « République habitable pou: t-ou.3 les hommes épris de justice etpoui tous les républicains ». Les détails de; programmes disparaissent devant cetti préoccupation et il n'est pas douteus que la nation française dans son ensem ble a la même préoccupation, le mêmt 1 souci de l'harmonie et de la cont,inuit< dans l'action républicaine. La Franc* est arrivée à une heure où l'apaisemen . intérieure est pour elle une nécessité, vi t. taie, parce que les circonstances exté a rieures les pïlus sérieuses exigent de sî a part l'affirmation du sentiment natio s nal au-dessus de toutes les querelles c s de toutes les passions. Les masses pro e fondes des partis républicains sauron comprendre cette nécessité, on n'en peu 5, douter, et ce sont elles qui fixeront ave. n netteté les bases du parti répiiblicaii j élargi pour une œuvre commune de pro La Situation au Mexique de .es ix LE CONFLIT AVEC LES ETATS-I La démonstration navale américaii ^ Washington, dimanche, 19 av Le cuirassé « Mississipi », avec un r3 d'aéroplanes et 6CMJ hommes d'infanter eg marine, a reçu l'ordre de partir de P il. -Ola pour Tampico, accompagné des t ie_ Pnrts « Prairie » et « Dixie » et d'une LC. tille de torpilleurs. 1 x Le cuirassé « North Dakota » est •a_ déjà. H- Le département;^ la marine a orc 4- à ta flottille de 22 torpilleurs réunie à sacola de rejoindre le contre-amiral 3r. der à. Nogalès. ue Le département de la guerre fait p 5es der h une enquête minutieuse sur le c PS- et la situation des troupes mexicaine long de la frontière. sr- . ux Les tergiversations du général Hue lut Washington, dimanche, 19 av .ns A 0 heures, la général Huerta n' Eut encore .annoncé aucune intention i ro- soumettre à l'ultimatum. pe Au cours de la, journée, il a derr de une promesse écrite que'les Etats-Uni au pondraient au sa,|ut. 'ur Cette demande a été repoussée imir or- tement et. on l'a informé que la répoi fui l'ultimatum doit arriver. avant fi he aie heure mexicaine., ère Cela confirme l'impression éprouvée di- certains milieux que le président H iti- tomporise, afin de grouper b Mexiqu En tier contre une attaque éventuel-If ire- Etats-Unii et de gagner ainsi la totali 3ir, pays à >4,causa. es- L'éc-ha» de communications por tor- seulémei sur des points de détail eU® îùerta repousse l'ultimatum ; ]£S [ * ^ j| Washington, lundi, 20 a\ !Î se 1x3 "é;ral Huerta a refusé d'obtem du tt 'a de'inde des Etats-Unis et a pr yo- ^es Sont"f'.-ns nouvelles. rois ^/es- a|I'i'és déclarent que ces < for- "ons ne'''ont pas . acceptées et que lt dé- grarn-me'es représailles sera exécut .cri- * j « # de lire. f(-tionnaires qui avaient lu 1 sj pèche c M. O. Shaugnessy décl de fu'el-le ifconfeftait rien de bon; c ain- ai°|.ient-il.s, il y avait lieu d'; réa- l'e31,[,rue que NI. O. Shaugness; ndi- valt avo!- G heures avec M. Rojas. tout L'atl(ie de la Grande-Bretagne ître fy'era-Cruz, dimanche, 19 av s'at- Aussit(jue je croiseur anglais «E: est arrh contre-amiral Eagder aire monté a -c| 0t a conféré a»ec le co très orn':al Srhristoplie Cradock, qui r(j- nande lau escadre des croiseurs On ne connaît pas le détail de cette con- - férence, qui a d-uré environ une heure, (a) i Nouvelle défaite des fédéraux New-York, dimanche, 13 avril. D'après un télégramme de Cliihuahua, i une colonne rebelle a défait 2,000 fédéraux, '• qui ont laissé 120 monts sur le terrain. Les rebelle® détruisent, les voies 'errées 1 dans toutes les directions pour empéener 1 l'arrivée de renforts. (a) ! LE MESSAGE DU PRESIDENT WILSQN Blocus pacifique Washington, lundi, 20 avril. Dans ie message que le.'président Wilson lit aujourd'hui au Congrès, il demande a cette assemblée l'autorisation de se servir de la force armée pour maintenir l'honneur et la dignité de la nation. Cependant le fait que la flotte américaine a été envoyée dans les eaux mexicaines afin de sé tenir prête à. toute éventualité ne constitue pas une déclaration de guerre formelle, pour la raison que les Etats-Unis né peuvent faire une 1 teile déclaration contre un gouvernement > qui n'est pas reconnu. ; Aujourd'hui'le conseil do cabinet s'est occupé de compléter le programme du blocus pacifique des ports mexicains. D'après ce ■ programme, le président Wilson a l'intBn-• tion de- notifier g^jx puissances que les Etats-Unis, en raison de la situation ac-. tuelle au Mexique, ne-peuvent plus continuer à.assurer la sécurité des étrangère au -Mexique. ■ : (aj L'attitude des constitutionnalistes Londres, lundi, 20 avril. On mande de New-York au « Daily Mail « le 19 avril : D'après une dépêche d'El Paso, on déclare, à Juarès dans les milieux officiels que tant que les Etats-Unis se borneront au blocus des ports de Tampico et Vera-Qiuz, il n'y aura pas de dé- - monstration hostile des constit-utionnalis-tos, mais que si un seul coup de canon est tiré contre l'un ou l'autre de ces ports, les i Mexicains, s'uniront. Toutefois, cette déclaration- n'est , autorisée ni pur le général Carranza ni pair le général Vilta. (a) Déclarations du ministre des affaires étrangères du Mexique Mexico, lundis 20 avril. Le minisire des affaires étrangères, - M. Rojos, déclare qu'il lui semble impossible que-le Mexique accepte.la demande , des Etals-Unis concernant' le salut sans condition du pavillon américain, puisque co'pavillon n'a pas été insulté et ne flottait pas ; sur .le canot qui-portait les. marins arrêtés :- .et puisque ces marins furent remis en li- ■ berté avant que toute enquête ait eu lieu. L'officier mexicain responsable de l'arresta- - tion fut lui-même arrêté et renvoyé devant le tribunal. Le ministre ajoute que le Mexique , accepterait le saJut aux deux pavillons, au pavillon américain en premier lieu et ensuite | au- mexicain, si ':et arrangement était si-I gné par le chargé ■ d'affaires américain et lui-même. Malgré ce désir, les Etats-Unis n'ont pas permis ù. M. O'Saughnessy de si-I gner et. ont insisté poux le salut sans condition, ce que le Mexique estime être au-dessous de sa dignité. En terminant, le ministre a dit que le i Mexique a été aussi loin que son honneur le : lui permit. Il a confiance dans la loyauté H rti âlûasvpjlp.Q rie. FRranrsfii iné ~~ ; 'fÇ- ALLEMAGNE ab- Manifestation )0é_ en l'honneur du comte de Wed« Hre Strasbourg,. dimanche, 19 avri le Ce soir a eu lieu la manifestation ann i) cée à l'occasion du .départ du sta.l'thaltei Une retraite aux flambeaux.avait, été a ganisèe par la société des. chanteurs d ]_ sace-Lorraine. Plus de deux cents soci< 'ait c'e t0L1'e.s sortes y ont pris part. Toutes ^ sociétés, précédées de musique, ont dé devant le statthalter et, la .cointesse de > ,. del, qui avaient pris place sur la terra devant le château. 1 u" Lorsque le défilé a été terminé, M. '1. jia ner, président du comité d'organisation ' ^ la manifestation, a prononcé une allocul dans laquelle.il a exprimé ses regrets ' sujet- du départ du- statthalter et l'a ren cié -ainsi que la comtesse de Wedel de t ■rta 0,0 I'l^s avaient fait pendant les..sept ' nées qu'ils ont passées en Alsace-Lorrai ^ pour le bien du pays. ' j y Le comte de Wedel a pris ensuite la rôle et a remercié la piopulation et,l'ct inv ., à collaborer avec le nouveau gouvernemf . Il a fait également allusion aux demi ineidehts de Saverne et a engagé la popi lion à vivre en bons termes avec l'élém militaire, car, dit-il, l'Alsacien n'est hostile au militarisme et il a toujours m -rer tré les qualités de bon soldat. losé udi- On mande de Stuttgart que l'ancien i îro- sident du conseil et ministre de la ju-st Dr Paul Breilling, est mort lundi mat-i "Age de 79 ans. dé: ANGLETERRE ent Le départ du Roi pour Paris 'en- Londres, lundi, 20 avri -en Le roi George V, avant son départ p de- uris, a reçu M. Asquit-h. ^ a) Le record du monde de la marchi Londres, dimanche, 19 avri: '■ Une brigade de fusiliers a battu le rec ex- du monde de la marche qui appartenait j es- (ua présent à la légion étrangère. EHi :r< o'.wert les 84 klm. 500 qui séparent L res de Brightoin en 14 h. 23 minutes, ai temps de la légion étrangère était de 'heures 30 minutes. h e con- re. (a)' AUTRICHE-HONGRiE La santé de François-Joseph Affection catarrhale vril. wl,aa Vienne, dimanche, 19 avril. ' '■aux' 0n annonce l116 l'affection catarrhale dont ' souffre l'Empereur depuis quinze jours en-er"ées vil'on persiste encore sans atténuation, ji'-cnér Les.médecins ont constaté que la catarrhe (a) ^ voies respiratoires est maintenant accompagné d'une élévation da température. LSQN ce qui joint aux quintes de toux, trouble re sommeil du monarque. L'état des1 forces et l'appétit sont satisfai-vrl!- sants. Vikon L'Empereur, en dépit de son malaise, ex-,.a pédie, comme à l'ordinaire, les affaires couse! mi rantes et tient les audiences C'est ainsi qu'il ri neur : * a reçu aujourd'hui le prince de Montenuevo, J d ns PI,Qniiei' grand-maitre de kl Cour, le baron irMe d'Ahnenburg, aide de camp général, et la s une baronne; le comte Stuergkh, pirésident du . . conseil des ministres, et le directeur gère une Il6ral Hawercfc (a) ement Vienne, lundi,'20 avril. La « Correspondance Wilhelrn » déclare : ;st oc- Un bulletin d'hier soir, signé par les méde-tilocus cins qui soignent l'empereur François-Jo-èj ce sepli, le médecin privé lvogzl et le profes-inten. seur Ortner, dit qu'à un enrouement d'une ie les acuité variable ayant duré quinze jours et m ae- un catasirhe laryngial sans fièvre a suecé-conti- dé un-foyer de catarrhe épais des bron-;re au ches et du poumon supérieur droit, qui se ' (a) manifeste 'par un frissonnement et une élévation fiévreuse de la température. es L'Empereur a passé une nuit relativement vril. bonne. L'état général n'est pas mauvais et Daily l'Empereur s'est levé ce matin de très ipêche bonne heure pour régler les affaires cou-s les rantes. Au cours de la matinée, il a reçu à-Unis en audience plusieurs dignitaires de la Tam- cour et le président du conseil des minis-le dé- très Tisza. inalis- on est Les journaux de midi de Vienne décla-,si les rent qu'à partir , d'aujourd'hui seront pu-déçla- Jau^s des biulletins quotidiens et officiels enèral slu. maladie de l'Empereur. L'archidu-chesse Marie-Valérie est arrivée aujourd'hui à Schoenbrunn venant de Wallsee. ixique Vienne, lundi, 20 avril. Les journaux ^rapportent ce qui suit au-s' -, i sujet de l'indisposition de l'Empereur : issipie Hier Soir l'Empiereur s'est couché à l'heu-? s ro habituelle. Dans la soirée la tempéra-' .cf» ton» était, de 38", La nuit a été fréquem-ment interrompue par la toux. Aujourd'hui ies médecins, cônseïllèr autique docteur II Ll 3 Kerzl et professeur Ortner, ont visité l'Em-CXi. pereur et ont constaté qu'il souffre d'une i heu. bronchite. Ce matin à S heures, 1'arçhid-uc lesta- François-Salvator et l'archiduchesse Marie-levant Valérie se sont rendus dans les appartements de l'Empereur poiu' prendre de ses ie ac" nouvelles. III Pa" Là « Nouvelle Presse libre >i apprend des n on] f/» 1 *■ ™" mili^ui de la Cour que l'état de l'Empereur sl" n'inspire aucune inquiétude sérieuse. Non . seulement les médecins, mais aussi les au-3-Lnis tre9 personnes qui approchent de l'Empe- de si- reur expriment l'espoir que l'Empereur se- 5 con- ra délivré très procliainement du catarrhe u-des- dont il souffre. (a) jUe [e Inquiétudes à Londres eur le Londres, lundi, 20 avril, mtéet Suivant des renseignements particuliers (a) reçus-de Vienne, le ton réservé des bulletins officiels sur la santé de l'Empereur ferait naître des appréhensions que l'état du souverain ne soit plus sérieux qu'on ne jgr l'admet, généralement. On: craint que des I complications ne se produisent,à moins que l'affection catarrhale dont souffre le malade ne diminue d'ici peu. L'archiduchesse Marie-Valérie est arrivée au château de Schoonbrunn. (a) idel L'entrevue d'Abbazia nnon- Abbazia, dimanche, 19 avril. ^CI. Le marquis di San Giuliano a adressé à té or- .Nabresina au comte Berchtold un télégram-y. me dans lequel il le remercie de la façon la iciétés Plus -Cordiale, des belles journées qu'ils ont , eg passés ensembe à Abbazia. défilé '"e comto Berchtold a répondu par un fé-^ye_ légra-rnme dans lequel il exprime dans des -rass-e te,'me.s pleins de cordialité la vive joie que lui a procurée la visite du marquis di San Zon- CMiano. (al onde EQUATEUR c-ution Succès des révolutionnaires lt5 au Quito, dimanche, 19 avril, -emer- jj(?s révolutionnaires ont été victorieux e tout dans un combat sanglant qui a eu lieu au-)t an- tour de Quito. Le chargé d'affaires de rame, France prend les mesures nécessaires en vue de la protection éventuelle des Fran- la pa- çais. (a) rnent ESPAGNE mi ers AU MAROC apula- Troupes espagnoles attaquées Sment Maxlrid, • lundi, 20 avril, t pas l'ne section des troupes régulières indigè-mon- nés a été surprise hier par des rebelles près (a) de Q-uittàn. - I^es Espagnols ont eu un lieutenant, un sergent et trois soldats tués. Deux indigè-i pre- itgg réguliers ont été blessés. L'ennemi a été repoussé avec pertes. at-in a L'officier tué était celui qui commandait le détachement. (a) Vapeur attaqué par les indigènes Algésiras, dimanche, 19 avril, sgjj. On mande de Ceuta qu'un vapeur alle-p^uj.. m.and, dont on ignore encore le nom, s'est échoué la nuit dernière sur la cût-e de Bon-zu au Maroc. ;he La canonnière « Laj'a » et d'autres navi-Til res 8uerre s011' partis pour porter se-•ecord cours au navire inconnu qui aurait été atta-it. jus 'u" Pal' ^es in£liëènes. vile a Lon- Vapeur attaqué par les indigènes s- Le : Ceuta, lundi, 20 avril, de 15 Le vapeur allemand qui s'est tchoué sur ,(a) la côte africaine est le « Hebenfeld », parti de Gènes et se dirigeant sur Buenos-Ayres. Trois canonnières espagnoles se trouvent sur les lieux de l'accident et coopèrent aux f.untroiiv A n r>a fi f I /~v,i 1/irriûnf /a\ travaux de renflouement. (a) GRECE Remise du bâton de maréchal au roi Constantin Athènes, dimanche, 19 avril. 1 I.a remise du bâton de maréchal au ro - Constantin a eu lieu aujourd'hui au palais ■ royal avec une solennité exceptionnelle.. 1 Du général de division jusqu'au simple soldat toute l'armée était représentée lar gement. La remise a été faite dans la salle dt ■ trône par M.Venizelos, qui a prononcé ur discours vibrant de patriotisme. ' Le Roi, entouré des princes et des dignitaires de la Cour, a reçu le bâton de ma- - réclial et a exprimé sa fierté et son émotion puis il a remercié ceux qui ont été ses col laborateurs dans la viàtoire. Les délégations militaires ont défilé en suite devant le Roi en l'acclamant. La fête a pris fin au milieu d'un granc : enthousiasme. (a Démentis Athènes, lundi, 20 avril. , L'information suivant laquelle trois cents ^ volontaires grecs auraient débarqué i _ Santi-Quaranta et gagné l'intérieur d< l'Epire est démentie officiellement. On déclare de même inexact que le Kai j ser doive présider à Corfou une conférenci à laquelle assisteraient le chancelier d< . l'Empire: le, baron de Wangenheim, ambas ' sadeur à Constantinople; MM. Venizelos e , Streit, ministres grecs. MM. ^'enizelos e Streit ne se sont même pas rencontrés avei | le baron de Wangenheim. (aj ITALIE Pourparlers franco-italiens Rome, lundi, 20 avril. A propos des pourparlers franco-italien,; relatifs à la ïripoliiame et à la Tunisie, lt « Messaggero » soutient que l'Italie a fui preuve de bonne volonté en reconnaissan personnellement le point de vue français e en acceptant sur la question des juridiction; que les musulmans de Tripolitaine résidan en Tunisie soient soumis aux tribunaux in , ternationau-x. ■ Quant à la notification des citations de vant les consuls italiens en Tunisie, elif constitue une simple formalité de procédun et comme c'est sur cette formalité que por tant les divergences, -il-peut- sembla qu'ave! tin peu do meilleure volonté de part e' d'autre, un terrain -d'entente sera rapide ment trouvé. Suivant le « Messaggero », l'Italie a con senti pour ie Maroc sa renonciation aux ca pitulations c-t a accepté le régime différen tiel pour les sujets italiens à la seule con dition que l'Angleterre renonce égalemen aux capitulations. ~ (a SUÈDE La santé du Roi Stockholm, lundi, 20 avril. Le bulletin de santé du roi Gustave publié ce matin, déclare que le Roi a pi I passer quelques heures de la journée d'hies dans un fauteuil et a bien dormi au cour: de la nuit dernière. (a) Lettre d'ltalie du ne (De notre correspondant.) ' es 110 L'emprunt turc. — Impressions italienn la" — Le Dodécanèse. — Admonestations glaises. — L'entrevue d Abbazia. — Û« ée les Balkans.—La question des chemine !a) ROME, le 12 avril La nouvelle du succès que vient remporter la diplomatie française dî à les négociations avec la Turquie pc m- l'emprunt a prdouit une impressi la plutôt désagréable et à laquelle se m nt une pointe de dépit. On trouve que France a su se faire la part du lion g. que, grâce à l'abondance de capita es dont elle dispose, elle acquiert dans ue monde une place de plus en plus cor in dérable. On met- l'ampleur des conc aj sions faites à la France en Asie Minei en regard des résistances que le gouv nement ottoman oppose à la concessi réclamée par l'Italie à Adalia et qui cependant si modeste ! Bref, on con llx dère presque les avantages obtenus p ,u_ le cabinet de Paris comme un échec de la diplomatie italienne. en Par un singulier hasard, l'issue lu n. reuse des négociations entre la Frai et la Turquie coïncide avec la publi tion d'un article du Jezcne Turc, dans quel i.i est dit que la Porte ne doit poi: après la restitution du Dodécanèse, ; mettre la nomination de dé.égués i liens chargés de surveiller l'appLicati du traité de Lausanne et qu'en tout c; la subordination de la restitution du I déc-anèse à la concession des compen: in tion réclamées par l'Italie doit être cc è_ sidérée comme un mauvais procédé. La Consulta n'a pas laissé cet artii sans réponse et en oïl a prolité pour p lU blier sans retard dans la « Tribuna » a, communiqué rédigé sur un ton très £ et affirmant que l'Italie n'évacuera Dodécanèse qu'après avoir obtenu concession qu'elle a réclamée en As e. Mineure. ,st C'est là, en effet-, le jeu do la diplon n- tic italienne, qui consiste à se prévah de certaines clauses du traité de La ,-i_ sanne pour ajourner indéfiniment la i ,e. trocession à la Porte des îles qu'elle ( a_ cupe dans la mer Egée. Mais, sans 1 vouer, on n'est pas ici sans inquiétât car on sait qu'il s'agit au fond d'u question qui ne concerne pas exclusif ment les deux signataires du traité Lausanne et que ce qui ce passe da ir le voisinage des Dardanelles n'intéres "H pas uniquement l'Italie et la Turqu vires. Sur ce point, Sir Edward Grey a ïvent un langage aussi clair que catégori t aux et la perpétuation du débat qui se P (a) suit entre Rome et Constantinople p rait, à la longue, troubler nos rapp avec l'Angleterre, qui sont déjà sii lièrement altérés et compromis. L'at de du « Times » et d'une grande p; ril- de la presse britannique no nous 1 roi met pas de nous faire aucune illu a'ais à Cet, égard. Le grand journal de la a publié plusieurs articles dans lesqi rnpte sans même être obligé de lire entr< lar- lignes, on peut trouver, à.l'adi-essi l'Italie, des avertissements formels, e du Nous sommes à la veille de la ren é un tro de M. le marquis di San Giul avec le comte Berchtold à Abbazit tigni- Cet événement se produit en un mon ma- où la politique italienne se heurte : ition, graves difficultés. Je viens de l'air-: - col- lusion ."i l'attitude de l'opinion et c diplomatie anglaise. Les cont.rari i en- que notre diplomatie éprouve du de la Triple-Ent-ente ne sont pas s nand samment compensées, hélàs l- par (a) consolations qu'elle trouve du côté posé. 11 devient de plus en plus évi que l'Autriche suit, vis-à-vis de la t ce et de la Serbie, une ligne de conc f sensiblement différente de celle que 11 l'Italie. Cetle différence s'explique et e voit fatalement s'accuser au moi: Ka: voulu- lies deux monarciiies al •enc'ê poursuivent au-delà de l'Adriatique r cje objectifs non seulement différents, i ibas- chacune d'elle fâche de : (jg ses affaires et do donner satisfactii )s ses propres intérêts, sans s'occuper aVp0 intérêts do l'autre et même en les s: (aj liant s'il le faut. Or, il est évident qu'en déployan effort analogue pour créer l'autone albanaise, elles obéissaient à des rr les différents. „ Pour l'Autriche, l'Albanie est la : ^ ouverte par laquelle elle espère pre: le' f sa revanche dans l'es Balkans; pour ! 1 j lie, la constitution de l'autonomie i 3.san' naise était un expédient par lequel, f Lls 6 de mieux, elle mettrait Yalona à I on® des convoitises.Par cet, expédient-.le idant Vgrnement de Romo est parvenu à x :n* léguer la Grèce assez loin du cana Corfou et de Valona, et- cela lui si 5 <}*• Cependant, elle continue à surve elle i'aqtion de la diplomatie hellén Mture et, elle veille jalousement à ce qu , politique, grecque ne bénéficie d'un avec velûppeiiient ultérieur du côté de rt et pire- D'autre part, on n'ignore pas à Plcie' me que l'âpreté avec laquelle rîtal cru devoir s'associer aux efforts con" lenl-s et systématiques avec lesq x ca" l'Autriche a contrecarré les aspirat eren- serkes concernant la conquête d'un con- sur l'Adriatique, a presque entièref ment détruit les sympathies dont la ns W. italienne jouissait dans tous les ] serbes et a laissé un souvenir pén Or, on prévoit ques grâce-à l'agrai sement de sa puissance politique rii. la nouvelle extension de ses l'rontii tave, le jeune royaume des Karageorges : a pu dans un avenir très prochain, un i l'hier ohé des plus importants, qu'un é :ours bras de mer sépare à peine de l'in (a) tive italienne. Le gouvernement de me songe par conséquent à efface 'SBS* souvenir du rôle qu'il a joué pendai crise balkanique et, à faire renaître, < § les milieux serbes, les sympathies c-e rôle avait éteintes. Voilà pourqu ministre italien des affaires .étrang a fait un accueil empressé aux v nnes. emprimés par un groupe de capit s an- tes italiens en faveur du raccorder Dans de la ligne du chemin de, fer du Dar jiots. au port, neutre qui doit être accer •il la Serbie sur l'Adriatique. Les préfé . ces de la Serbie à ce sujet seraient ] V . Durazzo, mais il serait difficile, de noîir glor la neutralit4 de ce port, si la i •sion ta'e resla^' comme c'est probable, à mAie razz°i en sorte que le choix serbe ,o if bera probablement sur Saint-Jean J® Médua. )an% Tant vis-à-vis de la Grèce que v ls ie vis de la Serbie, l'Autriche a des MSj_ rêts différents.Ce qui se passe dans acesI banie, et tant que le principe de l's eure nomie c'u nouvel Etat n'est pas vulr ne passionne que médiocrement le r ,sj0n~ de austrerhongrois, à qui il imp i est peu CIU0 'a Gr®ce obtienne, en Epire, •; avantages plus grands que ceux qu nar conl^'"ence c'e Londres lui a accorclt r} , parcimonieusement, tandis qu'en vu certaines éventualités, qui ne sont heu auss' éloignées qu'on le croit dans aneè -fains cabinets, et même en vue d li jr brouille avec l'Italie, qui n'est pas sidérée à Vienne, tant s'en faut, cor Tint" absolument hypothétique, ce m monde doit s'efforcer de nouer, a.ve 'ta Grèce, des relations amicales. E-nvea ition ®er'3ie' 1ue l'Italie caresse en ce ment-, la diplomatie autrichienne gi Dn uno atende aussi farouche que pa passé et cela pour des raisons qu'il rait inutile d'énoncer et qui sont les mêmes qui lui font considérer con ticle un Pr'nei,P6 sacro-saint'celui de l'a , nomie albanaise. Vous voyez donc i *■ " tout- en ayant l'air de suivre la m " p route, l'Italie et l'Autriche sont loir ; s®c poursuivre le même but. a !e A l'intérieur, c'est la question des J ,la minofs qui tient la corde. Ce qui c Vsie" plique cette question, c'est que le sonnel des chemins de fer italiens >ma- partagée en deux groupements, celu iloir ia Fédération (qui est le plus m allé. Lau- et le plus docile, parce qu'il contier 1 ré- haut personnel et parce qu'il e~ ' oc- moins nombreux; il ne compte, en e 1 a- que trente mille adhérents), et celu: ude, syndicat, qui est le plus nombreux line compte -45,000 adhérents), et qui jive- une politique nettement révolutionne 5 de la prolifique du tout ou rien. lans Le ministre des travaux publics a : esse dams une entrevue avec.le chef de la iuie. dération, des concessions qui compt

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Cet article est une édition du titre L'indépendance belge appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1918.

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